Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Bayonetta

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Bayonetta

Pages: 1 [2] 3 4 ... 6
16
Le sexe entre sorcières pouvait durer. Il s’agissait de femmes expertes en la matière, car, s’il y avait bien un cliché exact sur les sorcières, c’était bien leur appétit pour le sexe. Les sorcières, par exemple, n’hésitaient pas à organiser des orgies démoniaques, des sabbats où elles invoquaient des succubes et des incubes pour coucher énergiquement avec ces démons. Des moments très jouissifs, exquis à souhait. Entre Lucie et Bayonetta, il allait donc falloir se montrer à la hauteur, mais ce n’était pas comme si Bayonetta doutait des performances de Lucie en la matière. Son amante allait se montrer très largement à la hauteur de ses espérances, et poursuivit donc ses coups de reins, accélérant effectivement le rythme. Des frissons traversèrent le corps de Bayonetta, qui posa ses mains sur les hanches de Lucie, se crispant dessus, en sentant celle-ci la prendre, son bassin claquant contre le sien, son corps se lovant au sien.

Allongées l’une contre l’autre, elles ne faisaient plus qu’un, enfermées dans une exquise bulle de plaisir. Lucie la prenait, et les mains de Bayonetta se déplacèrent, se posant sur les fesses de Lucie, s’appuyant dessus, ses doigts se crispant ensuite dessus, malaxant son fessier.

« Hmmm... »

Bayonetta se mit à gémir longuement, et ses lèvres se collèrent à celles de Lucie, l’une de ses mains remontant brièvement pour serrer les cheveux de Lucie, permettant aux deux de s’échanger un nouveau baiser.

« Là, Lucie, hmmm... Ouuuii, c’est comme ça... Hnnn... Comme ça qu’il faut le faire ! »

Toutefois, Bayonetta n’était pas qu’une simple midinette qui laisserait bien sagement Lucie lui faire goulûment l’amour. Sa main s’activa donc, et gifla le postérieur de la femme, s’abattant sur son délicieux cul, comme pour lui montrer qu’elle avait du répondant. La queue de Lucie se perdait dans son intimité ruisselante, son sexe s’entourant de la mouille de la sorcière.

« Vas-y, Lucie, baise-moi fort, haaaaa... »

Il ne fallait pas se faire d’illusions ; les deux femmes allaient jouir ensemble. Il n’y avait aucune autre alternative pour Bayonetta, qui calquait son orgasme sur celui de Lucie. C’était, là encore, une petite habitude entre sorcières, une manière de rester égale l’une à l’autre. Et, pendant que Lucie continuait ses coups de bassin, Bayonetta, elle, continua à palper son délicieux cul, le malaxant et le pressant, écartant les fesses de Lucie l’une de l’autre, comme pour mieux les appréhender... Un contact tout simplement délicieux, à n’en pas douter.

17
Tekhos Metropolis / Re : Soirée tekhane [Hana D.Va Song]
« le: lundi 11 juin 2018, 07:34:45 »
La présence du lait ne manqua pas de surprendre Hana, qui alla jusqu’à faire glousser Bayonetta en lui demandant si elle n’était pas enceinte. Une question pleine d’innocence, qui ne put que faire sourire la sorcière. Elle sourit donc affectueusement à Hana, et caressa d’une main son visage, glissant ses doigts sur ses cheveux, avant de ramener son visage contre son sein.

« Bien sûr que non, petit bout, les enfants, ce n’est pas pour moi. Mais je suis une sorcière, tu sais... »

Tout était dit par cette simple explication. La magie pulsait naturellement dans le corps de Bayonetta, et elle l’exprimait comme elle le voulait. Maîtrisant la magie rose, il n’était donc pas difficile pour Byaonetta de gonfler ses seins de lait, et Hana y retourna donc, venant encore le boire. C’était en effet un lait assez particulier, car aphrodisiaque, très délicieux à boire. Bayonetta rougissait en sentant Hana la traire, soulageant la douleur qu’elle ressentait dans ses seins, et qui pointait dans ses tétons. La main d’Hana se déplaça ensuite lentement, venant caresser l’entrejambes de la sorcière.

Hana revint ensuite sur ce lait, complimentant la qualité de ce dernier, ce qui ne manqua pas d’arracher un sourire à Bayonetta. La sorcière se pinça ensuite les lèvres, et descendit sa main, caressant le dos d’Hana.

« Et encore, ma chérie, lui promit la sorcière, tu n’as rien vu... »

Hana allait vite comprendre que le sexe avec une sorcière pouvait être... Bien plus incroyable qu’une séance en réalité virtuelle. Elle n’était d’ailleurs pas surprise d’apprendre que les Tekhanes se livraient à du sexe virtuel. Peut-être même aurait-elle envie, elle aussi, d’essayer ça ? Après son séjour à Alfheim, Bayonetta avait bien besoin de se détendre, a fortiori avec une partenaire aussi belle qu’Hana. Elle laissa donc cette dernière boire tout le lait de Bayonetta, chargeant son corps d’aphrodisiaque et de magie rose. Maintenant, il n’y aurait plus aucune échappatoire. Hana était chargée de magie rose, remplie de désir.

