Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Slade

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Elle semblait un rien hésitante et balbutiante quand elle parla enfin suite à sa demande. Le bégaiement était très amusant !  Il sourit et regarda la jeune femme alors qu'elle parlait. Brave chienne !  Il lui tapota doucement le fessier… le trajet avait été amusant, trouvait-il ! Et maintenant aussi ça l'était… il envisageait de lui raccourcir la jupe et faire en sorte que l'on puisse deviner le plug, la prochaine fois, histoire qu'elle finisse de se désinhiber ! Bientôt, sa nudité serait aussi naturelle en public que peut l'être le port de vêtements. Discrètement, il opina du chef avec beaucoup de discrétion, appuyant cela d'une tape douce sur le postérieur. Sur ce, le professionnel jeta un regard à la jeune femme.

« Hum… ouais… c'est ton premier piercing ? Et tu veux tout faire en même temps ? Et ben, t'es pas douillette ! Il y a une cabine pour te déshabiller et ensuite il y a une sorte de lit en dur, plus comme une table d'opération en fait… je veux juste ton poids et ta taille, je vais te filer un truc pour que tu sentes pas la douleur là où je vais percer. Tu verras  tout mais tu ne sentiras rien... »

Il sourit à la jolie jeune femme et tendit la main vers la cabine, mais Slade la retint. Puis il se pencha et lui mordilla l'oreille en lui chuchotant alors dans le creux de l'oreille.

« Pas besoin de cabine, non ? Et pas besoin de retirer le plug, à moins que tu ne désires qu'il voit comment ton petit trou se dilate après tout le trajet à jouer avec le plug à l'intérieur ? »

Il lui mordilla de nouveau l'oreille avant de finalement la lâcher et attendre qu'elle s'exécute. Il tendit des billets pour payer le pierceur puis il demanda combien de temps cela se prendrait avant de lui dire qu'il la lui confiait et qu'il viendrait la chercher. Puis il dit à Coralie de choisir dans la vitrine les anneaux qu'elle voudrait. Elle n'avait qu'à en choisir des jolis et peu lui importait le prix ! Puis il tourna le dis et s'en fut pour une heure. Il avait quelques petits choses à faire, notamment aller voir de vieux amis.

Il revint une heure plus tard avec un peu de travail pour la jeune femme :  comme promis, les cours de pôle dance, et il avait contacté une putain de sa connaissance une femme sur le déclin, trop vieille pour plaire qui en savait long sur les manières de tirer le plaisir d'un homme, ça lui serait utile. IL avait aussi prévu de lui ouvrir encore plus les yeux, trouvant une femme pour venir jouer à des jeux à trois la semaine suivante, une ancienne possession qu'il louerait à son nouveau propriétaire.

« Me revoilà !  Alors, montrez moi donc un peu le travail fait ! »

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Son premier sourire face à son maître, son premier vrai sourire, il ne put s’empêcher d'être ravi. Voilà, elle commençait bien !  Il ne put s'empêcher de sourire en la voyant assez motivée, le suçant avec davantage de bonne volonté qu'elle avait pu en manifester plus tôt, mais aussi avec ce regard monté vers lui… un regard qui montrait que son comportement avait assez changé pour qu'il puisse lui faire à peu près confiance pour les petites choses simple… peut être n’aurait-il bientôt plus à fermer la niche ? Il verrait. Il lui sourit et lui caressa la tête alors qu'elle s'activait sur la verge jusqu'à jouissance. Et pendant qu'elle faisait cela, elle gémissait et elle couinait doucement, étouffée par la verge qui se frayait un chemin dans sa gorge. Elle se mettait vraiment à aimer ça…. Il la laissa bien tout avaler avant d'aller manger et se préparer. Lui même s'était préparé pendant ce temps, jean noir, t-shirt noir, il avait le pognon dans la poche et il était prêt à partir alors qu'elle arrivait en se disant prête. Il inspecta sa tenue, vérifiant l'absence de jarretière et la présence du plug bien en place dans son fondement, plug de taille modeste, ils le savaient tous les deux.

« Ma foi, tu me sembles prête en effet. »

Il lui sourit et  lui mit la main sur les fesses, alors qu'il l'emmenait dehors, dans la rue, la main était nonchalante, comme celle d'un copain qui ne se prend pas la tête… i lui sourit s'attendant à ce qu'elle passe un bras autour de sa taille une fois qu'il eut fermer la porte d'entrée à clef et qu'il ait commencé à se diriger vers le premier des deux rendez-vous. Les piercing, il trouvait ça mignon et trouvait cela particulièrement sexy quand elle les auraient, installés, sur sur son corps… il imaginait a nouvelle sensibilité que cela pouvait offrir… il sourit à cette idée alors qu'il prenait la parole sur un ton bien plus amical qu'à l’accoutumée.

« Je me suis dit que cette marque sur ton sein t'allait bien, mais que tu gagnerais à être davantage ornée en fait... « 

IL laissa sa phrase en suspend, comme pour lui laisser la possibilité d'angoisser au sujet de la suite, comme si il lui offrait la possibilité de se retrouver face à un fait qui ne lui plairait pas du tout… il frissonnait à l'idée de l'appréhension qu'il lui offrait alors que ses doigts venaient tapoter le plug pour que celui-ci diffuse ces légères vibrations contre ses parois anales, rien de brutal, juste du très léger et du très diffus.

« Je t'emmène te faire percer les mamelons, le nombrils t le clito, pour que l'on t'y mette de petits anneaux… tu disais vouloir être une vraie chienne, hier, apprendre plus de choses pour séduire, pour racoler. Et bien ces petits piercing sont suffisamment sexy pour ça, crois moi ! Et puis… et puis ça t'ira très bien, d'autant plus que ça va rendre les zones percées plus sensibles aux caresses, entre autres… c'est bien non ? »

Il sourit et au travers du mini short, il se mit à saisir un peu la sortie du plug et le faire ramoner un peu les parois anales de la jeune femme pendant qu'ils marchaient. Le doute n'était pas vraiment permis aux passants… il lui sourit et  continua son petit jeu pour finalement la faire rentrer dans une boutique. Il serra la main du patron comme une vielle connaissance avant de lui présenter Coralie.

« Voici une amie, Coralie, elle est timide alors elle m'a demandé de l'accompagner. C'est pour ça que j'ai pris rendez-vous ce matin. J'espère que ça ne t'a pas trop bousculé ton planning. »

I fut que non alors que slade passait son bras autour des épaules de Coralie et lui disait, sur un ton très doux.

« Alors Coralie, tu es trop timide pour dire où il faut percer ? Tu semblais sûre de  toi pourtant ! »

Oui, il jouait… mais il voulait qu'elle le demande...

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Demander à une créature…. Voilà qui était loin de satisfaire Slade, parce que cela ne pouvait signaler que l'échec de fey, chose impensable ! Ce serait la destruction de leur race à bien y penser, et le peu de fidélité qu'avait Slade envers son peuple l'empêcher de pousser jusque là… à la mention d'une succube il cracha par terre, comme si elle venait de proférer une insulte… les démons n'étaient que des idiots et des incapables, sans la moindre parole et en quoi une succube aurait pu lui offrir un héritier de son défunt époux ? Que dalle ! Ce n'était pas dans leurs pouvoirs ! Il eut un regard chargé de haine à la mention de cette succube, peut-être comprendrait-elle qu'il fallait mieux ne plus en parler ?

