Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Dictature d'Ashnard / Re : Une aventurière avec un démon ?[PV Stephen Connor]
« le: dimanche 29 juillet 2018, 01:27:43 »
   La réaction de son adversaire passa inaperçue, Apogée assez émécher pour ne pas remarquer son regard suppliant à l'écart du Duc. Mais le mutisme de son adversaire et de reste ne lui échappa.

-Bah alors grande gueule ? Lâcha Apogée. T'a bue ta langue ?

   Elle ria comme un phoque à sa blague douteuse, alors que Helel rallongea son ardoise. On posa le tonneau à côté tandis qu'on apporta des choppes, qu'on remplit rapidement, avant de les mettre devant les deux concurrents. Le top fut donner par Apogée qui ouvrir le concours en buvant sans plus tarder une choppe, qu'elle vida d'une traite, avant de la reposer par terre et d'en prendre une autre, suivit du démon qui en fit autant. Les pintes s’enchaînèrent ainsi, sous les encouragements de la foule, la majorité pour le démon, Apogée récoltant principalement des acclamations ou insulte salace, mais qui ne la touchèrent pas plus que ça. Après seulement quelque pintes, le démon commença à lancer des provocations, provoquant l'hilarité de ses pairs, tout en enchaînant les rôts, auquel Apogée répondit par un rôt particulièrement sonore après avoir vidé une pinte cul sec, dépassant ceux du démon de plusieurs décibels, choquant l'assembler.

-Et toi tralouzzzeee... Souffla Apogée. T'peu faire pluch d'boucan ??

   Elle souffla d'autre baragouinage assez peu traduisible, mais qui devait être d'aller chercher sa virilité et ses couilles dans le ventre de sa mère. Elle commençait à voir double, mais ne cela ne l’empêcha pas de boire, ne sachant même plus combien de chope elle avait bue, se concentrant que sur ça, ignorant le complot qui se trame contre elle et l'orgie dont elle ferait l'objet. En lieu est place elle continua à boire, sans soutien que les quolibets des queutards et des soiffards. Telle absorbé dans sa beuverie, qu'elle ne se rendit même pas compte que l'autre en face se branlé allégrement sur sa la vision de poitrine. Et comme pour en rajouté plus, Apogée bue trop rapidement une autre pinte, aspergeant à moitié sa poitrine d'alcool, le liquide se mettant à dégouliner de partout, aux plus grands bonheur

« Si tu t’écroules encore, t’as perdu ! Et r’garde moi bien, j’vais t’faire boire une pinte d’mon jus à moi. Si j'sature avant toi, j'la boirai même moi-même buhahaha! »
-BOOUARFARFARFARFARF. Rigola Apogée à gorge déployer en frappant la table du poing, au point de la brisé, fessant voler des chopes. J'vous suis les jumeaux ! Cria t-elle, en chopant la table d’à côté pour remplacer la leur, avant de reprendre une chope.

   Et le duel durant encore longtemps, jusqu'à ce Apogée commence à montré des signes de faiblesses. Les quantités étant trop importantes, son ventre commença à gonfler, prenant quelque rondeur, son corps n'arrivant à pas suivre le rythme, son estomac, bien que capable de digéré sans rien laisser presque n'importe quoi, avait une limité niveau quantité et rapidité. Son corps réagit et imita les effets de la saturation, ballonnement et trop plein, mais son esprit trop imbibé d'alcool, fessait tourné la tête à Apogée, la forçant à boire, par une fierté factice. La dernière lampé de sa chope la fit hésité, car elle crue que cette dernière lui parler.

-Ahah... kopine... Baragouina Apogée, avant qu'on lui arrache la pinte des mains. Eh... rend moi ma keeuupiiinnneee. Lâcha Apogée en essayant de récupérer sa chope.

   Mais elle ne put que voir de manière brouiller le démon se tenir au dessus de sa chope, sa trique en main, bien qu'elle ne put comprendre entièrement la scène, pas plus que le crie de jouissance qu'il poussa. Il lui mit la chope nouvellement remplie d'un liquide crémeux, devant Apogée, qui souffla « Keupine? », avant d'être saisit par la tête et les bras. L'idée était de la poussé contre la chope, mais elle était tellement soûle, qu'elle ne fit rien, et on l’écrasa plus qu'on la poussa contre la chope, provoquant un BONK sonore couvrant un petit craquement, quand on enfonça sa bouche dans la pinte. Ceux qui la tenait furent surpris, lâchant ses bras, qui tombèrent mollement. Apogée était amorphe.

-Même pas drôle.
Râla un démon.

   Juste avant qu'un des bras d'Apogée ne se pose brutalement sur la table, fessant reculer l'assembler, servant de levier pour que Apogée se releve, la bouche pleine de sperme et le nez un peu trop de travers, du sang coulant légèrement. De l'autre main, elle chopa son nez et le remit en place, provoquant un craquement sonore, sans frémir, avant de prendre la chope... et de la boire. En plusieurs et longue gorgée, déglutissant fortement, des filet tombant sur sa poitrine, avant de lâcher un soupir de satisfaction et de s'essuyer la bouche d'un revers de la main.

-Et connard.. l'duel est pas finis ! Brailla Apogée, complètement ivre. J... j'étais avec ma kopine ! Ch'est plus où elle l'est. Bof... une autre !

   Elle avait visiblement encore à revendre, et surtout elle avait pas pleinement réaliser ce qu'elle avait bue. Ce qui fit rire grassement Rugon, qui au lieu de jouir dans la gorge d'une succube, se vida dans une chope, avant de se dirigé vers Apogée. Il vira celui qui tendait une pinte classique et lui remit la chope pleine de foutre à la place, avant de forcer Gongan à ce rasseoir.

-Aller Gongan, le duel n'est pas finit. Dit il avec un grand sourire et un clin d’œil, tout en lui mettant un chope normale dans les mains. Camarade ! Faite honneur à la dame voyons !

   Plusieurs rire gras s'élevèrent, tandis qu'on commençait à ce masturber pour remplir les chopes de foutre ou que des succubes s’occupèrent de branler les verges, chope en main, comme des serveuses avec une tireuse à bière. Apogée finit la chope de Rugon, que déjà une demi-douzaine de pintes de foutre entouré son visage. Par fierté et vanité elle avait bue deux pintes de plus, la dernière se vidant à 1/3 sur sa poitrine, avant qu'elle réalise qu'elle n'en voulait pas plus, mais on la força à boire, les pintes s'accumulant et Apogée bien trop alcoolisé pour réagir comme il fallait.

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« De quel géant es-tu la fille pour être bâtie comme cela ? Je suis curieux d'en savoir plus. »
-Tl'ai d'jà dit, enfin je crois. Répondit Apogée. Mon pére était un simple soldat, mais c'est ma mère, avec d'autre mage, qui m'ont donner ce corps, j'allais très bien, fallais un gosse, c'est tout. Dit elle, le ton de sa voix montrant qu'elle n'était pas tellement sur, malgré que ce soit la vérité pour elle. Me rappel plus très bien ce qu'ils ont fait exactement.

   Apogée n'avait pas remarquer les lueurs lubriques dans le regards des autres consommateur, mais elle pouvait sentir leur regard et savait très bien de quoi il en retournait. C'est plutôt rare qu'elle ne sente pas ce genre de regard sur elle en entrant dans une taverne. Rien qu'a les voir certain était clairement du genre à abuser des femmes ivres ou pas assez forte comme elle. Clairement le genre de personne qu'elle adore humilier au bras de fer avant une baise. Mais de par son expérience, elle pouvait voir, qu'il n'y avait tellement d'humain par ici, certain avait écrit démon sur leur front. Le barman lui offrit assez brusquement une autre pinte, s'attirant un regard réprobateur de Apogée.

« C’est la maison qui offre, ma jolie. Bois, allez. »
« Tu as vraiment les yeux plus gros que le ventre. Ce n’est pas de l’alcool normal que l’on sert ici. Je parie que tu roules sous la table dans pas moins de trois chopes. »

   Le rire que Apogée émit aurait réveiller les morts tellement qu'il était puissant, au point de couvrir le brouhaha juste avant qu'elle ne siffle la pinte, avant de la reposer assez fort, brisant la anse de cette dernière, montrant qu'elle n'avait pas peur et en avait une paire. Mais elle eu un moment de flottement, avant d'en reprendre une autre, puis une autre, avant de stopper, se sentant mal et ballonner. Cette boisson passait mal et maintenant qu'elle y prêtait attention, elle ne reconnaissait pas tellement l'endroit. Changement de propriétaire sûrement, depuis le temps, mais ça ne fessait pas si longtemps que ça en faite.

« P’tite nature, mem’ pas capab’ d’boire une ot’ pinte. »
-Quoi ? Répondit Apogée, la voix bourru, sortant de ses pensées.

   Puis l'assembler se mirent à scander « cul sec ». Sa fierté en jeu et touché dans son orgueil, Apogée saisit rageusement la pinte que lui tendait l'orc, et avala d'une traite le breuvage, provoquant des vivats une fois une fois la chope vider de sa dernière goutte. Elle reposa violemment la chope, fracassant le comptoir et la pinte en même temps, son bras le traversant facilement.

-Putain... lâcha t-elle en retirant son bras, couvert de petite entaille, laissant couler un peu de sang d'une couleur proche du bronze.

   Elle s'écroula, morte. Du moins c'est ce que dirait n'importe qui en l'auscultant. Aucun pouls, par de respiration, le regard éteint, le cœur arrêté et rien qui corresponde à une étincelle de vie. En faite le breuvage n'avait rien de connue et d'orgine démoniaque. Malgré la prouesse magique qu'était Apogée, elle avait des limites, il y avait bien des choses qu'elle ne pouvait pas manger et la nature de son propage interférer avec la magie contenue en elle. Ainsi elle perdit « la vie », le temps que la magie puise corriger cette anomalie et l'intégré. Ainsi, tandis que des personnes s'étaient rapprocher avec de vil intentions, Apogée refit surface après quelque instant et se redressa brusquement, surprenant un homme de stature imposant qui chercher à enlever son soutien gorge, qui se releva prestement. Apogée se releva en s'agrippant à lui, et avant qu'il ne puise faire quoi que soit, elle l'attrapa par le col et l'envoya valser à l'autre bout de la pièce comme un vulgaire torchon et sans grand effort, jusqu'à ce qu'il s’écrase contre une table et ne se cogne contre le mur. Elle tituba un peu avant de se reprendre, un peu éméché, et les blessures sur son bras se cicatrisant rapidement, ne laissant plus de trace.

-RRAAAAHHH !!!
Beugla t-elle, un éclat de folie dans le regard, le sourire vorace. Putain ! Cet alcool me fais du bien ! Un autre !

   En même temps elle se tourna vers celui qui l'avait insulter de petite nature, avant de se diriger d'un pas lourd vers sa table, chassa d'un coup de pied son voisin et posa sa chope brutalement sur la table et tira une chaise.

-T'a une sacrée grande gueule pour m'insulter de p'tit nature mon gros.
Scanda Apogée. J'espère que t'a l'estomac qui suit, on voir le quels de nous deux ne sait pas boire ! Lâcha t-elle avant de vider sa chope. Patron ! Ta réserve ! Moi et grand gueule on vas discuter un peu !

   Apogée n'avait pas l'alcool mauvais, mais celui-ci la réussissait bien, son esprit commençant à être embrumer, parvenant à boire sans dommage ce liquide et à imité les effets de l'alcool. Elle pouvait en boire autant qu'elle voulait et surement plus que celui qu'elle appelait grande gueule. L'orck s’exécuta, amenant plusieurs chopes et un tonneau, tandis qu'on fit cercle autour d'eux. Rien de lus facile pour la saouler et lui faire payer son attitude. Celui que Apogée avait balancé, se releva, sonné, n'arrivant pas bien à comprendre ce qui s'était passer. Elle devait être tomber dans les vapes, complètements inertes ! Ils avaient été surprit, mais il avait été le plus rapide pour aller dessus. Humilier, il n'avait plus vraiment envie de la sauter, mais juste de lui faire payer cet affront à cet salope. Il la chercha des yeux, la colère et la rage grondant dans ses yeux, tandis qu'on lui jeter des regards hautains et moqueurs. Il vit le rassemblement et voulue s'y diriger, dans la ferme intention de faire du mal à cette truite. Mais il fut stopper par un autre.

-Quoi ? Tu veux que je t’écrase !
Éructa t-il.
-Elle sous la protection du duc, et vue sa force tu perdra plus que tu ne voudras te venger. Chuchota l'autre, moins imposant. Attend qu'elle soit totalement bourré, après tu pourra te venger.
-Grmbll. Fit le démon. Soit.

   Il se tempéra et du s'admettre qu'il allait faire une erreur. Il se dirigea plutôt vers une des succubes mise en retrait, le temps que l'autre saloperie soit ivre morte.

