Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Camelia

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Je me suis mise à entendre mon maître m'expliquer plusieurs chose sur lui. Tout d'abord il était sous le joug d'une bénédiction et d'une malédiction divine. Ainsi les dieux avaient joué avec lui et il voulait me mettre au courant, la raison m'échappais, il pouvait faire ce que bon lui semble de ma personne, ayant acheté ma personne, mais aussi mon avenir. J'avais un peu du mal à comprendre ce maître, il tuait et voulait me faire croire que c'était pour mon bien, il s'énervait pour des détails et devenait soucieux l'instant d'après. Maître kah'mui est une personne bien étrange.  L'explication selon laquelle il avait un monstre à l'intérieur de lui ne me choque pas, ne comprenant sans doute pas à l'instant qu'il s'agissait bien d'autre chose que la part d'ombre dans tout être vivant. Il revint à s'inquiéter sur ma personne, me disant que l'immortalité pourrait me faire peur, la mort était une chose que j'avais vu de nombreuse fois, mais jusqu'à maintenant elle ne m'avait pas fait peur, un peu comme si j'avais passé ma vie à valser avec elle. Bien sûr mourir n'était pas une chose qui m'amusait, sachant ce que cela fait de mourir en subissant une douleur atroce à chaque fois qu'une maître ou une maîtresse meurt.  Je ne dirais pas que la peur est un concept qui ne m'effrayait pas, mais je ne dirais pas qu'elle me paralyse, si une personne liée devait se faire attaquer nul doute que je mettrais ma vie en jeu pour la protéger, surtout s'il s'agit de mon maître. Le sacrifice m'a été instruite, n'étant qu'un outils je n'ai pas à me limiter pour des motivations humaine quand mon maître ou ma maîtresse est menacé.

Il vint, par des gestes et le langage corporel à m'ordonner de m'assoir sur le lit, peut-être désirait-il me savourer en acceptant son offre, quoi qu'il en soit je voyais bien que son corps voulait m'assaillir, m'inonder de plaisir, il y avait même dans ce regard un petit côté bestiale qu'il semblait retenir, comme pour ne pas paraitre un simple mâle voulant assouvir ses désirs sur une femelle.  Ses lèvres furent très proche des mienne, sans pour autant les toucher, comme pour m'inciter à les frôler, voulait-il que je fasse le premier pas ? Ce n'est pas le genre d'attitude que l'on attend d'une esclave, mais cela était possiblement un test dans le but de démontrer si je suis une esclave docile ou capable de prendre des initiatives. C'est alors qu'il reprit la parole, m'offrant deux possibilité de vie, maître Kah'mui est vraiment un maître étrange, n'importe qui d'autre aurait fait le choix à ma place, de plus je ne comptait pas choisir, c'était à mon maître de m'utiliser comme bon lui semble et non à moi de lui imposer un code de conduite. Je ne pouvais dire comment mon esprit ou mon corps allait réaigr face à ce maître, il semblait avoir l'esprit creusé par une très longue existence, je ne pouvait dire si je serait capable d'encaisser l'afflux de souvenir ou si les sortilèges divins étaient affectés par ma capacité. Il était sans doute l'être le plus vieux que j'allais embrasser et le risque d'être momentanément dans l'incapacité de travailler n'était pas à exclure, de plus si nous comptions partir ce soir cette demande était assez dangereuse en soit si ma capacité altérait les malédictions et bénédictions.

Mon intuition me disait qu'Alessa était dans le coin, je ne pouvais dire, sans doute son aura puissante qui m'étaie parvenu. Quoi qu'il en soit le maître voulait une réponse et je fis donc une explication avec le calme qui me caractérise, abordant tout les points négatifs d'une telle entreprise surtout dans la situation actuelle.

- Ce n'est pas à moi de juger vos acte maître Kah'mui, mais ne serait-il pas plus judicieux de reporter ce choix à plus tard, comme vous et Alessa l'avez soulevé si je suis paralysée par ce lien je ne serais rien de plus qu'un fardeau et mon rôle sera alors celui d'un boulet à vs pieds. De plus si vous décidez de vous lier à moi, je ne peux garantir l'état actuel de vos capacités, ne sachant pas si ma capacité peut allez à l'encontre des décisions divine, ce qui serait un grand risque si une embuscade venait à se dresser et que vos pouvoir ne soient pas en état de fonctionner, pire si votre immortalité est affecté vous pourriez  surestimé vos capacité. Je ne cherche pas à insulter votre compétence à vous battre, mais nombreux ont été les maîtres et maîtresses étant mort en ayant fait fit de mes avertissements. Le choix de vivre lié à vous ou non est une décision que vous devez prendre seul, quelque soit le choix je la respecterais, si vous désirez ne pas user de ma capacité je ne pourrais pas vous garantir  un travail excellent, mais ferais de mon mieux pour correspondre à vos attente.

Je sentit la présence d'Alessa s'atténuer, puis disparaitre, mes mots avaient sans doute touché son coeur et je me devais d'être claire avec la compagne de mon maître, pour éviter des malentendus futur. Avec un geste lent, mais doux je m'extirpe de toute étreinte, me levant en saluant mon maître.

- Je vais m'absenter quelques minutes, pour demander à Alessa quelques informations sur les conditions de noter départ ce soir.

Je m'incline et part vers la chambrée de la guerrière, frappant plusieurs coup avec douceur, attendant une invitation à entrer pour faire irruption, prenant soin de refermer la porte derrière moi pour que cette conversation reste privée. Je m'incline avant de parler, pour montrer que je n'étaie pas là pour la blesser, mais simplement discuter.