« Une succube n'est pas faite pour aider, elle est faite pour avoir son quota de sexe et aller changer de partenaire, rien de plus !  Les succubes ne sont que des catins démoniaques, elle n'aurait pas pu vous aider, ou elle aurait pu vous le promettre sans tenir parole. Comme toujours. Leur faire confiance.. je me demande si ce n'est pas pire que de faire confiance à ma reine… j'en sais plus que ma part sur la confiance à accorder aux démons... »

Il eut un sourire navré. Non, une démone n'aurait jamais été la solution, ces garces étaient incapable de rendre un service sans vous planter une dague dans le dos. Il le savait bien, et ce n'était pas parce que les lames ne pouvaient le percer qu'il refusait de voir cette vérité… il regarda la jeune femme dans les yeux, elle était pensif, au moins autant que lui… il eut une petite idée… une idée à la fois dangereuse et en même temps particulièrement violente à bien y songer, une idée qui ne le satisfaisait pas du tout, mais qui avait le mérite de lui sembler possible et faisable. Même si c'était absolument odieux…

« Juste une question. À combien estimez-vous le prix de cette absence de mariage ? Parce qu'après tout, ce n'est jamais qu'un lien qui nous fera nous entendre à distance, c'est tout, sachant que je n'ai pas l'intention de remettre les pieds ici avant quelques siècles. Ma solution est sans doute trop lourde pour vous… »

Oui, il avait une solution… mais qui causerait peut être des milliers de mort…

« Je peux contacter une connaissance qui pourrait éveiller les Volcan des Glaces… comme ces volcans cracheurs de feu sauf qu'il crache des morceaux de glace de la taille de votre palais… si je le déclenche, la reine serait trop occupée pour penser à nous mais... »

Il laissa en suspend quelques instants.

« Mais cela causera des milliers de morts au bas mot... »

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Oh, ben tiens, pour une fois, ils étaient d'accord… ou du moins suffisamment pour bien se comprendre, même si c'était particulièrement chiant au fond, de se retrouver dans une galère comme ça.. une épouse à gérer était déjà presque trop… enfin bon. Il soupira et haussa les épaules à sa question… comment s'en protéger ? Il aurait bien voulu le savoir, vous pensez que dans ce genre de cas, il aurait tout de suite mis en place des contre-mesure. Ce taper cette femme ne le dérangeait pas (quoiqu'il soit bridé par les méthodes de son mari en la matière sans aucun doute… enfin bon, tant pis, il ferait ce qu'il faudrait. Il soupira avant de lancer, sur un ton un rien rageur.

« C'est là où nous sommes fait comme des rats, on ne peut pas sans risquer de foirer le vœu et nous ne pouvons pas le faire, c'est contre la nature même des feys d'échouer à accomplir cette volonté, vous comprenez ?  Je suis pies et poings liés ! »

Il frappa contre le mur, y laissant une fissure… il se serait bien excuser mais il sentait la rage monter… il aurait volontiers pilé cette foutue maître de magie si elle avait été sous sa poigne d'acier… mais comme par hasard elle avait du comprendre et s'était éloignée sans doute pour éviter d'avoir droit à sa colère… judicieuse précaution, vous ne trouvez pas ? Il eut un petit sourire avant de se décider à intervenir de nouveau.

« L'idée c'est qu'en continuant comme ça on risque de se retrouver mariés bon gré mal gré, mais si nous cessons cette mascarade, ce qui nous plairait à tous les deux énormément sans doute, nous ne pourrions concevoir l'héritier d'Ellipsis… ce qui serait problématique, vous vous en doutez-bien ! Marteau et enclume. Et comme je ne peux pas renoncer à mon veou, je dois renoncer à mon indicible envie de ne pas me marier… »

Il eut un profond soupire avant de dire.

« La seule précaution qu'on peut prendre c'est espérer qu'elle soit trop occuper pour y songer… mais que je vienne me semble être trop providentiel pour ça… la seule chose à faire serait de croiser les doigts... »

Oui, il savait que c'était très léger…. Il le savait…

« Mais si vous avez une solution miracle je vous écoute ! »

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A réaction de la jeune femme surprit énormément le chevalier de l'hiver… en effet, suite à ses propos et vu le comportement récurrent de la jeune femme, il s'attendait à être  victime d'une redoutable colère, mais non, cela ne se passait pas ainsi, et il ne pouvait s'empêcher de trouver cela perturbant...elle ne s'était pas montré, jusqu'à il y a peu, la plus douce et la plus aimable des hôtesses, il fallait le reconnaître… il avait été reçu à la pointe de la lance tout de même… de quoi rester un rien sceptique, vous ne trouvez pas ? Il sourit et regarda la jeune femme alors qu'elle l'écoutait en silence. Elle l'écoutait vraiment… en même temps, ce qu'il lui annonçait était assez violent, non ? Il sourit et regarda la jeune femme, un rien dépité par ses propres conclusions…

finalement quand elle prit la parole, cela mettait en avant deux choses plus que pertinente dans ses questions… ouais, elle touchait du doigt les deux gros problèmes de la chose : faire confiance à la reine et 'effet du lien… deux choses fort peu développées mais qui pouvaient tout faire changer… il soupira bruyamment en serrant un peu plus les délicats doigts de sa « femme » dans ses mains avant de finalement la lâcher pour répondre à ses questions.

« Malgré tout le respecte t toute a déférence que je lui dois, lui faire confiance serait comme tendre sa gorge à un lion.. ou mieux, plonger son bras dans un bocal rempli de scorpions vivants et enragés… donc non, lui faire confiance est impossible. Sauf en cas de pacte, là, elle respectera, elle se montrera scrupuleuse, elle se montrera pointilleuse, elle jouera sur la sémantique des mots, mais elle se tiendra aux termes précis du contrat. Voilà le degré de confiance que l'on peut lui accorder... »

Bien maigre n'est-ce pas ? Mais qu'espérait-elle au juste ? Une échappatoire ? Il en voudrait bien une aussi… et d'un coup, jouer avec l'espace temps quitte à tout détraquer ne lui paraissait plus aussi difficile, ni plus stupide qu'avant… enfin, il avait déjà une épouse, une de plus ou une de moins… il ne voyait pas ce que cela allait changer, sincèrement… il sourit et regarda un peu plus la jeune femme dans les yeux comme pour y déceler ses idées… peine perdue… qu'est-ce qu'il aurait aimé pouvoir le faire…

« Le lien est une magie étrange, sauvage, qui ne respecte aucune règle féerique ni humaine, je pense qu'elle ne respecte que ses propres règles… c'est comme… c'est comme si nous avions un fil invisible entre nous qui gagne en solidité avec les distances… c'est … c'est envahissant… car plus nous sommes éloignées et plus nous entendons penser, nous entendons agir, nous ressentons ce que fait l'autre… c'est dérangeant… il y a ça… et j'ai vu certain manifester une forte possessivité à cause du lien… et après le lien n'est jamais complètement identique à un autre, chacun a ses avantages, chacun a ses inconvénients... »

Il estimait un rien gêné par tout ça, c'était comme si il devait lui expliquer quelque chose sur son intimité la plus sacré… étrange, non ?

