Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Roger

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Roger

Pages: 1 [2]
16
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 17 juillet 2009, 21:15:23 »
21:16

*s'enroule autour D'Elysia et lui enfourne l'un de ses 5 doigts dans le gosier*

Si tu veux, j'ai plus, BIEEEEN plus de 5 queues...

17
Territoire de Tekhos / [Earthworm Roger] New tentacle city [PV: Sandji]
« le: vendredi 17 juillet 2009, 21:13:37 »
Il faisait noir. Très noir. La seule chose qui n'était pas noire ici, c'était un disque lumineux qui venait du ciel, et semblait flou. Roger avait mal à la tête. Quelque chose de lourd lui était visiblement tombé sur le crâne, mais il ne se souvenait pas quoi. Il ne savait même pas où il était. En regardant autour de lui, il vit qu'il était entouré de rouages et d'éléments électroniques très sophistiqués. Mais ou donc était-il tombé? Était-il seulement encore sur Terre? Le tentacule s'apprêta à passer la tête hors du disque lumineux, qui semblait être un trou dans le plafond de cette étrange cavité, mais s'arrêta en entendant deux voix. Des voix étranges, qui n'avait que de peu les intonations d'un humain. Les voix parlaient d'ailleurs un dialecte qui ressemblait à ce qu'il connaissait, sans pour autant être exactement du japonais, du français, de l'anglais, ou même de l'allemand. Mais il y avait dans ces voix une intonation germanique, aussi Roger en déduisit qu'il se trouvait en Allemagne. Mais comment s'y était-il retrouvé? Et surtout, combien de temps était-il resté assommé? Aucune idée.

" ZVAR! ZYNIZTRE CREATURE PORZINE! "

" Mais.. Mais... Maîîîîîîître, pourquoi vous mettre dans un tel étaaaaaat? "

Enfin, une des deux au moins. L'autre avait plus un ton de crapaud soumis et plaintif.

" Alors ke tout zezi eich te ta faute, tu OZES me demander pourkoi che me met dans zun tel état!!?? Zi tu avais fait plus zattenzionne, JAMAIS nous n'aurions dû aller zur zette dimenzion parallèle MINABLE pour récupérer le züber coztume! Crétinne! Nimbézile! "

Un costume? Ha, oui. En sortant la tête de l'encolure, Roger pu se rendre compte que celui-ci répondait d'ailleurs à ses ordres, comme si il était doué d'une volonté propre et comprenait avant même que le tentacule ne les prononce les ordres qu'il pourrait lui donner pour bouger telle ou telle partie du corps. En s'examinant d'un peu plus près, il vit que le costume en question était d'ailleurs doué d'une musculature plus que convenable. Ceci débloquerait sûrement de nouvelles optiques à la créature violeuse...

" Monsieur, je croiiiiis que vous devriez... "

" ZIIIIIIILEEEEEEEEEEEEEEENZE! Ozes m'interrompre encore UNE ZEULE VOIS, et je te jure QUE TU REGRETTERAS DE NE PAS ZAVOIR ACCEPTER LE RÔLE DE COBAYE POUR MES ZARMES BACTÉRIOLOGIQUES!!! "

Quoi d'autre...? Ha, il y avait des poches bien étranges dans cette combinaison. En y plongeant une main, il sortit une sorte de... Réacteur? Visiblement capable de servir de moyen de locomotion autopropulsé. Ces poches étaient bien étranges, elles semblaient donner sur des mini trous-noirs, par lesquels il était possible de ranger des objets d'une taille incommensurable tout en étant pas gêné par leur poids. Il y avait aussi une espèce de pistolet étrange à sa ceinture. En l'examinant à l'aide de ses nouvelles mains, Roger découvrit avec étonnement un petit bouton, sur lequel il s'empressa d'appuyer, ce qui eut pour effet de projeter un énorme rayon de plasma devant lui, grillant ainsi plusieurs ordinateurs, et allumant un joli feu de joie sur le crâne du scientifique à l'accent allemand, qui se demanda seulement quel était tout ce vacarme. Un peu lassé de cet endroit, le tentacule en combinaison vint tapoter, de son bras robotique, sur l'épaule du même chercheur, et lui demanda le plus simplement du monde, alors que lui était terrifié devant cette vision d'un tentacule dans sa si belle, si beeeeeeelle combinaison:

