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Messages - Lucie Backerlord

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: dimanche 17 décembre 2017, 19:31:29 »
Je soupirais une nouvelle fois. Je pouvais tout à fait comprendre sa réaction. Si je n'étais pas dans l'armée, et si je me prenais un canon de 500 sur le front, je n'en mènerais pas large non plus. Donc je n'allais clairement pas lui en tenir rigueur. Je me demandais juste ce que j'allais bien pouvoir faire d'elle. Il était hors de question que je la laisse ici, et il était hors de question que je la foute dans une cellule sans l'avoir interrogée. Elle pouvait me donner tout un tas d'informations très précieuses, et il était totalement inadmissible que je m'en passe.

- Par une sonde, je n'entends pas t'envoyer le moindre objet technologique dans le corps. Je parle de lire tes pensées. J'espère ne pas devoir utiliser cette technique sur toi par la suite. Ta liberté dépendra de toi, ma grande. Je soupirais encore une fois. - Concernant ton petit sac de pognon, si tu agis sagement et que tu ne te fais pas remarquer jusqu'à ce qu'on décide de te relâcher, tu le récupéreras, sûrement. Tout ne dépendra encore une fois que de toi.

Sortant mon paquet de cigarettes, je m'en allumais une avant de le tendre à Alix, par politesse. Même si j'allais l'emmener avec moi, je n'allais pas non plus agir comme une connasse avec elle. Je restais polie, même dans ces situations. Faisant des ronds de fumée, je l'embarquais jusqu'à mon véhicule, garé bien plus loin histoire de ne pas attirer de soupçons. Installant mon fusil à sa place habituelle, c'est à dire à l'arrière, je gardais tout de même mon 500 sur moi, question d'habitude.

Je restais tout de même on ne peut plus honnête avec elle. Je n'avais pas pour but de lui cacher des choses ou de la braquer. Lorsque je devais dire quelque chose, je le disais.

- Toutefois, c'est vraiment ton jour de chance aujourd'hui. J'ai vu ce que tu faisais, et tu n'as pas l'air d'être comme ces salauds. Je ne dirais pas que tu auras mon soutien, mais vu que je suis très écoutée là où on va, il se peut que tu nous sois utile. Il se peut qu'on te fasse rentrer dans le rang. Tu comprendras tout ça une fois le moment venu.

J'avais une idée en tête. Bien sûr, je ne comptais la forcer à quoi que ce soit. Mais elle pouvait franchement nous être utile, si elle acceptait de coopérer. Je n'allais pas non plus tout lui passer sous prétexte qu'elle était une nana terrorisée qui ne comprenait pas ce qu'elle faisait dans la bagnole d'une autre nana, armée qui plus est. Mais je ne comptais pas non plus la traumatiser. Il y avait dans sa tête quelque chose qui m'intéressait au plus haut point, et je devais y accéder. Autant ne pas perdre tout ça.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 16 décembre 2017, 18:53:04 »
Pressant légèrement mon canon sur son front, je la regardais avec un air inquisiteur. Intérieurement, j'aurais pu ricaner, mais cela ne servirait absolument à rien. Je n'avais pas vraiment envie de passer pour une espèce de connasse, non plus. Je pouvais tout à fait la tenir à ma merci, en faire tout ce dont j'avais envie. Je pouvais très bien l'abattre sur le champ, la faire chanter, ce que je voulais. Mais je restais là, avec mon canon sur son front, baissant tout de même le chien sans presser la détente. Hors de question de lui faire sauter le caisson.

- La politesse, bordel. On évite de parler comme ça à quelqu'un pouvant retapisser les murs ici présents avec l'intérieur de ton crâne. C'est ton jour de chance, je ne vais pas te tuer. Mais tu as intérêt de coopérer gentiment si tu veux garder ton intégrité physique.

Je ne la mettais pas en garde en parlant de moi. Je la mettais en garde car elle ne savait pas de quoi mes hommes pouvaient être capables. Je pouvais très bien lui sonder l'esprit, là maintenant, mais je pouvais en faire un véritable légume si je ne faisais pas cela dans les règles de l'art. Je ne tenais vraiment pas à lui sonder l'esprit ici, et maintenant. Si je le faisais sans prendre mon temps, j'allais devoir la trimbaler jusqu'à l'hôpital le plus proche, et si cela devait arriver, je ne me voyais pas leur expliquer pourquoi elle était aussi léthargique qu'un paresseux shooté à l'héroïne coupée au kérosène.

