Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Karen Starr

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Aussi grand que soit ce manoir, il n’y avait qu’une seule sortie, alors, partant de là, Karen avait les moyens de les bloquer. Les Rossi étaient des criminels endurcis, mais, dans leur soif, ils avaient été trop gourmands. Bien trop gourmands. Si les Rossi avaient la mainmise sur les autorités locales, ils ne les avaient pas sur le SHIELD, qui avait le bras long. Pour les convaincre d’agir, Karen leur avait prouvé que, parmi les éléments du trafic de ce soir, il y aurait des objets de contrebande venant de dimensions alternatives, comme les artefacts, ou même certains esclaves vendus. Ces éléments étaient suffisants pour amener le SHIELD à intervenir, et pour contraindre la police italienne à les aider. Karen avait donc du soutien, et de quoi ébranler ce trafic. Elle savait que le SHIELD pistait ces gens. Les Guramu, depuis leur position privilégiée à Seikusu, s’étaient considérablement enrichis en vendant des armes futuristes venant de Tekhos, des Terranides, des artefacts magiques, des gemmes… Les Rossi étaient l’un de leurs clients. Pour l’heure, tous ces criminels en col blanc fanfaronnaient, mais, d’ici peu, Helena et Karen allaient leur rappeler la toute-puissance de la justice.

*Même si je n’ai aucune confiance dans le SHIELD, ils seront tout de même plus indiqués que moi et Helena pour s’occuper de toutes ces pauvres femmes…*

Karen était furieuse, outrée de voir combien l’Homme aimait exploiter son prochain, et combien, en définitive, l’Homme n’était rien d’autre qu’un loup pour l’Homme. Les Rossi et, de manière générale, les mafieux, avaient toujours profité de la misère humaine pour s’enrichir grassement. Très souvent, Karen avait demandé à Kal’, son père, pourquoi ce dernier avait choisi de protéger les humains, alors qu’ils étaient si prompts à se déchirer entre eux. Et, à chaque fois, son père lui avait expliqué combien sa position était difficile, combien il était tentant de sortir de son rôle de protecteur pour assumer des fonctions plus politiques. Sur Earth-2, Superman avait été terriblement populaire, et, à chaque élection présidentielle américaine, quand on demandait au peuple son avis, l’Homme d’Acier caracolait toujours en tête des sondages. Pour autant, Kal’ avait toujours refusé ce rôle, en expliquant patiemment à sa fille que la Terre n’était pas un monde parfait, et que les humains étaient faillibles, comme tout un chacun, et qu’il fallait protéger les plus faibles contre les plus forts, en lui expliquant, philosophiquement, que, sans fort, il n’y avait pas de faible.

Pour l’heure, Helena prenait son mal en patience. Très proche d’elle, Karen savait qu’elle avait eu une aventure avec Ishtar Naviento, une dragonne noire de Terra, et qu’elle était même devenue brièvement son esclave sexuelle. Power Girl n’avait pas spécialement apprécié, mais, après tout, quand elle et Helena faisaient l’amour, le jeu de domination apparaissait rapidement, et Helena était revenue en un seul morceau. Son amante défendait la soumission volontaire, pas cet esclavage forcé et barbare.

Cependant, un imprévu eut lieu quand un garde amena Helena auprès de la vieille dame perverse. Karen prit son mal en patience, se mordillant nerveusement les lèvres. Ils se rendirent vers les cuisines, où Helena perdit rapidement patience, et se débarrassa rapidement du couple libertin, ainsi que du garde, rejetant ainsi la proposition de la vieille femme d’en faire son esclave personnelle.

*Ces types sont cinglés… Ils ont tellement d’argent qu’ils tentent de monnayer ce qui, par définition, ne peut, et ne devrait, se monnayer : la liberté.*

Karen félicita rapidement Helena.

« Tu as bien fait, ma chérie. Cette vieille mégère ne l’avait pas volé. »

Oh ça non ! Helena, de son côté, retourna rapidement vers la vente, où les deux filles virent alors le fameux artefact. Antonio Rossi le tenait à deux mains, le soulevant en l’air, comme une sorte de prédicateur.

« Admirez-le ! Ce puissant artefact provient de contrées éloignées, au-delà des confins notre réalité… »

Prête à intervenir, Helena lui ordonna alors de couper les lumières. Karen acquiesça rapidement, mais, quand elle appuya sur le bouton… Rien ne se passa.

*Hein ?*

Au même moment, des neiges retentirent dans le communicateur d’Helena, amenant Karen à grimacer. Des hurlements résonnèrent dans la foule, tandis que l’artefact, sous les yeux éberlués de cette dernière, se mit à s’élever dans les airs. Il représentait une sorte de masque aux motifs dorés, et Antonio Rossi hurlait de douleur, en lévitant avec lui, battant inutilement des jambes. Deux gardes tentèrent de le retenir par les jambes, mas le masque se mit soudain à crépiter, ses yeux se mettant à luire en violet, une lueur qui devenait de plus en plus vive, de plus en plus intense, avec un bourdonnement redoutable… Jusqu’à ce que deux rayons d’énergie ne sortent des yeux, provoquant une violente explosion.

Rossi hurlait de douleur, tandis que ses mains, comme soudées au masque, étaient en train de se calciner sur place, brûlant au contact mortel du masque.

« Impur qui a cru pouvoir voler le Masque, le vendre comme on vend un bout de tissu au coin du marché ! »

Karen comprit que la magie était à l’œuvre, perturbant ses systèmes.

« Helena ?! HELENA !! »

Rien à faire, tout était saturé, et plusieurs de ses mini-drones avaient grille. Elle en enclencha un autre, plus en hauteur, et put voir que des éclairs violets fusaient depuis le masque, frappant aléatoirement les convives, les transformant en torchères dans d’horribles hurlements d’agonie. Au milieu de la panique, une silhouette encapuchonnée s’approchait, sa main griffue tendue vers le masque, psalmodiant des litanies.

Les vitres des mezzanines explosèrent alors, et libérèrent des hommes en tenue noire de commando, tandis que des portes supplémentaires s’ouvraient pour vomir des tueurs supplémentaires, équipés de fusils d’assaut, de lunettes infrarouges, et qui canardèrent la foule. Les agents de sécurité répliquèrent rapidement, tandis que le mystérieux mage, au centre de la cohue, se rapprochait du masque, s’approchant ainsi d’Helena.

« Emparez-vous du Masque ! Vite ! »

Plusieurs commandos tirèrent sur le mage, comme pour le retenir, mais leurs balles rebondirent contre un bouclier magique qui le protégeait. Karen se reporta depuis ses cartes satellites, et se pinça les lèvres en constatant que plusieurs vans noirs blindés venaient d’approcher l’entrée de la résidence, défonçant le portail d’entrée, et libérant des tueurs, qui se heurtèrent aux mafieux sur place.

*Qui sont ces types ? Et ce mage ? Helena, merde…*

Le plus effrayant était toutefois encore à venir, car, tandis que le mage s’approchait toujours de l’artefact, les corps touchés par les éclairs de l’artefact se relevèrent lentement, révélant des visages hideux et des corps monstrueux. De longs museaux hérissés de dents pointues et épaisses, et des griffes longues et acérées. Les morts se relevèrent donc, transformées en monstres redoutables, et s’attaquèrent à tous les humains présents.

En quelques instants, la situation avait dégénéré dans le chaos le plus complet.

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Pendant longtemps, Karen avait cru, avec Helena, être la seule personne venant d’Earth-2, son monde natal, qui avait été ravagé par les forces de Darkseid, menées par l’une de ses plus fidèles lieutenants, Steppenwolf. Elles avaient fui un monde ravagé par la guerre, et s’étaient reconstruites ici. Malgré toute sa technologie, et les innombrables Failles qui existaient à Seikusu, Karen avait été incapable de recréer un portail vers Earth-2. Apprendre qu’il existait des artefacts et d’autres personnes originaires d’Earth-2 avait vivement relancé l’intérêt de Karen, qui espérait pouvoir ainsi retrouver un moyen de retourner sur son monde... Mais elle craignait aussi, dans la foulée, que tout ça soit des mauvais signes, annonciateurs d’une nouvelle invasion de Darkseid. Ce monde avait déjà survécu à un premier choc avec lui, mais n’avait pas rencontré l’essentiel de ses troupes.

