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Messages - Karen Starr

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: samedi 07 mai 2016, 22:24:41 »
Karen avait effectivement donné à Helena l’une de ses propres culottes. Elle trouvait ça… Excitant. Sans verser dans le fétichisme grandeur nature des Japonais, qui allaient jusqu’à acheter des culottes usagées, elle trouvait ça amusant, et étrangement excitant, de porter les culottes des autres. Bien sûr, il fallait qu’elles soient propres, mais, en faisant ça, elle avait l’impression de partager leur intimité la plus profonde. C’est ce qu’elle avait donné à Helena, et, visiblement, cette dernière en était toute excitée. Ensemble, Power Girl et Huntress n’avaient plus rien de leurs avatars héroïques, elles étaient juste deux femmes voulant prendre leur pied ensemble. De fait, Karen n’avait pas envie d’être une super-héroïne. Il y en avait assez sur ce monde, et elle avait déjà suffisamment donné comme ça sur Earth-2. Ici, son unique objectif était de reconstruire sa vie, et d’être heureuse avec Helena. Elle n’intervenait que quand Helena ne pouvait pas s’empêcher d’agir, et de jouer la justicière. Elle était la fille de Bruce Wayne, après tout. Clark, lui, avait toujours eu comme principal souci de restreindre les capacités de Karen, de faire d’elle une parfaite humaine, et qu’elle ne se fasse pas remarquer. Jouer la justicière, en réalité, ne la tentait pas plus que ça. Elle n’avait jamais eu l’âme d’une super-héroïne, mais elle se voyait bien en tant que prof’ sévère, punissant une élève oisive.

Les coups de règle s’abattirent donc sur le petit cul rebondi d’Helena, fouettant ce dernier. Karen avait la main ferme, et le corps d’Helena s’aplatit contre le bureau, au fur et à mesure que son cul se faisait prendre. C’était bien moins douloureux qu’une cravache, mais pas aussi doux que des caresses. Karen avait une main posée sur la tête d’Helena, et, avec l’autre, elle la battait.

« Vilaine élève… ! Sale petite… Traînée ! Tu… Tu préfères dandiner ton petit cul devant tes camarades de classe… Que travailler… ! »

Le scénario se développait dans la tête de la Kryptonienne, qui donna un nouveau coup de règle, faisant frotter les seins d’Helena sur le bureau. Karen retint alors son coup, et glissa sa main contre les cuisses d’Helena, avant de soupirer.

« Et tu oses salir ma culotte de ta mouille… »

Une telle constatation donna lieu, non pas à un coup de règle, mais à une grosse fessée. De son autre main, elle maintint les cheveux d’Helena, puis sourit lentement, et alla mordiller son cou, frottant son nez contre le sien.

« Nous allons voir… Voir jusqu’à quel point tu comptes te racheter… »

Karen relâcha Helena, non sans lui administrer une ultime claque, et en la poussant aussi, ce qui fit qu’Helena passa par-dessus le bureau, et atterrit sur les fesses, tombant en face du tableau. Les talons de la femme claquèrent à nouveau sur le sol, et, contournant le bureau, elle se rapprocha du tableau. Sa main se saisit d’une craie blanche, et elle se retourna vers la femme.

« Allez, redresse-toi, petite catin ! »

Karen souriait lentement, et ordonna ensuite à la femme d’ouvrir la bouche… Puis elle glissa la grosse craie sur ses lèvres, lui ordonnant de la tenir par les dents.

« Voilà… Maintenant, on va voir jusqu’à quel point tu sais user de ta bouche, ma chérie… Tu vas écrire au tableau les mots suivants : ‘‘JE. SUIS. UNE. PUTE.’’ »

Pour faire cela, Helena allait devoir bien se pencher vers l’avant, ce qui aurait pour effet de redresser ses fesses, permettant ainsi à Karen de pouvoir plus facilement… La fesser de nouveau !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: dimanche 01 mai 2016, 12:14:03 »
Maintenant qu’Helena et Karen s’étaient avoués leur amour réciproque, il était temps de passer à des festivités plus sérieuses. Karen lui avait fait joyeusement l’amour, et, fort heureusement, Huntress n’en avait pas encore fini. Au contraire, Helena voulait maintenant faire vivre son fantasme, et se mit en position, parlant alors d’une voix larmoyante. Karen ne put que sourire, reconnaissait bien là ce que ses parents disaient sur la mère d’Helena, une grande actrice... Visiblement, Helena avait hérité de ce talent, et la femme sourit en la voyant.

« Oh, Helena... »

Karen caressa son visage, et l’embrassa sur les lèvres.

« Tu joues très bien, mais, si tu veux que nous jouions à ça... Il faut des costumes appropriés ! »

Power Girl lui sourit encore, et s’empressa de lui mettre un bandeau autour des yeux, afin de conserver la surprise intacte. Se mordillant les lèvres, elle se déplaça ensuite, usant de sa super-vitesse, ce qui fit qu’elle revint très rapidement, dans une nouvelle tenue. Elle entreprit alors de déshabiller Helena intégralement, puis la rhabilla, sans que cette dernière ne puisse voir.

« Laisse-toi faire, ma chérie, je vais t’habiller bien comme il faut... »

Une fois les deux femmes prêtes, Karen attrapa Helena dans ses bras, et se déplaça dans une autre pièce de sa villa, la pièce se rapprochant le plus d’une salle de cours : une salle de réunion, avec, au fond, un grand tableau vert. Elle se déplaça à nouveau, récupérant un bureau en bois, qu’elle souleva à bout de bras sans problème, pour le poser à côté du tableau, puis se pinça les lèvres.

*Maintenant, tout est prêt...*

De la main, elle fit sauter le bandeau de sa belle amante.

Karen portait un costume sombre, à la fois élégant et beau, tandis qu’Helena, elle, avait une tenue d’écolière, avec de longs collants blancs, une minijupe rouge, et un très court corset blanc, ses bras retenus à l’arrière par de longs gants en cuir attachés avec des sangles, et reliés à un collier autour de son cou. Souriant malicieusement, Karen l’observait, bras croisés, se félicitant intérieurement du superbe tableau que les deux femmes représentaient.

Quelques secondes passèrent, avant que Karen, ayant des talons aiguilles, ne les claque sur le sol en s’avançant vers son « élève », tenant à la main une règle.

« Alors, comme ça, petite Helena, lâcha-t-elle alors sur un ton autoritaire, tu n’as pas fait tes devoirs ? Tu crois que l’éducation scolaire est un sujet qui doit être pris à la légère ? Que tu peux le traiter avec frivolité ? »

Le ton était autoritaire, certes, mais non moins empreint d’une certaine forme de sensualité. Elle releva la femme, et frappa alors ses fesses avec sa règle.