Entendant quelqu'un bouger près de nous, je tirais dans cette direction. La déflagration fut bien plus bruyante qu'avec mon fusil. Embarquant cette personne avec moi, j'allais donc découvrir qui se cachait derrière un mur. Il s'avérait que c'était un gars lambda, qui devait sûrement bosser par ici, et qui tremblait de tout son être. Absolument pathétique. Je lui ordonnais de se tailler d'ici le plus vite possible, ce qu'il fit, sans demander son reste. Faisant craquer mon cou, je demandais que quelqu'un vienne nettoyer les lieux. Mon oreillette grésillant, on m'annonça que cela allait être fait dans les plus brefs délais.

Me retournant donc, fixant cette personne qui s'appelait Alix, je soupirais. Qu'est-ce que j'allais bien pouvoir faire d'elle...

- Tu te rends compte que j'ai eu DEUX occasions de te tuer en moins de cinq minutes? Est-ce que tu te rends seulement compte de la stupidité de tes actes? Si tu veux savoir ce que ça fait de se prendre une balle de .338 dans la tête, regarde juste son crâne, je peux te dire que frêle comme t'es, tu n'aurais absolument aucune chance de survie. Je soupirais une nouvelle fois. - Je pourrais te sonder l'esprit maintenant pour savoir tout ce que tu me caches, mais j'ai pas envie de faire de toi un légume si je prends pas mon temps. Je sais pas ce que je vais faire de toi pour le moment, mais tu vas venir avec moi. J'aviserais sur place ensuite. Pour ton intégrité physique, n'essaies pas de fuir ma grande, tu seras gentille.

Je tapotais sa tête, d'une manière telle qu'elle puisse comprendre que je disais cela pour son bien. Certaines personnes auraient pu prendre cela comme de la moquerie, mais j'avais vraiment pris un ton de voix suffisamment calme pour lui faire comprendre qu'au fond de moi, je ne lui voulais pas de mal. Je détestais tuer les gens comme ça, sans raison. Le fait même de tuer me répugnait au plus haut point. Mais lorsque je n'avais pas le choix, il fallait le faire.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: vendredi 15 décembre 2017, 21:13:55 »
Postée sur un toit, je fumais une cigarette. Je me pelais le cul depuis ce matin, mais j'avais reçu des ordres. Et je ne pouvais pas faire autrement. Faisant des ronds de fumée, je commençais à me dire que je n'aurais pas dû grimper si haut. Il faisait toujours assez froid dans cette zone. Un poste en contrebas aurait été plus chaud. Mais je n'allais pas changer de place maintenant, alors que j'étais si proche du but. Il suffisait d'une simple balle, une simple balle et je pouvais remballer et retourner me pieuter, au chaud.

Extirpant le chargeur vide, j'installais quelques balles dans ce dernier, avant de l'encastrer dans l'arme, et de tirer la coulisse afin d'engager une balle. Je n'avais plus qu'à attendre ma cible. Elle n'allait sûrement pas tarder à pointer le bout de son nez. Je n'aurais pas besoin de me poser des questions. J'avais des ordres, et je me devais de les appliquer. J'agissais exactement comme mes hommes agissaient avec moi. Même si parfois, je pouvais être très dure avec eux, je faisais toujours en sorte qu'ils se sentent bien à mes côtés.

Un pick-up gris fit finalement son apparition. J'allais pouvoir entrer en scène. Mais quand je vis qu'ils prenaient leur temps, j'allais prendre le mien également. M'allumant une nouvelle cigarette, je surveillais tout de même leurs actions avec une très grande attention. Le moindre geste de travers de leur part, et ils prenaient une balle dans la tête. Ils devaient penser que rien n'allait leur arriver, mais pour la plupart d'entre eux, la vie allait s'arrêter cette après-midi. Tirant une longue taffe, je gardais tout de même mon fusil à portée de main. Mon oreillette grésillant, je savais que j'étais seule. S'il m'arrivait quelque chose, le temps que les renforts arrivent, j'allais être en mauvaise posture.

Ils prenaient vraiment leur temps. C'était totalement aberrant. Pour la première fois, je voyais des salopards dans leur genre prendre du temps. D'habitude, ils faisaient toujours en sorte d'aller le plus vite possible pour ne pas se faire repérer. Soupirant, j'expirais ma fumée par le nez avant de prendre mon fusil et de jeter ce foutu mégot. L'œil plongé dans le viseur, je scrutais les alentours, histoire de voir s'ils avaient des complices. Rien. Parfait. La transaction terminée, je vis celui qui devait être l'acheteur jeter un sac sûrement rempli de pognon.

