Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Losgar

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Voilà donc la fameuse miss.

Nice ♪

Bienvenue parmi nous et au plaisir de te lire ~

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Prélude / Re : Cassia Tiberius + One shot and she's feeling better
« le: samedi 22 juillet 2017, 21:13:51 »
Intéressant personnage.

Bienvenue parmi et au plaisir de te lire ~

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Bienvenue parmi nous et au plaisir de te lire ~

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Ville-Etat de Nexus / Re : Recrutement en pleine action [PV Losgar]
« le: vendredi 21 juillet 2017, 00:25:07 »
« Le fait que vous veillez sur vos établissements sans présence visible ne va pas dissuader les esprits téméraires, et si je ne doute pas de votre capacité à vous débarrasser des intrus indésirables, leur intrusion tout comme les dégâts qu’ils peuvent provoquer risquent d’être fâcheux pour la réputation de votre club. De ce fait, ma présence pourrait dissuader certains truands. »

C’était une analyse tout à fait logique de la part d’un Losgar qui, malgré la scène de sexe intense qu’il délivrait en ce moment même, avait encore toute sa tête et pensait à grande vitesse pour répondre à cet … être mystérieux. Si jusqu’à présent il n’avait proposé sa candidature que part attendrissement devant le mignon minois d’Angelica , le fait que ce maître le sous-estime tellement, lui fier guerrier ayant terrassé des monstres qui dépassent l’imagination, l’irritait de plus en plus. Il allait le contredire ardemment et avec tact, conscient qu’il allait se livrer à un travail à temps-plein pour un bon moment.

« Ensuite, je ne dénie nullement le fait que prendre soin de vos filles me déplaise, bien au contraire. Mais j’ai passé beaucoup trop de temps à faire la chasse aux sorcières et aux monstres anthropophages, un boulot un peu plus paisible et plaisant me ferait sans doute le plus grand bien. Enfin … vous en jugerez par la suite si vous me laissez prouver mes qualités. »

Il saisit le museau de la renarde, l’attirant vers son visage souriant, frottant son nez contre sa truffe des plus adorables. Cette terranide était absolument mignonne, il ne pouvait rien lui refuser avec une bouille pareille.

« Qu’en penses-tu toi, hm ? Tu crois que je ferais un bon moniteur et animateur ? »

Le beau ténébreux embrassa longuement la renarde au moment où il finissait enfin par atteindre son propre orgasme, son braquemart secoué de spasmes délivrant tout son contenu chaleureux par généreuses rasades au sein de sa partenaire de couche. Il grogna de plaisir en libérant toute sa semence en elle, lui mordillant la truffe.

« Dois-je signer quelque part un contrat ? J’espère que ce n’est pas en me coupant les veines, je ne suis pas un grand amateur de pactes de sang, voyez-vous ? »

La question fut posée d’un air tout à fait neutre, presque enjoué, tandis qu’il caressait doucement le corps brûlant de sa partenaire en sueur, leurs corps tendrement enlacés, un mince filet blanc s’écoulant d’entre les cuisses d’Angelica et venant entaché la couverture rouge de leur couche.

Tendant le bras vers une étagère à proximité, il s’empara d’une fraise déposée sur un petit plateau et la porta aux crocs de sa ravissante renarde rousse en lui souriant d’un air ravageur et séducteur.

« Savoure-moi ça, car par la suite tu auras autre-chose à goûter venant de moi ~ »

Et ajouta un délicieux clin d’œil complice, plein de malice et de promesses. Il attendait par ailleurs les instructions de son nouveau patron provisoire, bien curieux de voir ce que la suite promettait pour le mercenaire en congé.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Recrutement en pleine action [PV Losgar]
« le: mercredi 19 juillet 2017, 22:49:00 »
Une voix inattendue s’incrusta dans son esprit, ce qui poussa Losgar à légèrement froncer des sourcils, arrêtant ses coups rapides et fougueux. Angelica poursuivit lentement ses mouvements, le chevauchant avec douceur. Le Noxien connaissait assez bien les expressions physiques des terranides pour déchiffrer leurs émotions, hors les oreilles abaissées de sa partenaire indiquaient qu’elle craignait celui qui venait de s’exprimer. Il s’agirait donc de ce fameux maître ? Voilà quelqu’un dont le timbre de voix semblait peu amical.

