Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lise Peterson

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Lise ne tarda pas à laisser échapper quelques gémissements à son tour alors que Mélinda lui gobait le sexe avec une avidité qui ne dissimulait mal une expérience certaine puisqu'elle parvint à engloutir la totalité de son membre -certes légèrement apaisé- dans l'antre chaud et humide de sa gorge. Yeux mi-clos, Lise se laissa aller, savourant son chibre coulissant dans cet étui qui lui semblait plus étroit à chaque instant. Lorsqu'elle en eut fini avec elle, ou plutôt lorsqu'elle ne pouvait décemment plus l'engloutir sans des capacités buccales dépassant l'entendement, la bimbo soutint sans effort sa compagne venue s'enrouler autour d'elle pour partager un long baiser qui mêla une fois de plus sa propre semence à leurs salives. Elle ne se fit pas prier pour lui saisir les fesses, caressant d'un doigt finement manucuré plus aventureux que les autres, occupés à savourer la perfection de ce cul, l'étroit œillet qu'elle ne connaissait pas encore en détail.

Lorsque Mélinda reprit la parole, puisqu'elle avait manifestement compris qu'en dépit de son aplomb, Lise n'était pas de celles qui prenaient des décisions, la blonde laissa échapper un léger sourire. En dépit de leur premier ébat indubitablement bestial, elle était loin d'être rassasiée. Si son chibre irréductible ne suffisait pas à en témoigner, la blonde sculpturale avait désormais l’œil vicieux, illuminé d'un éclat réveillé par l'intensité de leurs premiers échanges. Et comment qu'il lui en fallait plus. Il lui était impossible de se satisfaire d'une baise classique, dépourvue du piment qu'elle affectionnait tant, des pratiques extrêmes qui la laissaient au bord de l'inconscience. Vorace, elle dévora la bouche de Mélinda avant de répondre d'une voix chaude.

J'en veux... Tellement plus ma belle. C'était une belle entrée en matière. Mais rien de comparable aux images que tu m'as envoyées, qui elles même n'étaient rien par rapport à mes besoins.


Alors elle s'agenouilla et lui lécha le pied, cette semelle pleine de foutre et de dieu sait quelle autre liquide. Gênée par son énorme pénis, elle le bloqua entre ses énormes seins, prouvant une fois de plus que la nature ne l'avait dotée de ces attributs que dans un seul but, celui d'en faire une créature vouée au sexe. Elle plongea ses yeux dans ceux de la femme en latex, levant la tête vers celle qui la dominait désormais.

Fais de moi ce que tu veux. Je suis tienne. Je n'ai aucune limite. Que des besoins.

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Les lèvres encore maculées de son propre sperme, Lise fut interrompue par son amante tout aussi excitée qu'elle. A l'évidence, bien que dépourvue de la virilité légendaire des futas, Mélinda était loin d'être rassasiée après ce premier round plus que sportif. Sans guère s'attarder sur la propreté de son environnement, la jeune femme s'agenouilla devant elle, maculant ses genoux de l'onctueux mélange de leur ébat précédent. Elle était très belle ainsi, à demie masquée par l'énorme chibre de la bimbo, corsetée dans un latex luisant de sueur. Bien sûr, Lise aurait préféré qu'elle s'occupe d'elle de façon autrement plus sévère, mais la punir réclamait une endurance et une perversité hors du commun pour répondre à ses envies lubriques, ce masochisme insatiable. Elle n'obtiendrait pas ce dont elle rêvait sans une bonne séance de motivation auparavant, à plus forte raison si cette dernière consistait à se faire sucer dans les toilettes, chose qu'elle n'avait guère eut l'occasion d'expérimenter, les coincés des deux sexes prenant leurs jambes à leurs cou lorsqu'ils voyaient à quoi ils avaient affaire. C'était donc diablement excitée que Lise observait Mélinda couvrir de baiser cette hampe dégoulinante de jus chaud.

Suce moi, salope. Suce moi à genoux dans les chiottes, comme la dernière des putes.


Et puisque le son de ses propres parole ne faisait qu'ajouter à son excitation, elle s'agenouilla à côté de sa compagne pour lui écraser ses lèvres charnues sur les siennes dans un baiser vorace, introduisant sa langue de force dans sa bouche pour partager un avant goût de ce qui l'attendait avant de se redresser et de lui présenter son chibre de nouveau, haletante.

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Alors que Melinda changeait de position pour s'empaler littéralement sur l'énorme chibre que certaines auraient considéré avec un brin d’appréhension, Lise se sentit littéralement décoller. Sa bite enserrée par ces chairs humides et chaudes, enfoncée dans un écrin de mouille et d'un filet de foutre la rendait totalement folle alors qu'elle abandonnait toute dignité pour défoncer Mélinda de deniers coups de rein, autant excitée par les cris de cette dernière que par la vulgarité de sa position.

