Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Rinako Yukimitsu

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Les contrées du Chaos / Re : Le grand jour! [PV Rinako Yukimitsu]
« le: mercredi 29 mai 2013, 01:04:39 »
Comment en pas lui sourire à la seconde où elle pose la main sur la mienne ? Et pourquoi, en fait ? Il ne m’en faut pas plus pour être heureuse. Et je dois bien reconnaître que quand elle nous dépasse, la petite et moi, j’en profite un peu pour reluquer ses fesses. C’est vrai qu’elles sont moulantes, nos combinaisons. Pas étonnant que des grosses perverses fantasment sur nous. Mais à quoi je pense alors que je suis sensée veiller sur une enfant ? Tu files un mauvais coton, ma fille ! J’ai jamais pigé cette image, faut dire que j’ai pas vu beaucoup de coton dans ma vie.

Suki va avertir quelqu’un, mais elle ne va sans doute pas trouver les parents tout de suite. Je peux perdre un peu de temps pour rassurer la pauvre gamine perdue. D’ailleurs ma petite blonde d’amour a filé comme une anguille, on est loin des petits gestes hésitant de ma protégée. Pour moi c’est enfantin de la dépasser en tournant pour arriver face à elle avec un grand sourire.

« N’aie pas peur, Megumi. Tes mamans sont pas loin. Et c’est pas si compliqué d’avancer en apesanteur. Tu veux que je t’apprenne ? »

Bien sûr qu’elle veut ! Un petit entraînement avec une commando, de nombreuses gamines en rêvent sur l’archipel. Alors c’est parti ! Je lui explique comment avancer, comment doser ses gestes, n’être ni trop brutale ni trop faible. Je crois que son moment préféré est celui où elle travers une pièce aussi grande que celle où je l’ai trouvée, et elle arrive de l’autre côté toute seule. On finit par faire la course, et évidemment...

« J’ai gagné !
-   Si tu montes en orbite tu seras une vraie petite flèche. »

Allez ! La fillette est en de bonnes mains et ses génitrices anxieuses sont en chemin. Moi j’ai une journée de rêve à étirer avec ma petite amie. Ma Suki d’amour ! Quel plaisir de retrouver sa main, j’en frissonne. Et je frissonne encore à sa remarque. Je baisse les yeux, je sens mes joues chauffer. Une bonne mère, moi ? Je ne suis déjà pas capable de m’occuper de moi-même, en ce moment moins que jamais. Mais elle me rend bien assez folle pour me voir avec des enfants, même des petits-enfants, de l’avancement et la retraite. Je n’ose rien répondre sur le coup, je ne trouve rien d’assez... Je ne sais pas.

Par contre, une photo, c’est déjà plus abordable !

« On y va tout de suite ! »

Je crois que je vais m’acheter un appareil, histoire qu’on puisse en faire d’autres. Non, mieux : je vais lui en offrir un ! Je pense qu’elle aimera. Pour l’instant je garde ça dans un coin de ma tête. Nous voilà dehors et serre sa main dans la mienne pour l’entraîner à travers le parc d’attraction. Il y a des coins bien connus avec des appareils automatiques, le tout est de savoir quelle vue nous ira le mieux. Je tire ma petite amie en trottinant. Il y a une esplanade garnie qui remonte en direction de la grande roue, garnie de stands, de bancs et de tables. Juste un peu plus loin une large passerelle monte doucement sur quelques mètres vers une terrasse.

« Ici ! Toutes les deux devant la grande roue. »

Comme si je lui laissais d’en placer une avant de la planter devant la colonne étroite. Je fais péter la carte avant de venir me coller à ma belle blonde d’amour avec un grand sourire. Je pose la tête sur son épaule alors que l’appareil fait le point. Mes doigts glissés entre les siens serrent sa main alors que le décompte commence. Trois... Deux... Un... je tourne la tête juste à temps pour le déclic avant de laisser filer un petit rire.

« Hihi ! Ça va nous faire une jolie photo ! »

Et j’ai bien envie de voir la tête de Suki surprise par un petit bisou en traître.

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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: mercredi 29 mai 2013, 01:01:02 »
Avec la place pour étendre son bras forcément c’est facile... Je pensais pas que Ryouka allait sursauter, je me suis pris un coup tout au bout du palais. J’ai pas l’habitude de jouer à ça, j’ai failli m’étrangler toute seule. Je sens déjà un goût nouveau dans ma bouche, quelque chose visqueux qui se mélange à ma salive. Soit c’est un détail dont je n’ai pas entendu parler, soit elle commence à jouir et j’y connais vraiment rien ! Mais visiblement c’est le moment de poser la question.

C’est le moment de fouiller à nouveau un autre sujet. J’adore sentir mon doigts rentrer dans ce petit orifice, s’enfoncer dans la chair chaude qui le comprime. Je fais aller et venir mon index dans le cul si douillet Ryouka, d’abord lentement en le remuant pour élargir son petit anneau. Le feu entre les cuisses ? Je dirais plutôt que le feu n’attend que quelque chose à dévorer ! Mais elle attend quoi, la grande sœur ? Elle me colle, elle me chauffe, et surtout elle prend son temps.

« Honf ! »

C’était quoi, ça ? J’espère qu’avec une bite dans la bouche tout le monde pousse des gémissements aussi ridicules, sinon elles ont pas fini de se payer ma tête. Sur le moment e ne me plains pas, Nika sera capable de retirer ses doigts. Utiliser ma langue ? C’est déjà ce que je fais. Jouer ? Je vois pas grand-chose à faire avec ce truc... Au moins la consigne est simple, l’observer ne doit donc pas être si compliqué.

J’abandonne la deuxième fesse de Ryouka pour saisir son membre à la base. Elle a dit de... Je sors son membre de ma bouche pour reprendre mon souffle, et j’en profite pour essayer ce dont elle m’a parlé. Je le lèche, je dépose un petit baiser sur le bout tout chaud, puis retour au chaud. Je fais aller et venir mes lèvres, en fait tout mon corps en gardant les accoudoirs comme repère sous mes coudes. J’ai envie de bouger, je lutte pour ne pas serrer les cuisses sur la main de Nika. Ça la ferait peut-être fuir et ce n’est pas le but recherché. D’ailleurs, tant que j’y pense, je glisse mon majeur à travers le petit œillet de Ryouka.

Retour à l’air libre pour le gland couvert de salive. Cette fois je tente autre chose. Ma main remonte, mes lèvres descendent. Une fois près de la base de de pieux de chaire ferme, j’essaie le mordillement. Enfin je mordille pas vraiment, je presse un peu les dents. C’est dingue ce que la peau est souple et élastique à cet endroit, ça doit faire mal quand on le pince. Alors en remontant je relève tout le visage pour laisser le sexe de Ryouka glisser sur mon visage sans la lâcher des yeux. Sur mon visage et le bout de ma langue.

Et je le reprend dans ma bouche pour étouffer mes soupirs qui tendent déjà vers le gémissement.

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Les contrées du Chaos / Re : Le grand jour! [PV Rinako Yukimitsu]
« le: vendredi 24 mai 2013, 14:43:20 »
Un peu que je veux jouer à ça ! Et j’espère bien qu’elle arrive. Je m’enfuie, je profite même de mon pouvoir pour mieux glisser dans l’air. J’ai cet avantage sur elle, mais je ne veux pas vraiment la semer. À gauche, puis en haut. Je m’arrange pour rester sur le pourtour du labyrinthe, ça limite les croisements et les chances qu’elle perde ma trace. Je viens juste d’avouer mes sentiments à ma petite amie, je vais pas la larguer ! Arrivée au bout de la coursive j’attrape la poignée pour jeter un œil en arrière. Personne... Une ombre ! Je file. Elle m’a sans doute aperçue, mais ne doit pas se douter l’embuscade. je passe les pieds sous les poignées et m’accroupis juste à la sortie du tunnel.

