16
Prélude / Re : Marmelade
« le: samedi 18 novembre 2023, 17:04:06 »
Bienvenue à toi !
Voir les derniers messages
Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.
17
Prélude / Re : Thanasia - Vampire et malédictions célestes [Belphy Mueller]
« le: mardi 26 septembre 2023, 14:42:46 »
Bienvenue à toi !
18
Les terres sauvages / Un coup de main ne mange pas de pain [ PV Mel Lynn ]
« le: dimanche 02 juillet 2023, 13:11:27 »
Plusieurs années s'étaient écoulé, plusieurs années d'errance, de périple, de recherche constante a chercher son peuple, sans jamais s'arrêter, sans jamais renoncer.
Klaus avait dut traverser de nombreuses contrées, foret, montagne, lacs et rivière, sans jamais trouver la moindre trace des siens. Si déjà cela n'avait pas été de tout repos, il fallait ajouter en même temps toutes les personnes qui s'étaient misent sur son chemin, qui l'avaient enchaîné, qui l'avaient attaqué.
Le temps n'avait donc pas été tendre avec lui, mais il était toujours là, toujours vivant, continuant sa quête. Ses écailles avaient reçu quelques éraflures et cicatrice supplémentaire depuis la dernière fois qu'il était passée dans cette région et quelques crane de plus c'était ajouté à sa ceinture.
Il marchait donc dans les bois en direction de l'odeur de village la plus proche, là-bas, il pourrait sûrement trouver quelqu'un pour lui indiquer un marchand d'esclaves, ou il pourrait extirper des informations sur son peuple s'il en a.
Mais pour le moment, il n'y était pas encore et d'ailleurs, un bruit se fit entendre ou plutot plusieurs.
Le crâne du Kroxigor se tourna en direction du bruit, cherchant du regard ce qui le causait à travers la végétation, écartant des branches de devant son regard en continuant de marcher. Là, il tomba sur un chemin de terre, lui dégageant la vu dans deux directions, un d'elles menant au vacarme de sabots et aux cris humains qu'il pouvait entendre.
La mâchoire de Klaus claqua quelques coups, son torse se bomba d'une grande inspiration alors que ses poings se refermèrent un coup avant de se détendre. Il savait très bien ce qui allait sûrement se passer, car cela se passait presque toujours ainsi lorsqu'il tombait sur des peaux fragiles. De la peur dans le regard, une envie de le dominer, de le mettre à genoux et de l'exploiter, mais comme d'habitude, il ne leur donnerait pas ce plaisir si facilement.
Quelques dizaines de pas de plus, il put enfin voir pourquoi il y avait un tel vacarme. Plusieurs personnes avaient l'air de pourchasser une autre en fonçant droit dans sa direction. Comment cela allait se résoudre ? Klaus en avait une certaine idée, mais restait à l'affût de toute surprise.
Klaus avait dut traverser de nombreuses contrées, foret, montagne, lacs et rivière, sans jamais trouver la moindre trace des siens. Si déjà cela n'avait pas été de tout repos, il fallait ajouter en même temps toutes les personnes qui s'étaient misent sur son chemin, qui l'avaient enchaîné, qui l'avaient attaqué.
Le temps n'avait donc pas été tendre avec lui, mais il était toujours là, toujours vivant, continuant sa quête. Ses écailles avaient reçu quelques éraflures et cicatrice supplémentaire depuis la dernière fois qu'il était passée dans cette région et quelques crane de plus c'était ajouté à sa ceinture.
Il marchait donc dans les bois en direction de l'odeur de village la plus proche, là-bas, il pourrait sûrement trouver quelqu'un pour lui indiquer un marchand d'esclaves, ou il pourrait extirper des informations sur son peuple s'il en a.
Mais pour le moment, il n'y était pas encore et d'ailleurs, un bruit se fit entendre ou plutot plusieurs.
Le crâne du Kroxigor se tourna en direction du bruit, cherchant du regard ce qui le causait à travers la végétation, écartant des branches de devant son regard en continuant de marcher. Là, il tomba sur un chemin de terre, lui dégageant la vu dans deux directions, un d'elles menant au vacarme de sabots et aux cris humains qu'il pouvait entendre.
La mâchoire de Klaus claqua quelques coups, son torse se bomba d'une grande inspiration alors que ses poings se refermèrent un coup avant de se détendre. Il savait très bien ce qui allait sûrement se passer, car cela se passait presque toujours ainsi lorsqu'il tombait sur des peaux fragiles. De la peur dans le regard, une envie de le dominer, de le mettre à genoux et de l'exploiter, mais comme d'habitude, il ne leur donnerait pas ce plaisir si facilement.
Quelques dizaines de pas de plus, il put enfin voir pourquoi il y avait un tel vacarme. Plusieurs personnes avaient l'air de pourchasser une autre en fonçant droit dans sa direction. Comment cela allait se résoudre ? Klaus en avait une certaine idée, mais restait à l'affût de toute surprise.
19
Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: jeudi 21 avril 2022, 01:00:12 »
Klaus se laissait aller complètement, un long bruit rauque sortant de sa gorge, tandis que son poing, accroché au box, continuait à broyer le bois, ainsi que son mandrin déversait son plaisir en elle. Sa semence ne cessait de la remplir pendant quelques seconde, gonflant à chaque salve son membre encore plus gros qu'il ne l'était déjà, ne laissant presque aucune place au fruit de leurs ébats pour être là.
Son souffle puissant se faisait sentir dans la pièce, venant frapper les murs et glissant sur le sol en faisant virevolter les quelques brins de paille qui n'étaient pas soit accroché les uns aux autres, soi qui ne collait pas à la peau transpirante de la jeune femme.
Sa main qui tenait le box ainsi que celle qui la tenait, elles se relâchèrent légèrement, reprenant plus contrôle de sa force et de sa présence. La grande Ankhti pouvait être fier de lui se dit-il, cette femelle, bien que petite, avait été sacrément résistante et il ne l'avait pas tué pendant leur accouplement, cela fera sûrement une bonne descendance pour le futur.
Sa tête se pencha ensuite vers elle, venant la sentir, se régalant de l'odeur de victoire que représentaient les hormones et la transpiration, ainsi que leur fluide corporel à ses yeux.
Sa grande langue vint ensuite lécher entièrement le visage de la jeune femme d'un coup, mais c'est alors qu'à ce moment-là, un crie parvint du fond de l'étable.
