Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Warda Ralixar

Pages: 1 [2] 3 4 5
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 03 septembre 2014, 19:28:05 »
19h28.

J'ai du retard sur tout mes RP. Pourtant j'ai envie de créer une doublette. Mais j'ai pas le temps avec mes études.

19h28.

J'ai faim mais j'ai la flemme de me faire à manger... Et j'arrive pas à avoir de l'inspiration le ventre vide...

17
Le quartier de la Toussaint / Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]
« le: mardi 02 septembre 2014, 00:17:28 »
Warda espérait de tout cœur recevoir une punition sur son tendre fessier. Au lieu de cela, elle fut retournée, pendue par les mains, et fut une première fois - sans doute la première d'une longue série - le jouet sexuel du policier. Elle attendait avec impatience de voir lequel de ses accessoires il allait utiliser sur elle. Contre toute attente, il ne se servit que de son doigt, qu'il appuya à divers endroits du ventre de sa jeune victime, lui infligeant à chaque pression une décharge électrique, la faisant sursauter de douleur et de surprise.

Elle ne réagit qu'à peine lorsqu'elle fut relâchée et frappée à son endroit favori, encore sous l'effet de la folle chose qu'elle venait de subir. Non pas que c'était fortement douloureux, non pas même qu'elle trouva l'expérience désagréable... Mais l'électricité venait de jaillir de nulle part.

Rapidement, son bourreau l'interrompit dans ses pensées, pour lui donner cette fois non pas la possibilité, mais l'ordre d'aller crier dehors. Elle trembla à cette idée. Mais que faire ? Le supplier du contraire ? Pas très utile... Elle fit quelque pas vers l'entrée, un bras plaqué contre sa poitrine, cachant tant bien que mal ses deux tétons, l'autre guidant sa main en coquille contre son sexe. Elle s'arrêta juste devant la porte, soudainement trop paralysée pour sortir.

Elle regarda derrière elle. Il était entré dans sa chambre. Si elle criait d'ici, il penserait surement qu'elle était sortie. Elle tourna la tête vers l'extérieur. Personne en vue. **Bon... C'est le moment ou jamais. Allez, je crie un bon coup, personne ne reconnaitra ma voix, personne ne saura que c'était moi...** tenta-t-elle de se rassurer.

Elle ferma les yeux, prit une bonne inspiration, tenta de faire le vide dans sa tête, puis, sans penser à rien... Entendit son maitre l'appeler à accourir dans sa chambre. Instinctivement, elle courut le rejoindre, toujours munie de son collier noir, marqué du surnom par lequel elle venait d'être conviée : "Pupute".

Elle vit la transformation qui venait d'être effectuée dans sa chambre : une barre horizontale sur le montant des pieds, lui affichant diverses images perverses dans son esprit, la faisant déglutir à l'idée qu'elle venait tout juste probablement d'avoir une vision d'avenir proche.

Elle pâlit soudainement, réalisant qu'en lui obéissant au plus vite, elle venait également de lui désobéir. Elle n'avait pas crié. La sentence risquait fort d'être plus sévères que d'habitude, et elle le savait.

Voulant éviter les blessures au visage à tout prix, elle fit quelques pas en avant, afin de dépasser son bourreau, et lui faire garder la vue de son dos dans son champ de vision. Elle espérait qu'ainsi, il serait plus tenté de passer ses nerfs sur la partie qu'elle appréciait le plus, même si la dernière tentative pour le tenter avait lamentablement échouée.

Pensant qu'il fallait trouver une explication à ces quelques pas, elle fit mine de s'intéresser à ses paroles et aux changements de son mobilier :

Oh maitre... Merci... Merci pour toute l'attention que vous m'offrez. Je suis prête à suivre vos ordres, et vos changements à imposer dans ma vie...


Elle avait prononcé ces derniers mots d'une voix presque inaudible. Son esprit était cette fois en train de supplier **Pas le visage... Pas le visage... Pitié pas le visage...**

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Les toits de Seikusu sont bien plus fréquentés qu'ils n'y paraissent. Avec le nombre d'échelles et de liaisons entre les toits qu'il y a entre les bâtiments du lycée et ceux avoisinant celui-ci et son annexe, vous y serez surpris de voir tout ce qu'on peut y trouver. On y a bien entendu des étudiants qui, à chaque pause, viennent à l'abri des regards d'adultes pour consommer alcool, tabac ou autres substances bien moins légales encore.