Une main fine gantée de jaune arrive, mais alors qu’elle file vers le rebord du seuil je glisse la mienne en-dessous et tire. En apesanteur Suki est encore plus légère qu’une plume, mais elle garde une masse à peu près équivalente à la mienne et j’ai peut-être sous-estimer l’inertie de mon mouvement. Traduction ? Je manque de nous faire partir toute les deux en arrière ! Je lâche un petit rire en passant ma main libre dans son dos pour l’attirer à moi. Ma petite amie, mon grand amour j’espère. Je plie les genoux pour pencher en arrière et me retrouver dos au mur. Ma main remonte dans son dos jusqu’à sa nuque.

Ses lèvres, enfin ! Dommage qu’on porte des gants, je voudrais sentir sa peau. En attendant J’ai ses lèvres, et sa douce langue qui caresse la mienne. Je voudrais rester comme ça toute la journée, les yeux fermés à respirer son souffle. Ma Suki d’amour ! J’ai hâte qu’on soit vraiment toutes seules, qu’on puisse enfin se dire et se faire tout ce qu’on veut. Se câliner pendant des heures en se disant des mots tendres, s’embrasser encore et encore...

« Encore ? »

Mais avec plaisir ! Je me serre contre elle et savoure une fois de plus sa délicieuse bouche. Si je me retiens pas j’en réclamerais encore un après, et un autre, un de plus... Mais si on passe la journée à se bécoter, la grande roue ne sera plus si magique. Mais elle est trop craquante quand elle sourit comme ça ! Il faut vraiment la maîtrise de soi d’une commando d’élite pour se retenir de la câliner comme une peluche. Courage, ma fille ! Ça viendra ! Je la relâche pour nous laisser flotter, avec une petite moue.

« Hmmmm... Le petit nuage est tentant, mais surtout envie de... »

Je m’interromps de moi-même et tourne la tête, fronçant soudain les sourcils.

« T’as entendu ? »

J’ai bien cru entendre... Un gémissement ! Ça recommence. Une toute petite plainte sanglotante, et ça vient de tout près. Je donne un petit coup de talon contre le mur pour filer vers une pièce voisine. Une grande pièce, trop grande pour la petite fille qui y flotte roulée en boule. Elle a quoi ? Huit ou dix ans ? La pauvre gamine est bien trop petite pour atteindre un mur et il ne semble y avoir grand-monde dans le coin pour l’aider. À part nous, bien sûr ! Je me propulse doucement vers elle.

« Vient par-là, toi... »

On est pas dans un trou à rats plein de connards pervers, la gamine est bien contente de voir arriver quelqu’un et m’ouvre grand les bras. Sur Caelestis les mères n’apprennent pas à leurs filles à fuir les étrangères comme la peste, encore moins quand elles portent l’uniforme. On est pas encore de l’autre côté qu’elle s’accroche comme un koala en geignant à mon épaule.

« Je sais pas où sont mes mamans.
-   T’inquiètes pas, mon petit ange. On va les chercher ensemble. »

Je relève les yeux vers Suki qui m’a suivie. Je lui souris sans rien dire, je ne pense pas qu’elle va me reprocher de différer nos petits câlins pour aider une fillette perdue. Je détends ma prise sur le corps frêle de la petite fille, et guide sa main jusqu’à une poignée.

« Je m’appelle Yukimitsu Rinako. Et ma copine c’est Tetsuhiko Suki. Et toi, comment tu t’appelles ?
-   Megumi, madame... Takahara Megumi.
-   On va retrouver tes mamans, Takahara Megmi. »

Et nous voilà parties. Je laisse la gamine avancer toute seule, juste derrière elle prête à rattraper une nouvelle mésaventure. Mais je ne surveille pas qu’elle. Je ne peux m’empêcher de jeter de petits coups d’œil à Suki. Ma petite amie, et peut-être bientôt plus encore. Elle veut une famille, je n’ai pas oublié. Je la revois dans l’ascenseur avec cette pauvre gamine martyrisée, qui ne semble pas s’en remettre sauf quand ma petite blonde d’amour lui rend visite. Elle va l’adopter, j’en suis certaine. Seule ou en couple, avec moi ou une autre elle deviendra la mère de cette gamine. Il n’y a qu’elle pour ne pas encore l’admettre vraiment.

Et malgré tout ce qui se passe en ce moment dans ma vie, malgré tous les secrets et les dangers, je me vois déjà avec elles.

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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: vendredi 24 mai 2013, 14:37:12 »
Je dois bien collé à la jeune pucelle docile dont elle parlait tout à l’heure. Ça me déplaît pas tant que ça de la voir de si bas, de sentir ses doigts dans mes cheveux. Ses petites caresses devraient sans doute me mettre hors de moi mais il n’en est rien. Je me suis mise de moi-même dans cette position, sans qu’on m’y contraigne de quelque manière. Je suis là pour apprendre et j’écoute attentivement ma leçon.

Je commence comme elle me dit, en le prenant dans ma bouche. Je referme mes lèvres dessus, mais je me débrouille pour ne pas le toucher avec les dents. Il paraît que c’est très sensible, d’où l’intérêt de cogner dessus en cas de problèmes. Je fais timidement aller et venir ma tête, caresse la chair chaude et tendue sans plus d’assurance du bout de la langue. Des baisers et des léchouilles pour faire plus sexy. Le mordiller ? On va attendre un peu avant d’essayer, mais frotter mon nez dessus : ça je peux et je le fais. Ça n’a pas l’air de lui déplaire, et à moi non plus au final. Ça me laisse un peu le temps de faire connaissance avec ce... cet étrange truc.

Mais ma bouche a l’air de déjà lui manquer, il se cogne même en entrant. Houlà ! Rire avec ça dans la bouche : le rendu final est pas génial. Je presse ma langue sous son membre qui commence à aller et venir, je sens les petits replis de peau qui glisse dessus et le bout lisse sous mon palais. Ces goûts encore nouveaux envahissent ma bouche, je les respire, ils s’emparent de moi. Ça me monte à la tête comme la fièvre. J’en veux plus ! Et plus de caresses, plus de contact. Je remue doucement la tête sous ses doigts, les yeux levés tantôt vers les siens tantôt vers sa poitrine. Deux beaux rubis scintillants échangent leur place avec deux alléchants petits bonbons roses, chacun son tour.

Je veux plaire à cette femme, c’est plus compliqué et je m’en contente. Je veux qu’elle ait envie de moi, qu’elle soit assez comblée pour me donner encore du plaisir. Je le veux assez pour rester assise devant elle, la laisser profiter de ma bouche, même l’y inviter en pressant ma langue contre son membre. Et finalement je n’en ai pas tant fait moins pour Nika dans cette chambre, elle aussi a bien profité de ma bouche. S’il faut absolument rétablir l’équilibre je serais ravie de glisser mes doigts dans son petit trou.

La grande brune va devoir attendre un peu, sa sœur a demandé la première. Dommage, à travers mes gants je ne peux pas vraiment sentir sa peau. Respirer par le nez j’avais bien compris, peloter son doux popotin c’est cadeau. Ma fille, je crois que tu deviens accro aux fesses ! Mais est-ce vraiment un mal ? Ça ne donnera jamais un orgasme mais même à travers mes gants j’aime bien sentir sa chair sous ma main, et aussi mes doigts comprimés bien au chaud. J’en ai déjà glissé deux dans son petit trou, ce qui me conforte un peu plus dans mes nouveaux goûts. L'index et le majeur de la main droite, l’autre presse et écarte sa chair pour en libérer l’accès.