Relevant la tête, Il put voir une femme apeurer qui se mit rapidement à courir vers la sorti, ce qui lui signifiait qu'il allait devoir vite partir de la sans tarder s'ils ne voulaient pas que la garde ne les attrapes. Et c'est donc ce qu'il fit, se dégageant de la jeune femelle, il l'attrapa délicatement pour la placer sur ses épaules, ils seraient toujours plus rapides ainsi dans les rues de cet endroit pour fuir.
Son souffle puissant se faisait sentir dans la pièce, venant frapper les murs et glissant sur le sol en faisant virevolter les quelques brins de paille qui n'étaient pas soit accroché les uns aux autres, soi qui ne collait pas à la peau transpirante de la jeune femme.
Sa main qui tenait le box ainsi que celle qui la tenait, elles se relâchèrent légèrement, reprenant plus contrôle de sa force et de sa présence. La grande Ankhti pouvait être fier de lui se dit-il, cette femelle, bien que petite, avait été sacrément résistante et il ne l'avait pas tué pendant leur accouplement, cela fera sûrement une bonne descendance pour le futur.
Sa tête se pencha ensuite vers elle, venant la sentir, se régalant de l'odeur de victoire que représentaient les hormones et la transpiration, ainsi que leur fluide corporel à ses yeux.
Sa grande langue vint ensuite lécher entièrement le visage de la jeune femme d'un coup, mais c'est alors qu'à ce moment-là, un crie parvint du fond de l'étable.
Relevant la tête, Il put voir une femme apeurer qui se mit rapidement à courir vers la sorti, ce qui lui signifiait qu'il allait devoir vite partir de la sans tarder s'ils ne voulaient pas que la garde ne les attrapes. Et c'est donc ce qu'il fit, se dégageant de la jeune femelle, il l'attrapa délicatement pour la placer sur ses épaules, ils seraient toujours plus rapides ainsi dans les rues de cet endroit pour fuir.
20
Le temple Shinto / Re : Aux prières d'une nuit enneigée { Pv ~ Klaus }
« le: vendredi 17 septembre 2021, 03:02:03 »
Le feu protecteur continuait de crépiter, accompagnant les paroles du Kroxigor, quand, la première réponse qui lui fut donnée lui apparut forte étrange et ne lui répondait pas vraiment.
La seule chose qu'il pouvait se rendre compte à l'instant, c'est qu'elle était en train d'avoir beaucoup trop froid pour son état, car un éternuement n'ait jamais dû à rien, surtout sans soleil pour faire croire que cela viendrait de la lumière. Mais la suite en fut plus intéressante, complète et lui permis d'en apprendre beaucoup plus sur la prêtresse.
Elle n'était donc pas de cette contrée à l'origine et, dans ce pays si différent du sien, elle n'avait jamais pu accomplir sa tâche et rendre hommage au dieu de la façon d'ont elle était censé le faire. Maintenant, il comprenait bien cette tenue si proche de l'inexistence. C'était un symbole de sa foi, un outil pour communiquer avec son dieu et désormais, il se trouvait bête de lui avoir demandé de se changer pour ne pas avoir froid.
Rendre grâce aux créateurs pouvait être une épreuve très dure et là en était la preuve, ce qui lui faisait avoir d'autant plus de respect envers elle. Sur cette réflexion, il s'affessa un peu, venant s'incliner avec respect avant de lui répondre
" Je vous pris de m'excuser de ma demande indélicate, j'aurais dû deviner que votre tenue était en lien avec cela et n'aurait pas du manquer de respect envers votre rituel."
Sur ses mots, il la regarda un instant, la voyant avec cette expression totalement humaine. Il l'avait vu de nombreuse fois, mais n'en saisissait pas toujours le sens, certain gardé leur bouche fermé, d'autre montrait leurs dents. Pendant un temps, quand il voyait cela, il pensait à un signe de défis, ou de colère, mais rien ne collait jamais avec dans la posture que ces personnes arborées en faisant cela.
Sur ce, elle se remit à lui parler, lui disant qu'elle n'allait sûrement pas continuer ses prières désormais et qu'elle pouvait très bien chercher ses vêtements. Cela ne lui plaisait pas, il avait l'impression d'avoir interrompu cela, il avait l'impression d'être fautif, et donc que cela attirerait la colère de son dieu, peut être même d'ankhti.
" Je ... si je vous ai empêché de finir vos prières, j'espère que vous acceptiez mes excuses et je ne peux vous empêcher de reprendre si vous le devez."
Au moins, cela était dit et que les dieux lui en soit témoins, il ne l’empêchait pas d'accomplir sa tâche par sa volonté, mais par la force du destin ou de celle d'un dieu quelconque ayant choisi de l'envoyer ici pour une raison qui lui restait obscure pour le moment. Il l'a regardait donc se mettre à chercher, puis la vit s'arrêter d'un seul trait, comme figé. Klaus se mit donc à pencher la tête, se demandant ce qu'il y avait, puis, l'entendit dire qu'elle les avaient laissé dans la pièce d'à côté et apparemment elle ne se sentait pas vraiment d'aller les chercher dans cette obscurité. Il se dit à cet instant que cela ne serait que juste réparation que de l'aider à retrouver ses vêtements et de faire en sorte qu'elle soit en bonne santé, donc, sur cette pensée, il se releva du feu, commençant à marcher en direction de l'entrée, le planché craquant, souffrant sous ses pas avant d'entendre à nouveau la voix de la prêtresse cacher tout cela.
Klaus n'était pas très convaincu, l'entendant renoncer à trouver ses affaires, mais lui, n'en ferait rien et continua sa route. La température était tout de même très désagréable loin du feu, mais prit le temps qu'il lui fallait pour chercher dans l'entrée. De son regard aiguisé et de son odorat tout aussi affûté, il en scruta le moindre recoin, mais ne trouva rien. Trouvant cela étrange tout de même, il se mit à respirer un peu plus fort, cherchant alors l'odeur distinct de la prêtresse autour de lui.
Biensur, il y avait celle de ses traces de pas, puis celle d'Enothis elle même, mais un autre sillon de senteur l'attira de nouveau dans la pièce principal, le ramenant à l'intérieur avant de finir par trouver ce qu'il cherchait.