En regardant dans les yeux la renarde, il eut un petit pincement au cœur en sachant qu’elle n’était pas libre de ses décisions et ne pouvait espérer avoir droit à des faveurs, la voix grondante semblant être bien peu encline à gâter ses protégées. Pouvait-il faire plaisir à cette charmante jeune femelle, lui aventurier vagabond qui jouait aux héros pour le plaisir du danger et de l’excitation ? Angelica semblait être très sincère, ce qui était touchant et adorable. L’homme à la peau cendrée se dit qu’il pouvait peut-être faire plaisir à cette charmante demoiselle, du moins pour un temps. Il ne pouvait rester indéfiniment près d’elle car ce n’était pas dans sa nature, mais il pouvait s’accorder des … vacances, ce serait le terme le plus adéquat dans cette situation.

Mais alors, comment faire ?

Il porta un de ses doigts à ses lèvres, y appliquant un coup de langue avant de le sucer lentement d’un air pensif, humectant bien son doigt tandis qu’il reprenait, avec un rythme plus doux et sensuel, ses mouvements en elle, ayant changé la mécanique du haut-en-bas pour une danse rotative autour de son pieu de chaire.

Il déclara alors, à l’adresse de ce prétendu maître.

« Un homme comme moi peut vous être utile de bien des manières. Je suis une personne à talents multiples. »

Souriant, il libéra son doigt coincé entre ses lèvres, bien humide, avant de tendre sa main vers la chute de rein d’Angelica, venant caresser avec son appendice couvert de salive son fondement étroit, en rondes douces et coquines.

« Peut-être avez-vous besoin d’un gardien qualifié ? Dans ce cas-là je suis particulièrement apte à veiller sur vos établissements ? Ou peut-être désirez-vous un entraîneur? J’ai une longue expérience dans le domaine sexuel et j’imagine que vous recrutez constamment de nouvelles recrues. Je peux veiller à les entraîner et les former afin d’en faire de parfaites professionnelles. »

Son doigt s’enfonça alors lentement dans l’entrée interdite de la furry, commençant à la caresser de l’intérieur et mimant les mouvements d’une verge en elle. Par la même occasion il malaxait l’un des seins merveilleux de sa partenaire entre ses doigts affamés.

« Ou encore comme un coach ? Vos demoiselles ont besoin de s’entretenir, de rester en forme quand elles ne travaillent pas. Je peux faire en sorte de leur donner du sport quotidiennement et les garder toujours au sommet de leurs capacités et de leurs talents, voir même de booster leurs connaissances pour de nouvelles aptitudes. »

Voilà un CV des plus remplis, en effet !

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One Shot / Re : Les douze travaux d'Héraclès [PV]
« le: mercredi 19 juillet 2017, 21:40:32 »
Le guerrier reposa doucement la jeune lionne sur l’herbe fraîche dont les pointes dansaient lentement en rythme avec les caresses du vent. Il la laissa se désaltérer à sa guise, figure protectrice dont la main était toujours prête à s’emparer du manche de son arme et terrasser les coquins qui oseraient attenter à la vie de celle qui, désormais, était sa protégée. Son regard sévère parcourait les alentours tel un vieux mâle veillant sur son territoire contre toute tentative d’intrusion de la part d’esprits trop fougueux et impétueux. Une amère colère se lisait encore sur ses traits car Héraclès ne supportait pas la félonie et la perfidie. Hors il venait de mettre fin à la vie d’un être des plus abjects tout en découvrant par la même occasion que son maître, le roi de cette fertile contrée, était l’instigateur qui avait manigancer ce plan tordu et pervers à la manière d’une araignée tissant une toile de venin autour d’elle pour jouer avec ses proies.

Il jeta un regard sur la jeune lionne, celle qu’il avait faillis tuer dans son intrépide aveuglement. Pauvre créature, victime de la tyrannie et de la mesquinerie de l’homme. Elle ne méritait pas un tel destin et sans-doute a-t-elle souffert mille maux sous le joug de ces manants en armures. Les Dieux étaient-ils si cruels qu’ils créèrent la vie pour qu’elle se détruise dans pareilles actes d’atrocités et de méfaits ?

Hercules secoua lentement la tête. Toutes ces pensées ne faisaient qu’envenimer son esprit à la manière des traîtresses promesses que l’on entendait aux abords du Styx. Il allait méditer, ce soir. Oui, il allait purifier son esprit pour s’éclaircir les idées … à moins qu’il ne se noie de manière fort pécheresse et irresponsable dans le vin et le sommeil.

Elle lui demanda s’il avait un poignard, et c’était le cas. Une dague de bronze était accrochée à sa ceinture, arme de dernier recours bien qu’il s’en est peu servit au cours de ses périples, ayant toujours favorisé l’usage de la force de ses bras et la poigne de ses mains d’acier. On avait souvent tendance à sous-estimer l’efficacité d’une dague, pourtant cette arme pouvait se montrer fort efficace dans des endroits étroits, mais aussi en cas de combat extrêmement rapproché. Un ennemi accroché autour de vous qui tente de vous étranglé ne peut être inquiété par une lame à longue allonge vu la proximité directe. Par contre un coup de poignard … Oh, excusez cette petite analyse militaire au milieu de cette scène, un petit réflexe de soldat.