« Oui, tu mérites une bonne grosse fessée, petite traînée ! »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: mercredi 27 avril 2016, 12:56:43 »
Karen était une amante endurante, exceptionnelle. Difficile de l’épuiser, tant elle débordait d’énergie, de force, et de vitalité. Même si elle se retenait, et même si elle pensait agir comme une simple humaine le ferait, ses coups de reins étaient particulièrement intenses, chaque mouvement soulevant et entraînant avec elle le corps d’Helena. En un sens, c’était assez courageux de se mettre sous Karen, qui, en réalité, avait plutôt l’habitude d’inverser les rôles. La Kryptonienne se voyait davantage en-dessous, une position de sécurité par rapport à ses pouvoirs… Mais là, c’était exceptionnel. Là, il s’agissait d’Helena, son amour, son amante. Comment pouvoir simplement concevoir qu’elle puisse lui faire du mal ? Les deux femmes s’aimaient, d’un amour sincère, profond, infiniment pervers, exceptionnellement délicieux, et magnifique en tout point.

Power Girl finit par jouir dans le corps de la femme, balançant d’impressionnants chapelets de foutre, en grognant et en soupirant, tout son corps se vidant contre elle, laissant Helena pantoise, épuisée. Karen aussi respirait lourdement, reprenant son souffle… Mais la fatigue n’était pas elle. Elle avait senti les mains d’Helena se crisper contre son cul. Sur ce point, elle tenait assurément de sa mère, car elle l’avait bien griffé, mais le corps de Karen n’en portait que des marques superficielles, preuve supplémentaire, s’il en fallait encore, des exceptionnels talents de Karen Starr.

Épuisée, Helena avoua alors sa fatigue, ce qui ne manqua pas de faire sourire Karen, qui resta lovée contre elle encore un petit peu, avant de s’écarter, faisant doucement craquer le lit.

« Oh, tu sais, quand je baise mes amantes comme ça, elles tombent toujours dans les pommes… Tu es la seule à être éveillée, je vois ça comme un signe ! »

Sans kryptonite, épuiser Power Girl relevait d’un travail herculéen. Ses réserves d’énergie étaient pratiquement illimitées, et chacun de ces orgasmes était comme un torrent ardent de foutre. Si Helena était une femme-fontaine, c’était tout aussi vrai pour Karen, dont les orgasmes, énergiques et abondants, traduisaient toute sa force et tout son talent. Tenir le rythme, c’était en effet, en soi, un exploit. Si Helena reprenait son souffle, Karen, elle, sentit rapidement son érection revenir. Elle en était habituée, à force. Le pire, c’était pour les hommes qui la pénétraient. Très rapidement, Karen avait dû passer aux orgies, au fait de coucher avec plusieurs hommes en même temps, car un seul homme était clairement insuffisant pour épancher sa soif, ils finissaient toujours exténués au milieu des orgasmes interminables de la Kryptonienne.

Power Girl était fidèle à sa réputation, tout simplement. Elle observait lentement le plafond, avant de finir par se retourner vers Helena, posant une main sur son menton, lui volant un baiser, tendre et profond, sensuel et langoureux. Devant le compliment d’Huntress, Karen ne put que sourire, rougissant légèrement, et frotta son nez contre celui de la femme.

« La douceur atténue et tempère ma puissance, ma chérie… »

Karen l’embrassa encore, sa verge frottant les cuisses de la femme.

« Au moins, tu es bien rétablie, maintenant… Le traitement maison Spécial Starr est efficace… Mais sache que tout ça n’est qu’un avant-goût. Car je ne suis pas que douce et puissante. »

Elle sourit à nouveau, restant blottie contre Helena.

« Toute cette puissance en moi fait que je suis très fréquemment insatisfaite de mes expériences sexuelles. Je ne dis pas ça par contre toi, amour, mais de manière générale. Alors, pour combler cette frustration, j’ai développé en moi une forte imagination… Ce que tu as vécu là, ça n’était qu’un prélude dans le monde follement et magnifiquement pervers de mon esprit, Helena. »

Un brin provocatrice, elle rajouta ensuite :

« Tu penses pouvoir assurer ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: vendredi 22 avril 2016, 12:54:49 »
Karen était une femme très endurante, difficile à épuiser, insatiable… Qu’Helena ait joui ou pas, en réalité, ne changeait pas grand-chose. Il était possible qu’elle ait joui. Avec ses super-sens, Karen pouvait sentir les battements précipités de son cœur, signe de l’excitation de la jeune femme, forte et palpable. Elle était là, cette excitation, et qu’Helena ait joui ou non, ça signifiait surtout qu’elle en avait encore envie. Honnêtement, Power Girl n’aurait pas espéré autre chose, et ce fut donc sur cette idée qu’elle s’enfonça en elle, d’un coup sec, sa queue allant se perdre dans le corps de la femme, la faisant soupirer et couiner.

« Haaaaaaaaaa… !! »

Hum, quelle sensation ! Karen avait déjà pénétré bien des femmes avant Helena, elle avait déjà butiné bien des corps, mais elle devait bien admettre que, chez cette femme, ce mélange unique et incroyable entre Batman et Catwoman, il y avait quelque chose en plus. La pénétrer était tout simplement magique, tout comme sentir ses mains venir se crisper sur ses fesses. Si Helena aimait tout ce qui touchait à la sodomie, l’inverse était vrai pour Karen, qui adorait ce genre de contact. La voilà donc qui soupirait, gémissait, tout en continuant ses coups de reins, de haut en bas.

Karen soupirait, embrassant à nouveau Helena, posant ses mains, soit sur ses épaules, soit sur le rebord du lit. Elle serra si fort ce rebord qu’elle le fêla même, provoquant plusieurs craquements, tout en continuant à soulever et à abattre son corps. Même sans user de sa force kryptonienne, c’était… Épuisant.

« Haaaa… Haaaaaa… !! »

Coucher sous Karen, c’était à ses risques et ses frais, mais Helena avait confiance en elle. Fort heureusement, Karen avait été éduquée par Clark, un Kryptonien, qui lui avait appris à vivre comme une humaine, en minimisant autant que possible sa force. Même dans le sexe, elle pouvait le faire… La plupart du temps. L’autre part du temps, le mobilier en prenait pour son grade, et, en tout cas, ça ne l’empêchait sûrement pas d’embrasser la femme à plusieurs reprises, encore, encore, et encore.

« Ouais, ouais, haaaa… Fesse-moi, petite salope, hmmm… !! »

Elle serrait les dents, et embrassa encore Helena, ralentissant le rythme en serrant ses bras tout contre elle, sa queue enfoncée le plus loin possible dans son corps. Ainsi, les deux femmes s’unissaient, concrétisant un amour lancinant, qui n’avait demandé qu’à s’affirmer pour exister.

« Ooouuiii, ouiiii, hmmm… Haaannn… Je t’aime, ma douce Helena, oh, je t’aime tellement… ! »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: dimanche 17 avril 2016, 01:06:44 »
C’est ce qu’on disait : seule la kryptonite pouvait affaiblir un Kryptonien dont le corps avait été irradié par les rayons d’une étoile jaune. Karen aurait pu faire l’amour comme ça pendant des heures. Autant dire que la belle Helena était loin d’être au bout de ses peines. Power Girl se tenait ainsi sur elle, léchant goulûment son intimité, tout en déplaçant son bassin d’avant en arrière, de haut en bas, afin de sentir les lèvres d’Helena gober ce sexe, le lécher, le mordiller... Hum, que c’était bon ! Karen déplaçait son corps, et sa langue s’enfonçait en elle, bien profondément, remuant dans sa moule. Elle soupirait de plaisir, gémissant silencieusement, sentant cette mouille qui affluait contre ses lèvres. Karen continuait à la lécher, encore et encore.