" Entschuldigen Sie ich? Sprechen Sie französisch? Engländer? Japaner? Könnten Sie mir den nächsten Flughafen zeigen? " *

Bien entendu, ils n'étaient pas Allemands, mais Tekhan, aussi ne comprirent-ils pas un traître mot de ce que leur demanda Roger. Celui à la voix plaintive, qui semblait le subalterne, se contenta de pointer du doigt la fenêtre, qui menait directement à l'extérieur, songeant que la première pensée de Roger aurait été de s'en aller.
Le remerciant en allemand pour cette direction, le tentacule mécano propulsé défonça le mur d'un doigt, comme si il avait été en carton pâte, et marchait à présent dans les rues de Tekhos, à la recherche d'un moyen pour aller à Seikusu... Tout en se rendant compte que soit l'architecture de Berlin avait évolué... Soit il n'était pas sur Terre...

18
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 17 juillet 2009, 20:26:08 »
Bah oui, bien sûr que tu décris les deux. T'as qu'à préciser dans la bio qui tu décris.

19
Prélude / Re : Re : Astaroth, générale démone.
« le: vendredi 17 juillet 2009, 20:19:30 »
Merciii.

Quelqu'un veut jouer ?

Agrouuuuuuuu... *w*

20
Le parc et son sous-bois / Re : L'horreur rampante [PV Succubus]
« le: lundi 22 juin 2009, 21:58:36 »
Une magicienne? Sur ce monde? Voilà qui était singulier pour Roger, lui qui croyait être l'unique créature extra-humaine sur cette planète. Et il se serait sûrement penché bien plus sur la question si il n'avait pas été pressé par le fait que si la donzelle réussissait à finir l'incantation, il aurait sûrement des difficultés. Et voilà qui serait ennuyeux.
Repoussant donc à contre-cœur sa curiosité, il entreprit de faire taire la demoiselle, par la manière aussi explicite que violente de lui enfoncer, d'un coup sec -et donc relativement douloureux- un tentacule dans la bouche. Le dit tentacule, qui plus est, était loin d'être l'un des plus petits. Une largeur d'environ huit centimètres.

Mais maintenant, penchons nous un instant sur le point de vue de cet être qu'est le tentacule. Que peut-il bien ressentir, que peut-il bien faire, lorsqu'il est enfoncé ainsi à l'intérieur d'un corps étranger, le plus souvent féminin?
Et bien tout d'abord, un tentacule est aveugle, n'a pas de nez, ni d'oreilles, et, étant dépourvu de bouche, doit se reposer sur cet unique sens qu'est celui du toucher. Mais, n'ayant que celui-ci, cela va s'en dire qu'un tentacule est nettement plus sensible à ce qu'il touche que la majorité des êtres humains, et de très loin.
C'est donc conscient de ce fait que nous allons nous plonger dans les actions de ce tentacule pionnier, premier de toute une colonie à arpenter les intérieurs de cette nouvelle femelle -à priori- humaine. Tout d'abord, il analyse les premières impressions. C'est doux. C'est chaud. Très chaud même. Un peu plus de 37 °C. Ce sont les premières impressions. Suite à quoi, heureux de ce milieu, notre petit tentacule solitaire commence à se frotter, à entamer une rotation sur lui même, dans un sens, puis dans l'autre, se vautrant dans cette cavité tel un cochon dans une flaque de boue.
Puis, nouvelle constatation. C'est humide. Et, à l'arrière, il y a comme des choses pointues qui semblent vouloir appuyer sur son corps mou. Alors, par réflexe, le tentacule avance, lentement, mais perceptiblement, vers le fond. Par réflexe, car même s'il ignore encore être dans une bouche, ce petit tentacule en a déjà arpenté un nombre étonnant. Cette action de se placer au fond de la bouche, à la limite de la gorge, n'est donc pas étonnant, puisque cette position empêche la cavité buccale de se refermer.
Ce faisant, le tentacule frottait sur une autre partie de la bouche de Succubus. Un membre légèrement râpeux, mais plus doux que le reste, et parfaitement adapté pour se montrer "diligent" avec lui. Ce membre, il le connaissait parfaitement, pour adorer son contact plus que de raison. La langue.
Heureux, heureux qu'était ce tentacule, si bien qu'il commença à faire ce dont il avait l'habitude pour se sentir encore mieux. Il commença, d'abord lentement, à se frotter, faire de longs aller-retours à l'intérieur de cet endroit qu'il aimait tant.