Pour le moment, Karen s’intéressa au sauvetage d’Helena, qui se fit sans problème. Toujours aussi agile, ayant hérité ses talents d’escalade de sa mère, elle se rua vers l’individu, et le neutralisa tout aussi rapidement. Éberluée, la serveuse était en état de choc, et allait vraisemblablement choisir, pour le reste de la soirée, de se terrer dans cette chambre.

« Okay... Parfait, Helena. J’ai piraté le passe magnétique, ça devrait passer. »

Helena put ainsi rentrer dans le grand hall. Une vaste pièce avec des buffets, où le champagne coulait à flots. Il y avait une véritable armée privée ici, des statues dans les coins, d’énormes lustres... Le long d’enceintes discrètes, le Rigoletto de Verdi se diffusait, et Karen pouvait entendre la fameuse chanson « La Donna È Mobile ». Karen devait reconnaître que l’endroit était très cossu. Et dire qu’on osait prétendre que le crime ne payait pas... La belle femme se pinça les lèvres, en voyant Helena évoluer au milieu d’individus. Karen disposait d’instruments très perfectionnés, et scannait chaque visage vu, son ordinateur utilisant ensuite un logiciel de reconnaissance faciale pour étudier les invités. Il y avait essentiellement des Européens. Politiciens, hommes d’affaires, juristes... Les riches étaient aussi corrompus que les pauvres, mais s’arrangeaient entre eux pour être insoupçonnables.

Karen restait silencieuse, laissant ainsi le soin à Helena de se rapprocher. Arrogants et sûrs d’eux, les convives n’hésitaient pas à la peloter, ce qui agaça aussi Karen.

*S’il y en a une qui doit la peloter, c’est moi, sales porcs !*

Un homme finit ainsi par poser sa main sur le menton d’Helena, et se tourna vers sa femme, une personne ridée et assez âgée, avec une longue robe rouge brillante.

« Et celle-ci, darling ? Vous en pensez quoi ?
 -  J’aime cet air de rébellion dans ses yeux... »

Elle s’approcha d’elle, faisant claquer ses talons, et sourit de manière perverse.

« Oui, elle serait parfaite pour... »

Les lustres s’éteignirent alors, et la voix d’Antonio Rossi résonna alors, depuis une estrade au fond de la salle, offrant à Helena une échappatoire. L’homme portait un impeccable costume, et remercia ses convives de leur présence.

« Ma maison est vraiment ravie d’accueillir autant de personnalités, et j’espère que cette vente se déroulera de manière aussi fructueuse que les précédentes. »

Antonio poursuivit son petit discours pendant quelques instants, avant de passer aux choses sérieuses.

« Notre premier lot comprend deux articles : une superbe Caucasienne âgée de 17 ans, et une Arabe du même âge. »

Sur une porte latérale, des gardes du corps supplémentaires entrèrent, amenant avec eux deux femmes portant des bijoux sur le corps, mais qui étaient toutes nues, et dont les yeux laiteux témoignaient du fait qu’elles avaient été droguées.

« Elles sont vierges, cela va de soi. »

On les déplaça au milieu de la salle. Les deux avaient un collier autour de leurs cous, avec une chaîne qui les reliait. Rossi reprit alors, en énonçant la mise de départ.

« Ne t’inquiète pas pour elles, Helena, on va les sortir de là, mais il faut d’abord qu’on attende l’artefact... »

Pour l’heure, et aussi difficile que ce puisse être pour Huntress, il fallait ronger son frein...

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Karen avait réalisé une chose importante, une différence entre ce monde et celui d’où elle venait... Sur le sien, il n’existait pas une organisation aussi influente que le SHIELD. Ce véritable monolithe était une organisation dont elle se méfiait, mais qui avait fait le boulot. Après leur mésaventure avec le contact d’Helena à Seikusu, Karen avait tenté de se renseigner, de son côté, sur Akio Atokushi, cet ancien Procureur qui s’était transformé en une espèce de monstre. Cependant, la théorie officielle était qu’Atokushi avait été tué chez lui des mains d’un forcené, un mutant qui avait été appréhendé par les équipes du SHIELD au port, après une cavalcade spectaculaire. Le pouvoir de manipulation d’information de cette organisation était redoutable. Dans un monde cybernétique, et où l’information était le nerf de la guerre, le SHIELD avait exercé, et ce en un temps record, un superbe travail de censure, qui aurait probablement fait rêver tous les Hitler et les Staline en goguette à travers l’Histoire. Il n’y avait tout simplement aucune information sur Karen Starr et Helena Wayne, et rien qui n’indiquait que le cadavre retrouvé était celui d’Atokushi. La version officielle était que le mutant était un ancien délinquant, condamné jadis par Atokushi, souffrant de graves problèmes psychiatriques, et qui avait décidé de rejoindre des organisations islamistes en devenant un cobaye. Un forcené, autrement dit. Karen n’avait pas retrouvé le cadavre d’Atokushi, et avait même eu la visite désagréable de plusieurs agents du SHIELD.

« Vous ne devriez pas être si surprise, lui avait-on expliqué. Chaque jour, les différents services de sécurité du monde combattent quantité de menaces dont les braves citoyens n’ont même pas conscience. Terroristes, fanatiques, kamikazes, extraterrestres, méta-criminels... Le monde est une pépinière prête à exploser, une cocotte-minute qui s’emballe. Les gens n’ont pas à savoir tout ça. C’est notre rôle d’éviter des crises de panique, et des actions illégitimes de quelques personnes privées pensant naïvement que pouvoir voler leur confère une responsabilité plus grande que les autres n’ont jamais été appréciées de notre organisation. »

La Kryptonienne n’avait rien dit à Helena de cette entrevue. Karen se méfiait du gouvernement en raison de son père, qui lui avait parlé des expériences du projet Cadmus, et des tentatives multiples, du gouvernement américain, de se créer leur propre Superman. Mais Helena, elle, se méfiait encore davantage du gouvernement. Quand on avait comme parents une voleuse et un individu qui avait toujours eu une vision cynique du système, il ne fallait pas en attendre autre chose. Dire que le SHIELD les surveillait était la meilleure manière d’amener Helena à les confronter directement, et Karen n’avait vraiment pas besoin de ça.

Car, même malgré les protocoles de sécurité du SHIELD, elle n’était pas dénuée de capacités. En explorant le passé d’Atokushi, elle avait découvert que le Procureur modèle avait été un élève pauvre. Il était issu d’origine modeste, et avait toujours voulu s’élever dans l’ascenseur social. Pour ça, il avait entrepris des études dans la prestigieuse université de Tokyo, réputée pour son enseignement du droit, la fameuse Tōdai. Cependant, faute d’avoir de l’argent pour financer ses études, il s’était visiblement retrouvé dans des ennuis importants. Karen en avait eu la confirmation en suspendant dans le vide un Yakuza à Tokyo, qui n’avait eu aucune difficulté, après avoir fait un vol plané, et avoir vidé sa vessie, à lui parler des petits secrets de ce Procureur de Seikusu.

Le dossier était encore flou par moment, mais Karen pensait que c’était à ce moment que le Procureur avait rencontré l’homme qui lui avait conféré ses pouvoirs magiques. En effet, contrairement à ce que le SHIELD affirmait, le forcené n’était pas un mutant, mais un magicien. De simples pouvoirs mutants ne pouvaient pas affaiblir autant Power Girl. Les Kryptoniens ne se connaissaient que deux faiblesses : la kryptonite et la magie. Atokushi avait peu à peu sombré dans l’alcool, la dépression, et la prostitution. Il y avait un trou de plusieurs années, où il était ensuite devenu l’un des élèves les plus brillants de l’université. Que s’était-il passé entre-temps ? L’enquête de Karen l’avait amené sur les pistes d’un artefact qui était détenu par les Yakuzas. Sur le coup, elle avait réussi à doubler les agents du SHIELD. Les Yakuzas avaient volé cet artefact à Atokushi quand il avait commencé à reprendre du poil de la bête.