18
« Quel dommage. Il est vrai, je ne voudrais pas gâcher ce corps, après tout. »

   Apogée eu un petit rire, et mit ses mains sur les cuisses de son amant, caressant ses muscles, remontant vers le bassin et posa sa tête sur l'épaule du l'homme, bien qu'elle se doutait qu'il était autre chose, rare était ceux à jouer à égalité avec elle dans une épreuve de force. Elle fit passer sa longue chevelure flamboyante pardessus l'épaule de Helel, formant une curieuse cape et d'une douce caresse. Elle aurait bien voulue passer ses mains autour de son cou, mais ils étaient de la même taille, ce qui était assez difficile et peu pratique. Finalement, après avoir frotter son pilier de chair contre les fesses de Apogée, Helel entreprit de la soulever par les cuisses, accompagner d'un grognement rauque, que Apogée se plaisait à imaginer sous l'effort que devait fournir son mâle, pour la soulever le maintenir en l'air. Elle ne fit rien pour lui facilité la tache, ce qui l'aurait sans doute déplus, sa fierté entré un peu en jeu. Et elle était aussi terriblement excité et réjouit, car c'était bien le premier homme à la soulever.

« Nous aurons toute la bière et tous les matelas épais que tu souhaites, femme. Mais pour le moment… »
-Oh putain oui... Souffla Apogée, quand elle sentie la trique s'enfoncer en elle et à la promesse.

   Elle s'était déjà faite prendre par là il n'y a quelque instant, mais dans cette position, cela avait un goût de nouveauté, en plus d'être plus excitant. Helel semblait trembler sous l'effort, enfonçant doucement son braquemart dans Apogée, ou bien à cause des sensations qu'il éprouvait en pénétrant le fondement de Apogée. Et pour rien arranger, Apogée contracter ses fesses, serrant la bite gargantuesque entre ses muscles et ses parois rectales, rendant la pénétration encore plus dur et intense pour l'homme. Apogée avait fermer ses yeux, laissant tout son esprit se concentré sur la trique la pénétrant, soupirant d'aise et de plaisir.

« Wow, je… J’ai rarement baisé quelqu’un d’aussi délicieux que toi. »
-Déguste moi avec passion si j'suis délicieuse. Susurra Apogée, jouant un peu avec son bassin, compliquant un peu la tache du mâle, mais frottant sa virilité en même temps. Sa température corporelle avait gagner en intensité, dépassant largement les 50°c

   Sans doute en réponse, ses coups se firent plus rapide, plus fort, brutale, animée par l'ardeur et le plaisir. Les claquement se firent rapidement entendre et Apogée se rendit compte que son partenaire avait de moins en moins de mal à la soulever, galvaniser par son plaisir, pilonnant ses entrailles, fessant trembler le corps de Apogée sous sa force, sa vigueur, sa vitesse et son ardeur, fessant ballotté se seins à l'envie. Longue, dure et épaisse, enfonçant entièrement sa trique dans sa femelle, il parvenait à déformer le ventre de Apogée, une bosse se formant à chaque coup, arrachant quelque larme à Apogée, qui hurlait son plaisir sans se retenir, hurlant au cieux le bien qu'elle ressentait et le plaisir de se faire limer par cet queue, si bien qu'elle finit par jouir, un puissant geyser de cyprine jaillit de ses lèvres intimes, brûlante à souhait, accompagner d'un puissant hurlement de plaisir, retentissant à travers la plaine. Le couple de barbare, à force de crie, avait fait fuir tout les animaux présents à moins d'un lieue* à la ronde, témoin de la puissance de leur ébat. Tous ce plaisir fessait tourner la tête à Apogée, qui avait perdu perdant la notion de temps, la journée perdant de son éclat, la fin d'après midi s'annonçant.

   Pour ne rien arranger, l'homme finit par jouir, l'annonçant d'un puissant hurlement. Sans doute un miracle pour que leur tympans soient toujours intacte. Toujours est t-il que Helel se vida à grand jets, Apogée pouvant sentir la puissant des jets s’écraser en elle, parvenant à lui faire mal, et sentir ses entrailles se remplir, l'homme donnant de léger à coup, parcourue de spams. Il se vida longuement, maculant les entrailles de son foutre, les noyant sous la quantité, si bien que la bosse sur ventre provoquer par le mastodonte, avait prit du volume sous la quantité de foutre. Apogée relâcha tout ses muscles, se détendant sous le plaisir implacable, ayant même un second orgasme, tout aussi intense.

   Les yeux hagards, le visage béat, ce fut à peine si elle comprit son amant, toujours la tête sur son épaule. Elle tourna la tête vers lui, le laissant happer ses lèvres, l'embarquant dans un baisser torride et plein d'ardeur. Embrassade endiablé, sauvage, mélangeant leur langues, leur souffles ardent et leur salives, celle-ci dégoulinant de leur lèvres. Apogée était toujours tenue en l'air, Helel toujours planté en elle et enfin sa vigueur toujours aussi fière et imposante. Les trois inépuisés malgré l'effort.

-Pfffuuaa... émit Apogée en brisant le baiser. Putain de merde... aaah... c'était putain de bon... aaahh. P'tain, tu t'es vider pour le mois à venir. Dit elle en touchant son ventre. Tu peux m'posser ? Merci.

   L'homme relâcha la guerrière et retira lentement son gourdin de guerre, recouvert de sperme, libérant un flot de sperme, avant que Apogée ne contracte ses fesses et son bassin, stoppant la coulé de fluide, en grognant. Elle se rhabilla, mais évita de remettre sa tassettem et ses bottes, ses jambes maculé de cyprine et de sperme. Une fois fais, elle reprit son épée, qui presque put servir d'enclume, avant de se diriger vers le sanglier griller. Encore tiède, mais le fumé du repas avait pratiquement disparue, rien d'attirant et recouvert par endroit d'insecte, de mouche et des charognards étaient passer par là durant leur ébats visiblement, mais pas trop longtemps aussi. Dommage. Elle ramassa ses affaires et se dirigea vers le premier qu'elle avait tuer.

-J't'emprunte ça. Dit Apogée, en prenant la machette planté dans le sanglier rôtie.

   Elle caressa la bestiole, avant de la dépeçait avec habilité, mais rudesse, l'animal, lui arrachant plusieurs morceaux de peau, fessant en sorte de garder principalement la fourrure. Elle ne pouvait pas contenir tout ce sperme en elle, ni se balader avec ces jambes aussi maculés de fluides,

-La nature m'appelle, t'approche pas. Annonça Apogée, un air assez menaçant, avant de planter la machette dans la bestiole.

   Par chance, non loin un buisson lui tentait les branches pour qu'elle puise faire son affaire, sans s'afficher et s'humilier, la situation déjà assez humiliante. Putain ce ne sont pas des burnes, mais des gourdes qu'il a, vue la quantité de foutre qu'il balance. Après quelque minute, où la nature fit son office, une peau reconvertie en papier et une gourde d'eau vidée, ce qui n'était pas un soucie, pouvant passer l'éternité sans boire, son besoin d'eau n'étant là que pour la conforté dans son humanité. Et puis elle en avait une autre.

-Bon on peut y aller.
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   Ashnard, oui c'est une ellipse pour gagner des lignes sur le scénario. Enfin, par chance Helel avait un cheval et avait proposé à Apogée de monter avec lui, cela avait été un gain de temps considérable.  L'entre fut assez compliqué, comme toujours, Apogée n'étant pas citoyenne, ni une ennemi, elle avait payer un titre de séjour et négocier pour ses affaires. Mais une fois fait, le duo put avoir afin droit à une bière bien mérité, surtout Apogée, qui rêvait aussi d'un bain, mais chaque chose en son temps ! Elle se dirigea vers sa taverne favorite, la cervoise naine, plutôt de bonne qualité et à l’ambiance toujours festive.

   Elle ouvrit la porte, et fut choqué : visiblement il y a eu changement de propriétaire, car l'intérieur avait bien changé. Les murs couleurs cendres, des tables et chaises d'aspect tourmentée, le parquet noir, l'ambiance assez sombre, les clients y étaient pour beaucoup, certains proche des humains, mais possédant des cornes, des yeux rouges et même parfois de la fourrure, des sortes de satyres. D'autre d'aspect plus bestial, rappelant des lycans, aux poils sombres et les yeux rougeoyant. Le choc passé,  elle fut moins surprise car Ashnard regorge de créature et de démons, Apogée devinant la nature de quelque un, la peau cendre, rougeoyante ou noir. Ce n'était pas la première fois qu'elle en voyait, ayant déjà connue quelque rixe avec des démons qui voulaient la soumettre, avant de devoir ramasser leur dents.

   Tous se retournèrent, la première rangée puis la suivante et le reste. Surprit, ils dévisagèrent les deux nouveaux arrivants, esquissant des petits sourires, avant de retourner à leur affaire. Apogée, nullement intimidé avançant avec une assurance impressionnante ou une inconscience certaine, l'aura démoniaque et de danger se dégageant de la foule en auraient fait reculer plus d'un. En plus de cela, beaucoup firent les gros yeux en la voyant, la reniflant de loin, choqué de voir une humaine… dépourvue d'âme et de vie, le chuchotant à leur voisin. Un fait bien plus choquant que la surprise agréable de son arriver.

-Tavernier ! Ta meilleure boisson dans un tonnelet ! Clamât Apogée, posant brutalement son avant bras sur le comptoir.

   Le tavernier, qui semblait être un bâtard entre un homme et un orck, musculeux, comme le reste par ailleurs, mais la peau grise et exhalant une faible odeur de souffre. Il eu un petit rire et sortie un tonnelet et une chope, mais Apogée attrapa plutôt le tonnelet et commença à boire, après avoir retirer le couvercle . Non seulement elle surprit la salle et s’attira quelque remarque, mais ôta la fierté à certain, en vidant d'une traite le tonnelet, sans reprendre sa respiration. On pouvait clairement dire qu'elle avait très soif, bien que soit excessif, sans doute pour impressionner la foule.

-Bbbouuaaa… *burb*. Émit Apogée. P’tain, c'est du bon et ça fait du bien. C'est sur sa note. Annonça Apogée en, montrant Helel. Un autre.

* en lieue métrique soit 4km

19
   Elle aurait pus stopper là, le combat ayant tourné court, mais la passion et l’ardeur dont fessait preuve le couple de barbare, l’empêcher de s’arrêter. Il serait dommage de ne pas en profiter et rare était ses amants d’une soirée arrosée, qui pouvaient se vanter de lui avoir donner autant de sensation et autant de plaisir. Bouillant, sauvage et passionnel, elle n’avait pas eu un ébat aussi chaud et mouvementé depuis qu’elle parcours Terra, ses compagnons, bien que fougueux et plein d’ardeur, ne pouvait se dire aussi ardent et fougueux que l’homme qui lui ravager le cul !

   Presque en synchronisation, quand elle abaissait son bassin, il remontait le sien, et inversement. Les pénétrations étaient puissantes, ses fesses claquant violemment contre le bassin de l’homme, les bruits de claquement pouvant s’entendre de loin, leur crie de plaisir fessant fuir quelque créatures, apeurés par les cries bestiaux des deux amants. La douleur passer lentement, ses parois s’adaptant au monstre qui creusait son antre, prenant ses aises, bien qu’a l’étroit, sans compter que Apogée contractait les muscles de son bassin, formant un étau de chairs et de muscles, comprimant la verge dans un cocon chaud et serrer. Représailles pour son cul que Helel écartait sans pitié, malaxant et griffant ses fesses.

   Mais ayant plus de liberté que Apogée, ce dernier agrippa ses seins, savourant le contact doux et moelleux de sa poitrine, prenant pleine possession de ces monts de chairs, les prenant à pleine mains, les pétrissant avec ardeur, avant de s’en prendre à ses mamelons, tirant dessus et jouant avec. Apogée, malgré la rudesse de certain mouvements, gémissait tendrement, fermant les yeux et souriant de plaisir. Elle souffla profondément quand elle sentie un de ses tétons se faire gober, puis suçoter, lécher et légèrement mordiller. Elle se mordit une partie de sa lèvres inférieur, gémissant de plus belle, alors qu’elle s’abattait lourdement sur le bassin de l’homme, fessant trembler son corps sous son poids et le choc.

« Ca a l’air douloureux ma jolie. »
-Niarf, m’prend pas pour fille délicate et sensible. Répliqua Apogée.

   Si elle avait mal, après ce puissant coup de bassin, elle n’en laissa rien paraître, seule le plaisir dominant son corps et son esprit.

« Pas de chance, je ne baiserai plus que ton cul. Je ne toucherai plus ta chatte jusqu’à ce que tu me laisses t’engrosser. »
-hein ? Émit Apogée.

   La stupeur fut de rigueur, quand Apogée l’entendit prononcer ses derniers mots, stoppant tout mouvement. Elle avait bien comprit ? "t’engrosser", la mettre en cloque ?! Elle ne se rappela pas de l’avoir frappé à la tête, au point de sortir des trucs pareils. Le temps qu’elle puise réagir, l’homme se dégagea de sa position, extirpant son braquemard de son fourreau, forçant pour le sortir, bien loger et coincer par Apogée, qui fut prit de cours, le mouvement lui fessant perdre son équilibre, avant de tomber sur le cul, une fois que l’homme se soit extirper d’en dessous d’elle. Elle détendit ses jambes et mit ses bras derrière elle, encore perturbé par ce qu’elle venait d’entendre, premier fois qu’on lui disait ça, de manière brutale et peu subtile. Au moins il était franc et direct, peut être un peu trop d’ailleurs.