Un tas de vêtements trempé, glacé, commençant à se durcir sous l'effet du froid et au touché désagréable dans les mains du saurien. A cet instant, il se tourna vers elle, sans dire un mot, puis regarda de nouveau les vêtements. Il avait maintenant beaucoup de dettes envers elle et allait devoir faire beaucoup de choses pour réparer ses actions. Et c'est donc, toujours sans un mot, qu'il marcha de nouveau vers le feu, se plaçant encore en face d'elle, il s'assit tranquillement. Mais cette fois, penchant sa queue sur le côté, lui faisant faire un arc de cercle, il se mit à défroisser les affaires de la prêtresse, faisant tomber gèle et neige de cela. Quand tout fut déjà nettoyé de l'empreinte de l'hiver, il enfila les vêtements comme il le pouvait au bout de son appendice, puis la plaça au-dessus du feu, se mettant donc à les réchauffer eux aussi pour les faire sécher.
" Vous êtes digne de votre titre, vous êtes fort oui. Mais une question cours dans mon esprit. Pourquoi avoir rejoins un pays si froid et ..... est-ce que cet endroit est ainsi tout le temps ? "
La seule chose qu'il pouvait se rendre compte à l'instant, c'est qu'elle était en train d'avoir beaucoup trop froid pour son état, car un éternuement n'ait jamais dû à rien, surtout sans soleil pour faire croire que cela viendrait de la lumière. Mais la suite en fut plus intéressante, complète et lui permis d'en apprendre beaucoup plus sur la prêtresse.
Elle n'était donc pas de cette contrée à l'origine et, dans ce pays si différent du sien, elle n'avait jamais pu accomplir sa tâche et rendre hommage au dieu de la façon d'ont elle était censé le faire. Maintenant, il comprenait bien cette tenue si proche de l'inexistence. C'était un symbole de sa foi, un outil pour communiquer avec son dieu et désormais, il se trouvait bête de lui avoir demandé de se changer pour ne pas avoir froid.
Rendre grâce aux créateurs pouvait être une épreuve très dure et là en était la preuve, ce qui lui faisait avoir d'autant plus de respect envers elle. Sur cette réflexion, il s'affessa un peu, venant s'incliner avec respect avant de lui répondre
" Je vous pris de m'excuser de ma demande indélicate, j'aurais dû deviner que votre tenue était en lien avec cela et n'aurait pas du manquer de respect envers votre rituel."
Sur ses mots, il la regarda un instant, la voyant avec cette expression totalement humaine. Il l'avait vu de nombreuse fois, mais n'en saisissait pas toujours le sens, certain gardé leur bouche fermé, d'autre montrait leurs dents. Pendant un temps, quand il voyait cela, il pensait à un signe de défis, ou de colère, mais rien ne collait jamais avec dans la posture que ces personnes arborées en faisant cela.
Sur ce, elle se remit à lui parler, lui disant qu'elle n'allait sûrement pas continuer ses prières désormais et qu'elle pouvait très bien chercher ses vêtements. Cela ne lui plaisait pas, il avait l'impression d'avoir interrompu cela, il avait l'impression d'être fautif, et donc que cela attirerait la colère de son dieu, peut être même d'ankhti.
" Je ... si je vous ai empêché de finir vos prières, j'espère que vous acceptiez mes excuses et je ne peux vous empêcher de reprendre si vous le devez."
Au moins, cela était dit et que les dieux lui en soit témoins, il ne l’empêchait pas d'accomplir sa tâche par sa volonté, mais par la force du destin ou de celle d'un dieu quelconque ayant choisi de l'envoyer ici pour une raison qui lui restait obscure pour le moment. Il l'a regardait donc se mettre à chercher, puis la vit s'arrêter d'un seul trait, comme figé. Klaus se mit donc à pencher la tête, se demandant ce qu'il y avait, puis, l'entendit dire qu'elle les avaient laissé dans la pièce d'à côté et apparemment elle ne se sentait pas vraiment d'aller les chercher dans cette obscurité. Il se dit à cet instant que cela ne serait que juste réparation que de l'aider à retrouver ses vêtements et de faire en sorte qu'elle soit en bonne santé, donc, sur cette pensée, il se releva du feu, commençant à marcher en direction de l'entrée, le planché craquant, souffrant sous ses pas avant d'entendre à nouveau la voix de la prêtresse cacher tout cela.
Klaus n'était pas très convaincu, l'entendant renoncer à trouver ses affaires, mais lui, n'en ferait rien et continua sa route. La température était tout de même très désagréable loin du feu, mais prit le temps qu'il lui fallait pour chercher dans l'entrée. De son regard aiguisé et de son odorat tout aussi affûté, il en scruta le moindre recoin, mais ne trouva rien. Trouvant cela étrange tout de même, il se mit à respirer un peu plus fort, cherchant alors l'odeur distinct de la prêtresse autour de lui.
Biensur, il y avait celle de ses traces de pas, puis celle d'Enothis elle même, mais un autre sillon de senteur l'attira de nouveau dans la pièce principal, le ramenant à l'intérieur avant de finir par trouver ce qu'il cherchait.
Un tas de vêtements trempé, glacé, commençant à se durcir sous l'effet du froid et au touché désagréable dans les mains du saurien. A cet instant, il se tourna vers elle, sans dire un mot, puis regarda de nouveau les vêtements. Il avait maintenant beaucoup de dettes envers elle et allait devoir faire beaucoup de choses pour réparer ses actions. Et c'est donc, toujours sans un mot, qu'il marcha de nouveau vers le feu, se plaçant encore en face d'elle, il s'assit tranquillement. Mais cette fois, penchant sa queue sur le côté, lui faisant faire un arc de cercle, il se mit à défroisser les affaires de la prêtresse, faisant tomber gèle et neige de cela. Quand tout fut déjà nettoyé de l'empreinte de l'hiver, il enfila les vêtements comme il le pouvait au bout de son appendice, puis la plaça au-dessus du feu, se mettant donc à les réchauffer eux aussi pour les faire sécher.
" Vous êtes digne de votre titre, vous êtes fort oui. Mais une question cours dans mon esprit. Pourquoi avoir rejoins un pays si froid et ..... est-ce que cet endroit est ainsi tout le temps ? "
21
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 13 août 2021, 16:37:25 »
Pas tout neuf, mais je dix que je suis toujours aussi fort . A qui veux
22
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 13 août 2021, 16:30:25 »
7 vous ecrivez trop vite, pas pratique les clavier de peau fragile pour les kroxi
23
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 13 août 2021, 16:14:17 »
deux steak pour moi s'il vous plait
24
Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: vendredi 13 août 2021, 13:42:24 »
Ses grognements, ses ronronnements de plaisir se succédait, se suivait en un long râle accompagné de vibration dans son buste pendant son accouplement. Tout son corps lui disait de s'agripper fortement à elle, de la mordre pour s'accrocher comme ils sont censés le faire entre Kroxigor pendant la saison des crues, et d'y aller plus fort, plus vite et plus profondément.