A ce rythme, elle ne tarda pas à jouir dans une explosion blanchâtre alors qu'un hurlement de jouissance s'échappait de ses lèvres, la bite aussitôt redécorée d'une marée de sperme alors que le sexe de Mélinda débordait en quelques secondes. Arquée en arrière dans un hurlement sauvage, Lise s'enfonça au plus profond de son sex toy vivant en s'abandonnant à son orgasme, alors que de puissantes giclées secouaient son mandrin hors du commun. Il fallait voir le tableau d'ensemble, une jeune femme en latex empalée dans les airs par une bimbo et ses atouts indécents à tous les points de vue, secouée par une jouissance hors du commun alors que des litres d'un mélange de foutre et de mouille ruisselait le long de ses jambes, maculant le sol et aspergeant ses chaussures. Une odeur puissante vint parachever la scène en emplissant les toilettes, marquant la fin du premier acte d'un après midi de cours à l'origine tout ce qu'il y avait de plus ordinaire.

Presque délicatement, contrastant avec la baise débridée qu'elle venait d'avoir, Lise reposa Mélinda sur les cabinets, l'ôtant de son membre avec un bruit de succion qui libéra encore quelques larmes de sperme. Son sexe revenait légèrement à la normale mais restait tout de même érigé dans une fière érection, conséquence directe de l'excitation de sa propriétaire et de sa nature de futa, qui lui conférait une virilité (haha) hors du commun. Bien décidée à ne pas décevoir son interlocutrice, Lise passa une main sur son chibre et en lécha le mélange qu'elle récolta, dardant un regard inquisiteur sur sa compagne en prenant bien soin de se maculer de foutre pour le récolter d'une langue experte. 

Hhhhhhmmm...

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Si Lise était indubitablement inexpérimentée en matière de pénétration (du moins du point de vue actif...) elle ne se laissait guère aller à des états d'âmes. Arrivée avec une trique monstrueuse et s'étant vue aussitôt offrir une intimité sans l'étape obligatoire des bégaiements et des hésitations à la vue de sa bite, elle avait aussitôt pénétré Mélinda avec une avidité hors du commun. Qu'importait qu'elle ne soit qu'à peine à la moitié de son engin, elle sentait les vagues de plaisir monter en elle, perforant de coups de reins brutaux celle qu'elle ne connaissait pas quelques secondes auparavant. C'était autrement meilleur que de se masturber, fusse avec tous les artifices du mondes accroupie dans les postures les plus scabreuses et les plus humiliantes. Cela ne valait pas la caresse du cuir et la morsure de la douleur qu'elle adulait tant, mais la nouveauté de la sensation suffisait à la raidir. Quelle jouissance de sentir ces chairs trempées embrasser son gland mué en bélier dans cette intimité si étroite.

De l'extérieur, c'était à se demander qui était la masochiste. Mélinda était sévèrement limée par une bimbo aux seins qui bondissaient en cadence au rythme de sa pénétration, tenue par les cheveux et secouée, alors que Lise s'acharnait en se cramponnant à sa crinière, redoublant d'ardeur pour l'empaler de son chibre taille géante en ignorant le filet de bave qui lui maculait la joue, comme à chaque fois qu'elle perdait le contrôle et que ses yeux se perdaient dans le vague. Bientôt ses gémissements se mêlèrent à ceux de son jouet sexuel vivant. Ils rythmèrent le bruit mat des corps qui se heurtaient et le discret impact des premières gouttes de foutre qui suintaient.

Haaa.... Hummm Humpf humpf.

Elle en voulait plus. Cette vague brûlante ne lui suffisait pas, il lui fallait l'éclat glacé de la souffrance, le summun du plaisir. Alors elle lâcha d'une main les cheveux de sa compagne et saisit un de ses tétons entre deux doigts. Le bourgeon de chair, lui aussi durci d'envie, fut aussitôt martyrisé entre deux ongles, tiré et torturé par sa propriétaire toujours plus avide.

Haaaa. Insulte moi !!

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Dans bien des circonstances, les gens normaux se seraient interrogés sur la tournure des évènements, peut être auraient il marqué un temps d'arrêt devant la scène surréaliste d'une femme des plus charmantes toute offerte à leur désir après avoir été envoyés dans cette petite cabine. Mais Lise n'était pas normale. Outre son physique des plus attrayants et son chibre hors du commun, elle avait un appétit sexuel gargantuesque, à la limite de la pathologie sévère. En d'autres termes, elle n'allait guère se poser davantage de questions.