« Oui, j’en ai un. Mais je ne peux te donner une arme. Pas dans ton état, du moins. »

Il s’approcha lentement d’elle, la rejoignant avant de s’accroupir à son niveau, fixant à son tour le point d’eau à leurs pieds.

« Ces truands ne te feront plus jamais de mal, je t’en fais la promesse. Je te conduirais vers des terres plus clémentes où tu pourras mener la vie que tu souhaite en paix, loin de ces barbares impitoyables. Tu n’auras plus à souffrir. »

Le grand homme approcha lentement son bras pour saisir, délicatement, les pattes de Némée. Il la regarda dans les yeux avec un air paternel, transpirant la compassion et la douceur. Oui, ces mains puissantes capables de broyer les os des monstres les plus coriaces pouvaient aussi se montrer particulièrement douces et délicates, apaisantes. Avec beaucoup de précautions, il caressa les pattes de la lionne, passant la pulpe de ses doigts le long de ses coussinets, ses griffes, son pelage. Il tapota amicalement les mains et lui afficha un sourire sincère.

« Ces mains … ne sont pas faîtes pour tuer, blesser ou faire du mal. Elles sont douces et appartiennent à une âme innocente qui n’a pas eu le bonheur de savourer la vie. Je ne veux pas voir une arme entre tes doigts. Je veux que tu oublies tous ces affreux souvenirs afin de vivre une nouvelle vie. »

Le fils d’Alcmène se releva alors, laissant la féline méditer en paix. Fixant le soleil qui avait prit une douce lueur orangée, il croisa les bras. Les rayons couchants lui donnaient une allure de noblesse naturelle digne de son père, Zeus maître des Cieux. Il inspira lentement, offrant à ses poumons l’air frais et pur de ce pays si beau et pourtant gouverné par un odieux mécréant. Il allait devoir lui régler son compte, d’ailleurs. Mais cela pouvait attendre. Pour le moment la priorité était la sécurité de Némée qui était toujours en danger tant qu’elle foulait ces terres.

« Mon … roi, si l’on peut qualifier ce pleutre d’Eurysthée de roi, ne verra que du feu. J’ai déjà une idée en tête et cela me permettra aussi d’honorer la mémoire de ta défunte mère. On croira que tu n’es plus, mais tu seras loin de toutes les manigances des hommes. Si tu me fais confiance, je te conduirais en lieu sûr. »

Il lui tendit la main, lui souriant à nouveau.

« Me fais-tu confiance ? »

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Ville-Etat de Nexus / Re : Recrutement en pleine action [PV Losgar]
« le: mardi 18 juillet 2017, 00:48:54 »
« Tu as envie de que je vienne te voir plusieurs fois ? Je trouve ça très … adorable.»

Sur ce dernier mot, il avait glissé, lentement et sensuellement, son dard de chaire entre les lèvres intimes d’Angelica jusqu’à la garde, ses bourses pleines cognant dans un bruit des plus coquins le postérieur de la belle renarde, remuant son pieu de gauche à droite entre les parois de sa délicieuse amante avec un sourire amusé.

Losgar avait eu une bonne idée d’aller prendre du repos dans cet établissement si particulier. Epuisé après des semaines d’une chasse au monstre intensive à travers les frontières de Nexus, il avait découvert à la fin de sa mission qu’il avait prit trop de temps à traquer la fameuse bête cornue qui ravageait les villages voisins et avait négligé son propre bien-être. Il n’avait parlé à personne, n’avait dégusté aucun repas digne de ce nom et avait passé chaque nuit à chercher les rares traces laissées par sa proie. Tellement focalisé sur sa tâche qu’il avait délaissé tout autre aspect agréable de la vie pour s’imprégner du frisson de la chasse.

Il avait donc logiquement décidé de prendre un repos bien mérité et chercher des activités plus calmes et apaisantes. Ce club faisait largement bien l’affaire et il avait aussitôt été attiré par la charmante renarde qu’il aborda avec le plus séducteur des sourires. Quelques paroles élégantes et bien placées, un verre, et ils grimpèrent rapidement vers l’une des chambres de l’établissement. On entendit rapidement après de belles plaintes et des bruits à en faire rougir les plus chastes.