De l'extérieur, tout ceci se traduisait uniquement par le mouvement du tentacule, d'avant en arrière, jusqu'au fond de la bouche de Succubus. Mieux valait pour elle qu'elle sache bien respirer par le nez.
Ce premier désagrément écarté, Roger s'empressa de monologuer sur le sujet d'une telle présence, ici, à Seikusu. Alors que le tentacule joyeux continuait joyeusement ses va-et-vient à l'intérieur de la jeune femme, le tentacule principal élaborait des théories, imaginait des possibilités, et le tout avec un grand sérieux, mais trop de dissipation pour être compréhensible, le mélange du japonais et de la langue des tentacules étant trop inéligible pour être écrit, et le tout sous l'attention suppliante et impatiente de tous les autres tentacules, légèrement jaloux de leur confrère déjà au travail. Ce n'est qu'au bout d'une petite dizaine de minute de discours que Roger s'aperçut enfin avoir laissé sa troupe en plan, alors que le premier attaquant était toujours en train d'user la bouche de la demoiselle.
Entre temps, il avait eu le temps d'accélérer. Énormément. Il était maintenant lancé à pleine vitesse, incapable de s'arrêter, et ce fut presque au moment où Roger se désintéressa de ses hypothèses qu'eut lieu la première éjaculation, à l'intérieur de la bouche de Succubus, qui se transformait, au sens propre -quoi que... Sale plutôt- du terme, en jacuzzi pour spermatozoïdes. Il n'y était pas allé de main morte le petit, le liquide blanc et chaud dégoulinant dans un long filet de la bouche de la créature, parfois surplombé de bulles, et le tout transmettant à tous les autres tentacules un appétit sexuel, attisant le leur déjà bien entamé. Mais Succubus ne devait pas être en reste de son côté. Dix minutes à sucer un membre, même tentaculaire, de ce calibre là, plus une éjaculation intérieure, la donzelle devait commencer à être chatouillée par ses hormones, et pas qu'un peu, à moins que la sensation de viol n'ait entamé le blocage complet de toute sensation de plaisir.

Roger rougissait. Il rougissait, non pas de honte, mais parce que ce premier apéritif était en train, peu à peu, de débrider ses quelques faux semblant de civilité, pour laisser place à la bête sexuelle qu'il était, avide de jeunes corps à souiller. Relevant la tête, les prunelles brûlant d'un feu puissant, il annonça:


" Et voilà, je parle, je parle, et la fête commence sans tout le monde... Messieurs! Gaaaaaarde à vous! "

Aussitôt, tous s'alignèrent, bien droits, en bons petits soldats, parés à conquérir le territoire ennemi à l'ordre de leur chef.

21
Le parc et son sous-bois / Re : L'horreur rampante [PV Succubus]
« le: samedi 20 juin 2009, 10:52:42 »
Roger eut un blocage. C'était bien la première fois qu'une de ses proies se défendait de la sorte. Pendant une seconde et des poussières, ses yeux écarquillés renvoyaient à son cerveau l'image de la situation. Mais reprenant bien vite contenance, il sourit à la demoiselle -si on peut parler de sourire vu la bouche qu'il a- et commenta la situation uniquement par ceci:

" Intéressant, intéressant, mais si votre esprit était plus aiguisé que cela, demoiselle, la question que vous vous poseriez ne serait pas "Qu'allez vous faire monsieur le violeur", mais plutôt "Est-ce que j'ai assez de lianes pour coincer tous ces tentacules?", ne croyez vous pas? "

Sitôt sa phrase terminé, d'autre tentacules jaillirent du sol, tournoyant tel une tribu indienne autour d'une diligence, et formaient un véritable mur sur un périmètre de quelques mètres autour de la succube.
Mais, point intéressant, la jeune femme n'avait immobilisé que les gros tentacules. Les petits, eux, invisibles et furtifs dans l'herbe et les feuillage, étaient encore frais et dispos pour passer à l'attaque.
Profitant de l'effet de surprise, et de la stupeur que le mur de tentacules avait probablement déclenché chez la demoiselle, Roger lança à l'attaque tous les tentacules cachés, qui s'enroulèrent, rapidement, autour des chevilles de celle-ci... Puis des jambes... Puis des cuisses... En synchronisation, d'autres tentacules étaient littéralement "tombés" du feuillage des arbres, s'enroulant tel des serpents autour de ses poignets, et remontaient les bras jusqu'au niveau des épaules.