Cependant, et bien que l'on s'attende à ce que la bimbo ait généreusement ramoné tous les trous qu'elle avait pu croiser au cours de sa courte existence libre, Lise n'avait jamais réellement pénétré quelqu'un. Il y avait bien eut quelques expériences malheureuses de demoiselles qui se vantaient de pouvoir l’accueillir avant de partir en courant aux premiers essais, ou plus récemment Leona qu'elle avait souillé contre sa volonté, folle de désir, mais son énorme membre n'avait jamais trouvé chaussure à son pied. Personne ne supportait longtemps le véritable écartèlement qu'imposait cette bite hors du commun. Cependant, au même titre qu'elle n'exigeait aucun traitement de faveur à son égard, loin de là, Lise n'avait que faire de la santé d'autrui lorsqu'ils s'offraient si promptement à son désir. Melinda qui se penchait en avant sans plus de commentaires après avoir entraperçu la taille de son engin suffisait à renforcer son érection, si la chose était possible, et c'était avec une trique hors du commun qu'elle s'approchait sans guère plus de commentaires. Peut être aurait elle préféré être maltraitée comme on lui avait promis, mais Lise n'avait plus les pensées très claires, conséquence directe de sa sortie récente de la léthargie des cours. Plus proche de l'animal en chaleur que de la jeune lycéenne correcte, elle dégagea son chibre et le prit en main, saisissant sans douceur la chevelure de celle dont elle venait de faire la connaissance. Inexpérimentée et avide, Lise ne concevait le sexe qu'avec une certaine dose de brutalité nécessaire à sa propre excitation. Elle darda son gland violacé devant l'intimité trempée de sa partenaire, notant qu'elle paraissait encore plus étroite qu'elle ne l'avait cru. Alors elle s'arc bouta et la pénétra d'un violent coup de rein, sans contenir son sempiternel filet de bave qui naissait à la commissure de ses lèvres.

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Le cours qui sombrait de plus en plus dans les abimes de la monotonie n'était plus qu'un bruit de fond désagréable, bien loin de l'assommante sonorité qu'il était encore quelques secondes auparavant. Lise était désormais tout à fait concentrée sur son échange téléphonique, qui n'avait fait que piquer sa curiosité. C'était à présent tout juste si elle ne secouait pas son téléphone dans une vaine tentative d'obtenir les messages plus rapidement. C'était à croire qu'elle était vouée au sexe, puisque ce dernier parvenait à la trouver, même perdue dans les limbes de l'ennui.

La bimbo à la chevelure d'or ne fut pas déçue de sa courte attente puisque son interlocutrice ne s’embarrassa pas d’assommantes présentations, voire même d'une quelconque subtilité. En quelques instants, la blonde sentit sa respiration s'accélérer tandis que le sang battait à ses temps et qu'elle sentait son chibre lui aussi assoupi se réveiller en sursaut, alors que les images de plus en plus hard défilaient sur son écran HD. Elle glissa discrètement une main fine entre ses cuisses et pressa sans douceur son sexe entre ses ongles manucurés, espérant retarder l'inévitable réveil. Lise avait désormais une vague idée de ce qui l'attendait dans ces toilettes, et à en croire que le degré de perversité que les messages liant l'inceste au bdsm laissait supposer, elle n'en ressortirait pas indemne. En d'autres termes, c'était à se demander ce qu'elle fichait encore à se frire les neurones au gré des évolutions diverses du Japon.

Sans plus attendre, mais en prenant soin de laisser son bras et son sac devant la bosse qui menaçait sérieusement de soulever sa jupe, Lise se catapulta sur ses jambes de sauterelle, lançant une excuse toute faite et probablement partiellement crédible au professeur qui n'insista pas. Pour une raison probablement liée à son tour de poitrine ou à sa manière faussement innocente de minauder en ouvrant ses grands yeux de biche, Lise était de ces élèves qui bénéficiaient d'une indulgence particulière de la part du corps enseignant, lequel pouvait s'appuyer sur ses résultats exemplaires pour prouver sa bonne foi et sa résistance face au charme indéniable de l'élève. C'était donc un échange de bon procédés qui convenait aux deux partis en présence, et Lise Peterson fut dans le couloir en trois secondes très exactement. De là, elle allongea le pas en priant pour ne croiser personne dans les couloirs car elle ne pouvait que remédier temporairement à la marque désormais très visible de son érection. Fort heureusement pour elle, les toilettes étaient toute proche.

Ce fut donc une blonde fébrile qui ouvrit la porte des commodités, toute notion de pudeur oubliée. Son énorme mandrin avait achevé de soulever sa jupe et pointait fièrement devant elle, vibrant d'excitation. Pour supporter la décence insupportable de son sage uniforme, Lise avait omis d'enfiler une culotte ce matin, après avoir longuement hésité entre divers dentelles et résilles au design minimaliste. Elle ne tarda pas à trouver la seule cabine ouverte et l'enfonça plus qu'elle ne l'ouvrit, presque courbée en deux par son érection inhumaine aux proportions hors du commun. Ce fut le choc de deux mondes et la bimbo au physique irréel et au charme vulgaire fut confrontée à une jeune femme aux attraits autrement plus subtils, laquelle se rattrapait tout de même par une tenue de cuir du plus bel effet. Hors d'haleine après son sprint dans les couloirs, une main contenant à peine son gland aux chairs violacées d'une excitation douloureuse, Lise se lécha les lèvres avant de redresser sa bite entre ses deux mains et de la coincer entre ses seins dans une moue provocatrice, bloquant le chibre de ses bras croisés. A ce stade, qu'importait son interlocutrice, même si elle ne l'avait jamais croisée auparavant. Une rencontre préparée dans cet endroit particulier, avec une convocation pareille n'appelait guère de subtilité, ce qui n'était de toute façon pas son fort.