Mais il arrivait encore à contrôler ses pulsions, bien que difficilement et ne voulait pas la tuer, car ce qu'une femelle ou un mâle Kroxigor pouvait supporter pendant leur accouplement, il doutait que ce soit son cas. La petite danse qu'elle faisait contre lui, ondulant sur son membre, lui envoyait de longue décharge dans le bas-ventre et le long de son dos, l'excitant, rendant sa lance encore plus dur qu'elle ne l'était déja. Ses narines s’agrandissaient et rétrécissaient rapidement sous sa respiration puissante, continuant ses assauts avec une envie indéniable, venant presser avec passion la pointe de son membre dans son cocon accueillant et brûlant de désir.
Ses bras vinrent ensuite l'enlacer, passant tout autour de cette petite personne qui lui paraissait si fragile, mais si délicieuse, , la collant contre lui comme pour la faire suivre les courbes de son corps, sentir toute sa chaleur, que se soit celle de son intimité, de sa poitrine, comme le reste de son corps et de son souffle contre lui. Il se surprit par la suite, à venir mordiller une de ses oreilles du bout de ses canines, mais s'arrêta bien, devant se contenir alors que tout son corps souhaitait le contraire.
Son membre pulsait d'envie en elle, prêt à la fertiliser à nouveau et son cœur battait plus fort que n'importe quels champs de bataille possible, il choisit alors de se tourner vers l'un des murs en bois du box, puis accéléra à nouveau. Le bruit de leurs intimités se faisait de plus en plus bruyant, entre le claquement de la chair s'échauffant l'une contre l'autre, celui de leur fluide se mélangeant, glissant, jouant entre leur peau sensibilisé au maximum et leurs gémissements en plus de cela.
Klaus ne pouvait plus se retenir et, gardant une main autour d'elle, l'autre vint s'agripper à la paroi du box, se lançant dans un assaut final, attaquant les portes de son temple avec toute la fougue qu'il pouvait, tandis que des gargarismes de plaisir se laissait entendre pendant que sa gueule se relevait vers les cieux. Son corps fini par lâcher, s'abandonnant à cet instant pour venir une deuxième fois délivrer sa semence en elle, pulsant, infusant coups après coups aux plus profonds de sa matrice tout cela tandis que sa main broyait le bois au-dessus d'eux.
Mais il arrivait encore à contrôler ses pulsions, bien que difficilement et ne voulait pas la tuer, car ce qu'une femelle ou un mâle Kroxigor pouvait supporter pendant leur accouplement, il doutait que ce soit son cas. La petite danse qu'elle faisait contre lui, ondulant sur son membre, lui envoyait de longue décharge dans le bas-ventre et le long de son dos, l'excitant, rendant sa lance encore plus dur qu'elle ne l'était déja. Ses narines s’agrandissaient et rétrécissaient rapidement sous sa respiration puissante, continuant ses assauts avec une envie indéniable, venant presser avec passion la pointe de son membre dans son cocon accueillant et brûlant de désir.
Ses bras vinrent ensuite l'enlacer, passant tout autour de cette petite personne qui lui paraissait si fragile, mais si délicieuse, , la collant contre lui comme pour la faire suivre les courbes de son corps, sentir toute sa chaleur, que se soit celle de son intimité, de sa poitrine, comme le reste de son corps et de son souffle contre lui. Il se surprit par la suite, à venir mordiller une de ses oreilles du bout de ses canines, mais s'arrêta bien, devant se contenir alors que tout son corps souhaitait le contraire.
Son membre pulsait d'envie en elle, prêt à la fertiliser à nouveau et son cœur battait plus fort que n'importe quels champs de bataille possible, il choisit alors de se tourner vers l'un des murs en bois du box, puis accéléra à nouveau. Le bruit de leurs intimités se faisait de plus en plus bruyant, entre le claquement de la chair s'échauffant l'une contre l'autre, celui de leur fluide se mélangeant, glissant, jouant entre leur peau sensibilisé au maximum et leurs gémissements en plus de cela.
Klaus ne pouvait plus se retenir et, gardant une main autour d'elle, l'autre vint s'agripper à la paroi du box, se lançant dans un assaut final, attaquant les portes de son temple avec toute la fougue qu'il pouvait, tandis que des gargarismes de plaisir se laissait entendre pendant que sa gueule se relevait vers les cieux. Son corps fini par lâcher, s'abandonnant à cet instant pour venir une deuxième fois délivrer sa semence en elle, pulsant, infusant coups après coups aux plus profonds de sa matrice tout cela tandis que sa main broyait le bois au-dessus d'eux.
25
Le temple Shinto / Re : Aux prières d'une nuit enneigée { Pv ~ Klaus }
« le: jeudi 01 juillet 2021, 00:46:23 »
Un ville non loin ? Mmmmh, Klaus réfléchissait à cette nouvelle, mais en l'écoutant, se disait que cela reviendrait à ce qu'il se passe lorsqu'il se retrouve dans des villes de son monde, des peau fragiles courant de partout, des peau fragile couvert de métal cherchant à le vaincre, des manieur de magie lorsqu'il aurait beaucoup trop affronté certain d'entre eux.
Il avait l'impression de ne jamais pouvoir trouver d'endroit tranquille, reposant, ou il pouvait vivre sans la sournoiserie et le manque d'honneur des peaux fragiles. L'endroit où il se trouvait lui plaisait, paisible, presque naturel, une senteur agréable à ses naseaux, le seul et grand hic était ce froid qui ne lui plaisait pas du tout et qui lui faisait se coller au feu qui l'empêchait de s'engourdir de trop.
Et l'esprit lui confirma ce qu'il pensait, les " humains ", créature qui peuple ce monde ne sont pas amical, tandis qu'elle lui dit qu'il pourrait rentrer chez lui lorsque le jour viendra ouvrir la porte de glace qui le retenait dans ce monde. Un grognement de mécontentement se fit entendre du tréfond de sa gueule fermé, il savait très bien ou le chemin aquatique allait le ramener et allait devoir réfléchir et se souvenir des lieux ou il était auparavant pour ne pas se faire avoir en arrivant, surtout s'il se retrouvait à nouveau fatigué comme la première fois.
Mais pendant que ses pensées étaient tourné la dessus, il fut interrompu en voyant son interlocutrice se diriger de nouveau vers lui. Penchant la tete d'interrogation, il lui accorda sa confiance pour le moment. Ses gestes étaient lents et paisibles, la voyant venir poser sa mains sur les écailles en bande qui couvrait son torse, le laissant sentir la chaleur qui émanait de son corps de sang chaud, suivi d'une phrase qu'il ne comprit pas, avant de la voir se reculer à nouveau.