Alors, narquois, Roger se dégagea aussi facilement des lianes qui entouraient son tentacule principale que s'il avait été enduit de vaseline... Être un être visqueux et mou avait ses avantages...
La fille maintenant à sa merci, il s'approcha de nouveau. Il souriait. Et malgré la situation, son expression était ô combien mignonne. Dégageant par la même les gros tentacules, il en profita pour remplacer les petits tentacules, trop peu résistants, par des plus gros, dont la largeur équivalait à celle d'un bras humain. Tous les autres, exceptés ceux formant le mur, s'approchèrent du même coup. Certains virent en renfort de ceux qui bloquaient les membres de la jeune femme, d'autre s'enroulèrent autour de son cou, d'autre encore de son ventre, et certains, bien plus impatients, s'affairaient déjà à lui arracher ses vêtements.
Il y avait en tout un peu moins d'une dizaine de tentacules sur elle. On commençait petit. Fallait pas l'abimer dès le début. Un des leurs, solitaire, ne s'attacha pas tout de suite à la demoiselle, mais vint plutôt frotter son extrémité contre la joue de celle-ci, alors que son propriétaire lança, visiblement sûr de lui:


" Bien, pouvons nous commencer? "

22
L'Art / Re : Carte Magic
« le: samedi 20 juin 2009, 10:33:10 »
ça se voit que monsieur ne connait pas les cartes magic  ;D

23
Le parc et son sous-bois / Re : L'horreur rampante [PV Succubus]
« le: samedi 20 juin 2009, 00:23:12 »
Voilà donc ce qui hantait les lieux ce soir. C'était vert. C'était long. Et ça arrivait de tous les côtés. Des tentacules. Partout, un nombre incalculable de tentacules verts et visqueux, agités comme des lombrics qu'on aurait sorti de terre. Mais ce qui était peut être le moins rassurant, c'est que tous ces tentacules ne ressemblaient pas à des tentacules de pieuvres... Mais plutôt à des sexes!

Point de ventouse. Point de signes permettant de distinguer le haut du bas. Mais, pourtant, narquois, et laissant présager la suite des évènements, au bout de chaque membre vert, un gland. Des dizaines et des dizaines de glands. Mais tous ces tentacules, malgré cette apparente uniformité que laisse apparaître cette courte mais pourtant exhaustive description, étaient différents les uns les autres. Pas un n'était de la même longueur que ses voisins, bien que difficile à voir de cette position encerclée qu'était celle de Succubus. Tous étaient de largeur différente. Il y avait là des "bras" de trois, cinq, sept centimètres, les plus épais montant jusqu'à une dizaine de centimètres. A l'inverse, il y a en avait des minuscules, presque invisibles au milieu de la verdure, dont la taille dépassait à peine trois millimètres. Mais malgré cela, aux yeux de ce qui allait probablement être une future victime, ces détails passaient inaperçus, devancés par la crainte et l'angoisse.

Cependant, un détail ne pouvait échapper, même à la plus effrayée des proies. L'un des tentacules était bien différent de tous les autres. Non seulement d'une teinte plus foncée, il avait aussi un détail qui était on ne peut plus notable: un visage. Un visage pourvu de deux grands yeux brillants, et d'une bouche en W qui tremblait doucement. Pour peu, on l'aurait trouvé mignon... En omettant les innombrables tentacules, prêts à fondre sur la demoiselle avec un seul but: la violer. Le tentacule doté d'un visage s'avança près de la créature, l'observa, frôla son corps, et enfin, la renifla. De ses naseaux invisibles à l'œil nu s'échappa une expiration sonore, puis il recula, et effectuant ce qui sembla être une révérence, se présenta à la demoiselle:


" Mademoiselle, bonsoir. Je vous prie d'agréer l'expression de mes sentiments distingués, alors que je m'en vais de ce pas vous violer, de toutes les façons qui me passent par l'esprit et me donnent envie. Mais, quelle impolitesse, avant toute chose, je me présente, Roger, tentacule violeur de son état. Agrouuuuuuuuuuuuuu! "

24
Le parc et son sous-bois / L'horreur rampante [PV Succubus]
« le: vendredi 19 juin 2009, 23:08:53 »
Le parc de Seikusu. Un superbe couché de soleil. Des arbres qui se balancent tendrement au gré du vent. Des fleurs qui embaument, une dernière fois, l'air de l'espace vert avant de s'endormir, le temps d'une nuit. Les derniers couples de la journée qui se susurrent des mots doux avant de disparaître par le portail, des idées coquines dans les yeux. Quelques poissons, aux écailles rouges et dorées, qui sautent hors d'un petit ruisseau pour dire au revoir à l'astre du jour, et pour profiter une dernière fois de sa lueur et de ses rayons avant le lendemain. Quelques mammifères, des écureuils et autre rongeurs, qui remontent vers leurs trou, pour se reposer d'une longue journée à amasser de quoi manger en prévision de l'hiver.

Un cadre des plus romantiques. Des plus beaux. Mais comme une peinture qu'on aurait baclée, un point noir restait sur le tableau. Contrairement aux apparences, bien trop empreintes d'eau de rose, voici la raison de ces départs.

Des rongeurs qui, sentant un danger imminent, fuient vers leur abri. Des poissons, qui prient l'astre du jour de rester là, de les illuminer pour les rassurer. Des couples qui, un frisson glacé leur traversant la nuque, décident de rentrer se calfeutrer dans leurs couvertures, et se rassuraient dès le portail franchi. Des fleurs qui se ferment, formant un bouclier vain envers un danger qu'elles pressentent. Des arbres qui tremblent de peur à l'idée de la créature cachée parmi eux. Et enfin, même le soleil qui fuit devant cette chose innommable.

La nature envoi des signes qui font fuir ceux qui y sont réceptifs. Pour les autres... Et bien pour les autres, ceux que la curiosité attise, il y a un bruissement... Un son, de nature inconnue, de provenance incertaine, qui, comme une sonnerie de téléphone un lendemain de cuite, vous interloque, premièrement, de par sa nature inconnue. Qui vous agace, deuxièmement, car vous ne savez pas ce que c'est. ... Qui, troisièmement, et c'est là que la comparaison s'arrête, pour reprendre dans les grands clichés de films d'horreur, vient de tous les côtés. Vous étonne puis vous effraie, tour à tour nourrissant le feu de votre curiosité, et les flammes de votre angoisse.
Plus ça va, plus le son se distingue. C'est le son de quelque chose qui se déplace. Plutôt de pleins de choses, en fait. ça se précise encore... Une sorte de corps qui glisse, entre les feuilles, entre les branches... Mais qu'est-ce donc? Qu'est-ce donc que cette chose qui prend un malin plaisir à cacher sa nature tout en montrant sa présence?

Mais peut être avez vous remarquer, à l'instant, que des lianes semblent avoir poussé sur les branches et les troncs... Que des sortes de gros tuyaux d'arrosages pendent au sol, ici, en pleine forêt... Qu'au plus vous tournez la tête pour les voir tous, au plus vous en dénombrez...
Et c'est là que la vérité frappe, comme un coup de tonnerre:

Vous êtes prise au piège.

25
Prélude / Re : AGROUUUUUUUUU !!!
« le: vendredi 19 juin 2009, 22:29:12 »
Rhaaaaa mais y en a maaaaaaarre à la fin!

La quasi totalité de nos RP aux Daclusia et à moi sont au quartier de la toussaint! Y en a maaaaaaaaaaaarre!

...

Je poste. Juste pour avoir le choix du lieu.

26
Prélude / Re : AGROUUUUUUUUU !!!
« le: vendredi 19 juin 2009, 22:21:37 »
Misa> Ho rêves pas. Même si tu m'avais supplié j'aurais pas posé un tentacule sur toi ^w^

Succubus> Lieu, heure, contexte? ^w^

27
Prélude / Re : AGROUUUUUUUUU !!!
« le: vendredi 19 juin 2009, 22:07:29 »
Tant que j'ai des livres de philosophie et des traités d'économies ou d'idéaux politiques à lire... Mais mon seul vrai maître restera celui qui m'a créé.