On y croise aussi des choses plus insolites, comme ce lapin sortit d'on ne sait où, qui marche sur le toit d'un bâtiment particulièrement fréquenté à certaines heures : celui des heures de sports... En effet, il est un excellent point de vue sur certaines vitres des vestiaires des filles comme des garçons. Ces vitres étant officiellement fumées, c'est à dire qu'on y voit de l'intérieur depuis l'extérieur, mais pas l'inverse. Sauf de ce point de vue précis, pour une raison inconnue de tous. La véritable raison étant que la nouvelle directrice, secrètement la déesse de l'amour, avait ensorcelé ces verres pour que depuis cet angle de vue bien spécifique, on puisse voir à travers. Les étudiants étaient loin de trouver cette réponse.

Il y a une heure, vous y aurez trouvé une bande de jeune pervers observant des filles se changeant après un cours de baseball éreintant, mais à présent, c'est à l'inverse une jeune lycéenne de 16 ans, vierge avec ça, qui prenait des photos de garçons se préparant pour une séance d'entrainement au basket.

Elle vient tout juste de prendre la dernière. Et n'allez pas croire qu'elle fait ça par simple curiosité de l'anatomie masculine, elle est déjà suffisamment callée sur le sujet. Non, elle fait ça pour comparer, repérer celui qui possède la plus grande, et tenter de le séduire par la suite. Vierge, mais pas si innocente que ça.

Elle range l'appareil dans son petit sac à main, qu'elle mit autour de son épaule. Celui-ci ne contient d'autre que ses papiers, son carnet de scolarité, une barre de céréales et un petit nécessaire de maquillage. Elle fit à peine quelques pas pour retrouver l'échelle qu'elle tomba nez-à-nez avec l'animal. Vous savez, le lapin dont je vous ai parlé un peu plus haut ?

Qu'est-ce que tu fiches ici toi ? Tu t'es perdu ? Demanda-t-elle au lapin comme si celui-ci allait lui répondre. Au lieu de ça, l'animal la regardait docilement, sans peur.

Elle sourit. Il était assez mignon. Ayant rarement vu une telle boule de poil d'aussi prêt, elle se mit à quatre pattes, et se rapprocha, collant presque son nez au visage de l'animal. Celui-ci cessa alors de regarder Warda - car oui, c'est ainsi qu'elle s'appelle, pour ceux qui seraient un peu lent - et fut soudainement attiré par l'odeur du goûter de la lycéenne, et s'enfila d'un bond dans son sac.

Hey ! Sors de là, salle bestiole ! Gloussa-t-elle, tentant vainement d'attraper l'animal qui gigotait dans son sac. Elle entendit des bruits de grignotages. Mais qu'est-ce que tu... Eh ! C'est ma bouffe, pas touche !

Elle redoubla d'énergie pour l'attraper, se demandant de plus en plus d'où sortait ce rongeur, sur un toit d'un lycée.

19
Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: vendredi 29 août 2014, 21:46:16 »
Bon, je viens d'aller chercher dans un forum où je n'étais plus allé depuis 4 ans comment j'avais fait pour faire un tableau. La réponse est simple, et elle commence par :

[table border="1"]

Sauf que comme vous le voyez, le forum LGJ s'en contrefiche. Il ne le prend même pas pour une balise.

Donc je pense que c'est tout simplement impossible... :(

20
Le quartier de la Toussaint / Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]
« le: vendredi 29 août 2014, 18:37:51 »
Warda poussa un nouveau crit, plus doux et moins aigu cette fois, lorsqu'un nouveau coup de cravache arriva sur ses fesses. Elle était littéralement en train d'y prendre goût. Un frisson de plaisir accompagnait chaque frappe. Elle avait presque envie de se remontrer insolente, juste pour ressentir le cuir sur sa peau, mais rien ne lui garantissait alors que ce n'était pas son visage qui serait la prochaine cible.

