Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lisbeth

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Le quartier de la Toussaint / Re : Sacrilège... (PV Père Carmody)
« le: mardi 09 novembre 2010, 10:45:36 »
L’ecclésiastique l’avait retournée sur l’autel, s’offrant ainsi une superbe vue sur sa croupe. Il avait pris soin avant de ramasser la croix avec laquelle Lisbeth s’était masturbée. Il l’abattit à plusieurs reprises sur ses fesses pour le plus grand plaisir de la jeune femme qui se cambrait au maximum pour mieux en profiter.

*Mmmmmmm… je veux bien me repentir ainsi de mes péchés tous les jours.*

La douleur accroissait son excitation. Lisbeth sentait son sexe couler entre ses cuisses de plus en plus. John la saisit par les cheveux puis la força à s’agenouiller devant son sexe dressé.

*Allez, maintenant masturbes toi, montres moi, jusqu'à quel point tu peux être chienne !*


Lisbeth ne se fit pas prier. Ses doigts prirent possession de son vagin et elle commença à faire des va et vient à une allure soutenue. Pendant ce temps, le prêtre se masturbait. Il finit par éjaculer sur son visage et sa poitrine. Le regard de la jeune femme restait figé sur le prêtre. A sa demande, elle nettoya son sexe avec sa langue n’oubliant aucune surface de peau. Lisbeth se délectait de la semence du John, n’en perdant pas une goutte.

*Mmmmmmm… j’aime les hommes tels que vous, directifs et parfois violents.*

Les doigts de Lisbeth allaient et venaient toujours dans son vagin qui était dilaté à son maximum. La jeune femme gémissait sans retenue. S’appuyant en arrière à l’aide de sa main libre, elle accentua ses mouvements tout en offrant au révérend une vue imprenable sur son sexe. Elle se défonçait littéralement maintenant. Ses hanches venaient au devant de sa main. Submergée par le plaisir, Lisbeth ne raisonnait plus. Elle finit par jouir sous l’effet de ses propres caresses, laissant échapper un long flot de cyprine de son vagin. Reprenant doucement ses esprits, elle se releva puis s’approche du prêtre.

*Punissez-moi mon Père*


Provoquer était naturel chez Lisbeth. Elle avait besoin que cet homme la prenne avec violence, use et abuse d’elle sans se soucier du reste. Franz avait révélé cette facette de sa personnalité pour le plus grand plaisir de la jeune femme. Lisbeth vint se coller contre l’homme d’église, ondulant son corps comme une chienne en chaleur.

*Prenez moi comme une chienne, marquez moi dans ma chair, je suis votre pour la nuit.*


Lisbeth était réellement en maque de sexe. Elle se comportait comme une pute mais elle s’en moquait.

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Le parc et son sous-bois / Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]
« le: mardi 19 octobre 2010, 14:29:15 »
Mach semblait surpris de sa demande. Malgré tout, il commença doucement à lui imposer un rythme en la dirigeant avec sa main posée sur sa tête. Tout en douceur, le soldat s’imposait à sa partenaire. Lisbeth était aux anges. Heureuse de pouvoir enfin appartenir à un homme. Lisbeth suçait le sexe dressé avec gourmandise et avidité. Son corps entier réagissait et elle sentait son sexe commencer à couler légèrement entre ses jambes.  Les soupirs de son amant la comblaient. A son grand regret, Mach la fit se redresser pour venir à sa hauteur. Ses lèvres prirent possession des siennes dans une douceur infinie. Lisbeth ne pouvait retenir ses gémissements. Mach l’enlaça avant de l’entraîner contre lui et de se caler contre le dos du canapé. A cheval sur ses jambes, elle sentait sa verge frôler son intimité par moment.

*Il serait injuste que je sois le seul à recevoir du plaisir tu ne trouves pas ?

Pour la première fois, Mach la tutoyait. Il commença à la caresser sur l’ensemble de son corps. La jeune femme frémissait au contact des doigts de son amant. Il reprit possession de sa bouche, de façon plus impérieuse cette fois-ci. Lisbeth se laissait faire, s’offrant sans réticence aux envies du soldat.

*Je suis votre Mach… Votre plaisir suffit au mien…

La jeune femme avait murmuré ces quelques mots, ne voulant en aucun cas décevoir Mach. Elle commença à onduler lentement contre le corps de son partenaire, frottant doucement son vagin contre son gland. Comme une invitation muette à son amant, celle de la délivrer enfin de l’emprise de son passé. Lisbeth n’osait pas prendre le contrôle de la situation. Elle mourrait d’envie de sentir Mach en elle. Son corps entier le réclamait mais elle attendait sagement que ce dernier se décide.