Bon, allez! Laquelle de ces dames dois-je engrosser (ou pas) en premier?

28
Prélude / Re : AGROUUUUUUUUU !!!
« le: vendredi 19 juin 2009, 17:28:46 »
Et puis j'ai une grosse mite.

Merci àgrou tous. :3

29
Prélude / Re : AGROUUUUUUUUU !!!
« le: jeudi 18 juin 2009, 16:07:20 »
Roger s'approche de Misa, se dresse bien droit, face au visage de la manager, en lui faisant son expression la plus mignonne et kawaï kromeugnonchoupichat, qui fait fondre toutes les dames sans exception... Avant de l'attraper par les jambes avec sa "main", de la faire tourner dans les airs et de la lancer à travers la fenêtre.

" Message du tentacule: Roger vous invite à aller vous faire enfiler, je me fiche de savoir par qui, car n'étant pas humain il se fiche des règlements. "

30
Prélude / AGROUUUUUUUUU !!!
« le: jeudi 18 juin 2009, 14:05:58 »
[Doublette des Daclusia]

http://www.deezer.com/track/1071273

Nom : Roger

Age : inconnu

Sexe : Non applicable.

Race : Tentacle rape

Orientation sexuelle : Violeur violent, parfois pédophile, Roger s'attaque à tout ce qui porte des seins, et s'il sont faux, ou qu'il n'y en a pas, il se contente de détruire.

Description physique : Roger ressemble à un serpent. Un gros serpent vert. Il ressemble seulement. Vous avez déjà vu un serpent avec de grands yeux comme ceux-ci? Et avec une expression aussi mignonne? Moi, jamais. De grands yeux, en effet, qui brillent d'appétit. Une expression mignonne, en effet, pour mieux te piéger mon enfant. Quelques écailles rebelles se dressent sur ce qui correspond à la tête de cette créature étrange.
A l'autre extrémité, on pourrait s'attendre à voir une queue. Et bien non. A l'autre extrémité de Roger, il y a cinq queues; queues, qui, au passage, forment une main. Une main aux doigts longs et mou, mais une main quand même. Cependant, il ne faut pas se fier aux apparences. Car Roger, après tout, est un tentacle rape... Dès que ses pulsions sexuelles prennent le dessus, il plante cette main dans le sol, et fait pousser des tentacle, de même couleur et même consistance que lui, de longueur, largeur, et taille variables. Il n'a pas encore le niveau pour faire des formes comme des crènelures dans ses tentacles.
Roger est tout de même raffiné (voir plus bas). Il porte des lunettes en demi-lune à la monture presque transparente pour lire, et porte parfois le haut de forme et le nœud papillon.

Caractère : Que voulez vous que je vous dise? C'est un tentacle rape! Il chasse en quête de proie à violer, à engrosser, à défoncer par tous les orifices possibles et inimaginables, ou sur qui simplement pratiquer la chirurgie plastique en élargissant les voix orales, annales et vaginales.
... Vous y avez cru hein? Bien sûr, il fait ça. Mais pas que. Faut pas croire. Roger est très intelligent. Et cultivé aussi. Et raffiné, bien sûr. Dans le privé, il lit des livres de philosophie, des traités de tous les sujets possible, des romans d'un peu tous les genres, et est un grand adepte de l'humour noir et grinçant, et des petites remarques discrètes qui peuvent vous faire passer pour le dernier des idiots. Car oui, Roger peut parler. Et plutôt bien. Il a dans la voix des airs de gentleman anglais. Il est également un grand amateur de thé et de nouilles chinoises.

Histoire : D'où viennent donc les tentacles, ces créatures de longueurs indéterminées dont le passe temps favoris, le seul but dans la vie est de violer et engrosser jeunes femmes et petits enfants? Aucune idée. Car Roger ne vient pas du même endroit.