« Je suis désolé de ce traquenard... »

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Ah c'était physique, de se battre avec Slade, n'est-ce pas ! En même temps, il ne fallait pas s'étonner, l’expérience du combat de ce type dépassait tellement tout ce qui se faisait en la matière… il ne pouvait nier que cela lui permettait de résister plus longtemps et de se battre plus longtemps, la sueur était davantage due à la chaleur qu'à l’entraînement, même si ne pas la blesser avait été un challenge !  Il ne put s'empêcher de sourire et de regarder davantage ce qui se passait autour. Plusieurs gardes avaient regardé l'échange d'un air appréciateur, comme pour reconnaître que la technique était loin d'être mauvaise… il lui sourit et lui lança qu'il pourrait lui enseigner deux ou trois trucs dans l'après midi si il le souhaitait, avant d'accompagner son épouse qui lui montrait le lieu de prière et méditation. Pas un bruit, pas même venant de loin, comme une bulle de silence violée par la voix de la jeune femme qui lui expliquait quelques petites choses.

Il ne dit rien. Pendant le trajet, il avait écouté en enlaçant la jeune femme, une main passée autour de ses reins, comme un vrai couple en fait… il aimait bien au fond cette comédie, même si c'était bien trop mièvre à son goût. Qu'importe !  Il avait une belle dose de lecture en perspective. Tant mieux, il aimait apprendre, il aimait comprendre ! Alors cela ne devrait pas être une vraie torture. Il sourit alors qu'il repérait une magnifique racine qui formait presque un siège naturel sur laquelle il s'installa en tailleurs, sans prononcer le moindre mot. Il respectait le silence e ces lieux et c'est pourquoi, pour toute réponse à la proposition de son épouse temporaire (espérait-il),  il se contenta d'un mouvement de tête et d'un geste de la main pour qu'elle vienne le rejoindre. Qu’elle s'y installe comme à son habitude si habitude il y avait.

Il ferma les yeux et médita réellement. Il ne prit ni conscience du temps ni de l'espace, il pensait, c'était tout. Notamment à cette histoire de comédie qui ressemblait trop à un vrai mariage fey pour que ça lui plaise vraiment. Est-ce que les conditions étaient réellement ainsi ? Ou est-ce que la reine les avait imposées , Il n'en savait rien et se sentait un peu dépassé par tout ça, il fallait simplifier les choses et pour cela, une seule manière de le faire : en clarifiant. Il fallait qu'il lui parle, qu'il lui parle sérieusement de cela.

Il n'ouvrit les yeux qu'une bonne heure plus tard, gardant le silence en sortant et attendant en dehors du jardin de méditation avec quelques étirements pour finalement l'attendre, qu'elle ait fini sa propre méditation pour la saisir de nouveau par la taille, la gardant contre lui. Pour l’entraîner dans un coin tranquille où il prit la parole sur un ton eut être un peu sec peut être mais sans hostilité. Il fallait lui expliquer ce qui se passait exactement.

« Il faut que nous parlions sérieusement d'un point dont je me suis rendu compte en méditant… ça ne va pas vous plaire… »

Il lui sourit et doucement caressa sa main en la prenant dans la sienne, il avait la main douce et il se montrait particulièrement aimable et agréable alors qu'il rajoutait, sur un ton radoucit mais dans lequel on percevrait toutefois une certaine forme de fermeté.

« C'est un jeu dangereux auquel nous jouons, tant vous que moi… cette mascarade… cette magie… elle peut faire quelque chose, je pense, de complètement imprévu… je viens d'y penser vraiment et c'est une véritable étrangeté , je ne vous ai pas parlé du mariage fey je crois… et bien en fait, c'est un phénomène difficile à expliquer, mais toujours est-il que si deux personnes vivent comme un couple de A à Z, un lien se crée, lien officialisé par la reine si elle le souhaite, mais le lien seul suffit… avec ce lien, magique bien sur, c'est comme si nous étions vraiment mariés, un engagement sur la vie et sur l'âme. C'est une forme pragmatique de mariage dirons nous... »

Il soupira.

« Parce que les feys soient polygames bien sur change la donne, que je sois déjà marié ne change rien à tout cela/ Sinon, ce serait trop simple... »

22
La douche avait été un peu longue à son goût. Mais il ne dit rien. Il s'était montré très appliquée aussi laissa-t-il couler, tout comme le ait de sentir qu'elle s'endormait contre sa jambe. La journée avait été particulièrement éprouvante, et elle avait droit à un peu de repos, non ? Il la laissa tranquillement rédiger ce qu'elle souhaitait, sans rien lui demander sans lire par dessus son épaule, sans lire tout court, il lirait plus tard. Il avait d'autres choses à faire, notamment rédiger quelques courriers et prévoir le planning des jours à venir, c'était essentiel !  IL sourit et regarda la jeune femme qui finissait d'écrire avant de se diriger directement vers sa niche, dans le mur, isolée de toute lumière, isolée du temps… en bref, hors du monde.

Il la laissa aller s'installer, s'enfonçant dans sa niche et il la laissa dormir, il pouvait bien se montrer généreux après tant d'efforts, non ? Il se contenta de verrouiller la niche et de vaquer à ses occupations diverses et variées, il n'était pas tard. Toujours était-il qu'en passant dans la chambre il l'entendit marmonner et gémir, ne sachant pas trop ce qu'elle disait ; et au fond, s'en foutant un peu. Il sourit et finit par aller se coucher tardivement lui aussi ne mit pas longtemps à s'endormir pour une bonne nuit de sommeil.

Ayant des rendez-vous le matin, il ne prit pas la peine de la libérer ni même de la nourrir il avait des rendez-vous, et il ne lui ouvrit que vers deux heures de l'après-midi, il avait eu pas mal de choses à faire avant. La gamelle de la petite chienne Coralie était pleine des reliefs de son repas.    Un repas assez conséquent pour elle. Il ne pouvait s'empêcher de sourire  en lui ouvrant, non sans un coup de pied léger contre la porte pour qu'elle soit réveillée quand il ouvrit quelques instants après. Puis il lui lança que sa gamelle n’était pleine et qu'elle devait aller manger, et qu’ensuite il l'emmènerait prendre une leçon.

« Allez, va manger et ensuite apprête toi, ue tenue pour sortir, inutile de trop t'habiller, nous avons deux petites choses à faire cette après-midi. »

Oui, il y avait deux choses de prévues. Dans la première il s'agissait d'aller dans un milieu un rien underground pour qu'elle soit davantage modifiée quant à son corps… aimant bien les piercings, il comptait lui en poser plusieurs, enfin, lui en faire poser plusieurs.. Quant à l'autre rendez-vous il s'agissait d'un rendez-vous fixé chez une vieille connaissance, la chienne de quelqu'un qui pourrait lui apprendre le pole dance. Pas mal, non ?