*Je veux vous appartenir…

Lisbeth rougit en prononçant ces mots. Tout en parlant, elle avait relevé sa robe, découvrant ainsi ses fesses et son sexe annelé. Elle voulait que Mach la touche, qu’il la possède. Pour une raison qui lui échappait, la jeune femme avait une confiance aveugle en son partenaire. Depuis qu’elle s’était enfuie, elle n’avait eu de cesse de revendiquer sa liberté et voilà que maintenant, elle ne souhaitait qu’une chose : appartenir à cet homme. Troublée, Lisbeth plongea son regard dans celui de Mach. Le soldat pouvait y lire le désarroi, mais aussi cette envie qui dévorait la jeune femme.

Lentement, Lisbeth se releva puis elle appuya sur un bouton, sur le côté de la table, et la musique emplit l’espace clos dans lequel ils se trouvaient. Ondulant au rythme de la musique, les yeux mi-clos, la jeune femme se débarrassa de sa robe en gestes lents, la faisant glisser jusqu’au sol. Son corps nu offert au regard de Mach, elle continua à danser pour le seul plaisir du soldat. Puis elle monta sur la table basse. Lucia lui avait appris comment exciter un homme en dansant mais c’était la première fois que Lisbeth le faisait. Ses mains parcouraient son corps, caressant par alternance ses seins et sa vulve qui maintenant était complètement trempée, tout comme le haut de ses cuisses.

Lisbeth finit par venir se remettre à genoux entre les jambes de Mach. Sa bouche ne tarda pas à s’emparer de son sexe. L’avalant avec une gourmandise non dissimulée, la jeune femme enroulait sa langue autour de la hampe et agaçait le gland. Elle allait et venait dessus, l’engloutissant entièrement, le bout venant heurter le fond de sa gorge. Lisbeth ne cherchait même plus à cacher son plaisir, gémissant sans retenue. Abandonnant à regret le sexe du soldat, elle leva la tête en sa direction.

*Comment dois-je vous appeler ?

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Le quartier de la Toussaint / Re : Sacrilège... (PV Père Carmody)
« le: mardi 19 octobre 2010, 11:00:49 »
L’homme d’église, puisque c’est ainsi qu’il se présentait, s’approcha de Lisbeth et s’empara de ses seins. Lèvres entrouvertes, la jeune femme gémissait doucement. Elle faisait aller ses doigts dans son vagin trempé. La bouche de son partenaire ne tarda pas à les remplacer, pour le plus grand plaisir de Lisbeth. Ecartant encore plus les jambes, elle sentait la langue glisser sur son clitoris. Elle ne souhaitait plus qu’une chose, qu’il la prenne et vite !Le révérend finit par venir se positionner entre ses cuisses, son gland caressant l’entrée de son vagin. Lisbeth sentait ses parois intimes s’ouvrir au passage de la verge, forçant l’entrée tellement elle était étroite. Puis l’homme lui agrippa les hanches et commença à aller et venir en elle.

*C'est ça que vous vouliez mademoiselle la Comtesse ?

Lisbeth le fixa en souriant, accompagnant le moindre de ses mouvements avec son bassin. Dieu qu’elle aimait être prise ainsi, par un inconnu.

*Mmmmm… Je ne connais rien de meilleur qu’être prise comme une chienne par un inconnu… Surtout quand il est aussi bien monté que vous John.

Fidèle à elle-même, la jeune femme restait provocatrice. Elle voulait que l’homme prenne les choses en main, qu’il en fasse un jouet sexuel. Enserrant ses jambes autour de la taille de son partenaire, la jeune femme s’empalait d’elle-même sur la verge qui maintenant n’avait plus aucun problème pour rentrer en elle. Dans le même temps, Lisbeth caressait ses seins, comme une invitation pour l’homme à en prendre possession.

*Puisque vous êtes le gardien de ces lieux, vous devez punir les infidèles…

Lisbeth se dégagea de l’étreinte du révérend avant de venir se mettre face à lui, les mains derrière le dos, sourire amusée au lèvres.

*Et aux demoiselles comme moi, vous leur faites quoi pour les punir ?

Intérieurement, la jeune femme jubilait. Elle aimait se sentir garce, sachant pertinemment que certains hommes peuvent devenir violents face à un tel comportement. Tranquillement, elle attendait la réponse de l’homme de foi.


--]HRP : dsl pour le retard[--

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Lisbeth resta sans voix quelques instants. La créature parlait ! Mais curieusement, elle ne l’attaquait pas, restant à genoux devant elle. Position qui offrait à Lisbeth une vue imprenable sur la volumineuse poitrine de l’inconnue. La jeune femme remarqua aussi la corne que la furry portait sur le front. A première vue, elle ne semblait pas faire partie de son anatomie. Lisbeth en déduisit qu’il s’agissait plus d’une décoration qu’autre chose.

*Je me moque pas mal que tu en aies envie ou pas ! Et puis, regarde-toi, tu comptes aller où comme ça ?