Elle écouta en silence son bourreau lui dicter sa volonté. Elle préféra encore laisser la porte ouverte... C'était prendre le risque que son voisinnage soit au courant de sa vraie nature, ou être absolument certaine que le dit-voisinnage sache précisément ce qui était en train de se passer chez elle.

Elle se releva péniblement, vétue uniquement de ses menottes et de son collier. Docilement et sans un mot, elle marcha lentement jusqu'au mur désigné. Elle se retourna et se calla dos au mur, les talons levés, et les bras tendus au maximum. Elle réalisa alors qu'elle allait se faire attacher face à sa porte, et que celle ci était grande ouverte... Ne pouvant supporter l'idée que quelqu'un passe et la reconnaisse, elle se retourna, cette fois les seins pressés contre le mur, fesses bombées, et appuya sa tête, ses bras toujours dressés vers le haut.

Elle n'était pas bien grande : Bras tendus, ses mains atteignaient péniblement les 2 mètres 20. Ne voyant rien de ce qui se passait derrière elle, elle commença à s'imaginer ce qui pourrait lui arriver avec cet attirail. Il allait l'attacher à une barre suspendue au-dessus du sol... Elle serait alors totalement à sa merci. Qu'allait-il faire ? La frapper encore ? Elle en mouillait d'avance. Ou bien utiliser un autre de ses gadgets ramenés ? Quelque chose de vibrant peut-être ? Ou tout simplement profiter d'elle avec son corps ? Elle qui était tremblantes il y a encore une heure, elle était maintenant impatiente de la suite.

Tandis qu'elle maintenant la pose pour qu'il puisse prendre les bonnes mesures, elle tenta d'analyser sa position : son visage et ses seins étaient contre le mur, son intimité accessible seulement par dessous... Seules ses fesses étaient exposées. **C'est le moment de mal se conduire** pensa-t-elle en se mordant la lèvre d'excitation.

Maitre... S'il vous plait, fermez la porte... Je ne veux pas que quelqu'un me voie comme ça... Vous comprenez, j'ai une réputation... Je suis censé être une fille bien élevée... Je ne pourrai pas continuer à vivre ici si les gens savaient... Pitié maitre, fermez la porte...

Elle remuait lentement le fessier dans un appel silencieux tout en disant ces mots, suppliants intérieurement **Frappe ce cul... Frappe ce cul... Allez frappe ce cul...**

21
Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: vendredi 29 août 2014, 18:03:31 »
Pardon : (table) pour le tableau, (tr)pour une ligne et (td) pour une cellule. (En remplaçant par des crochets)

Donc un tableau complet donne ça :

(table)
(tr)(td)case 1(/td)(td)case 2(/td)(td)case 3(/td)(/tr)
(tr)(td)case 4(/td)(td)case 5(/td)(td)case 6(/td)(/tr)
(/table)


22
Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: vendredi 29 août 2014, 16:26:18 »
Normalement, c'est avec les balises
pour le tableau,
pour une ligne et
pour une cellule.

Mais j'ai complétement oublié comment régler la taille des bordures... Et sur LGJ, la taille par défaut est 0, donc un tableau de 2x3 donne ça :

case 1case 2case 3
case 4case 5case 6


Pas top :/

23
Les terres sauvages / Re : La singularité du mage de Locmirail [Warda]
« le: vendredi 29 août 2014, 14:36:01 »
Warda resta à genoux un moment, encore légèrement sous le choc. Ce qu'elle venait de voir - Son ami acceptant une potion sans être certain des effets - confirmait que la philosophie de l'expérimental n'était pas propre à Lemme, mais bien au plan tout entier.

Elle était quelque peu rassuré par les paroles de Lemme : le fait qu'il était en moins mauvais état qu'il n'y paraissait principalement. Mais une bonne nouvelle ne semblait jamais arriver sans une mauvaise aujourd'hui : les types qui venaient de tenter de la violer pouvaient revenir.

Elle pesait la proposition de son ami. Bien que finalement sauvée par la créature de petite taille, elle gardait quand même une plus grande confiance en l'ingénieur. Elle le connaissait mieux, et lui aussi c'était bien battu pour la secourir après tout. Et une petite partie d'elle, à la pensée qu'il allait se laver, ne pouvait s'empêcher de lui souffler d'aller avec lui, ne serait-ce que pour revoir la particularité de son anatomie. Elle se tourna vers Mixedec, dont la tête était au même niveau que celle de Warda, lui debout et elle à genoux.