Il avait l'air bien sur de lui. Je me demandais quelle tête il ferait s'il savait que le centre de mon viseur était pile entre ses deux yeux. Il ferait sûrement une tête d'enterrement, comme tous les gros durs de son espèce. Ils se prenaient pour les rois du monde mais n'assumaient plus une fois un point rouge sur le front. J'étais prête à lui loger une balle dans la boîte crânienne. Mais j'allais le laisser espérer encore un peu. Le doigt sur la détente, il ne me restait plus qu'à la presser. Balayant la zone, je scrutais un instant la personne avec qui ils faisaient affaire. Visiblement, elle n'était pas dans son assiette. J'allais lui rendre un fier service en les descendant. Toutefois, j'allais ensuite m'occuper d'elle.

Pointant mon viseur sur l'acheteur, je pris une profonde inspiration avant de tirer. La balle se logea entre ses deux yeux. Foudroyé sur le coup. Expulsant la balle avec un mouvement de coulisse, j'enchaînais les balles, jusqu'à ce qu'il n'y ai plus personne qui bouge. Tirant dans des endroits divers, comme la gorge ou bien le cœur, je m'assurais qu'ils meurent sur le coup. J'avais une grenade près de moi. On ne sait jamais. J'aurais pu être contrainte à l'utiliser.

Descendant du toit avec toute la grâce qui me caractérisait tant, mon arme en bandoulière, je touchais enfin le sol. Me dirigeant vers cette personne, je dégainais mon 500 magnum. Posant le canon sur son front, je la regardais droit dans les yeux, prenant un air oscillant entre le regard d'une mère engueulant son enfant et celui désapprobateur de la loi.

- Donnes moi une bonne raison de pas te loger une bastos entre les deux yeux. Ton prénom, ton nom, et ton implication dans ce commerce à la con. Ne m'obliges pas à presser cette détente.

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Le coin du chalant / I've got you in my sights.
« le: lundi 11 décembre 2017, 18:15:50 »
Bonjour, bonsoir, konnichiwa, konbanwa.

Alors voualah. Je cherche des p'tits RP avec ma Lucie. Comme vous vous en doutez, ce n'est absolument pas Jeanne, mais alors PAS du tout. Non, c'est pas vrai.

Bref, je cherches quelques petits RP. Voici des suggestions, libre à vous d'en rajouter :)

- Un RP H. Contexte à décider ensemble.
- Vous avez toujours adoré les armes? ça tombe bien, Lucie en a quelques unes. Si vous êtes sages, peut-être qu'elle vous laissera y toucher. Ou pas.
- Le cuir est votre dada? Elle aime le cuir. Pourquoi ne pas en parler autour d'un verre? ça sert à ça l'alcool aussi, à socialiser.
- Vous êtes fan des sorcières? ça tombe bien, Lucie en est une. Alors si vous étudiez les sorcières, elle sera un parfait spécimen.
- Elle cherche des amis aussi.
- Et des cibles avec qui jouer.
- Ouverte à toute autre proposition.

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Prélude / Re : Je suis une sa... euh une sorcière - Lucie
« le: dimanche 10 décembre 2017, 19:43:05 »
Je vous dirait plutôt rebonjour :D

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Prélude / Je suis une sa... euh une sorcière - Lucie [Valicidée !]
« le: dimanche 10 décembre 2017, 18:46:08 »
Identité : Lucie Backerlord
Âge : Physiquement 30 ans, mais 300 ans réels
Sexe : Futanari
Race : Sorcière
Sexualité : Pansexuelle
Métier : Tireuse d'élite dans l'armée, commandant