Détestant être contrariée, Lisbeth fixait la chienne avec fureur. Puis, avisant qu’elle avait toujours le collier et la laisse en main, elle envoya un léger coup sur le museau de la créature. Profitant du fait que la furry baissait la tête, elle lui passa en vitesse le collier étrangleur et tira sur la chaîne. La chienne pouvait bien se débattre maintenant, chaque mouvement lui enfoncerait les pics en acier dans le cou.

*Ne bouge pas sinon tu auras mal !

S’approchant tout en gardant la chaîne tendue, Lisbeth passa une main sur le dos de son nouvel animal de compagnie. Un peu intriguée par la poitrine de la chienne, elle la caressa à travers le tissu avant de la découvrir complètement. La jeune femme n’en avait jamais vu d’aussi imposante. Elle-même étant pourtant bien fournie par Dame Nature de ce côté-là. Sans même se soucier de ce que pouvait ressentir Kannan, elle continuait à examiner son corps tranquillement. Sa main libre emprisonna les globes de chair l’un après l’autre, les malaxant et les soupesant, avant de venir s’intéresser aux mamelons. Postée derrière la chienne, Lisbeth ne risquait pas grand chose. Cette dernière ne bougeait pas d’ailleurs, comme si elle avait compris que le collier pouvait la blesser profondément. Lisbeth se laissa prendre au jeu et commença à pincer doucement les mamelons avant de tirer dessus légèrement. Puis elle les abandonna pour se concentrer sur la croupe de sa prisonnière. La jeune femme fit remonter le bas de la robe jusqu’à découvrir les fesses de Kannan. Passant une main entre les jambes de la furry, elle eut la surprise de découvrir un vagin identique au toucher à celui d’une femme. Elle remonta doucement sa main entre les fesses et effleura de ce fait l’entrée de l’anus. Lisbeth continua ensuite tranquillement son inspection. Il lui fallut une vingtaine de minutes pour faire le tour du corps de Kannan.

*Tu as un corps que bien des hommes doivent trouver appétissant.

Il ne s’agissait là que d’une simple constatation de la part de Lisbeth. Elle-même était profondément troublée par la créature qu’elle tenait en laisse et qui, pour l’heure, demeurait immobile. La jeune femme détendit un peu la chaîne qu’elle tenait, assez pour permettre à Kannan de se mettre à quatre pattes mais trop peu pour lui permettre de se mouvoir selon ses envies. Elle devait absolument réussir à la ramener chez elle. Sur zone, il  avait un chenil qui ferait parfaitement l’affaire le temps que la chienne accepte de lui servir de chien de garde, voir plus si affinités. Sortant son téléphone, elle appela une société de transport. Peu importe la marchandise, du moment qu’il était payé, le patron acceptait n’importe quelle marchandise sans poser de question. Elles n’eurent pas longtemps à patienter d’ailleurs. Forçant Kannan à monter dans l’arrière du véhicule, Lisbeth l’attacha en tendant la chaîne au maximum, coupant toute possibilité de fuite à la furry. Le trajet dura quelques minutes. Arrivées au pied de son nouveau domicile, la jeune femme entraîna la furry à sa suite, bien obligée de suivre si elle ne souhaitait se faire étrangler. Une fois à l’intérieur de son appartement, au dernier étage de l’immeuble, Lisbeth se dirigea vers la terrasse puis fit entrer Kannan dans le chenil avant de le verrouiller et de libérer la furry de son collier en se servant de l’espace prévu pour le passage des gamelles.


*Voici ta nouvelle maison. Si tu m’obéis, je ne te ferai aucun mal. Sinon…


Lisbeth n’acheva pas sa phrase mais se contenta de montrer le collier qu’elle tenait toujours en main.

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Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: mercredi 13 octobre 2010, 14:14:34 »
Franz lui ordonna de s’approcher. Lisbeth s’exécuta. Il attrapa ses fesses fermement et posa sa bouche sur sa vulve trempée. La jeune femme sentait la langue la fouiller sans ménagement, ce qui entraîna assez vite des gémissements de sa part. Elle écarta les jambes pour faciliter l’accès à Franz. Ce dernier finit par la relâcher. Lisbeth gémit de frustration. Puis Franz sortit quelque chose de l’une de ses poches : un string muni d’un vibromasseur. Il la força à l’enfiler, ce que la jeune femme fit de bonne grâce d’ailleurs. Avant d’actionner une télécommande ! Le gode commença à vibrer en elle immédiatement. Lisbeth hoqueta de surprise. Elle ne bougea même pas quand Franz se leva, lui claquant les fesses au passage, pour aller chercher un tablier de cuisine qu’il lui fit mettre. Que lui réservait-il encore ? A la fois anxieuse et impatient, la jeune femme gardait le silence.