- Je souhaite m'excuser pour les propos que je vais avoir, mais je pense qu'il est nécessaire de dissiper tout malentendu pour éviter toute tensions à l'avenir. Sachez que si vous êtes une bonne guerrière, je peux voir dans votre regard que vous tenez à mon maître et que d'une certaine façon ma présence vous perturbes. Je vous rassure en vous disant que je ne compte pas vous le voler, n'étant qu'un simple outils dans ses mains. Si ma capacité semble surprenante, je ne possède ni votre expérience du combat, ni votre aptitude au combat et bon nombre d'atout que vous avez en votre possession. Si les ordres de mon maître sont importante, vous avez le droit de m'en donner, car vous êtes sans doute une personne importante pour mon maître. Je ne vous demandes pas de m'accepter, mais de ne pas vous ménager en ma présence, de me dire votre pensée sans détour cela pour votre bien, si vous voulez vous en prendre à quelqu'un je serais tout le temps disponible pour calmer vos sentiments.

Peut-être étais-je le genre d'idiote à vouloir éviter que des tensions se créent, j'avais déjà vu des concubines tenter de me tuer par jalousie ou avoir réussi à tuer mes maîtres par simple vengeance d'avoir succombé à ma beauté naturelle. Qu'est-ce que quelques blessures contre l'assurance que les liens déjà fait ne seront pas détruit.

- Hormis cela je souhaiterais connaître l'organisation de la fuite hors des murs d'Asghnard.

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One Shot / Re : [donjon] Voler c'est mal.[réservé]
« le: dimanche 09 juin 2013, 19:45:53 »
Le voleur ne savait pas encore ce qu'il venait de faire et il allait regretter amèrement son zèle. Il ne maîtrisait aucune magie, son petit doigt lui disant que cela n'aurait été d'aucune utilité face à cette ... chose. Le premier danger qu'il vit fut certainement le fait que le sol était inflammable et que cette bestiole était tout chaud tout flamme, le mettant en danger de mort.

- Putain de merde on m'avait pas dit ça moi.


Il se mit à chercher une issu et comme l'esprit du donjon l'avait envisagé, Trésor n'eut d'autre choix que de s'engouffrer dans le trou, normalement Trésor aurait eut la présence d'esprit d'user de sa téléportation, mais avouer qu'avoir un gros chien, qui semble démoniaque de surcroit, à ses trousses ne permet pas réellement de penser calmement, aussi sa tenue prit un sacré coup, mais pas assez pour devenir encore gênant. Trésor se mit à rager en sentant sa peau e faire agresser par les contour coupants, il comptait bien se payer une bonne séance de soin pour retrouver sa peau parfaite une fois sortie de ce donjon avec quelque biens.

Si son premier réflexe aurait été de courir dans le couloir, il se mit à stopper son élan. Le bruit des flammes derrière lui n'offrait aucun répit, car il savait que s'il entendait bien les flammes cela voulait dire que bientôt le clébard se lancerait à sa poursuite et ce dernier n'hésitera pas. Il se mit à prendre de l'élan et courut, seulement il utilisa son pouvoir pour éviter de se faire choper par les pièges, usant de sa vision pour fixer son prochain point de téléportation. Il entendit de nombreux mécanisme s'actionner une fraction de seconde après chaque téléportation, les pièges étaient rapide et efficace, mais pas suffisant pour intercepter le voleur.

Il vit la porte et stoppa sa téléportation juste devant, se rendant compte bien trop tard qu'il était collé sur place, il commit une seconde erreur celui de toucher le sol. Très rapidement il comprit le piège. Non sans avoir un visage dégoûté de s'être fait choppé dans un piège aussi grotesque, il retira en premier ses chaussure, étant nu pied, puis vint le tour des gants.  Il se mit à entendre le bruit du canidé qui s'approchait.

- Putain de clebs.

Trésor ne réfléchit par une seule seconde, il ouvrit la porte et la referma derrière lui. Il se doutait que cet obstacle n'allait pas tenir et usa de deux de ses pointes pour bloquer la porte, téléportant les outils de telle manière que la porte et l'encadrement était lié, renforçant la solidité de la porte très légèrement.  Le temps n'était plus à réfléchir, il avait une bête au trousse et poursuivit rapidement son avancé, non sans rager de devoir se balader pied nu.

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Camelia se mit à être inquiète envers sa maîtresse, l'esclave voyait des sentiments négatifs luire dans les yeux d'Irys, avait-elle commit une erreur en répondant à sa propriétaire ? L'ESP.er fut d'autant plus surprise de voir la mercenaire quitter le lit à priser la table en bois avec une étrange facilité, Camelia avait put sentir à ce moment une aura bizarre, comme si Irys n'était pas humaine, avait-elle de la pitié pour une simple marchandise ? C'est ce que pensait l'esclave, mais cette dernière ne pouvait pas rester ainsi, laisser sa maîtresse se faire du mal en se retenant était un spectacle blessant pour l'esclave qui sentait bien Irys sur le point d'exploser de colère, hors cela aurait crée beaucoup d'ennui pour une simple phrase.

Voyant bien que la mercenaire n'arrivait plus à percevoir le monde qui l'entourait, l'esclave se mit à faire une action qui, si Irys devenait violente, pourrait lui coûter de grave blessure. Elle s'approcha dans le dos de la semi-démone et l'enlaça fermement, comme pour la contraindre à laisser cette rage partir, d'une petite voix, elle se mit à susurrer à l'oreille de sa maîtresse.

- Irys calmez-vous, vous n'avez aucune raison d'être ainsi, calmez-vous s'il vous plait, je suis là pour vous.