Physique :
Physiquement parlant, Lucie est grande. Très grande. Sans talons, elle mesure la bagatelle d'un mètre soixante-quinze. Avec talons, elle fera un mètre quatre-vingt dix. Elle est extrêmement complexée par sa taille, portant uniquement des talons aiguilles pour paraître encore plus grande, estimant qu'elle n'était tout simplement pas assez grande. Elle est très pâle de peau, ce qui est amplifié par la couleur blanche de ses cheveux, sa couleur naturelle. Ses yeux sont d'un bleu très pâle, donnant l'impression qu'elle est atteinte de cécité. Mais ce n'est qu'une illusion. Par moments, elle portera des lentilles de contact au bleu plus prononcé, ne supportant pas la couleur naturelle de ses yeux. Son dos est recouvert d'un grand tatouage, représentant un aigle royal entouré de son prénom écrit en Enochien, langue qu'elle parle depuis sa naissance. Elle a également un tatouage très discret sur la nuque, représentant une fleur de lys, sa fleur préférée. Lucie tentera de ne jamais montrer la cicatrice sur son bras droit, causée par une balle à fragmentation. Physiquement parlant, en étant habillée, elle a tout d'une femme. Ce serait sans compter sa particularité physique, vu que cette dernière est une futanari. Elle l'assume entièrement, même si se balader entièrement nue est contraire à sa vision des choses. Lorsqu'on lui demande son sexe, elle le stipule toujours et n'accepte en aucun cas les critiques. Dans le civil, elle est toujours habillée de cuir, souvent de couleur rouge, et ne quitte que très rarement son uniforme. En portant son uniforme, elle gardera toujours le plus près d'elle son fusil, un Arctic Warfare Super Magnum chambré en .338 Lapua Magnum. Elle a également un couteau de combat ainsi qu'un 500 magnum Taurus.

Caractère :
Lucie a un caractère très posé. On la connaît pour être très calme et patiente. Dans son métier, elle agit comme une sorte de seconde mère envers ceux qui sont à ses ordres. Elle se doit d'avoir une grande patience et beaucoup de sang-froid. Elle ne s'énerve pratiquement jamais, et a un grand sens de la diplomatie. Toutefois, si on la pousse à bout ou que l'on s'attaque à une personne qui lui est extrêmement chère, elle tentera d'abord de désamorcer la situation avant de s'énerver. Et si elle s'énerve, elle devient totalement incontrôlable. Elle est plus que possessive, et protégera toujours ceux qu'elle aime, quitte à mettre sa vie en jeu pour eux. Dans l'exercice de son métier, elle essaiera toujours de prendre la meilleure décision le plus rapidement possible. Si elle doit abattre quelqu'un, c'est qu'elle n'aura pas trouvé une solution plus adéquate, et adoptera une manière d'agir froide et précise. Toutefois, elle sait mettre de côté sa vie professionnelle, et dans sa vie publique, elle est on ne peut plus gentille, attentionnée, attentive, voire même possessive. On ne lui connait qu'une peur, celle de l'orage. Elle en a peur depuis sa plus tendre enfance. Elle déteste sortir dehors par temps d'orage, mais ne choisit pas ses missions. Elle déteste devoir tuer quelqu'un, mais si cela est vraiment nécessaire, elle le fera sans aucun état d'âme. Elle est motivée par le fait d'écraser la déchéance humaine et ceux qui tuent par plaisir. Elle ne se considère pas comme un assassin, mais comme une représentante de l'ordre. Au final, quand elle a une bonne opinion de quelqu'un, elle sera une personne très agréable. Mais uniquement avec ses proches ou ses collègues. Dans les autres cas, elle sera froide et méthodique.

Histoire :
Lucie est née il y a de cela 300 ans en rase campagne Japonaise. Résultat de l'union de deux sorciers de sang pur, elle était surtout le fruit d'un mariage basé sur l'amour et non pas la succession d'une obscure dynastie. Son père, un sorcier anglais était arrivé au Japon il y a de cela 600 ans, et avait rencontré il y a 350 ans celle qui allait devenir son épouse, et plus tard, la mère de sa fille. Ceci dit, le sang des deux familles est pur. Étant donc le fruit d'un mariage basé sur l'amour, elle reçut une éducation très libre, pour une sorcière. Même si elle fut initiée très tôt à la magie, noire comme blanche, ses parents l'élevèrent d'une telle manière qu'elle puisse s'intégrer par la suite dans la société humaine. Elle montrera rapidement un attrait pour la magie noire, au grand dam de son père, qui était porté sur une magie plus bénéfique, même si ce dernier acceptait que son épouse soit une très grande utilisatrice de magie noire. Néanmoins, Lucie devait cacher pendant une longue partie de sa vie ses pouvoirs. Passant une enfance plus que normale pour espérer s'intégrer, elle ne pouvait utiliser ses pouvoirs que chez elle. Elle-même avait peut du regard des autres. Elle savait comment avaient été traitées les sorcières dans différents pays, et ne voulait absolument pas vivre cela. Par conséquent, elle devait cacher le plus possible ses pouvoirs. Cette période dura jusqu'à ses 20 ans. N'ayant pas vraiment eu d'amis durant son enfance, elle commença à devenir proche de certaines personnes durant ses études. Elle s'intégra dans la société humaine, faisant tout son possible pour rester la plus naturelle possible.