« Et pense à ton plug anal, car je sais que tu n'as pas eu la présence d'esprit de le mettre avant de dormir, n'est-ce pas ? »

Sourire, il leva la main comme si il allait la frapper et il ne le fit pas, bien au contraire. Il lui tapota avec douceur la tête avant de conclure, sur un ton quelque peu aimable.

« Mais comme tu t'es surpassée hier je me suis dit que tu méritais un peu d'indulgence… alors va manger, va t'apprêter et si nous avons le temps, tu  me suceras… quoique non, commence par ça ensuite tu iras manger et tout le toutim. Pas la peine de garder ton collier, »

Il s'assit sur le bord du lit et attendit.

23
Alors qu'elle parlaitrt et qu'il parlait, il la voyait se caresser… en étaient-ils arrivés à ce point de non retour ? Peut-être… il ne pensait pas que ce serait si aisé pourtant, aussi restait-il yun brin sur ses gardes. Oh, ce n' »tait pas qu'il ne voulait pas la voir dns cet état, non, il en était même ravi, il se disait juste que le changement était bien triop rapide pour être réellement là, et non feint… oui il avait un avis sans doute bien tranchyé sur cette question, mais bon… il sourit nénmoins en l'entendant répondre, et même surenchérir. Il lui sourit et lui tapiota la tête.

« Doucement, petite chienne, doucement, ne va pas trop vite en besogne… tu apprendras, mais au rythme que je t'imposerai pas à un autre, tu apprendras d'autres choses si tu es prête… je me chargerai de tout, ne t'en fais pas… allez, suce. »

C'est vrai que le changement était pour le moins brutal… aussi brutal que ses coups de reins… oui la comparaison était osé… il sourit et lui fit un clin d'oeil alors qu'elle se remettait au travail sur sa queue avec entrain, la nettoyant avec une passion et une enviequi, elles, étaient bien réelles… il ne put que se oplaire dans l'idée que peut être, elle avait pris du plomb dans la tête… ce n'était pas du luxe… il lui fit un léger sourire, un brin amusé et excité alors qu'elle continuait ses vas et viens vigooureux et plein d'énergie sur la verge avec un talent presque trop important poyur sa petrite expériece, si bien qu'en plus de ce qu'elle avait nettoyé, il lui jouis dans la bouche… trop tentant.

Enfin, elle obéit au reste, sous l'oeil vigilant de Slade, qui admirait la manière dont elle s'y prenait d'un œil critique… elle voulauit vraiment faire plaisir à son maître en agissant de la sorte, comme si elle avait une queue dans la bouche et une autre bien calée dans son derriè-re… il la regarda se dilater le derrière avec le petit gode avant d'y mettre les doigts. Tropis, ça passait aisément : c'était gropsso modo ce qu'elle avait eu droit quand il l'avait pénétrée. C'était aller au-delà qui risquait de se montrer difficile, aussi c'est avec un petit sourire en coin qu'il la regarda mettre le quatrième doigt, puis peiner avec le dernier… il avait un sourire ravi, une fois cela fait… elle haletait, elle semblait ravie et en même temps endolorie, un mélange des deux, qui lui convenait très bien… il s'approcha et saisit le poignet de la jeune femme pour qu'elle fasse des vas et viens dans son fondement. Il n'était pas tendre, mais il n'était pas non plus violent, il lui faisait juste vraiment élaregir le cul, en lui faisant bouger la main aisni, ainsi que le nettoyer, au passage.

« Allez, ça ira pour le moment, je suis fier de toi. Tu dois avoir des restes de foutre sur les doigts, quand je t'ai giclé dans le cul, lèches les bien, pour ne pas gâcher, ensuite, je suppose que tu pourras aller te laver si tu le désires, puis tu auras ton repas. Ah et un conseille, attache toi les cheveux , tu verras c'est plus pratique pour tout le monde... »

Il lui tapota la tête, comme quand on félicite un bon petit chein – ou en l'occurence une bonne petite chienne -  et se dirigea vers la cuisine pour se préparer un repas simple et efficace. L'autre repas, celui pour sa chienne, fut comme le dernier :  des restes froids, mais cette fopis, dans une gammelle qu'il dépossa sur un paillasson, à côté d'une gammelle d'eau. Voillà qui irait très bien pour une chienne, puis il emmena son assiette au salon et mangea dans son fauteuil, bien installé, elle savait ciomment agir, non ? Manger dabns sa gamelle comme une chienne, sans utiliser les mains et ensuite venir se caler, assise comme un chien, la tête contre la cuisse de son maître.

Il prendrait un livre et lirait ainsi opendant plusieurs heures sans s'occuper d'elle. Ce ne serait qu'au bout de ddeux bonnes heures qu'il se lèverait et la ferait venir à ses pieds, alors qu'il  récupèrerait un carnet vide et un stylo qu'il lui donnerait et il lui dirait.

« Voilà, sur ce calepin, je voudrais que tu notes tout ce qui t'arrive ; ce que tu ressens, ce que tu aies, ce que tu n'aimes pas. Chaque jours, tu y asseras une demie-heure>… sois la plus détailéle possible. Ensuite, tu le rangeras sur cette étagère quand tu auras fini. D'accord ? »

Il n'attendait pas de réponse.

« Allez, profite de ta dernière demie-heure avant d'aller te coucher. »

24
Elle lui donna rendez-vous dans la cour, le temps qu'elle se change… une pudeur bien mal placée trouvait-il dans la mesure où dans une semaine il conquiérerait son corps. Il sourit à cette idée plus qu'amusante alors qu'il descendait dans la cour et demandait à un garde local de lui montrer le ratelier d'arme, qu'il voit un peu ce qu'il pouvait y trouver quelque chose d'intéressant… on le dconduisit à l'armurerie et il regarda un peu plus précisément ce qu'il y avait, avant de se dire que rien ne valait le copup. Oh, non pas que les armes soient de mauvaises qualités, bien au contraire ! Mais non, elles ne lui convenaient pas… il soupira et se dit qu'il combattrait alors à mains nues . De toute façopn, elle ne le toucherait pas. Il était bien trop bon pour cela.

Enfin, elle arriva, dans une tenue plus masculine et sans douite bien meilleure, lui, se copntentait d'être torse nu pour se battre, histoire de ne pas avoir de mouvements entravés. Il la regarda, un petit sourire aux lèvres alors qu'elle parlait, lui disant q'elle allait voir ce dont il était capable et vis versa. La différence serait écrasante. Il le vavait par avance. Finalement, il avait opté pour une arme tout de même parce qu'il valait mieux éviter de l'insulter. Il avait choisi une seule arme un katar qu'il s'était fixé au bras droit, laissant le gauche à découvert. Cela aurait été plus simple eis elle avait parlé de l'arme de prédilection de son mari – dont il avait oublié jusqu'au nom, c'est  vous dire -  mais comme ce n'était pas el cas, il avait choisi unje arme qu'il connaissait pas… cela rendait les choses intéressantes…

Quand elle s'élança il comprit une chose, elle était rapide. Mais quand elle aurait du porter son coup, il fit dévié, in extrémis par larme du chevalier de l'hiver. Pas de grands gestes, juste un léger mouvement du poignet qui la fit frôler son corps, rien de plus.