L'esclave sentit que ses mots avaient un peu de mal à percer l'esprit de la mercenaire et se permit d'outrepasser son statut d'esclave, elle se mit à pincer avec ses lèvre l'un des lobes de la mercenaire, espérant que la sensation perçu serait suffisante pour ramener au calme Irys, ayant constaté que face à un sentiment fort une petite pression sur une zone érogène amenait de l'embarra ou altérait les idées de la personnes. L'esclave ne pouvait pas se permettre de laisser Irys avoir des problème.

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L'elfe ne put retenir un léger rire en entendant le dieu dire qu'il avait eu "un moment de faiblesse". Pour la créature sylvestre c'était assez amusant de voir qu'une divinité, faisant acte de présence, pouvait paraitre aussi ... banal, c'est comme s'il s'agissait d'un être humain lambda avec ses faiblesses, ses péché mignons et un caractère qui au final semblait peu complexe. Muramasa fut un peu gênée de se faire prendre la main ainsi, dans sa tribut c'était un signe visible que deux elfes étaient ensembles, hors elle ne se souvenait pas avoir été marié à la divinité, mais la jeune créature se laissa guider, jugeant que la signification dans ce monde était différent. Elle eut le droit de se faire expliquer des sale comme le salon, la cuisine, la salle de bain, cette dernière salle était intéressante pour l'elfe qui dans son village se lavait sous une cascade, comme tous les elfes de son village. Elle eut une mine de surprise en voyant le dieu sauter sur le lit comme un vulgaire gamin voulant se rouler dans des draps sentant le propre, au moins une scène qu'elle connaissait.

C'est alors qu'Uzume se mit à maquiller quelque peu des avances, l'elfe se mit à légèrement rougir, s'imaginant que le dieu voulait simplement vérifier que son corps ne comporte aucune cicatrice ou autre marque hideuse, qui aurait rendu moins facile son rôle de prêtresse.  Cependant l'elfe se rendait compte que les concept humain et ceux des elfes différaient grandement.

- Si je souhaite devenir votre prêtresse ce n'est nullement question de confiance, mais de nécessité. Je veux bien admettre que vos concept, comme ceux de ce monde sont différent des miens, aussi j'aimerais en savoir plus sur cette "affection physique" d'on vous parlé avec ce sourire quelque peu suspicieux sur le coin de vos lèvres.

L'elfe n'était pas idiote au point de se lancer tête baissée dans une action, elle aimait posséder les cartes en mains pour choisir, autant dire qu'Uzume allait avoir du mal avec cette elfe très calculatrice.


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Je n'eus pas le loisir de pouvoir souhaiter un bon réveil à mon maître que ce dernier me lanca un sort d'immobilisation, cette sensation était à la fois bizarre et étrangement excitante, le sort agissait sur mon corps somme s'il s'agissait d'un serpent s'enroulant autour de moi en resserrant ses anneaux pour aller jusqu'à légèrement réduire ma capacité pulmonaire. Vint une explication qui était vague, mais je crus comprendre ce qu'il voulait dire, comme beaucoup de maître il voulait me garder pour lui tout seul et semblait avoir mal prit le fait que je paie son repas de ma personne. Mon corps me fus rendus, mon maître usant d'une nouvelle magie. Son sortilège me fus inconnue, mais je sentait la magie s'insinuer dans mon intimité et bruler les intrus, réchauffant mon bas-ventre qui avait eut juste le temps de se calmer, mon maître put voir mes joues s'empourprer sous la petite vague de plaisir qui remonta le long de mon corps. Même si mon corps voulait légèrement bouger, j'eus l'esprit de rester figée, telle une statue, ne voulant pas que mon maître puisse voir en ce geste un malentendu qui aurait tôt fait de l'énerver davantage. On m'aurait dit que je craignais mon maître, mais cela ne fus pas le cas, un esclave ne doit pas craindre son maître, il doit se dévouer à lui corps et âme, tel un mortel se dévouant à une déité. Maître Kah'mui se mit à relever mon menton, peut être voulait-il regarder dans mes yeux une petite étincelle de raison qui l'aurait informé que j'avait saisit le message. Il vint à préciser davantage en me donnant des directives, nul autre personne que lui ne pouvait disposer de moi avec l'interdiction d'agir de manière conscentante, mon maître mit aussi en place les conditions où il pouvait y avoir rupture. Le fait de me lier ne comptait pas et il m'est impossible d'aimer un homme, cette dernière aprtie me chiffona, cela voulait-il dire qu'il acceptait le fait qu'une femme puisse m'approcher ? Je ne pouvais interrompre mon maître, car cela était impoli et irrespectueux.  Puis vint un regard qui me fit un peu de peine.

Je pouvais bien voir qu'il voulait me goûter, savourer un peu ma chair, mais pour une raison que j'ignorais il se mit à refouler cette envie. Avait-il un passé douloureux avec une autre femme ? Poser des questions sur la vie privée des personnes était un tabou chez les esclave, "un objet n'a pas à connaître son propriétaire" telle est la règle que l'on m'a instruit dès mon plus jeune âge. A défaut de ne pouvoir goûter mes lèvre, il fit le même baiser qu'Alessa, comme pour m'annoncer que l'heure de la réprimande était fini. Il put goûter à mon plat, que j'avais toujours tenu en main, même lors de mon immobilisation magique. Je voyais qu'il avait de appétit et que ma cuisine semblait lui plaire. Il est vrai qu'ayant eut de nombreux maîtres et maîtresses par le passé m'a offert une instruction culinaire assez avancée, sans parler des propriétaires dont le palais était fort délicat. Je me mis à me décaler pour laisser passer Alessa quand elle vint à annoncer que le départ prévu ce matin allait être retardé pour cause d'une garde trop importante aux portes. Si la situation c'était passé à Nexus j'aurais sans doute proposé à mon maître de passer par la rivière sous-terraine, mais nul ne pouvait dire si un tel chemin existait à Ashnard. La compagne de mon maître vint à quitter la pièce, ce dernier se mit à m'observer, me posant donnant la parole.