Voilà. Cela te convient ?

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Si Lise n'avait jamais suivi un cursus ordinaire, elle s'était vite accoutumée au quotidien barbant des heures interminables de cours, en compagnie d'une classe bien disciplinée à l'intérêt somme toute limité. Bien évidemment, du haut de son mètre quatre vingt, la bimbo délurée avait été le centre de l'attention de tous pendant quelques jours, avant que l'intérêt de la foule ne se dissipe rapidement. C'était à croire que ces jeunes dont les hormones devaient pourtant bouillonner trouvaient un exutoire dans leur train train quotidien, leur apprentissage aussi monotone que leur vie future à laquelle ils se préparaient avec tant d'ardeur.

Lise n'était pourtant pas stupide, loin de là, mais elle s'ennuyait prodigieusement dans ces cours bien moins intenses que ceux qu'elle avait subi dans son environnement particulier. Pis encore, elle ne pouvait s'adonner à ses multiples fantaisies, à commencer par ses envies vestimentaires brimées par le règlement du lycée. Alors que sa chambre regorgeait de tenues toutes plus sublimes les une que les autres, elle était forcée de se conformer à l'uniforme réglementaire, cette jupe hors du temps et ce haut qui lui donnait des envies de meurtres. Tout au plus pouvait elle savourer les regards des individus mâles qui ne pouvaient se détacher du tissu tendu par son arrogante poitrine, bien plus attrayante que celles de ses plates camarades. Si elle continuait (évidemment) à s'éclater en dehors des cours, le supplice interminable de la salle de classe la rendait folle à lier.

Aussi la discrète vibration de son portable (rose à oreille de lapins) fut elle une lueur d'espoir dans la nuit. Bien caché au fond de sa trousse, l'appareil émergea en une fraction de seconde et disparut contre sa cuisse alors qu'elle lisait le message, pour y répondre tout aussi vite, avec une dextérité fort appréciable.

Coucou. C'est qui ?

Ce n'était pas très engageant, se morigéna elle, et elle doubla donc la mise. Si elle commençait à connaître quelques élèves et à se constituer un gang de copines assez appréciable, elle n'avait pas eut l'impression de taper véritablement dans l’œil de quelqu'un, en tout cas pas à qui elle aurait passé son numéro.

Si tu veux, quand ? Où ? Jm'ennuie là...

Tout, plutôt que de continuer à subir les évolutions du Japon au cours de l'ère Edo. De ce qu'elle avait pu comprendre entre deux bâillements, on était loin d'en avoir fini avec cette histoire, en plus.

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Dortoirs et douches / Re : Nouvelle arrivée ! [Pv Leona]
« le: mercredi 19 octobre 2016, 13:59:26 »
Alors que Leona disparaissait sous les vagues de sperme qui semblaient décidées à sortir par tous les pores de sa peau, Lise se retira. Sa bite cracha encore quelques filets blanchâtre qui allèrent saloper le mur en face d'elle, puis commença à se rétractement lentement, alors que la bimbo se remettait lentement de son orgasme, adossée au mur, pantelante. D'une main molle, elle soutint son membre flasque qui se balançait mollement entre ses jambes en fixant la silhouette recroquevillée sur le sol, encore sous le choc de son éjaculation. Cela avait été un orgasme dantesque et voir Leona manquer de défaillir n'avait fait qu'ajouter à son plaisir, elle qui ne trouvait sa jouissance que dans la souffrance et l'humiliation. La brune d'apparence si parfaite ne ressemblait guère plus à ce qu'elle avait été, couverte de foutre, gisant à même le sol dans des toilettes d'une propreté douteuse. Lise lui tapota doucement la tête, sans prendre garde à la consistance visqueuse des cheveux qui se lièrent à ses doigts grâce à ce gluant mortier.

Merci. Tu as tenu ta promesse.

Cela avait été plutôt de force que de gré, mais qu'importait. Elle lui avait giclé dans la chaleur de sa bouche, se délectant de ce doux écrin humide, profitant de Leona comme on avait tant de fois profité d'elle. Plus encore que son plaisir de l'instant, c'était la perspective des jours d'humiliations que la brune vengeresse lui infligerait qui la réjouissait. Alors, en se rhabillant d'une main encore tremblante, tentant de retrouver un semblant de pudeur alors que la cabine s'empuantissait de cette odeur rance de foutre tiède, elle souriait, rajustant sa robe de catin en peinant à rentrer son chibre dans son string ridiculement petit.

Tu es sublime comme ça.