La sorcière l’observa encore, et posa une main sur son menton, relevant le visage de la femme.

« Embrasse-moi, Hana... »

Avec tout le lait qu’Hana avait bu, non seulement elle serait très excitée, mais encore plus encline à obéir à Bayonetta. Les deux femmes se partagèrent ainsi un nouveau baiser, langoureux, où leurs langues jouèrent l’une contre l’autre. Bayonetta posa l’une de ses mains sur la chevelure d’Hana, serrant ses doigts dessus, et déplaça l’autre contre l’ourlet de ses fesses, pinçant sa chair, serrant fortement son cul.

Et, juste après ce baiser, alors que leurs visages étaient encore très proches l’un de l’autre, Bayonetta titilla sa curiosité :

« Qu’est-ce qu’une Tekhane douce comme toi a bien pu faire dans tes séances de sexe virtuel, hum ? Je suis curieuse de le savoir, dis-moi... »

18
Les sorcières avaient rarement été des femmes dociles ou soumises. Dans des sociétés patriarcales, elles juraient, car elles étaient les héritières des temps anciens, ces anciennes civilisations dominées par le matriarcat, par le sexe féminin. Il ne fallait donc pas s’attendre à ce que le sexe entre sorcières se passe en douceur. Il était naturel qu’elles se provoquent, qu’elles se titillent mutuellement, qu’elles se cherchent, et, en l’état, c’était très précisément ce qui allait se passer entre les deux femmes. Lucie la pénétrait donc, et Bayonetta se pinça les lèvres, gémissant de plaisir en sentant ce membre s’enfoncer en elle, déformant ses lèvres intimes, ainsi que ses douces, mais non moins fermes, mains, qui se posèrent sur son fessier, malaxant son cul, se crispant dessus. Lucie  n’y allait toutefois pas aussi rapidement et aussi énergiquement qu’elle le devrait, ralentissant parfois le rythme, ce qui n’échappa nullement à la sorcière, dont les soupirs se transformèrent en légers grognements de frustration.

La femme alla jusqu’à cesser de remuer en elle, maintenant sa queue tendue dans son con, immobile, fixe, arrachant à Bayonetta de nouveaux frissons. La main de la sorcière se déplaça, et elle gifla à son tour les délicieuses fesses de Lucie, comprenant bien que cette dernière la narguait, la provoquait, jouant avec ses nerfs.

« Que tu crois, ma belle... J’ai couché avec des amants bien plus énergiques que toi, hmmm... »

La provocation, c’était aussi l’une des spécialités de Bayonetta. Elle n’allait pas changer parce qu’elle était en train de s’envoyer en l’air ! Sa main, après avoir giflé le cul de Lucie, se serra doucement dessus, et l’autre de ses mains remonta pour empoigner ses cheveux. Elle l’embrassa alors, écartant légèrement les jambes, remuant très lentement son bassin, comme pour inciter instinctivement Lucie à remuer... Ce qui eut lieu, et arracha à Bayonetta un nouveau frisson de plaisir.

Bien décidée à lui montrer qu’elle ne se laissait pas faire, Bayonetta rajouta ensuite, moqueuse, son corps frottant contre celui de la femme :

« Ah, enfin, hmmm... Tu comptes passer la seconde, Lucie, j’espère ? »

19
De simples doigts pour une femme comme Bayonetta... Voilà qui était presque une offense ! Ou une provocation ! En tout cas, Bayonetta en voulait plus, son corps en demandait plus. Le sexe n’avait jamais rebuté les sorcières comme elle, bien au contraire. De fait, les aventures sexuelles de la sorcière auraient sans aucun doute de quoi choquer bien des gens et permettre de remplir plusieurs sagas pornographiques très osées. Même si Bayonetta avait encore du mal à se souvenir de son passé au sein du clan de l’Umbra, elle savait toutefois que l’hermaphrodisme n’avait jamais été un art difficile d’accès pour les sorcières. Il n’y avait donc aucune raison pour que ce soit différent avec Lucie. Autrement dit, Bayonetta n’avait plus envie de jouer. Elle était suffisamment excitée comme ça, et voulait donc passer aux choses sérieuses.

Le comprenant, Lucie acheva de se déshabiller. Un corps magnifique, des formes anguleuses, divinement proportionnées... Les sorcières avaient toujours cherché à prendre soin de leur apparence. Le mythe de la vieille sorcière au nez crochu et au dos bossu était une invention destinée à les dénigrer, sûrement un mensonge émanant des Chrétiens et des Inquisiteurs, comme pour dire que les belles sorcières étaient des menteuses... Mais, ce qui intéressa surtout Bayonetta, à tel point qu’elle s’en mordilla les lèvres, ce fut, outre la magnifique poitrine de Lucie, ses formes bien proportionnées, la belle verge qui se mit à pointer le long de son bassin.

« Miam... » commenta-elle même.