- Je vous remercie de votre inquiétude maître Kah'mui, la nuit de repos m'a été profitable. Si vous me permettez avant de parler de ma personne, je vais aborder ma capacité qui est assez complexe en soi.  Tout d'abord une personne qui m'embrasse se lie avec moi ou plutôt, je lie mon destin au sien, c'est un peu comme si une ficelle autour d'une autre, cela permet de la rendre légèrement plus résistantes à la tension. En me liant à une personne j'obtiens ses souvenirs, ses capacités raciale et magique. Cela partage aussi les malédictions et bénédictions. Si une personne liée est blessée ou subit une agression par des potions, des aphrodisiaques, des poisons, l'alcool aussi est prise en compte, je peux endosser cela, protégeant la personne liée. Cependant les blessures mortelles ne peuvent être endossé, là est la limite de ma capacité. Sur demande je peux sortir de ma poitrine une arme qui est le reflet de la personne liée, elle peut avoir des effets, des éléments et une matières spéciale, tout dépend de la personne en question.  Cela vient à ce que vous appelez les profiteurs, je traduis cela par des personnes désirant mon pouvoir, la réponses est simple, donnez moi l'ordre de ne céder mon pouvoir à personne d'autre et j'userais de mes capacités pour me soustraire à leurs tentations. De part mes nombreux souvenirs acquit je possède quelques connaissance en combat aussi bien physique que magique, même si en l'absence de personne liée ma réserve de mana est assez faible, tout juste suffisante à user d'une magie élémentaire basique. Je peux encore utiliser les capacités de la dernière personne liée, celle que vous avez tué, je peux dire que s'il ne vous avait pas sous-estimé vous vous en seriez sortie avec quelques blessures, en dehors de son poignard qui était l'arme associée à lui.


Je vins à mettre un temps de pause, pour ménager le cerveau de mon maître, non pas que je doute de ses capacités intellectuelle, mais le cerveau humain a généralement besoin d'un temps mort pour assimiler tout. Ce ne fut qu'au bout d'une minutes que je repris ce que mon maître voulait savoir.

- Comme vous devez vous en doutez, mon maître, je suis esclave depuis ma naissance, on m'a dressé pour prendre en considération les obligations de ma capacité et mes devoirs en tant que simple outils. Je suis une esclave parmi tant d'autre.

J'espérais que ma réponse était suffisante. 



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Le coin du chalant / Les rps de Camelia et Miura Azusa
« le: vendredi 07 juin 2013, 18:39:08 »
Ce n'est pas une demande de rp, mais un simple historique de tout mes rps en cours, cela pour facilité la recherche avec mes nombreux partenaires et de vous faire une idée de mon niveau.

Camelia


Trame principale :

Ligne chronologique N°1

La vente d'une fleur avec la participation temporaire de Yuka et Yuko Karistal, Père Carmody et la poursuite avec Irys.

Ligne chronologique  N°2

Une douce esclave acheter, un éternel recommencement ? (on notera surtout le verbe à l'infinitif ^^") avec la participation de Kamui.

Hors-série :

Camelia fait un tour sur Terre avec, comme dresseur, le sublime Slade. Attention l'abus de beauté peut rendre aveugle.

One-shoot

Petite elfe aventurière cherche divinité à servir. Muramasa, l'elfe en question rencontre Uzume, divinité joué par Léona & les artistes.

Telle mère, tel fils. Tournée générale ou Comment La troupe de Luxuria joue avec une proie de sexe masculin. Si vous cherchez de la douceur et un brin de romantisme passé votre chemin.

Voler c'est mal. Ceci est un One-shoot type donjon, incarnant pour ma part un voleur efféminé et où Belphy Mueller est la maîtresse du fameux donjon. On peut espérer avoir de bonne surprise.
Attention la fiche de Belphy Mueller est très longue, mais mérite d'être lu.

Trame de refonte

Une trame principale visant à donner un coup de jeune à mon compte, voici La Reine Rouge, dompteuse attitrée de Camelia. Il faut un titre accrocheur ... Hum ... je sais ... Qui se délectera du sang de l'autre ?


Spécial :

Ici sont les rps qui n'ont pas encore été mis dans une des sections ci-dessus.

Jolie fleur rêveuse croise une reine des rêves. Malon invite Camelia pour une nuit qui se promet attrayante.

Miura Azusa

Rp en cours :

Une chaude lapine qui sent la poudre avec comme professeur particulier Reisen U. Inaba.

Vous savez la magie existe avec comme professeur de magie le chancelier Adramelech.

Espérance de vie, zéro.  C'est ainsi que le petit terranide dénommé Axel voyait l'avenir sur Terre avant de croiser Miura, mais il est si mignon que la demoiselle aura sans doute du mal à s'en tenir à de simple soin.

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Camelia eut un sourire quand Irys répondit par "en quelque-sorte", croyant avoir enfin réussi à saisir l'idée de la mercenaire, mais cette joie ne fut que de courte durée, voyant cette dernière se mettre à la regarder de haut, ses yeux brillant d'une lueur que l'esclave ne put aisément comprendre et qui d'un certain point de vu l'effrayait quelque peu.

