Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 27 août 2018, 00:52:16 »Quand la sonnerie sonna, ma tension nerveuse était toujours aussi forte, et, prenant tout son temps, ma Maîtresse continuait à me frustrer. Sérieusement ? Est-ce qu’elle ne voyait pas dans quel état j’étais ? Tout mon corps me donnait l’impression de trembler sur place, tandis que je ne pouvais m’empêcher d’imaginer le contact de sa queue en moi. Oh oui ! Je n’avais aucune honte à le penser, mais, en ce moment, je fantasmai clairement là-dessus. Nous rejoignîmes ainsi les toilettes. Au lycée Mishima, comme partout ailleurs, les élèves se chargeaient après les cours, par roulement, de l’entretien des salles et des classes, et il fallait bien admettre que nous faisions plutôt un bon travail. De plus, ces toilettes n’étaient pas très souvent utilisées, surtout à l’heure de la pause récréative, car ils étaient assez éloignés. Il n’y avait d’ailleurs que nous, et je me retrouvai très vite acculée entre, d’un côté, la paroi, et, de l’autre, le corps de ma Maîtresse, qui m’exhiba sa grosse sucette.
« Maîtresse..., me mis-je à gémir de nouveau. Pitié... »
Difficile de dire à quel point, en ce moment, je voulais sentir cette grosse queue me perforer, me prendre énergiquement, et me faire hurler comme une folle. Oui, là, tout de suite, il était difficile d’imaginer à quel point tout ce que j’avais en tête, c’était la sensation de remplissage, de complétude en sentant ma Maîtresse me prendre. Je mouillai, et sentis ensuite ma Maîtresse se rapprocher de moi. Elle abaissa ma culotte, et je lui tournai le dos, cambrant mes fesses, avant de couiner en sentant sa main me gifler.
« Haaa... N-Non, Maîtresse, c’est... Vous avez passé toute la matinée à côté de moi, à me titiller, à me provoquer, haaa... Comment voulez-vous que je vous résiste, hmm... Maîtresse, ma Maîtresse... »
Oui, sa Maîtresse ! Un possessif un peu mal choisi, mais qui, à mes yeux, illustrai surtout le fait que j’étais ravie d’avoir une Maîtresse. C’était... Eh bien, j’étais sans doute folle, mais, pour moi, c’était comme si je venais d’avoir un petit-ami. Et, en fait, c’était sans doute encore mieux que ça. Je goûtais en ce moment à une plénitude incroyable, un sentiment de bonheur absolu qui me remplissait de joie, au point que je risquai le débord. Je la sentais là, dans mon dos, à me prendre, et je manquai bien d’avoir un orgasme pile quand elle me pénétra... Mais, hey, je devais tout de même être à la hauteur des ambitions de ma Maîtresse ! Je me retins donc, soupirant, m’appuyant sur la cuvette des toilettes, gémissant à nouveau, sentant le membre de ma Maîtresse se glisser plus profondément en moi. De la salive coula de mes dents, tandis qu’elle continuait à me prendre.
Toute à mon excitation, je n’entendis évidemment pas une personne supplémentaire arriver. Ces quelques bruits de pas m’échappèrent donc. La femme referma doucement la porte à clef derrière elle, puis s’assit sur un lavabo, et attendit patiemment, observant ses longs ongles en souriant encore.
Après tout, ce n’était pas tous les jours qu’une vampire comme Mélinda Warren surprenait dans les toilettes une démone en train de besogner férocement une jeune femme...