La sorcière se rapprocha de Bayonetta, qui écarta les jambes, facilitant ainsi l’accès à sa fleur intime. Du fait des caresses digitales de Lucie, celle-ci était déjà bien trempée. Bayonetta n’attendait plus qu’à ce que la femme se glisse pour de bon en elle, et elle soupira encore, fermant les yeux en sentant la queue caresser sa peau, s’approchant lentement... Puis se glissa en elle. À ce contact délicieux, les mains de la sorcière se serrèrent sur le lit, et un délicieux soupir s’échappa de ses lèvres. Lucie s’enfonça en elle, venant la remplir, ne faire plus qu’un avec elle, déclenchant une irrésistible vague chez Bayonetta, comme un coup de fouet qui se dilua dans tout son corps. Plaisir et douleur fusionnèrent ensemble dans un même élan, transperçant la femme.

Bayonetta soupira donc, les joues rosissant de plaisir, et tourna la tête de côté, avant de rouvrir les yeux, et observa Lucie en souriant.

« Haaaa... Vas-y, ma belle, hmmm... Montre-moi... Hnnn... Combien... Mon corps t’inspire ! »

L’amour entre sorcières... C’était toujours un régal !

20
Lucie était joueuse, mais elle s’attaquait à un sacré morceau. Bayonetta. Une sorcière sulfureuse, très expérimentée, qui risquait de mettre à dure épreuve l’endurance et l’énergie de Lucie. Une expérience intense attendait la belle sorcière à la combinaison rouge, qui retira le haut de sa combinaison, et se rapprocha ensuite de Bayonetta, venant lui souffler un baiser. La femme y répondit, avant de frémir en sentant la main de Lucie se rapprocher de son intimité. La sorcière était bien décidée à passer aux choses sérieuses avec elle, et Bayonetta se pinça les lèvres, soupirant lentement en sentant que les choses sérieuses allaient enfin pouvoir commencer.

Et, comme pour confirmer ce qu’elle pensait, la main de Lucie s’enfonça soudain dans ses lèvres intimes, ses doigts venant explorer l’intérieur de son intimité. Bayonetta gémit doucement, un soupir de plaisir s’échappant de ses lèvres à ce contact délicieux.

« Haaaa... Ouiii, hmmm... »

L’intéressée remua doucement sur place, faisant frotter sa combinaison contre le lit, et cligna encore des yeux. Le plaisir commençait à monter en elle, mais... Est-ce que Lucie pensait sincèrement que ce seul contact tactile serait suffisant ? Si oui, son amante était bien naïve.

« Tu sais, haaaa... Il... Il va falloir bien plus que tes doigts de fée, Lucie, pour me faire grimper aux rideaux ! »

Elle la provoquait, elle la titillait, désireuse de voir jusqu’où Lucie était prête à aller avec elle. Après tout, c’était elle qui avait décidé de prendre les rênes. Bayonetta la laissait faire, ce qui ne l’empêchait évidemment pas de la titiller et de la provoquer.

21
Bayonetta continuait à savourer le contact du corps de Lucie, ses coups de langue, ses doigts... C’était comme un feu qui montait progressivement, la lave qui jaillissait du volcan, approchant à chaque instant de l’éruption. Lucie savait indéniablement y faire, et, peu à peu, Bayonetta s’absorbait dans le monde fascinant du désir et de la passion sexuelle. Elle ne cherchait pas à lutter, elle ne s’accrochait pas contre le courant, et laissait même la marée l’emporter. Soupirant longuement, la sorcière sentit ainsi le plaisir croître progressivement en elle, et frémit légèrement en sentant les doigts de l’une des mains de Lucie titiller les siens.

« Oh, Lucie... »

Indéniablement, c’était une excellente manière de commencer les choses. Les doigts de la sorcière se serrèrent sur ceux de Lucie, et Bayonetta gémit encore. Son corps accompagnait les mouvements buccaux de la femme, et, à vrai dire, il y avait bien trop longtemps, à son goût, que Bayonetta n’avait pas ouvert les cuisses pour une autre femme... Presque une semaine ! C’était totalement impensable pour elle, et elle était donc très heureuse de pouvoir enfin se soulager de toute cette tension, de cette frustration sexuelle qui sommeillait dans son corps.

« Hmmm... Lucie, haaaa... »

Gémissant encore, Bayonetta laissa le plaisir l’envahir. Avec sa main libre, elle serra les cheveux de Lucie, et se laissa aller au bonheur suprême, venant jouir contre ses lèvres avec plaisir, et avec l’envie claire d’aller plus loin encore avec Lucie...