Chacune des phrases fut comme un méchant coups de poignard. Ne plus être un automate, comment Camelia pouvait faire pour être plus humaine ? Agir par elle-même, ce qui voudrait dire prendre des liberté qu'elle n'a jamais souhaité saisir pour le bien de son maître ou de sa maîtresse. Agir mécaniquement semblait faire mal à Irys, ce qui se traduisait par faire mal à Camelia qui se rendait compte qu'elle blessait sa maîtresse, mais surtout la demande d'être plus vivante fit pâlir Camelia, elle avait peur, elle ne voulait pas devenir plus vivante. L'excuse d'Irys fit trembler de peur l'esclave, oui la mercenaire avait été blessante, rouvrant d'anciennes questions sans réponse.  Elle devait expliquer à Irys le problème qu'elle avait.

- Ma capacité m'empêche d'être humaine, mon pouvoir me permet de copier la vie d'une personne, d'après-vous Irys combien de vie ai-je en moi ? Me forger une personnalité, me forger une vie est inutile, car elle volerait en éclat dès qu'une personne se lierait avec moi. Je ne suis douée que pour jouer des rôles et non jouer mon rôle.

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La compagne de maître Kah'mui vint à délaisser l'opportunité de me questionner, visiblement elle n'était pas du genre à vouloir trop connaître autrui, mais ce n'est pas à moi de juger les compagne de mon maître, ni d'y apporter un quelconque opinion.

La suite me fut familier, comme une scène que je n'avais que trop vue chez les maîtres et maîtresses achetant des esclave assez mures pour incarner le rôle d'une mère qu'ils n'avaient jamais eus. Cela me fit légèrement rougir de recevoir cette gentillesse que j'avais tant de fois donné dans retour. Je me mis à mettre en mémoire son prénom, devais-je ne rajouter aucun titre respectueux et l'appeler ainsi ? Cela me mettais mal à l'aise d'être traité ainsi, cependant son ordre de ne pas quitter la pièce fut comprise. Ils ne voulaient pas que je sorte, sans doute craignaient-ils que je fasse une bêtise où voulaient-ils me garder rien que pour eux.

J'entendis Alessa se mettre à retirer son équipement, je me mis à regarder légèrement son corps. D'un simple regard e compris que cette femme était terriblement forte et avait une longue expérience dans le combat, le genre de chose que je ne possède pas réellement, ne faisant qu'user de mon pouvoir pour trouver des techniques adapter à mon corps forts, mais plus taillé pour le bataille du plaisir que celui du fer.

Je pus admirer un des trésors, car il n'y a rien de plus rare que des artefacts, surtout de ce genre là, je n'avais pas de réelle connaissance en artefact, mais je savait que les objets magiques avaient une très grande valeur sur les marchés. N'allez pas croire que j'irais lui voler ce bien, non cela serait m'attirer les foudres de mon maître, si ce n'est la colère d'Alessa qui pouvait aisément me blesser par sa constitution de guerrière. Je sentis à nouveau la fatigue s'emparer de moi et décida de prendre une petite heure de repos pour être d'attaque.

Quand mon maître arriva mon esprit était trop proche du monde des rêve, ne suivant la discussion que par de toute petite bride, je ne pus comprendre ce qu'ils disaient, l'information n'arrivait plus à mon cerveau qui entrait dans sa phase de ralentissement. Je sentit un corps m'enlacer, mais ne put me réveiller, sombrant dans le monde des rêves ou plutôt celui des cauchemars.

Pour beaucoup ma capacité est utile, copier le pouvoir d'une personne, avoir ses souvenirs permet d'obtenir des informations ou encore améliorer ses compétences. Un sorcier avait ainsi put accéder à un rang plus élevé en m'affrontant pendant près de treize jour devant user de la magie pour maintenir mon corps en état et ne pas avoir à m'arrêter, le tout sous ses ordres. Le treizième soir fut la nuit de Sabath, autant dire qu'il m'offrit au Diable, ce dernier se désintéressant d'une femme sans volonté propre et voyant que mon pouvoir était au combien dangereux, même entre ses mains expertes.

L'esprit humain ne peut contenir qu'un nombre limité de souvenir, pouvant ouvrir des parties de son cerveau pour stocker davantage, mais cela veut dire aussi rendre la recherche d'information plus longue et douloureuse. Le pire est sans doute la nécessité de notre esprit à vider le surplus, comme je possède un nombre conséquent de vie dans ma tête cela se traduit par un mélange de toute les peurs, toutes les frustration, tout les fantasmes, créant ainsi une abomination sans nom, mais qui ne me réveille pas pour autant. Mon esprit a apprit à supporter les cauchemar pour récupérer, même s'il s'agit d'une simple torture mentale.

Mon maître ne pouvait sans doute rien percevoir, mon corps se figeant, malgré des frissons, des crispations, ma voix ne pouvait gémir, étant remplacé par un souffle qui n'avait rien d'un repos paisible. La maîtrise de mon corps portait ses fruit lors de mon sommeil.

Je me réveille avant le levé du soleil, ayant toujours eut ce rythme. Avec délicatesse, je quitte le lit, croyant que mon maître dormait encore. Je pris la cape de la tenue offerte par mon maître et descendit pour demander s'il m'était possible de cuisiner pour mon maître, rien n'est gratuit et je du laisser le cuistot s'amuser un peu avec mon corps en échange des ingrédient et de l'utilisation de ses ustensiles de cuisine.