Franz la laissa seule quelques instants avant de revenir avec son jeune voisin. Il était difficile pour Lisbeth d’ignorer l’effet qu’elle faisait à l’adolescent qui venait de s’asseoir : sa verge commençait déjà à gonfler dans son pantalon. L’ordre de Franz la sidéra. Ce dernier choisit ce moment pour augmenter les vibrations du gode planté dans son vagin. Lisbeth se mordait les lèvres. Elle ne pouvait décemment pas sucer ce gamin !

*Je ne peux pas…

Pour toute réponse, Franz la regardait en souriant. Le plaisir commençait à se faire de plus en plus impérieux et la jeune femme sentait sa vulve dégouliner le long de ses cuisses. Après un dernier regard suppliant à Franz, elle s’approcha du garçon et se mit à genoux devant lui. Son voisin la regardait sans comprendre. Lisbeth libéra son sexe avant de se pencher en avant et de le prendre en bouche. Plus fin, et surtout plus petit que celui de Franz, elle n’eut aucun mal à l’avaler en entier. D’abord surpris, son jeune voisin se laissa faire, trouvant la situation à son goût visiblement.

*Putain, c’est trop bon ! Dire que mon père pense que tu es coincée !


Laissant son enthousiasme prendre le dessus, l’adolescent commençait à s’enhardir, lui attrapant les cheveux pour l’obliger à le sucer. Encore un qui voyait des films pornos en cachette. Pendant ce temps, la langue de Lisbeth allait sur la hampe dressée à une allure endiablée. Elle ne voulait plus qu’une chose : avoir le sperme de son partenaire en bouche. Ses réticences l’avaient abandonnée au fur et à mesure du plaisir engendré par les vibrations du gode. En bonne chienne, elle ne cherchait plus qu’à satisfaire Franz pour qu’il la prenne et la fasse de nouveau jouir. Elle releva la tête quelques instants pour regarder son bourreau. Ses yeux le suppliaient de venir la prendre. L’intérieur de ses cuisses était trempé. Le regard de Franz était chargé de perversité.

*T’arrête pas ! T’es trop bonne ! Continue !

Se rappelant au bon plaisir de Lisbeth, son voisin la regardait, un brin furieux qu’elle ait cessé sa fellation. Résignée, la jeune femme engloutit de nouveau la verge gonflée par le sang. L’une de ses mains se dirigea vers sa croupe. La jeune femme n’en pouvait plus. Devant l’immobilisme de Franz, elle décida de se satisfaire. Introduisant un doigt dans son anus, elle commença une série de va et vient tout en suçant l’adolescent. Les gémissements de ce dernier se faisaient d’ailleurs entendre de plus en plus. Lisbeth ne tarda pas à ajouter un deuxième doigt au premier tant son cul était ouvert. Elle se refusait à supplier Franz de venir.


--]HRP : Dsl pour le retard[--

21
Vous nous quittez déjà ? / Cramage de PC
« le: jeudi 07 octobre 2010, 11:29:18 »
Désolée pour tous ceux et celles avec qui je suis en RP, mon PC a abdiqué et j'ai du en acheter un autre. Je reprends donc mes réponses et les poste le plus vite possible.

Cela concerne aussi Kara et Jendrhya

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Archives / Re : Par ici les Bretons !!!! (Rencontre LGJ - spécial Bretagne)
« le: vendredi 24 septembre 2010, 14:36:02 »
Partante pour l'IRL  :D

Et pour les dates, peu importe en fait, je suis à Rennes tous les jours pour mon boulot !

23
Le quartier de la Toussaint / Re : Sacrilège... (PV Père Carmody)
« le: samedi 18 septembre 2010, 21:24:36 »
Lisbeth écoutait d’une oreille distraite l’explication fournit par l’homme. N’ayant pas la moindre idée de ce que pouvait être un révérend, elle ne voyait pas à quel titre de noblesse cela pouvait correspondre. Cela dit, elle s’en moquait royalement. L’homme finit par venir se placer derrière elle. Ses mains prirent possession du corps de Lisbeth pour son plus grand plaisir. Elle continuait d’onduler doucement.  Elle lâcha la croix qui tomba au sol, le bruit résonnant dans l’église.

*Tu as la peau douce, mais je crois qu'il va falloir que je t'éduque un peu...

La jeune femme ne put s’empêcher de se demander à quoi il pouvait bien faire allusion. Elle laissa l’homme la caresser quelques instants avant de se soustraire à lui et de lui faire face.

*Et ce n’est pas un bordel ici ! Vous ne vous gêner pourtant pas il me semble…

Défiant l’ecclésiastique, Lisbeth dégrafa son kilt et le laissa glisser à terre. Entièrement nue devant l’homme, elle leva les bras au-dessus de sa tête tout en le regardant. La situation amusait beaucoup la jeune femme. Tournant le dos au révérend, Lisbeth recommença à danser doucement avant de venir se coller à l’homme. Passant sa main sur l’entrejambe de ce dernier, elle commença à caresser son sexe avant de le sortir de le branler doucement.