   Profitant de son inaction l’homme vint vers elle et lui offrit une belle bifle, qui surprit Apogée qui mit du temps à réaliser ce qu’il venait de ce passer, clignant des yeux. S’apprêtant à répliquer, elle fut prise de cours, l’homme venant à lui bouché le nez, puis d’enfoncer brièvement son gland, avant de le retirer puis de recommencer. Bon, là ça ne plaisait pas trop à Apogée, l’homme prenant un peu trop ses aises. Le temps qu’elle prenne une meilleure position et qu’elle lève sa main, dans l’idée d’enlever celle de l’homme sur nez, il put faire quelque mouvement avant de se retirer.

« Vu ta carrure, je parie qu’aucun homme ne t’a jamais soulevée, pas vrai ? Viens, présente-moi ton cul. Je vais te baiser de la façon dont on doit baiser une salope comme toi. »

   Apogée se releva, calme et aucune trace indiquant de la fatigue ou de l'épuisement. Bien que le plaisir était encore bien présent en elle, son entrejambe humide et dégoulinant de mouille, on pouvait voire que le petit jeu ne lui avait pas autant plut que l'homme. Elle se rapprocha de lui, se mettant en face à face. De taille presque égale et de carrure aussi imposante l'un que l'autre. Le défiant presque du regard, Apogée croisa les bras et s’appuya sur une jambe, avant de se mettre à parler.

-Écoute moi mon beau. Me prend pour les simples femmes que t'a l'habitude de baiser. J'suis pas du même genre. J'ai pas une gueule à avoir un chiard, ni à en vouloir. J'veux bien que j’t’plaise, mais vas pas croire que j'vais accepter pour tes beaux yeux. Ensuite, j'espère que tu as de quoi payer mes tonneaux de bières, parce que t'a pris un peu trop t'es aise et que je compte bien avoir ma tourné. Sinon j'espère que t'a de bon bras !

   Apogée se mit en position, collant ses fesses contre le membre turgescent. Elle l'aimait bien, mais ce n'est pas pour autant qu'elle va accepter n'importe quelle demande au premier venue. Elle avait sa fierté et ses propres envies et désir. Ensuite, de mémoire, aucun homme n'avait pus la soulever, pas loin des deux cents kilos quand même. Faut dire qu'elle n'est pas de même constitution, faite de métal, de lave et de terre, sans compter ses organes et le reste.

20
Les terres sauvages / Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]
« le: jeudi 02 février 2017, 18:02:02 »
   Éclairer par leur simple torche, et les lumière du soleil qui perçait faiblement les ténèbres de cette ville souterraine de par les ouverture en hauteur, renforçait le sentiment de désolation, de mort et de vide. Autrefois l'endroit grouiller de vide, de lumière, de vie, de brouhaha des habitants et des marchants. Les orcks et Ashnard avaient tout détruit, les murs fissurés, écrouler, les habitations saccagées, témoigner de la violence des combats, tandis que les bannière de l'empire flotter par endroit, tandis que des restes de construction orcks, faite de pierre, d'os, de métal et de bois, parsemer les bâtiments et les rues. En progressant, les trois femmes ne pouvait que contempler la désolation d'une petite cité jadis vivante et prospère. Apogée regarda en hauteur et poussa un grognement de colère et de dégoût, contemplant des squelettes ou des cadavres dessécher de nains, pendue depuis le plafond, attacher dans des positions grotesque, certains appartenaient visiblement à des enfants.

   Mais ils y avaient aussi des restes de d'orck et de soldats, une bataille semblait avoir une lieu, tandis qu'autour d'un monticule de pierre, les reste d'une statue, les armures, les armes et les squelettes, détruit, broyer et briser, joncher le sol. Une autre statue démolit gisait au milieux d'un carnage semblable, un peu plus loin.

   Après un moment, elles arrivèrent devant une nouvelle entré, plonger dans les ténèbres, pas de portes, deux statues de guerrier nains l'encadrant, tenant des haches et défiant ceux arrivant, défigurer et souiller par les orcks pour qu'ils leur ressemble, recouverte de métals et de bois pour leur donner une apparence orck. Sur place, les flammes éclairèrent un escalier, qui semblait plonger profondément dans les entrailles de la montagnes, trop loin pour que les flammes éclairer l'arriver. Apogée lança sa torche, qui éclaira le plafond, qui semblait recouverte d'une fresque. Elle heurta rapidement l'escalier une dizaine de mètre plus loin après la limite de ce qu'elles pouvaient voir, glissa sur quelque marche et finit par rouler sur du plat.

   En descendant, elles purent admirer sur les côtés des images de batailles, sans doute les victoires de Karaz'hor, encadrer par des piliers représentant des nains, sans doute des guerriers réputés et important, bien que certaine détruit ou souiller par les orcks. En bas, la salle était haute de plusieurs mètres Apogée ramassa sa torche, tandis que devant eux, se dresser un choix triple d'entré, sur les côtés et en face. Haute d'au moins quatre mètre et large de trois, les entrés n'offrait guère d'indice sur l'endroit où elle conduisait, gratter et abîmer ce qui devait servir d'indication avaient été effacer ou détruite. Néanmoins, celle d'en face on pouvait deviner qu'elle était bien plus ornementé et manufacturer dans du basalte, les restes de statue, leur gravât éparpiller remplacer par des construction orcks, tandis que les deux autres étaient plus modeste, et l'une d'elle, après vérification, avait encore un panneau en hauteur, représentant une enclume, sans doute une indication pour les forges.

   Ce fut en la regardant, et plus précisément le couloir qu'elle éclairait, qu'Apogée dégaina violemment son épée et balança sa torche, tandis que des yeux rouges, à mi-hauteur d'homme, s'illuminèrent devant les flammes avant de disparaître, avant même que la torche ne heurte le sol. Des bruits retentirent, comme si la chose s'éloigner à quatre pattes, des griffes claquant le sol avant que le silence ne revienne rapidement.

   Apogée resta en position de défense, lame en avant, tendue, prête à déchaîner sa puissance. Mais après un moment, rien d'autre ce passa, un silence de mort, d'où seule la respiration puissante d'Apogée et les crépitements de torches se firent entendre. Mais seule l'oreille d'un être très sensible au son, et encore il devrait se concentrer et tendre correctement l'oreille, pour entendre les faibles bruit sourd, comme si une chose d'un poids conséquent frapper le sol à un rythme régulier, sans pour autant pouvoir déterminer l'origine et la direction.

   Apogée se détendit, mais garda son épée en main et alla prudemment ramasser sa torche qui avait perdue de son éclat, avant de revenir, peu rassurer.

-Quoi qu'ce soit, ça c'est barrer. Clamat Apogée, sans pour autant en être aussi sur. C'est aut'chose qu'les saloperies dans le tunnels, pour sur. Bon l'entré en face m'parait plus attrayante que les autres,  vue qu'elle est plus travailler, enfin était. Mes avis qu'ça conduit aux endroits les plus intéressant !

   Ouvrant la marche, Apogée avança d'un pas prudent, son épée en main, tandis qu'elle observait les murs et les sols, cherchant ce qui pouvait trahir un piège ou une passage secret. Elle découvrit surtout une armure enfoncer dans le mur, comme si quelque chose l'avait écraser contre, peu avant de sortir du couloir. Elles arrivèrent à une scène de carnage, une fois sortie du couloir. Le sol était fissurer, des impacts l'ayant percer, des armures complètement disloquer, de la poussière d'os et du sang sécher dans ses mêmes cratères. Des morceaux d'armure joncher le sol, ainsi que des squelettes pratiquement réduit en gravier, comme quelque chose avait heurter violemment un soldat avant de l'envoyer valser. Une observation rapide permettrait de constater que c'était des soldats d'Ashnard, mais une observation plus attentive et un esprit de déduction assez bon, verrait qu'ils semblaient quitter la salle, en plus d'un tas de pierre, vestige d'une statue représentant un nain.

-Merde...

   Hormis cette scène où une dizaine de cadavre fut découvert, beaucoup enfoncer dans le sol, écrabouiller sur eux même ou éclater contre une parois, une rapide constations permettrait d'admirer l'immense salle dans la quelle elles étaient arriver.

*

   Large, haute et profonde, cette salle, faite d'une pierre étrange, car elle semblait luire, devait servir au banquet, au vue des carcasses des immenses fûts et des tables. L'odeur poisseuse des orcks se fessait encore sentir, sans compter les traces bien évidente de déjections et de vomit. Une bataille devait avoir eu lieu, car des cadavres, d'orck et d'humain était éparpiller partout, des traces de coups et des restes d'armes se fessait voir, bien que la victoire semblait aller pour Ashnard. Et à nouveau la même scène se trouver par endroit, bien plus nombreuse.

   Plusieurs entrée parsemer les murs, conduisant à d'autre endroit de la forteresses, sans doutes les forges, les cuisines ou des habitations. Mais celle du fond était la plus grande et la plus ornementé, encore intacte, bien qu'une armure fut enfoncer profondément dans un pilier. De par et d'autre de l'ouverture dans l'obscurité, des socles étaient détruit, les statues mis à bas.

   Le trio s'avança, en vue de la salle du Trône, au vue de la surabondance de fresque, de pierre précieuse et de statue faites en marbre blanc ou en ivoire. Elles continuèrent en vue de la salle du Trône, avec la succession de statue, tandis que les bruits sourd se fessaient plus proche, mais toujours aussi difficile à percevoir.

   Finallement elles arrivèrent sur la salle tant espérer.


   La salle du trône, éclairer par des pierres couvertes de runes, illuminant la salle de reflet bleu, des balcons surplombant la salle, ainsi que deux ouvertures, de part et autre du trone. Plusieurs alcôves entouraient la salle, d'antique socle de pierre dedans. Sans doute des socles de statue. Bien que belle, graver de fresque, de topaze et de marbre, les séquelles de la bataille étaient visible, le même carnage que dans l'autre salle, à la différence que cela était pire. Que c'était t-il passer ? Squelettes, sang et entrailles, d'orck et d'humain, se côtoyer, repeignant le sol et les murs. Le doute n'était plus permit : quelque chose avait tuer et repousser tout les envahisseurs, quelque chose qui avait été réveiller.

   Sur le trône, siéger la dépouille d'un nain, sûrement le maître de la forteresse, squelettiques, sa peau grise, du même aspect qu'un parchemin, mais relativement intact, son armures bien qu’abîmer par le temps et la bataille, plusieurs flèches transperçant son plastron. Couvert de poussière et de toile d'araignée, les orcks semblaient avoir épargner sa dépouille, sans doute avaient t-ils reconnut en lui un adversaire honorable et terrible, au point de ne pas toucher sa dépouille, de préserver son honneur, même après sa mort. Plonger dans la pénombre, il donnait l'impression de pouvoir sauter de son trône à tout moment pour s'en prendre à quiconque qui oser lui faire face. Sa couronne, en ors massif, sertie d'émeraude, était toujours sur sa tête et il tenait fermement son marteau, prêt à frapper. Une fouille plus complète permettrait de trouver divers bijoux et joyaux pouvant se vendre à bon prix ou de négocier une grosse récompense auprès de seigneurs nains, au vue des runes et de l'ancienneté de ces dernières.

   Apogée se rapproche de la dépouille, et se pencha sur son arme, un marteau de guerre frapper de runes incandescente et rougeoyante. Sans honte et sans remord, elle s'empara de l'arme, brisant les doigts du défunt sous son geste et admira de plus près l'arme. Elle émit un sifflement admiratif.

-C'est pas l'genre d'arme qu'on peut voir chez de simples soldats. Création d'un Seigneur des runes, dois avoir une sacrée histoire celle-la, j'suis sur que les nains ont due tenter plusieurs fois de la récupérer.
Clamat t-elle. Y'a pas que leur or qui soit le seule trésor ici. Dit-elle en se retournant vers ses camarades. N'hésiter pas, les nains seraient prêt à tout pour récupérer de t-elle merveille.

   Le marteau n'était pas le seule objet intéressant, la couronne devait valoir bien plus que son pesant d'or, sans compter les bijoux, au vue des runes luminescente dessus. On pouvait qualifier Apogée d’irrespectueuse, de profanatrice ou d'ignoble créature, mais bien d'autre ne s'en serait pas priver, les morts ne peuvent pas se plaindre. Le temps que les amazones agissent ou réagissent, loin derrière elle, les bruits sourds se firent enfin perceptibles, portait par l’écho des lieux, parvenant faiblement à l'oreille du trio, pesant, régulier et lent, quelque chose avancer. Lentement mais surement, une chose massive se déplacer, dans leur direction visiblement, avait t-il sentit la présence d’intrus ? Venait-il ici sans réel raison ? En tout cas le trio fessait fasse à deux choix : aller à la rencontre de l'inconnue ou aller dans l'inconnue en prenant un des passages ? Toujours est t-il qu'Apogée ressentit de curieuse réaction chez elle, de la crainte et un sentiment qu'elle savait qu'elle était la chose, sans le savoir réellement elle put dire juste une chose :

-J'crois qu'on ferait mieux de prendre un des passage. L'a pas l'air commode et on dirait qui sait pas qu'on est là.