Je n’explore pas vraiment, en fait. À peine glissées à travers ce petit anneau frémissant je remue les doigts en petit cercles lents. Ils entrent un peu plus ou ressorte légèrement selon les mouvements de son bassin. Et il n’y a pas qu’en haut que ça bouge, Je me dandine sur mes propres fesses en frottant mes cuisses entre elles. Ça m’excite follement, tout ça ! Et je sais très bien que ma bouche ne sera pas le seul endroit où ce gros truc va entrer. J’ai bien envie de lâcher sa fesse pour m’occuper un peu de moi, et s’il faut une excuse je l’ai déjà sur le bout de la langue. D’une autre côté j’aurais plus de mal à m’occuper de son petit trou.

Ok, il me faut des renforts et je ne peux pas les appeler verbalement. Nika n’aura sans doute aucun mal à comprendre, mais va-t-elle accepter ? Je le saurais dans une minute. Je fais tourner un peu le fauteuil et j’ouvre les cuisses. Ma main abandonne la fesse de Ryouka pour pointer du doigt mon ventre... Ou ma cuisse... Bref, pointer le doigt vers le bas. J’ai les cuisses ouvertes, elle aura pas besoin d’un plan pour trouver !

« Hummmm... »

Et ma main revient s’occuper du popotin de Ryouka, en commençant par une petite claque sans doute pas très adroite.

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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: lundi 20 mai 2013, 18:40:12 »
Au moins j’ai ma réponse : elles baisent. Elles font moins de commentaires graveleux, c’est la première fois que je vois un truc pareil, mais elles baisent : ça c’est sûr. Et elles adorent ça toutes les deux. Mes réserves sont repoussées un peu plus loin à chaque soupir, chaque gémissement. Mais il y a une autre sensation qui monte et me fait frissonner, bien que j’aie de plus en plus chaud. Je pourrais pas encaisser un truc pareil ! Je l’ai dit très clairement : je veux baiser. Quitte à me faire dépuceler je veux en faire autant que possible. Mais Ryouka défonce littéralement sa grande sœur ! Je sais plus si mes cuisses se serrent parce que je mouille ou parce que mon vagin fait une crise d’angoisse !

Elles jouissent... Elles en ont... En tous cas elles se calment. Elles s’embrassent encore, c’est trop mignon et sexy à la fois... Une minute : elles remettent ça ! C’est plus des perverses, c’est des bêtes en chaleurs ! Un instant de plus pour évaluer la situation, c’est pas du luxe. Elles commencent à me faire peur. Nika ne laisse pas sa cadette repartir. Je ne suis pas Elaine ? C’est clair ! Je vois pas ce qu’elle veut dire, mais je vois qu’Elaine est plus grande et qu’elle a les hanches plus larges. En gros elle a fini ses poussées d’hormones, elle. Moi j’en ai pas encore fini avec ça.

Malgré ça je ne peux pas détacher mon regard de ce gros truc qui tangue dans ma direction au rythme des hanches de Ryouka. Je sens ma gorge s’assécher au son de sa voix, j’avale ma salive alors qu’elle arrive tout près.

« Je... »

Je... ne suis pas certaine de vouloir donner le top départ trop vite à une perverse de son calibre. Pas avant de m’être faite à l’idée. Je lève une main pour glisser les doigts sur cet organe fascinant. Ça sent fort la belle brune en chaleur, et aussi une odeur... particulière. C’est doucereux et entêtant. Je fais lentement descendre mes doigts le long du sexe tendu.

« C’est chaud... »

Et je sens que sa palpite dans mes mains. Je relève les yeux vers le visage de Ryouka avec un sourire un peu gêné.

« J’ai jamais fantasmé là-dessus... Je pensais qu’à des filles normales. Enfin, je veux dire... Pas des hermaphrodites. »

Je sais comment ça marche, en théorie, mais je préfère oublier. Question de contexte. Ici c’est « je vais te mettre ça et tu vas aimer » ; pas « ils vont vous mettre ça et ça va faire mal ». Je baisse les yeux et relève le membre de la belle aux cheveux d’argent. D’ailleurs elle est encore attirante comme ça, en nue et en sueur. Ou c’est cette odeur qui me monte à la tête. Je penche sur le côté pour voir ses testicules... Je suis encore moins à l’aise avec ces trucs-là. J’ai déjà vu des hermaphrodites dans les douches, elles n’en avait pas. Je lève une main en-dessous pour les toucher très délicatement. Il paraît que c’est fragile.

Je ne peux pas retenir un petit rire. C’est bizarre. Je sens deux petits trucs durs à l’intérieur, un peu comme une olive, qui glisse dans son petit sac de peau.

« C’est pas comme j’imaginais. Mais bon, ces trucs-là... »

Je relève les yeux avec un petit sourire en coin.

« On m’a seulement appris à les éclater. »

Même si elle crève d’envie de retourner sur le fauteuil son instinct de conservation doit bien la titiller un peu. Je relâche ses boules et fait lentement aller et venir ma main le long de son gros machin encore gluant.

« Tu vas devoir m’expliquer comment on en prend soin... Je dois le prendre dans ma bouche, c’est ça ? »

Sans la quitter des yeux j’ouvre grand en approchant ma tête. Pas difficile à guider sans regarder, son truc. C’est chaud, et ce goût bizarre mélangé à celui de Nika. c’est pas désagréable, mais je n’ai pas non plus ce que j’ai une pire sur la langue.

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Les contrées du Chaos / Re : Le grand jour! [PV Rinako Yukimitsu]
« le: lundi 13 mai 2013, 00:12:17 »
Suki a l’air de flotter sur un petit nuage et je n’ai qu’à poser les yeux sur elle pour ressentir la même chose. Elle ne veut pas me lâcher, elle ne veut plus me quitter. Qu’est-ce que j’ai envie de l’embrasser ! Ici, devant tout le monde, la serrer contre moi, glisser les doigts dans ses cheveux, poser mes lèvres sur les siennes... Ma Suki. Je me contente de garder les doigts glissés entre les siens, nos bras croisés et serrés entre nous. Je tourne la tête pour souffler un petit rire à son oreille.

« T’es trop craquante comme petite amie ! Je vais vraiment faire des jalouses. »

Il y a foule à l’entrée du Z-G Dedalus. On est pas les seules à se tenir la main, mais les autres ne craignent de se câliner tendrement ou de se faire de petits bisous. C’est encore plus dur de me retenir... jusqu’à ce que la blonde de mon cœur parle de la mission. Pour moi c’était il y a deux jours, j’ai passé une semaine dans un coma artificiel pendant qu’on me remontait pièce par pièce comme une épave. C’est encore frais et finalement tout s’est passé en si peu de temps. Trente-six heures d’un cauchemar impensable, puis les Zéroïnes, les frangines coquines... Je rougie sans doute un peu rien que d’y penser, mais il y a bien d’autres choses qui se bousculent dans ma petite tête.

« C’était... C’était l’horreur. Dès le départ et ça a fait qu’empirer jusqu’à la fin. »

Je préfère lui passer les détails sur le nombre hallucinant de femmes que j’ai vu se faire massacrer. Il y a aussi Rayka, Mastermind et tous ces plans pourris que je n’aurais jamais dû seulement imaginer. Et il y a ce que je me suis bien abstenue de rapporter à quiconque. Mais il y a bien une chose que je peux essayer de lui dire. Je remarque que ma langue passe d’elle-même entre mes lèvres. Je relève les yeux vers elle avant qu’elle ne s’inquiète de ma nervosité.