Il se demandait bien ce qu'elle avait pu lui faire, puis, l'entendit lui dire qu'elle devait laisser place à la petite prêtresse, ayant besoin de repos. Klaus, à cet instant, vint poser ses deux mains sur ses propres genoux, puis s'inclina respectueusement avant de répondre à cela.
" Que la Déesse mère vous protège."
C'est sur ses mots qu'il put la voir s'assoupir d'un coup devant lui, ce que le saurien trouva amusant, la voyant toujours debout, mais endormit, avant de la voir rouvrir les yeux, son regard, sa posture et son odeur changeant de nouveau. Il salua en retour la petite prêtresse à nouveau parmi eux, tandis qu'elle reprenait la parole avant d’éternuer.
" Vous devriez porter plus de tissus sur votre peau petite prêtresse, je sais que les peaux fragiles n'aime pas le froid eux non plus et je trouve le tissu qui vous englobe très léger pour cette température."
Sa tête se pencha ensuite de l'autre côté pour reprendre la parole.
" Vous avez bien d'autres tissus non ? "
Klaus se disait qu'il aaurait été bête de sa part que d'entre venue dans un endroit si froid sans tissus chaud pour se couvrir, à moins qu'elle n'en ait pas eut le droit et qu'elle doivent endurer cela comme une forme de purification. Mais, ce n'est que maintenant qu'il se rendit compte d'une chose, ce n'était plus l'esprit qui lui parlait, mais la petite prêtresse et pourtant, il la comprenait parfaitement et réalisa alors ce qu'elle avait dut faire en posant sa main sur son torse, ouvrir son âme à la sienne pour que la barrière de la langue physique ne soit plus un obstacle, en tout cas, c'est ce qu'il pensait.
Il avait l'impression de ne jamais pouvoir trouver d'endroit tranquille, reposant, ou il pouvait vivre sans la sournoiserie et le manque d'honneur des peaux fragiles. L'endroit où il se trouvait lui plaisait, paisible, presque naturel, une senteur agréable à ses naseaux, le seul et grand hic était ce froid qui ne lui plaisait pas du tout et qui lui faisait se coller au feu qui l'empêchait de s'engourdir de trop.
Et l'esprit lui confirma ce qu'il pensait, les " humains ", créature qui peuple ce monde ne sont pas amical, tandis qu'elle lui dit qu'il pourrait rentrer chez lui lorsque le jour viendra ouvrir la porte de glace qui le retenait dans ce monde. Un grognement de mécontentement se fit entendre du tréfond de sa gueule fermé, il savait très bien ou le chemin aquatique allait le ramener et allait devoir réfléchir et se souvenir des lieux ou il était auparavant pour ne pas se faire avoir en arrivant, surtout s'il se retrouvait à nouveau fatigué comme la première fois.
Mais pendant que ses pensées étaient tourné la dessus, il fut interrompu en voyant son interlocutrice se diriger de nouveau vers lui. Penchant la tete d'interrogation, il lui accorda sa confiance pour le moment. Ses gestes étaient lents et paisibles, la voyant venir poser sa mains sur les écailles en bande qui couvrait son torse, le laissant sentir la chaleur qui émanait de son corps de sang chaud, suivi d'une phrase qu'il ne comprit pas, avant de la voir se reculer à nouveau.
Il se demandait bien ce qu'elle avait pu lui faire, puis, l'entendit lui dire qu'elle devait laisser place à la petite prêtresse, ayant besoin de repos. Klaus, à cet instant, vint poser ses deux mains sur ses propres genoux, puis s'inclina respectueusement avant de répondre à cela.
" Que la Déesse mère vous protège."
C'est sur ses mots qu'il put la voir s'assoupir d'un coup devant lui, ce que le saurien trouva amusant, la voyant toujours debout, mais endormit, avant de la voir rouvrir les yeux, son regard, sa posture et son odeur changeant de nouveau. Il salua en retour la petite prêtresse à nouveau parmi eux, tandis qu'elle reprenait la parole avant d’éternuer.
" Vous devriez porter plus de tissus sur votre peau petite prêtresse, je sais que les peaux fragiles n'aime pas le froid eux non plus et je trouve le tissu qui vous englobe très léger pour cette température."
Sa tête se pencha ensuite de l'autre côté pour reprendre la parole.
" Vous avez bien d'autres tissus non ? "
Klaus se disait qu'il aaurait été bête de sa part que d'entre venue dans un endroit si froid sans tissus chaud pour se couvrir, à moins qu'elle n'en ait pas eut le droit et qu'elle doivent endurer cela comme une forme de purification. Mais, ce n'est que maintenant qu'il se rendit compte d'une chose, ce n'était plus l'esprit qui lui parlait, mais la petite prêtresse et pourtant, il la comprenait parfaitement et réalisa alors ce qu'elle avait dut faire en posant sa main sur son torse, ouvrir son âme à la sienne pour que la barrière de la langue physique ne soit plus un obstacle, en tout cas, c'est ce qu'il pensait.
26
Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: lundi 07 juin 2021, 23:13:08 »
Sa voix était aussi agréable à entendre que ses gémissements, même si, il ne comprenait que " oui " dans tout ce qu'elle disait.
Sa peau était aussi douce sous ses immenses mains qui la soulevait qu'elle était sucré sous les passages de sa langue sur son corps, venant épouser la moindre courbe qui venait à passer en dessous d'elle, sentant la pointe vibrante de chaleur de sa poitrine glisser contre tandis que sa verge continuait à venir vigoureusement donner de toute sa longueur possible en elle.
Ses petites mains étaient toute aussi agréables à sentir sur ses écailles, que ce soit celle, plate lisse et un peu plus molle de son torse comme celle beaucoup plus résistante, épaisse et un peu plus rugueuse de son dos. Son regard se posa par la suite dans le sien, ralentissant à cet instant son rythme, il se mit à se retirer d'elle avant de revenir dans la seconde, la pénétrant de nouveau jusqu'à ce que la pointe de sa lance percute le fond de son temple sacré.
Il trouva cette sensation délicieuse, laissant un rugissement bas et grave se faire entendre avant de reprendre l'accouplement, utilisant maintenant toute la longueur possible de son membre pour ses allées et venues en elle, s'arrêtant à chaque fois au bord de son gland avant de revenir sous un mouvement ondulé de son bassin en elle, une main restant sur son bassin tandis que l'autre se glissait dans son dos.