   

*les ouvertures sur les murs n'existe pas, mais c'est la seule image qui correspond à ce que je voulais.

21
Les terres sauvages / Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]
« le: mardi 25 octobre 2016, 14:29:26 »
   Le tunnel était soigneusement tailler en pentagone haut de 5 mètre et suffisamment large pour laisser passer 6 nains en même temps, des vestiges de support de torches placer un intervalle régulier, sur les murs ou des piliers de granite, manufacturer avec style et doigter des fresques sans sens que pour enjoliver le mur et les piliers, parfois des taches de sangs sur les murs des squelettes réduits en morceau et les restes du systèmes ferroviaire. Mais les murs présentaient des fissures par moments, le plafond de même, des gouttes d'eau s'écoulant à tout va, brisant le silence de leur plic-ploc sans fin. Le trio, bien qu'ayant des torches, avancer dans les ténèbres, d’étrange échos en plus des gouttes leur parvenant, arme en main. Apogée tentait sa torche en hauteur, loin de sa vue et pour avoir un meilleurs éclairage au possible.

   Au centre de ce tunnel, leur torche éclairer à peine les murs, croisant des sortes d'ouvertures, comme le seuil d'une porte, boucher par la pierre, barrée par des portes pourries ou enfoncer, sans rien dedans, ratant parfois quelque salles, leur entré plonger dans les ténèbres.

« C’est bien ce que je pensais... Tous ces morts ont attiré des monstres. »
-Ouf... j'avais peur qu'y aurait rien à éclater. Lâcha Apogée, un sourire goguenard sur les lèvres.

   Les bruits ne cessaient, des os jonçant de temps à autre le sol, éparpiller et curieusement ronger. Après un moment, elles arrivèrent dans une nouvelle salle, une grande salle et un troue en son centre, profond et noir, t-elle la gueule béante d'un quelconque monstre. Les nains avait due trouver un filon en creusant le tunnel, des pont de pierres entourant le troue bien que plonger dans le noir, cordages, poulies et échafaudages se succédant. Rien ne pouvait stopper l'avidité des nains et leur soif de découverte, Apogée se pencha au dessus du troue, cherchant à voir le fond entendant vaguement le bruit d'une rivière souterraine.

« ATTENTION !! »


   Apogée se retourna brusquement, épée tendue, tandis qu'un noctule s'en prit à Fanis, qui l'esquivait avec agilité. Apogée voulue s'élancer contre le monstre, mais surgissant des côtés, des murs de la salles, de là où elles venait et même du troue, des goules se joignirent aux festivités. Ils n'arrivaient pas en masse, mais en nombre suffisant pour relever de l'inquiétant et remettre ses chances de survit en question.

-YYYYAAAAABBBBAAAAYYYYYAAAAARRRR !
Beugla Apogée d'une voix puissante son crie de guerre.

   Crie de guerre qui se répercuta dans les lieux, prenant une tonalité de grondement issus d'un puissant monstre, remontant le long du tunnel, fessant fuir plus loin quelque monstre faible d'esprit.

   Elle donna un coup de pieds à une goule qui sortait du troue, enfonçant ses côtés l'envoyant valser vers le centre du troue, le monstre retombant dans les abysses dans un crie inhumain. D'un mouvement d'épée, elle découpa un monstre un deux, en partant du bas, dans une belle diagonale, son épée finissant dans le bras d'un autre, le propulsant dans le vide. Du plat de son épée, elle éclata le crane d'un autre, tout en tenant dans sa main un autre, broyant sa mâchoire sous doigts, du sang noir jaillissant en fontaine alors qu'elle arrachait la mâchoire inférieure. Son poing finit dans le visage d'un autre, le propulsant en l'air, l'envoyant s’écraser contre un mur, son crane se fissurant, alors qu'elle embrocha un second, qu'elle souleva et utilisa comme marteau pour écrabouiller un troisième, brisant les os et broyant les organes.

   D'autre noctule apparurent, jaillissant de niche dans le plafond, l'une d'elle fonçant sur Apogée, la heurtant de plein fouet, enfonça ses dents dans le muscles de son bras, avant que se dernier ne se referme sur sa tête et ne lui broie le crane. Elle laissa tomber le monstre, éclatant sa tête devenue molle sous son pieds, rependant sur le sol sa cervelle, des éclats d'os et du sang coulant comme une fontaine. Elle embrocha un notucle, mais celle-ci s'agrippa à elle et continua à avancer, cherchant à atteindre son visage et un goule se plaqua contre son dos, ses griffes entaillant son torse et cherchant à la mordre au cou. D'un coup de tête elle le fit lâcher brise, lâcha son épée et dégagea l'autre d'un coup de pied dans le pommeau de son arme, plantant la créature dans le sol. De justesse, elle plaça son bras sur le chemin d'un coup de dent d'un autre, qui mordit sa chaire, avant qu'Apogée ne le décolle de son autre main, une simple marque de dents sur son avant bras. Elle le lâcha et d'un formidable uppercut, elle éclata sa mâchoires, ses dents, le cartilage du coup, déchira la peau et les veines et le souleva sous la force, l'envoyant contre un mur. Elle attrapa un monstre au bras, plaça son pieds sur son torse et lui arracha les membres et lui éclatant la tête avec. Elle en chopa un autre, plongea sa main dans son ventre, perçant les organes, atteignant la colonne vertébrale qu'elle broya, avant de plonger son autre mains dans son ventre et de s'arranger pour le déchiqueter en deux, usant de sa force surhumaine. Elle balança les deux morceaux sur les côtés, riant au éclat, comme une barbare en pleine bataille, couverte de sang, alors qu'elle s'attaqua à une créature. Elle éclata le crane d'un autre noctule, mettant à l'air libre sa cervelle, avant d'éclater les côtés à coup de pieds à autre qui s'approcher dangereusement dans le dos d'une des amazones. À la suite en balança une créature sur une autre, l'empéchant d'accomplir ce que son compère n'avaient pas put faire.

   Au final les monstres repartirent d'où ils venaient, fuyant ces femmes qui étaient pire qu'eux, après d'intense minutes de combat ou de massacre. Apogée était sur le point de les poursuivre mais le noir complet réussit à l'en dissuadé. Sa torche avait perdue de son éclat, plonger dans la semi-pénombre, Apogée se retourna vers les amazones, couverte de sang, un sourire de satisfaction effrayant et un regard avec une lueur de folie. Si les amazones regardèrent Apogée directement dans les yeux, elles auraient le même sentiments que de se sentir en danger imminent face au regard d'un dragon. Ses yeux était ceux d'un dragon, brillant un peu dans la pénombre de ces lieux.

   Apogée ramassa sa torche, dissipant l'aspect de danger ambulant sur visage, abordant un visage réjouit et fier, malgré les flammes mourante. Apoga se mit a fouiller son sac qu'elle avait laisser tomber, ressortant de quoi rallumer sa torche mourante.

-On r'prend la route ?
Souffla Apogée à ses camarades.

   Contournant le gouffre à grâce au pont, elles continuèrent leur chemin, après s'être panser et Apogée s'être un peu laver du sang de ses ennemies. Les monstres étaient toujours présent, des bruits étrange confirment leur présence, sans pour autant se montré. La première escarmouche avait causé la mort de plus d'une quinzaine d'entre eux, les survivants ayant préférer la fuite, préparant sans doute une revanche. Durant quelque minutes au moins, elles poursuivirent leur route, trouvant parfois des salles qui devait servir de casernes ou d'aire de repos, certaine condamner. Mais la découverte de pièce d'or dans un petit sac dans la faille d'un mur, et de deux-trois goules affamés, raviva l'espoir qu'il restait encore des richesses dans cette forteresse.

   Progressivement et de plus en plus rapidement, le tunnels commença à grimper et à bifurqué tantôt à droite, tantôt à gauche. L’ascension fut longue, ponctuer de bruit étrange, parfois un monstre surgissant du noir, suivit de quelque individue, réduit en tas de chair sanguinolente par Apogée, qui se mit en avant, interceptant les monstres qui venait d'en face, se maculant de sang, redécorant parfois les murs de rouge. Ce fut en trois heures, une dizaine de monstres abattues, deux pauses et un besoin de se soulager, que le trio déboucha sur le haut de la montagne, surplombant le lac et l'entré, arrivant en face des grandes portes de la forteresse naine.


   L'immenses structure rappelait sans mal qui furent les maîtres de ces lieux, écrasant de sa prestance les visiteurs. T-elle une bête, la porte, plonger dans l'obscurité, semblait guetter ceux qui oserait s'aventurer jusqu'ici. Le soleil était derrière la montagne, plongeant dans la pénombre la porte et la vaste place, aucune lumière ne venant éclairer cet endroit lugubre. Aucun bruit ne venait trahir le silence de ses lieux, si ce n'est que le vent qui siffler.

   La porte avait des airs démoniaque, quelque squelettes empaler sur des piques, des taches sombres fessant penser à du sang sécher depuis des années, des impacts multiples et ses portes mis à bas offrant une plonger dans les ténèbres apparemment sans fond. La forteresse de Karaz'hor s’appétaient à recevoir de nouveaux visiteur, quels dangers les attendaient ? Qu'allez t-elles découvrit ? Elles le seraient bien assez tôt.

   Le trio franchit les portes, éclairant de leur torche, un long couloir, haut de plusieurs mètre, d'immense fresque recouvrant les murs, à moitié effacer par les coups et la poussière, d'immense colonne de par et d'autre, sculpter habilement, représentant des guerriers nains. Le couloir s'étendait sur une dizaine de mètre, plonger dans les ténèbres, bien que rapidement, une faible lueur perça ce voile sombre. Elles débouchèrent pratiquement sur une sorte de ville, une immense rue qui semblait se perdre à travers la montagne, d’immense structure de par et d'autre, les deux premiers bâtiments sur leur droite et leur gauche, relier par un ponton, étaient des casernes, le reste succession d'habitation. Au dessus des bâtiments, des ouvertures laissaient passer la lumière, sûrement pour aérer la ville et de dissiper au mieux les ténèbres.

   Ce n'était que le début, mais déjà bien des possibilité s'offraient au trio, plusieurs bâtiments à fouiller, afin de dénicher la cache d'un quelconque marchant autrefois riche, poursuivre le chemin pour tomber sur les zones intéressantes, la salle du trône ou du trésor, la réserve de bière, les forges, peut être une bibliothèque ou d'éventuelle mine. La visite de cette forteresse, risquerait d'être assez longue, mais bien des merveilles les attendaient. Mais bien évidemment, les affres du massacre des orck et d'Ashnard subsisté, des bâtiments noir de suie, aucune porte intacte, des piliers fracassaient, une couche de sang et de sueur recouvrant le sol et les murs, des squelettes empaler ou transformer en immonde structure, comme savait si bien le faire les orcs et par endroit, des tas d'immondice, former de déjection et de d’entrailles depuis longtemps dessécher. L'air porter encore les miasmes de la mort et de la pourriture, bien qu'atténuer par le temps.

-Bon... on vas pas rester ici à prendre la poussière ! Clamat Apogée, alors que ça voix se répéta en échos. Qu'es qui vous botte le mieux ? Qu'on cherche la salle du trône ou qu'on s'amuse à farfouiller l'endroit ? On trouva p'être un plan d'l'endroit quelqu'par !

22
   Bien des hommes avaient profitaient d'Apogée, certains se montrant très doué ou encore puceau, et parfois n'hésitant pas à se montrer possessifs et dominant. Mais Helel était d'un tout autre niveau, autant par la taille de son engin, que par sa manière de faire ou la force qu'il mettait à la tache, qui n'échapper pas à Apogée, pouvant pleinement ressentir la force des coups, bien loin d'un simple humain. Mais cela n'était pas dans l'esprit d'Apogée, qui prenait un bien fou à se faire prendre avec autant d'ardeur et de force, gémissant et criant avec force, son bonheur se répercutant dans le timbre de sa voix. Les effets de aphrodisiaques du démon avait disparue, le corps d'Apogée l'ayant éliminer plutôt rapidement et la magie la composant ayant cesser d'agir dans ce sens. Elle ne ressentait que le pur plaisir qu'elle éprouvait, en sentant cette verge limait ses parois.

   Son corps tremblait sous les coups, ne tenant pas en place, rappant contre le sol. Les claquement frénétique s'entendait de loin, couplé au crie et gémissement de plaisir se succédant dans un concert en hommage au sexe. Elle se rapprochait rapidement de l'orgasme, sa mouille s'accumulant, s'écoulant lentement de ses lèvres intimes, glissant sur sa peau. Elle respirait avec force, son souffle puissant et ardent, soufflant de la poussière et des petits cailloux devant elle, tandis que de la sueur dégouliner sur son visage. Sa température interne couplé à la chaleur extérieurs, ferrait fondre du beurre rapidement.

« Oooh, bon sang je vais te garder comme petit vide-couilles personnel. »
AAANNHH...mmmhh.... et toi mon... partenaire favori. Clamat Apogée.