« Tu m’as beaucoup manqué, Suki... Même si j’évitais de penser à toi... On est tombées sur un télépathe qui... qui aurait pu se servir de mes sentiments pour toi. »

Si je n’avais pas passé mon temps à me demander ce que ma mère aurait pensé de moi, cet enfoiré aurait vite vu comment j’avais quitté Caelestis. S’il avait agité Suki comme un épouvantail devant moi je serais vraiment devenue dingue. Je me détourne d’elle le temps de chasser un frisson, mais ça passerait plus vite avec un câlin. En plus j’ai beau penser ce que je viens de dire je me suis quand même tapé deux grosses perverses hier juste après le déjeuner. Ta meilleure raison de rentrer mais t’as fait un sacré détour, ma fille !

Je fais semblant d’écouter les consignes de sécurité histoire de me changer les idées. Je connais hors de l’atmosphère, pas de raison que ce soit plus dangereux ici. Il faut vraiment que je sorte tout ça de ma tête. Heureusement nous entrons déjà dans le sas. Signaux lumineux et sonores assez doux dans un cadre bien blanc et rassurant, aseptisé. Très vite je me sens plus légère. Je lève les bras et donne un petit coup de talon qui me fait prendre appui au plafond.

« Tu entends ?... Pas de valve du système d’aération qui claque... Pas de grincement de la superstructure à cause des corrections orbitales... Ça fait trop bizarre ! »

La porte face à nous est ronde, elle roule dans la paroi et dévoile un embranchement de trois couloirs. Droite, gauche et milieu, ronds comme les pièces auxquelles ils conduisent. Les murs sont capitonnés, tout comme les suites de barreaux qui relient les portes entre elles comme des échelles. J’attrape le premier qui vient, puis je lâche la main de Suki pour me défaire de mon sac et l’envoyer flotter droit vers sa tête. Je profite de la diversion pour remonter l’échelle à toute vitesse en riant.

« Je croyais que tu voulais pas te séparer de moi ? »

Et je pars dans le labyrinthe. Je sens que quand elle me rattrapera elle aura bien mérité un petit baiser en attendant la grande roue.


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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: lundi 13 mai 2013, 00:10:04 »
Il est confortable, ce fauteuil. Ça me fait penser que je vais enfin pouvoir revoir l’aménagement de ma chambre. Mais plus tard ce genre de choses. Les mains sur les accoudoirs. J’ai pas le droit de me toucher même si ce que je vois est terriblement excitant ! Elles sont allongées sur le lit à s’embrasser en remuant l’une dans les bras de l’autre. Nika déshabille sa petite sœur alors que leurs langues se caressent encore. C’est trop sexy ! Mais il faut bien qu’elles se décollent pour que Ryouka se débarrasse de sa robe. Elle me regarde en retenant ses cheveux et c’est là que je me rends compte : mes cuisses bougent. Elles frottent lentement l’une contre l’autre. Je me redresse sur le fauteuil et m’ébroue. Si j’en suis déjà là, dans deux minutes je me rendrais compte que je me masturbe.

« J’adore ! Mais je sens que je vais avoir beaucoup de mal à me retenir ! »

Elle n’a pas autant de poitrine que sa grande sœur mais toujours plus que moi. Et c’est reparti, cette fois allongées l’une sur l’autre. C’est encore pire ! J’arrive à peine à me retenir de remuer sur le fauteuil pour tromper mon excitation. Je pense sérieusement à me frotter comme un animal, c’est dire si je suis en train de devenir une perverse ! Elles sont là, à se tripoter en s’embrassant, et moi je me mordille la lèvre en les dévorant du regard. Quelle idée de merde j’ai eu ! J’aurais dû rester au milieu au lieu de faire la maline. Au lieu de voir ce qu’elles me réservent je suis en train de me priver de ce qu’elles seraient en train de me faire.

Surprise ?

« ... »

Surprise, ma fille ! Celle-là tu l’as pas vu venir ! Ryouka est une... Elle a un... Et c’est là que je me rends compte que j’ai la bouche grande ouverte depuis près d’une minute, et les yeux qui piquent. Heureusement pour moi elles sont déjà trop occupées à baiser pour se payer ma tête. Je papillonne des paupières en m’assurant que j’ai pas bavé comme... Bin comme cette sergent-instructrice qui s’attendait pas à ce que je capture le drapeau adverse en vol plané. Bref, ça m’a quand même collé un sacré choc. Je ne sais pas vraiment si je vais... Quoi que Nika a l’air de prendre un plaisir incroyable à se faire... Et Ryouka n’y va pas de main morte !...

Je me replace nerveusement sur le fauteuil, une fois de plus. Cette fois je ne les fixe pas de la même façon, mais peut-être avec encore plus d’intensité. Tout ça pose un nombre de questions. Je suis au courant de comment ça marche, je sais qu’à une époque on avait que les hommes pour se reproduire. Je sais que pour faire des bébés la « bonne vieille méthode » est toujours aussi répandue même si les femmes peuvent l’appliquer entre elles. J’ai quand même des doutes sur la tolérance de mon vagin à ce que Nika a tout l’air d’adorer. Le vrai soucis c’est que je n’ai jamais fantasmé sur les hermaphrodites, je n’y ai tout simplement jamais pensé. Je me suis fait des petits films romantiques, un peu coquins, mais ils n’impliquaient que des femmes.

Je n’avais qu’un seul parent, ma seule mère était une femme. Les garçons que j’ai connus quand j’étais gamine étaient élevés comme des filles. D’un autre côté, maintenant je sais que j’ai eu un père. Il n’y avait pas grand-chose de masculin dans ma vie avant ça, et ce qui vient d’y apparaître n’est pas de nature à m’exciter... Tout ça me trouble au plus haut point. J’essaie de chasser de mes pensées le peu de vécu franchement ignoble que j’ai avec les membres masculins. Ce n’est pas si difficile en réalité : plus je les vois, moins ça semble si horrible.

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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: mardi 07 mai 2013, 09:18:10 »
Ryouka n’a même pas les seins à l’air. Je ne suis plus si sollicitée que ça, je peux penser un peu au tableau. Ça doit bien compter, sinon on serait tout à poils. Et je trouve assez amusant de penser qu’avant de relever la jupe de la petite sœur on était à l’opposé l’une de l’autre. Sa petite robe, mes gants et mes cuissardes : il y a de quoi en habiller une en entier, mais une seule. Je trouve ça marrant. Mais on est pas là pour jouer avec nos fringues. Ryouka est magnifique comme ça, avec ses cheveux argentés ébouriffés autour de son visage rouge-tomate elle fait un peu Noël. Je m’abstiens à nouveau de commenter même si ça me fait rire. On garde les jeux de mots graveleux sur les cadeaux de Noël pour une autre fois : pas trop d’émotions d’un coup.

Et puis bon, la Mère Noël c’est encore l’idole des enfants, je vais me garder un peu de cette innocence. Je suis sur un tout autre cas : les salopes. C’est bien gentil de le dire mais je n’ai pas eu l’occasion de voir à quoi ça ressemble en vrai. Elle a presque l’air de souffrir, ou plutôt non : elle est clairement en souffrance. Elle veut tellement jouir que ça fait. Les fessées aussi doivent faire un peu mal mais elle n’a pas l’air de vouloir se défendre. Est-ce que c’est vraiment vrai toutes ces conneries ? Le côté excitant de la punition, de la position de faiblesse. Il y en a qui aiment ça. Les esclavagistes qui se font coincer ne se privent pas de donner ce prétexte et ces connards ne coupent pas au châtiment. Le dressage, le conditionnement, finir par aimer ça parce qu’on a rien d’autre à espérer de la vie...