Ses larges bras aux muscles taillés dans le marbre s’enroulèrent amoureusement autour de la taille d’Angelica, la serrant contre son corps brûlant de désir. Puis il entama son propre rythme. Jusque-là il avait laissé la renarde guider la chevauchée douce et sensuelle ponctuée de baisers et caresses. À présent c’était au mâle de mener la danse, une cavalcade effrénée et virilement sauvage. Son bassin montait et s’abaissait aussi vite qu’un marteau-pilon, claquant avec une belle vitesse la délicieuse croupe de sa partenaire. Son braquemart limait joyeusement la caverne intime dans des claquements sonores qui s’étendaient à travers les murs de la pièce, rejoignant les hurlements passionnés de la furry.

Ralentissant par la suite le rythme, il glissa une main le long des fesses au pelage soyeux d’Angelica, lui chuchotant d’une voix douce et mielleuse :

«Suis-je donc un si bon partenaire pour qu’une fabuleuse fille comme toi souhaite me garder ? Il va falloir me convaincre d’avantage, ma belle. »

Déposant un brûlant baiser sur le buste offert à ses soins, un rire s’échappa de ses lèvres grises. Sa main qui jusque là flattait la croupe de la renarde pressa fortement la chaire moelleuse avant d’y appliquer une délicieuse claque.

Et son rythme reprit ses assauts rapides et claquants.

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Base Spatiale / Re : L'Odyssée De L'Espace [Losgar]
« le: dimanche 16 juillet 2017, 18:57:06 »
Attentivement, le grand mal écoutait les explications de la Twi’Lek, buvant littéralement chaque mot qui sortait de ses lèvres pulpeuses comme un désert s’abreuvant de toute goutte d’eau qui tomberait dans ses sables assoiffés. C’était plus l’intérêt d’apprendre les enseignements de Talon sur les secrets de l’esprit qui le gardaient si intensivement concentré et non le fait d’écouter sa voix, bien qu’il fallait avouer qu’elle ne le laissait pas de marbre. Oui, il avait beau avoir perdu la mémoire et avoir vécu une expérience apocalyptique des plus intenses, il n’en restait pas moins quelqu’un qui, au fond de lui, avait des instincts. Et ses instincts lui chuchotaient de douces promesses, l’invitant à aborder la Sith, la courtiser, la séduire pour bénéficier d’une délicieuse récompense corporelle.

S’il restait calme et ne laissait guère parler ses pulsions incorrigibles, c’était pour sa volonté de récupérer ses esprits ainsi que par respect pour la Twi’Lek qui n’avait pas hésité à lui venir en aide. Elle ne lui devait rien et pourtant elle désirait souffler sur le voile obscure qui obscurcissait son esprit. Il lui en était reconnaissant, surtout que vu la situation actuelle elle était un peu la seule « amie » qu’il s’est fait depuis sa libération extrême du bocal de laboratoire.

De plus, il analysait lentement chaque information offerte avec calme et minutie, pesant les risques malgré le fait que ce domaine lui restait inconnu pour lui, profane de la Force et de ses secrets. Les solutions offertes par Talon semblaient risquées et elle les écartait toujours pour trouver un moyen moins dangereux d’explorer le monde de sa psyché. Tout cela semblait bien compliqué et dangereux, mais Losgar n’était pas homme qui craignait le danger. Quel que soit la solution finale proposée par la redoutable Sith, il l’accepterait avec une forte détermination.

Mais il fut coupé de ses pensées profondes en sentant le contact des doigts de la Twi’Lek se poser contre son torse nu. Ses prunelles ambrées s’abaissèrent alors pour fixer le visage de Dark Talon, la contemplant réellement depuis leur rencontre. Une très belle femme avec une allure exotique très particulière. Ses sourcils s’arquèrent subtilement quand elle indiqua qu’il fallait qu’ils s’unissent physiquement et psychiquement pour pouvoir pénétrer son esprit embrumé à travers le sexe.

Tandis que la femme se collait contre lui, caressant son visage et ses lèvres, le Noxien ferma délicatement ses yeux. Il était partagé entre le fait qu’ils venaient tout juste de vivre un événement tragique , et de l’autre qu’il n’était pas indifférent aux « avances » de la guerrière. Etait-ce raisonnable de s’abandonner dans les bras de Talon dans une situation pareille ? Ou devait-il juste laisser ses instincts prendre le contrôle et surfer sur la vague ?

Après une réflexion qui dura l’espace d’un instant, il releva lentement ses paupières et répondit d’une voix qui se voulait douce.