Nulle ironie ne transparaissait dans le ton de la bimbo, mortellement sérieuse. Restait à espérer que personne ne s'inquiète de l'odeur d'orgie et de la mare de sperme qui commençait à se répandre sous la porte.

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Prélude / Re : Charles-Edouard Arquebuse. Vous allez aimer le détester.
« le: mercredi 12 octobre 2016, 13:40:10 »
Rupin en vue, argeeeeeent <3 bienvenue !

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Dortoirs et douches / Re : Nouvelle arrivée ! [Pv Leona]
« le: mercredi 12 octobre 2016, 01:05:36 »
Il fallait la voir s'acharner sur son propre membre ! Sans la moindre douceur, sans une once de délicatesse, Lise se défonçait la gorge avec un entrain presque inquiétant. Il était difficile de déterminer où elle prenait davantage son pied, de sentir son chibre ruisseler de saliver, caressé par cette langue insatiable ou de frôler l'asphyxie à chaque coup de boutoir, s'enfournant un mandrin qui écrasait tout sur son passage et manquait de lui faire vomir ses tripes à chaque instant. Bien évidemment, Leona se régalait du spectacle. Il y avait manifestement quelque chose d'effroyablement excitant à voir cette bimbo dont l'apparence était si importante s'avilir de la sorte, à genoux dans des chiottes à l'hygiène douteuse, à demie dénudée sans même avoir prit la peine de se déshabiller complètement, s'enfourner une bite hors du commun dans sa propre gorge à s'en tirer des larmes tout en ruisselant de divers fluides des moindres délicats sur cette hampe désormais maculée de diverses substances. Indubitablement, Lise y trouvait son intérêt. Plus encore lorsqu'elle sentit la morsure ardente de l'ampoule sur différentes parties de son corps et que ses couilles enserrées par le lien viraient au bleu.

Ce ne fut pas le crachat de sa tortionnaire qui allait faire peur à la blonde au visage défait, tant par la bile que la bave et elle goba à nouveau son membre avec un cri de souffrance devenu mugissement lorsqu'elle le sentit rabattre sa glotte dans sa gorge. A ce rythme et avec l'ajout fort judicieux d'une enième brûlure sur ses bourses à l'agonie qui mouraient d'envie d'expulser leur contenu, Lise sentit son membre se tendre d'une secousse violente qui indiquait une décharge monumentale. Arc boutée sur sa bite, elle ne put s'empêcher de se redresser en arrière, libérant son membre et aspirant une goulée d'air salvatrice alors qu'elle manquait de défaillir de se sentir si libre. Mais l'orgasme arrivait, effrayante lame de fond qui annonçait une cascade de semence bien plus importante que celle qui avait rempli le sac de Léona quelques instants auparavant. Secouée de spasmes, à demie consciente, Lise n'eut que le temps d'arracher l'ampoule des doigts de Léona sans se préoccuper de la chaleur de l'objet, l'écrasant sur un téton qui semblait n'attendre que ça. L'ultime trait de souffrance qui la déchira fut la dernière pierre de l'édifice de son plaisir, mais... Elle saisit Léona.

Tout hargneuse qu'elle était, la brune ne pouvait lutter contre la force insoupçonnée de cette blonde sportive, au corps aussi habitué aux efforts violents qu'aux souffrances intenses. Pour une femme qui se roulait au sol quelques instants auparavant, Lise était étonnamment forte. Et lorsque cette puissance était alliée à un désir hors du commun, il était impossible à Leona de résister. Car elle avait promis. Ce qu'elle espérait sans doute n'être que des paroles en l'air étaient restées gravées dans l'esprit de la blonde et ses valeurs étonnantes. Elle avait accompli sa part du marché, à la jeune femme de tenir parole, de gré ou de force. Ses orifices étaient disponibles et Lise voulait au moins le plus accessible d'entre eux pour vider son épaisse purée blanchâtre dans un petit nid douillet. Elle la courba en deux et lui écrasa sa bite sur les lèvres, sans se préoccuper de l'immonde mélange qui la maculait déjà. Le mandrin n'était guère plus qu'une cascade de présperme, de salive aux bulles blanchâtres qui se mêlait à la bile légèrement plus consistante qui ruisselait en filets. Et au sommet, un monstrueux gland violacé qui vibrait déjà sous la pression du foutre en approche. Maculant le visage de sa soumise, cette poupée si parfaite qui refusait de s'abaisser à son niveau, de ce mélange immonde, cherchant à forcer le passage de cet obélisque qui ne rentrerait que sous un coup de rein, Lise sourit à travers ses larmes de souffrance, follement excitée de voir le visage de sa maitresse presque disparaitre, perdre de sa superbe devant ce monstre de chair.

Tu as promis. Avale.