*Dites-moi cher ami, à quoi correspond donc votre titre de noblesse ? J’avoue que je ne l’ai jamais entendu jusqu’à ce jour… Pour ma part, je suis une comtesse. Et si ce lieu n’est pas un bordel, vu votre comportement, je suppose qu’il s’agit de votre harem privé. Cela dit, vous êtes plutôt bien membré.

La main de Lisbeth montait et descendait le long de la hampe qui durcissait au fur et à mesure. Délaissant brusquement l’homme, la jeune femme alla s’allonger sur le dos, en travers de l’autel, jambes écartées. Ainsi positionnée, le révérend avait une vue parfaite sur son sexe et ses anneaux. Ses fesses, quant à elles, étaient légèrement dans le vide. Ce qui ne dérangeait nullement Lisbeth. Sans plus se soucier de son visiteur, la jeune femme commença à faire glisser ses doigts sur sa vulve déjà humide. Ecartant ses lèvres intimes, elle agaçait son clitoris tout en douceur. La jeune femme gémissait doucement sous l’effet du plaisir qui se faisait de plus en plus présent. Qu’importe le fait qu’un homme la regarde, Lisbeth s’en moquait pas mal et sa rencontre avec Franz lui avait fait découvrir qu’elle aimait s’exhiber, ou être exhibée, ainsi. La seule personne devant laquelle elle n’osait pas le faire était l’homme qu’elle aimait et qui pour l’heure était absent pour son travail, Mach.

*Dites-moi John, je peux vous appeler John ? Vous comptez rester longtemps sans rien faire. Vous m’avez pourtant proposer de me donner du plaisir…

Pour toute invitation, Lisbeth enfonça deux doigts dans son vagin complètement trempé, les faisant entrer et sortir à un rythme régulier. Elle fixait le révérend d’un air lubrique et comptait bien remplacer ses doigts par le phallus de ce dernier.

24
Vous nous quittez déjà ? / Re : Absence par obligation
« le: samedi 18 septembre 2010, 21:22:31 »
De retour :)

25
Vous nous quittez déjà ? / Absence par obligation
« le: samedi 11 septembre 2010, 14:28:04 »
Bonjour,

Je vais devoir m'absenter quelques jours du forum pour raisons professionnelles. Je m'excuse auprès des personnes avec qui je suis en RP, je répondrai dès mon retour.

Ceci est valable aussi pour Kara et Jhendrya.

26
Le parc et son sous-bois / Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]
« le: vendredi 10 septembre 2010, 14:19:48 »
Lisbeth écoutait Mach en lui souriant. Elle vint se coller contre lui. Cet homme était décidément différent des autres. Lui demander ce qu’ils allaient faire ! Comme si le lieu où ils se trouvaient n’était pas assez explicite…

*Elle ne viendra que lorsque nous le demanderons… Vous voyez le bouton derrière nous ? Il suffit d’appuyer dessus pour qu’elle vienne. Et non, je ne venais pas ici pour m’amuser mais seulement pour vois Lucia, la serveuse que vous avez vue. En fait, c’est la patronne de ce bar et nous nous sommes rencontrées dans une boutique. Depuis, je viens parfois ici me détendre. Je sais que personne ne viendra me déranger.

Tout en parlant, Lisbeth avait posé sa main gauche sur la cuisse de Mach et la remontait doucement vers son entrejambe. Lisbeth gardait le regard baissé, ne sachant pas comment Mach allait réagir. La main de la jeune femme vint se poser sur le membre de son compagnon qu’elle commença à caresser doucement à travers le tissus.

*C’est vrai qu’il nous est arrivé de passer d’agréables moments ensemble mais vous vous doutez bien qu’avec mes barres, nous ne pouvions pas faire tout ce dont nous avions envie.

Parlant d’une voix douce, Lisbeth sentait le sexe de Mach durcir sous sa main. Au moins, ce dernier ne semblait pas indifférent. La jeune femme se laissa glisser au sol, s’installant à genoux entre les jambes de son compagnon. Elle n’osait toujours pas le regarder de peur qu’il ne lui demande de s’arrêter. Lisbeth libéra le membre de Mach avant de se mettre à le lécher sur toute la longueur. Du bout de la langue, elle agaça quelque peu le frein avant d’engloutir le sexe et de commencer de lents mouvements de va et vient. La jeune femme prenait son temps, savourant une liberté bien méritée et voulant faire plaisir à Mach. Pas un centimètre de la hampe dressée n’échappait à sa langue. Relâchant le sexe, Lisbeth s’intéressa aux testicules de son compagnon avec une certaine ardeur tout en continuant à le branler avec sa main droite. Cessant ce qu’elle faisait, Lisbeth se redressa lentement et plongea son regard dans celui de Mach. Ce dernier souriait. A genoux, les cuisses ouvertes, Lisbeth n’avait pas conscience de dévoiler son intimité aux yeux de son amant. Elle lui sourit doucement.