22
Bayonetta respectait la tradition des sorcières. Lucie était son invitée, il était donc normal, non seulement qu’elles fassent l’amour (c’était après tout une manière normale pour se saluer entre sorcières), mais qu’elle la laisse diriger leurs ébats. C’était le privilège d’être une invitée, et ce encore plus après leur folle aventure à Kūkai. Elles avaient très clairement mérité cet after, et Bayonetta comptait bien savourer aussi longtemps que possible la délicieuse Lucie. Celle-ci se pressait tendrement contre elle, et, encore une fois, la belle sorcière frémit au contact de leurs combinaisons, à cet onctueux crissement de leur combinaison respective. Elle aimait ce contact, et elle frémit en sentant les doigts de Lucie tirer sur la fermeture Éclair de sa combinaison... Depuis quand y en avait-il une ici ? Peut-être que Bayonetta l’avait fait apparaître par magie ? Après tout, cette combinaison était entièrement animée par la magie. En tout cas, la sorcière frémit doucement en sentant sa comparse, à califourchon sur elle, s’amuser à abaisser la fermeture, avec une lenteur sciemment calculée, et clairement destinée à enflammer Bayonetta.

« Ha, ma chérie, tu... Tu sais t’y prendre pour m’impatienter... »

Elle frémit en sentant ensuite les mains de Lucie filer sous la combinaison, et venir serrer ses délicieuses fesses. Bayonetta soupira encore, remuant un peu son corps pour mieux accompagner les doigts inquisiteurs de Lucie. Elle posa ses mains sur les hanches de la femme, et esquissa un nouveau gémissement quand les mains de Lucie, après avoir palpé son cul, se déplacèrent pour caresser son intimité. Plusieurs frissons la traversèrent à ce contact, tout son corps se mettant en osmose. Bayonetta se pinça doucement les lèvres, et caressa avec sa main gantée la joue de la femme, lui souriant. Elle sentit ensuite le doigt de la femme sur ses lèvres, et le lécha légèrement, avant de le mordiller.

Une lueur amusée dans les yeux, elle embrassa ensuite tendrement sa consœur, en posant sa main sur sa nuque, afin de s’en servir comme appui. Les lèvres de Lucie s’avéraient extrêmement agréables, comme on pouvait s’y attendre. Bayonetta y revenait après tout à chaque fois avec plaisir.

« Mmmhmm... » soupira-t-elle longuement.

Après ce nouveau baiser, elle se mordilla délicatement les lèvres, et papillonna des yeux.

« Vas-y, Lucie, je suis toute à toi... »

Mais ça, la jeune femme avait sans doute déjà dû le remarquer...

23
Quand on était aussi belle que Bayonetta, et qu’on se trimbalait avec une combinaison moulante en latex, et qu’on avait un talent naturel pour les positions suggestives en plein combat, il ne fallait pas s’attendre à ce qu’on fasse preuve de chasteté. Avec la sorcière, c’était même plutôt tout l’inverse ! Elle offrait à Lucie une manière assez insolite de commencer leur relation sexuelle : en se rhabillant ! Au moins, la sorcière assumait clairement son fétichisme, et elle sourit en voyant Lucie accepter sans difficulté sa proposition. La belle sorcière à la longue chevelure blanche, qui continuait à lui rappeler furieusement Jeanne, se redressa donc, et alla mettre sa combinaison derrière le paravent. Assise sur le lit, Bayonetta avait croisé les jambes, et observait le décor. Elle observa sa silhouette, fit doucement craquer ses doigts, sifflotant légèrement, rejetant l’envie de prendre une sucette, et vit finalement Lucie revenir... Avec la combinaison légèrement ouverte sur le haut, mettant ainsi en valeur ses seins. Bayonetta sourit malicieusement en la voyant se rapprocher, avant que Lucie ne lui parle de pénétrer dans son esprit.

« Hein ? Que... ? »

Mais les questions de Bayonetta moururent dans sa gorge lorsque son amante bondit sur elle. Elle soupira en sentant l’agréable corps de Lucie s’abattre sur le sien, et les deux femmes finirent allongées sur le lit, leurs langues se rejoignant ensemble dans un long et torride baiser. Une main sur les cheveux de Lucie, Bayonetta déplaça l’autre, et caressa le creux du dos de la femme, descendant ainsi jusqu’à l’ourlet de ses fesses, qu’elle pressa doucement, faisant crisser la combinaison.

En souriant ensuite, elle rajouta, tout en continuant à malaxer le cul de Lucie :

« Je suis une grande fétichiste, tu sais... Toi aussi, non ? »

Bayonetta aurait pu prendre les devants, bien sûr, mais, vu comment la femme lui avait sauté dessus, elle se disait que Lucie avait sans aucun doute envie d’agir. Et puis, c’est elle qui était en-dessous, dans une position de passivité... Elle avait donc hâte de voir ce que Lucie comptait faire !

24
Le meilleur moyen de lutter contre la tentation, c’était d’y céder, disait-on. Un proverbe que Bayonetta appliquait continuellement chez elle. Cette grande hédoniste s’amusait du comportement de Lucie. Elle l’avait soigné, en effet. Visiblement, Lucie ne maîtrisait pas aussi bien la magie blanche qu’elle, ce qui avait, en réalité, plutôt tendance à l’amuser. Esquissant un léger sourire, elle sentit la femme l’embrasser, et ferma doucement les yeux à ce délicieux contact. Lucie avait de délicieuses lèvres, qui avaient un goût de fraise... Ou peut-être de cerise. Elle répondit en tout cas à son baiser, avec plaisir, et sourit encore quand Lucie lui demanda où sa tenue était passée.