« Il était à lui, ce putain de caillou ! avait hurlé un Yakuza dans sa voiture, alors qu’elle était maintenue au-dessus d’une falaise avec des récifs escarpés en contrebas. Il l’avait ramené de son voyage en Himalaya, et nous a dit qu’il n’en avait plus besoin ! Ce bijou valait une fortune ! »

Le clan yakuza qui l’avait récupéré avait fini par le vendre aux Rossi, probablement en réalisant, outre sa valeur, le fait qu’ils n’arrivaient pas à s’en servir, et les Rossi, en constatant leur échec, avaient également tenté de le vendre. L’essentiel, c’était de récupérer cet artefact avant que le SHIELD débarque, et si, dans la foulée, on pouvait en profiter pour faire tomber quelques criminels, ce serait un luxe appréciable.

Karen observa à nouveau la situation. Les femmes arrivaient depuis la mer, dans des voiles destinées à dissimuler leurs formes. Ce manoir était immense, comprenant des grottes naturelles. Historiquement, le manoir avait servi pendant l’époque de Mussolini, et un port clandestin avait été fait dans la montagne, pour permettre aux résistants de venir depuis la Sicile sur le continent.

Helena, de son côté, s’infiltra dans la demeure par les vastes jardins du manoir, situés à l’arrière. Il s’agissait de multiples terrasses et petites cours, avec de nombreux gardiens.

« Infiltre-toi à l’intérieur, ma belle... »

Elles avaient réussi à se procurer des plans du manoir, et la vente aurait sûrement lieu dans le Grand Hall, une vaste pièce situé au centre, avec une grande mezzanine comprenant des terrasses, et plusieurs lustres. Les convives étaient déjà là, tandis que des serveuses, toutes très belles, leur offraient des rafraîchissements.

Karen avait confié à Helena de petits appareils, minuscules, des drones équipés de caméras, qu’elle utilisait pour la soutenir. Ils étaient des produits issus de son propre laboratoire, et elle put ainsi observer que la sécurité était très importante. Le Grand Hall ne comprenait aucune poutre et aucune ouverture.

« Il faut que tu rentres là-dedans, ma beauté... Le mieux, ce serait que tu te déguises en serveuse. »

Power Girl put ainsi observer que chaque serveuse disposait d’un passe magnétique, que les gardes observaient dans un scanner. Fort heureusement, Helena avait avec elle un Smartphone, et Karen avait joyeusement bidouillé ce dernier. Elle pouvait donc l’utiliser pour pirater une carte magnétique, mais aussi s’en servir comme une sorte de radar, afin de scanner le contenu des téléphones portables des convives. Rien de très exceptionnel là-dedans, des appareils capables de scanner le contenu des portables étaient disponibles au grand public. Londres en avait même équipé ses poubelles pendant un temps, des scanners analysant le contenu des Smartphones des passants pour diffuser, sur des écrans numériques, des offres publicitaires en fonction de l’historique de consultation.

Les serveuses étaient dans le Grand Hall, mais se déplaçaient aussi fréquemment. Il ne s’agissait pas d’esclaves, et, en scannant leurs visages, à l’aide de ses logiciels de détection, elle put voir qu’il s’agissait de filles sans histoire, probablement des adolescentes de la région qui avaient été embauchées par les Rossi. Certaines n’hésitaient pas à se laisser flirter, et filaient dans les chambres, espérant ainsi toucher quelques deniers de la part de ces gens riches. Hélas, l’une d’entre elles se retrouva en fâcheuse posture, car elle était attachée au lit, et un homme, gras comme une baleine, était en train de déboucler sa ceinture.

« N-Non... ! Pi-Pitié, arrêtez ça... !
 -  Ta gueule, salope ! »

Il la fouetta alors avec la boucle de sa ceinture, et la jeune fille, qui pleurait, poussa un hurlement de douleur. Karen, comprenant qu’elle ne simulait pas, se pinça les lèvres.

« Helena ? Il faut que tu interviennes. Chambre 32, au troisième étage. Il y a un balcon, tu peux l’atteindre en grimpant depuis l’extérieur... »

L’homme ricanait grassement, en massant les fesses de la jeune femme, visiblement prêt à la violer sur place, et à la battre dans la foulée.

124
Domaine Rossi
Italie


L’impressionnante demeure se dressait à flanc de falaise, surplombant la Méditerranée et la plus proche ville de la région. Un ancien fort médiéval, qui était maintenant la propriété de la puissante famille des Rossi. Antonio Rossi, le Patriarche de la famille, était un individu très connu dans les hautes sphères italiennes, un proche de Silvio Berlusconi, et l’un des soutiens actifs de la Ligue du Nord, ce parti politique nationaliste voulant couper l’Italie en deux. Disposant de plusieurs vignobles, les Rossi produisaient leur propre vin, et, historiquement, étaient d’ailleurs connus pour leurs activités viticoles. Cependant, avec le temps, les Rossi avaient bien développé leur activité, incluant, entre autres choses, la prostitution de luxe, le trafic pédophile, et la vente aux esclaves. Leurs clients participaient aux soirées très privées que les Rossi organisaient dans leur somptueuse demeure, et enviaient ce caractère privé. Il était tout simplement impensable que la police vienne les voir. Narcotrafiquants sudaméricains, mafieux russes, hommes d’affaires américains véreux, émirs corrompus, les Rossi ne ciblaient définitivement pas la basse population dont ils se prétendaient être les défendeurs.

Proches de Cosa Nostra, la fameuse Mafia sicilienne, ces individus étaient tout, sauf des hommes respectables. Ils profitaient des crises de migrants pour se fournir en esclaves auprès des passeurs méditerranéens. Des Syriens, des Érythréens, des Turcs kurdes fuyant les tueurs d’Erdogan… La guerre et la dictature amenaient leur lot continuel de miséreux et de souffreteux, et, quand on leur proposait un repas chaud, en se faisant passer pour les membres d’ONG ou de mouvances extrémistes comme « No Borders », les gens ne se méfiaient pas. Il fallait bien les rendre un peu présentables avant de les vendre, et, en toute honnêteté, il n’était pas si difficile que ça de les convaincre. Quand ils venaient avec toute leur famille, il suffisait de pointer un pistolet sur la tempe de tel ou tel gosse pour que la mère, ou la grande sœur, finisse par consentir à l’irrémédiable. Les hommes, en revanche, se vendaient beaucoup moins bien. Qui viendrait les embêter ? Qui se soucierait de clandestins passant illégalement par la mer pour rejoindre des pays qui ne voulaient plus d’eux ? Autant rendre ces indésirables utiles, dans le fond.

« La zone est sous contrôle. Le Japonais arrive. »

Une véritable armée de tueurs en costumes et lunettes sombres protégeaient le manoir, ainsi que tout le domaine. Une protection maximale, tandis que les acheteurs potentiels s’amassaient dans le salon principal, sous d’immenses lustres magnifiques, et attendaient que la mise aux enchères ne commence. Il s’agissait, en l’occurrence, d’une mise aux enchères comprenant deux séries de lots : des esclaves, mais également des objets précieux, des trésors archéologiques que les Rossi avaient récupéré, et les vendaient aux plus offrants.

Et, parmi les clients potentiellement intéressés, il y avait un Yakuza, Akihiro Guramu, Oyabun du clan des Guramu, le plus puissant clan yakuza de Seikusu, et l’un des plus influents au Japon. L’homme était arrivé à bord d’un hélicoptère qui s’était posé sur l’un des héliports de la résidence, et en sortit, entouré par des tueurs aux mâchoires carrées, arborant une série de tatouages sous leurs costumes serrés. Un homme en costume anthracite l’accueillit, vieux et ridé, lui faisant un sourire ravi.

« Guramu-san, c’est un honneur !
 -  Le plaisir est partagé, Monsieur Rossi. »

Les deux hommes filèrent à l’intérieur du manoir, sans savoir que, si la police ne viendrait pas ce soir, quelqu’un d’autre viendrait… Quelqu’un qui avait découvert l’existence de cette vente, grâce à l’invitation qu’Akihiro avait reçue, et qu’elle avait pu se procurer. Car, si la police ne comptait pas agir, ce n’était pas le cas de cette personne.

Et, tandis qu’Helena se déplaçait, bien loin de là, à l’autre bout de la planète, dans son île privée, Karen Starr était devant un écran géant, dans une pièce qui ressemblait à ces salles d’opérations militaires dans les films d’espionnage. Depuis un écran géant, elle voyait une vue du domaine, grâce à son satellite.