Mer... Merci monsieur Mixedec prononça-t-elle d'une voix tremblante. Vous m'avez sauvé la vie... Et plus encore... J'ai à jamais une dette envers vous. Du fond du coeur... Merci.

Elle s'inclina maladroitement, pensant que ce genre de geste devait bien exister dans ce monde. Mixedec lui rendit son salut en une petite révérence, en y ajoutant :

Je ne pouvais laisser un tel acte se produire mademoiselle. Gardez la toge, je crains que vos anciens habits ne puissent plus vous servir comme tels à présent.

Elle jeta un coup d'œil à ce qui restait de son uniforme scolaire : quelques lambeaux de tissus. Elle se releva péniblement, regardant Lemme s'éloigner d'eux. Son seul désir était de le suivre, mais comment le faire sans vexer son sauveur ? Son regard passait de l'un à l'autre, cherchant vainement une solution. Comme si il avait exactement compris ce qu'il y avait dans son esprit, le halfelin reprit d'un ton cynique :

Eh bien quoi ? Vous n'attendez quand même pas ma permission tout de même ? Son sourire presque hilare était étrange compte tenu de la situation. Ne vous gênez pas pour moi ! Allez donc rejoindre votre ami, je vais juste rester là au cas où il y aurait un ennui avec ma potion. Il prit un tabouret et s'assit dessus, devant presque sauter pour l'escalader, avant de retourner ses yeux sur Warda. Ne faite pas cette tête ! J'ai dit "Au cas où". Il ne risque pas grand-chose qu'il n'ait pas déjà.

D'accord... Je vous fais confiance. Encore merci pour tout.

Elle se précipita alors vers le passage de son ami, manquant à deux reprises de trébucher sur un meuble renversé par la bagarre qui avait précédé en ces lieux. Ce qui la mena vers une pièce à part, muni d'une bassine, où Lemme semblait sur le point de se débarrasser de sa saleté. La jeune fille ferma la porte derrière eux, s'assura du regard qu'ils étaient bien seuls, puis retira sa toge, la posant délicatement sur une table-basse.

Elle appela son ami pour qu'il se retourne, puis se jeta dans ses bras, le serrant de toutes ses forces contre elle.

Oh Lemme... Soupira-t-elle. Lemme... Pardon... Pardon...

Elle ne pouvait s'empêcher de se blâmer pour ce qui venait d'arriver. Après tout, si elle n'avait pas été là, aucun incident ne serait survenu à l'auberge.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]
« le: vendredi 29 août 2014, 11:37:21 »
Elle n'avait pu s'empêcher de crier lorsque la cravache frappa ses fesses. Un cri mêlé de souffrance, de surprise et de plaisir. Elle soupira de soulagement à l'idée que ce coup aurait pu atterrir sur sa joue. Pas d'initiatives... Bien, elle n'en ferait plus.

Il la bombardait de questions à présent... Autant ne plus essayer de lui mentir. D'une, ça faisait mal, et de toutes façons, elle était attachée chez elle, prête à obéir au moindre de ses ordres, difficile de tomber plus bas.

Mon hymen... Commença-t-elle, Il se régénère... A chaque fois que je dors. Pendant mon sommeil. Mais personne ne devrait pouvoir venir ici, puisque la porte est fermée... Non ?

Elle tourna la tête vers l'entrée, constatant avec effroi que la porte était restée grande ouverte. Pire encore : sa position étant dans l'axe de l'entrée, n'importe qui passant devant pouvait la voir nue de dos.

Mais... Vous êtes fou ? Elle tenta péniblement de se calmer. C'était sans doute dans le seul but de la faire paniquer. Il fallait qu'elle se calme si elle voulait y échapper. Ecoutez... Je sais que je me suis mal conduite mais... Elle se courba à nouveau pour faire ressortir ses fesses, conscientes que ses paroles la faisait risquer une punition. Si trop de gens connaissent mon secret... Je serai obligé de déménager, et vous ne me reverrez plus... Ce n'est pas ce que vous voulez, pas vrai ?