« Eh bien, pour te soigner, j’ai dû te l’enlever, ma belle, mais... Tu te doutes bien que je n’allais pas jeter une si belle tenue, non ? »

Elle remua un doigt, ce qui ouvrit la porte de l’armoire à côté d’elles. La combinaison rouge de Lucie était là, accrochée à un cintre, avec ses cuissardes et ses gants à côté. Bayonetta avait pris soin de bien les ranger, et même de les nettoyer. L’élégance et la beauté s’accompagnaient chez elle d’une discipline dans l’hygiène indiscutable. C’est comme ça qu’on restait au top, et qu’on continuait à être la séduisante et sulfureuse sorcière qu’elle était habituellement ! La sorcière se déplaça donc, et libéra Lucie de son poids, faisant léviter la combinaison rouge.

Un nouveau sourire se dessina sur ses lèvres, et elle souleva les vêtements de Lucie, les posant sur le lit, avant de se redresser. La sorcière s’écarta du lit, libérant donc sa consœur de son poids.

« Rassure-toi, Lucie, je te veux dans ta belle tenue... Pour pouvoir te faire l’amour dedans, et mieux te l’enlever. »

La salle comprenait un éventail pour que Lucie puisse se changer, si elle voulait se défaire du regard curieux et pervers de Bayonetta... Mais peut-être que, après tout, la présence de Bayonetta ne la dérangerait pas...

25
Tekhos Metropolis / Re : Soirée tekhane [Hana D.Va Song]
« le: lundi 30 avril 2018, 00:43:16 »
Sentait-elle l’inexpérience de sa partenaire ? Peut-être... En la matière, Bayonetta n’allait pas mentir, ou feindre la vérité. Elle, elle était loin d’être inexpérimentée ! Femme déterminée, sorcière accomplie, Bayonetta usait volontiers de ses formes, et, quand on voyait à quel point elle avait un comportement sexualisé, que ce soit dans ses accoutrements, ou dans sa manière de se battre, il était évident que le sexe ne l’effrayait pas. Bien au contraire ! C’était une grande amie, et elle était ravie de la faire partager à Hana. La délicieuse Tekhane se pressait contre elle, jouait avec ses seins, frottant son corps contre le sien. Le corps nu de Bayonetta, à l’exception de ses jambes et de ses bras, se frottait contre le sien, et Hana put sentir les seins de Bayonetta se durcir. De quoi donner à l’espiègle sorcière des idées, car elle finit par inviter la Tekhane à se coller à elle, et à retourner embrasser ses seins.

« Là, viens... Laisse-toi faire, Hana... »

La jeune Tekhane, si héroïque face aux créatures célestes, suivait docilement la sorcière. Elle pressa ainsi son corps contre le sien, caressant d’une mains ses cheveux, et usa d’un petit tour magique... Qui fit qu’Hana, en goûtant à son téton, dut soudain sentir le sein de Bayonetta grossir, se gonflant, avant de libérer de ses glandes mammaires un délicieux lait aphrodisiaque.

« Là, mon bébé, viens goûter... »

C’était un lait très particulier. Il n’était pas aussi raffiné et succulent que le lait d’une Ushi, mais chargé en magie rose. Hana s’y cramponna donc, et, pendant qu’elle le faisait, Bayonetta déplaça son autre main, celle qui ne s’appuyait pas sur les cheveux de la femme, pour la nicher entre ses cuisses. Y trouvant là une zone sensible et humide, elle y frotta davantage ses doigts, en enfonçant deux dans l’intimité de la femme, et serra entre-temps ses doigts sur ses cheveux.

Le plaisir afflua dans le corps de Bayonetta au contact de cette bouche avide qui gobait son lait, et elle déposa un baiser sur le front de la jeune Tekhane.

« Hmmmm, ma belle, haaaaa... Bois, ma belle Hana, ma petite chérie... Tu es entre de bonnes mains ici, je vais m’occuper de toi bien comme il le faut, ma belle Tekhane d’amour... »

26
Elle n’était plus dans le cimetière, mais où donc ? Sa question amena brusquement le chat à se ronronner. Le chaton noir s’était amusé à lécher les doigts de Lucie, et, suite à la question de cette dernière, se redressa donc, pour se rapprocher d’elle :

« Mraaawww... »

Le corps du chat changea alors, et se mit à grossir, à grandir, à enfler... Et Lucie vit alors Bayonetta apparaître sous ses yeux, comme par magie. La sorcière se mit à califourchon sur son corps, et la regarda en souriant, une lueur amusée dans les yeux. Elle posa brusquement un doigt sur les lèvres de Lucie, lui intimant le silence.