   C'était fort, c'était dur, c'était bestiale. Aucun sensualité ou douceur, juste le sexe sous forme brute, entre deux barbares. Mais cela plaisait à Apogée, la changeant des hommes qui y allait doucement, sensuellement, maladroitement et aussi que lui y allait fort et que son membre était était bien plus imposant, parvenant tout de même à l’accueillirent dans son intimité, tendue et racler, pataugeant dans la mouille, entrant et sortant dans des bruits gluants

« Raaaah tu es… Brulante ! Cette chatte… Cette chatte me suce la bite encore plus fort que ta gorge de pute ! »
-AAAAAH... j... j''ai pas envie... que tu r'froidisse... tes ardeurs. Ironisa Apogée.

   Brusquement elle put sentir l'imposant pilier prendre encore plus d'ampleur, mettant à mal ses parois, sentant son ventre se tordre un peu plus. Apogée posa sa main, pour constater à quel point son ventre était déformer par la verge massive. Elle sentit Helel se vidait en elle, son utérus se remplir, se déformait avant que le trop plein ne gicle, en même temps qu'elle se mit à jouir, une cyprine presque brûlante, se mélangeant au flot de sperme, accompagnant le rugissement du mâle par le sien. Il se retira, un bruit de succion l'accompagnant, suivit d'un flot de sperme et de cyprine, s’écrasant part terre. Apogée, se coucha sur le ventre, la tête sur ses bras, haletant et reprenant son souffle.

   Son esprit se calma, reprenant ses esprits. Visiblement le défis était passer dans les oubliettes, fessant sauvagement l'amour. Elle s'apréta à se relever quand elle sentie Helel posait ses sur ses fesses et placer son membre sur sa raie.

« J’espère que tu es prête à te faire détruire. »
-Hein ?! Euh... attend temps mort, pouce ! Qu'es que tu... Commença Apogée, sa phrase finissant dans un glapissement.

   Elle s'était tu en sentant le gland de Helel forçait le passage, pénétrant lentement son fondement. Heureusement qu'il fut lubrifier par les fluides, car il glissa plus facilement, le reste suivant, écartant les parois lentement et douloureusement. Apogée se crispa, serrant les dents un œil à moitié fermer. Il finit par s'y glisser entièrement, coincer dans un endroit plutôt étroit, Apogée souffrant à moitié.

-Espèce de... grogna Apogée.

   Il se retira, ce qui fut tout aussi long et douleureux. Mais suffisamment pour qu'Apogée se retourne, sortant de force le pilier de chaire de son troue. Elle se releva, semblant furibonde, mais son regard était plein de défis. Elle fit un croche patte à l'homme et le poussa, le retenant par le bras,  l’empêchant de se cogner par terre, avant de le suivre, mais posa ses genoux aux côtés de ses bassins, posant brutalement son cul devant sa hampe, la calant entre chaque fesse.

-Va pas croire qu'j'suis une fille facile. Siffla Apogée, sans pour autant être en colère, plutôt amuser. Tu m'as baiser, alors qu't'a pas gagner. À mon tour maintenant !

   Elle poussa sur ses genoux, se relevant, avant de placer le membre contre sa rondelle, avant de pousser, le rentrant nouveau dans son fondement, l’accueillant entièrement en elle. Bien qu'elle le cachait, on pouvait voir que la taille ne lui procurait pas que des bonnes sensations. Elle mit ses mains sur genoux, avant de faire des petits mouvement de vas et viens avec son bassin.

23
Les terres sauvages / Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]
« le: dimanche 05 juin 2016, 11:51:35 »
   Le début de l'aventure n'était pas des plus palpitants. Le trio marcha au milieux des arbres, discutant parfois, à l'affut du moindre danger, mais le seul qui importer vraiment été le mage et sa clique qui avançaient presque au même pas, tentant de nouer des relations et d'en savoir plus sur les autres. Mais il ne fallut pas plus de deux-trois heures de marches, pour arriver en vue de Karaz'hor, dominant le flanc de sa montagne, disparaissant à moitié dedans. Un œil aviser ne manquerait pas de voir que la forteresse datait, recouverte de mousse et de lierre, les crénaux écrouler par endroit et un troue entachant la muraille. De violent combat semblait avoir eu lieu.

   Mais en rien cela concerner nos aventurières, qui ne venait qu'en quête de trésor. Le rejoindre directement semblait des plus ardue, la pente presque impraticable. C'était le genre de forteresse naine accessible que par des extensions aux pieds de la montagne, relier par des tunnels si ce n'est pas directement relier au cœur de la forteresse creuser dans toute la montagne. Un lac englobait presque toute la montagne, une île en son sein, pas de plages apparente mais une petite forteresse se dressait à son sommer, se fondant avec habileter dans le paysage, les nains ayant réussit à garder l'île relativement intacte, la forteresse construite à même la roche et de manière à être naturelle. Elles établirent un petit bivouac, se préparant pour leur exploration. Apogée alluma une feu avec un briquet à silex, tandis qu'une des amazones revint avec deux bon lapin. Ça la changer de la viande de bœuf dur et sec, l'avantage d'être chasseresse, Apogée vint à l'envier.

« Il faut trouver un moyen d’entrer dans le fort. Les nains ont probablement dû faire une entrée dans le lac.
 -  Il y a une immense structure au centre du lac. Enfin, un îlot. Je suis convaincue qu’il doit y avoir une entrée au fort là-bas, comme une sorte de poterne. »

-Un tunnel à tout les coûts, j'vois qu'ça. Pensa tout haut Apogée.

Fanis hocha lentement la tête. Elle en savait un peu sur les nains, notamment grâce à Hagran, et, ce faisant, elle savait donc qu’ils avaient toujours une entrée secrète dans leur fort. Cet endroit semblait tout à fait indiqué, et, assez rapidement, le trio grimpa sur un promontoire rocheux, permettant ainsi de voir, au milieu du lac, l’îlot. Il se composait d’une espèce de grosse montagne faite de pierre et de rochers qui se dressait au milieu de l’étendue d’eau.

« Il va falloir escalader, l’entrée doit être au sommet... »
-Connaissant les nains, z'ont pas due se contenter d'une simple entrée. Ajouta Apogée en observant l'île.

   Les amazones établirent le plan d'un radeau, à la surprise d'Apogée qui se préparer à y aller à la nage, n'y ayant pas penser. Couper les arbres fut rapide, Apogée tranchait presque les arbres en un coup et les porter comme si c'était de simple branche, les traînant sans réelle effort. Le radeau de fortune fut créer rapidement, assez stable et qui ne prenait pas totalement l'eau. Après s’être rassasier en dévorant les lapins, il fut mit à l'eau, flottant fièrement, avant de s'enfoncer brièvement dans l'eau quand l'équipage grimpa dessus. Apogée usa de son épée comme rame, propulsant le navire, sans user de toute sa force au risque de créer un accident, pagayant tranquillement.

   Au fur à et à mesure, l'îlot se fit de plus en plus proche et de plus en plus détailler, si bien qu'on pouvait distinguer la forteresse ramasser sur elle-même, des meurtrières et un chemin escarper parcourant les parois de l'île. Atteindre l'île fut relativement rapide à atteindre, le radeau heurtant une berge amménager pour recevoir des barques, dont on pouvait en voir une carcasse sortant à moitié de l'eau. L'eau relativement peu profonde permet le débarquement son soucie et Apogée tira le radeau sur la berge, afin d'évité qu'il ne parte en voyage par un coup de vent ou un courant.

« Bon... Entreprenons de grimper, les filles ! »


   Le chemin était assez large pour une personne, trop étroit pour une quelconque monture. L’ascension fut rapide, le chemin pas trop traître et relativement dégager mais entacher par des débris de carreau et des pierres tailles de manière à écraser efficacement les têtes. Au final elles arrivèrent sur une plate-forme et sur une porte, du moins les vestiges d'une porte, l'une d'elle pendant sur ses gonds et l'autre grande ouverte, donnant sur une petite place avec des baraquements et un mini-bastion. Des traces de luttes étaient visibles, des murs emprunts d'impact, une porte de chêne perclus de flèche et plus aucune vitre.

   On pouvait voir aussi des constructions orcks, archaïque sensées représenter un crane d'orck rouge. Mais des squelettes orcks parsemait l'endroit, aucun des nains, eux balancer hors de la forteresse ou leur os ayant servit à la construction de totem. L'endroit était lugubre, vide de vie. Les nains furent envahit les orcks eux même chasser par Ashnard. L'endroit bien que grand, fut rapide à fouiller, les casernes ravagés, des armes briser et éparpiller. On découvrit aussi un système de monte charge pour l'extérieur, mais briser et pourrie. L'accès vers la forteresse fut trouver dans les caves du bastion au cœur de l'île, après qu'Apogée est donner des torches à ses camarades. Des squelettes étaient éparpiller partout et l'endroit ravager par les combats, qui semblait être le lieu ou les confrontation furent les plus forte. Les portes de l'entré du tunnel avaient disparut, sans doute user pour d'obscure raison, il n'y avait que des constructions orck, imitant une porte mais défoncer à coup de bélier depuis.

   Passer les portes, on tombait sur une sorte de fosse, avec un escalier coller sur les parois, des cranes par endroit. La lueur des torches permit de distinguer le fond, qui donner sur une sorte de salle.

-Bon. Fit Apogée devant le colimaçon, qui descendait dans les ténèbres, jusqu'à ce qu'elle l'éclaire de sa torche, apercevant difficilement le fond. J'passe la première.

   Apogée descendit les marches, épée en main. Arriver en bas le trio fit fasse à une entré, donnant sur un long tunnel se perdant dans les ténèbres. On pouvait voir des rails et un chariot de mine miraculeusement intact.

-J'sens qu'ça va être long... Souffla Apogée.

24
   La taille du monstre n'avait rien à voir avec ce qu'elle avait vue jusque ici, mais elle se rendait vraiment compte de son gabarit que quand elle le sentit pleinement en elle, de sentir ses parois mis à mal et limer lentement, avant de le sentir cogner son col de l'utérus, forçant dessus, alors que la bête prenait position dans sa toute sa nouvelle antre.

   Les deux semblaient avoir oublier le duel, s'embrassant avec ardeur, fureur, impatience et gourmandise. Le mâle alla laper le cou de sa femelle, sous les soupires ardent et puissant, ponctuer de gémissement de cette dernière.

"C'est une petite chatte bien serrée que tu as là..Serre bien les cuisses, salope."

-J'préfere croire que t'en as une énorme ! Susurra la guerrière, sentant son intimité être mit à mal par le mastodonte. J'vais t'coincer dedans tu verras ! Lui dit Apogée, en serrant les cuisses bien fort, coinçant presque le pilier dans son intimité, ignorant la tape sur ses seins.

   Bien que ne voyant pas son bas-ventre, elle était sur que ce dernier devait être déformer par le chibre de son partenaire. Elle fut plaquer à terre, Helel prenant le soin de l’empêcher de pouvoir riposter, s'étalant pleinement sur elle, l’écrasant sous son poids. Elle aurait put riposter, renverser à nouveau leur position, mais elle était trop excité, trop impatiente, ce qui lui semblait étrange au vue de la situation quelque minutes avant, la magie qu'elle contenait lui fessant ressentir tout les effets de l'aphrodisiaque, mais avec moins d'intensité, afin de ne pas aggraver son cas, déjà bien atteint.

   Puis il entreprit de jouer le marteau piqueur, pilonnant l'antre, pénétrant durement et limant les parois, à rythme soutenue, martelant le col de l'utérus, cherchant à enfoncer cette porte. Une barre de fer d'un diamètre imposant, écartant sans pitié les parois, déformant le ventre d'Apogée, mettant à mal l'élasticité des parois. C'était une bête qui la violer avec ardeur et férocité, tenant dans sa mâchoire un mamelon qu'il léchait et mordait avec avidité et gourmandise. Une bête qui prenait possession d'elle et qui lui impose sa domination.

"T'es vraiment foutue comme la dernière des putes. »

-AAAH ! Mmmmh... sû-sûrement pour des gars.... comme toi ! Souffla Apogée. T'es... mmh... montée AAAH.... comme un étalon !

   Il empoigna sa poitrine, les giflant au passage, s'étalant de tout son long, se servant d'Apogée comme matelas, écrasant sa poitrine, se servant de ses muscles comme couverture pour Apogée, leur muscles se frottant et s'écrasant entre eux. Sans qu'il ne cesse ses coup de butoir, écrasant son bassin avec force, le claquement bruyant et puissant, se fessant entendre pleinement, à rythme soutenue.

   Au fur à mesure des coups de pilons, Helel remonta les jambes, forçant Apogée à écarter les jambes et de les remonter, prenant une position fœtal, coinçant brièvement son amant entre ses jambes, alors qu'il la pénétrait durement sans ce soucier de la douceur et délicatesse, comme une brute, sauvagement, sans être dénuée de passion et d'envie. Une danse malsaine, au mouvement frénétique avec des cries et des gémissement de plaisir comme musique étrange. C'était l'expression la plus pur de leur désir ardent et leur envie dévorant.