J'avais opté pour un repas léger, mais nutritifs, les personnes riches n'aimant pas se sentir remplit et lourds après avoir déjeuné. Je fis un thé, prenant celui qui était le plus fruité, ce qui est toujours agréable au levé. J'accompagne avec des morceau de pain rendu croquante par un petit tour de magie, non sans sentir mon mana diminuer assez rapidement, n'ayant pas pratiqué depuis un sacré moment pour garder ma maîtrise de cet art compliqué. Je fis cuir un oeuf dans une poêle l'agrémentant de quelque bout de lard. Il ne restait que de la confiture de fraise à mettre et je me mis à monter pour apporter le tout à mon maître.

Le cuisto était ravi de son affaire, il avait put satisfaire quelques envie, étant gagnant par rapport au prix qu'il aurait payé pour avoir ce service en demandant à une fille de joie. Mon bas-ventre était encore chaud, mais cela allait passer.

Je me mis à ouvrir la porte, pour amener le plateau repas à mon maître.

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L'esclave eut une légère moue signifiant qu'elle n'acceptait pas vraiment le fait de devoir contester le droit absolue de sa maîtresse, mais quelque chose la disait que cet homme était suffisamment puissant pour blesser gravement sa maîtresse, elle se mit à soupirer pour évacuer cette légère frustration. Comme unique réponse elle se mit à hocher de la tête.

Camelia vit Slade s'assoir et l'ordonner, par le geste, de s'approcher, la jeune femme n'ayant crainte de cet homme, se mit à venir près de lui, c'est alors qu'elle reçu un ordre. L'esclave pouvait contester, si elle était un peu rebelle, mais l'explication du chevalier d'hiver tenait la route, elle devait payer que cela soit en nature ou toute autre forme la protection de Slade ainsi que le logis et la nourriture qu'elle allait consommer en attendant sa maîtresse.

Avec un petite lenteur, mais une grande sensualité, elle s'assit au pied de son maître temporaire, ayant opté pour une position seiza, qu'elle a apprise d'une maîtresse ayant lu de livre venant d'une monde étrange.

Camelia changea du tout au tout, plus aucune aura ne semblait sortir de son corps, comme si elle était un simple outils sans sentiments comme bien d'autre. Elle se mit à incliner son buste, frôlant les pieds de Slade en disant d'une voix qui se voulait compréhensible, mais à peine audible pour ne pas occuper vocalement l'espace de son maître.

- Bien maître.


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One Shot / Re : [donjon] Voler c'est mal.[réservé]
« le: jeudi 06 juin 2013, 21:03:27 »
Trésor sentit que plus il descendait plus la chaleur régnait, changeant avec la froideur de l'entrée, comme pour amener les intrus à attraper un bon rhume, cette pensée fut assez rigolote pour le voleur qui se disait que cela n'était pas un grand mal comparé aux trésors qu'il pourrait découvrir. C'est alors qu'un bruit se fit entendre, n'écoutant que son intuition, il se mit à marcher rapidement, constatant que derrière lui il manquait des marches, remplacé par un puits sans fond. Il se mit à défaire une de ses boucle d'oreille et de tirer le fil à son maximum.

Il usa de sa capacité pour essayer de l'envoyer de l'autre côté, ce qui marcha bien, n'ayant qu'à le ramener manuellement. Trésor était au moins sûr de pouvoir se téléporter vers la sortie.

Quand il vis la poudre au sol, il se mit à toucher, ses gants en latex assurant une protection, il vit le brasero. Il saisit un peu de poudre pour le jeter dans le brasero et découvrit que cette poudra avait des propriétés inflammable.  Une nouvelle fois une voix fit son apparition, Trésor se mit à soupirer.

- Ok ... une énigme ... voyons voir.

Il perçu un bruit bizarre, il avait entendu un bruit de canidé, mais quelques autres indices étaient bizarre.

- On pourrait faire une sacrée chimère.

D'un geste sur il se mit à tracer avec son pied sur la poudre les premières lettre des créature et morceaux anatomique. En l'espace de cinq minutes il eut un sourire.

- Le temps est la réponse.


Il se mit à bouger les vases, respectant la règle de ne les bouger qu'un par un. Trésor n'eut qu'à attendre qu'un passage secret s'ouvre par un quelconque mécanisme et le mène à la prochaine salle. Le jeune homme se mit à bailler bruyamment, faisant savoir à la voix que cette énigme l'avait ennuyé.

- Next challenge la voix.


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Asuka reçu une leçon de "moral" qui ne fit rien de plus que l'énerver. Le jeune homme allait répondre à Bogan quand ce dernier lui administra une gifle qui claqua assez fortement, la preuve étant l'énorme zone qui rougit sous l'action.  Il tenta de se débattre alors que ses agresseurs le mettait en tenue d'Eve, plus Asuka perdait de vêtement, plus il se débattait en criant qu'on le lâche. L'un des homme reçu le pied du jeune homme, ce qui visiblement, les motivaient à bien le maîtriser.

Il commençait à sentir la peur l'étreindre, surtout quand il sentit des doigts saisir sa culotte. Asuka essaya de donner des coups de pieds, mais les hommes le tenait avec fermeté pour éviter de goûter à un coup donné au pif. C'est à ce moment que Bogan posa son pied sur le petit oiseau de sa proie, le jeune homme ne put retenir une légère grimace en sentant le pied appuyer à cet endroit si sensible.

Asuka se mit à devenir blême, il comprenait ce que Bogan voulait dire, même s'il avait caché à sa mère qu'il avait un petit copain, il avait peur de la brutalité de ce groupe. Mais il avait surtout peur de l'état de choc qu'aurait sa mère en ayant la photo, il se sentait impuissant dans cette situation. Mais il n'eut pas le temps de s'apitoyer sur son avenir, car le gangbang se mettait en route.