Et l'explosion blanche arriva, plusieurs litres de foutre expulsés à toute vitesse de cette queue monstrueuse alors que la blonde martyrisait son téton grésillant sous la chaleur de l'ampoule, malaxant ce bourgeon de chair de cette masse presque incandescente qui brûlait la peau et consumait sa jouissance. Malgré ses yeux révulsés, malgré le hurlement qui se frayait un chemin dans sa gorge, elle fixait d'un oeil torve celle qui avait promis, qu'elle voulait voir disparaitre sous ces monceaux de foutre, réduite à un orifice comme elle le disait si bien.  Elle voulait la dégrader et la remplir, essayer d'avaler ses litres avant de s'étouffer et s'effondrer au sol sous la cascade de sperme.

26
One Shot / Re : Une sale soirée [Pv M. Sanderson]
« le: mardi 11 octobre 2016, 09:43:54 »
Le frisson qui lui gelait le dos devenu cascade de glace, Margot fixa le cagoulé qui venait d'ordonner à ses hommes d'embarquer le butin. La gorge sèche, elle était désormais persuadée que quelque chose excitait le malfaiteur et à son grand désarroi, elle était probablement la principale concernée. Une partie d'elle s'en réjouissait pourtant, tant que ce malade éloignait ses perversions de ses enfants. En dépit d'une apparence superficielle voire franchement égoïste, la brunette aimait réellement sa progéniture, fusse elle d'un père qu'elle en venait à haïr de plus en plus souvent.

Pour ne parler que de sa petite personne, on ne pouvait toutefois nier qu'elle était terrifiée par ce qu'il sous entendait avec l'élégance des des porcs que son mari comptait parmi ses amis, ces horripilants et richissimes pervers qui ne savaient exprimer leurs désirs malades qu'une fois sévèrement marbrés au champagne hors de prix. Pis encore, il avait raison, car elle n'était pas stupide et savait parfaitement ce qu'il avait en tête. Seulement, si elle était disposée à se séparer de ses breloques, forcée par l'inutilité de toute résistance, il en était tout autrement de sa propre estime.

Non. Non. Vous avez votre magot, vous partez maintenant. Vous prenez des risques en restant ici, des risques inutiles. Je n'ai aucun intérêt à faire connaissance avec des raclures pareilles. Dégagez de ma demeure.

A la réflexion, il était peut être stupide d'insulter le cambrioleur, mais elle avait besoin de libérer un peu de cette tension accumulé depuis leur intrusion et qui menaçait de lui scier les jambes et de faire couler des larmes nerveuses. Mieux encore, cela pouvait le secouer dans sa petite routine manifestement préparer. Peut être s'en tirerait elle avec une baffe tandis qu'il cavalait rejoindre ses complices, outré par l'arrogance de la bourgeoise mais rappelé à des réalités autrement plus pressantes qu'un duel de sous entendu entre un cagoulé et sa victime autrement moins couverte.

27
One Shot / Re : Une sale soirée [Pv M. Sanderson]
« le: samedi 08 octobre 2016, 22:00:33 »
Il fallait la voir face à trois malfaiteurs qui alliaient la rapidité des habitués et l'efficacité des professionnels. A demie nue devant ces individus déterminés, Margot restait droite, s'arrangeant pour se placer entre les hommes et ses enfants, pauvre rempart qui n'entendait toutefois pas se laisser abattre sans combattre si les choses s'envenimaient. Les adolescents, à défaut d'être calmes, comprenaient que leur intérêt était clairement de rester de marbre et si ce n'était la terreur qui leur nouait la gorge, la raison achevait de s'en charger.

La jolie brunette ne masqua pas son étonnement lorsque celui qui semblait être le chef de la bande s'adressa à nouveau à elle, laissant ses hommes se charger du gros du travail. Elle hoqueta, prise de court, persuadée qu'ils ne s'intéressaient qu'au butin et qu'il se contentait de la surveiller. Quelque chose dans la voix de l'individu lui déplaisait fortement, mais elle avait cet instinct d'animal traqué qui savait que le moindre signe de faiblesse serait immédiatement et impitoyablement exploité par son prédateur.

Merci j'imagine.

La suite s'avéra encore plus désagréable et elle ne put retenir un frisson qui lui parcourut l'échine alors que, consciente de sa propre vulnérabilité, elle observa du coin de l’œil les comparses observer leur leader. Désormais lestés de butin, ils auraient dû repartir immédiatement. Si elle s'était imaginée mille scénario durant le court délai qui avait précédé leur intrusion, elle s'était rassérénée lorsqu'ils s'étaient montrés calmes et professionnels, à supposer que l'on puisse se targuer d'une expertise dans le domaine de la fauche, du cambriolage et du viol de la propriété d'autrui. L'incongruité de la question lui bloqua la gorge quelques instants et elle sentit la poigne glacée de la peur se nouer sur ses entrailles. Pour se donner bonne figure, elle croisa les bras sur sa poitrine, lui ôtant des yeux la vue de sa poitrine à travers l'étoffe transparente et redressa le menton, avec cet aplomb légèrement dédaigneux pour ce malfaiteur qui prenait manifestement plaisir à aller au delà de son plan initial.