La question suivante... Il s'intéressait sur son autre orifice. Là encore, autant lui dire la vérité.

Un seul garçon a tenté de me pénétrer par là... Et il n'est pas resté longtemps. Réalisant que la dernière fois qu'elle avait parlé de son expérience, elle lui avait menti, elle se pressa d'ajouter : C'est la vérité ! Je suis presque vierge par là... De toute façon, je n'ai plus aucune raison de vous mentir... Quant à mon sexe, il se referme chaque nuit donc... Il est aussi serré qu'au premier jour.

Elle sentit que ressasser ses expériences la faisait mouiller. Tant pis... Ou tant mieux, la suite n'en serait que moins douloureuse.

Par contre je n'ai rien qui ferme à clé chez moi... Désolée...

Elle mourrait d'envie de demander ce qui l'attendait, mais elle savait pertinemment que chaque question, en plus de rester sans réponse, risquerait de lui valoir un coup de cravache. Elle préféra donc se taire après cette dernière réponse.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]
« le: jeudi 28 août 2014, 19:20:58 »
Sous sa douche chaude, Warda savourait chaque seconde de ce moment de détente. Elle sentait que bientôt, elle serait dans une situation parfaitement inverse.

Elle entendit la porte se claquer. Il devait être sortit. Probablement pour faire un double des clés et revenir quand il voudrait. Elle se mit à trembler. Elle était littéralement devenue l’esclave sexuelle de ce pervers. En la faisant chanter avec son secret, elle était prête à absolument n’importe quoi, et n’importe quand.

Elle se caressa la joue, qui était devenue rouge de par sa dernière gifle. Elle avait horreur de se faire frapper au visage. En revanche, ses frappes aux fesses, bien que douloureuses, n’avaient pas été sans lui avoir procuré un certain plaisir. Sur le chemin, elle avait tenté d’y repenser. Sa conclusion lui semblait de plus en plus évidente : se faire abuser et traitée comme une esclave avait depuis longtemps été son fantasme, elle allait maintenant pouvoir le réaliser.
Dans la rue, ou devant son école, elle était trop timide pour révéler sa vraie nature aux yeux de tous. En revanche, chez elle, dans sa demeure qu’elle avait faite insonorisée, elle pourrait plus aisément se lâcher.
Ce qu’elle détestait vraiment étaient les gifles. Pour s’en passer, le mieux était probablement de jouer le jeu de son partenaire à fond, ou alors de tenter au mieux de prendre des fessées à la place.

Elle coupa l’eau de sa douche, sortit de sa cabine et commença à se sécher, encore nerveuse de ce qui l’attendait. Elle essayait de se remettre dans l’état dans lequel elle avait commencé sa soirée : allant voir volontairement un pervers pour qu’il abuse d’elle et qu’elle y prenne du plaisir. La seule chose qui avait changé, c’est que l’homme avait vraiment du pouvoir sur elle… Mais est-ce que la situation avait vraiment changé pour elle ? Elle allait se faire violenter et violer, mais c’était bien ce qu’elle était venu chercher au final. Elle pouvait quand même passer une bonne soirée.

Elle remit ses vêtements et sortit de la salle de bain, pour y apercevoir le tas d’instruments, ainsi qu’un petit mot sur la table. Elle prit ce dernier, le lisant promptement, et ne put s’empêcher de sourire. A présent qu’elle eut droit de souffler un peu sous la douche, elle se sentait plus libre, plus détendue, elle commençait à aimer ce jeu.

Avant de s’agenouiller, elle ne se retint pas de jeter un œil à la pile de jouets dont elle ferait bientôt l’expérience. Certains la faisait sourire, d’autre l’intriguaient, ne comprenant pas leur fonctionnement. Certains le faisaient frémir, généralement via leur taille.

Elle hésita à aller chercher le tube de vaseline qu’elle cachait précieusement dans sa salle de bain… Mauvaise idée. Elle se ferait surement giflée pour ça. Autant ne plus le contrarier.