"Aaaah! Tends-moi ce beau cul, dépêche-toi, j'ai envie de te le gifler. Mets-toi à quatre pattes comme la chienne en chaleur que tu es."

   L'esprit hagard, embrumé par le plaisir et l'excitation que l'aphrodisiaque du mâle amplifier, Apogée s’exécuta, tendant son cul et le dandinant d'impatience, bien que cela dura qu'une seconde, le mâle s'enfonçant rapidement à nouveau dans les chaires tendres et chaude d'Apogée, ramonant à nouveau l'antre humide de la femme, alors qu'il se mit à étrangler à moitié la guerrière. Le claquement frénétique de son bassin fessant trembler son corps, remplissant l'air de son délicieux avec ses gémissement. La puissante guerrière était soumisse au redoutable guerrier qui affirmait sa prise sur sa femelle, martelant son cul par ses coups de boutoir et ses claques, tel une bête frénétique s'acharnant sur un bout de viande. Il finit par l'attraper par les cheveux, tirant dessus comme des rênes, forçant Apogée à relever la tête, comme une monture qu'il chevauchait farouchement. De la baise brutale et sauvage, deux barbares exprimant leur passion.

"Hurle pour moi, ma petite vache à lait."

   Il n'avait pas besoin de lui dire, qu'elle hurlait déjà de plaisir, ponctuer de gémissement et soufflant comme un bœuf. Sa chaleur gagner en intensité, devenant plus chaudes, de même que pour son intimité, dont le mâle pouvait aisément s'en rendre compte par son bélier de chaire, baignant dans un cocon de mouille chaude et de parois molles et chaudes, gagnant en chaleur, la température interne gagnant en intensité, renforçant le bien fou que pouvait sentir Helel dans l'antre d'Apogée. Cette dernière se mit à jouer du bassin, fessant qu'elle mouvement de rotation, participant à cette baise, ne restant pas en reste. Elle plaqua sa main sur celle du démon qu'il tourmentait de délice son sein, participant au massage de sa poitrine.

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Les terres sauvages / Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]
« le: dimanche 20 mars 2016, 23:00:58 »
« Les Amazones sont un peuple antique qui a grandi à Themiscyra, une île assez éloignée. Nous avons été arrachées de notre île par des Barbares qui nous ont attaqué, et nous ont asservi.
 -  C’est à partir de là que les Amazones ont formé une diaspora. La Horde est issue d’une fraction d’Amazones qui ont été asservis dans des contrées barbares, comme en Hyrkanie. Nous nous sommes affranchies des chaînes que les Barbares de ces régions imposaient aux femmes. »


   Tout en dégustant son morceau de viande, Apogée écoutait avec attention leur histoire, ressentant un peu de peine pour elles. Triste histoire pour un peuple aussi fière, bien qu'elles aient réussit à s'en sortir. Apogée se sentit habiter par un désir ardent de les aider, d'apporté son aide, sûrement due par le fait qu'elle leur était reconnaissante de l'avoir sauver et qu'elle voulait leur rendre la pareille. Après elle n'était pas spécialement outré ou n'avait pas pitié de ces pauvres femmes.

« Notre exode ne prendra fin que le jour où nous retrouverons les autres Amazones disparues, et refonderont Themiscyra. »

-J'espère être présente quand ça arriva ! Commenta Apogée, après avoir avaler une boucher de son morceau de viande. Après toutes ces épreuve ce s'rait la meilleur chose pour votre peuple

   Suite à ça, l'une d'elle lui parla des objectifs de la Horde, qu'elles se devaient de venir en aide à toute femmes et filles en difficultés, battues, exploitées et autre. C'était en peu les défenseurs de la veuve et de l'horphelins, qui n'hésiterait pas à casser des têtes, au yeux d'Apogée, gardant peur elle-même ses pensées. Les esclavagistes devaient être une cible récurrente pour les amazones, Apogée n'osa imaginer leur réaction face à un marcher d'esclaves, avec les femmes briser ou qui prie pour leur salue. Ensuite la prénommée Fanis s'engagea dans la description de la horde, abordant le système de caste qui compose la horde, somme toute un système plutôt simple et classique, bien que l'un d'eux était fais de plusieurs sous-castes. Apogée ne dit rien, glissant juste un commentaire de temps en temps, histoire de montré qu'elle s’intéressait, son visage pouvant ne pas être assez explicite sur sa curiosité.

« Nous récoltons tout ce que nous trouvons dans le monde pour les exploiter.
 -  Et, au sommet de la Horde, il y a notre Reine, Andromaque, et un Conseil. Cependant, outre ce pouvoir temporel, nous servons aussi Artémis, ce qui fait que les prêtresses d’Artémis exercent sur nous un grand pouvoir. C’est la Déesse-mère qui nous dira quand notre pèlerinage aura cessé, et quand nous pourrons refonder Themiscyra. Pour l’heure, nous agissons pour protéger les femmes.
 -  C’est en partie pour ça que nous avons pris ton parti contre ce sale mage. »

-J'suis contente d'être née femme alors ! Plaisanta Apogée.

Elles lui sourirent ensuite.

« Bref, pour l’heure, nous devrions nous reposer. »
-J'vais montée la garde dans ce cas ! Clamât Apogée en se relevant et saisissant son épée. Pas envie qu'une saloperies me renifle le cul durant mon sommeille ! Vous pouvez dormir sur vos deux oreilles avec moi. Leur dit-elle avec un grand sourire amicale.

   Tandis que les amazones préparait leur couchette, Apogée sortie un simple oreiller de son sac et rangea ses victuailles, s'envoyant encore une gorger de sa gourde, avant de s’asseoir face au feu qui avait perdue de l'ampleur. Quelque flammèche dévorait le bois encore disponible, mais il devait lui restait encore du temps avait qu'il ne reste que des braises. Apogée jeta quelque branche, afin qu'il survive un peu plus longtemps. Apogée regarda le ciel étoilées, tandis que les deux autres se coucher. Elle ne pensait pas les réveiller et n'avait pas envie de les réveiller. Faire une nuit blanche lui était courant, en faite dormir ne lui était pas vital et pouvait passer une semaine sans dormir.

Le matin, lever du soleil.

   Apogée regarda les dernières fumer du feu. Le ciel était plutôt gris, le soleil se leva timidement, des nuage le cachant, qu'Apogée contempla. Elle sentait que la journée serait couvert espérant qu'il ne pleuvra pas, mais rien ne semblait indiquer une t-elle chose, mais le doute était permit. Les amazones sortirent de leur tropeux quelque minutes après, pour Apogée il devait pas loin d'être 7h, ramassant ses effets, Apogée lança à la cantonade.

-B'jour ! Bien dormit ?

   Rien n'aurait pus dire si Apogée s'était endormit durant la nuit et c'était réveille quelque minutes avant ou si elle avait fait nuit blanche et et supporté très bien. Toujours est-il qu'elle était d'attaque, en pleine forme et énergétique.

-On y va quand vous êtes prête ? Demanda Apogée, sac prête et son épée planté dans le sol, parfaitement horizontale.

   Question plutôt rhétorique, car il est évidemment qu'elles n'allaient pas traîner pour aller à la forteresse.
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Mitiel, porte de la ville

   La soirée fut longue et la nuit courte, n'ayant eu que deux-trois heures de sommeils. Rassembler des mercenaires fut plus difficiles qu'il ne l'aurait voulue, beaucoup déjà au service de marchant ou de noble comme garde du corps, trop exigent ou n'inspirant pas assez de confiant. Au final, le mage Arnold (donnons lui nom) était arriver à recruter quelque échantillon, bien qu'il aurait voulue plus de personne à son service. Mais il restait tout de même confiant, ce n'était pas non plus des péquenot, il avait ses chances. Il se tourna vers sa clique hétéroclite :

Bryngnolf, un homme massif de plus de 2 mètres de haut, un descendant des nordique selon ses dires. Une brute épaisse qui n'était intéresser que par l'or et les femmes, ce qui avait été facile pour le recruter la simple mention des richesses de la forteresse naine l'avait fait accepter. Bien que le mage craignait que l’appât du gain ne le pousse à le trahir, il était confiant, de plus il avait besoin de lui, car sa force pourrait lui être utile contre le golem.
Arckans un barbare à moitié fou, qui ne voulait que se battre jusqu’à en mourir. Il n'avait pas était difficiles à convaincre, le mage ayant manipuler sa folie du combat pour le convaincre qu'il n'aurait pas de plus beau combat que celui avec la créature qu'il pourchasser. Le problème est qu'il imprévisilbe, un peu lunatique, Arnold craignant qu'il ne doit le maîtriser pour éviter qu'il n’abîme trop son golem.
Andoleïne une elfe étrange et mystèrieuse qui l'avait abordé par surprise, ayant entendue sa discutions avec Bryngnolf. Elle s'était imposer plus qu'il ne l'avait recruter, ce qui l'inquiéter sur se réelle motivation, mais l'habilité légendaire des elfes à l'arc et leur discrétion l'avait fait accepter, car les amazones étaient de bonne archères et sûrement pas des débutantes pour tendre des embuscades.
Maxime, un aventurier vénal et orgueilleux, mais qui avait le mérite d'être un expert en donjon, selon ses dires, et en plus d'être un E.S.P.er, son pouvoir lui permettant de créer un clone de lui même, disparaissant au bout de quelque minutes dans un flash lumineux et qu'il manipuler à sa guise. Cela pourrait être utile.
Hajad, une sauvage parlant à la troisième personne. Calme et de sang froid, cette femme lui rappel les amazones, et quoi de mieux qu'une sauvage pour comprendre des sauvages ? L’appât du gain était sa seule motivation comme tant d'autre, mais elle avait été difficile à convaincre, car elle fut réticente à l'idée s'aventurer dans une forteresse, mais les richesses que le mage lui avait fait miroité l'avait fait céder.

   Il aurait bien voulue un groupe plus homogène, mais le temps était compter. En partant maintenant il pourrait arriver plus tôt, l'ennuie était qu'aucun d'eux n'avait de cheval, ni le moyen d'en louer et il n'avait pas assez de puissance pour tous les téléportés. Voila bien longtemps qu'il n'avait plus fait de téléportation de groupe, il avait due retrouvé des parchemins pour palier son manque de pouvoir et de puissance.

-Bien, je vous ait tous renseigner du mieux que j'ai put, on à pas le temps de faire mieux connaissance, donc je vous prie d'évité les disputes ou tension, si vous ne voulez pas que je vous abandonne dans un cercueil de glace !
Commenta le mage. Allons-y le temps est compter et l'or risque de ne plus être à nous.
-Ouais, ouais grogna Bryngnolf de sa voix grave. Dépêchons.

   Il se retourna dissimulant son sourire. Sa menace du cercueil de glace marchait ainsi que la potentielle perte de l'or, car ils avaient blêmit à la mention de ce dernier, aucun ne voulait rater cette occasion et avait bien comprit que le temps jouer contre eux. Le mage avança d'un pas décider, ses sbires à ses talons.

26
   Apogée fut ravit que son mâle dégustait lui aussi son intimité, sa langue bougeant sur ses lèvres intimes et son clitoris, profitant de cette sucrerie, sa crème coulant lentement, chaude et douce, au même rythme que la langue d'Apogée sur sa verge chaude, lui offrant un habit chaud et moelleux, malaxant cette hampe de chaire avec ses seins, en même temps qu'elle suçotait et lécher le gland, le gobant parfois, dans un petit bruit exagérait de succion. Elle soupira d'aise et de plaisir, tremblant un peu d'aise en sentant l'homme enfoncer sa langue entre ses lèvres intimes, dont il pouvait savouré la mouille qui s'en écouler et la chaleur qui régnait en ce lieu. Par contre elle souffla brusquement en sentant la claque sur ses fesses, ne s'entendant pas à ça, sûrement parce que il s'était offusquer que sa place de dominant soit contester, ce qui fit sourire Apogée, hésitant à prolonger ce petit jeu.

"Elles font toujours les belles avant de baver sur ma queue."
-Hmph..gurlp... . Émit Apogée, quand le mâle appuya sur sa tête et remonta son bassin.

   N'y allant pas de main morte, Helel força Apogée faire une gorge profonde. Les larmes lui monta au yeux, en même temps qu'elle les révulsant un peu, louchant vers le haut, ses joues se gonflèrent, tandis que ses lèvres allèrent jusqu'à la base, son nez allant directement contre la paire de couille, bavant légèrement, remplissant sa bouche de bave. Le mâle abaissa son bassin, avant de le remonter à nouveau, commençant de furieux allées retours, baissant la gueule d'Apogée, qui ne put rien faire que subir, respirant par à coup, bien qu'elle puise vivre sans respirer, sentant la verge écarter à chaque fois les parois de sa gorge, la fessant gonfler. Elle tentait de faire glisser sa langue dessus, l'ardeur de son compagnons ne lui laissant pas le temps pour accueillirent comme il se fallait cette foreuse, mais la chaleur interne d'Apogée envelopper ce pilier aussi dure que de la pierre d'une chaleur agréable.