« Allons, tu n’imaginais quand même pas qu’une sorcière comme moi ne maîtrisait pas la magie blanche, chérie ? J’ai soigné ton corps, et j’ai veillé sur toi. Mais, quand je suis trop longtemps sous une forme animale, je mets parfois un peu de temps avant de me rappeler que je ne suis pas une chatte. »

C’était pour ça que Bayonetta limitait les transformations animales, car il y avait toujours un risque que, à force d’être un animal, elle en oublie son humanité. Mine de rien, il existait des cas, et certains sorciers s’amusaient d’ailleurs à définitivement renoncer à leur humanité en se transformant irrémédiablement en tigre, en panthère, ou en lion. Les ramener à un état humain était ensuite extrêmement difficile. La magie était très clairement une force dangereuse, qui dépassait les hommes... Mais il en fallait plus pour décourager les hommes de l’utiliser, après tout.

Quoi qu’il en soit, Bayonetta revint à la situation actuelle, et déplaça sa main, caressant le visage de Lucie.

« Je nous ai amené dans la demeure d’un ami pour que tu puisses te reposer. Lui est... En week end avec ses enfants dans les Appalaches, je crois. »

Enzo disposait d’une très belle demeure dans le New Jersey. Comme quoi, être proche de certains démons comme Rodin permettait de pouvoir avoir un niveau de vie correct. La sorcière se pencha ensuite doucement contre Lucie, faisant crisser sa combinaison.

« Toutefois, je dois bien reconnaître que la magie blanche n’est pas ma spécialité... Alors, il faut bien que je m’assure que tu ailles vraiment bien. »

Et, joignant le geste à la parole, elle s’empressa de l’embrasser tendrement...

27
La bataille contre l’ectoplasme se poursuivait avec hargne. Bayonetta l’attaquait à distance, essayant de le distraire pour permettre à Lucie de rejoindre le collier. Néanmoins, la femme se montra fort peu prudente. Dans l’idéal, Bayonetta aurait été toute indiquée pour rejoindre le collier, vu qu’elle pouvait changer de forme, mais Lucie se rua vers le collier. La sorcière, de son côté, continua à user de l’Envoûtement, attaquant les tentacules, et tira sur le torse du monstre. Sous l’effet de l’Envoûtement, le corps du monstre devenait en effet sensible, y compris à ses balles magiques, mais, pour chaque tentacule détruit, d’autres revenaient. La jeune sorcière se battait avec acharnement, évitant ine xtremis les tentacules.

Elle en esquiva notamment un en pliant les genoux vers l’arrière, et le tentacule frôla ses seins, lui faisant prendre pendant quelques secondes une posture extrêmement sensuelle. Elle attaqua ensuite, Shuraba tranchant le tentacule. Bayonetta entendit alors Lucie hurler, et crispa les dents.

« Lucie ! »

Le corps de sa camarade magique disparaissait sous les plis de l’ectoplasme, et elle fut sévèrement blessée, un tentacule l’envoyant s’écraser douloureusement sur le dos. Un autre allait l’achever, mais Bayonetta tira dessus, ralentissant le temps pour cela, et coupa le tentacule en deux, sauvant Lucie d’un coup fatal. La femme la rejoignit ensuite, un bras désarticulé. Bayonetta serra les dents, et laissa alors la magie filer en elle.

Lucie lança le collier en hauteur, et Bayonetta le vit approcher d’elle, puis l’accueillit d’un coup de pied l’envoyant se fracasser sur le sol. Elle remua alors, et sa combinaison noire s’envola alors, tandis qu’un sceau d’invocation se forma autour d’elle.

« TELOCVOVIM !! » hurla-t-elle, usant de la langue énochienne.

Une ombre noire jaillit brusquement depuis un Portail dans son dos, fauchant les tentacules sans peine. Une sorte de grand serpent noir s’enroula autour de l’ectoplasme, broyant les tentacules les uns après les autres, tandis que le collier infernal, comme porté par la magie, s’envola devant Bayonetta, qui continuait à invoquer le puissant démon. Elle venait d’invoqsuer l’un des vers rampants du Cercle de la Gourmandise, un ver intestinal géant, Soclopendra.

Le ver géant s’enroula autour de l’ectoplasme, et son corps s’illumina brusquement, déclenchant sur toute sa surface de puissants éclairs magiques, qui transpercèrent l’ectoplasme. Bayonetta frappa à nouveau le collier, l’envoyant vers la gueule de Scolopendra, et souffla un baiser vers lui... Puis tira avec ses pistolets. Une balle transperça le collier, puis Scolopendra mordit dedans, provoquant une puissante explosion magique. Une onde de choc qui résonna à travers tout Kūkai, englobant le sanctuaire.

L’Horcruxe était brisé. Le collier n’était plus que poussière, et la fumée noire de l’ectoplasme se disloqua progressivement, tandis que les morts-vivants retournaient à la poussière. La paix revint, et Bayonetta se retourna vers Lucie.