Elle s’assura qu’il avait bien pris les clés avant de sortir, puis ferma la porte à clé avec un double qu’elle gardait dans sa chambre. Ainsi, seul lui pouvait rentrer. Pas question de se faire surprendre par quelqu’un. Elle enfila alors son collier, qui s’ajustait merveilleusement bien à son cou.

Elle s’agenouilla enfin, et se mit en position, dos à la porte d’entrée et face au tas d’accessoires. Son regard continuait à aller successivement sur chacun d’eux, tentant d’y imaginer toutes les possibilités d’utilisations et les effets qu’il procurerait sur son corps. Elle se demandait quel allait être le commencement. Sans doute enlever ses vêtements… Mais comment ?

Elle grimaça à l’idée que sa tenue de lycéenne puisse être abimée. Mais il était certain qu’il ne la déshabillerait pas délicatement… Pourtant c’était sa seule tenue. Autant l’enlever tout de suite.
Elle se releva, retira son haut et sa jupe, laissant place à son corps nu, n’ayant remis aucun sous-vêtement depuis. Elle alla ranger soigneusement son uniforme dans sa chambre, puis entendit quelqu’un tenter d’ouvrir la porte.
Elle se précipita de nouveau sur le centre de son salon, et remis promptement ses mains sur la tête, sans oublier d’écarter les cuisses. Elle entendit le bruit de la clé tournant dans sa serrure, puis celle de la porte s’ouvrant lentement. Etant de dos à celle-ci, ce pouvait être théoriquement n’importe qui, mais seule elle et lui possédait cette clé après tout.

Pensant qu’il pouvait avoir mal pris le fait de retrouver cette porte fermée, mais ne voulant pas de nouvelle gifles, elle se pencha légèrement pour mettre en évidence ses fesses, laissant implicitement penser qu’elle préférait cette punition.

26
Archives / Re : LGJ le RPG.
« le: jeudi 28 août 2014, 14:36:28 »
Salut,

Je pensais aider le premier projet au niveau du code, mais j'admet que la version "RPG" m'attire plus que la version "Livre dont vous êtes le héros".

Donc je pense pouvoir aider les deux projets, si vous êtes toujours à la recherche de quelqu'un qui fait du code.

Je peux aussi me proposer pour tout ce qui est chiffres et stats, j'aime bien les maths.

27
Le quartier de la Toussaint / Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]
« le: mardi 26 août 2014, 10:46:49 »
Le regard de Warda n’était plus que vide et désespoir. Tout espoir venait de la quitter. Il allait bientôt savoir où elle habite, et pourrait revenir n'importe quel jour à n'importe quelle heure.

Elle sentit les boules de geisha qu'elle avait jusque-là tenu à faire rester en elle glisser doucement le long de ses parois intimes. Elle n'eut alors ni l'envie ni la force de les retenir davantage. A quoi bon ? Elle aurait de toutes façons finie par les faire tomber. Elle les entend tomber sur le sol, leur sortie en est un vrai soulagement. Tandis qu’elle les ramassait, elle devina qu'elle allait sans doute se faire punir à présent... Et alors ? Il n'avait pas vraiment besoin d'un prétexte pour ça.

A présent, elle attendit. Le surveillant allait revenir et tendre à son bourreau la dernière chose qu'elle tentait de cacher : son adresse. Elle mourrait d'envie de lui courir après, de le supplier de donner une fausse adresse, de s'offrir à lui pour le convaincre... Mais elle ne pouvait faire le moindre mouvement.

Elle vit le surveillant revenir, une petite fiche à la main, qu'il tendit au policier en lui disant :

Voilà sa fiche. Dessus vous avez tout : son adresse, son âge, sa situation familiale... Vous devriez pouvoir la ramener chez elle. J'en profite pour vous remercier de faire ce que vous faites : il y a beaucoup de gens sans scrupules qui aurait profité de l'occasion.

A ces mots, il ajouta un petit clin d'œil furtif à Warda, ce qui glaça son sang. Il venait de lui donner bien plus que demandé, et ce regard sur elle... Aurait-il compris ce qui était en train de se tramer ? Venait-il volontairement d'aider ce type à abuser d'elle ?

