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« le: mardi 05 mai 2015, 22:48:09 »
Alors qu'elle parlaitrt et qu'il parlait, il la voyait se caresser… en étaient-ils arrivés à ce point de non retour ? Peut-être… il ne pensait pas que ce serait si aisé pourtant, aussi restait-il yun brin sur ses gardes. Oh, ce n' »tait pas qu'il ne voulait pas la voir dns cet état, non, il en était même ravi, il se disait juste que le changement était bien triop rapide pour être réellement là, et non feint… oui il avait un avis sans doute bien tranchyé sur cette question, mais bon… il sourit nénmoins en l'entendant répondre, et même surenchérir. Il lui sourit et lui tapiota la tête.
« Doucement, petite chienne, doucement, ne va pas trop vite en besogne… tu apprendras, mais au rythme que je t'imposerai pas à un autre, tu apprendras d'autres choses si tu es prête… je me chargerai de tout, ne t'en fais pas… allez, suce. »
C'est vrai que le changement était pour le moins brutal… aussi brutal que ses coups de reins… oui la comparaison était osé… il sourit et lui fit un clin d'oeil alors qu'elle se remettait au travail sur sa queue avec entrain, la nettoyant avec une passion et une enviequi, elles, étaient bien réelles… il ne put que se oplaire dans l'idée que peut être, elle avait pris du plomb dans la tête… ce n'était pas du luxe… il lui fit un léger sourire, un brin amusé et excité alors qu'elle continuait ses vas et viens vigooureux et plein d'énergie sur la verge avec un talent presque trop important poyur sa petrite expériece, si bien qu'en plus de ce qu'elle avait nettoyé, il lui jouis dans la bouche… trop tentant.
Enfin, elle obéit au reste, sous l'oeil vigilant de Slade, qui admirait la manière dont elle s'y prenait d'un œil critique… elle voulauit vraiment faire plaisir à son maître en agissant de la sorte, comme si elle avait une queue dans la bouche et une autre bien calée dans son derriè-re… il la regarda se dilater le derrière avec le petit gode avant d'y mettre les doigts. Tropis, ça passait aisément : c'était gropsso modo ce qu'elle avait eu droit quand il l'avait pénétrée. C'était aller au-delà qui risquait de se montrer difficile, aussi c'est avec un petit sourire en coin qu'il la regarda mettre le quatrième doigt, puis peiner avec le dernier… il avait un sourire ravi, une fois cela fait… elle haletait, elle semblait ravie et en même temps endolorie, un mélange des deux, qui lui convenait très bien… il s'approcha et saisit le poignet de la jeune femme pour qu'elle fasse des vas et viens dans son fondement. Il n'était pas tendre, mais il n'était pas non plus violent, il lui faisait juste vraiment élaregir le cul, en lui faisant bouger la main aisni, ainsi que le nettoyer, au passage.
« Allez, ça ira pour le moment, je suis fier de toi. Tu dois avoir des restes de foutre sur les doigts, quand je t'ai giclé dans le cul, lèches les bien, pour ne pas gâcher, ensuite, je suppose que tu pourras aller te laver si tu le désires, puis tu auras ton repas. Ah et un conseille, attache toi les cheveux , tu verras c'est plus pratique pour tout le monde... »
Il lui tapota la tête, comme quand on félicite un bon petit chein – ou en l'occurence une bonne petite chienne - et se dirigea vers la cuisine pour se préparer un repas simple et efficace. L'autre repas, celui pour sa chienne, fut comme le dernier : des restes froids, mais cette fopis, dans une gammelle qu'il dépossa sur un paillasson, à côté d'une gammelle d'eau. Voillà qui irait très bien pour une chienne, puis il emmena son assiette au salon et mangea dans son fauteuil, bien installé, elle savait ciomment agir, non ? Manger dabns sa gamelle comme une chienne, sans utiliser les mains et ensuite venir se caler, assise comme un chien, la tête contre la cuisse de son maître.
Il prendrait un livre et lirait ainsi opendant plusieurs heures sans s'occuper d'elle. Ce ne serait qu'au bout de ddeux bonnes heures qu'il se lèverait et la ferait venir à ses pieds, alors qu'il récupèrerait un carnet vide et un stylo qu'il lui donnerait et il lui dirait.
« Voilà, sur ce calepin, je voudrais que tu notes tout ce qui t'arrive ; ce que tu ressens, ce que tu aies, ce que tu n'aimes pas. Chaque jours, tu y asseras une demie-heure>… sois la plus détailéle possible. Ensuite, tu le rangeras sur cette étagère quand tu auras fini. D'accord ? »
Il n'attendait pas de réponse.
« Allez, profite de ta dernière demie-heure avant d'aller te coucher. »