« Cela me semble être une méthode bien peu conventionnelle, mais … vu mon absolue ignorance concernant la Force, je me plie à tes propositions. »

Lentement, sa main droite se leva et le bout de ses doigts se posa sur le ventre de la Sith, éprouvant la douceur de sa peau rouge et ses muscles de guerrière aguerrie. Avec douceur, il opposa toute la surface de sa paume sur le ventre de Talon et le caressa lentement, remontant légèrement vers le haut avant de s’arrêter à la limite de ses collines de chaire.

« D’autant que … je ne peux résister à l’appel d’un charme aussi martial et hypnotisant. »

Souriant légèrement, avec un air inconsciemment séducteur, il caressa à son tour les lèvres de la belle avec la pulpe de son pouce.

« Ainsi qu’à ces lèvres envoutantes. »

S’approchant doucement à son tour, son visage à un cheveu du sien, leurs deux respirations s’entremêlaient suavement dans une buée qui devenait de plus en plus chaude. Lentement alors, leurs lèvres se rencontrèrent et un premier et doux baiser fut scellé.

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One Shot / Re : Les douze travaux d'Héraclès [PV]
« le: mardi 13 juin 2017, 03:33:54 »
La situation … avait prit une bien étrange et inattendue tournure. Par tous les Dieux était-ce la folie qui le gagnait ou une comédie de très mauvais goût ? Hercules fronça des sourcils, deux fils de cuivre sur son front plissé par une juste irritation. Son regard s’était lentement déplacé vers le bataillon lourdement armé qui se dirigeait vers lui. Aussitôt, l’esprit tactique du fils d’Alcmène commença à jauger ces nouveaux arrivants à l’aspect fort peu amical.

Des hoplites, l’élite guerrière de la Grèce à son âge d’or. Des hommes en armures lourdes de bronze, de larges boucliers ronds aptes à parer les épées les plus affutées, des lances dont les pointes brillaient d’un éclat menaçant par-dessus les torches qui crachaient d’épais filets de fumée à travers la grotte. À leur ceinture pendait des glaives et des dagues courtes. Derrière leurs casques en laiton on pouvait distinguer des visages durs et patibulaires, des mines renfrognées et peu engageantes. Des tueurs à sang-froid, des meurtriers professionnels dont le regard trahissait une lourde expérience dans des domaines sanglants.


Se tournant vers leur chef ricanant, son regard se voulait menaçant et sa carrure, intimidante. Un homme sensé, connaissant le légendaire Héraclès et ses exploits, aurait pensé à deux fois avant d’oser défier le puissant champion de Zeus, mais Perfide était un être pétrit d’orgueil et d’arrogance, une crapule assoiffée de sang, un bâtard pervers et vicieux qui n’avait aucun respect ni aucune foi. Vétéran de nombreuses batailles, il avait gagné en pouvoir auprès du roi de ce petit paradis et avait aidé ce dernier à en faire un domaine régit par la peur et l’oppression.  Et quel meilleur moyen de pousser le peuple à vous craindre indirectement qu’en lui infligeant un fléau divin, une bête monstrueuse que le roi semble désespérément tenter de combattre ?

Le plan de ces vils malfrats s’affichait enfin dans l’esprit éclairé et vif d’Hercules qui serra des poings sous l’émotion, la jointure de ses doigts blanchissant à vue d’œil.

« Arrière, félons. Allez ramper chez votre maître tant que je vous en donne encore l’occasion, traîtres abjectes, ou par Zeus je jure que je tapisserai cette caverne avec votre sang. »

Spectacle terrifiant que celui d’un guerrier au corps d’athlète exprimer d’une voix de stentor des plus viriles sa fureur contenue. L’homme à la barbe brune fulminait presque et certains jureraient que des flammes brillaient dans ses prunelles à la manière des flammes du domaine d’Hadès.

Pour toute réponse, Perfide ordonna à ses hommes de les mettre en pièces. Dans un cri de guerre qui fit trembler les murs naturels de la caverne, ils fondirent sur le duo acculé, brûlants de plonger leurs lames assoiffées dans du sang frais. Le soldat de tête bondit tel un félin vers Héraclès, son javelot prêt à embrocher le héros. Dans un mouvement plus vif qu’un serpent surgissant de sa tanière, le bras du héros frappa la hampe de l’arme d’hast, déviant sa trajectoire. La pointe effleura le vêtement de la cible, taillant le tissu. Une seconde plus tard et le poing du fils de Zeus rencontra le visage surprit de l’attaquant dans un craquement sonore. Son corps fut projeté par la prodigieuse force d’Hercules, planant un cours instant avant de s’écraser lourdement sur le sol, inerte.