Reste qu’il y en a qui aiment ça, qui se soumettent volontairement et prennent le dressage comme d’autres prennent des cours de peinture pour se détendre. C’est encore trop tôt pour me préoccuper de ça. Pour une première fois la douche de mouille est bien suffisante. C’est chaud et éclabousse tout mon visage. La bouche grande ouverte et les paupières en train de jouer les papillons j’accueille l’explosion de Ryouka en admirant le spectacle. Elle jouit assez calmement, du moins je pense. Moi j’ai crié jusqu’à manquer de souffle avant de m’effondrer. La belle aux yeux rouge frémit et soupire, mais quelle sourire sur son visage rouge ! Elle a l’air tellement apaisée pendant une seconde, tellement comblée, le bonheur total.

Moi j’agite la langue en cherchant guettant les dernières gouttes avant de me lécher les babines. Je retire mes doigts doucement et me redresse un peu. Ma langue passe lentement sur sa petite fente, cueillant son lot de gouttelettes, puis j’y dépose un petit baiser avant de sortir d’entre ses cuisses. Je me redresse et passe une main derrière ma tête pour écarter mes cheveux trempés. La tête penchée j’offre mon cou à Nika avec un petit sourire en coin.

« Qu’est-ce que tu penses de mon parfum ? Pas trop écœurant, j’espère ? J’en ai mis une tonne. »

Bon, d’accord c’est nul ! Mais je suis une débutante toute excitée par ce nouveau monde de plaisirs qui s’offre à elle. Et j’essaie déjà de retenir l’envie de me toucher. Je sens qu’elle va vite devenir insupportable. Mine de rien je pourrais revenir au score et surtout voir ce qu’elles me préparent pour la suite. Je sais que c’est pervers mais je suis d’autant plus excité qu’elles sont sœurs, même à leur façon bien précise. Vont-elles faire l’amour tendrement comme dans les films ? Ou vont-elles baiser comme des salopes ? Jusque-là elles n’ont pas fait dans la finesse. Après un petit baiser aux lèvres de Ryouka je recule à genoux sur le lit, me mordillant la lèvre.

« Hanh ! J’vais avoir du mal à faire honneur au légendaire mental d’acier des commandos celkhans... »

Même liée à la glace je sens que ce serait perdu d’avance. Ces deux femmes magnifiques ensemble, deux perverses accomplies qui promettent un bonus-surprise si je trouve assez de volonté pour ne pas me masturber. Ce nouveau monde de plaisir met également les mots sous une toute nouvelle lumière. Et il y a ce désir brûlant de me toucher, d’explorer mon corps à travers mes propres mains et en plus des leurs. Cruelle tentation ! T’es mal barrée, ma fille ! Je quitte le lit pour... Tiens ! Le gros fauteuil à roulettes devant le bureau a pas l’air trop mal. Et je pourrais me faire les griffes sur les accoudoirs pour m’occuper les doigts.

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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: dimanche 05 mai 2013, 14:09:36 »
Un gros bonus-surprise ? J’espère que je serais de taille à en profiter. En tous cas mes deux doigts bien chauds accélèrent un peu, tout comme mon poignet. Plus vite, plus profond, et je les remue pour bien fouiller les recoins de Ryouka. Des flammes dans le cul ? Je dirais qu’elle a le feu au cul depuis que je l’ai vue, et sans doute plus longtemps que ça. On dirait que j’ai réussi à surprendre l’experte. Je laisse s’envoler un petit rire en palpant généreusement la fesse que je ne lèche pas.

« Je maîtrise aussi l’air et la terre. Il faudra se revoir pour creuser ça. »

Je profite que Nika revient près de moi pour aller fourrer ne nez dans son cou. Entre la transpiration et la cyprine il y a tellement d’arômes entêtants, à travers ses longs cheveux c’est encore meilleur. Et le goût salé de sa transpiration excite mes papilles. Je sens la petite sœur qui remue, levant un peu plus les fesses. J’agite les doigts pour étirer un peu plus son petit trou, juste pour faire plaisir. Mais le petit eu ne fait pas long feu. Je me fige une seconde avant de relever la tête.

« De la mouille ? Preum’s ! »

Je n’ai pas encore goûté celle Ryouka, je l’ai pas encore sentie couler dans ma gorge et sur mon visage. D’ailleurs je crois que je vais faire ça. Pas facile mais j’arrive à m’allonger sur le dos sans avoir à quitter son petit cul. Je tourne la tête entre ses cuisses pour lécher les filets de son délicieux sirop. Mon autre main rejoint la première, glissant un doigt de plus pour varier un peu l’angle des plaisirs.

« Continue, Nika ! Fait-la mouiller, j’ai soif. »

Je suis déjà sous une douce pluie chaude, bouche ouverte et langue tirée en suivant les gouttelettes qui se forment entre les doigts de la belle brune. Je m’en détourne une seconde pour mordiller légèrement la peau de la cadette avant de lever les yeux.

« Ryouka. Baisse la tête s’il te plaît. Je veux que tu regardes quand tu éclabousseras mon visage. J’ai envie voir tes jolis yeux quand tu jouis. »

Ça oui : je les veux mes galons de perverse ! Mais il faut reconnaître qu’elle a de très beaux yeux. Ceux que je croise dans le miroir chaque matin ne sont pas vraiment normaux, il faut l’avouer. Ceux de Ryouka : je les trouve magnifique. Dire qu’on lui a mené la vie dure à cause de ça, elle devait faire des jalouses avec ses deux rubis étincelants.

Je lève les yeux en reprenant la pose, la bouche ouverte et la langue tirée pour attendre mon rafraîchissement. Mais doigt farfouillent toujours en elle, je m’amuse même à désynchroniser mes mains. L’index solitaire tourne et pousse dans tous les sens alors que celui accompagné de son copain le majeur s’amuse à aller et venir autour. D’un côté, de l’autre, puis un doigt de chaque côté. De quoi contenter mon instructrice, du moins j’espère. Et depuis tout à l’heure les doigts de Nika ne sont plus seuls à caresser la peau de sa petite sœur, il y a aussi mon souffle chaud qui doit balayer tout son bas-ventre.

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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: jeudi 02 mai 2013, 12:11:25 »
Je passe le bout de mes doigts libres sur la fesse de Ryouka en appuyant un peu.

« Pour les griffures, comme tu peux le sentir, c’est pas compatible avec les gants. Mais je trouverais bien quelque chose. »

Rien que de le dire j’ai une idée ! Pas la petite fessée que je lui colle, ça elle l’attendait. Je ne peux pas m’empêcher de rire. Clac ! Et sa jolie fesse qui rebondit sous ma main, qui commence à rosir à la troisième fessée. Je fais lentement aller et venir mon doigt, appréciant la chaleur et la pression de sa chair, les contractions de cette petite bague vivante que je commence à adorer porter. C’est grisant d’être à cette place, celle qui agit, qui contrôle. Je sens bien qu’elle en veut plus, je me demande si elle se retient de peur que je ralentisse encore ? La grande sœur est une sacré emmerdeuse, une charmante peste dans son genre, je la vois bien jouer le même jeu.

Un défi ? Une plage aux premières loges pour les voir faire entre expertes ? Voilà une bonne motivation, même une excuse pour simplement me conformer à ce qu’elles m’ont dit. Sodomiser la petite sœur avec mes doigts, et sans retenue. Mais je n’oublie je veux encore jouer un peu.