Une mère n'a aucune limite pour protéger ses enfants. Évidemment, je les aime.

L'incertitude la tourmentait plus qu'elle ne voulait l'admettre. Il parlait de Kathie et Steve mais la fixait. Il menaçait ses enfants mais la gardait en ligne de mire. Son imagination fonctionnait à plein régime et elle frissonna de nouveau.

Vous avez récupéré ce que vous vouliez, partez maintenant. Il n'y a plus rien de valeur dans la maison.

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One Shot / Re : Une sale soirée [Pv M. Sanderson]
« le: jeudi 06 octobre 2016, 23:39:43 »
La petite famille se figea lorsque la voix d'un des intrus résonna dans l'antichambre. Mal protégés, ils le savaient, par leur barricade de fortune, le trio n'avait guère avancé. Le téléphone de Margot était introuvable et elle doutait de plus en plus l'avoir prit avec elle dans sa chambre. Peut être était il resté dans la cuisine, près de la cave à vin qu'elle fréquentait de plus en plus ces derniers temps, à moins qu'elle ne l'ai laissé près de la piscine. Elle ne se souvenait plus quand elle l'avait utilisé récemment et c'était de toute façon le cadet de ses soucis.

La menace était présente, immédiate, bien plus intimidante que lorsqu'elle avait vu des ombres franchir le portail. La jolie brune jeta un coup d'oeil à ses enfants. Tout adolescent qu'il était, Steve restait un enfant, un gamin dans un corps d'homme qui n'avait guère l'ombre d'une chance face à trois individus déterminés. Pis encore, Kathie était terrorisée et se contentait de sangloter sur le lit, les bras passés autour de ses jambes. Toute idée de résistance envolée, Margot maitrisa le trémolo de sa voix en repoussant seule la commode mal poussée contre la porte, animée par l'énergie du désespoir.

Steve, avec ta soeur, sur le lit. Ne bougez pas !

Tout allait bien se passer. Ils allaient pénétrer dans la chambre et les pousser contre le mur, peut être même les ligoter tandis qu'ils vidaient le coffre, puis ils s'en iraient aussi soudainement qu'ils étaient venus. Qu'importait qu'elle n'ait pas vu d'armes ou qu'ils n'étaient pas particulièrement menaçants, elle savait que trois hommes ne feraient qu'une bouchée d'eux, particulièrement s'ils étaient énervés après avoir du forcer la porte. Cette maison n'était pas conçue pour résister à un assaut en règle, plutôt pour assurer une vie de cocagne à ses habitants. S'ils ne pouvaient passer par la porte, ils pouvaient encore contourner par la fenêtre, voire même défoncer les fragiles cloisons des murs en quelques minutes.

C'était donc en mère responsable qu'elle agissait, davantage par instinct que par réflexion. La valeur des bijoux ne l'effleura même pas. Ils étaient de toute façon assurés et elle n'éprouvait guère d'amour pour les breloques, si ce n'était pour leur côté esthétique. Elle ne serait pas de ces mégères acariâtres qu'on retrouvait le crâne défoncé pour avoir refusé de céder leur misérable alliance à quelques carats. Sur une dernière inspiration, elle ouvrit la porte en s'empêchant de trembler et parla aussitôt.

Le coffre est derrière le tableau. La combinaison est 8945540b, et un tour vers la droite. Tout en dissertant, elle avait passé les mains derrière sa nuque et décroché son collier lesté d'une petite pierre qui descendait dans son décolleté pour leur tendre, obtempérant à leurs ordres. C'est tout ce qui a de la valeur. Il y a quelques breloques dans ma table de nuit et une chevalière dans le bureau au fond du couloir, celle de mon mari. Ne touchez pas à mes enfants s'il vous plait. Nous n'appellerons pas la police. Il n'y a pas d'armes dans la maison. 

Sur la couche hors de prix, les adolescents s'étaient figés, terrorisés par l'apparition des silhouettes devant lesquelles leur mère en déshabillé faisait bien frêle, si vulnérable alors qu'elle gardait son port altier et un sang froid hors du commun.

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One Shot / Une sale soirée [Pv M. Sanderson]
« le: jeudi 06 octobre 2016, 15:14:17 »
C'était une maison familiale comme on en voyait tant. Sans doute légèrement plus isolée que la moyenne, elle compensait cette localisation défavorable par une piscine de bonne taille qui faisait la joie de ses habitants et indiquait clairement qu'ils étaient particulièrement aisés, si la veranda n'avait pas suffit à épater le chaland.