Sa peau était aussi douce sous ses immenses mains qui la soulevait qu'elle était sucré sous les passages de sa langue sur son corps, venant épouser la moindre courbe qui venait à passer en dessous d'elle, sentant la pointe vibrante de chaleur de sa poitrine glisser contre tandis que sa verge continuait à venir vigoureusement donner de toute sa longueur possible en elle.
Ses petites mains étaient toute aussi agréables à sentir sur ses écailles, que ce soit celle, plate lisse et un peu plus molle de son torse comme celle beaucoup plus résistante, épaisse et un peu plus rugueuse de son dos. Son regard se posa par la suite dans le sien, ralentissant à cet instant son rythme, il se mit à se retirer d'elle avant de revenir dans la seconde, la pénétrant de nouveau jusqu'à ce que la pointe de sa lance percute le fond de son temple sacré.
Il trouva cette sensation délicieuse, laissant un rugissement bas et grave se faire entendre avant de reprendre l'accouplement, utilisant maintenant toute la longueur possible de son membre pour ses allées et venues en elle, s'arrêtant à chaque fois au bord de son gland avant de revenir sous un mouvement ondulé de son bassin en elle, une main restant sur son bassin tandis que l'autre se glissait dans son dos.
27
Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: mercredi 02 juin 2021, 21:29:29 »
Klaus se mit à rugir lourdement lorsque son membre vint de nouveau s'écraser au plus profond de sa partenaire. La sensation était aussi intense que celle de vaincre une armée à lui tout seul. Si puissant, si prenant, mais si difficile à contrôler. Il devait faire attention à ne pas devenir frénétique sous toutes ces sensations que s'accoupler avec cette petite personne lui procurait.
La chaleur de son intimité enserrant son membre, la douceur et les reliefs étiré par la taille inadéquate de son corps par rapport au sien, frottant contre lui, leur fluide échangé aidant à garder cela agréable, laissant son imposant membre continuer son œuvre en elle, leur bruits anatomique changeant sous le son de tout cela.
Le goût de son corps était autant un délice que leurs ébats, tout le parfum qu'il en savourait, les hormones et phéromones imprégné sur elle, transpirant sous chacun de ses coups de bassin, sous chaque fois que sa lance venait presser avec désir au fond d'elle. Klaus se mettait à émettre comme un ronronnement, mais bien moins mignon que celle d'un chat, un ronronnement lourd, grave, faisant autant vibrer tout son corps que celui de sa partenaire.
Sa langue refit un passage sur ses courbes, prenant la forme des reliefs de son corps en les arpentant, puis, se servant de son bras qui la soutenait, il la releva pour qu'elle soit à la vertical, tout comme lui. Ses bras larges et musclés, il pouvait aisément la porter à bonne hauteur sans se fatiguer, maintenant assied et elle tenu en l'air par ses énormes mains venant la saisir au hanches avant de prendre des mouvements de bassin plus ample et plus ondulé sous ce nouvel angle et sous les nouvelles sensation que lui faisait ressentir le corps de sa partenaire sur sa verge dans cette position.
La chaleur de son intimité enserrant son membre, la douceur et les reliefs étiré par la taille inadéquate de son corps par rapport au sien, frottant contre lui, leur fluide échangé aidant à garder cela agréable, laissant son imposant membre continuer son œuvre en elle, leur bruits anatomique changeant sous le son de tout cela.
Le goût de son corps était autant un délice que leurs ébats, tout le parfum qu'il en savourait, les hormones et phéromones imprégné sur elle, transpirant sous chacun de ses coups de bassin, sous chaque fois que sa lance venait presser avec désir au fond d'elle. Klaus se mettait à émettre comme un ronronnement, mais bien moins mignon que celle d'un chat, un ronronnement lourd, grave, faisant autant vibrer tout son corps que celui de sa partenaire.
Sa langue refit un passage sur ses courbes, prenant la forme des reliefs de son corps en les arpentant, puis, se servant de son bras qui la soutenait, il la releva pour qu'elle soit à la vertical, tout comme lui. Ses bras larges et musclés, il pouvait aisément la porter à bonne hauteur sans se fatiguer, maintenant assied et elle tenu en l'air par ses énormes mains venant la saisir au hanches avant de prendre des mouvements de bassin plus ample et plus ondulé sous ce nouvel angle et sous les nouvelles sensation que lui faisait ressentir le corps de sa partenaire sur sa verge dans cette position.
28
Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: mardi 25 mai 2021, 01:12:20 »
Toute sa fureur et son désir s'étaient déversé en elle, finissant plaquée au plus profond de son intimité par son instinct qui lui disait de le faire, de bloquer le plus possible de sa semence pour la fertiliser.
Les Kroxigor étant un peuple peu nombreux, leur instinct les poussait à faire tout ce qui était possible pour être sûr que leurs ébats soient productif. Il se mit, la regardant attentivement, analysant son regard, son visage et essayant de garder en mémoire les réactions qui apparaissaient dessus, à la sentir caresser ses mains toujours agrippées à ses hanches.
Puis, il la vit se mettre à caresser sa poitrine en le regardant, le faisant pencher sa tête en la regardant, cherchant à comprendre ce que cela voulait dire. Sa respiration se fit plus lourde approchant son museau de sa nuque, de son corps . L'odeur avait changé, mélangeant maintenant celle de la sueur de la petite personne avec celle de leur fluide corporel, ainsi qu'une forte odeur de phéromone. Vous en savoir plus, Klaus laissa sa langue glisser sur la nuque de sa partenaire, goûtant sa peau et, ses papilles lui confirmèrent cela. La petite personne, en plus d'être résistante, était endurante et avait encore envie de se reproduire.
C'était donc un signe que l'instinct du Kroxigor ne pouvait ignorer, envoyant un grand frémissement de désir dans son corps tandis que son membre lui, restait toujours dur.
Sa main droite vint alors agripper ce qu'il restait du haut de la jeune femme et dans un geste rapide et puissant, l'arracha d'elle, le déchirant en un grand lambeau pour le jeter sur le côté sans aucune considération. Là, son dos se courba, venant pencher sa tête au plus bas de son corps avant de laisser sortir sa langue de tout son long, venant la faire glisser sur son corps, léchant son ventre, puis sa poitrine. Il se délectait de son goût, de son parfum, mais surtout de sa chaleur, tandis que sa langue passait sur la pointe de ses seins.