*Je suis votre, Mach. Je vous appartiens et vous pouvez faire de moi ce que vous voulez.

La jeune femme tremblait légèrement, pas de peur mais de désir pour l’homme qui l’avait libérée de ses entraves. Mach était aussi le premier homme qu’elle rencontrait qui n’essayait pas de coucher avec elle dans les deux minutes qui suivaient leur rencontre. Lisbeth avait l’habitude d’obtenir tout ce qu’elle voulait mais face au soldat, elle avait l’air d’une petite fille prise en faute. Son corps entier réclamait Mach.

*J’aimerais que vous soyez le premier…

A la fois honteuse et soulagée de l’avoir dit, Lisbeth se pencha de nouveau en avant pour avaler entièrement la verge tendue face à elle. Fidèle à ce que sa mère lui avait appris, la jeune femme prenait son temps, variant la pression exercée sur le sexe de Mach et la vitesse de ses mouvements. Sa main droite chercha celle de Mach et la posa sur sa tête. Lisbeth voulait que Mach la dirige, lui ordonne quoi faire.

27
Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: vendredi 10 septembre 2010, 10:22:25 »
Les deux hommes la prenaient brutalement. Réduite au silence, Lisbeth ne cherchait même plus à résister tant le plaisir qu’elle ressentait la submergeait. Complètement dilatée sous les coups de boutoir de ses deux tortionnaires, elle gémissait sans relâche. Le chauffeur finit par jouir dans son cul qu’il n’avait pas cessé de martyriser tout en se servant d’elle. Ses fesses la brûlaient suite à tous les coups reçus. Franz n’était pas en reste, accentuant la douleur qu’elle ressentait au niveau des seins à cause de l’attirail que l’autre pervers avait posé. Franz finit par jouir à nouveau. Il la posa au sol pendant que le chauffeur retournait dans son véhicule. Prenant le temps de se rhabiller, Franz la débarrassa ensuite de ses entraves. Lisbeth lâcha un cri de douleur quand ses mamelons furent libérés. Franz l’installa dans le taxi avant de rentre au chauffeur ce qui lui appartenait. La jeune femme ne bougeait plus. La seule chose dont elle avait envie était de rentrer chez elle pour se laver. Elle ne se reconnaissait pas et avait honte de se comporter comme une chienne en manque de mâle. Tête baissée, elle attendait.

*Bon je pense que vous avez été largement payé pour finir votre course. Alors en route.

Obéissant à l’injonction de Franz, le chauffeur remit la voiture en marche. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent au pied de son immeuble. Lisbeth voulut remettre la veste pour sortir mais Franz s’y opposa.

*Je… Je ne peux tout de même pas sortir ainsi…

Pour toute réponse, Franz la sortit de force de la voiture et ils prirent ensemble les escaliers menant chez elle. Priant pour ne rencontrer personne, Lisbeth se laissait faire. Manque de chance pour elle, ils croisèrent l’un de ses voisins. Humiliée, Lisbeth se hâta vers son appartement qu’elle ouvrit avant de s’y engouffrer, suivie de près par Franz. La jeune femme prit la direction de sa salle de bains.

*J’ai besoin d’une douche…

Sans donner le temps à son compagnon de réagir, elle partit sous la douche. L’eau chaude lui faisait du bien. Une glace se trouvait à l’intérieur de la douche, Lisbeth aimant regarder son corps pendant des heures. L’image qui li était renvoyée l’effraya. Son corps était couvert de marques diverses, sans compter le supplice subit par ses seins. Lisbeth avait bien du mal à se reconnaître. Attrapant une fleur de douche, elle se lava vigoureusement, cherchant à faire partir l’odeur du vieux qu’elle sentait sur elle. Occupée, elle en avait totalement oublié la présence de Franz. Réalisant ce qu’elle venait de subit, elle se laissa doucement glisser sur le sol carrelé et resta ainsi sans bouger. Cet homme lui faisait subir des horreurs et Lisbeth devait admettre qu’elle aimait être traitée ainsi. Entendant du bruit, elle se rappela brusquement qu’elle n’était pas seule. Elle sortit alors de la douche puis s’essuya avant de retourner dans le salon. N’ayant pas du tout envie que Franz lui détruise une autre tenue, Lisbeth resta nue. L’homme s’était installé dans l’un des deux fauteuils. La jeune femme resta debout, dans l’encadrement de la porte. Elle pouvait voir les yeux sombres de Franz la détailler entièrement. Cette inspection visuelle raviva son plaisir et sa vulve s’humidifia de nouveau et de façon suffisamment visible pour que Franz puisse le voir. Lisbeth rougit de honte. Elle ne comprenait pas pourquoi elle se sentait chienne en présence de cet homme. Elle avait envie qu’il la prenne, qu’il se serve de son corps comme bon lui semblait, mais elle était incapable de dire une telle chose. Lisbeth évitait de croiser le regard de Franz. Elle ne voulait qu’il puisse lire ce qu’elle pensait. Elle décida donc de faire quelque chose pour couper court à la situation.