Un instant de flottement suspendit le temps, chacun se toisant un court moment, puis les aboiements de Perfide finirent par pousser les hommes à reprendre l’assaut, comme si les fouets de leurs maîtres étaient à leurs trousses. Ils avaient la rage de vaincre, un passé forgé dans le fer et le sang, et une haine farouche envers celui qui osait leur tenir tête. L’avantage du nombre était aussi de leur côté. Mais tout cela était bien futile pour faire face au plus glorieux et puissant héros de l’Antiquité.

La lionne allait être la spectatrice d’une démonstration de force prodigieuse. Héraclès dégaina son glaive dans un geste rapide et frappa, tranchant la chaire et fendant les armures comme dans du beurre. Ses poings étaient plus implacables que les foudres de son père, son adresse à l’escrime surclassait les vétérans, ses mouvements étaient fluides et précis, emprunts d’une force surnaturelle. Les corps s’entassaient à ses pieds, fauchés par cet invincible stentor. Les boucliers roulaient sur le sol, cabossés, les casques étaient fendus dans une mélodie métallique qui aurait raisonné doucement aux oreilles d’Arès le dieu de la Guerre, un bain de sang s’étendait lentement autour de cette arène silencieuse.

Horrifié, Perfide témoigna de la chute de ses hommes les plus expérimentés comme une faux fauchant un champ de blé. En un temps record le bataillon n’était plus qu’une hécatombe avec au centre un combattant furieux et taché du sang de ses ennemis tombés. Médusé, Perfide chercha d’une main tremblante le manche de son glaive à mesure qu’Hercules approchait à grands-pas vers lui. Au moment même où les doigts du truand rencontraient le bout de son pommeau, la lame du fils d’Alcmène faucha l’air dans un battement de cil. Un battement de cœur, un autre, puis lentement la tête de Perfide glissa sur son cou sectionné avant de rouler mollement sur le sol, suivit de près par le corps sans tête.

Se retournant lentement, Hercules s’approcha de la lionne, s’accroupit devant elle et rangea son épée dans son fourreau.

« Pardonnes-moi pour ma méprise, j’ignorais que ces chiens étaient derrière toute cette mascarade. N’ait crainte car désormais je ne te veux aucun mal. »

Son regard était devenu doux et plein de compassion comme un agneau. Il fixa la flèche encore plantée dans la chaire du félin et approcha doucement sa main.

« Laisses-moi t’aider à te soigner, s’il-te plaît. »

Retirant aussi délicatement que possible la hampe, il versa rapidement un peu d’alcool trouvé dans la ceinture de l’un des soldats tués, puis banda la plaie avec la cape déchirée de Perfide.

« Cela devrait faire l’affaire. Sortant d’ici, tu n’as plus rien à faire dans ce lieu maudit. »

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Base Spatiale / Re : L'Odyssée De L'Espace [Losgar]
« le: samedi 10 juin 2017, 19:11:02 »
L’homme passa sa main sur son visage, se massant douloureusement les tempes. Cette expérience lui avait donné une sacré migraine, son cerveau n’ayant guère eut le temps de s’adapter à la brusque réalité apocalyptique lors de son réveil. Il avait été forcé d’agir rapidement, de survivre dans un monde mourant. Le lieu même où il avait ouvert les yeux s’était écroulé quelques instants plus tard, cela relevait de la pure folie qu’il ait survécu et son raisonnement en souffrait encore.

La sensation d’une main se posant délicatement contre son torse le tira de sa migraine passagère. Ouvrant à nouveaux les yeux, il fixa Talon. Pour la première fois, il la regardait vraiment, cette femme à la peau mordorée qui avait fait preuve de prouesses martiales époustouflantes et d’un sang-froid remarquable. Durant leur périple, il n’avait pas eu le temps ni le loisir de s’intéresser à cette mystérieuse Sith, trop focalisé à repousser des hordes de machines tueuses et de fuir cette planète condamnée. Mais à présent il pouvait la jauger de plus près.

Pas trop longtemps, mais il la fixa brièvement. Assez pour la garder dans sa mémoire et pas au point d’en devenir indécent. Elle était belle, c’est vrai, avec son air farouche et déterminé. Il s’était aussi intéressé à l’arme qui pendait à la ceinture de la Twi’Lek, ce sabre-laser qui se révéla être terriblement efficace face à leurs ennemis mécaniques. Une chance qu’il ait rencontré cette bretteuse hors-pair pour le guider hors de cet enfer.

« J’ai eu … une sensation étrangement familière quand je me suis battus à tes côtés. » Déclara le Noxien d’une voix presque nostalgique, fin murmure entre ses lèvres grises.