   Malgré cela, Apogée respirait avec facilité, en plus de n'avoir aucune sensation, envie ou réflexe pour vomir, bien que toujours au dessus de lui c'était maintenant le mâle qui mener la danse. Et alors qu'Apogée provoquant des bruits de succions et des gémissements, se mit à mouiller encore plus, l'homme s'activant autant sur sa bouche que sur son intimité, lui provoquant des spams et des gémissements de plaisir, avant de changer de cible, s'attaquant à son cul. Apogée tenta de reprendre l'ascendant, mais avec les coups de butoirs et les mains sur sa tête elle n'avait pas l'opportunité. Rapidement, Helel coinça la tête d'Apogée entre ses jambes, sans cesser de lui baisser sa douce bouche, la bave coulant de ses lèvres.

   Puis il parvint à les faire basculer de nouveau, Apogée le réalisant quand elle sentit sa jambe droite heurter le sol, avant que le mâle ne parvienne à la coucher sur le dos, ne retirant qu'à ce moment son auguste membre de la bouche d'Apogée, d'important filet de bave de le reliant, dans un bruit de succion plutôt dérangeant. Il posa son service trois pièce sur le visage d'Apogée, qui reprit doucement son souffle, qui ne trahit en rien l’épreuve qu'elle venait de passer, le souffle pas assez fort pour témoigner de l'effort fournit et de la privation d'air dont elle fut victime. L'homme changeant de position, au plaisir d'Apogée qui voulait une vue d'ensemble du mâle que de sa seule virilité, donnant un coup sur ses lèvres au passage.

   Reprenant sa position de mâle dominant, Helel pencha sa tête vers celle d'Apogée, taquinant les lèvres d'Apogée avec les sienns, sans l'embrasser directe, au grand dam d'Apogée qui aurait voulut goûter ses lèvres d'une meilleurs manière. En plus de cela, l'homme mima un coït, pressant juste ses lèvres intimes, humides et chaude, frustrant Apogée, qui l'interpréta comme une sorte de de vengeance, lui fessant subir une douce torture, la fessant gémir doucement.

"Allez, supplie moi... Et j'arrêterai de te faire languir."

   Il vint laper sa gorge, torturant avec délicatesse ses mamelons, arrachant un soupir à Apogée, qui n'en pouvait plus, ne voulant qu'une chose en cet instant, le sentir labourer son antre ! Mais supplier ne fessait pas vraiment partie de son vocabulaire, n'étant pas du genre à supplier quelqu'un et bien trop excité à l'idée de se faire baiser par son mâle pour attendre qu'il consente à la pénétré. Et puis, il devait sans doute être aussi impatient que elle.

   De par sa position, Apogée put user de ses jambes pour faire un « croche-pieds » à Helel, dégageant ses jambes de manière à les relever, brisant sa stabilité, fessant donc glisser son bassin vers le bas, sa verge pénétrant sans réel effort, l'intimité moite et humide d'Apogée, qui poussa un râle de d'extase, sentant la verge coulisser en elle, écartant ses parois humides et chaude. Planter dans un cocon de chaleur et d'un moelleux exquis, Helel pouvait sentir que la chaleur dans l'intimité d'Apogée était bien plus important que sa température corporelle ou même d'une autre femme, un endroit fait pour garder au chaud et dans le conford la virilité des hommes.

-Supplier c'est pas mon truc.
Lui dit Apogée un sourire goguenard et empreint de plaisir. J'aime pas attendre, surtout pour un engin d'cette taille. Lui susurra t-elle.

   Elle passa ses mains dans son coup, avant de l'embrasser goulûment, sa langue filant dans sa bouche, caressant ses jambes contre les siennes, elle aurait put joué le jeux, mais ce n'était pas dans sa nature d'attendre pour s'envoyer en l'air avec un homme.

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Les terres sauvages / Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]
« le: jeudi 18 février 2016, 13:00:54 »
« Et bien... Voyez-vous, Apogée, nous sommes certes venues ici pour trouver des reliques et de l’or, mais, et de manière plus générale, la Horde recherche toujours des guerrières talentueuses qui voudraient se battre avec nous. Bien sûr, nous ne vous forçons à rien... Disons juste que c’est une proposition. »
-Oook ! C'est juste ça ! J'pensais que vous aviez peurs que j'ai entendue des choses pas nets ou bizarre sur vous ! Clamât Apogée en souriant. Étant mercenaire, pouvez compter sur moi pour vous aider ! Tant que j'ai de quoi vivre j'serais toujours partante ! Et puis j'ai une dette envers vous, j'suis prêt à tout pour la rembourser. Lui dit-Apogée.

   Apogée n'était pas contre et avait bien fait comprendre à Fanis qu'elle était à sa disposition pour donner un coup de main. Bien que mercenaire, Apogée acceptait un contra tant qu'on lui donner de quoi vivre, ne demandant pas de sommes excessive, demandant parfois juste du matériels d'exploration. En faite c'était juste pour combler ce qu'elle n'avait pas pour l'exploration. Et puis c'était intéressant pour elle, car des informations qu'elle avait eu et qu'elle avait prit la peine de chercher sur les amazones, elle s'avait juste que c'étaient un peuple plutôt ancienne, charger d'histoire et de légende ce qui titiller son côté exploratrice et son envie de découverte, étant sur d'apprendre des choses intéressante sur ce peuple, et puis peut être aoir des infos sur un potentielle lieu encore inexploré !

   Mettant ceci de côté, Apogée partagea ses victuailles, tandis que le lapin semblait être prêt. Le repas semblait copieux, du moins pour Apogée habituer à manger trois fois moins que ça afin de rationner sa nourriture et l'eau pour pouvoir survivre durant un très long durant ses exploration, le cidre juste un plaisir gustatif occasionnelle, bien qu'elle puise se passer de nourriture et d'eau pour vivre, trop humaine pour s'en rendre compte. Bien que réunit de manière plutôt incongrue, ça n’empêcher pas les trois femmes de s'entendre et de s'aider pour la nuit, le voile noir du crépuscule s'étend abattue, le feu de camps la seule source de lumière des environs. À quelque kilomètre de leur positions se trouver un autre feu de camps, celui-ci appartenant à des braconnier bien que cela soit inutile de le savoir pour l'histoire.

   Durant le repas, Apogée ne prit que ce qu'on lui avait donner et afin de ne pas laisser un blanc s'installer durant la dégustation, elle questionna les amazones sur leurs peuples, ses origines, ses coutumes, son organisation etc... les questions habituelles quand on rencontre un nouveau peuple.

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   Apogée marchait dans une forêt à travers les arbres et les fourrés, bordant une chaîne de montagne, au sud d'Ashnard. Son dernier travail de mercenaire lui avait rapporter une belle somme, pouvant se la couler douce pendant un bon long moment. Plus de boulot ou de demande d'exploration, elle pouvait explorer les endroits qu'elle voulait, bien que pour le moment, elle avançait sans vraiment savoir où aller, se baladant juste, comptant s'aventurer dans les montagnes, afin de peut être trouver un lieu ou quelque chose t’intéressant, bref de quoi justifier sa balade en montagne. La forêt était accueillante, le feuillage des arbres ne bloquait pas énormément les rayons du soleils, les arbres assez espaces, pas oppressant, tout plein d'oiseau voletant par ci, par là. Une foret sympathique pour faire une balade ou un pique-nique.

   Mais bon Apogée n'était entré dans cette foret que depuis dix minutes, n'ayant pas encore traverser entièrement la forêt pour atteindre la montagne, bien que touffue, le bois restait encore accueillant, mais plus elle avançait, plus les arbres étaient rapprocher, plus le terrain devenait casse-gueule, inégale. Parfois il y avait des ronces, un petit ravin, creuser par les années par un petit ruisseau, des petits pentes, des énormes rochers, des chênes immenses et massifs. Au fur et à mesure qu'elle se diriger vers les montagnes, la forêt devenant plus oppressante et plus dense et plus traitre, une racine énorme cachant un troue, des ronces ou une pierre, ou bien des plus vicieuses, prompt à faire tomber les plus malhabiles ou les moins attentionné. Ce qui fut le cas d'Apogée, occuper à essayer de voir des écureuils, se prit les pieds dans une racine, brisant le calme par un juron sonore, suivit du bruit si caractéristique d'une personne se ramassant, fessant fuir les oiseaux et les écureuils aux alentour, ainsi que des lapins et d'autre animaux, dont un cerf qui passer par là.

-P'tain ! Grogna Apogée en se relevant. M'apprendra à chercher des rongeurs...

   Quelque griffure et entaille superficielle, plus de peur que de mal. Elle continua sont chemin, cette fois en fessant attention à où elle mettait les pieds. Après quelque minute, Apogée arriva dans une clairière, d’où la montagne était visible. Il ne lui restait plus que quelque heures de marches, ce soir elle devrait y être. Apogée s’apprêta à faire une pause, regarder sa carte et casser la croûte. Mais un râle et le bruit signalant que quelque chose de gros se déplacer... . Apogée tira sa lourde épée, l’œil au aguets, le sourire aux lèvres, ravie d'avoir un peu d'action.

   Après quelque minute, une créature jaillit d'entre les arbres, brisant l'un d'eux, dans un beuglement inaudible, haute de plusieurs mètres, atteignant facilement deux fois la taille d'Apogée, une tête plutôt plate et allongée, possédant un pagne avec une ceinture. Un troll des forêts se jeta donc sur Apogée, brandissant une masse primitive, un tronc d'arbre décorer de pièce de métal. Apogée évita le coup, le choc de l'arme pulvérisant le sol, envoyant des mottes d'herbes voler, des lézardes de formant.

   D'un mouvement fluide, Apogée leva et abattis son épée sur la masse, alors que le troll commencer à la relever. Concentrant toute sa force, elle brisa plus qu'elle ne coupa la masse, enfonçant profondément son épée dans le sol, secouant violemment le bras du troll. La créature recula en lâchant son arme, tenant son bras et hurlant de rage, il revint à la charge, brandissant le poing gauche au-dessus de son épaule droite, avant de donner un puissant coup latéral. Apogée abandonna son épée, avant de lever ses bras dans le but de stopper l'attaque.

   Un humain normal aurait vue ses os broyaient et aurait connue une mort brutale, mais bien qu'Apogée fut envoyer en arrière, sa nature, sa composition et sa force lui permirent de s'en sortir indemne, ayant quasiment stopper l'attaque. Le troll brailla plus de raison, en se tenant le bras, sa propre résistance lui ayant épargné le bras casser, bien que l'os soit endommager. Il recula un peu, surprit de voir l'humaine encore vivante et aussi forte, ce serait intéressant pour lui de la combattre avant de la saillir. Souriant d'un air malsain, le troll se mit dans une parodie de position de combat, bras en avant et grognement fortement et apparemment de manière exagérer, ce qui surprit Apogée, n'ayant jamais vue de troll avoir quelque notions de combat. D'un autre côté, le combat semblait plus intéressant.

-T'a intérêt à être bon. Dit Apogée, en se mettant elle même en position.

*BAM*

   Apogée sentit un puissant coup dans les côtes, brisant une côte, l'envoyant valser contre un arbre, le heurtant avec force. Reprenant ses esprits, luttant contre la fausse douleur que la magie en elle fessait paraître réelle, Apogée se releva et vit un deuxième troll, un peu plus petit et bossus que son congénère, ce qui la choqua presque, car il elle ne l'avait pas entendue, ni aperçue ! Elle était sur, et elle n'avait pas tord, le troll avait agit de manière discrète profitant de la couverture sonore de son camarade et qu'Apogée soit occuper avec lui, pour la frapper en traite. Les deux trolls firent taper leur poings entres eux, comme une sorte de tchek. Apogée doutait qu'il est put faire ça seule, les trolls de forêt qu'elle avait vue jusqu'à maintenant foncer sans réfléchir et arrivait à être aussi discret qu'une fanfare dans une église.

   Apogée crachat du sang, un sang plutôt rouge-oranger, avec une légère teinte grise, avant de se relever, léchant le sang perdue sur ses lèvres. Ce combat promettait d'être des plus intéressant. Apogée se dirigea vers les deux, alla à sa rencontre, brandissant cette fois son bras droit, le levant bien bien haut son bras droit. Il l’abattis, mais Apogée leva ses bras en même temps confrontant sa force à celle du troll, parant dans un choc sourd son coup. Le troll beugla de surprisse et de colère, tandis que l'autre tandis son bras et sa masse le plus loin possible, dans le but de la frapper horizontalement. Apogée dégagea violemment le bras du monstre, le déséquilibrant, menaçant de le faire tomber, tandis qu'elle se mit en position pour frapper le gourdin qui se rapprochait dangereusement.