« Hmmm... ! »

Helena était belle, si belle, si agréable. Han, lui faire l’amour était tellement délicieux ! Power Girl prenait tout son temps, tout en caressant ses longues jambes, en sentant, avec plaisir, sa queue qui se perdait dans sa bouche. Elle allait parfois taper contre son cou, remuant très profondément, avant de repartir vers l’arrière, puis de s’enfoncer en avant. La Kryptonienne adorait tellement ça, les fellations... Oh, qu’il était bon de sentir sa queue disparaître ainsi dans la bouche d’une femme ! Power Girl avait toujours aimé ça, et, depuis qu’elle pouvait être hermaphrodite, elle ne se gênait pas pour le faire, autant auprès de partenaires féminins que de partenaires masculins.

Petit à petit, Karen avait réalisé qu’elle était incapable d’être une soumise. Elle avait le profil d’une dominatrice née, et adorait ainsi se faire sucer, mais pas sucer les autres. La scène parfaite, à laquelle Huntress aurait droit, ce serait celle de Karen assise sur un fauteuil, dans une pièce avec la cheminée crépitant à côté d’elle, avec Helena à quatre pattes, agenouillée entre ses jambes, à sucer sa queue. La belle s’en sortait si bien que Karen se sentait doucement approcher de l’orgasme. Elle fermait les yeux, soupirant encore, bandant ses muscles, et, dans d’ultimes coups de reins, aspergea alors la bouche d’Helena de son foutre.

« Hnnnnnnnnnnnnnnnnnn... !! »

La Kryptonienne avait joui joyeusement, puis se redressa ensuite lentement. Elle soupira de plaisir, et vit qu’Helena restait allongée sur le lit. Elle avait avalé le sperme, mais ses yeux étaient dans le vague. Cependant, et malgré la fatigue de la femme, Karen sentait les battements précipités de son cœur, des battements qui trahissaient l’excitation que la femme ressentait en ce moment. Helena n’avait pas encore joui, et Karen sourit, en se rapprochant d’elle. Elle posa ses mains sur son visage, le caressant, écartant quelques mèches de cheveux, et vint déposer un tendre baiser sur ses lèvres.

« Tu m’as demandé d’y aller doucement, mais mes coups de langue n’ont pas suffi à te faire jouir... »

Oh, Power Girl aurait sûrement pu la faire jouir ainsi, mais... Elle préférait offrir à Helena un plaisir d’un autre calibre.

« N’oublie pas que tu peux me pincer, Helena, rien de ce que tu feras ne me fera mal... »

Rien, vraiment ! Karen enfonça ainsi sa queue dans son vagin, et soupira de plaisir, poussant un cri délicieux contre ses lèvres, et commença à la prendre, à remuer d’avant en arrière avec elle.

« Hhhhhmmmmmmm... Puuutain... Hnnnnn... !! »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: mercredi 13 avril 2016, 01:42:26 »
Chassez le naturel, et il revenait vite au galop ! Les deux femmes étaient parties dans un trip’ de domination, et Karen continuait à tirer sur cette corde en jouant avec Helena. Et, hum, que c’était bon ! Ah, comme elle aimait sa belle Huntress ! Sa peau était à la fois douce, tendre, et musclée, avec des formes harmonieuses. Elle sentait ses muscles en léchant sa peau, et prenait donc tout son temps, alternant entre lèchements et baisers. Elle baisa notamment le costume d’Helena, goûtant à son latex. Ce genre de tenues, elle adorait ça énormément. Karen utilisait notamment une partie de sa fortune pour commander des tenues en latex ou en cuir auprès de tailleurs extrêmement spécialisés, ne faisant que des tenues de ce type, sur commande. Tout ça coûtait une petite fortune, mais Karen partait du principe que, quand on aime, et bien, on ne compte pas ! Karen aimait donc le latex, et c’était d’ailleurs elle qui achetait, chez ce tailleur, les multiples uniformes d’Huntress. Il fallait bien avouer qu’Helena déchirait très souvent ses combinaisons, et, fort heureusement, elles avaient toute une garde-robe. Quand on était une super-héroïne, il fallait bien avoir des tenues de rechange !

Karen embrassait maintenant le ventre, nu, d’Helena, léchant son nombril, tout en continuant à descendre, et en entendant Helena gémir. Elle sourit devant ses supplications, tout en atteignant son bassin, et entreprit de lécher sa culotte.

« Hmmm... Ça m’a l’air très humide, tout ça... »

Power Girl sourit, puis s’attaqua ensuite aux jambes, toujours avec cette lenteur calculée et minutieuse. Karen lécha donc, puis finit par se redresser, amenant son visage à hauteur de celui de Huntress. Ses doigts vinrent caresser les lèvres de la femme, et elle enfonça un doigt en elle.

« Petite cachottière... Tu voulais que nous fassions l’amour doucement, en prenant notre temps... »

Tout en jouant avec sa main, elle massa le sexe d’Helena avec l’autre. En ce moment, en réalité, Karen se régalait de tout ce qu’elle faisait à son amante. Elle finit néanmoins par passer aux choses sérieuses, et entreprit, finalement, de déshabiller Helena. Y allant un peu précipitamment, elle déchira en fait son plastron, jetant les pans de vêtement à droite et à gauche, et fit de même avec la partie basse. Elle posa ensuite ses mains sur les hanches d’Helena, et, tout en souriant, s’amusa à glisser son sexe contre son pubis, mais sans la pénétrer. Elle frotta sa queue contre ses lèvres intimes, glissant d’avant en arrière.

« On va passer à autre chose, ma chérie... »

Elle l’embrassa à nouveau sur les lèvres, et arracha les liens retenant les poignets de la femme, puis entreprit également de se déshabiller, en déchirant son justaucorps blanc. L’une des grandes spécialités de Karen, quand elle faisait l’amour, c’était qu’elle cassait un peu tout. Les lits y passaient souvent, et les vêtements presque à chaque fois. Nue, elle avait conservé ses gants, tout comme elle avait laissé à Helena ses belles bottes et ses magnifiques gants violets.

Pour retirer son justaucorps, elle s’était mise à califourchon sur le corps de la femme, et ses énormes seins jaillirent alors, de superbes obus. Karen soupira, arquant son corps vers l’avant en soupirant, puis entreprit ensuite de se déplacer. Elle choisit simplement de se mettre à quatre pattes au-dessus d’Helena, en plaçant sa tête entre les cuisses de son amante, et son sexe à hauteur de ses lèvres.

« Suce-moi, Helena... Et je te sucerai en retour, ma puce... » soupira-t-elle.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: vendredi 08 avril 2016, 01:29:04 »
Entre elles, la soumission n’était qu’un jeu de rôles. En aucun cas, Karen n’oserait se considérer comme la véritable Maîtresse de la jeune femme. Ce n’était qu’un jeu de rôle, où Power Girl s’avérait particulièrement convaincante, comme on le lui demandait. Preuve en est que ce n’était qu’un jeu, elle avait laissé le choix à Helena sur la suite des évènements : continuer dans le sexe hardcore, ou opter pour quelque chose de plus tendre, de plus soft, et ce en sachant que, même en optant pour l’approche hard, Power Girl n’aurait jamais fait de mal à Helena. Elle en était incapable, elle l’aimait. Helena, toutefois, opta pour la love room, et Karen y entra donc, refermant ensuite la porte.