Le jeune homme se mit immédiatement à fermer la bouche, bouchant sa tête pour que ses lèvres ne soient jamais touchées par le chibre d'un des hommes. Seulement il ne put retenir sa bouche ouverte en sentant la sodomie à sec, le faisant crier de douleur, crie qui fut étouffé à cause du bâton qui vint squatter sa bouche.

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Mon maître semblait ne rien éprouver face à cette réaction, comme s'il était normal pour lui que quelqu'un lui lance une lance en plein visage.J'avais conscience que j'avais presque faillit tuer mon maître, mais un petit oiseau m'avait dit que maître Kah'mui ne pouvait mourir aussi aisément. Je n'offris aucune résistance  face à son intention de me faire assoir sur le lit, je n'avais aucune raison de me soustraire à ses envies. Il m'offrit ma pitance, un repas simple, même si la présence de viande rendait ce repas plus coûteux.

maître Kah'mui se mit à narrer son histoire avec Kehelon. Il ne le savait sans doute pas mais j'avais vu cette jeunesse, les souvenir s'étant gravé dans mon esprit, ayant presque ressentit ce qu'il avait fait. Je  pus par son récit trier les souvenirs de Kehelon pour récupérer des informations sur mon maître actuel, mais il y avait beaucoup trop de souvenir pour arriver à réellement percevoir maître Kah'mui. Ce genre de gymnastique intellectuelle me faisait légèrement mal à la tête, aussi je ne pus au final recueillir davantage d'information, c'était assez ironique, j'avais la capacité de me lier aux destins des autres et pourtant je ne pouvais tout savoir sur eux, peut-être était-ce mieux ainsi.

Ce qui fit rejaillir une colère refoulée fut ses mots comme quoi cela ne pouvait être évité, mes mains se mirent à trembler, combien de fois d'après lui ai-je assisté à l'agonie de mes maîtres, combien de fois croit-il que j'ai marché aux portes de la mort. Mon pouvoir pouvait changer cela, on me l'avais toujours appris, je pouvais encaisser des blessures, je pouvais soigner de poisons en les prenant sur moi, alors pourquoi, pourquoi ne pouvais-je au final pas empêcher les personnes dont je me suis liée à mourir ? Le pire était sans doute son ton mielleux, comme si parler de la mort était une chose banale, je ne pouvais me permettre de faire un commentaire, mais intérieurement je me  demandais comment une personne aussi distant ... froid pouvait dire faire les bons choix.

Le reste du repas se fit dans le silence et il partit boire une bière. Dès lors que sa présence avait quitté la pièce je me sentie fébrile. J'avais encore du mal à supporter l'idée que maître Kehelon était mort. Je n'allais pas me vider de toute envie de vivre comme avec mes autres maîtres, pour la simple raison qu'il m'avait fait promettre de ne jamais être inapte au travail. Les promesses envers les maîtres et maîtresses ne peuvent être brisé par la mort, comme l'est mon pouvoir. J'eus du mal à finir mon assiette, ma main tremblant sous l'effort, heureusement la compagne de mon maître actuel m'assista pour que je puisse tout finir, même si ma gorge me semblait tellement serrer que boire était difficile.

La violence de la rupture d'un lien est toujours éprouvant aussi bien physiquement que moralement, me ménager était la seule option possible pour récupérer ma forme naturelle. Je mes mis à me lever, pour laisser la compagne de mon maître changer le lit, voir mon sang ne me gênait guère, on m'avait bien exhibée une fois avec de nombreuses entailles, aussi ce n'était rien. Elle vint à me proposer trois possibilités. Manger était hors de question, sauf si elle souhaitais que je souille le sol, marché était impossible, je sentais bien que mes jambes ne pourraient  pas supporter même une petite marche. Ne restait que le sommeil.

- Madame, je souhaite m'aliter, pour récupérer et pouvoir servir mon maître le plus tôt possible.

J'attendis que la compagne de mon maître me laisse le droit de dormir pour m'infiltrer dans les draps et positionner mon corps sur le dos, fermant les yeux pour me détendre.

- Si vous souhaitez me poser des questions, je répondrais.

Elle était la compagne de mon maître et donc était ma supérieure.

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One Shot / Re : [donjon] Voler c'est mal.[réservé]
« le: lundi 03 juin 2013, 22:50:20 »
Trésor eut un léger sursaut en sentant la pointe de la herse lui caresser "affectueusement" son arrière train. Les pointent se mirent à crocheter sa longue veste blanche, lui faisant purement et simplement quitter les pied du sol. Le jeune ESP.er ne fit rien, se laissant emmener jusqu'à ce que la herse se bloque. De ce point de vue, il put voir un endroit dépourvu de mousse et dont aucun mécanisme ne semblait présent. Ainsi put il se téléporter, devant laisser sa veste blanche sur la herse et se balader dans sa tenue de cuir violet. Il prit un bout de la tenue qu'il abandonnait pour ce faire une espèce de ceinture sur ses fesses, cela retarderait de possible infection, sachant que ce genre de lieu regorge de saloperie.

Le voleur se mit à observer la herse, comprenant que s'il avait été griffé au fesses c'est à cause de sa lenteur de déplacement et donc que le piège était là pour diviser, piège bien inutile avec un magicien de feu qui aurait tôt fait de fondre le métal de la herse. Il prit conscience du type de piège, c'était clairement plus des pièges visant à éreinter les visiteurs, la prudence serait donc de mise.

Le jeune homme sorti une de ses pointe pour le serrer avec ses dents.