« Okay, Helena… N’oublie pas que je suis en soutien, si jamais les choses se compliquent. Notre priorité est de réunir des preuves pour forcer la police à agir contre les Rossi, mais aussi de récupérer cet artefact… »

Akihiro n’était pas venu sans raison, et il n’était pas intéressé par les formes des esclaves qu’on vendait comme des bouts de viande. En réalité, le Yakuza recherchait la même chose que Karen : un mystérieux artefact qui, d’après ce qu’elle savait, venait tout droit d’Earth-2…

125
Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: mercredi 06 juillet 2016, 10:40:29 »
Karen avait toujours eu un sommeil plus lourd que celui d’Helena, ce qui, en soi, n’avait rien de bien surprenant. Après tout, quand on avait comme parents des noctambules comme Catwoman et Batman, qui vivaient davantage la nuit que le jour, on avait tendance à vivre un peu comme un vampire, et à utiliser la tranche horaire allant de 6h à 11h du matin pour reprendre des forces. Il était fréquent qu’Helena sorte la nuit, et c’était d’ailleurs pour ça qu’elle avait des résidences secondaires un peu partout dans le monde, pour lui permettre d’être plus réactive dans sa croisade contre les hommes qui abusaient des femmes. Curieux paradoxe, que d’imaginer que celle défendant la vertu des femmes était, en réalité, une grosse perverse. Mieux valait que cet élément reste dissimulé, afin de ne pas porter atteinte à la réputation d’Huntress.

Toujours est-il que, ce maintenant, Karen dormait bien, un sommeil paisible, bien loin de ses jeunes années, ou elle avait pour habitude de casser ses lits en faisant des cauchemars. Elle avait donné de sacrées frayeurs à ses parents, quand ses pouvoirs s’étaient manifestés en dormant, et qu’elle avait provoqué un début d’incendie dans la maison. Fort heureusement, ses parents l’avaient très bien éduqué, et, maintenant, Karen contrôlait à la perfection ses pouvoirs. La jeune Kryptonienne dormait donc paisiblement, avant de se mettre à soupirer, se tortillant un peu sur le lit.

Mécaniquement, sa main descendit un peu le long du dos d’Helena, se crispant sur son postérieur.

« Hmmmm... »

La jeune femme se pinça les lèvres, en sentant Helena jouer avec son sein. Du moins, ce n’était pas encore son esprit qui le sentait, mais son corps, qui réagissait en conséquence. Elle se tortillait un peu sur le lit, et ses lèvres laissèrent s’échapper un nouveau soupir, pendant qu’Helena continuait à téter. Ce qu’elle fit ne tarda pas à produire ses effets, car Karen sortit du méandre des songes, et remua à nouveau, en ouvrant les yeux.

« Hnnnn... »

Papillonnant des yeux, elle étouffa un bâillement, et tourna la tête, avant de constater ce qui se passait.

« Oh, Helena... Tu es déjà affamée, ma chérie ? »

Elle donna une petite tape sur ses fesses. Karen dormait bien, mais elle se réveillait aussi très vite. Un sourire perla sur ses lèvres, et elle poussa alors avec son épaule, renversant Helena, qui se retrouva sous elle. Quoi de mieux qu’un doux moment de tendresse pour se réveiller ? Sur ce lit solide, très bien rembourré, elle alla poser ses lèvres sur celles d’Helena, l’embrassant tendrement et sensuellement, plaquant ses lèvres sur les siennes, serrant son corps contre le sien.

Ce baiser dura donc plusieurs secondes, avant que Karen ne retire ses lèvres, ses deux mains caressant les cheveux et les joues de la femme.

« Toi, tu le sais que je t’aime, hein, Helena ? Ma petite chérie... »

Et, ce faisant, elle lui déposa un autre bref baiser, en souriant ensuite de nouveau. En ce moment, Karen se sentait particulièrement heureuse, très heureuse d’être avec elle.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: vendredi 01 juillet 2016, 12:59:37 »
Il pouvait paraître surprenant de voir l’urine et la cyprine de Karen flotter dans des bocaux, une situation qui amenait naturellement à se poser des questions. La réalité, sous les aspects très sexuels, c’était aussi que Karen examinait son urine et sa cyprine, pour diverses raisons. Étant Kryptonienne, son corps n’était pas le même que les autres, et elle voulait donc s’assurer que les liquides que son organisme sécrétait n’étaient pas nocifs pour le corps humain. Ceci expliquait pourquoi, à la base, elle prélevait son urine, car l’urine comprenait beaucoup d’informations sur le corps humain. L’étude de sa cyprine avait permis de révéler qu’elle pouvait être fécondée par du sperme humain.

Mais, là, actuellement, il n’y avait rien de scientifique dans sa démarche, elle voulait juste voir où Helena pouvait aller dans la soumission. Ce changement était en effet très frappant pour Karen, qui n’aurait jamais pu s’attendre à ce qu’Helena soit aussi perverse. Karen voulait donc tester ses limites, voir jusqu’où la jeune justicière était capable d’aller, et Helena refusa de franchir un pas supplémentaire, demandant juste de la mouille. Karen en sourit, et appuya sur un bouton, venant la satisfaire.

Pour la jeune héroïne, ce fut la dernière étape. Son corps, fatigué, épuisé par tous ces coups de reins, par cette interminable séance de sexe, ne suivait plus. Ses yeux papillonnaient faiblement dans ses orbites, et le sommeil finit par la gagner, attaquant tous ses membres, Karen la laissant volontiers dormir, tout en desserrant les tentacules…



Quand Helena se réveilla, ce fut pour constater qu’elle était dans un endroit douillet chaud. La climatisation fonctionnait normalement, pour permettre aux femmes de ne pas suer, et elle était nue… Toute nue. La tête posée contre l’un des seins de Karen, l’une des mains de Power Girl filant dans le dos de la femme, maintenant ainsi, très tendrement, le corps d’Huntress contre le sien. Les deux femmes étaient nues, couchées dans le grand lit de Karen, avec de fines couvertures en soie, et Karen dormait paisiblement.

Comme toujours, Helena avait un sommeil plus léger que Karen, et la chambre, elle, était très agréable. Le plus étonnant, c’était qu’Helena n’avait plus aucune trace, sur le corps, des multiples fluides sexuels qu’elle avait reçu, comme si Karen avait pensé à la laver… Ce qui, autrement dit, signifiait qu’elle avait dû dormir longtemps.

Mais il fallait bien ça pour récupérer, et, comme à chaque fois, Karen avait une main protectrice contre le corps d’Helena, même si, là, elle se contentait juste de dormir, le plus paisiblement du monde, sur un lit solide et rembourré… Un qu’elle n’avait pas encore cassé en gesticulant dans ses rêves.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: dimanche 26 juin 2016, 22:38:42 »
Pianotant sur son clavier, Karen était ravie de voir qu’Helena pouvait endurer ce traitement. Initialement, elle avait conçu cette machine pour elle, pour pouvoir assumer la soif de sexe d’une Kryptonienne, et voir jusqu’où elle pouvait tenir, après tant d’insatisfaction auprès de ses partenaires. Le fait est que ces machines étaient donc très efficaces, comme Helena en faisait les frais. Les dernières réserves de son amante étaient utilisées pour soutenir le rythme, tandis que les tentacules continuaient à la pénétrer. Ceci étant dit, Karen avait encore d’autres surprises en stock, et c’était pour ça qu’elle pianotait sur son clavier.