Personne ne viendrait les déranger dans cette pièce sans fenêtre, une pièce où elles étaient libres d’explorer l’intégralité de leur amour mutuel. Karen guida donc Helena, et Huntress se retrouva étalée au milieu du lit, avec la riche Kryptonienne au-dessus d’elle, venant fougueusement l’embrasser… Puis Helena lui demanda alors de lui faire l’amour doucement, tendrement, pendant que la queue masculine de Karen caressait ses cuisses. Devant cette demande, Karen se mit à sourire, puis mordilla alors le cou de la femme, enfouissant ainsi son corps contre le sien.

« Hmmm… C’est une demande inattendue, ma douce Helena… »

Après avoir mordillé son cou, elle attrapa les poignets de la femme, et les plaqua contre le lit, pour l’embrasser sur le nez, puis sur les lèvres.

« Mais soit… Je vais prendre tout mon temps avec toi, mon cœur… Et tu verras combien la frustration peut être une chose terrible entre mes mains et mes lèvres. Et, pour m’assurer que tu sois bien à mes ordres… »

Le love room n’était pas son donjon, mais ce bed heart comprenait, malgré tout, quelques fonctions utiles, comme des liens, et Karen, tout en maintenant d’une main les poignets d’Helena, serrés en croix au-dessus de sa tête, alla avancer son autre main, et la glissa entre les oreillers, saisissant une sangle en cuir, et tira dessus, l’amenant vers elles, puis s’en servit pour attacher entre eux les poignets d’Helena, la maintenant ainsi prisonnière, avec les bras levés au-dessus de sa tête, et serrés entre eux.

« Voilà ! C’est exactement comme ça que je te veux, ma chérie ! »

Sourire triomphant sur les lèvres, Power Girl l’observa un peu, et remua son bassin, frottant sa queue contre le corps d’Helena. Quitte à être avec elle, autant en profiter un peu, et, pendant qu’elle faisait ça, elle se pencha ensuite à nouveau, et lécha la femme sur les lèvres, remontant sensuellement pour lécher le bout de son nez.

« Je vais lécher chaque centimètre carré de ton corps, ma puce… Puis ton costume, et je te déshabillerai ensuite, en te léchant, encore et encore, de manière à ce que chaque centimètre carré de ta délicieuse peau soit imbibée par ma salive, marquée par moi… »

Elle parlait d’une voix calme, posée, agréable et chaude, et poursuivit ensuite ses lèchements, glissant sur le visage d’Helena, léchant ses paupières, ses joues, son front, son menton, avant de descendre progressivement, sur sa nuque, son cou, et ainsi de suite…

En un sens, ce qu’Helena allait subir serait encore plus terrible que des coups de fouet !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: dimanche 03 avril 2016, 12:58:48 »
En temps normal, soulever une haltère, pour Helena, relevait de l’exercice simpliste, a fortiori sans aucun poids. Son corps parfait était bien charpenté. Elle avait hérité de la beauté et de la finesse de Selina, sa mère, mais de la musculature de Bruce. Ceci faisait d’Helena un mélange atypique, inouï, mélange de douceur et de brutalité, de féminité et, en même temps, d’une certaine forme de masculinité. Elle passait énormément de temps dans cette salle de sport quand elle venait dans la villa, et, maintenant, avec le recul, Karen se demandait si elle ne compensait pas un peu. Comment avait-elle pu être si aveugle si longtemps ? Comment avait-elle pu ne pas se rendre compte de toute l’attraction qui les reliait ? Ah, elle était belle, la super-héroïne ! Aveugle comme une pie, oui ! Le temps était venu de rattraper tout ces moments perdus, et, allongée sur la longue chaise de musculation, elle frémit en sentant Helena se poser sur elle.

Ses mains gantées se posèrent sur ses hanches, et Helena s’empala sur elle, faisant soupirer Karen. Elle entreprit ensuite de soulever son haltière, tout en sentant, en elle, la grosse queue de Power Girl. Elle remuait en elle, la labourant de l’intérieur, faisant soupirer Helena Wayne. Huntress avait visiblement du mal à se concentrer, et le spectacle de son corps dansant sur le sien, avec ses délicieuses joues rouges, était particulièrement exquis à voir. Et, malheureusement pour elle, Karen était une femme très endurante. Autant dire que sa séance d’exercice allait durer. Karen se régalait donc, soupirant lentement.

« Oui, oui, ma chérie, haaa... Ma queue s’est enfoncée dans bien des trous ces dernières années, mais je dois bien admettre que... Hmmm... De tous ces trous, il n’y a que dans le tien qu’elle se sent à la perfection ! »

Karen ne chercherait nullement à dissimuler sa perversion, car Helena le savait très bien. Elle avait toujours eu des goûts sexuels très osés, et peut-être que, en un sens, le fait qu’elles n’en aient jamais vraiment parlé ensemble venait de là. Peut-être que Karen avait eu honte d’avouer sa nymphomanie à Helena, son amie d’enfance ? Ou peut-être que sa nymphomanie était, à elle, sa manière de compenser ? Difficile d’épuiser une Kryptonienne par le sport, mais le sexe pouvait la fatiguer. Est-ce qu’elle avait compensé pendant toutes ces années ?

*En tout cas, je ne compenserais plus, maintenant... Tu es à moi, maintenant, Helena !*

Et, bien sûr, elle cacherait son secret, le fait qu’Helena, en son for intérieur, apprécie la soumission. La faire se promener dans la villa n’avait été qu’un moyen de la narguer, et de voir jusqu’à quel point elle se soumettrait à Karen. Il arrivait en effet qu’il y ait des majordomes, ou même des courtisan(e)s, mais, là, Karen savait l’endroit désert. Elle avait donc joué avec Helena, et Helena, au grand plaisir de la Kryptonienne, avait remporté le défi.

Maintenant, elles étaient là, dans la salle de sport, avec Helena qui dansait sur elle, essayant de maintenir l’haltière levée. Finalement, Helena atteignit son orgasme, et l’objet, enduit par sa sueur, glissa, et rebondit sur le ventre de Karen, qui jouit au même moment. Elle ne sentit, du coup, même pas l’haltière, qui aurait pu couper net tout élan chez une femme normalement constituée. Au lieu de ça, l’objet rebondit sur le sol, et s’étala par terre.

Helena lui demanda alors de choisir, et Karen sourit.

« Hmmm... Je me demanderais presque si tu ne l’as pas fait exprès de la faire tomber. »

Elle sourit, et l’embrassa sur le bout du nez, puis se redressa ensuite.

« On va voir... »

Karen venait de jouir, après tout, ce n’était pas un élément anodin. Elle sortit de la salle de sport, tenant Helena par la main, et elles arrivèrent dans une autre partie de la résidence, au bout d’un couloir, face à deux portes. Karen, en lui souriant, ouvrit alors les deux portes.

Celle de gauche menait sur un donjon, une pièce plongée dans la pénombre, mais on pouvait sentir l’odeur de cuir, et voir un chevalet...