*SSRRAACCCKK*


   Dans un horrible craquement, Apogée brisa la masse d'un coup, pulvérisant le bois, broyant ce gourdin dans une frappe dévastatrice, toute la magie la composant ayant mit toute sa force dans son bras, créant un coup dévastateur. Son corps, prévue pour subir le choc de l'usage d'une t-elle force, put supporter le choc, bien que tout son bras fur engourdit. Elle s'éloigna rapidement, se dirigeant vers son épée, tandis que le premier troll la chargea, suivit de l'autre qui balançant son gourdin en arrière. Néanmoins, elle put reprendre sa lame, elle l'attrapa le manche, avant de se retourner, de l'arracher de terre, de la lever bien haut et de l'abattre sur la mains du troll le plus proche qui tenter sa mains vers elle, broyant l'index, avant de trancher la paume dans la longueur

   Son hurlement retentit dans toute la forêt, reprit par son compagnons, hurlant sa rage et voulant vengeance. Comme attirer par les cries, d'autres trolls surgirent de la forêt, l'un d'eux avait une parodie de bouclier, les reste d'une charrette bardée d'armure de maille ou de fer aplatit, tenant non pas un simple gourdin de bois, mais renforcer de fer et de chaîne. Soit ils attendaient un meilleurs moment, soit les deux n'étaient que l'avant garde, toujours est-il qu'Apogée fut surprise de voir autant de troll, dont un aussi bien armée, sûrement des trolls engager par des orcks, vue leur équipement, surtout celui qui semblait être le chef.

   Apogée sentit son cœur accélérer, son esprit se chauffer et l'appel du combat l'envahir. Un combat qu'aucun guerrier digne de son ne voudrait ratée, elle n'avait pas combattues autant de monstre, pas moins d'une dizaine, elle ne voulait plus qu'une chose : se battre jusqu'à la mort. Elle poussa un rugissement barbare, rivalisant avec ceux des trolls, avant de charger, alors qu'ils essayaient de former un cercle, le blesser se retirant.

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Dictature d'Ashnard / Re : Une aventurière avec un démon ?[PV Stephen Connor]
« le: mercredi 17 février 2016, 17:31:30 »
   Apogée se plaisait à le dominer de la sorte, adorant faire ça avec ses partenaires masculins, ils avaient plus fougue et d'ardeur à vouloir la baiser pour la remettre à sa place. Un petit rituel avant de baiser comme des fous. De plus elle sentait qu'il devait pas aimer ça, que sa fierté masculine en dépendait, dieux que c'était existant ! Apogée continua à masser son chibre avec sa main chaude, le fessant avec amour et délicatesse, ses doigts caressant ses couilles, avant de remonté caresser son gland, avec de redescendre et de refaire son manège. Pour le moment son adversaire, enfin désormais spon amant ou son mâle, le combat ayant virer au sexe, lapait avec gourmandise son téton, le mordillant doucement, fessant soupirer Apogée, tandis que la magie la composant s'activa afin de reproduire l'effet aphrodisiaque de la salive maculant son sein.

   Mais perdue dans son massage et accaparer par les sensations venant de son téton, qui vint à durcir sous les coups de langue, de même que l'autre, Apogée avait relâcher sa garde et le mâle put reprendre sa place de dominant, renversant Apogée, se couchant à nouveau sur elle et ça sans lâcher le seins d'Apogée de l'emprise de sa douce torture, de même pour Apogée, gardant sa mains sur son sexe, la retirant qu'une fois qu'il fut en place. Ce fut qu'une fois à la place qui lui revenait, écrasant son sexe imposant sur l'intimité d'Apogée le bel homme lâche le téton, provoquant un délicat bruit de succion.

"Pas aujourd'hui, ma beauté. Pour le moment, tu vas être bien sage, et couiner pendant que... Je te baise."
-Ooh... tu sais donner envie ! Susurra Apogée avec un regard et un sourire qui en disaient long sur son envie dévorante.

   Le mâle se releva, légèrement, afin de libérer la bête. Apogée verrouilla se regard dessus et siffla, commençant à mouiller légèrement. Un aussi beau calibre était rare à voir, surtout en se contentant de ceux dans une taverne, si bien qu'Apogée n'avait qu'une envie : le sentir au plus profond d'elle même. Elle se lécha les lèvres, comme devant un somptueux repas. Oublier le combat, le plaisir charnel n'attendait pas. Au pire, ils feront un autre combat, avec d'autre enjeux.

"J'espère que tu as encore de l'appétit. Ouvre bien grand la bouche."
-J'espère qu'tu pourras me rassasier. Répondit Apogée, en léchant rapidement ses doigts, une lueur malicieuse dans les yeux.

   Ses seins servirent de coussin pour son homme, s'asseyant avec nonchalance dessus, la bloquant de tout mouvement, son poids clouant Apogée sur le sol et ses jambes bloquant ses bras. Dans un ballet obscène, il balada son braquemart sur son visage, donnant de petit coup sur ses lèvres, titillant l'envie d'Apogée, qui n'attendait que de l'avoir en elle ! Au final, en lui souhaitant un bonne appétit, il lui enfonça lentement le gland dans sa bouche, qu'Apogée s'empressa d'avaler avec un petit miom, le prenant un bouche comme une sucette, léchant avec délice le gland, tout en lui lançant un regard de braise, qui ne laisseraient pas indifférent un homme.

   Pendant un moment, elle avalait lentement le membre turgescents et chaud dans sa bouche, recouvrant ce qu'elle avait en bouche de bave, avec des bruits de succion exagérer, mais plaisant à entendre, pressant ses lèvres dessus, lapant son sexe avec gourmandises. Continuant son manège, Apogée s'assura de bien occuper Helel*, le détournant d'autre chose, car Apogée n'allait pas en rester là. Profitant du fais qu'il se croyait vainqueur et qu'il était occuper à ressentir les sensations que lui procurer la fellation d'Apogée, cet dernière usa de ses jambes pour faire un mouvement de balancier, les envoyant sur le côté, fessant bouger violemment corps, avant que le mâle ne s'en rende compte, le désarçonnant, perturbant son équilibre, libérant un bras d'Apogée, ôtant par la même occasion son sexe de sa bouche avec un bruit de succion, de la bave reliant sa bouche à son sexe, avec d'être briser.

   Apogée put se dégager pleinement, repoussant son adversaire en arrière, le réceptionnant avec ses jambes, avant de les enlever, se mettant assise et se releva rapidement et entreprit de défaire la boucle de sa tassette, puis elle retomba sur le beau, mâle, le plaquant à nouveau contre le sol alors qu'il se relevait. Elle finit par enlever sa tassette avec ses jambes, l'envoyant valser. Complètement nue, Apogée avait un visage dévorer par le plaisir et les yeux à provoquer des rougeurs, tellement qu'ils étaient ardent.

-Va pas croire que se s'ra si facile ! Souffla Apogée. J'compte bien m'amuser pleinement !

   Elle se releva, se retourna rapidement, avant de se rabaisser, collant son intimité humide sur la surface de la bouche de l'homme, tandis qu'elle enfonça sa verge entre ses seins, un cocon chaud et moelleux et commença à faire des vas et viens avec, léchant le gland avec gourmandise. Bien qu'elle ne voulait pas réellement jouer les dominantes, préférant les hommes dominants, Apogée adorait mettre un peu de piment dans les ébats. Helel pouvait comprendre qu'Apogée ne serait pas aussi facile à dompter qu'il l’espérait.


*J'avais oublier qu'Apogée connaissait son prénom

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Les landes dévastées / Re : Interrompre une expérience ? [Pv]
« le: samedi 30 janvier 2016, 23:48:37 »
   Apogée se baladait tranquillement dans les terres sauvages, n'ayant rien de spéciale à faire, prenant juste le temps d'explorer l'endroit, sachant pertinemment qu'elle ne pourrait jamais l'explorer entièrement. Elle fessait une pause, mettant de côté son travaille de mercenaire, les demandes d'exploration etc... . Elle voulait découvrir un peu plus cet endroit, de le visiter comme elle l'entend, sans être obliger de protéger un marchand ou de trouver une lieu étrange pour dénicher une relique. Elle marchait dans une plaine, ne voyant que de l'herbe, des arbres isolés, quelque colline au loin et une forêt lointaine, qui était sa destination, voulant marcher entre les arbres. Aucun danger apparent, parfois un troupeau de chevaux sauvages, mais rien d'alarmant. Du moin jusqu'à ce qu'une voix ne se fit entendre dans sa tête, résonnant dans son esprit.

« Expérience 1A8, Apogée. Retour immédiat ! Point Zeta prime »

-Que...quoi ? Clama bêtement Apogée, regarda tout autour d'elle, l'épée dresser devant elle.

   Elle continua à chercher un moment, avant de se diriger à l'opposer de la forêt qu'elle voulait aller, ce dont elle se rendit compte qu'après coup. Du fais de sa position elle ignorait où elle allait, en même temps qu'elle avait une étrange impression, comme si elle connaissait sa destination. Elle se mit à courir, allant plus vite qu'un humain lambda, sans pour autant prétendre à pouvoir battre le record des cents mètres. Elle ne savait pas pourquoi elle y allait, mais elle y allait, obéissant à cette voix venant de nul part, alors qu'elle se demandait pourquoi elle le fessait, son corps semblant obéir de lui même.

   Elle courue ainsi durant deux jours, rencontrant parfois des obstacles, que se soit des bandits, un pont écrouler, une route bloquer, des monstres ou le mauvais temps, s'en faire de pause, mangeant et buvant parfois en route, bien que cela soit inutile, pouvant vivre sans manger ni boire et courir pour l'éternité. Après deux jours de course effrénée, Apogée arriva au limite des terres sauvages, face à elle, s'étendait les landes dévastées. La terre austère, ne présentait que désormais de rares pousse d'herbe jaunit, au point de ce demander comment elles avaient fais pour pousser et survivre jusqu'ici. Apogée avait déjà traverser les landes dévaster, pour rejoindre Ashnard, ne craignant pas vraiment l'endroit, mais la prudence était de mise, les monstres étaient légions.

   Son épée en mains, Apogée progressa rapidement, sans vraiment tenir compte d'être discrète. Après une journée entière, Apogée avait finit par atteindre ce lieu appeler Zeta prime, comment elle le savait ça elle l'ignorait. En une journée, elle avait affronter une sorte de petit dragon de terre, sans aile et crachant du venin, proche du crocodile en apparence, plus gros et rapide et battue un ogre affamée, bien que rien ne laisse penser un t-elle affrontement en la voyant. Bref, passons. Apogée se dirigea vers une maison ? La porte s'ouvrit toute seule et Apogée s'y engagea, sans ce poser de question, si ce n'est que qui serait assez fou pour construire ici.

   Elle arriva sur un laboratoire, ce qui lui donne un air... familier, avant de s'assoir sur la table, sans tro savoir pourquoi, posant son épée contre le mur. Elle s'installa à peine qu'une personne apparue de nul part ou bien elle ne l'avait pas vue, ou il venait de l'étage supérieure ce qui était probable.

« Ah…. 1A8 !  Apogée !  Je suis si content de te revoir ! »
-Euh.... pareil !? Souffla timidement Apogée, ne comprenant pas vraiment la situation.
*1A8..... c'est quoi cette appellation de merde ?* Pensa Apogée.

   L'inconnue qui lui étrangement familier, posa sa mains sur sa joue, plus précisément sur son tatouage en prononçant ce mot étrange. Apogée ne fit rien, déboussoler, mais... étrangement confiante.

« Cela fait si longtemps que j’attends ton retour… raconte-moi donc, comment est le vaste monde ? »

   Apogée avec les yeux ronds, essayant de se rappeler de qui était cette personne qui lui était familière. Après un moment, des souvenirs de l'époque où elle fut choisit pour le projet de sa mère, lui revinrent en mémoire, résolvant son soucie !

-AH MAIS OUI ! T'es un ami d'ma mère ! Je-sais-plus-qui qui à aider ma mère àfaire devenir comme ça ! Et moi qui croyait avoir à faire à un cinglé !
Brailla Apogée en lui donna une claque dans le dos, qui n'était pas aussi forte et brutale qu'on le croirait, le fessant juste chanceler, en rian. Va faire quatre ans maintenant !

   Croyait qu'elle avait vue juste, elle partie dans la narration de son vécue, racontant ses voyage, abreuvant de détaille les zones qu'elle avait put traverser, là où un humain n'aurait jamais pus traverser sans magie, survivant à des marchéages remplis de sangsues et créature venimeuses, ses balade dans des forêt remplit de vapeur toxique, ses aventures dans les forts, cryptes et lieu inconnue qu'elle avait visité, les relique et artefact qu'elle avait dénicher, racontant avec plaisir, ses combats contres des trolls, ogres, minotaure, mort-vivant et autre créature hantant les donjons. Elle passa sous silence ses nombreuses beuveries, claquant des mois de salaires de son boulot de mercenaires, de même que c'est multiple aventure d'un soir dans les auberges. Elle parla aussi des mages l'insultant de créature magique, des recruteurs de l'armée d'Ashnard, des quelques démons ayant voulue la dominer et surtout comment elle leur avait casser la gueule.

   Et cela dura quelque heures, parlant sans cesses, sans prendre de pause. Après un très long moment, elle finit par s’arrêter, reprenant son souffle, son cœur battant à tout rompre. Le pauvre n'avait pas du réussir à placer une réplique, car Apogée n'avait fais que parler.

-Pffioouu... c'est fou que j'en aie fais des truc ! Souffla Apogée. Bon assez parler de moi, comment qu'elle devient ma famille et les autres ?Demanda Apogée.

   Elle ne fit pas allusion à sa fugue, s'en voulant encore d'être partie sans prévenir, et puis après quatre ans, on devait l'avoir pardonner.

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