Les terres sauvages / Re : Chapitre 1 : Invocation et rebellion
« le: mercredi 29 avril 2015, 21:07:23 »Elle avait une idée ? Il était bien curieux de voir quel genre d'idée il était possible qu'elle ait eu. En l'espèce il était impossible qu'elle ait une bonne raison. Il ne voulait pas d'elle, tout simplement ! Il regarda la jeune femme alors qu'elle détachait les chaînettes de son ahut. Que faisait-elle ? Elle se déshabillait ? Il trouvait cela bien étrange… en effet, il estimait qu'il y avait pléthore d'autres arguments, tous plus invalides les uns que les autres à ses yeux.
Il baissa les yeux sur sa poitrine, ne pouvant qu'admirer le galbe de son sein blanc, ornementé de son auréole rosée qui cernait sa pointe de chair fièrement isolé. Il fallait le reconnaître, c'était plutôt un spectacle agréable, mais il détourna vite les yeux pour retourner se plonger dans ses prunelles. Il eut un petit geste de la tête comme en négation et soupira avant de finalement répondre sur un ton las, un ton particulièrement blasé.
« Non… tu veux devenir magicienne, pas putain, si ? Ta plastique n'a pas à être montrée ainsi pour tenter de décrocher un poste d'apprentie chez moi. C'est bien la dernière chose qui m'intéresse quand je prends un élève...et je ne vois pas ce que ta poitrine a à faire avec ta magie, à moins que tu ne manipules une forme de magie rose, mais je doute que ce soit une bonne idée que ce soit moi qui t'apprenne grand-chose sur cette magie vuulgaire et détestable... »
Il leva les yeux au ciel avant de se figer et de la saisir par le bras et la pousser contre le mur, faisant barrière de son corps vers le reste alors que d'une main habile il dessinait la porte autour d'eux.. Au moment où la porte devenait réelle, il y eut une explosion suivie d'une clameur qui montait jusqu'ici. « À bas les mages ! Dasn la rue la magie ! Dans ls bordel, les magiciennes ! »
La porte s'ouvrit et il la poussa à l'intérieur refermant derrière elle pour rester de l'autre côté. Il fallait sauver les livres. Il inspira à fond et commença à psalmodier tout en faisant de grands gestes dans tous les sens. Les livres se mirent alors un par un, alors qu'uen odeur de brûlé et de fumée commençait à monter, à s'évanouir dans les airs. Ils venaient tout simplement s'empiler proprement dans l'entrée de chez lui, bien obéissants. Il n'arrêta que lorsque tous les livres de la salle soient partis, puis il descendit et peu à peu fit pareil avec tous les livres qu'il put trouver. Les être vivants, il n'en avait rien à faire.
Pendant ce temps dans la dimension de poche qui servait de maison à Aetius, une grande pièce s'innondait de livres autour de la jeune femme, mais une série de cris vinrent de la seule porte. Une cohorte de huit petits êtres hideux se miret à courir en tout sens, prenant les livres pour les emmener ailleurs, sans jeter autre chose à la jeune femme qu'un regard lubrique. Mais ils avaoient bien d'autres chats à fouetter. Ils emmenaient les livres et les posait dans la bibliothèque. Il sonctinuèrent leur manère un peu moins d'une heure avant qu'Aetius n'apparaise dans les lieux, entrantpar la porte. Il avait de la dcendre sur les épaules et dans les cheveux et il toussait à cause de la poussière.
« Saloperie de fanatiques... »
Il resta un moment silencieux avant de parler, mais pas à la jeune femme qui était là, plutôt à lui même… mais si elle était là, c'était parce que sinon, elle aurait sans doute claqué sur place…
« Ils ont monté une opération coup de poing… l'académie n'est qu'un tas de ruine et je ne te parle même pas du nombre de cadavres… enfin, le savoir est sauf, c'est la seule chose qui importe même si ce sont des tissus d'inepties pour la plupart ! Enfin mieux vaut faire le tri moi-même et brûler ce qui est à brûler... »
Il s'adressa enfin vraiment à la jeune femme.
« Tout va bien, rien de cassé ? »