Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Rinako Yukimitsu

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Les contrées du Chaos / Re : Le grand jour! [PV Rinako Yukimitsu]
« le: mardi 18 juin 2013, 14:11:07 »
Très mignonne ? Je connais une renarde rose qui vire un peu au rouge au niveau des joues, et plus encore quand une tigresse jaune vient lui donner un petit bisou. Je frissonne de la sentir si près de moi, mes mains commencent à me démanger. Si on était pas dans un lieu public je la repousserais sur ce rayon de grosse peluches pour l'embrasser, et vite voir comment lui vont ses attributs félins quand elle ne porte rien d'autre. Ce qu'elle chuchote à mon oreille rend la tentation plus irrésistible encore. Ma petite amie, ma Suki timide que je commence à découvrir coquine, que je voudrais voir dans son rôle de tigresse... Je n'ai fait la connaissance de l'orgasme qu'hier, mais les frangine coquine n'y sont pas allé de main morte. J'ai envie d'elle, une envie plus impérieuse, plus violente à mesure que cette journée se déroule.

Je commence déjà à me dire qu'on sera forcément découverte, et que logiquement ce ne serais pas si grave de craquer en public. Heureusement qu'elle s'écarte, on vient de frôler la catastrophe ! Et le fait qu'elle insiste pour payer me donne encore plus envie d'insister pour autre chose. Prudence, ma fille : sortir avec sa petite amie c'est pas comme foncer dans la chambre d'une paire de vicieuses. En fait je sais toujours pas vraiment comment ça marche, une petite amie. Par contre je sais que j'ai besoin de me défouler un... Qu'est-ce qu'elle est craquante quand elle se force ! Ça se sent que son "romantique" a du mal à sortir, et elle le dit rien que pour moi. Je donne vite fait un coup derrière mon dos, histoire de faire bouger ma fausse queue touffue.

" Donc je suppose qu'on oublie la balade des amoureuses en nacelles volantes ? "

Tu parles ! J'espère bien que se priver d'une demi-heure de solitude sans rien d'autre à faire que profiter du paysage en se câlinant lui fait aussi mal qu'à moi ! Et elle préfère garder les stand de tir pour plus tard. Tout en repartant déambuler je cherche la meilleure attraction, un truc qui nous enverrais deux petites heures dans le futur ne serait du luxe... Les bombes à eau, c'est dans la file d'attente qu'on va passer des plombes... Et pour les tasses qui tournent je sais pas trop, ça me dit moyen. Nos oreilles internes ont eu assez remous pour l'instant... Je pourrais peut-être...? Non, ce serait trop... Mais ça nous occuperait un moment.

Je me mordille la lèvre une seconde, puis je l'attrape par la main.

" J'ai une idée, vient ! "

Il serait temps que ma petite amie ait droit au meilleur manège de l'archipel ! Sans cacher mon excitation je tire Suki par la main jusqu'à une grande esplanade en arc. L'océan ne tarde pas à s'étaler loin en bas alors qu'on coure au milieu de la foule.

" C'est une attraction très spéciale ! Je l'ai encore jamais faite avec quelqu'un ! "

Enfin, pas comme un tour de manège. Je m'appuie à la rambarde, attirant ma Suki chérie dans mes bras pour la câliner tendrement. Mes lèvres glissent jusqu'à son oreille pour y souffler.

" N'aie pas peur... "

Sans plus de détails mes bras se resserrent autour d'elle, je fléchie les jambes puis pousse, me laissant peser en arrière. J'entends déjà un cri alors qu'on bascule par-dessus le garde-corps. On tombe dans le vide et visiblement ça panique pas mal de monde en haut. Mais déjà je crochète mes jambes autour de la taille de Suki. J'étends les bras, bientôt portée par un courant ascendant. Le vent nous freine, nous stabilise, puis nous fait remonter lentement. Les cris cessent, et depuis l'esplanade des dizaines de gens nous regardent. Mais je n'ai d'yeux que pour ma blonde adorée.

" Caelestis sous toutes les coutures, ça te plairait ? "

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Prélude / Re : Mariam France (Roulettes)
« le: mardi 18 juin 2013, 13:36:07 »
Bienvenue, terrienne o/


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Vous nous quittez déjà ? / Re : Loin des yeux...
« le: mardi 18 juin 2013, 13:06:59 »
Non, les absents ont toujours tort et je préfère avoir raison dans la mesure du possible :p

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Loin des yeux...
« le: mardi 18 juin 2013, 12:57:50 »
Ça me fait très plaisir mais je pars pas ^^'

Je risque juste de décrocher un peu ou d'être à sec d'inspiration par moment ^^'

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Loin des yeux...
« le: mardi 18 juin 2013, 12:21:39 »
Bonjour tout le monde !