*Tu vas voir, ma chérie, combien je pense à toi…*

Un autre tentacule apparut, mais ne pénétra pas Helena. Au lieu de ça, il se fixa contre le tentacule phallique qui s’enfonçait dans le vagin d’Helena, se glissant dans une ouverture, et rejoignit ensuite, par son autre extrémité, le tentacule qui s’enfonçait dans sa bouche, tentacule dont la pointe s’entrouvrit. Karen, en souriant, appuya sur un autre bouton, et parla dans le micro, sans trop savoir si, compte tenu de sa fatigue, Helena allait l’entendre :

« Ta Maîtresse va te récompenser pour ta dévotion et pour ton engouement, ma petite Helena… Elle va répandre dans les tentacules sa mouille… Ou son urine. »

Voulant s’assurer qu’elle soit réveillée pour ce choix décisif, Karen appuya sur un autre bouton, et les tentacules diffusèrent des arcs électriques qui, en frappant les zones sensibles du corps de la jeune femme, la réveillèrent aussi. S’assurant donc d’avoir son intention, Power Girl fit descendre des tubes translucides situées en-hauteur. Un bloc, sur la droite, était imbibé d’un liquide blanchâtre, transparent, qui ressemblait à une sorte de mélange entre l’eau et le sperme, tandis qu’un autre, sur la gauche, impliquait un liquide plus doré.

Contrairement à ce qu’on pensait de prime abord, l’urine était un produit relativement sein pour le corps et l’organisme, car contenant des acides qui permettaient de nettoyer l’organisme. Il existait ainsi une pratique médicale, l’urinothérapie, qui consiste à boire sa propre urine. Mais, au-delà de ça, c’était surtout le tabou moral qui valait, l’interdit moral, et, partant de là, l’excitation sexuelle qu’il pouvait y avoir à franchir ce tabou. Restait à savoir ce que sa belle Helena voulait comme boisson pour se désaltérer la gorge.

« Je te laisse choisir, Helena… Un clignement de yeux si tu veux goûter à ma douce mouille, deux clignements pour mon or liquide. Le choix t’appartient ! Vois ça comme ton biberon pour t’accompagner dans le sommeil… »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: dimanche 19 juin 2016, 12:44:00 »
Finir avec des tentacules, c’était un excellent moyen, pour Karen, de conclure leur folle séance de sexe. Après les affrontements à Seikusu, elles s’étaient bien détendues. Helena, qui avait fini dans un état critique, avait visiblement bien repris des forces, et il ne subsistait plus rien de ses blessures. C’était aussi ça qui impressionnait Karen ; malgré la fragilité du corps de la jeune femme, puisqu’elle n’était qu’une simple humaine, elle faisait preuve d’une telle mentalité, et d’une telle résistance, qu’elle se soignait très rapidement. Et elle était donc là, prête à l’action, chaude bouillante, tandis que, sur sa demande, un tentacule phallique s’enfonça dans son vagin.

Karen disposait, devant elle, de multiples écrans montrant l’intensité des tentacules, et, grâce à des capteurs situés le long des embouts phalliques, elle pouvait aussi voir jusqu’où ils s’enfonçaient, et s’ils ne risquaient pas de mettre en danger la santé de la femme. Karen avait conçu ces tentacules, elle avait tout programmé toute seule, et également construit l’ensemble seule. Quand on avait une force surhumaine, et qu’on pouvait cracher des lasers avec les yeux, on n’avait pas forcément besoin d’ouvriers. C’était une petite salle privée, une salle de plaisir futuriste, qui répondait à sa soif de tentacle hentai, et qui confirmait, s’il fallait encore en avoir des doutes, toute la perversion de la jeune femme.

*Tout se passe bien... Ma petite chérie a l’air bien excitée...*

Power Girl savait que tous les gens ne partageaient pas le fantasme tentaculaire, et il y avait donc, avec Helena, toujours ce risque qu’elle refuse, et qu’elle préfère coucher avec Karen... Ce qui, en soi, n’aurait pas dérangé Karen, mais elle voulait être sûre de faire plaisir à son amante. Elle était amoureuse d’elle, après tout, et la livrer en pâture à des tentacules, c’était une manière de lui témoigner de son amour, en l’invitant dans une pièce qu’elle était habituellement la seule à utiliser. Karen pianota à nouveau sur des claviers quand Huntress, au milieu de soupirs et de gémissements, demanda le droit d’en avoir un dans le cul.

La Kryptonienne se mit à sourire, et lui répondit rapidement, depuis le microphone situé dans le bureau :

« Tes désirs sont des ordres, ma chérie, laisse-moi bien te remplir comme il faut ! »

Les chaînes avaient relevé Helena, de telle sorte qu’elle se tenait à la verticale, au milieu de la pièce, les jambes s’écartant et se rapprochant pour faciliter les pénétrations. Un autre tentacule se rapprocha donc, et caressa la croupe de la femme. Il se frotta dessus, cherchant progressivement à y rentrer en dilatant ses parois. Les jambes d’Helena se mirent à se tortiller, et les hurlements de la femme sonnèrent comme du lait aux oreilles de Karen. Réalisant qu’elle mouillait férocement, Karen décida alors de remplacer sa culotte par une autre culotte, une culotte noire en latex, avec des godes tournés vers l’intérieur. Tout cela ne prit que quelques secondes, et ce fut donc avec plaisir qu’elle sentit des godes s’enfoncer dans sa chatte et dans ses fesses.

« Haaa... !! »

La Kryptonienne en soupira de plaisir, puis retourna ensuite à son poste de commande. Elle s’était peu à peu habituée à se déplacer avec des sex toys en elle. Par exemple, il y a une semaine, en allant assister à une réunion du conseil d’administration, elle avait mis un plug anal dans ses fesses, et avait passé presque toute la séance à fantasmer sur l’une de ses actionnaires, terriblement sexy dans son costume à rayures. Elle l’avait ensuite prise dans son bureau.

Là, elle faisait plaisir à Helena, et se délectait de ses hurlements, jusqu’à faire venir d’autres tentacules. Deux s’approchèrent de ses seins, mais, contrairement à leurs homologues tentaculaires, ils n’avaient pas d’embouts phalliques, mais une bouche qui s’ouvrit. Ils se posèrent sur les seins d’Helena, leurs « lèvres » étant en caoutchouc, pour éviter de faire mal, et, à l’intérieur, de multiples langues vinrent caresser et titiller les deux tétons de la femme, répandant plus de plaisir en elle.

Restait, ensuite, l’épineuse question de lui remplir ou non la bouche... Épineuse, car, pour être complet, il fallait bien la prendre de partout, mais, d’un autre côté, Karen ne l’entendrait plus hurler. C’était un vrai dilemme ! Elle se mordilla doucement les lèvres, signe que la Kryptonienne réfléchissait... Puis, après quelques hésitations, elle appuya sur un bouton, et le tentacule s’approcha de la douce bouche d’Helena.

*Je lui dois bien ça...*

Comme ça, le plaisir d’Helena serait complet !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: mercredi 15 juin 2016, 01:41:48 »
Karen n’était pas dupe, et, en percevant les battements cardiaques très excités d’Helena, elle sourit malicieusement. Outre sa tenue, cette combinaison, cette tentacle suit, avait quelque chose de très particulier.

« Comme tu le sais, Helena, la technologie kryptonienne utilise des nanofibres pour les vêtements, ce qui offre de multiples possibilités. »

Le costume de Superman, par exemple, ne répondait qu’à ce dernier, et pouvait se déplier et se déployer à volonté, à l’aide des nanofibres.

« L’une de ces variantes, c’est ce que tu portes. Cette combinaison n’est pas faite en un latex ordinaire, c’est un latex recouvert de nanofibres. C’est une véritable tenue de plaisir, car elle caresse ton corps, et les fibres l’excitent doucement. Alors, vu que tu es déjà bien chaude, ça produit des merveilles. »

Karen était très imaginative, et elle avait, à disposition, le savoir-faire kryptonien. Quand les deux femmes avaient fui Earth-2, Karen était en effet partie avec un bien qui figurait dans la Forteresse de Solitude de son père : le codex de son père, Jor-El, une compilation très impressionnante des connaissances de Krypton sur un grand nombre de domaines. Espace, agriculture, économie, société, histoire… Quand Krypton avait été détruite, Jor-El avait envoyé le Codex sur Terre, dans cette ancienne base kryptonienne, afin que son fils puisse veiller sur le savoir de Krypton. Un savoir que des ennemis avaient tenté de subtiliser pour recréer Krypton, comme le Général Zod. Karen, elle, lui avait trouvé une autre fonctionnalité tout à fait stimulante.

Dans sa belle tenue de doctoresse sexy, elle tenait Helena par la main, et s’avança dans un couloir. Une porte se trouvait au bout, et, peu avant ladite porte, un escalier montait vers la gauche. Power Girl ouvrit la porte rapidement, débouchant sur une sorte de curieuse salle, avec une table translucide au ventre, et de multiples appareils dans les coins.