Margot n'avait jamais aimé cette baraque et les nombreuses heures à se prélasser sur un transat au bord de sa piscine de luxe dans son gigantesque jardin n'avait pas suffit à la convaincre de se satisfaire de son bonheur. Jeune femme de bonne famille, elle n'avait pas hésité à quitter son Angleterre natale lorsqu'un homme d'affaire japonais lui avait demandé sa main. C'était un gentleman tout ce qu'il y avait de plus charmant, attentionné et généreux. Elle n'avait guère tardé à succomber à son chame et avait accepté d'emménager dans cette luxueuse demeure qui ne lui convenait pourtant guère. Margot était née et avait toujours vécu en ville. Ne pas avoir une demeid douzaine de boutiques à portée de talon la mettait mal à l'aise, sans parler de l'absence totale de vis à vis et de ce sentiment d'abandon lorsqu'elle restait seule. Bien vite, elle avait compris que ce serait son quotidien. Son mari était riche, mais absent. Ses affaires l'appellaient souvent des semaines entières loin du domicile familiale et elle se retrouvait abandonnée, malheureuse et dépitée des années durant. Puis étaient venus les enfants, une fille et un garçon, tout aussi sublimes que leur maman et la solitude s'était estompée. Bien sûr, elle n'élevait pas sa progéniture elle même et se réservait les bons côtés tandis qu'une nounou s'occupait de leur changer les couches et de calmer les pleurs. Les enfants grandissant, Margot avait continué de jouer le jeu, souriant à son mari en rêvant d'évasion, faisant bonne figure aux réceptions et s'ennuyant ferme. Des années d'ennuis dans cette maison qu'elle haïssait, avec cet homme qu'elle détestait, à se complaire dans un luxe qui l'empêchait de devenir folle. Les années n'avaient eut guère d'emprise sur elle, tant elle s'employait à parfaire son physique. Des heures de course à pied (dans ces alentours éternellement déserts, maudite campagne!), de gymnastique, sans oublier quelque passages chez un chirurgien plus que compétent, avaient contribué à gommer le passage des ans. A trente sept ans, Margot en faisait vingt cinq. Menue et dépourvue des formes généreuses des bimbos stupides qui garnissaient généralement le bras de riches hommes d'affaires, elle possédait néammoins une garde robe d'un goût exquis et d'une facture qui suffisait à faire tourner les têtes. C'était un domaine où elle écrasait la concurrence sans aucune difficulté, et d'ailleurs sa seule occupation depuis bien longtemps.

Et en cette soirée paisible, elle n'avait jamais autant maudit cette demeure isolée. Tout avait commencé lorsqu'elle avait entendu le portail grincer. Un rapide coup d'oeil à la fenêtre l'avait informée qu'il ne s'agissait pas de son mari qui rentrait plus tôt que prévu (comme cette fois où il avait manqué de la surprendre avec le jeune et fringuant jardinier) mais plutôt d'individus qui devaient avoir oublié les clés, puisqu'ils passaient par dessus l'énorme porte métallique. Elle s'était alors jetée hors de sa chambre, oubliant sa robe de chambre et ne portant guère que sa nuisette préférée, avait tambouriné à la porte de ses enfants. Kathie et Steve étaient sortis en trombe, davantage agacés par le vacarme de leur mère qu'inquiets de ses motivations. Les jumeaux, aussi blonds que leur mère était brune, avaient ensuite haussé un sourcil devant le déshabillé sexy de leur génitrice avant de se mettre à sérieusement paniquer lorsqu'elle les alerta. Par chance, Margot, sous ses couverts d'épouse surperficielle, avait de la ressource et se mit à donner ses ordres de sa voix de commandement, celle qu'elle réservait aux prestataires et aux ouvriers qui venaient parfois satisfaire ses caprices d'épouse entretenue.

On s'enferme dans ma chambre. Steve, tu appelle la police, tout de suite. Kathie, tu m'aide à pousser la commode devant la porte. Vite !

Ni une ni deux, ils filèrent dans la gigantesque chambre parentale au centre de laquelle trônait un lit à baldaquin somptueux, dans lequel elle dormait si souvent seule. Le cœur battant la chamade, Margot n'en menait pas large, mais elle ne perdrait certainement pas la face devant ses enfants. Refusant de céder à la petite voix qui la suppliait de se recroqueviller dans un coin et d'attendre que les méchants s'en aillent, elle s'arc bouta sur la commode. Avec quarante kilos pour un mètre soixante, la jolie brune n'était guère une force de la nature et le meuble refusa de bouger d'un poil. Ce fut alors qu'elle se souvint, horrifiée, que le coffre fort était AUSSI dans sa chambre, derrière ce grand tableau qu'elle détestait. Puis elle entendit les bégaiement affolés de son fils qui ne parvenait pas à retrouver son portable dans le capharnaüm de sa table de nuit et elle se dit que la soirée prenait une tournure absolument dramatique.

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Le coin du chalant / Re : A la découverte du lycée !
« le: mercredi 05 octobre 2016, 11:34:44 »
Ma grande blonde a fait ses premières armes et est rodées désormais ! Je suis donc à la recherche d'une bonne âme pour découvrir davantage du forum... Monstres et autres étrangetés des autres dimensions bienvenus :p

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