*Vous désirez quelque chose ? Je peux vous offrir un verre d’alcool…

Sa voix tremblait tellement qu’elle ne pouvait rien dire de plus. Elle se contenta d’attendre la réponse de Franz.

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Les alentours de la ville / Re : Une rencontre étonnante... (PV Usolia Naviento)
« le: mercredi 08 septembre 2010, 10:14:23 »
Usolia semblait calmée. Blottie contre Lisbeth, elle buvait son lait. Si bien qu’elle vida rapidement son biberon. Lisbeth réfléchissait à l’endroit où elle allait trouver de quoi satisfaire les besoins de la jeune terranide quand cette dernière s’empara d’un de ses mamelons et se mit à téter. Surprise, Lisbeth fixait Usolia.

*Quelque chose me dit que ta mère te nourrit encore au sein.

Une simple constatation en fait. La jeune femme trouvait cela attendrissant. Elle prit sa jeune invitée dans ses bras pour que cette dernière soit plus à l’aise. Usolia ne lâchait plus son sein. Elle tétait goulûment. Sous la pression exercée, Lisbeth sentait son mamelon durcir de plaisir. Elle commença à caresser doucement le corps d’Usolia. Ses doigts glissaient sur la fourrure et cette sensation troublait la jeune femme. Elle explorait le corps de la jeune furry lentement. Cette dernière était d’ailleurs toujours cramponnée à son sein. Lisbeth ressentait de plus en plus de plaisir sous cette caresse buccale improvisée et ne put retenir un gémissement.

*Mmmm… Doucement ma belle…

Prenant la jeune furry par le menton, Lisbeth l’obligea à relever la tête et à lâcher son sein. Puis elle sortit de la baignoire avant de s’enrouler dans une serviette et d’attraper Usolia pour faire de même.

*Viens avec moi.

Lisbeth entraîna son invitée à sa suite à travers l’appartement en direction de sa chambre. Au centre de la pièce se dressait un lit à baldaquins immense. La jeune femme prit Usolia dans ses bras pour la poser dessus puis elle la rejoignit après avoir laissé sa serviette glisser à terre. Une fois allongée, Lisbeth attira la jeune terranide contre elle, replaçant son visage à hauteur de sa poitrine. Usolia ne se fit pas prier pour recommencer à téter. Lisbeth souriait. Elle recommença à caresser la jeune furry doucement. Elle glissa sa main droite entre les jambes d’Usolia et la remonta, forçant ainsi sa compagne du moment à les ouvrir. Ses doigts vinrent effleurer la vulve. Elle en dessina le contour avant de faire glisser un doigt entre les lèvres. Usolia se laissait faire, comme si cela était normal à ses yeux. Elle s’occupa ainsi de la jeune furry avant de faire entrer son doigt juste à l’entrée de son vagin.

*Dis-moi Usolia, tu as quel âge ?

Lisbeth sentait son propre corps réagir sous les succions de sa compagne, son sexe commençant à s’humidifier de plus en plus.

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Archives / Re : Quand j'étais petit... (Reflexions d'un trentenaire blasé)
« le: mardi 07 septembre 2010, 22:10:03 »
C'est quoi la maternelle ????  Et oui, pour ma part, je ne suis allée à l'école qu'en CP, pas avant. Non pas que je suis une adepte des grasses matinées mais j'avais déjà un sérieux problème de relations avec les autres. Inutile de vous dire que ça ne s'est pas arrangé par la suite. Bonne élève par contre mais redoutable perturbatrice. J'ai du passer plus de temps à la porte que dans une salle de cours durant ma scolarité.

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Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: lundi 30 août 2010, 17:05:05 »
Lisbeth sentit Franz reprendre possession d’elle. Son membre allait et venait avec violence dans son vagin. Les gémissements de la jeune femme redoublèrent sous ce nouvel assaut. Le conducteur lui maintenait toujours la tête et maintenant, il la baisait littéralement par la bouche. Lisbeth sentit les doigts de Franz sur son anus avant que ce dernier ne les enfonce brusquement. La jeune femme se cambra sous la violence mais ne chercha pas à se dégager. Le vieux porc râlait de plus en plus et finit par éjaculer dans la bouche de Lisbeth. au même moment, Franz se retira d’elle sans pour autant cesser d’ouvrir son cul. Pour Lisbeth, il était clair qu’elle devait avaler le sperme du chauffeur si elle voulait que Franz continue. Ce qu’elle fit à contre-cœur, le goût de la semence du vieux était infect et lui donnait envie de vomir. Pourtant, Lisbeth ne voulait pas que cela s’arrête. Cette humiliation lui donnait bien plus de plaisir que d’ordinaire, même si la jeune femme peinait à l’admettre.