Celle de droite menait sur une chambre « romantique » : une love room aux couleurs chaudes, rouges, sensuelles, avec, en son centre, un bed heart.

« Je te laisse décider si ta prestation mérite récompense... Ou punition. »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: mercredi 30 mars 2016, 02:10:50 »
Karen était en train de follement s’amuser avec Helena, leur jeu prenant un tournant sexuel de plus en plus fort, avec des conséquences et des enjeux de plus en plus lourds. Il ne s’agissait maintenant pas juste que de se faire l’amour, mais d’explorer une relation qui serait, visiblement, fortement fondée sur un fort sadomasochisme. Autant dire que ce n’était pas pour déranger Karen, qui, assise, vit, avec plaisir, la belle Helena s’avancer vers elle, marchant à quatre pattes, avec le plug qui remuait dans ses fesses. Un délicieux cadeau de la part de Power Girl, quelque chose qui ne pourrait que ravir son amante. Cette dernière se rapprocha donc, avançant à quatre pattes, jusqu’à retirer les bottes de Karen, qui se mordilla doucement les lèvres. Oh, quel spectacle ! Voir ainsi sa belle se dandiner devant elle, avant de lui lécher les pieds, c’était… Haaa… ! Terriblement excitant !

Helena lécha donc, et Karen la regardait, peinant à croire que c’était bien sa Helena qui était là. Elle avait hérité, pourtant, de toute la mentalité, dure et inébranlable, de Bruce Wayne, mais également de la perversion, forte et assumée, de Selina. Un cocktail détonant pour un résultat explosif, qui était en train de lécher tendrement les pieds de la Kryptonienne, remontant ensuite très légèrement sur ses mollets, avant de finir par s’arrêter, et par demander la suite.

En souriant, Karen remonta son pied, et caressa avec ses doigts de pied le menton d’Helena, puis remonta encore, frottant ses lèvres, puis son nez, avant de le poser sur sa tête, l’incitant à se rabaisser, l’humiliant davantage. Elle finit ainsi en position de dévote, couchée sur le sol, avec ses genoux repliés sous son bassin, le pied de Power Girl confortablement posé sur sa tête.

« Hum… Laisse-moi réfléchir, petite pute… »

Les idées se mélangeaient dans sa tête, et elle trouvait, surtout, particulièrement grisant d’insulter Helena presque à chaque phrase. C’était une règle qu’elle essayait de tenir, et, pendant qu’elle réfléchissait, en faisant le tri dans ses idées, ses orteils tapotaient la tête d’Helena, comme une manière de la narguer davantage. Elle tapotait ses lèvres avec un doigt, tout en ayant toujours son érection.

« Oh ! Ça y est, j’ai une idée ! »

Power Girl libéra alors la tête de la femme, et continua à l’humilier, en allant chercher un collier agrémenté d’une clochette, et une laisse. Elle mit le collier autour du coud e la jeune femme, puis le relia à la laisse, et tira un peu dessus.

« Allons-y, ma chienne ! Marche à quatre pattes, derrière moi ! »

Karen avait remis ses bottes, et sortit, puis s’aventura dans les couloirs de sa villa. Lorsqu’Helena se déplaçait, on entendait sa clochette carillonner, ce qui ne manquait pas de dessiner, sur les lèvres de la Kryptonienne, un fin sourire pervers. Elle s’aventura le long des couloirs de sa vaste demeure, jusqu’à approcher d’une porte, qu’elle ouvrit.

Ladite porte donnait sur une salle de sport, utilisée généralement par Helena, mais, cette fois, Karen, comptait s’amuser. La Kryptonienne, qui s’était rhabillée en sortant, défit alors ses vêtements, et finit toute nue, des pieds à la tête, avec son sexe en érection. Esquissant un sourire malicieux, elle entreprit alors de se rapprocher d’une haltère, et nargua Helena.

« Je vais m’allonger sous cette haltère, et tu vas la soulever… Tout en t’empalant sur ma queue. Si tu n’arrives pas à la soulever, tu auras un gage, je te fouetterai méchamment et je te traiterai comme la plus salope de toutes les esclaves… Et tu sais combien je peux être perverse quand je le veux ! »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: mardi 22 mars 2016, 07:42:29 »
Karen et Helena, c’était assurément un couple hors norme, magnifique. Avec sa verge tendue, Karen se dressait face à Helena, l’observant avec un sourire ravi sur les lèvres. Qu’Helena veuille incarner le rôle de la soumise ne dérangeait pas Power Girl, qui se voyait très bien dans tous les rôles. La grande perverse avait une superbe trique, ce qui n’échappa évidemment pas au regard de la belle Helena. Dire qu’il avait fallu attendre tout ce temps pour qu’elles finissent par se déclarer leurs flammes... Karen entendait bien rattraper le temps inutilement perdu ! Helena se tenait donc face à elle, s’offrant à elle sans aucune restriction.

Power Girl avait joui contre son costume, et elle devait bien admettre que le contact de sa queue sur les seins recouverts de latex d’Huntress avait été... Particulièrement jouissif. On avait vu les poings de la femme se serrer pendant tout ce traitement, Karen se mettant à gémir et à soupirer, au fur et à mesure qu’Helena, avec une expertise qui n’aurait très certainement pas déplu à Selina, continuait à la masturber.

« Haaaa... »

Et hop, dans de longs soupirs, Karen alla jouir, sa grosse queue venant larguer son sperme sur la poitrine d’Helena, éclaboussant son visage et son cou, Karen jouissant généreusement. Il était prouvé que l’hormone de croissance hermaphrodite dopait les performances sexuelles de la femme le prenant, en jouant sur ses capacités hormonales... Et c’était encore plus vrai avec une Kryptonienne. Helena avait joué sur son corps avec talent, mélangeant la cravate de notaire à une fellation, ce qui avait rendu l’orgasme de Karen... « Explosif ». En soupirant joyeusement, ses mains appuyées sur la tête d’Huntress, Power Girl s’était vidée, répandant sa semence sur son visage, puis sur le haut de son corps.

Karen avait une vélocité exceptionnelle, puisqu’elle avait tenu assez longtemps, et elle s’écarta un peu. Helena se mit alors à s’insulter, et Karen sourit encore. Il y avait des caméras dans cette pièce... Bien sûr, Karen ne ferait jamais chanter Helena, mais elle conserverait ce film, dans ses archives privées, pour elle-même, pour voir une Helena Wayne soumise... Car, et il fallait bien l’avouer, ça ne se voyait pas tous les jours.

« Humm... J’admets que tu es vraiment... Assez sale, ma petite pute. »

Karen avait toujours une belle trique, même si elle avait un peu diminué, et elle fléchit les genoux, puis ses mains sur les épaules d’Helena, et la poussa un peu, venant ainsi l’amener à se coucher sur le sol, appuyée sur ses avant-bras... Puis, plutôt que de nettoyer son visage, Karen alla lécher ses seins, et entreprit, en réalité, de nettoyer son costume. Elle lécha donc le sperme, tout en en profitant pour palper les seins de la femme, dont les tétons ressortaient un peu à travers le costume.