*Mieux vaut avoir un projectile de sorti, on ne sait jamais.*

Trésor entendis un mécanisme se mettre en route et découvrit le prochain chemin à prendre pour explorer les lieux, mais il n'était pas encore l'heure pour lui d'y aller, non avant il comptait visiter un peu cette antichambre. Le voleur avait de bonne connaissance dans le pillage de tombe, usant de sa pointe pour retirer la mousse et insérer des pointes, faisant extrêmement attention à la vapeur chargée de maladie qu'entraine un corps putréfié dans un espace hermétiquement clos.

Une fois les sarcophages pillés, il se mit à regarder le chemin qui s'était ouvert.

- Allez mon grand, pense aux trésors, avec un peu de chance tu tomberas sur une princesse.

Un léger rire se mit à percer le silence de mort, le jeune homme riant devant l'absurdité de ses propos, sachant que dans un tombeaux ils n'y a que des morts. Suite à ce rire, il se mit à continuer son exploration, ayant prit soin de récupérer toutes ses pointes avant cela.

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Asuka se mit à attendre, il comptait patienter le temps que ses poursuivants abandonnent leurs recherche, avec un peu de chance une personne allait appeler la police en ayant entendu les coups de feux.  Il dû retenir un léger gémissement, être dans cette posture devenait douloureuse, surtout qu'il semblait s'être légèrement froissé le muscle en ayant réagit au quart de tour.  Il essaya de faire passer la douleur, mais se figea en entendant les pas des hommes s'approcher, il retint sa respiration. Le jeune homme se fit prendre par surprise, poussant un léger cris avant de frapper assez violemment le sol, d'où son état inconscient et sa blessure au front.

Le coups aux cotes eurent l'effet escompté, réveillant Asuka et le faisant tousser. La première chose qu'il fit fut de se lever, non pas par obéissance, mais par simple fierté, il ne comptait pas rester à terre devant un des violeurs de sa mère. Il se mit à se mordre légèrement al lèvre, le coups aux cotes était encore douloureux. L'humain ne put retenir un sourire sarcastique.

- Être autant ... ma mère avait raison, vous n'êtes qu'une bande de lâche, rien de plus.

Asuka se savait fichu, il sentait bien que sa jambe ne pourrait pas supporter une nouvelle action éclair, son arme était resté dans la rue où il s'était caché. Tout ce qu'il pouvait faire maintenant c'est espérer qu'une personne intelligente ai appelé les autorité en ayant entendu les coups de feux. Le jeune homme avait de la jugeote et un bon regard, pouvant voir que Bogan était plus fort, rien que le coups de pieds était suffisant pour le savoir.

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One Shot / Re : [donjon] Voler c'est mal.[réservé]
« le: dimanche 02 juin 2013, 22:33:11 »
Trésor ... mais qui est Trésor ? Vous ne devez pas beaucoup le connaître, à vrai dire il essai d'être assez discret sur tout et surtout sur son véritable métier, celui de voleur, pas le petit qui va faire les poches des petit marchand, non celui qui va plutôt vider les biens les plus précieux aux plus riches noble.

Vous me direz qu'il attire l'attention avec on allure efféminée et bien ce n'est pas par hasard qu'il est ainsi. Sa première spécialité est d'user de son côté androgyne pour charmer ses proies, on raconte aussi qu'il préfère payer les droit de passage en nature si vous voyez ce que je veux dire. Trésor ne semble pas avoir de préférence sexuelle, étant habitué à côtoyer hommes et femmes riches qui ne se doutent pas d'avoir affaire à un voleur qu'à un simple gigolo très spécial.

Sa dernière victime en date avait en sa possession une carte, menant à un donjon reconnu pour son extrême dangerosité, mais Trésor sait bien que pour éviter qu'un concurrent vienne piller un tombeau, il faut avant tout s'assurer de démoraliser tout aventurier un peu téméraire. C'est pour cela que ce jeune voleur ne prêta pas une seule seconde attention aux rumeurs, sans doute fut-ce un tord de sa part de ce lancer dans cette expédition, mais la promesse de biens rare et précieux étaient suffisant pour qu'il tente sa chance.

C'est ainsi qu'après une semaine où il a usé de sa personne pour avoir des informations et aussi emmagasiné un peu plus d'expérience sexuelle de groupe, il prit le chemin vers ce "terrible" donjon.

Trésor frissonnait à cause du froid, mais il aimait sentir cette morsure vivifiante, un peu masochiste ce voleur ... peut-être oui, mais le seul moyen de le savoir est encore de l'éprouver à la douleur.

Ce fut après une trentaine de minutes à crapahuter et escalader qu'il arriva devant l'entrée du tombeau, il prit soin de cacher les quelques sac d'or prit sur ses partenaires du soir, devant être encore sous l'effet su somnifère, puis il fit al vérification de son matériel et de sa capacité, voir si l'entrée était protégé par des runes absorbant les capacité, visiblement ce n'était pas le cas et il se mit à entrer.

Trésor avança à tâtons, faisant attention aux marches qui pouvaient être glissantes avec cette verdures et le climat glaciale, d'ailleurs de la vapeur sortait de la bouche de Trésor qui sentait justement la fraicheur des lieux picotter les endroits où sa peau était exposée, au moins ne dormira-t-il pas lors de son voyage dans les profondeurs insondables de ce donjon.

L'ESP.er avait une démarche souple et légère, voulant éviter de faire du bruit et surtout être capable de surprendre un possible concurrent, il ne croyait pas une seule seconde qu'un tombeau puisse cacher ce qu'il allait découvrir beaucoup plus tard. Pour lui ce lieu n'aurait que quelque squelettes animés par des sort de protection ou des pièges assez basique, le stricte minimum pour protéger le repos des morts.

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