« Un. »

Le ventre de la jeune femme avait été exposée. Il ne compta que la première fois à voix haute. Le reste, il le garda pour lui. Il ferrailla une heure avec elle. La principale difficulté n'était pas de la battre mais plutôt de ne pas la blesser. La seule différence avec Astrid, c'était qu'il savait qu'Astrid rendrait les coups et qu'elle enhcaisserait bien. Eris, elle, il ne savait pas. Alors, dans le risque de la voir geber son sang au premier choc, il devait se contenter d'une guerre où il devait juste empêcher son hôtesse, sa seconde épouse, de le battre. Ah oui, il y avait autre chose qui l'ennuyait profondément dans cette histoire de fau x semblant… enfin bref, pas le moment !

Regardant la jeune femme alors qu'il baisait enfin son arme, il lui sourit. C'était fini. Le combat était fini. Sentait-elle qu'elle n'aurait pas pu le battre ? Astrkid non plus ne pouvait pas, alors qu'elle était née sabre à la main… il n'y avait pas de honte. Il s'entrainait depuis des siècles. Cela faisait des centauines d'années qu'il se battait. I n'y avait pas de honte à ne pas pouvoir prendre le dessus. En tout cas, l'autre objectif était rempli. Il lui fit un petit sourire alors qu'il lui lançait.

« Pour un test de compéence, mon petit coeur ? Largement. Pour des compétences satisfaisante, je crains que vos compétences, mon petit rossignol, soient en dessous de ce que vous pourriez faire… vous êtes vives, vous êtes agile, vous semblez souple, beaucoup de qualité, mais aucune développée assez pour affronter un combattant venu vous tuer… je ne parle pas d'un combat normal opu d'entrainement, je parle d'un combat à mort, une lutte dans laquelle vous tiuer est le seul objectif, mon amour. »

Il lui sourit et la regarda, un brin amusé avant de rajouter.

« De plus, j'ai compté le nombre d'ouverture mortelle que vous m'avez laissé tout au long du combat. Pas moins d'une vingtaine, de plus en plus au fur et à mesure que le combat durait. Il va falloiir trvailelr la concentration,k l'endurance, et la force physique pure, deux choses à travailler… mai après tout , l'entrainement est là pour faire progresser. Puis-je proposer à mon trésor de se joindre aux soldats pour que mes maître d'arme l'entrainent ? »

Il lui saisit la main et la serra dans sienne avant de lui sourire et la baiser doucement. Puis il regarda alentour.

« Où est cet arbre  blanc sous lequel je dois prier tous les jours ? Je ne garantie pas de prier, car je ne crois pas en un quelconque dieu, mais je méditerai, faute de mieux… pourrez-vous me conseiller certains livres à commencer ceux qui traitent de votre domaine, s'il vous plait. »

IL eut une légère inclinaison du buste, comme pour signifier ses respets avant de prendre ses mains dans les siennes et plonger son regard d'acier dans le sien.

« Savez-vous ce que vous êtres en train de faire, chérie ? »

Dans les faits, ça ressemblait à un vrai mariage fey… c'était ça le point dérangeant...

25
Quoi ? Les arrêts cardiaques ne comptaient pas ? Et la peur ? Et le frisson ? Elle en faisait quoi ? Il ouvrit des yeux ronds comme des soucoupes… mais si il ne pouvait pas compter les sorts de trouille… alors à quoi bon chercher à faire peur au juste ? A rien ! AU contraire, seules les crises cardiaques devraient compter !  Il s'agissait des seuls vrais « morts de peur » non ? Il sourit et regarda un peu sa comparse… il se souvenait de sacrés coups fumants montés à eu.Et toujours la même chose : il restait, à son avis, le plus inhumain des deux. Il se trompait peut être, mais il en doutait. Mais du coup, pourquoi chercher à foutre la trouille ? Cela perdait tout son sens… il restait dubitatif… sincèrement... enfin… si elle préférait jouer comme ça… il se reprit et haussa les épaules.

« Comme tu veux... »

Oui, il était plus que dubitatif, mais bon, si elle souhaitait jouer ainsi, pas de soucis… il leva néanmoins les yeux au ciel, déçu, commençant à se dire que non seulement il en faisait trop, mais qu'en plus ses idées ne servaient plus à rien.. le but était de tuer par la peur à 'origine… et d'un seul coup, il avait perdu tout son engouement. Con n'est-ce pas… sans les morts de peur, ce n'était qu'un massacre banal… et ça ne servait à rien de se séparer…

Toutefois, il ne chercha pas à la contredire ou autre. Si elle voulait jouer ainsi… dommage… néanmoins son regard se ranima quand il vit la jeune femme laisser glisser ses vêtements le long de son corps… combien de temps cela faisait-il qu'il l'avait vue pour la dernière fois ? Trop longtemps. Il ne se souvenait pas de cette plastique si parfaite, de son sein si joliment galbé, dont la vue seule attestait de la fermeté autant que de la lourde opulence. Et la courbe parfaite de son corps au niveau de ses reins, pareil, une courbe parfaite au niveau de son mollet, de sa cuisse, de ses fesses… il l'aurait croquée toute crue maintenant. Mais ils n'avaient pas le temps, ils le savaient..

« Tu me sous-estime, évidemment que j'ai rendu le puits impropre à la consommation, sang, cadavres entiers, tripes… je ne fais pas les choses à moitié… jamais. Tu le sais, mais i tu veux de l'eau, ce n'est pas difficile, il suffit de le demander. Tu le sais. »

Le ton était un rien méprisant. Parce qu'elle venait de le décevoir… et parce qu'elle venait de le sous-estimer. Deux chose qu'il aurait pu difficilement imaginer venant d'elle en fait. Rares étaient les personnes en ce monde ou dans les autres à le connaître aussi bien qu'elle pouvait le prétendre… mais bon, que voulez-vous, tant pis. Le temps laisse des traces entre les êtres, un minimum, non ? Il soupir avant de la dévorer de nouveau des yeux.

« Toujours aussi belle, plus encore peut être... »

Oui, un compliment sincère avant de retomber dans une légère apathie, avivée uniquement par un violent désir charnel vis à vis de sa comparse, quand il y pensait, il se disait qu'il y avait quelque chose à faire à ce sujet sans doute.. mais pas maintenant, les villageois allaient arriver avec une petite dose de miliciens sans doute, mal armés et mal équipés, comme toujours. Trop facile un véritable massacre… sa mise en pli magique fondit comme neige au soleil. Elle était devenue complètement inutile. Il ne prit la parole qu'à la fin de sa diatribe.