« Voilà... Le costume d’Huntress doit rester propre... Mais Helena Wayne, elle, reste ma petite pute... »

Pour l’heure, Karen avait bien maltraité son cul, et elle paracheva son œuvre en allant récupérer un plug, puis, la mettant à quatre pattes, elle le glissa dans ses fesses, et referma ensuite la culotte Le plkg avait une petite ficelle qui dépassait, ce qui ne manqua pas de faire sourire la Kryptonienne.

« Voilà pour préparer tes fesses, ma salope... »

Ce faisant, Power Girl se redressa, et s’assit sur un fauteuil, avant de croiser les jambes.

« Viens à quatre pattes, ma chienne, enlève mes bottes, et lèche mes pieds... »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: mardi 15 mars 2016, 00:47:49 »
Karen utilisait encore assez peu l’hormone de croissance hermaphrodite. Il s’agissait en effet d’une pilule expérimentale, qui était encore très rarement utilisée. Power Girl faisait partie des cobayes volontaires de cet engin, qu’elle avait déjà utilisé avec certaines assistantes, en les pénétrant joyeusement. Elle était donc encore peu habituée au plaisir sexuel masculin, qui était à la fois similaire et très différent du plaisir sexuel féminin. Une verge était lourde à porter, et elle s’imposait sur vous, vous dominant, s’imposant sur tout le reste, sur l’intégralité des autres sensations du corps humain. Power Girl sentait donc cette force remuer en elle, l’appelant à la violence. Fondamentalement, c’était ça la différence ; le plaisir masculin vous poussait vers l’action, alors que le plaisir féminin vous guidait vers la réaction. L’homme voulait pénétrer, agir, la femme voulait se faire prendre, subir joyeusement et avec force les élans furieux d’un amant fougueux et infatigable. Tout ça, Karen le comprenait très bien grâce à son hormone de croissance, et elle le ressentait, maintenant.

Ah, comme cette sodomie était joyeuse ! Bercée par les couinements et par les hurlements d’Helena, Karen continuait à la prendre, encore et encore, remuant nerveusement et profondément en elle, déflorant ce magnifique cul.

« Helena, haaaa... Haaaannnn... Helena !! »

Karen la giflait encore un peu, mais, en réalité, le cul d’Helena ayant déjà bien souffert, elle préférait ne pas le faire trop souffrir davantage. Elle se crispait donc contre son cul, et son membre, peu à peu, s’enfonçait progressivement en elle, jusqu’à disparaître totalement. Dans certains coups de reins prononcés, ses bourses allaient jusqu’à fouetter les fesses de la femme, et elle continua donc, sur cette lancée, faisant craquer son lit, sans jamais ménager Helena. Non, Huntress méritait une sodomie digne de ce nom.

En ce moment, Power Girl avait mal, mal au sexe, et elle respirait lourdement, tout en faisant passer sa douleur par de copieux jurons :

« Hmmmm... Haaaaa... Salope, hummmm... !! Putain, tu as un de ces culs, Helena, haaaann... J’a... J’adore... !! Sale chienne !! »

Ceci ne sortirait jamais d’ici, et l’image de The Huntress ne serait jamais affectée par les désirs profonds d’Helena Wayne. D’aucuns auraient pu s’émouvoir d’une telle hypocrisie, mais, pour Karen, il s’agissait plutôt d’une atténuation. On pouvait aimer la soumission tant qu’elle n’était pas forcée, mais, face au public, il fallait des avis simples, tranchés, manichéens. Par définition, la politique, sans être vraiment hypocrite, était surtout simpliste et manichéenne. Des études très sérieuses avaient démontré que, plus on s’adressait à un auditoire élargi, c’est-à-dire à un auditoire incluant toutes les couches sociales, et plus il fallait simplifier le discours pour qu’il soit compris. On aurait pu taxer Karen de cynisme politique, mais elle estimait juste être une analyste politique pensant clairement les choses.

Alors, par conséquent, personne ne connaîtrait le péché mignon d’Helena, si ce n’est Karen, et c’était tant mieux ainsi.

Karen continuait à la prendre, encore et encore, crispant ses doigts contre ses fesses, puis les deux femmes finirent par jouir. Power Girl, en soupirant longuement, eut un magnifique orgasme, vidant son sexe en elle, son sperme se diffusant dans son corps.

« Hoooo... Oooohhhh... !! »

Karen bascula sa tête en arrière en jouissant, encore et encore. Elle balança tout un chapelet de foutre, puis relâcha ensuite le corps de la femme. Helena s’écroula sur le lit, et Karen resta debout devant elle, la respiration précipitée. L’hormone de croissance s’adaptait très bien à la vitalité renforcée d’une Kryptonienne, et sa verge, recouverte de foutre, était donc toujours dressée.

« Tu es déjà épuisée, Helena ? la nargua Karen. Pourtant, ma chérie, nous ne faisons que commencer, et tu n’as même pas remercié ma queue en l’embrassant pour la sodomie qu’elle t’a fournie... C’est très impoli pour la petite chienne que tu es en ce moment... »

Power Girl continuait à sourire, joyeusement amusée par toute cette scène.

Tout ça ne faisait que commencer...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: dimanche 13 mars 2016, 09:09:31 »
Helena avait visiblement une passion profonde pour les fessées. Karne était surprise... Mais positivement surprise. Un fin sourire se dessinait sur ses lèvres, tandis qu’elle multipliait les coups, en entendant Helena, sur un ton empreint de plaisir et de soupir, lui dire de la fesser plus fort, accompagnant cela de jurons, en se traitant volontiers de « salope ». Comment ne pas être sous le charme ? Karen s’en mordillait les lèvres, tout en devant, néanmoins, se retenir. Le sexe, en un sens, l’avait beaucoup aidé à contrôler sa force, et à pouvoir l’adapter aux humains. Avec ses fessées, elle pouvait volontiers tuer quelqu’un. Le sexe, justement, la heurtait à sa retenue, en l’amenant à devoir maîtriser sa force dans la passion. Karen avait donc appris à gérer ça... Ou peut-être que cet argument était juste une excuse pour justifier sa forte perversion ? Karen n’en savait pas grand-chose, mais elle savait qu’ellez aimait beaucoup fesser Helena, et continua donc à le faire, jusqu’à ce qu’Helena finisse par atteindre la jouissance.

Un magnifique orgasme, que Karen sentit sur ses cuisses, qui s’humidifièrent en effet de la cyprine de The Huntress. La chasseuse d’hommes, luttant contre l’exploitation des femmes, était inconsciemment une soumise. Un paradoxe amusant, qui faisait volontiers sourire Karen, même si elle ne considérait pas que cela rendait Helena illégitime dans son action. Tant qu’elle était volontaire, la soumission était quelque chose de tout à fait louable. L’exploitation, ce n’était pas la soumission, c’était l’impossibilité de choisir. Or, là, Helena choisissait.

Karen n’y trouvait rien à redire, et elle esquissa même un sourire quand Helena lui proposa la suite. Elle se déplaça en effet, finissant à quatre pattes, avec un cul rougi, et lui demanda de la sodomiser. Power Girl ne put donc que sourire, et se redressa, sentant la mouille de son amante dégouliner le long de ses jambes.