« Ma pauvre, tu es vraiment mal en point... »

Fort heureusement, Bayonetta maîtrisait aussi la magie blanche, et posa ses mains sur les épaules de la femme, entreprenant de la soigner... Le corps de Lucie s’engloba d’une énergie magique blanche, reconstruisant ses côtes, ses os brisés... Bayonetta termina en l’embrassant sur les lèvres, et prolongea le baiser, jusqu’à ce que le corps de Lucie ne se rétablisse complètement... Mais, en définitive, la jeune femme tomba dans les pommes.

« Hmmm... Je pourrais te laisser là, mais... Ce ne serait pas très confraternel. »

Plus tard, quand Lucie se réveillera, ce fut pour constater qu’elle était allongée sur un superbe lit, dans une chambre luxueuse. Dehors, il faisait toujours nuit... Et elle était visiblement dans un manoir plutôt ancien, mais malgré tout très agréable.

Enfin, un joli chat noir se trouvait sur son ventre, et miaula quand elle commença à se réveiller.

28
C’était un Horcruxe. Bayonetta ne voyait aucune autre explication pour justifier la nature de cet ectoplasme qui se tenait devant elles. Le collier utilisé par le jeune homme avait pris contrôle de ce dernier. C’était un artefact maléfique, qui comprenait l’âme, ou le morceau d’âme, d’un démon. Il n’en fallait pas plus pour que le morceau d’âme contrôle un esprit faible. Bayonetta comprit alors que tout ceci, toutes les invocations, n’avait visiblement que pour but de permettre à l’Horcruxe de ramener le reste de son âme. Elle vit Lucie se ruer vainement sur lui. De forme éthérée, l’Horcruxe évitait les attaques, et renvoya Lucie à plusieurs reprises. Silencieuse, Bayonetta réfléchissait, cherchant un moyen de vaincre cette créature.

*C’est une magie noire d’un niveau très élevé... Nous n’avons pas affaire à un démon de pacotille.*

Bayonetta, qui était proche des démons, puisqu’elle pouvait en invoquer plusieurs, était bien placée pour le savoir. Lucie se releva, et, constatant qu’il était inutile de se ruer sur lui, demanda à la sorcière si elle avait un plan. Le nuage noir devant elles évolua encore.

« Il veut dévorer nos âmes pour être complet. Ce n’est que le morceau d’un puissant démon, probablement un Prince infernal, vu sa puissance... »

Ce n’était pas une réponse complète, mais la sorcière devait aussi faire faceà l’inconnue. Des tentacules émergèrent alors de la masse, et fusèrent sur elles.

« Attention ! »

Bayonetta en esquiva une, et figea le temps. C’est à ce moment qu’elle constata que le tentacule devenait tangible, et le frappa avec le pied, le tranchant en deux. Le temps reprit ensuite son cours normal, et la sorcière fronça les sourcils. Quand elle esquivait comme ça une attaque magique, Bayonetta déclenchait un mécanisme de défense magique, l’Envoûtement, qui ralentissait considérablement le temps. Mais l’Envoûtement avait aussi d’autres effets magiques, comme celui, visiblement, de rendre tangible ce spectre.

Elle allait le dire à Lucie lorsque le spectre, furieux , déclencha une puissante tempête magique autour de lui. Ce fut comme si une tornade venait d’apparaître, repoussant Bayonetta. Dans un hurlement, la sorcière s’envola, et heurta violemment un mur, pendant que la magie se déchaînait autour de l’Horcruxe.

*Le Portail s’agrandit !*

Elle se transforma en panthère, et avança rapidement, évitant les éclairs qui zébraient le ciel, donnant à ce combat une lueur apocalyptique. C’était indéniablement l’œuvre d’un démon très puissant. Bayonetta bondit par-dessus un talus, et reprit sa forme humaine en rejoignant Lucie, à l’abri derrière un mausolée.

« Utilise l’Envoûtement, chérie, il n’y a que comme ça qu’on pourra le blesser ! Il faut retrouver le collier, et le briser définitivement. Plus on perd de temps, et plus la Faille s’élargit ! »

29
Tekhos Metropolis / Re : Soirée tekhane [Hana D.Va Song]
« le: mardi 03 avril 2018, 01:08:27 »
Si Bayonetta avait soif de quelque chose, c’était clairement du corps d’Hana. Depuis des heures, elle voyait ces jolies formes se dandiner autour d’elle. Hana était bien une Tekhane, sensuelle, peu gênée à l’idée d’avoir une relation sexuelle avec une autre, et qui n’avait pas hésité à mettre ses formes en valeur... Une amante parfaite pour Bayonetta. Elle laissa les mains de la Tekhane explorer son corps. Sa combinaison était très spéciale, car elle était magique. Pour la retirer, il fallait juste que Bayonetta y pense, et elle accompagna en ce sens les mouvements d’Hana, l’aidant ainsi à ôter sa combinaison. Sous cette dernière, la sorcière avait un très joli corps, magnifiquement formé et agréablement proportionné.

