Salles de cours et bibliothèque / Re : Entre livres et maladresse [Pv : Saika]
« le: lundi 26 janvier 2009, 21:44:11 »Un doux sourire apparut sur les lèvres de la délicieuse créature sentant qu’il finirait par ne plus résister. Et plus elle le voyait se débattre avec ses envies qu’elle ne sentait augmentait son désir. Fonctionnement étrange.
Elle subissait ses assauts qui ne trouvaient de fin, la langue du lycéen prodiguant des caresses qui auraient pu la faire elle aussi basculer dans une avidité partielle. Opium trouvait finalement en Saika un bourreau des plus désirables.
Ce n’est que lorsqu’il vint embrasser ses lèvres qu’elle reprit un peu plus ses esprits. Le plaisir envolé, elle reprit pleine conscience de la situation. Debout dans la bibliothèque à moitié cachée par les rangées de livre. Les surprendre en plein dans leur ébat était une éventualité à ne pas négliger et une façon d’augmenter toutes cette alchimie en ébullition. Lorsque le jeune homme l’embrassa elle ne vit que la confirmation de ce qu’elle pensait tout proche. Tout de douceur ses lèvres se pressèrent aux siennes lui insufflant plus de délicatesse laissant leur salive se mêler.
Opium… J’ai envie de toi… ici…
Voilà qui la ravit. Le sourire s’étiola sur ses lèvres, sa poitrine se gonfla d’un désir plus que palpable. Un peu plus et elle agirait sur la température, rendant déjà l’atmosphère gorgée d’une sensualité quasi étouffante. Elle n’eut pas le temps de répondre qu’il la mettait face à l’étagère. Légèrement surprise et ce malgré la délicatesse du geste elle ne put retenir sa surprise. Ses mains glissèrent le long du rebord de l’étagère, y prirent plus sérieusement appuie. La suite était évidente.
Modérant toujours sont ardeurs elle n’en fut que plus sensible lorsqu’il apposa son sexe contre celui de la « donzelle ». Son désir exacerbé elle s’en mordit les lèvres, une main descendant sur son ventre jusqu’à son pubis dans une légère ondulation faisait glisser son intimité contre la sienne. Puis il entra. Les parois de son vagin s’écartèrent sous le passage de la dague de chair. Déjà prête depuis un moment il n’eut aucun mal à aller jusqu’au fond alors qu’elle se cambrait légèrement comme pour permettre une meilleure pénétration. Il commença ses va-et vient doucement alors qu’elle profitait de ses quelqu’un instant pour jouer les créatures passives. Puis la cambrure se marqua un peu plus, creusant l’arc au creux des reins pour profiter un peu plus de ce qu’il avait à lui offrir avant que son propre bassin ne commence à onduler doucement.