Il s'était décidé, leurs ébats n'étaient pas encore terminés pour le moment, venant glisser sa main droite le long de son dos, sa main poser sous la tête de la petite personne pour la soutenir avant de lentement se retirer d'elle, mais, s'arrêtant juste à la pointe de son membre, revint de toute son ampleur et dans une force puissante mais supportable pour un humain au plus profond d'elle ecrasant son membre au fond de son intimité, grognant de plaisir à cet instant.
Les Kroxigor étant un peuple peu nombreux, leur instinct les poussait à faire tout ce qui était possible pour être sûr que leurs ébats soient productif. Il se mit, la regardant attentivement, analysant son regard, son visage et essayant de garder en mémoire les réactions qui apparaissaient dessus, à la sentir caresser ses mains toujours agrippées à ses hanches.
Puis, il la vit se mettre à caresser sa poitrine en le regardant, le faisant pencher sa tête en la regardant, cherchant à comprendre ce que cela voulait dire. Sa respiration se fit plus lourde approchant son museau de sa nuque, de son corps . L'odeur avait changé, mélangeant maintenant celle de la sueur de la petite personne avec celle de leur fluide corporel, ainsi qu'une forte odeur de phéromone. Vous en savoir plus, Klaus laissa sa langue glisser sur la nuque de sa partenaire, goûtant sa peau et, ses papilles lui confirmèrent cela. La petite personne, en plus d'être résistante, était endurante et avait encore envie de se reproduire.
C'était donc un signe que l'instinct du Kroxigor ne pouvait ignorer, envoyant un grand frémissement de désir dans son corps tandis que son membre lui, restait toujours dur.
Sa main droite vint alors agripper ce qu'il restait du haut de la jeune femme et dans un geste rapide et puissant, l'arracha d'elle, le déchirant en un grand lambeau pour le jeter sur le côté sans aucune considération. Là, son dos se courba, venant pencher sa tête au plus bas de son corps avant de laisser sortir sa langue de tout son long, venant la faire glisser sur son corps, léchant son ventre, puis sa poitrine. Il se délectait de son goût, de son parfum, mais surtout de sa chaleur, tandis que sa langue passait sur la pointe de ses seins.
Il s'était décidé, leurs ébats n'étaient pas encore terminés pour le moment, venant glisser sa main droite le long de son dos, sa main poser sous la tête de la petite personne pour la soutenir avant de lentement se retirer d'elle, mais, s'arrêtant juste à la pointe de son membre, revint de toute son ampleur et dans une force puissante mais supportable pour un humain au plus profond d'elle ecrasant son membre au fond de son intimité, grognant de plaisir à cet instant.
29
Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: jeudi 20 mai 2021, 23:12:24 »
Son odeur était de plus en plus forte, ses cries aussi, mais cela lui paraissait d'être de plus en plus facile de s'accoupler avec elle, sentant ses assauts, toujours aussi resserré, glisser, frapper et appuyer en elle avec beaucoup plus d'aisance. Son goût était succulent et tandis qu'il continuait ses coups de bassin puissants, il pouvait la sentir se mouvoir l'excitant d'autant plus.
Mais d'un coup, ses cries se firent beaucoup plus bruyant, tandis qu'il sentait dans ses mains sa partenaire bouger étrangement, avant d'etre de nouveau surpris lorsqu'il ressentit sa verge se faire enserré beaucoup plus que ce qui n'était déjà le cas. Cela fut suffisant pour jouer encore plus sur son propre plaisir, mais aussi sa conscience, faisant appelle à ses instincts primaires à se lâcher.
Ses mains se resèrent sur le corps de la jeune femme, tandis que sa langue continua un instant de jouer avec la sienne avant de venir glisser sur sa nuque, puis de rugir de plaisir.
Il se mit alors, sentant d'innombrable sensation, picotement et fourmillement se mettre à s'emparer de son bas ventre, à accélérer encore, ses assauts sauvages venant frapper les portes de sa féminité avec fougue. Il était au bord de ne plus se retenir, devant faire attention à la force que ses mains exerçaient sur elle et refermant sa gueule, la verrouillant pour éviter qu'un réflexe malencontreux ne vienne lui faire refermer sa gueule sur elle.
Les accouplements de Kroxigor sont déjà très sportif entre eux et il arrive très souvent qu'il y ait des blessures à ce moment-là, alors s'il ne pouvait se contrôler, il ne donnait pas chair de la vie d'une petite personne comme celle avec qui il s'accouplait à l'instant.
Et c'est bien le dénouement de toute cette envie incontrôlable qui finit par arriver, sentant une vague de désir et de plaisir dans son bas ventre venir l'irradier de partout, totalement attisé par l'orgasme de sa partenaire que Klaus se mit à ralentir dans ses va et viens, mais à les rendre bien plus puissant, profond et viril au fond de son intimité, sentant qu'il ne pouvait aller plus loin, un râle lourd se faisant lentement monter avant d'accélérer à nouveau lorsque son orgasme vint à se libérer.
Son membre imposant pulsait en elle tandis que des vagues de son offrande venaient en elle, le faisant grossir un peu plus à chaque jet, mais ne s'arrêtant pas pour autant dans ses va et viens. Ce fut, lorsque la dernière pulsation arriva que le Kroxigor, vint plaquer son membre au fond du sien par réflexe, voulant s'assurer par cela une bonne fécondation.
Sa respiration était puissante, capable de soulever une charrette seulement de cette façon. Il n'était pas fatigué, loin de là, mais tout ce plaisir, cette sensation et toute cette nouveauté avait été très forte pour lui. Ses bras et la majorité des muscles de son corps étaient gonflé, crispé, tendu et dut attendre quelques secondes avant de se relâcher.
Il la regarda alors, vérifiant qu'il ne lui avait pas fait de mal, sa poigne se relâchant légèrement et put voir avec plaisir qu'il n'avait qu'un peu déchiré le tissu de ses vêtements.
Mais d'un coup, ses cries se firent beaucoup plus bruyant, tandis qu'il sentait dans ses mains sa partenaire bouger étrangement, avant d'etre de nouveau surpris lorsqu'il ressentit sa verge se faire enserré beaucoup plus que ce qui n'était déjà le cas. Cela fut suffisant pour jouer encore plus sur son propre plaisir, mais aussi sa conscience, faisant appelle à ses instincts primaires à se lâcher.
Ses mains se resèrent sur le corps de la jeune femme, tandis que sa langue continua un instant de jouer avec la sienne avant de venir glisser sur sa nuque, puis de rugir de plaisir.