« Installe-toi ici, Helena… »

La voix de Karen trahissait la chaude excitation que la super-femme ressentait. La table était dotée de quatre sangles, et Helena attacha la femme par les poignets et les chevilles, puis, en lui souriant, caressa alors son ventre et ses hanches, grattant sa peau. Ainsi, Helena pouvait sentir le plaisir être férocement amplifié, tandis que Karen lui souriait.

« Je pourrais te faire jouir comme ça, mais… Ce n’est pas le but, petite traînée. »

Elle termina en pinçant son sein, remuant ce mamelon de chair, puis le relâcha, et lui fit un clin d’œil.

« Passons aux choses sérieuses. »

Laissant Helena dans un fort état d’excitation, Karen fila sur une salle de contrôle, située au-dessus de cette grande pièce, avec une longue fenêtre permettant à Helena de la voir, et à Karen de voir son cobaye. Elle pianota sur un ordinateur situé devant, et de multiples bruits se firent entendre. Un générateur s’enclenchait, des pompes s’actionnèrent, provoquant des sifflements, puis la table sur laquelle Helena était couchée se redressa alors, la maintenant en équilibre, avant de s’écarter, les sangles restant attachées autour des poignets et des chevilles de la femme, reliées par des liens au décor.

Depuis un micro, Karen s’adressa à sa proie :

« Très bien, Helena ! Passons aux choses sérieuses ! »

En souriant, elle appuya sur d’autres boutons, et des tentacules métalliques jaillirent alors autour d’Helena, avec une extrémité phallique en caoutchouc.

« Tous tes trous vont se faire remplir, Helena, mais, comme je suis généreuse, je te laisse choisir par lequel je commence ! Choisis vite… Ou les trois s’enfonceront simultanément ! »

Karen exultait sur place.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: dimanche 05 juin 2016, 20:27:20 »
Énergique, et débordante d’envie, Karen, imperturbable, prenait encore Helena. Depuis combien d’heures est-ce qu’elle la baisait, maintenant ? Difficile à dire... Que Huntress tienne toujours était tout simplement fascinant et incroyable. Très clairement, cette femme était exceptionnelle, une réussite absolue et parfaite. Karen, encore et encore lui labourait le cul, s’enfonçant en elle, satisfaisant Helena par les deux trous. Sa force parlait pour elle, et les minutes défilèrent. Elle l’avait sodomisé au moins cinq fois depuis le début de leurs ébats (du moins, c’est ce dont elle se rappelait). Demain, la pauvre Helena aurait bien du mal à s’asseoir, et elle allait avoir besoin de se reposer... Mais, pour l’heure, Karen la prenait et la labourait.

Le cuir venait délicieusement crisser au rythme des coups de reins de la femme. Power Girl se révélait être à la hauteur de sa réputation, y compris en matière sexuelle. Coucher avec elle était très frustrant, mais c’était aussi une occasion, quand elle couchait avec un homme, de voir si ce dernier était du genre à refuser de se coucher avant une femme, ou non. Karen les poussait réellement à leur limite, tant elle était infatigable. La belle Helena en prenait conscience, mais, au-delà du simple plaisir sexuel, il y avait aussi le fait qu’elle était vraiment amoureuse de son amante, ce qui en faisait que renforcer son ardeur.

« Haaaa... Haaaaa... Hhhhmmmmm... !! Mmhmmmm... !! »

Multipliant les coups de reins, elle continuait à s’enfoncer en elle, et, après plusieurs minutes, un orgasme foudroyant vint la saisir. Tout le corps de la femme se contracta, tous ses muscles se tendirent, et elle se relâcha d’un coup.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Power Girl jouit joyeusement dans le fondement de la femme, se déversant en elle, et Helena, en retour, lui fit un magnifique orgasme, allant jusqu’à balancer, sous l’effet de sa mouille, le vibromasseur, qui rebondit sur le sol. Karen se crispa contre le corps de la femme, et balança donc son foutre, à plusieurs reprises, et pendant de multiples secondes. Elle se calma ensuite lentement, soupirant faiblement, son cœur rebondissant joyeusement dans sa poitrine.

Épuisée, Helena demanda une ultime prestation, et Karen lui sourit.

« Très bien... Mais plus de jeux entre nous, maintenant, Helena. Pour une humaine, je dois dire que tu es... Incroyablement résistante. Même moi, je commence à me fatiguer un peu ! »

La Kryptonienne, en effet, était en sueur, et sourit à la femme, venant doucement caresser son visage et ses cheveux.

« Récemment, j’ai fait une structure... Expérimentale. Je crois que tu vas l’inaugurer, et me servir de cobaye... »

Karen la transporta, et la conduisit dans une autre partie de sa villa, dans son laboratoire, où il y avait toutes ses inventions personnelles. Il se situait sous la villa. C’était un laboratoire aux couloirs métalliques, qui filait dans la montagne, et qui était séparée des laboratoires de l’entreprise. Tout en s’y déplaçant, Karen conduisit Helena dans une sorte de vestiaire.

« Il te faut une tenue spéciale, ma chérie... Laisse-moi te changer. »

Power Girl déshabilla Helena, et l’invita à mettre sur son corps une combinaison très moulante. Pendant qu’Helena se changeait, Karen se changea à son tour, et revint la voir, dans une longue blouse blanche avec un décolleté magnifique, en tenue de scientifique, et une minijupe blanche. Une tenue qui lui allait plutôt bien, même si elle était assortie au moment, Karen ayant enfilé de longues bottes blanches avec des talons. Elle avait également mis de longs gants blancs, et de fausses lunettes, renforçant ainsi son côté « scientifique ».

La femme se rapprocha donc d’Helena, et la caressa lentement, avant d’aller l’embrasser, la plaquant contre le mur, pour un long et sensuel baiser. Un baiser magnifique, plein d’énergie et d’amour, qu’elle termina en mordillant les lèvres d’Helena, pour venir ensuite sensuellement lui sourire.

« Bien, bien, bien, hum... »

Karen s’écarta alors, et fit claquer ses talons.

« Tu es prête à être mon cobaye, Helena ? À être le cobaye du Docteur Starr ? » demanda-t-elle, avec un sourire empreint de sensualité et de perversion.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: lundi 30 mai 2016, 13:01:23 »
Mine de rien, fouetter Helena avec une cravache était une punition plutôt douce, car, si Karen aurait vraiment voulu lui faire mal, elle aurait utilisé ses mains. En fait, elle avait hésité, mais elle préféra utiliser l’instrument pour la beauté du geste, pour le caractère sensuel et clairement dominateur d’une cravache. Ainsi, pendant de nombreuses minutes, la cravache s’abattit férocement sur le cul de sa servante, fouettant le corps musclé et parfait d’Helena. Une véritable torture sexuelle, jouissive et délicieuse, qui dura pendant de nombreuses minutes.

« Haaaa… Haaaa… ! Salope… ! Petite… Hnnnn… Pute ! »

Comme toujours, Karen ne déméritait pas de son surnom. Power Girl faisait preuve d’une féroce énergie, en malmenant ainsi le joli cul d’Helena, et on pouvait entendre, par-delà le claquement récurrent de la cravache, les soupirs et les couinements d’Helena, qui se faisait également copieusement insulter par son amante. Les gros mots fusaient, confirmant tout le plaisir que la jeune femme ressentait à être ainsi humiliée et soumise. Il y avait une dichotomie foudroyante entre Huntress, cette puissante justicière, qui luttait contre l’avilissement des femmes, et Helena Wayne, qui adorait être soumise. Une dichotomie qui n’était pas contradictoire, car, selon Karen, ce n’est pas parce qu’on aimait la soumission qu’on était favorable à l’exploitation et à l’asservissement. En effet, la soumission de la belle Helena était volontaire, consciente, alors que les femmes qu’Huntress libérait n’avaient souvent pas voix au chapitre.