« C’est comme si le combat ne m’était pas inconnu. Cette sensation de danger, cette rage de vaincre, tout ça semblait faire partie de moi. J’ai l’impression que je fus autrefois quelqu’un d’habitué à ce genre de situations délicates. »

Il fixa la paume de sa main, cette peau cendrée, ces doigts épais. Serait-ce la main d’un combattant ? D’un soldat ? Peut-être qu’il fut un militaire autrefois, un soldat anonyme qui a finit par une suite de circonstances étranges dans le laboratoire ? Ou ce pourrait-il qu’il soit un dangereux criminel, un pirate ou un contrebandier qui fut condamné à servir de cobaye pour racheter ses crimes ?

Toutes ces spéculations ne firent qu’accentuer un peu plus son mal de tête, l’obligeant à écarter ces multiples hypothèses. Fixant à nouveau Talon, il inspira profondément avant de lui demander, d’une voix étrangement calme et presque envoûtante tant le timbre était doux et mystérieux à la fois, un grondement subtil, une caresse vocale.

« Guides-moi … je suis prêt à te suivre dans les méandres de mon esprit embrumé. »

Ce n’était pas un ordre, mais une demande. Il dépendait d’elle, cette belle alien qui lui avait promis de recouvrer sa mémoire travers la Force. Il ignorait comment elle allait s’y prendre, mais il était prêt à tout faire pour percer le voile qui couvrait son esprit.

Agissant sans clairement y penser, il se saisit doucement de la main de la Twi’Lek, la guidant avec lui vers une pièce étroite mais relativement calme et isolée. Une chambre spartiate avec tout juste un banc métallique où se reposer. Ainsi entre eux deux, à l’abris des regards indiscrets des survivants Coroniens, il se dressa de toute sa hauteur devant elle. Ses prunelles dorées brillaient d’une lueur d’espoir et d’impatience.

« Je suis prêt. »

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Prélude / Re : Une envie, une peluche ! Slave Furry Club. [Darthestar]
« le: jeudi 08 juin 2017, 01:25:21 »
Bienvenue parmi nous et au plaisir de te lire ~

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Les contrées du Chaos / Re : L'appel du donjon [PV]
« le: mercredi 07 juin 2017, 19:58:11 »
Ce silence, cette atmosphère lourde et pesante, cette sensation que tout se figeait et que le temps se suspendait, qu’il coupait son souffle à la présence d’un danger imminent. Losgar ne connaissait que trop bien cette ambiance qui s’installait et elle était généralement annonciatrice d’ennuis.  La tension palpable, presque électrique, ce frisson qui parcourait votre peau, votre cœur qui commençait à battre avec fureur à mesure que votre corps vous dopait avec des drogues stimulantes qui aiguisaient vos sens. Le Noxien sentait son sang bouillir sous l’excitation de ce qui allait être, suivant son instinct, un combat imminent.

Ses prunelles ambrées se levèrent lentement vers le ciel, fixant un trio d’ombres qui approchaient à grande vitesse vers lui. Les contours s’éclairaient et il put distinguer ses trois agresseurs, de curieuses bêtes semblant mélanger les aspects d’oiseaux de proies et de reptiles volants. Des plumes multicolores leurs donnaient un air des plus exotiques, mais l’homme de l’espace s’intéressait plus aux armes naturelles dont étaient dotées ces volatiles carnassiers. La nature les avaient gâtées en leur offrant des serres aussi aiguisées que la lame d’un rasoir, un bec terrifiant qui semblait pouvoir dépecer aisément un troll adulte, ainsi qu’un aiguillon qui pouvait se révéler être fort traître lors d’une mêlée confuse. Une piqure au flanc pouvait passer facilement inaperçue.

Trois dangereux prédateurs ailés, voilà donc la seconde épreuve qu’on lui imposait. Silencieux, il se contenta de les fixer, d’essayer de jauger leur vitesse de déplacement, leur envergure, leur comportement. Allaient-ils l’attaquer directement ou continuer de lui tourner autour pour le toiser du regard ? Il fit un pas, ce qui sembla affecter brusquement le comportement des monstres à plumes qui passèrent brusquement à l’attaque, fendant sur lui tel un éclair multi-couleur.

Une danse s’en suivit, une danse de serres coupantes et de manteau noir qui voletait autour d’un guerrier qui esquivait, parait et se mouvait avec une grâce féline et une vélocité purement militaire. Les oiseaux de proie étaient aussi rapides que des carreaux d’arbalètes. Leur agressivité toute particulière faisait qu’ils ne donnaient aucun répit au Noxien, l’harcelant encore et encore d’attaques vives et précises. Pourtant le mâle gris avait porté son regard vers une toute autre cible : le troisième animal restait en retrait, le regardant de ses yeux vitreux.