Impossible à savoir, elle et son futur amant venait de faire demi-tour et s'enfonçaient de nouveau dans la ville, en direction de chez elle. Tout en marchant, elle tenta de refaire le point sur la situation dans sa tête : elle allait maintenant servir de jouet sexuel, c'était inévitable. Et devrait recommencer chaque fois que l'envie prendrait ce salaud. Elle ne vit alors plus qu'un seul moyen de réduire sa peine : y prendre plaisir. Après tout, servir de jouet à un inconnu avait été assez souvent son fantasme. Elle aurait préféré y être amené par un faux secret, non pas par sa virginité éternelle, mais c'était trop tard pour choisir.

Elle continua sa marche en silence, en tentant de se focaliser sur du positif, sur le plaisir qu'elle pourrait tirer de cette séance et non la douleur et l'humiliation.

28
C'est moi où les trucs tordus pullulent en ce moment ?

C'est pas un reproche hein, au contraire ;D

Bienvenue parmis nous bouboule ! Puisses-tu te plaire.

Tu ne t'attendais surement pas à ce commentaire, mais un monsieur en bleu risque fort de te dire "trop court" en voyant certaines partie de ta... Fiche.

29
Les terres sauvages / Re : La singularité du mage de Locmirail [Warda]
« le: vendredi 22 août 2014, 16:39:02 »
Les voix de ses deux sauveurs se faisaient de moins en moins sourdes et lointaines derrière elle, signe que ses esprits revenaient peu à peu.

Le visage toujours contre le sol, elle ne voyait même pas ce qui se passait dans son dos, mais sentit le tissu qu'on lui donnait se coller à sa peau.
Elle tenta de se retourner doucement, curieuse de comprendre ce qui venait de se passer. La première chose qu'elle put percevoir fut le cadavre de son agresseur jonchant au sol à côté d'elle, l'odeur de son sang se mêlant à sa puanteur originelle aida Warda à s'extirper de son état de demi-sommeil.

Elle finit par se retourner complétement, se retrouvant à présent sur le dos, la tunique qu'on lui avait confiée la recouvrant du cou jusqu'aux cuisses. Tout en tentant de percevoir à travers sa vision troublée qui étaient les deux personnes se tenant devant elle, elle chercha de ses mains molles à ajuster son vêtement, ce qui fut assez aisé à faire.

Ses sens commencèrent à revenir à elle. Elle parvint à entendre Lemme s’inquiéter pour elle.

Non… Il n’a…
Se força-t-elle à articuler. Il n’a pas eu… Le temps. Je n’ai pas… été… Enfin… Je vais bien. Merci.

La taverne, qu’elle avait connue agitée et peuplée lorsqu’elle est entrée, était maintenant d’un calme absolu. Le trou que Lemme avait fait dans le plafond commençait à refroidir, sa bordure perdant de sa rougeur, et les meubles de la pièce était renversés un peu partout suite au combat de l’ingénieur et à la lutte de la jeune fille.

Elle écarquilla les yeux lorsque l’image fut plus nette. Elle vit alors l’état dans lequel était son ami : couvert de sang, visiblement partiellement du sien, un œil fermé.

Lemme… Tu es blessé !

Elle se releva brusquement, et manqua de déglutir en voyant de plus près la scène actuelle : en plus du visage balafré de son ami et de la créature puante qui baignait dans son sang à côté d’elle, trois cadavres de plus jonchaient de l’autre côté de la salle : le chef qui était couché sur le ventre, inerte mais propre, et deux de ses sbires, dont les corps étaient à plus de deux endroits à la fois…

Alors qu’elle venait tout juste de se remettre debout, elle s’écroula à genoux, plaquant ses mains sur son visage et se mettant à pleurer à chaudes larmes. Beaucoup de sang venait de couler, du sang de son ami et du sang d’humain.

C’est ma faute…
Sanglota-t-elle. Tout est ma faute !