Il n’y avait donc aucun remords à avoir en battant ainsi la jeune femme, et, de fait, Karen n’en ressentait aucun. Elle la fouettait donc, la cravache mordant sur le beau cul d’Helena, faisant rougir sa peau, jusqu’à ce que la jeune femme s’écroule sur le sol. Karen respirait alors lourdement, tout en ayant proféré une impressionnante quantité d’injures et de provocations salaces, comme la Maîtresse autoritaire et forte qu’elle incarnait. Le cul d’Helena, en conséquence, était bien rouge, mais il en fallait plus pour calmer Helena, pour épancher sa soif, et Karen sourit quand la femme revint la narguer.

« Oh non… Ça, ce n’était que pour t’échauffer, ma petite chérie. »

Karen se concentra alors un peu, et posa ses mains sur le fessier d’Helena, qui put alors sentir, contre son corps, la verge tendue de la Kryptonienne, qu’elle venait de faire sortir.

« Normalement, je… Je devrais directement t’emmener dans  une pièce très spéciale, mais… La petite pute que tu es m’as tellement excitée que… Haaaa… »

Par rapport à la précédente séance, il y avait une petite particularité, tenant en ce qu’Helena avait déjà un vibromasseur dans son sexe… Et, justement, Karen utilisa une télécommande pour augmenter fortement la vibration de cet appareil, le ,poussant à son maximum, tout en enfonçant sa verge dans son cul, un cul qui était déjà bien ouvert et bien dilaté, et dans lequel la jeune femme s’enfonça goulûment, en poussant un long et joyeux soupir, crispant ses mains gantées sur le corps de la femme.

« Han-Ouais… ! Ce que t’es bonne, ma salope… !! »

Et elle se mit à nouveau à remuer en elle, faisant délicieusement crisser sa combinaison en cuir.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: jeudi 26 mai 2016, 13:49:47 »
Karen et Helena étaient en train de se livrer, toutes les deux, à une sorte de mauvais film pornographique. La servante, ingénue, qui faisait tout pour se faire battre par, non pas son rude Maître, mais par une Maîtresse sensuelle et forte. La voir se déplacer, la provoquer, comme en fléchissant les genoux, était autant de pointes d’excitation supplémentaires sur le corps de Power Girl. Karen se mordillait doucement les lèvres, crispant ses mains gantés sur le fauteuil. Elle aimait bien sa robe violette, mais elle servait surtout pour l’esthétique, car il était difficile de faire quoi que ce soit avec elle. Cependant, Karne avait encore de nombreuses tenues en réserve, et avait largement de quoi stimuler l’imagination d’Helena. Oui, Karen comptait encore s’occuper longuement d’elle, de son amour. Huntress était largement à la hauteur de ses attentes. La fille de Bruce et de Selina ne cessait de la surprendre, parvenant à suivre, à la perfection, les fortes pulsions de Karen.

« Hmmm... »

Helena entreprit de remplir le verre, et Karen, fermant les yeux, continuait à sourire doucement, en entendant le vibromasseur qui continuait à ronronner dans son corps. Elle but alors, avec une lenteur calculée, rouvrant les yeux pour regarder Helena. Visiblement, Huntress arrivait à se contrôler un peu, à se calmer... Mais elle finit néanmoins par renverser le verre sur le décolleté de Karen, faisant doucement sourire cette dernière... Mais elle devait, elle aussi, jouer son rôle.

« Ah, petite sotte ! »

Karen se redressa subitement, et posa sa main sur le menton de la femme, la maintenant, en fronçant les sourcils.

« Tu as tâché ma robe, petite idiote ! Alors, sois sûre que je vais te punir... Et te punir très fort ! »

Elle se rapprocha alors d’elle, et l’embrassa fortement, enfonçant sa langue dans la bouche d’Helena, avant de mordiller ses lèvres, tirant dessus, faisant claquer sa lèvre. Elle lui sourit ensuite, tout en la relâchant, et s’écarta, entreprenant alors de se déshabiller. Sa robe étant constituée de multiples lacets, ici et là, elle eut juste à tirer sur l’un d’entre eux, pour que tout l’ensemble se mette à glisser. La robe tomba ainsi sur le sol. Dessous, Karen était toute nue, et s’étira un peu, notamment ses bras, faisant craquer ses poignets et ses doigts, comme un moyen d’intimidation supplémentaire à destination de la jeune femme.

« Voilà... Il faut maintenant que je me change... Afin de te punir très sévèrement. »

Karen lui sourit alors, un sourire malicieux, puis usa encore de sa super-vitesse, provoquant plusieurs courants d’air, avant de revenir devant Helena, dans une nouvelle tenue...

Une belle tenue de dominatrice. Un sourire vicieux sur les lèvres, elle tenait entre ses doigts gantés une cravache.

« Bieeeeeeennn... On va commencer ici la première partie de ta correction... Puis nous irons ensuite dans une cellule. Car c’est une très grosse punition que je prévois pour toi, tant tu es étourdie. »

Elle posa le bout de sa cravache sur le nez d’Helena, révélant ses dents en lui souriant de nouveau, déplaçant la cravache le long de sa tête, pour l’enfoncer contre l’un de ses seins.

« Crois-moi, petite pute, je vais te faire hurler... »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: samedi 21 mai 2016, 19:18:18 »
Entre Karen et Helena, il y avait un lien fort. Ensemble, tout leur était possible. Power Girl et Huntress. Elles formaient un magnifique couple. Des réfugiées, venant d’un monde en ruines, sans espoir (pour l’heure) d’y revenir, qui avaient plutôt bien réussi à rebondir. La Kryptonienne était heureuse d’être là, et, dans sa belle robe violette, elle se sentait puissante et belle, désirable, pleine de force et de vitalité. C’était une robe très élégante, faite sur mesure, comme toutes les tenues érotiques de Karen. Une richissime collection, car ces vêtements étaient assez onéreux. Helena, elle, prenait tout son temps, et, en usant de sa vision surnaturelle, Karen ne put que sourire, en la voyant doucement se masturber. Elle savourait visiblement sa tenue, et elle le pouvait. Les deux femmes n’avaient pas la même taille, mais Karen, qui connaissait les mensurations d’Helena, lui avait secrètement acheté ces tenues... Comme si, secrètement, ou inconsciemment, elle avait toujours voulu coucher avec Huntress.

Helena se masturba donc, avant de s’observer, puis la rejoignit ensuite. Et, en la voyant, ainsi vêtue, Karen déglutit lentement. Quelle beauté ! Oh oui, elle était vraiment très belle, d’une beauté incroyable, mélange de sensualité et de perversion. Cette tenue lui allait très bien, des pieds à la tête. Karen crispa ses doigts sur les accoudoirs de son fauteuil, soupirant lentement en la voyant. Helena se rapproche un peu, et se prit alors au jeu.

« Hmmm... J’ai soif, ma chérie. »

Karen resta assise, se mordillant doucement les lèvres.

« Sur la commode... Il y a un plateau. Apporte-moi mon vin... »

Elle maintint sa phrase en suspens, le temps qu’Helena se retourne, pour voir, effectivement, le plateau en argent. Il y avait une bouteille de vin, un verre, mais aussi... Un vibromasseur. Il était posé dessus, et Karen sourit lorsqu’Helena le vit.

« Mets-le en toi, et viens me servir... »

Elle attendit que la jeune femme s’exécute, et récupéra alors la télécommande, enclenchant la fonction vibrante du gode, qui remua dans les entrailles d’Helena, s’enfonçant en elle. Karen ferma les yeux, et pencha la tête sur le côté, souriant en entendant, grâce à son ouïe, le vrombissement de l’appareil. Un petit son, très agréable, tandis qu’il était retenu par les vêtements d’Helena, et qu’elle s’approchait.

« Remplis le verre, porte-le à mes lèvres... Si ça déborde, je devrais te punir très fort, ma belle servante... »

Dit comme ça, tout était fait pour qu’Helena échoue, afin de recevoir sa punition.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: dimanche 15 mai 2016, 14:52:41 »
Leur sodomie fut aussi intense que jouissive. Tenant dans le creux de sa main les beaux cheveux d’Helena, Karen remuait en elle, son autre main se crispant sur ses hanches. Sa belle « élève » se faisait joyeusement prendre par Power Girl, qui s’avérait être une femme d’une grande énergie. Fougueuse et infatigable, Power Girl remuait son mandrin dans ce délicieux cul, maintenant Helena en suspension. Une telle prouesse n’était possible que parce qu’Helena couchait avec une Kryptonienne. Pour elle, Helena était aussi légère qu’une plume, et Karen pouvait ainsi la baiser en la maintenant ainsi, avec un corps qui était presque à angle droit sur le sien.