Elle commença par devenir couturière. Elle ne savait pas pourquoi, mais ce métier l'attirait. A tout juste 22 ans, elle se lança dans la couture. Ce métier la suivit pendant un siècle. Elle vit défiler des clients pendant 100 ans, confectionnant des milliers voire des centaines de milliers de commandes durant ce laps de temps. Les plus fidèles de ses clients commandaient jusqu'à leur mort, ou jusqu'à ce qu'elle change de métier. Au bout de 100 ans de couture, elle changea de voie. Faisant d'autres études, elle devint par la suite institutrice. Sa longévité au sein de ce poste fut la même qu'au poste de couturière, car elle enseigna pendant 100 ans. Elle se sentait chez elle au Japon, et enseigner était pour elle comme une évidence. Toutefois elle se lassa, et chercha un autre moyen de servir son pays. À 230 ans, elle paraissait toujours avoir 30 ans, physiquement. Mais que faire par la suite? Elle tenta le tout pour le tout, et suivit un cursus pour pouvoir rentrer par la suite dans l'armée. Ce n'était que la suite logique des choses pour elle. Durant des années, elle dut apprendre le maniement des armes, des éléments stratégiques, des éléments pour comprendre comment agir dans telle ou telle situation. Les tests par la suite furent bien plus difficiles pour elle. Lucie dut les passer plusieurs fois avant de les réussir. Après plusieurs années, elle put entrer dans les forces armées, avec un simple grade. Elle se spécialisa tout d'abord dans le tir rapproché avant de faire preuves de grandes capacités dans le tir à moyenne et longue distance. Sa patience, son sang-froid et son sens de la maîtrise faisaient qu'elle devenait de plus en plus précise au fil du temps.

Au fil des années, elle monta en grade, lentement. Lorsque elle avait des hommes à ses ordres, elle devenait littéralement comme une seconde mère pour eux. Elle était très patiente, attentive, voire même affective. Elle faisait tout pour eux. C'est durant une mission extérieure qu'elle découvrit qu'elle était capable de ralentir le temps. En ayant eu la peur de sa vie en voyant une grenade atterrir près de l'un de ses hommes, une grande émotion s'empara d'elle, ce qui ralentit considérablement le temps autour d'elle. Elle ne s'en rendit compte que lorsqu'elle s'aperçut qu'elle bougeait plus vite que ceux qui étaient près d'elle. Par la suite, elle l'utilisa grandement pour sauver les siens durant une opération extérieure. A 260 ans, elle passa lieutenant avant de passer commandant à seulement 285 ans. Elle n'a toujours pas changé de grade depuis, voulant monter lentement en grade. Reconnue comme très bonne tireuse d'élite depuis ses 270 ans, elle se spécialisa encore plus dans le tir à très longue distance. Travaillant d'arrache-pied à devenir l'une des meilleures tireuses d'élite au monde, elle le faisait pour ses hommes. Les protéger tout en protégeant sa nation, c'était sa destinée, maintenant elle le savait. Lucie était faite pour ça. Elle eut quelques aventures avec quelques femmes dans son corps d'unité, mais cela n'allait pas très loin. Elle veillait toujours à séparer le personnel du professionnel.

A l'aube de ses 300 ans, Lucie était l'une des meilleures tireuses d'élite au monde, une sorcière utilisant ses pouvoirs au grand jour, et étant une véritable mère poule avec ses hommes. Que lui demander de plus, si ce n'était monter en grade. Ce qu'elle comptait faire, avec la lenteur qui la caractérisait tant.

Autre :
En tant que Sorcière, Lucie est capable de ralentir le temps sur une période assez courte et dans une zone géographique extrêmement restreinte. Cela lui permet d'éviter de prendre des balles ou des coups d'armes blanches, ou de sauver ses hommes si nécessaire. Elle a la capacité de lire dans les pensées, et ne l'utilise que dans le cadre professionnel, pour obtenir le plus d'informations possibles. Elle a aussi une grande endurance sexuelle, ce qui est un grand avantage pour elle.
Sans prétention aucune, Lucie est l'une des meilleures tireuses d'élite au monde. Mais elle est très mauvaise au poubelle-basket. Elle est également trilingue Anglais-Japonais-Enochien.

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