« Ah bon ? Tu es sûre ? Je ne sais pas trop, j’ai l’impression qu’elle est encore un peu froide. »

Son cul est chaud, ça oui, mais la température de mon doigt monte lentement. Je n’ai pas osé tenter ça avant, en fait je n’y avais pas pensé. Trop stressée, et trop envie de découvrir toutes ces sensations. Maintenant je peux me concentrer, jouer de mes pouvoirs avec précision. Trois ou quatre degrés au-dessus de la température corporelle : la fièvre. Mon majeur ressort presque entièrement, puis revient avec mon index en décrivant de petits cercles. Et je lui fais aussi sentir ma langue, elle aussi un rien trop chaude pour être honnête.

« Ça doit être ce qu’on appelle brûler de désir. »

D’accord : c’était facile. Mais je m’en fous, je suis une gamine. Ma main libre empoigne la fesse de Ryouka pour l’écarter, laisse plus de place à mon autre main. J’accélère, je veux mon show privé.

« Bon ! Exploser, tu as dit... »

Je ne monte pas à la vitesse maximale dont mon poignet est capable. Je tourne la tête vers Nika avec un sourire en coin.

« Au fait, pour ton petit défi, j’aurais droit à un petit bonus-surprise si je contrôle mes doigts ? »

Un simple oui ou non pour que ça reste une surprise, et avant ça il faut encore que j’accélère. Je fais aller et venir mes doigts, les écarte un peu, les remue de plus en plus vite et fort. L’index de mon autre main vient s’y joindre et je ne peux m’empêcher de rire, je m’amuse follement à fouiller le joli cul de cette perverse ! Et par expérience je sais que les mots peuvent exciter tout autant que les gestes. Je prends ma plus petite voix, c’est ça ou jouer la militaire qui lui ordonne de jouir et ça n’irait pas avec mon statut de novice.

« C’est vrai que les Celkhane te font fantasmer, Ryouka ? J’espère que je suis à la hauteur, je fais vraiment de mon mieux pour te faire jouir... En plus je sais même pas si on peut vraiment jouir uniquement par là... Et puis j’ai vraiment envie de vous voir faire l’amour toutes les deux, ta sœur et toi... »


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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: lundi 29 avril 2013, 20:03:28 »
Le choix ? C’est vrai que les deux même temps ça aurait été trop gourmand de ma part, mais je n’aurais pas besoin de me concentrer à fond pour la caresser un peu entre les cuisses. Elle vraiment bien, je me demande si j’arriverais à faire au moins aussi bien avec Suki. En attendant j’apprends avec beaucoup d’attention et de plaisir. Ryouka me raconte ensuite ses petites habitudes. Attachées ?! Houlà ! Faut pas non plus trop en demander. Je ne supporte pas d’être attachée, la dernière fois j’ai rasé tout un camp de mercenaires.

Elaine ? Elaine... Ça ne manque certainement pas de jolies filles dans le coin, et une aussi douce que la belle ange semble l’être ne serait pas pour me déplaire. On verra, si ça se trouve elles me ramasseront peut-être encore à la petite cuillère ? Pour l’instant Ryouka me présente sa croupe et puisque ce serait adorable de ma part... Je la contourne à genoux pour arriver derrière cette très tentante paire de fesses. Je pose les mains sur ses cuisses, mes gants sont encore couverts de la cyprine de Nika. Puis je remonte lentement jusque sous sa minijupe. Et je souris.

« Une culotte ? Je m’attendais plus à un string ou rien du tout... Ou peut-être les jouets dont tu m’a parlé ? »

J’écarte un peu la petite culotte pour vérifier ça. Pas jouets.

« Hmmm ! Tu dois avoir hâte après tout ce qu’on vient de faire, ta sœur et moi, non ? »

D’ailleurs je consulte la grande brune du regard, voir si j’arrive au moins à l’amuser en titillant un peu sa cadette. Je glisse les doigts sous sa culotte pour les faufiler à l’aveuglette entre ses fesses. Je suis peut-être une novice mais trouver son petit trou n’a rien de sorcier. Je le caresse doucement du bout d’un doigt, décrivant de lents cercles qui le font frémir.

« Le mien aussi réagissait comme ça ? Ou c’est parce que tu aimes tellement ça que tu ne peux pas attendre ? »

S’il y a une chose certaine, c’est que je ne suis pas trop brutale. En fait je prends un malin plaisir à faire traîner les choses. Elle qui s’amuse à traiter tout le monde salope et faire supplier, j’essaie de me montrer digne de son enseignement. Je me penche pour déposer un petit baiser sur sa fesse toute douce. Puis je retire ma main pour attraper sa culotte et la tirer lentement, mais sans m’arrêter avant de sentir la résistance du tissu qui se tend entre ses fesses. Et je me penche sur elle pour lancer ma main libre vers sa nuque.

« Au fait : hors de question de m’attacher. Mais j’aurais bien aimé vous voir faire l’amour toutes les deux. Si le côté horrible est bien de ne pas se toucher en vous matant, il aurait suffi de me remettre ma culotte avec la sécurité anti-viol. »

Je reviens en arrière et détend sa culotte pour l’écarter, en même temps que ses fesses. Mes pouces viennent rouler sur son petit œillet dévoilé et je vois enfin ce que j’ai senti quelques secondes plus tôt. Je trouve ça fascinant, cette façon dont le petit anneau de chair se contracte sous mes doigts. Et je me penche encore pour glisser ma langue en renfort. Je chatouille le petit trou sans encore y entrer, laissant couler ma salive pour le préparer à la suite.

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Les contrées du Chaos / Re : Le grand jour! [PV Rinako Yukimitsu]
« le: lundi 29 avril 2013, 20:01:53 »
Plus ça va plus j’ai envie de l’embrasser. Quel meilleur réveil que toutes les deux ? Je n’en vois pas, mais il faut dire que je ne me creuse pas trop la tête. Je voudrais déjà être au lit avec elle, bien au chaud dans ses bras. Je suis devenue une sacrée perverse depuis quelques dizaines d’heures mais ce qu’on pourrait faire n’est qu’un détail du moment qu’on est ensemble. La voir froncer les sourcils me donne encore plus d’envies affectueuses, c’est que je préfère ma petite amie avec le sourire. Mais je manque d’avaler ma glace de travers en voyant ce qu’elle me montre.

« Ouais... C’est presque trop ressemblant... T’as vu la bleue ? On dirait le Colonel Sokoku... Sauf la poitrine. »

Dans le commando on est vraiment très strictes sur les règles : les gros obus sont pour les supérieures. Je pouffe de rire en imaginant les lapines en peluche pendant le briefing, pour un peu je lâcherais la barquette de glace. Je suçote la cuillère de Suki en écoutant sa proposition avant de lui rendre la béquée. Minute, ma fille : ça c’est pas un geste qu’on fait entre bonne copines. Mais si je m’écoutais lui servirais la glace directement avec ma langue.

« Ok, mais à ce stand... En fait non, à tous les stand : on gagne un cadeau de chaque ! »

Ça devrait suffire pour un anniversaire général à l’orphelinat, et j’ai envie de me la péter un peu devant ma petite copine. Avec un fusil de précision je suis un vrai boulet, avec un fusil d’assaut je suis potable, une mitraillette dans les mains je me débrouille, mais avec un flingue... C’est la seule arme que je maîtrise à la perfection, et je ne mettrais jamais mieux ce talent à profit que pour offrir une lapine en peluche à ma Suki d’amour. Je lui tend une autre cuillérée de glace à la fraise en tendant la barquette vers un grand bâtiment.