« C'est même plus la peine.. je pensais à un jeu pour faire peur, pour faire mourir de peur… si c'est juste un massacre, autant les attendre là tous les deux… je peux tout à fait  leur bloquer la retraite avec de la glace et les bloquer dans une enceinte comme le bétail qu'ils sont… à quoi bon cette mascarade pour un massacre, c'est d'un banal.. je viens d'en avoir un… je cherchais quelque chose d'un brin plus impressionnant pour cette deuxième réjouissance... »

Il soupira.

« Enfin, le nombre compensera sans doute le manque de réel intérêt… j'espère… et oui, ils vont venir en nombre, mais combien, je n'en sais rien… peut être même des miliciens et avec un peu de chances même des gardes plus officiels... »

Il se pencha sur elle et mordilla un court instant sa peau aussi blanche que la neige avant de s'écarter. Il pouvait au moins faire cela…

« je peux au moins faire cela. »

Il inspira et se mit à souffler… un petit vent frais commença à se lever, puis une brume plus blanche que la peau de la vampire se mit à prendre place dans toute l'étendue du village, mélangée à l'odeur des cadavres et des tripes, il y avait un petit effet glauque bien senti. Elle était si épaisse que même à deux mètre d'elle, il avait du mal à voir Dexa… il distinguait son contour mais c'était bien tout, hélas…

« Tu peux aller vers la foret si tu le désirs, ou rester ici, comme tu le sens, mais inutile que tu partes si c'est pour un vulgaire massacre... »

Oui, il était un rien maussade.

26
Elle avait aimé ça… belle destructon de son être, non ? Pas au sens physique… quoique… mais au sens figuré, en effet, il l'avait réduite à l'état de chienne qui quémandait, des doigts et sa queue avaient fait d'elle une demandeuse de plus de sexe, il avait senti ce barrage ce brisé quand elle s'étaiot mis à aimer. Plus encore, à avouer qu'elle aimait, à avouer qu'elle voulait beaucoup plus… il ne put s'empêcher de ricaner alors qu'il sortait d'elle, admirant son trou béant, écartelé par sa verge qui l'avait ramoné avant de jouir, jouissance qui s'exprimait par le liquide blancvhâtyre qui dégoulainait de son fondement sans grace, venant goutter un peu sur le lit. Il lui flatta la croupe et essuya de deux doigts la semence qui se répandait à la sortie de son derrière pour l'étaler sur les lèvres de la jeune femme. Non, elle n'était plus une jeune femme, juste une chienne…

« Allez, viens nettoyer ma queue.. et applique toi petite chienne... »

Un ordre qui avait claqué alors qu'il coupait les vibro attachés autour de son intimité… il ne les détacha pas, coupa juste les vibrations, mais pas directement, non, lentement, faisant décroitre la puissance des vibrations jusqu'à extinction complète. Tout simplement. Il sourit et regarda la jeune femme avant de finalement se décider à reprendre la parole. Il parla sur un ton doux mais ferme, un ton qu'il employait pour dire non, en général, pour frustrer.

« Par contre, pour te déflorer… nous allons attendre un peu, pas tous les plaisirs le même jour, voyons... »

Il eut un petit sourire satisfait après ces paroles, pour finaement la saisir par le menton et venir lui susrrer au creux de l'oreille, comme une confidence au creux de l'oreille, comme une promesse, aussi, promesse de plaisir, certes, mais promesse d'attente det d'une longue et délicieuse torture dans cette attente qui promettait de durer un peu , qui permettait de durer même plus qu'un peu… il lui fit un petit sourire à cette pensée.

« Je te prendrai ta petite chatte quand tu seras assez chienne pour n'avoir plus que cette envie en tête, quand tu seras si proche de l'orgasme ete si loin en mêmetemps que doucement tu sentiras poindre cette douleur au sein de ton ventre, la douleur d'un plaisir qui ne pourra être satisfait que de cette manière, qui ne pourra être satisfait que par ma queue qui te ravagera le con, encore, et ensore, alors que mon poing se frayera un chemin dans ton cul complètement distendu... »

Il lui tapota la tête avec amusement, lui laissant alors librement accès à sa queue, pour faire c qu'il lui avait ordonné…

« Ensuite, je veux te fvoir continuer à t'écarteler le cul… je veux que tu puisses y mettre la main. La tienne est bien plus fine, avant quoique ce soit… ensuite nous dinerons. »

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Apparemment, elle était d'accord avec lui :  il fallait agir en très bonne intelligence… bon, alors autant collaborer. Il souit et regarda la jeune femme alors qu'elle commençait à parler de son époux, sans trop savoir pourquoi ni comment il se sentait concrné par sa réaction vis à vis des esclavagistes.. ; le soupçonnait-ele d'esclavage. Peut-être dirait-elle qu'elle payait tout le mond edepuis celui qui lui torchait le cul à celui qui lui servait son repas ? Étrangement il en doutait… mais il ne le dit pas. A quoi bon !   Il leva les yeux au ciel à la fin de cette phrase acvant qu'elle s'installait contre un mur pour parler. Il ne comprenait pas cette manièe qu'avaient les humains de s'arr$êter sur le passé, mais bon…

Il ne chercha pas à remettre sa tunique, restant torse nu, sa peau diaphane marquée de quelques cicatrices mais surtout marquée par une musculature bien marquée mais très sèche.Mais revenons en aux propos de la jeune femme alors qu'elle parlait de son ancien époux. Parler avec courtoisie, oui, ça il le faisait, il n'y avait pas de problème. Respecter chaque sujet, par contre qu'elle ne le fasse pas riree… on ne serspecte jamais tout le monde, le respecté tait quelque chose de difficile à gagner, et d'encore plus difficile à conserver, respecter tout le monde signifiait juste ne respecter vraiment personne.

Il comprenait fort bien la passion pour l'histoire et la littérature, on ne pouvait opas diriger un domaine et passer pour le dernier des incultes san devenir la risée… il trouvait cela très drôle en fait… enfin, il avait au moins la décence de ne pas être de cette trempe. Quant à savoir se battre si il était mort arme au poing, il avait une une belle mort… non, pardon, la mort n'était jamais belle. Il avait la mort qu'il avait mérité. Slade périrait, il s'en doutait, un jour comme ça aussui, mais cela ne l'inquiétait pas outre mesure.

À aucun moment il ne l'interrompity, restant silencieux tout du long, comme s'il n'avait rien à dire. Si, il avait moult choses à dire, difficile de le nhier, mais bon… il soupira alors qu'elle finissait. Vous savez ce qui est plus chiant que quelqu'un qui vous parle de queslqu'un dont, au fond, vous vous foutez particulièremen ? La même chose d'une voix atone… il soupira alors qu'elle terminait. À lui de dire ce qu'il en pensait.

« Non, je n'en ai pas assez, s'il faut que je le remplace même temporairement, il me faut ses habitudes, ses tics compotrtementaux, ce qu le mettait en colère, ses défauts. Qu'il vous frappait est peyut êyre le seul possible défaut que j'ai entendu, quoiqu'il ne colle pas avec le reste du personnage. Ussi, je suppose qu'il ne s'agit que d'une histoire df'une fois qui est restée en travers de la gore, soit vous me racontez des salades, dans les deux cas, je crains d'avoir besloin de plus... »

Oui, certaines choses étaient… étranges pour le moins, trouvait-il.