Il se mit alors, sentant d'innombrable sensation, picotement et fourmillement se mettre à s'emparer de son bas ventre, à accélérer encore, ses assauts sauvages venant frapper les portes de sa féminité avec fougue. Il était au bord de ne plus se retenir, devant faire attention à la force que ses mains exerçaient sur elle et refermant sa gueule, la verrouillant pour éviter qu'un réflexe malencontreux ne vienne lui faire refermer sa gueule sur elle.
Les accouplements de Kroxigor sont déjà très sportif entre eux et il arrive très souvent qu'il y ait des blessures à ce moment-là, alors s'il ne pouvait se contrôler, il ne donnait pas chair de la vie d'une petite personne comme celle avec qui il s'accouplait à l'instant.
Et c'est bien le dénouement de toute cette envie incontrôlable qui finit par arriver, sentant une vague de désir et de plaisir dans son bas ventre venir l'irradier de partout, totalement attisé par l'orgasme de sa partenaire que Klaus se mit à ralentir dans ses va et viens, mais à les rendre bien plus puissant, profond et viril au fond de son intimité, sentant qu'il ne pouvait aller plus loin, un râle lourd se faisant lentement monter avant d'accélérer à nouveau lorsque son orgasme vint à se libérer.
Son membre imposant pulsait en elle tandis que des vagues de son offrande venaient en elle, le faisant grossir un peu plus à chaque jet, mais ne s'arrêtant pas pour autant dans ses va et viens. Ce fut, lorsque la dernière pulsation arriva que le Kroxigor, vint plaquer son membre au fond du sien par réflexe, voulant s'assurer par cela une bonne fécondation.
Sa respiration était puissante, capable de soulever une charrette seulement de cette façon. Il n'était pas fatigué, loin de là, mais tout ce plaisir, cette sensation et toute cette nouveauté avait été très forte pour lui. Ses bras et la majorité des muscles de son corps étaient gonflé, crispé, tendu et dut attendre quelques secondes avant de se relâcher.
Il la regarda alors, vérifiant qu'il ne lui avait pas fait de mal, sa poigne se relâchant légèrement et put voir avec plaisir qu'il n'avait qu'un peu déchiré le tissu de ses vêtements.
30
Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: dimanche 16 mai 2021, 21:04:40 »
Les muscles de son ventre se contractèrent d'excitation lorsqu'il ressentit le corps de sa partenaire se contracter autour de son membre. Il se sentait déjà très serré en elle et cela lui prodiguer de nombreuse vague de plaisir à chacune de ses allées et venues en elle, mais lorsqu'il la sentie ainsi, se resserrant autour de lui, ce fut bien pire.
Les abdos se contractant, son bas-ventre et son bassin se mirent aussi à fourmiller d'une étrange sensation, comme une urgence, une envie indomptable d'en vouloir plus, uns force montant en lui sous chaques coups de bassin qu'il donnait. Le bras qui la faisait se cambrer se tonifia, sa grande main venant se refermer sur son flanc, tandis que sa deuxième s'arrêta de fournir un appuie au sol pour faire de même. Ses deux grande main pouvaient couvrir toute la longueur de ses flancs de chaque coté, l'aggrippant tout en l'enlaçant.
Bien placé sur ses jambes, il y prenait appuie avant de se mettre à la soulever légèrement de leur lit de paille. Désormais, son corps l'exigeant toujours plus, il se servait de ses bras pour guider la petite personne aux oreilles pointues, tout en continuant de mouvoir son bassin, les bras donnant la vitesse, tandis que son déhanché donnait en même temps de l'angle et du mouvement dans ses assaut virile. Son souffle était de plus en plus lourd, venant sortir puissamment de sa gueule tandis que sa langue continuait à danser avec la sienne, ce contact étrange et inconnue continuait à l'exciter grandement.
Dans cette position, il se servait maintenant de tout son corps pour assouvir ses pulsions instinctives, cet appel de la nature qu'il ne pouvait résister, rendant ses assauts toujours plus puissants, mais devant se contenir en même temps. Il ne connaissait pas la constitution de celle avec qui il était en train de se reproduire, mais il devinait qu'elle n'était pas aussi solide qu'une Kroxigor et donc devait continuer à se contenir pour ne pas la blesser, voir pire. C'est donc, sous cette pensée que, chaque fois qu'une vaque de plaisir se jetait sur lui, tout son corps devenait plus sauvage pendant une fraction de seconde avant de pouvoir reprendre son contrôle, qu'à chaque fois que la pointe de sa lance venait à se presser ardemment au fond de son intimité, il ne pouvait que vouloir cela encore et encore.
Les abdos se contractant, son bas-ventre et son bassin se mirent aussi à fourmiller d'une étrange sensation, comme une urgence, une envie indomptable d'en vouloir plus, uns force montant en lui sous chaques coups de bassin qu'il donnait. Le bras qui la faisait se cambrer se tonifia, sa grande main venant se refermer sur son flanc, tandis que sa deuxième s'arrêta de fournir un appuie au sol pour faire de même. Ses deux grande main pouvaient couvrir toute la longueur de ses flancs de chaque coté, l'aggrippant tout en l'enlaçant.
Bien placé sur ses jambes, il y prenait appuie avant de se mettre à la soulever légèrement de leur lit de paille. Désormais, son corps l'exigeant toujours plus, il se servait de ses bras pour guider la petite personne aux oreilles pointues, tout en continuant de mouvoir son bassin, les bras donnant la vitesse, tandis que son déhanché donnait en même temps de l'angle et du mouvement dans ses assaut virile. Son souffle était de plus en plus lourd, venant sortir puissamment de sa gueule tandis que sa langue continuait à danser avec la sienne, ce contact étrange et inconnue continuait à l'exciter grandement.
Dans cette position, il se servait maintenant de tout son corps pour assouvir ses pulsions instinctives, cet appel de la nature qu'il ne pouvait résister, rendant ses assauts toujours plus puissants, mais devant se contenir en même temps. Il ne connaissait pas la constitution de celle avec qui il était en train de se reproduire, mais il devinait qu'elle n'était pas aussi solide qu'une Kroxigor et donc devait continuer à se contenir pour ne pas la blesser, voir pire. C'est donc, sous cette pensée que, chaque fois qu'une vaque de plaisir se jetait sur lui, tout son corps devenait plus sauvage pendant une fraction de seconde avant de pouvoir reprendre son contrôle, qu'à chaque fois que la pointe de sa lance venait à se presser ardemment au fond de son intimité, il ne pouvait que vouloir cela encore et encore.