« En attendant : on va faire ça ! »

Et il y a quand même des chances qu’on craque et qu’on s’embrasse, là-dedans. La maison hantée ? Non : le Z-G Dedalus ! Le labyrinthe en apesanteur, aux salles et aux couloirs capitonnés, rien de vraiment fort en adrénaline. Rien de sombre non plus, ambiance station spatiale. Une attraction très prisée des amoureuses, mais bien plus fréquentée que la grande roue. Difficile d’y trouver un coin tranquille pour ne serait-ce qu’un baiser en privé, avec tout monde qui flotte dans tous les sens. Enfin, il paraît... Mais c’est d’autant plus excitant. Encore quelques cuillérées de glace et la barquette vide file à la poubelle.

« La gravité zéro sans combi, et en moins de cinq heures de vol. C’est une attraction assez récente, je l’ai jamais faite. »

Au moins Suki aura une de mes premières fois. Encore que je n’ai pas encore bu d’alcool. Moins romantique que de faire de moi une femme, mais je sais bien que si je n’avais sauté le pas avec une autre je n’aurais jamais eu le courage de lui avouer mes sentiments.

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Les contrées du Chaos / Re : Le grand jour! [PV Rinako Yukimitsu]
« le: lundi 22 avril 2013, 15:10:08 »
Bin pour le coup je me sens conne. Je ne sais pas si c’est parce qu’elle est plus âgée que moi et plus expérimentée mais je baisse les yeux en remuant les doigts dans sa main. Je me sens comme la recrue toute contente d’avoir réussi à remonter son arme quand l’instructrice lui montre le percuteur magnétique qu’elle a oublié. Et elle va s’imaginer que je serais pas restée accrochée à elle jusqu’à m’endormir, en plus ! Elle a l’air dépitée rien que de se l’imaginer, d’ailleurs. Moi je me retiens de rire et sur tout de la prendre dans mes bras devant tout ce monde pour l’embrasser.

Elle vient justement poser la tête sur mon épaule. Je penche la mienne pour lui répondre tout bas

« C’est pas toi que j’essayais d’embobiner, Suki. Les autres ne sortent pas toutes en uniformes, surtout pour aller au parc d’attraction avec les enfants. »

Et les mères de famille, dans l’armée en général elles sont plus gradées que nous. Si une sœur nous voit seulement là, gentiment collée l’une à l’autre : ce n’est déjà plus la peine de nous cacher. Je sais déjà qu’il va me falloir du temps pour combler la fille de mes rêves, lui donner la femme, la famille et le foyer qu’elle souhaite tant. Ça ne se fera pas aujourd’hui et chacune a ses démons à affronter, mais maintenant elles sont deux pour ça. Autant commencer par passer une bonne journée, une belle soirée et une loooooooongue nuit. Je ne suis pas idiote au point de lui sortir tout ce que m’ont appris les frangines perverses m’ont appris, d’ailleurs je ne suis pas équipée pour ça.

Et surtout aujourd’hui je n’ai plus à craindre de perdre le contrôle. Je suis parfaitement détendue, parfaitement heureuse, et je n’ai plus peur de déchaîner une tempête de flammes si elle m’embrasse. Un petit tour dans la centrifugeuse m’aidera peut-être à refroidir quand même. Je brûle d’une tout autre façon, et quand elle est si près de moi c’est difficile de me retenir de l’embrasser. Ma petite amie ! J’ai hâte de me réveiller à nouveau près d’elle, et de rester cette fois... Il serait peut-être temps que je me réveille, ça commence à tourner vite. Je tourne la tête pour sourire à Suki. Ce n’est pas par peur que je serre sa main comme ça, c’est juste que sinon je risque de la lâcher.

Maintenant que j’y pense, je me demande si on risque pas de faire un peu les connes au prochain vol d’entraînement. D’ailleurs il faudra que je la prenne sur mon dos un de ces quatre et que je lui fasse faire un petit tour. Il y aura autant de vent mais on prendra moins de G ! Ça donne quoi, un lifting sur des ados ? On aura la réponse en sortant. Je m’en fous, je tiens mon amoureuse par la main et je ne fais que la regarder. Sans la rambarde de sécurité je l’aurais carrément dans mes bras. D’ailleurs je pense que je vois d’ici la prochaine attraction qu’on va faire.

On sort de là toutes ébouriffées, et même si on marche plus droit que les autres je saute sur l’occasion de passer un bras derrière la taille de ma petite amie. Les écrans dans le couloir de la sortie montrent les bonnes tronches aux sourires forcés, et les filets de bave des victimes de la centrifugeuse. Sauf sur un écran où deux filles se tiennent par la main en se regardant, leurs visages nimbés d’un flot or et rose. Je ne peux pas m’empêcher de rire en nous voyant comme ça au milieu des toutes ces femmes qui ont mal au cœur, et de leurs gamines qui veulent un deuxième tour.

« Elles sont craquantes, tu trouves pas ? Un petit souvenir ? »

Je plante un petit baiser sur sa tempe et je sors ma carte de crédit de ma ceinture. Il faudra penser à vite sauvegarder ces images, les clés de ce genre ont tendance à vite se dégrader. Retour à l’air libre et il me semble qu’on avait parlé d’une glace. On file au premier stand venu. Dans le catalogue Yukimitsu je ne vois rien pour la première sortie avec ma petite amie. Mais j’ai une petite idée que je ne manque pas de soumettre à ma jolie blonde.

« Tu crois que c’est trop cliché si on partage une glace vanille-fraise ? »

Sinon c’est noisette-menthe givrée à la limite pour les yeux, mais je pense que ça serait pas un bon mélange. Une barquette avec deux cuillères en plastique et nous voilà reparties. Je tiens la glace, après tout c’est elle qui paie toutes les attractions depuis le début. On déambule à petits pas dans la foule, l’une tout près de l’autre. J’adore la regarder. Regarder sa main qui tient la cuillère, qui monte vers ses lèvres. Je baisse la tête une minute. Je sens que je rougis et je n’arrive pas à dompter mon sourire. Plus j’essaie de le tenir plus il grandit.

« Pour moi aussi ça allait de soi. »

Je relève les yeux vers elle, et je sourie de plus belle. Je suis heureuse, je n’y peux rien alors pourquoi lutter ?

« Je veux pas te quitter de la journée... Je veux rester avec toi jusqu’à ce soir et... Et demain matin tu te réveilleras pas toute seule. »

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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: lundi 22 avril 2013, 15:09:04 »
« Pas aussi bon que ton coup de langue. »

Je débute, peut-être bien mais c’est loin d’être aussi calculé que ce qu’elles m’ont fait. Surtout Ryouka, en fait. Ce qu’elle a fait de ses doigts... Je devrais peut-être passer plus de temps à pianoter ? En tous cas pour une fois on est d’accord du premier coup. Mais ça fait aussi du bien de faire un petit câlin et de reprendre son souffle. Ça va finir par vraiment me donner soif, tout ça. Parce que je sais très bien que c’est pas fini et je veux continuer : je n’en ai goûté qu’une sur deux.

Et la deuxième vient gentiment me rappeler qu’elle veut ce que j’ai promis en se glissant derrière moi pour me caresser. Et un nouveau frisson. Pas nouveau au sens où je ne l’ai jamais ressenti, mais il ne m’a jamais excitée de cette façon. D’ordinaire ce frisson est bien plus rapide. Pas une décharge massive, un choc violent et intense qui vous tord sur le lit pendant qu’une jolie perverse vous trifouille les orifices. C’est tout aussi primaire, mais c’est bien la première fois que je le ressens ainsi. Ce n’est pas une fin au soi comme un orgasme, en fait c’est tout le contraire.

D’habitude ce frisson tend mes muscles, mais juste un peu. Il monte se loger dans ma nuque comme pour prendre le commandement de mon organisme. Il se répand dans mes membres, une légère secousse pour s’assurer que tout le monde est sur le coup. Et il ne dit qu’une chose : que mon dos est exposé. Ici il n’y a aucun danger, mais d’aussi bonnes raisons de me secouer un peu. Je lâche un soupir plaintif, les yeux fermés, en frottant ma joue contre la poitrine de la belle brune.