Il se doutait bien que l’ennemi n’était pas intimidé par leur proie à en juger par son regard qui, malgré toute la bestialité primitive qui s’affichait sur la face du monstre, laissait entrevoir une faible nuance de malice. Il n’était pas indécis ou apeuré, il guettait un faux mouvement de sa part pour assener le coup de grâce. Losgar pensa à cette légende qu’il avait entendu dans une taverne de la bouche d’un ménestrel, celle de l’épée de Damoclès et il ne put s’empêcher de sourire en comparant cette lame fatidique avec l’oiseau de malheur qui restait suspendu au-dessus de lui.

Mais trêve d’amusement, il était venu pour se mesurer à de vraies monstruosités. Le piège de tout à l’heure l’avait légèrement excité, l’anticipant à de nouvelles épreuves encore plus formidables et palpitantes, mais ces ennemis à plumes étaient surclassés face au Noxien. Il comprenait néanmoins que le maître des lieux, qui qu’il soit, n’avait encore aucune idée quant à la puissance réelle de l’aventurier à la peau cendrée et avait jugé plus prudent de lui envoyer ce que Losgar considérait comme un petit échauffement. Il allait leur montrer qu’il en fallait largement plus pour espérer faire suer le champion venu des étoiles.

Ses mains se levèrent brusquement, paumes dévoilées et tendues de chaque côté où les deux prédateurs ailés tentaient de l’attaquer dans une manœuvre de prise en tenaille par els flancs, puis ferma les yeux. Un battement de cœur, un second encore et puis le voilà soudain qui libéra une unique mais Ô combien époustouflante onde de choc puisée dans ses propres ressources, soufflant les monstres qui étaient à deux doigts de le lacérer comme une vulgaire poupée de chiffon. Soufflés par le puissant vent, ils perdirent l’équilibre délicat du vol et furent impitoyablement repoussés à plusieurs mètres de l’épicentre de l’onde. Ils faillirent tomber mais reprirent rapidement leur envol, laissant un petit nuage de plumes autour de Losgar qui les fixaient avec un regard de défi.

Prudents, ils tournèrent à nouveau au-dessus de lui à la manière de vautours funèbres, poussant leurs croassements étranges avec irritation. Leur proie, non contente de se faufiler comme une anguille entre leurs serres, venaient de faire une simple mais brutal démonstration de force. Le troisième oiseau, qui semblait avoir désiré se jeter sur les épaules du guerrier lors de l’attaque de ses congénères, s’abstint et préféra grimper plus haut, le fixant toujours avec appétit.

« Il semblerait qu’une autre démonstration suffirait à calmer leurs ardeurs. » Marmonna le mâle en croisant des bras, pensif.

Il avisa un gros caillou à ses pieds et le ramassa lentement, le faisant rebondir souplement sur sa main.

« Hm, ça devrait faire l’affaire. »

Serrant doucement sa main autour de la pierre, une lueur violacée s’échappa d’entre ses doigts à mesure qu’il insufflait petit à petit de l’énergie dans le caillou qui prit une couleur mauve. Telle une catapulte faîte de chaire et de sang, le bras du Noxien projeta à grande vitesse la pierre vers l’ennemi, plus exactement à deux pas du prédateur accroché aux murs. Fusant telle une flèche, elle explosa à mi-chemin dans une détonation de la même couleur que l’énergie dont elle était gavée, projetant autour d’elle une kyrielle de morceaux coupants qui tailladèrent légèrement les oiseaux de proie pris de court. Ils crièrent et battirent des ailes, blessés autant dans la chaire que dans leur orgueil.

Sans demander leur reste, ils fuirent à tire-d’aile, vaincus, sans avoir eu l’occasion de goûter au sang métallique le long de leurs becs affutés. Ils iront panser leurs blessures dans leurs nids et ravaler leur fierté blessée.

Losgar tapa à plusieurs reprises sur ses mains pour se débarrasser de la poussière qui s’y était accumulée avant de tout simplement reprendre son ascension, espérant que le prochain obstacle soit digne de l’ancien prince de la fière civilisation perdue de Nox.

28
Prélude / Re : Nyan... Mon nom est Anya Nyan [Ahri]
« le: lundi 05 juin 2017, 16:53:55 »
Re-bienvenue parmi nous et au plaisir de te lire ~

29
Prélude / Re : Si vis pacem, para bellum [Validémonisée]
« le: lundi 05 juin 2017, 16:52:48 »
Fiche très intéressante.

Bienvenue parmi nous et au plaisir de te lire ~

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Ralentissement progressif
« le: dimanche 04 juin 2017, 15:19:10 »
Heureux de te revoir parmi nous Solace, ça faisait un bail ^^

Bon retour et au plaisir de te lire ~

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