« Mon mandrin, hum...  Tu es vraiment une belle cochonne, Helena... »

Tout en parlant, elle massait le petit cul d’Helena, et s’amusait surtout à glisser ses pouces près de sa croupe, écartant ainsi ses fesses l’une de l’autre, dévoilant l’accès à sa porte arrière, à ce petit trou qui, effectivement, devait être bien serré. Mais Helena avait bien parlé de « son » mandrin, et Karen s’écarta donc. Elle ouvrit un placard dans un coin, et en sortit une petite boîte de cachets. Des produits expérimentaux, développés par Starr Labs, la section R&D de Starr Industries, qui se trouvait presque exclusivement sur Starr Island. Karen avait développé une sorte d’hormone de croissance inspirée des recherches tekhanes sur l’hermaphrodisme. Le concept était de reproduire les cas appelés « hermaphrodisme vrai », dans lesquels un sujet était à la fois doté d’un pénis et d’un vagin. Un phénomène naturel rarissime, sur lequel les Tekhanes avaient mené énormément de recherches. Karen avait mené ses recherches, et avait développé cette hormone.

Elle était fonctionnelle, mais, pour l’heure, elle ne l’avait pas encore énormément commercialisé, la réservant à une clientèle de luxe. C’était ce qu’elle appelait une « hormone d’hermaphrodisme ». Elle l’ouvrit donc, et avala l’une des gélules, puis ferma les yeux, et glissa sa main à hauteur de son entre-jambes, et ouvrit ce dernier à l’aide de la fermeture, révélant ainsi l’accès à son intimité, qui ruisselait de mouille. Karen laissa Helena voir, et on put entendre Power Girl gémir et soupirer, avant que la gélule ne fasse effet... Et un phallus masculin jaillit alors de son corps, pointant hors de son corps.

« Haaa... »

Power Girl soupira lentement, sentant de multiples frissons la traverser. Elle serra les poings, avant de les décrisper, et de les serrer à nouveau. Une belle queue était là, impériale et arrogante, et elle s’approcha ensuite, en soupirant lentement. On pouvait voir qu’elle avait une magnifique érection.

« Je pourrais presque t’enculer à sec, mais... Mieux vaut préparer un peu ma petite pute avant... »

Karen se mit à genoux, et entreprit alors, outre écarter à nouveau les fesses de la femme, de la lécher. Sa langue fila contre sa petite porte arrière, et, pendant un certain temps, elle vint y frotter sa bouche et son nez, parcourant ce petit trou de baisers et de léchouilles.

« Hummm... Mmhmmm... »

Qui aurait cru que lécher un cul soit aussi excitant ? Mais ce n’était pas n’importe quel cul, après tout. C’était celui d’Helena Wayne, l’Huntress, son amie et amante ! Karen le lécha donc, et, quand elle le sentit être bien humidifié, elle se redressa alors, et apposa son sexe contre cette porte, la caressant lentement.

« Tu es prête, Helena ? Prête à me sentir en toi ? Car ton corps, lui, l’est, ma chère chienne... »

Suite à cela, le doute ne fut guère permis plus longtemps. Karen inspira lentement, puis enfourna son sexe dans les fesses d’Helena, se crispant contre elle. Son membre, en effet, se heurta à l’étroitesse de ce cul, et elle dut faire une série de mouvements rapides pour forcer le passage, et ainsi parvenir à s’enfoncer progressivement en elle.

« Haaaaaaaaaaa... !! »

Ho, que c’était bon !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: mercredi 09 mars 2016, 22:43:20 »
« Ne sois pas désolée, tu peux mordre fort, tu ne risques pas de m’arracher la peau. »

Tout ce qu’Helena risquait, en réalité, c’était de se casser les dents, car la peau de Karen, en réalité, était très résistante. C’était une peau kryptonienne, et donc très solide. De simples mordillements ne pouvaient guère espérer en venir à bout, même si Helena se forçait autant que possible. Néanmoins, Karen, elle, constata que, visiblement, son amie et amante aimait beaucoup tout ce qui touchait aux fesses. Qui l’aurait cru ? C’était une très heureuse coïncidence, car, en réalité, Karen aimait, elle aussi, beaucoup pratiquer l’anal. Helena lui avoua alors un fantasme, qui ne manqua pas de faire sourire Karen.

Cette dernière avait bien palpé le cul d’Huntress, et hocha lentement la tête.

« Je vois… »

Le sourire de Power Girl s’accentua alors. La domination, elle, elle connaissait ça, car c’était un jeu qui était au cœur de toute relation sexuelle. Et, en réalité, elle se voyait très bien jouer avec Helena, la soumettre… Et, bien entendu, la fesser. L’idée était en réalité très séduisante, et amena, très logiquement, un joli sourire pervers à se dessiner sur ses lèvres.

« Ma foi, pourquoi pas… »

Karen poussa alors Helena, et se releva, puis se tint à genoux, les jambes hors du lit, et invita Helena à venir s’allonger sur ses cuisses, comme une sorte d’enfant puni par sa mère.

« Allez, vilaine fille… Viens, il me semble que je doive te punir un peu ! »

En réalité, Power Girl, en matière de sexe, avait toujours davantage agi comme une dominatrice que comme une soumise. Elle aimait le sexe, elle l’aimait passionnément, et c’était une chose qu’elle vivait très bien. Très gourmande, elle avait déjà participé à des soirées sadomasochistes, et c’est ce qu’elle indiqua à Helena, tout en caressant tendrement ses fesses.

« Tu sais, le Japon dispose de plein de clubs où on peut laisser parler ses désirs et ses fantasmes. Des endroits où je me suis rendue, et je suis même propriétaire de plusieurs d’entre eux. J’aime enfiler des combinaisons noires moulantes, en latex, et m’amuser avec tous les soumis et toutes les soumises qui se présentent à moi. Ils sont… Un peu comme toi… »

*PAF ! PAF !*

Les claques commençaient à venir, s’abattant sur son délicieux postérieur, doucement au début, mais de plus en plus fort.

« Je porte différentes tenues, et je leur fais porter différentes tenues. Je ne pensais pas être spécialement douée dans ce domaine, mais… J’ai fait la policière sodomisant son prisonnier… *PAF !* J’ai fait la doctoresse jouant avec un patient ligoté et incapable d’exprimer sa volonté… *PAF !* La professeur cruelle et perverse, bien entendu… *PAF ! PAF !* Sans parler du rôle qui me sied le mieux… Celui de l’intraitable femme d’affaires qui torture sexuellement ses employés… »

Une ultime gifla résonna alors sur le postérieur d’Helena, provoquant, à chaque fois, de délicieux hurlements. Karen, toutefois, ne se contentait pas que de la gifler, car elle massait aussi ses fesses, et les pinçait même.

« Toi, ma chérie, nous ferons tout ça… Absolument tout… Mais, avant ça, ce soir, je vais te sodomiser sèchement. En fait… Je t’enculerai comme une chienne, comme la dernière des putes… Je te ferais hurler à t’en casser la voix, Miss Wayne. »

Karen souriait, très excitée à l’idée de parler aussi sauvagement, et aussi salement, devant elle. Helena était une femme que Karen, en réalité, appréciait énormément, et ces mots salaces s’avéraient être particulièrement excitants. Elle s’en mordillait joyeusement les lèvres, fébrile d’excitation.

Et les claques reprenaient, bien entendu.