« Moi j’ai de grande sœur avec des gros nichons pour me faire un bon oreiller. »

Il y a bien une ou deux de mes supérieures qui feraient l’affaire. Mais il y en a une en particulier qui n’a pas une grosse poitrine, et que je veux revoir avant toutes les autres. Mais plus tard. Je lâche un petit rire à la réplique suivante de la petite sœur.

« Il faudra que tu me montres ça, Ryouka. Mais... »

Je me dandine pour quitter à regret la poitrine de Nika, non sans quelques petits baisers. Me retrouvant face à Ryouka je lève la cuisse pour la poser sur sa hanche, et frotter doucement la jambe sur la sienne. Elle a vraiment de beaux yeux. Moins de poitrine que sa grande sœur mais bien assez pour plaire à mes doigts.

« Je suis d’attaque pour... Comment tu dis, déjà ? Défoncer ta chatte comme celle de ta salope de sœur ?... Et si tu veux bien, je peux aussi doigter ton cul ? Je suis là pour apprendre. »


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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: vendredi 19 avril 2013, 14:59:12 »
Mais comment elles font pour parler aussi bien ? Ryouka ce n'est pas étonnant, mais quand j'étais à la place de Nika j'avais un peu de mal. Au moins j'arrive à piger ce qu'elle disent, et à me faire comprendre d'une certaine façon.

" Hinh ! Oui... Excitée... "

Une excitation nerveuse qui fait trembler tout mon corps, surtout mon bras droit qui remue pour donner du plaisir à Nika. Et le commentaire de Ryouka me tord d'un autre frisson bien moins agréable. Oui, ses petites fessées m'ont excitée. Je n'ose pas l'avouer. Je suis la honte de l'archipel et à mon retour on va me donner une médaille. Mais sous la honte il y a autre chose. J'aime ça, c'est ce que je veux et s'il faut des excuses je les chercherais plus tard. Elle a bien senti, elle bien compris et je ne suis pas obligée de m'abaisser à le dire... du moins si elle ne tarde pas trop à recommencer.

Pas tout de suite ! Ses mains font tellement mieux en ce moment. D'ailleurs c'est impressionnant ! Elle arrive à jouer des doigts dans mes deux orifices, et à me parler à l'oreille. Je suis plus petite qu'elle mais ça ne doit pas être facile pour autant. Avec tous ces efforts et ces sensations intenses j'ai les larmes aux yeux, je vois flou. Les mains de Nika sur ma tête m'en autant sur son plaisir que la petite tâche d'ombre qui danse lentement sur son ventre. C'est fou ce que ça bouge un nombril, en fait.

Et soudain la langue de Ryouka touche un point plus sensible que ses doigts : ma fierté ! Ouais, j'en ai quand même un peu. Il a fallu que je donne tout pour devenir sergent aussi vite ! Je suis pas une bleusaille !... Ha bah si, en fait. Mais je fais de mon mieux ! Elle est marrante, c'est pas elle qui se fait lécher et doigter depuis tout à l'heure... De quoi je me plains, au final ? Bon ! Il va falloir que je gagne mes galons encore une fois. J'espère que ça va pas me prendre sept ans de plus. Et elle me chatouille le dos avec ce qui a tout l'air d'être sa poitrine... Je redresse un peu la tête.

" Instructions ? "

Un autre doigt... Comme ça... Mon index n'a aucun mal à se glisser dans la chatte de Nika, mais j'ai du mal à aller et venir sans tressaillir toutes les deux secondes. Surtout quand la petit sœur Spänje offre le même traitement à mon cul.

" Gyahinh ! "

Mon corps résiste, et y trouve un peu de répit. La gêne physique et la douleur qui reviennent me distraient un peu du reste. La seconde suivante l'excitation revient au galop. Tous ce qu'elles font et tout ce qu'elles disent me rend folle, surtout Ryouka. Ses mains ne vont plus au même rythme. Devant ils sont beaucoup plus joueurs, derrière ils poussent encore avec lenteur et fermeté. Je resserre mon petit anneau quand elle dit qu'elle aime ça, ou plutôt je le laisse réagir à l'intrusion. Maîtriser mon souffle et ma voix est de plus en plus difficile.

" Merci... "

Je serre les dents, mais ce n'est pas parce que ça mal. D'ailleurs la douleur ne fait qu'épicer un peu plus tout ce plaisir. Je sens que ça revient, je vais encore finir KO... Et c'est pas une bonne nouvelle ! Honnêtement je ne regrette déjà plus la tente, il faut l'avouer. Quoique j'aurais pu avoir Nika d'abord et les deux ensuite ? On s'en fout, c'est pas le problème ! Nika ne m'a pas eue pour elle toute seule, je ne veux pas lui faire faux-bond une fois de plus. Je ne sais si Ryouka est au courant mais elle ne m'aide pas ! Elle n'est pas là pour m'aider. Elle est mon instructrice : elle me met à l'épreuve.

Je peux encore prendre l'initiative et je le fais. Je laisse mon coude retomber sur le matelas, et mon autre bras prend de la vitesse. Je sors des rails pour ne pas être la seule à partir dans le décors. Ma tête descend se poser sur le bas-ventre de la brune, ma langue sort en reconnaissance. Cap au sud pour prendre d'assaut le petit bouton offert tout en haut de ses lèvres. Le mien est pilonné tout comme mon petit trou, la résistance est intenable. Mais je ne dépose pas les armes. Je m'acharne à tenir, forcer le rythme de mes doigts. Quand ils entrent me reste de ma main tape sur les lèvres intimes de Nika, quand je tressaille ils s'agitent à l'intérieur. la tête de travers je suçote son clitoris entre deux gémissements plaintifs.

Tout s'embrouille dans ma tête. Mon corps va craquer, il veut craquer. C'était tellement bon la première fois que j'ai du mal à me convaincre de retenir le plaisir. C'est pas logique, même pour mes instincts les plus irrationnels. Une seule idée me fait gagner quelques secondes, quelques gestes de plus : plus je résiste, plus elles m'assaillent. L'une de ses doigts et de ses commentaires pervers, mais non moins touchants. L'autre de ses gémissements de sa mouille éclabousse mon menton et ma gorge. Mais la bataille est perdue d'avance.

Ma résistance ne s'effondre pas : elle est carrément désintégrée d'un coup. La deuxième part de la rétribution des héroïnes est plus violente que la première. Une fraction de seconde je me revois sur la chaise où Rayka m'a torturée. La tension qui tend mon corps n'a rien à envier à l'intensité des décharges électriques. Mais je ne m'enflamme pas. J'attendais ce choc avec impatience, la récompense de mes vaillants efforts. Je sens ma chair qui tremble et se contracte autour des doigt Ryouka. Mon bras gauche se tend, me redresse et j'arrive à peine à garder les doigts dans la fente trempée de Nika.

Après la décharge mes forces m'abandonnent. Je retomber en avant et mes genoux glissent sur le draps imbibé. Ma tête tombe sur quelque chose d'humide, mais surtout de doux et tendre. Suis étalée de tout mon long, mon bras engourdi est encore sous mon ventre, et mes doigts remuent mollement. Je ne sais pas si j'ai réussi à la faire jouir avant de m'effondrer sur sa poitrine.

" Nika...? "

De ma main libre je m'essuie les yeux pour les lever vers le visage de la brune. Je vais avoir du mal à reprendre mon souffle tant que j'aurais pas le verdict.





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