**Pourquoi je n’ai pas simplement accepté de dormir avec eux ?** se hurla-t-elle en son for intérieur.  **Rien de tout ça ne serait arrivé ! J’aurais passé un mauvais moment, Lemme irait bien et tout le monde serait en vie !**

30
Les terres sauvages / Re : La singularité du mage de Locmirail [Warda]
« le: mardi 12 août 2014, 12:37:06 »
Warda sentit une douloureuse pression sur ses poignets et sur sa hanche, là où étais situées les mains de la bête qui la tenait. Celle-ci semblait devenir soudainement fou de rage de la mort de son ami. Mais plutôt que de tenter de le venger en attaquant le meurtrier, il préféra expulser sa rage sur le morceau de viande tendre qu'il avait en main. Etait-ce pour honorer la dernière parole de son ami ou bien était-il trop excité pour s'arréter ? La réponse ne viendra surement jamais.

Et n'avais pas grand intérêt pour Warda d'ailleurs : dans tous les cas, elle étais sur le point de subir un viol d'une bestialité sans pareille.

La bête lâcha ses poignets pour placer ses deux mains autour de sa ceinture, la soulevant au dessus du sol. La jeune fille de 50 kilos se faisait soulever et déplacer comme un simple jouet par la puissante musculature de son agresseur. Jamais de sa vie elle n'avait ressenti une telle absence de contrôle de son corps.

Elle se fit brutalement plaquer au mur, ses jambes s'agitant toujours vainement dans l'espoir d'effleurer le sol. Sa tête face à la créature, elle eu un excellent apercu de la langue épaisse de la créature faisant un passage rapide mais rapeux entre ses seins, laissant derrière elle une ligne de peau rougeatre, douloureuse, et certainement parfaitement imberbe.

LAISSE MOI ! Hurla-t-elle. LEMME ! AU SEC... AAAH PAS CA !

Lui semblait déjà lassé des préliminaires. Il s'était encore rapprohé d'elle, collant sa fourrure à la peau délicatte de sa proie. Celle-ci tentait de pousser de ses bras mainteant libres sur ses épaules pour le faire reculer, en vain. Ses maigres bras de le ralentissaient même pas. Il semblait carrément l'ignorer, les yeux toujours rivés sur le magnifique joyau épilé qui était sur le point de se faire profaner.

**Les yeux !** Warda eut cette révélation dans son esprit en voyant le regard avide de sexe qu'elle avait en fasse d'elle. Lorsqu'elle sentit la première pression sur son entrejambe, elle lâcha les épaules du mâle et plaqua ses mains sur son visage, appuyant de toutes ses forces des pouces sur les yeux verts de la bête. Celle-ci lâcha brutalement prise et recula de deux pas, plaquant ses propres mains sur ses yeux et laissant sa proie tomber violement sur les fesses.

De nouveau libre, Warda se releva prestement avant de tenter tant bien que mal de courir nue à travers le dédale de tables et de chaises dont étais composé la taverne, sans se soucier du statut de Lemme. Il ne pouvait que s'en sortir de toutes façons. Mais après seulement quelques pas, un cri de hyène retentit derrière elle, et elle sentit bientôt les mains griffues la prendre de nouveau par les hanches, la projetant cette fois au sol face contre terre. Sa poitrine amortit légèrement ce choc, mais pas le coup de poing qu'elle ressut juste après sur le haut du crâne, Grok ayant visiblement estimé qu'elle gigotait beaucoup trop.

Ce coup avait été suffisant pour l'assomer. D'une oreille troublée, elle entendait encore les glapissements de jubilation derrière elle, sans doute provoqués par la paire de fesses sans défense bien exposée.

Dans un état de demi-conscience où elle ne pouvait remuer le moindre muscle, elle sentit la créature se placer derrière elle et soulever ses cuisses pour mieux exposer son entrejambes. Elle frémit lorsqu'elle sentit de nouveau le contact du membre masculin contre ses lèvres intimes. Celui-ci semblait peiner à rentrer. Pas étonnant, dans un sexe physiquement vierge et sans préparation. Ressentant la pression monter, elle comprit qu'il insistait. Elle ferma les yeux et serra les dents, prête à endurer cette défleuration.

Mais la pénétration ne se fit jamais.

Le monstre avait relâché son empreinte et sa pression d'un coup, s'effondrant à côté de Warda. Celle-ci ayant la tête tournée de l'autre côté, elle ne vit rien de ce qui venait de se passer.

Lemme ? Peina-t-elle à articuler, trop faible pour se retourner. Lemme, c'est toi ?

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