Hana la poussa ensuite sur le lit, et Bayonetta se redressa légèrement, s’appuyant avec ses mains. La Tekhane acheva d’ôter sa combinaison, ne portant désormais plus qu’une culotte noire. La sorcière se pinça les lèvres en l’observant, et remonta son pied. Ses jambes et ses bras étaient encore recouverts de sa combinaison, formant comme de délicieux ensembles. C’était tout ce que la sorcière portait encore. Elle, elle n’avait pas de culotte, et était donc toute nue, montrant ses parties intimes. Son pied alla se loger entre les cuisses de la femme, et Bayonetta esquissa un léger sourire en remontant dessus, frottant avec ses orteils sa culotte.

« Tu es magnifique, ma belle... Et ce que tu sens sur moi, c’est juste le parfum du désir » précisa-t-elle.

Un parfum des plus agréables, à n’en pas douter. La sorcière appuya alors avec sa jambe, et se redressa légèrement. Elle s’agenouilla sur le sol, et son visage se retrouva à hauteur du bassin de la femme. Là, la sorcière posa ses mains sur ses délicieuses hanches, et déposa un premier baiser à hauteur de son nombril, avant de lécher sa peau, et descendit, embrassant sa peau, puis la retourna doucement. C’est là qu’elle vit le tatouage en forme de lapin, ce qui ne manqua pas de la faire sourire.

« Juste au-dessus du cul, glissa-t-elle familièrement. On peut dire que tu choisis l’emplacement avec soin... »

Souriant malicieusement, elle déposa un nouveau baiser, cette fois sur le tatouage, tout en caressant la culotte de la femme. Pour l’heure, elles se découvraient, elles se tâtaient, mais Hana allait vite comprendre que la sorcière pouvait se transformer en un véritable volcan éruptif. Celle-ci s’écarta ensuite, et se releva, pour embrasser une nouvelle fois Hana sur les lèvres. Un baiser très intense, sa langue filant dans la bouche de la femme... Mais la sorcière profita surtout de ce baiser pour renverser la Tekhane, la couchant de nouveau sur le lit avec elle.

Bayonetta se tint au-dessus d’elle, rompant le baiser, venant lécher son cou, puis continua ensuite à embrasser sa peau, rejoignant très rapidement ses seins, qu’elle titilla avec sa langue.

« Hmmm... Ma belle, toi aussi, tu sens très bon, tu sais... »

30
Face aux deux sorcières, Reaper n’avait eu aucune chance. Bayonetta et Lucie s’élancèrent sur lui, et la belle sorcière à la combinaison rouge fit parler son .500 Magnum, et tira à bout portant, perçant les défenses du nécromancien, et lui arracha son collier, l’envoyant ensuite droit vers Bayonetta. La femme l’empoigna en souriant, sous le regard horrifié du nécromancien.

« Non, rends-moi ça, salope !! » beugla-t-il.

Il se reçut ensuite un coup qui l’amena à terre, puis Lucie écrasa son talon sur son visage. Reaperse tortilla sur place, tandis que Bayonetta tenait, le long de ses doigts gantés, la chaîne du collier. Ce dernier étincelait d’une terrible lueur magique, et elle fronça les sourcils, sentant elle-même ses sens être perturbée.

*C’est ce collier... C’est ce collier qui a créé Reaper...*

Un puissant artefact, trop puissant pour être entre les mains d’un novice. Comment donc avait-il fait pour l’avoir ? Intriguée, Bayonetta le jeta alors au sol, et se dépêcha de former des signes dans l’air, puis frappa le sol, générant un glyphe autour du collier, avant de parler dans la langue d’Enoch. Elle lançait une incantation pour briser le collier, mais ce dernier résista, et l’air se mit à vibrer autour de lui.

« A-Arrêtez, haaaa... A-Arrêêêêêttteezz... ‘Teeeezzzz... !! »

De la fumée noire filait tout autour du corps de Reaper. Bayonetta parla encore plus fort, tout en remuant autour du glyphe. D’étranges mouvements de danse, mais qui lui permettait de regrouper et de concentrer sa magie. Elle poursuivit son office, et le collier commença à se fissurer... Puis explosa brusquement, libérant une épaisse fumée noire qui renversa la sorcière sur le sol, tout comme Lucie. Sous le corps de Reaper, il y avait un jeune adolescent endormi, manifestement libéré de son envoûtement, mais une grosse fumée noire montait, prenant la forme d’un redoutable démon.

« STUPIDES SORCIÈRES ! »

La sinistre voix grondait, chargée de magie noire, et généra des tentacules. Bayonetta les évita rapidement, et tira sur la fumée avec ses balles magiques.

« Tu n’as rien à faire ici, misérable artefact !
 -  HAHAHA ! TU NE ME STOPPERAS PAS, SORCIÈRE ! LES TIENNES SONT MES ESCLAVES LÀ D’OÙ JE VIENS !! »

Une nouvelle onde magique frappa le ventre de Bayonetta, l’envoyant heurter une pierre tombale. La fumée prit la forme d’un massif monstre, une sorte d’énorme molosse infernal dont la gueule était enflammée.

« C’est lui... C’est le démon... »

Leur ultime ennemi !

Pages: 1 [2] 3 4 ... 6