Il est né, un jour, à la suite d'une masturbation de trop chez un jeune adolescent. Oui, Roger est le condensé de toutes les pensées perverses et sexuelles d'un ado en manque de fille. Que voulez-vous, on ne choisit pas ses parents... Au début, Roger n'était qu'un embryon. Un petit têtard perdu dans l'étang. Et, au fur et à mesure des masturbations de son géniteur, Roger grandissait. Peu à peu, il prenait des forces, et se cultivait grâce à cette fenêtre sur le monde qu'était l'écran d'ordinateur de son "père". Cette gestation dura plusieurs longues années. Le temps pour ce prépubère de grandir, et de devenir jeune homme.

Et là, ce fut la naissance à proprement parler de Roger. Ayant grandi et s'étant développé, il apparu, soudain, tombant sur le bureau face à celui qui lui avait involontairement donné la vie. Ce fut le choc. Autant pour l'un que pour l'autre. Après moult examens l'un de l'autre, discutions pour tenter de savoir comment ce phénomène était arrivé, et pincements pour vérifier que c'était bel et bien arrivé, le jeune homme dut vivre avec Roger, qui prenait plaisir à trôner sur son épaule comme un perroquet sur celle d'un capitaine pirate.
Étrangement, personne, que ce soit ses parents ou ses amis, ses professeurs ou la police, ne trouvèrent étrange la présence de ce tentacule sur l'épaule du garçon. Encore plus étrange, certains allaient jusqu'à devenir ami avec Roger. Croyant sombrer dans la folie, le géniteur de cette bête finit cependant par faire avec. Roger était là, on ne savait pas pourquoi, mais il était là. Et puisqu'il était un minimum civilisé, on l'acceptait.

Tout se gâta avec les premiers viols. Et oui, un tentacle rape, on ne l'empêche pas facilement de déchaîner sa vraie nature. Les premiers passèrent inaperçu. Et quand bien même ils étaient vus, les victimes avouèrent toutes avoir passé un bon moment, et avoir été consentantes. Consentantes. HÉRÉSIE! Comment un tentacle rape pouvait éprouver du plaisir à violer si les victimes étaient consentantes!? Impossible, et c'est bien pour ça que Roger sombra dans une grande période de dépression. Tous perdirent la joie de vivre en même temps que Roger, qui était devenu important dans le cœur de tous. Tous. Jusqu'au jour où les viols reprirent.
Et cette fois ci, toutes les victimes portaient plaintes. Toutes. Elles se plaignaient de douleur, d'avoir été violée contre leur volonté (hmm hmm...) et surtout, d'avoir été engrossées. Une vaste vague de haine déferla sur la ville, qui vint frapper à la porte de Roger pour lui faire la peau, à moins que celui-ci ne paye une pension. Seulement, il y avait un hic. Roger, depuis sa phase de dépression, n'avait violé personne. Pas une seule demoiselle n'avait eu le plaisir d'un doux contact avec ses tentacules longs et gros à souhait. Mais alors qui? Qui d'autre cela pouvait-il être? Personne ne crut Roger. Personne.

Fuyant ainsi le bureau des taxes et des fiscalités, Roger dut vivre caché. Caché, et malheureux. Celui qui était aimé était maintenant oublié et détesté. Et ça, Roger savait à cause de qui. Robert. Son cousin. Un tentacle rape imbu de lui même, et mégalomane à souhait. Un tentacle rape rose. Lui et Roger étaient en perpétuelle guerre pour savoir qui aurait le monopole des demoiselles. Et cette fois, Roger dut s'avouer vaincu.
Dégouté, écœuré, il prit la direction du soleil couchant, vers les terres du japon, pour retrouver le goût de vivre, et surtout, des jeune femmes et des opulentes poitrines à violer.

Situation de départ : Voyons, ayez un peu de jugeote...

Autres : Roger a le pouvoir de faire pousser un nombre quasi infini de tentacles en plantant sa main dans le sol. Ces tentacles ont une taille, longuer et largeur variable. Avec un peu d'entraînement, Roger pourrait être capable d'en faire des spéciaux, avec des pics dessus par exemple.
La matière dans laquelle est fait Roger est étrange. Suffisamment résistante pour provoquer la sensation d'un réel membre masculin, mais suffisamment molle au niveau du corps et de la tête pour rendre Roger insensible à tout choc.

Vous allez pleurer vos mères!

Pages: 1 [2]