« Je n'ai jamais demandé le tableau parfait, je veux la réaluité, et nulmle trace d'hypocrisie… car je suppose que si vous avez horreur de l'escavage, bvous avez des servants, des servantes, des domestiques qui obéissent quand vous ordonnez. En quoi est-ce différent d'un esclave alors qu'il n'y a pas une goutte d'eau à des centaines de kilomètres à la ronde ?  Au fond ce ne sont que des esclaves que vous refusez d'appeler ainsi… alors cessez ces histoires avec moi. Vous aurez mon respect si je sens que cela eut être récioquue… et ça passe par l'absence d'aneries de ce genre… soyez honnête, je le serai. »

Oui, il fallait régler ce genre de détilms de suite, pour une question de tranquilité par la suite.

« Oui, je pratique l'esclavage, j'estime qu'une race inférieure peut être dressée et domptée au même titre que l'on dresse et l'on dompte des chevaux ou des dromadaires. Traitez vous les animaux comme votre égal ? J'en doute… et le simple de fait de devoir m'incliner devant vous montre qu'au fond, vous faites comme moi, mais que vous l'appelez différemment. Je ne critique en rien vos mœurs, ils vous sont propre… alors ne parlez pas des mieens, nous éviterons les disputes inutiles ainsi… sachez juste que ma reine a le droit de vie et de mort sur notre peuple car c'est ainsi que cela fondtionne depuis les prémices de celui-ci. C'est notre coutume, notre tradition. Nje n'abjurerai pas ce en quoi je crois, ni ce que je vis pour vos bveaux hyeux. Inutile de reparler de l'esclavage. Je ne le mettrai pas sur le tapis, et vous non plus. Comme ça, nul énervement, et nul problème pour le rituel… vous avez vos opinions et moi les miennes. Un point c'est tout. »

Puis il sourit, aimable.

« Maintenant que cela est dit, revenons à votre mari. Vous donnait-il des surnoms ?  Et qu'entendez-vous parler avec courtoisie ? Qu'appelez vous le resect qu'il avait pour tout le monde ? Je veux comprendre pour être le plus fidèle possible... »

Puis finalement. Il rajouta.

« Et j'aurai aussi besoin de vous connaître, comme un épou connaît son épouse, mais du peu que j'ai pu comprendre je sais déjà uen chose… que je ne veux pas êtyre dans la même pièce que vous et astrid… vous emblez toutes les deux avoir un fort caractère… et je crains de me retrouver à subir vos foudres ensemble… généralement, avec Astrid nos problèmes se règlnt une lame à la main dans un duel… j'espère ne pas avoir besoin d'en arriver  là avec vous… en tout cas, j'ai une idée, et si vous me parliez de tout cela pendant un petit entrainement au maniement d'une arme, celle de votre choix. »

28
Il luis ourit alors qu'il continuait ses laborieux vas et viens en elle. Il cessa et srtit de son fondement. Il n'avait pas jouis mais il avait un autre objectif, un objectif qyqui était loin d'être uniquement fait pour lui, il glissa une main sur sa croupe, entrant son pouce dans son anus pendant que ses doigts caressaient on intimité. IL glissa son autre main dans ses ceheveux pour la saisir et rapporcher son sviage de sa verge bien dure qui se présentait à elle. Il lui caressa la joue et lui dit, sur un ton doux mais qui ne laissait aucune place au moindre doute.

« Arrête de pleurer ça n'y changera rien… caresse toi et dnne toi du plaisir avec tes doigts pendant que je t'encule, tu verras que ça passera tout seul, ça sera moins douloureux, je peux te l'assurer... »

Il lui fit un petit sourire avant de lui careser les lèvres de sa verge, de lui caresser doucement l'arrête du nez, aussi jusqu'à ce qu'elle daigne le prendre en bouche (ou lutôt en gorge, vu qu'i s'enfoncerait au fond d'un coup de bassin unique). Il e but était de relubrifier pour encuite y retourner mais il avait besoin de lubrifiant, non ?  Ça ferait moins mal, et il préférait les liquides qui lubrifiaient naturellement…

Il fit quelques mouveents dans la bouche de la june femme juste histoire d'être sur qu'elle ait un afflux suffisamment de salivre pour qu'il soit bien de nouveau lubrifié avant de finalement se décider à sortir de sa pobouche et lui caresser la joue et lui susrrer, sutr un ton fort encourageant malghré la freoideur de ses yeux d'acier.

« Allez, sèche tes grosses larmes, inspire un bon coup, expuire fort, et maintenant détends toi, et caresse toi la chatte, tu verras, ça t'aider… à moins que tu ne préfères que ce soit moi qui le fasse ? Oui, je vais le faire, c'est préférable… ne t'en fais pas, tu finiras par aimer… peut être même plus que quand je passerai pas ton con, tu verras... »

Ses paroles étaient partyiculièreent douces alors qu'il retirait de ses trous ses doigts inquisiteur pour  venir ui tenir les hanches et lui caresser celles-ci. Avant de laisser sa verge gluante de ave le long de son intimité avant de se coller à l'entrée de son fondement, posant son gland contyre sa rosette encore marquée par le passage précédent. Il laissa glisser une main sur le ventre de sa chienne avant de laisser dévaler celui-ci à ses doigts pour venir lui caresser l'intimité...Et d'avoir une idée !

« Ne bouge pas ! »

Il se redressa et s'écarta dud'elle pour s'approcher de la commode et en sortir un petit vibro, minucule accroché par un fil électrique à une télécommande. Non, il en sortit trois avant de sortir aussi du scotch et de se pencher entre les cuises et placer le premier contre son clitoris… il scotcha le vibro ici et ensuite scotach les deux autres de part et d'autres de ses grandes lèvres, à la jonction de ses cuisses. Puis, une à une, il prit les trois télécommandes  pour enclencher les vibrations. Pas de demi mesure il mit le cinquième niveau de vibration sur cinq.. ça allait la stuimuler sans pénétration, comme ça !

« Voilà, je vais pouvoir y aller, ma petite chienne Coralie ! »

Il repriot, posant son gland contre sonj anneau rectal avant de pousser pour entrer, laborieusement toujours, avant de pouvoir commencer à bouger dans son fondement, mais l n'en fit ren,il resta immobile, comme pour qu'elle s'habitue à ce mostre étranger en elle… histoire que son cul s'y fasse un peu avant de se remettre à faire des mouvements, doux et très lents, volontairement, histoire qu'elle prenne non seulement la pleine mesure de sa grosseur mais aussi qu'elle puisse savour le plaisir qui pouvait finir par se dégager d'un tel gen,re de pénétration.

« Alors, c'est mieux, petite chienne ? »

Petit sourire, clin d'oeil, légère morsure dans la nuque avant de finalement jopuir dans son fondement et s'en retirer.