« Haaaa… Haaaa… Petite pute, humm… Tu aimes, h-hein… ?! Que… Que je te baise comme la dernière des trainees, comme si… Haaaa… Comme si tu étais la Reine des putes !! »

Son mandrin continuait à filer, d’avant en arrière, sans relâche, remuant et s’enfonçant dans les profondeurs du corps de la femme, jusqu’à ce que l’orgasme vienne. Dans un grand soupir, Karen expulsa son foutre en elle, bandant ses muscles, puis la relâcha. Helena tomba sur le sol, heurtant le mur, ses cuisses tapant dans la mouille qu’elle avait laissé, et resta ainsi, face à Karen. Debout, la Kryptonienne avait chaud. Elle pouvait être en sueur, elle aussi, et le sexe y contribuait beaucoup. Cependant, sa queue était toujours aussi dure, tout en étant recouverte de sperme.

Karen observa Helena pendant quelques instants, avant de sourire. Sa main retourna ensuite agripper les cheveux de la femme, et elle la remit à quatre pattes.

« J’aimerais croire que la punition est suffisante pour toi, Helena, mais… Tu as beau être une humaine, tu es insatiable. »

En même temps, il ne fallait pas en attendre moins de la part de la fille de Catwoman et de Batman. Elle avait hérité du caractère en acier trempé du Chevalier Noir, et de la fougueuse imagination de la femme-cambrioleuse. Un résultat détonant, unique au monde. Karen se sentait bien chanceuse de pouvoir en profiter.

« Nettoie ma queue pendant que je réfléchis à la suite de ta punition, ma chérie. »

Karen donnait naturellement ses ordres, et posa sa main sur les cheveux d’Helena, pour la maintenir, mais aussi pour l’aider à se déstabiliser. Et, tandis qu’elle la suçait, Karen faisait parler sa folle imagination. Difficile de dire combien de milliers et de milliers de dollars elle avait utilisé pour satisfaire ses pulsions sexuelles, mais, si on jetait un œil à sa comptabilité, on pourrait tout à fait en être effrayés.

En réalité, Karen avait énormément de tenues à faire valoir, et elle hésitait.

« Hmmm… Ah… Humm…. J’ai trouvé ! »

Un sourire victorieux sur les lèvres, Karen se retira de la bouche de la femme, puis entreprit de libérer ses bras.

« Nous allons faire un autre jeu, mon amour… Je pense que ça devrait te plaire. »

Karen n’avait peut-être pas l’agilité et la perversion naturelle de Selina, mais… Elle s’en sortait très bien. Glissant sa main dans celle d’Helena, elle s’aventura à nouveau dans son manoir, puis alla dans une penderie. Une grande pièce, avec plusieurs miroirs, où elle entreposait ses tenues.

« Bon, alors, voici notre nouveau jeu, ma petite catin d’amour… Moi, je vais jouer une Comtesse qui s’ennuie, et toi, sa jeune servante, ingénue, mais très perverse. Le reste… Ce sera une fois que nous aurons nos costumes. Tu enfiles le tien ici, et tu me rejoins dans le salon. »

Power Girl lui sourit en lui faisant un clin d’œil, et l’embrassa sur les lèvres, avant de rajouter, pensive, en se mordillant les lèvres :

« Tu sais, ça fait tellement longtemps que j’attends de jouer avec toi… Crois-moi, ma belle, je vais t’épuiser comme tu n’as jamais été épuisée auparavant… »

La Kryptonienne lui fit un nouveau sourire, puis sortit, en laissant à Helena sa future tenue.

C’était une très belle tenue de maid, avec de longs gants noirs en latex (le fantasme de Karen, à n’en point douter), un superbe décolleté, une tenue fine et fraîche, agréable à porter… Fournie avec un indispensable collier, et, bien entendu, des collants.

Karen, quant à elle, se rendit dans le proche salon. Il comprenait un grand fauteuil, une cheminée, plusieurs meubles, et de grandes baies vitrées donnant sur l’océan. Power Girl se dépêcha d’allumer le feu en utilisant sa vision thermique. Elle retira ensuite sa tenue de professeur pour enfiler une autre tenue… Une magnifique robe rose en latex, avec de multiples latex, des gants longs (évidemment), et des collants.

Elle s’assit ensuite, croisant ses jambes en faisant doucement craquer ses doigts, attendant la venue d’Helena pour lui donner ses premières instructions.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un amour héroïque [Karen Starr]
« le: mercredi 11 mai 2016, 22:18:56 »
Il n’y avait probablement qu’avec Karen que se faire battre par une règle, une cravache, ou même un fouet, étaient moins douloureux que les fessées à mains nues. Il fallait bien admettre que, avec sa puissance surnaturelle, elle aurait pu tuer Helena en lui donnant une trop forte fessée. Fort heureusement, Karen contrôlait sa force, et la contrôlait aussi bien qu’elle pouvait faire preuve d’une grande imagination. Proposer à Helena d’écrire sur le tableau avec sa bouche n’était en rien un exercice purement sexuel. L’idée était juste de stimuler l’imagination sexuelle d’Helena, et celle de Karen. C’était un jeu magnifique, et Power Girl esquissa un sourire en voyant qu’Helena s’en sortait bien. Ses parents l’avaient bien formé, mais, en voyant Huntress tracer les lettres sur le tableau, elle vit son beau petit cul, et...

...La première claque vint presque naturellement, s’abattant joyeusement sur le beau petit cul d’Helena, la surprenant. Elle en lâcha la craie, qui tomba sur le rebord du tableau en couinant.

« Ramasse, petite pute ! » ordonna-t-elle.

Tout naturellement, Helena vint à obtempérer, récupérant la craie, et Karen se décida à l’embêter, multipliant les claques sur ce beau petit cul. Elle tapait parfois si fort que la tête d’Helena s’écrasait contre le tableau, avant de repartir vers l’arrière. Écrire les quelques mots demandés devint beaucoup plus dur, tandis que, sur le côté, Karen se régalait. Elle pouvait tout voir et tout percevoir : l’excitation graduelle d’Helena, les gouttes de sueur qui commençaient à perler le long de son corps... Tout cela, la Kryptonienne le voyait et le discernait, avec un plaisir non dissimulé.

Il fallut à Helena de nombreuses minutes pour écrire les mots demandés, car Karen se décida à la gifler presque sans arrêter, donnant parfois de petites tapes, presque de simples caresses, mais surtout des fessées, faisant sautiller le corps d’Helena. La jeune femme mouillait maintenant de plus en plus, formant de multiples gouttes qui tombaient sur le sol.

« Une vraie femme-fontaine... Petite salope ! »

Les mots doux fleurissaient entre les gifles et les fessées, puis, au bout d’un moment, dans un long soupir, Huntress relâcha la craie, après l’avoir cassé à force de mordre dessus.

« Eh bien... Quelle énergie... »

Karen se déplaça alors, et fléchit les genoux, rapprochant sa tête de la culotte de la femme, qu’elle alla toucher avec sa règle, enfonçant cette dernière à l’emplacement de son sexe, avant de caresser, avec le bout de sa règle en bois, les jambes d’Helena.

« Hm... C’est très humide, ça. Et je suis sûre que ce n’est pas de l’urine. »

Power Girl continuait à jouer le rôle de la professeur cruelle et sadique, et se redressa à nouveau. Elle alla dans le dos de la femme, et exhiba rapidement son phallus, puis écarta la culotte de la femme, avant d’attraper les cheveux d’Helena d’une main, relevant un peu son visage.

« Tu n’es rien d’autre qu’une pute... Ou, plutôt, une chienne... Et je sais très bien comment traiter les chiennes comme toi... »

Son mandrin se rapprocha alors du corps d’Helena, et elle s’enfonça en elle, forçant le passage entre ses fesses, en cherchant son fondement.

« Haaaa... !! »

Karen se mordilla les lèvres, en soupirant longuement, puis commença à la sodomiser, en la maintenant par les cheveux.

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