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« le: dimanche 25 août 2013, 16:40:14 »
Il ne manquait pas une miette de chacun des gestes, chacune des expressions que la belle Soledad manifestait, faisait, enfin, gestes…. Oui, elle était entravée après tout… Il ne pouvait que l’admirer. Comment vivre autrement qu’en l’admirant ? Elle était si belle, si parfaite…. Et elle lui offrirait sa dose d’oxygène rien que pour lui, le seul qui ne l’ai jamais méritée… il avait un regard attendrie, tant posée sur elle que sur le chat. Les deux éclairaient sa vie, chacun à sa manière…
Et elle finit par cesser de se débattre, sans doute temporairement. Il ne doutait pas qu’elle tenterait à nouveau, elle avait du caractère et cela lui plaisait beaucoup chez elle. Comme tout le reste, même ce qu’il avait pu malencontreusement voir sans y avoir été vraiment invité… non pas qu’il ait agit ainsi de manière volontairement offensante, disons juste qu’il n’aurait jamais du poser son regard ici. Mais bref, il lui sourit entendant le gargouillis du ventre de la demoiselle. Ainsi, il avait raison de lui proposer à manger, son corps réclamait lui-meêm de la nourriture ! Il lui fit un léger clin d’œil. et il rosit même de plaisir devant la proposition qu’elle lui faisait. Elle danserait, rien que pour lui ? Il pouvait bien la détacher pour ça, non ? A vrai dire, il n’était plus capable de réellement penser, au stade où il en était…
« D’accord, mais alors à condition que tu mange toute l’assiette que je vais te faire réchauffer, on a un deal ? »
Ses yeux pétillaient de malice, il semblait vraiment heureux qu’elle soit ainsi d’accord sur un point avec lui. Et il s’éloigna pour mettre à chauffer auelque chose qui ressemblait à une bouillie épaisse à l’odeur si caractéristique. Elle allait aorer, il en était complètement sûr ! Personne ne disait non face à son Chili con carne ! Il était à tomber par terre !
« Bon, j’espère que je n’ai pas eu la main lourde sur les épices, j’ai tendance à en mettre généralement un peu trop ! »
Il revint vers elle et se se baissa pour être mis à sa hauteur, pour lui passer sur la gorge une serviette douce mais qui éviterai qu’elle se tâche. Ce serait dommage, non ? Il sourit et lui effleura la joue au passage, puis les jolies lèvres carmines. Puis, il installa une chaise à côté du fauteuil à bvscule de manière à être plus à l’aise. Il estimait la distance parfaite ! Pendant que cela chauffait il se premit, enfin, de répondre à cette question qu’elle lui avait si justement posé plus tôt et qu’il avait préféré oublier….
« Mais oui, je parle et je comprends les animaux, pas toi ? Je pensais que tu étais si merveilleuse que tu savais tout faire ! »
Il eut un petit sourire déçu… tant pis, il cacha sa déception bien vite.
« En fait même sans entendre leurs paroles, en les observa on leur parle déjà d’une certaine manière, par exemple », un ronronnement, ou un léger geste, par exemple, là il semble tendre la cuisse… une invitation à caresser ici, à gratouiller même, ainsi, ça doit le démanger. En fait n’importe qui peut comprendre un animal…. Mais après tout, tout comme toi jer suis spécial…. Ta danse est magique et moi je peux parler aux animaux….. »
Il y eut un petit « Ting » rappelant qu’il avait fait réchauffé son chili. Pour ne pas la faire attendre, il se précipita vers le micro-ondes, en sortit l’assiette fumante et revint s’asseoir, posant le plat fumant dans son giron. Puis, il y plongea une cuillère, faisant en sorte de ne pas en prendre trop, et souffla dessus pour refroidir la cuillérée.
« Attention, c’est un très chaud, allez, soleil de mes jours, fait « Aaaaaah » que je puisse calmer ton estomac ! »