« Allez ! Insulte-toi, ma chérie ! Donne-moi envie de te défoncer le cul ! Allez, allez, fais-le !! »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: samedi 27 février 2016, 13:04:22 »
Karen et elle faisaient tranquillement l’amour, sans problème, en profitant du temps qui filait entre elles. Helena jouait avec les seins et avec l’intimité de la Kryptonienne, ne pouvant qu’exciter cette dernière. Elle se dandinait sous le corps moulé de son amie, de son amante, caressant ses cheveux, se débrouillant pour retenir sa force. En ce sens, au moins, le sexe était une véritable épreuve pour elle, l’incitant à devoir rester calme, et à savoir maîtriser sa force, qui avait tendance à se réveiller sous l’effet de l’excitation sexuelle... Et Helena avait tellement cherché à la frustrer, auparavant... Haaa, c’était bien la preuve que Karen avait sur elle un contrôle impeccable, car toute sa force kryptonienne était comme enterrée en ce moment, annihilée sous des vagues écrasantes de plaisir qui se concentraient à hauteur de ses seins et de son intimité.

« Haaa... Helena, haaaaann... !! »

Karen se tortillait sur le lit, sentant la femme se presser contre son corps, jouant avec ses formes, ses doigts glissant sous sa combinaison blanche pour caresser directement son sexe. Oohh, comment résister à une telle invitation ? Le corps de Karen se tortillait contre ses doigts, son sexe se contractant, et elle gémissait. Le plaisir se diluait dans ses veines, son corps se serrait contre le sien... Et l’orgasme finit par éclater. Face à Huntress et à ses talents, Power Girl était bien à mal de lui résister, et elle eut donc un très bel orgasme, en jouissant contre ses doigts, se vidant contre son corps.

« Haaaaaaaaaaaaa... !! »

Quelle merveilleuse sensation ! Power Girl se tortillait sous son corps, et, de manière très curieuse, se disait qu’elle avait attendu ce moment toute sa vie... Celui où Helena Wayne la ferait jouir. Et c’était curieux, en effet, parce que, somme toute, elles ne s’étaient avouées que très récemment leur union. C’était comme si cette révélation était intervenue rétroactivement, et comme si Karen, depuis le début, avait toujours su qu’elle serait avec Helena Wayne. Dès lors, il était difficile d’expliquer sa nature très volage, mais c’était aussi ce qui faisait la saveur de la jeune femme. Karen Starr était une femme pleine d’énergie, pleine de passion, et le sexe était clairement l’une de ses passions. Helena le savait, fort heureusement, et elle allait devoir s’habituer à son rythme.

Pour l’heure, Helena s’était redressée, et se décida à parodier Karen, faisant sourire la Kryptonienne, qui se retrouva ensuite avec les doigts de la femme dans sa bouche. Ses propres mains vinrent, en retour, se poser sur ses fesses, malaxant chacune d’elles avec ses mains.

« Mmmhmm... »

Soupirant de plaisir, Karen mordillait les doigts de la femme, adorant la sensation de ce latex contre sa langue, et cette dernière léchait donc les doigts de la femme. Elle n’avait aucune honte à l’admettre, le fétichisme était l’un de ses fantasmes. Et elle se plaisait donc à sentir les plis du latex, à remonter le long des doigts de la femme, tout en l’observant, avec des yeux transis de désir et d’amour.

Et ses doigts, eux, se crispaient contre son cul !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: lundi 15 février 2016, 19:24:31 »
Les femmes étaient, toutes les deux, des personnalités fortes et endurcies. Elles étaient les filles des deux plus grands justiciers d’Earth-2, et avaient comme mères des femmes fortes, qui avaient évolué dans un environnement masculin, s’imposant par leur pugnacité et par leur talent. Et, à titre personnel, elles avaient toutes les deux marché sur les pas de Superman et de Batman, et avaient, enfin, connu une guerre affreuse et horrible, celle contre Darkseid et ses séides. Elles étaient des réfugiées déraciné »es, qui avaient réussi à s’implanter. Karen était une femme riche, riche et intelligente, sans parler de ses superpouvoirs. Pour toutes ces raisons, même Huntress se soumettait à elle, même si c’était à titre provisoire, car, entre elles, il n’y avait pas vraiment de personnalité dominante. C’était plus un jeu, une pose qu’elles changeaient entre elles… Du moins, c’est comme ça qu’elles fonctionnaient au quotidien.

Karen souriait donc en voyant Helena sucer ses doigts avec appétit, provoquant de petits claquements sur ses gants, des claquements qui l’amenaient volontiers à se mordiller les lèvres. Oui, que c’était agréable ! Helena jouait avec ses doigts, encore et encore, et Karen, elle, s’amusait à les bouger, lentement, les remuant dans l’agréable bouche de son amante, partageant ainsi, avec elle, le plaisir. En souriant, Power Girl se faisait plaisir, puis finit par retirer ses doigts, et inversa donc les rôles.

Le lit oscilla sous son poids. Karen savait qu’elle était une femme costaude, une Kryptonienne capable de ravager une maison d’un coup de poing. Ce faisant, le lit qu’elle avait pris était extrêmement résistant, car, sous l’effet du plaisir sexuel, il arrivait fréquemment qu’elle ne contrôle pas sa force… En fait, Power Girl, quand elle prenait un homme en rodéo, avait déjà cassé son lit à plusieurs reprises.

Là, sous le corps d’Helena, elle lui souriait, toute heureuse, toute excitée, les fétichistes jeunes et belles femmes se partageant ensemble un plaisir bienvenu, et qui risquait de durer longtemps entre elles.

« Oh, Helena… »

Se mordillant doucement les lèvres, Karen lui fit un sourire ravi, caressant ses belles hanches, glissant sur sa combinaison. Curieusement, aucune des deux femmes n’avait encore envie de déshabiller l’autre, voyant, pour l’heure, les combinaisons comme un charme supplémentaire indéniable. En somme, se déshabiller aurait été inutile pour l’heure… Et même dommage. Les combinaisons moulantes, ça avait son charme.

« Je me pose moi aussi cette question, ma chérie… »

Pourquoi avoir attendu aussi longtemps, en effet ? Peut-être parce qu’elles étaient des amies d’enfance, et que, fondamentalement, Karen avait eu du mal à ouvrir les yeux, et à se dire qu’Helena n’était pas juste que sa meilleure amie, ou sa confidente.

Elles soupiraient donc, Helena embrassant ses seins, mordillant son téton à travers sa tenue blanche, tout en glissant ses doigts entre ses cuisses, ce qui, comme on pouvait s’y attendre, n’avait pas manqué de faire soupirer Karen. Soupirant et gémissant, cette dernière serra les cheveux d’Helena contre sa main, et, avec osn autre main, caressa le bas de son dos, près de ses fesses, pendant que ses seins venaient à se durcir. Power Girl avait une poitrine très généreuse, et Helena oscillait entre ses tétons, qui transparaissaient maintenant, du fait de la salive d’Helena, à travers la combinaison, et la partie nue de ses seins, déposant des baisers et des léchouilles.

« Haaa… Haaa !! »

Oh, que c’était bon !

« Tu… Tu aimes mes s-seins, haa… »

C’était avant tout une affirmation.

« Eux aussi, hummm… Ils… Ils t’aiment bien… »

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