*Bien maintenant qu’on a payé le monsieur pour la route qu’il a fait, il faut payer la route qu’il fera pour nous ramener chez toi...

Lisbeth hoqueta de surprise en entendant les paroles de Franz. Et visiblement, le chauffeur était partant pour continuer. Histoire de la motiver, il claqua avec force les fesses de la jeune femme à plusieurs reprises. Se résignant de nouveau à obéir, Lisbeth recommença à sucer le sexe gluant du vieillard pensant que Franz la prendrait de nouveau. En fait, seuls les doigts que ce dernier avait mis dans son anus étaient actifs. Il l’ouvrait sans ménagement. Ce qui accentuait le plaisir de Lisbeth sans qu’elle ne puisse rien y faire. Le vieux porc bandait à nouveau. Et continuait à martyriser les tétons de la jeune femme. Ces derniers étaient devenus particulièrement sensibles. Franz choisit ce moment-là pour la relever et la faire se tourner face à lui. La lueur sadique que Lisbeth put voir dans ses yeux l’intrigua. Visiblement, il avait une idée en tête et elle n’était pas certaine de l’apprécier. Franz s’appuya sur le taxi avant de la soulever et de venir l’empaler sur sa verge. Ses coups de boutoir déchiraient ses entrailles pendant que ses mains écartaient ses fesses au maximum. Soudain, Franz invita le chauffeur à venir la sodomiser. La jeune femme se colla à Franz mais celui-ci la repoussa en redoublant ses mouvements. Le chauffeur se dirigea vers l’arrière de son taxi et ouvrit le coffre.

*Attends mon pote, j’ai mieux pour dresser les chiennes dans son genre… Va juste falloir que tu la tienne face à moi quelques minutes avant de poursuivre.

Le porc éclata de rire. Un rire gras et malsain. Sans doute intrigué parce ce que voulait dire le chauffeur, Franz reposa Lisbeth à terre. Il lui fit faire demi-tour et lui bloqua les poignets dans le dos. Le vieux revint avec de drôles de pièces en métal dans la main : en forme de rectangle, creuses, une vis sur l’une des barres les plus longues et un anneau sur celle opposée. Il en plaça une sur le téton gauche de Lisbeth, l’anneau en haut, et serra la vis au maximum. La jeune femme hurla de douleur et tenta de se soustraire à ce châtiment mais Franz la maintenait fermement. Le chauffeur recommença l’opération sur son mamelon gauche. Les larmes roulaient le long des joues de la jeune femme.

*Pitié… Enlevez-moi ça, j’ai trop mal.

Pour toute réponse, le vieux envoya une claque sur son sein droit. Furieuse, Lisbeth essaya de le mordre. Le chauffeur éclata de rire.

*Attends un peu, j’vais te calmer moi !

Il retourna fouiller dans son coffre et revint avec une barre de métal. Sur chaque bout était attachée une lanière de cuir. Il força la jeune femme à ouvrir la bouche pour y mettre la barre et l’attacha derrière sa tête à l’aide des lanières. Puis il sortit de la poche de son pantalons deux petites chaînes. Il en accrocha une sur chaque attache de ses seins et raccrocha les deux dans l’anneau qui était sous la barre de métal dans sa bouche. Ainsi, le seins de Lisbeth étaient tirés vers le haut sans ménagement, accentuant la douleur.

*Voilà, comme ça elle va se tenir tranquille ta chienne !

Franz retourna Lisbeth vers lui pour contempler le résultat. Avant de l’empaler de nouveau sur sa verge et de recommencer à la prendre avec force. Le vieux vint se positionner derrière elle et la sodomisa sans demander son reste. Ainsi prise, Lisbeth ne pouvait plus se dégager. Encore aurait-il fallu qu’elle le veuille. Le chauffeur attrapa les chaînes et commença à jouer avec.

*Regarde-la cette pute comme elle mouille !

Le chauffeur prenait Franz comme témoin du plaisir de Lisbeth d’être ainsi maltraitée. Et il fallait bien avouer que la cyprine dégoulinait le long de ses cuisses. D’ailleurs, les gémissements de la jeune femme se faisaient entendre de plus en plus. Les deux hommes la prenaient comme une vulgaire traînée et l’excitation de la jeune femme était à son comble

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