« Raconte moi tout... »

29
Tout était clair, désormais… il eut un sourire, forcé cette fois_ci à  celle avec qui il devait se comporter comme son épouse durant la semaine à venir puis jusqu'à ce que la copulation soit fructueuse. Il n'était pas ravi, loin de là même ! Slade commençait à comprendre pourquoi sa reine l'avait envoyé au lieu d'envoyer uniquement ses sous-fifres. Il soupira et alors que tout était dit, qu'il s'apprêtait à coongédier le maitre de magie, il se ravisa. Il lui fit signe de s'approcher avant de luio lancer sur un ton sec mais ferme.

« Détache mon armure, il fautq ue je lui montre quelque chose... »

Il regarda Eris , au moins il était sur que ça ne durerait pas ! Ces mots étaient simples et efficaces et répondaient àson ironie mordante qu'elle mettait dans le terme d'époux. Une fois que la maitre de magie l'ut dbarrasser de ses plaques d'armure qu'elle posait avec délicatesse et peine – elles étaient lourdes – sur le lit pour qu'elles ne traînent pas par terre, pour en pas les rayer, il lui fit un skigne de la main pour la congédier et elle partit comme elle était venue. Il sourit à son épouse du momentavant de perdre toute forme de sourie, pour retirer le haut et montrer son dos. Voyait-elle la longue ligne qui longeait la colonne vertébrale et qui était faite de petites écaailles presque translucides.

« Voioà ce don je parle surtout comme tare, c 'est une maladie qui se transmets comme les gènes… une lente transformation en reptilien, mais soit, si cela n'a aucune importance ! C   'est vraoi que mes autres dons seraient un bon point pour votre lignée… de tels dons… ce sont des cadeaux. »

Il laissa choir son haut et ne chercha même pas à le remettre, insensible au fait d'être torse nu, de toute manière il faisait trop chaud, et en lus il révélait sa musculature, celle d'un soldat de métier, sèche et marquée. Il resta un peu silencieux avant de rajouter, parlant un peu à coeur ouvert.

« j'ai bien senti que cette situation ne vous plaisait pas, et bien laissez-moi voyus rassurer sur un point. J'ai une femme que je respecte énormément – faute de l'aimer – et si notree couple est assez ''libre'', devoir jouer cette mascarade… je n'aime pas particulièrement, ce n'est pas le point de coucher avec vous, mais le fait de devoir faire comme si nous étions mariés. C'est l'une des meilleures guerrières que je connaisse et si elle n'avait pas été enceinte jusqu'aux yeux elle m'aurait accompagnée. Donc dites moi ce que je dois savoir au sujet de votre époux. Les mots qu'il vous disait, la manière dont il vous traitait, et toute autre information utile. C'est vous qui avez la main pour que tout se passe bien. »

Il soupira.Astrid avait fait une de ces crises de colère quand elle avait entendu qu'elle ne l'accompagnerait pas, d'ailleurs...

« Il va falloir se supporter et essayer d'être en bonne intelligence... »

30
Oui, la sorcière nordienne était sous le choc de son incompétence. Il sourit et la regarda, un rien amusé par la situation avant de se décier à lui dinquer de se relever alor qu'il laissait la main à Eris pour les questions intrelligentes… enfin, si elle en avait… ce qui n'était pas courru d'avance. IL regarda a jeune femme et lui sourit, un rien moqueur. Elle n'aimait peut être pas, mais au moins, c'était une preuve de son bon vouloir et de ses bonnes intentions. Il soupira et regarda la jeune femme d'un air un rien contri par la situation. Il la poussa légèrement pour qu'elle se redresse, qu'elle montre un peu dignité. Ce n'était pas la mère à boire, si ? IL leva les yeux au ciel…

« Je vous prie d'excuser tant son comportement indigne de nous que son incompétence, je ne sais pas ce qui m'a pris de l'emmener, j'aurai du emmener quelqu'un de plus efficace qu'elle, quelqu'un de plus doué ou de plus savant… je vous prie de m'excuser, elle sera punie à hauteur de son incompétence, je puis vous le garantir. Quand l'honneur de notre peuple est en jeu, quand notre nature entre das une situtation, ni l'éche, ni l'incompétence, ni la betise ne saurait-être tolérée... »

Finalement leur hôtesse prit la parole. Elle se montrait plus conciliante et plus aimable que ce à quoi la maitre de magie s'attendait ou ce que la maitre de magie méritait. Slade soupira. On ne soutient pas les incapables, on leur fait changer de vocation, tout simplement. Il se demandait même si elle ne devrait pas lui apprendre le rituel et le laisser faire intelligemment. Au lieu de la laisser faire et risquer de rater son coup de manière plus que magistrale. Il leva les yeux au ciel et regarda la juen femme pour finalement faire une moue qui révélait ce qu'il pensait des bêtises de son maitre de magie…

« Je crois que le procédé est sans douleur, il ne s'agit pas  tester si la perosnne tient le coup mais vérifier sa compatibilité… de plus, n'étant pas complètement humain, je ne sais pas si je suis le mieux placé pour faire cela. Magiquement, oui, physiquement… qui sait si votre feant naura une de mes capacités… hors normes, dira-t-on... Après tout, c'est un procédé existent, mais très peu utilisé… question de reconnaissance je crois, il est compliqué pour un mort de reconnaître quelqu'un… et ce gosse risque plus d'être un batard qu'autre chose... »

Le maitre de magie acquiesça prudemment aux paroles de son sire pour le confirmer avant de finalement dire à son hotesse sur un ton qu'elle voulait le plus neutre possible.

« J'aurai besoin de votre sang, juste quelques gouttes, Ma Dame, s'il vous plait, et ensuite il me faudra une bonne semaine pour configurer le sortilège. De plus, il est important que le réceptacle s'imprègene de la présence de votre défunt époux, histoire qu'il soit en mesure de lui correspondre, de lui convenir. Il ne s'agit pas seulement de coucher avec vous, mais de l'incarner, de devenir lui, c'est pourquoi il aura besoin de le connaître le plus intimement possible... »

Oui, cela pouvait paraître humiliant pour leur hôtesse que de décrire tant de détails, mais si c'tait nécessaire. En tout cas, la magicienne avait repris tout son aplomb en reprenant le ton professionnel qui lui convenait. Elle ne donna pas pour autant son nom, pour la simple et bonne raison qu'elle estimait son nom inutile au possible C'était une morte en sursis… mais si elle insistait, elle poivait bien le lui donner.

« Mayris. Mon nom est Mayris, Ma Dame. Mais je puis vous conseiller de l'oublier, Notre reine supporte encore moins les incapables que Sir Slade. Je serais logiquement punie pour on incompétence, nos lois sont ainsi… tout comme la tête de Sire Slade tombera si jamais nous ne parvenons pas à honorer les vœ de votre époux... »

Les choses étaient peut être plus claire ainsi… peut être pas, en tout cas, elle conclue.

« Mais pour en revenir au sortilège, vous verrez qu'il est donc essentiel que vous passiez autant de temps que possible avec Sire Slade, que vous vous comportiez comme si il était votre époux durant c cette semaine, et ce, jusqu'à ce que vous soyez enceinte... »

Et à la moue de Slade rien ne lui aurai plus dépluq ue rester ici à agir de la sorte...

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