Certains d'entre vous on peut-être remarqué que cette semaine, j'ai été un peu à la rame. Je m'excuse à nouveau auprès de mes partenaires Rp, et rassurez-vous : je reste ^^

Mais je suis pas mal occupée par certains projets (dont la conquête et la domination du monde, mais il est trop tôt pour en dire plus). Donc, les petites absences comme celle de cette semaine risquent de continuer. Je m'excuse à l'avance pour mes partenaires qui devront poireauter un peu ^^'

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Les Nains avec qui j’ai voyagé me manquent déjà, on aurait discuté de tout ça autour d’un petit déj. C’est presque inquiétant de retenir si bien la nausée que me provoque l’idée de ces pauvres filles découpées vivantes en morceaux. C’est malin, maintenant j’ai faim... Une fois sur place je risque de vomir, quoique ce que j’ai vu dans la Fourmilière m’a blindé l’estomac. Et pour être honnête les petits déj nains aussi. Le plus dur est d’être si près de Suki sans avoir le droit de la regarder. Je la fuie du regard, heureusement que le major est au garde-à-vous entre nous. Il faudra bien que je passe aux aveux complets un de ces quatre matins, heureusement pas aujourd’hui.

Les esclaves risquent donc de se compter par centaines à quelques morceaux près. Je ne prends pas la chose à la légère, je la mets seulement en perspective : ce n’est pas un trou à rat au milieu de nulle part qu’on va prendre d’assaut, pas un camp avec des cages, des chaînes et des fouets. Aujourd’hui on attaque une industrie, on doit raisonner à une autre échelle. Un autre combat de longue haleine, mais celui-ci a au moins le mérite de ne pas être une traque vengeresse. Les piques des Zéroïnes me tournent dans la tête, tout comme les réponses que je leur ai faites. Des gamines et des affranchies traumatisées assoiffées de sang et aveuglées par la vengeance. Et plus ça va, plus je me dis qu’être les seules à se bouger le cul ne nous donne pas entièrement raison.

D’un autre côté, ces ordures méritent de bien de crever.

Une fois le premier niveau ratissé on scindera le commando en deux. Je prends les labos avec le commandant et l’infirmière, mais en attendant je vais devoir faire le trajet sanglée à mon fauteuil à côté de Suki. Ça va être dur ! Je la connais, en mission mon adorable petite blonde redevient une machine de guerre. On rompt le rang et je profite de la coursive jusqu’au cockpit pour décrocher le sabre de ma ceinture. Wakisashi à micro-chaîne en diamant, je suis passée à une lame courte. La batterie est pleine, j’ai déjà vérifié mon arme, et maintenant je mords la joue pour me retenir de parler. C’est perturbant d’aller sur le terrain avec ma petite amie !

Je prends la place de pilote, ce qui va de pair avec mes compétences. Chasseur contre chasseur je suis la moins douée, mais pour manœuvrer ce genre de paquebot je suis la championne. Une fois harnachées on se lance dans la sacrosainte check-list.

«  Comm ?... Système de survie ?... Absorbeurs inertiels ?... Hydrauliques ?... »

Blablabla... Ça va vite, mais pas assez pour moi. J’en profite pour jeter un œil aux cartes de la zone d’opération. Satellites, topographiques... Une région montagneuse, un coupe-gorge si on approche par le mauvais côté. En quelques secondes Suk-le lieutenant Tetsuhiko me confirme qu’on est super-blindée, de vraies terreurs.

« Contôle de Foxtrot-Sierra-2, parées au décollage.
-   Bien reçu Foxtrot-Sierra-2, vous avez la clearance. Bonne chasse. »

Le vaisseau frémit à peine en quittant la plate-forme, je sens une petite montée d’adrénaline en prenant le cap.

« Whao... J’ai l’impression de piloter une plume. »

J’exagère, mais qui a déjà eu entre les pattes notre dernier mastodonte saura prendre la remarque à sa juste valeur. Tant qu’on a qu’à voler droit je passe le plan de vol en revue avec Suki, je veux dire le lieutenant. Par sécurité on va devoir voler sous le plancher radar avec une signature thermique et électromagnétique minimale, mais on sera visibles.

« Permission de changer de course, mon lieutenant ? Si on passe par ce col on se fera repérer. On devrait contourner par ces gorges, au sud. »

Et merde. Plus rien à dire pendant au moins un quart d’heure...

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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: lundi 17 juin 2013, 12:11:55 »
Je prends cher ! Je le sens, mon corps n’a jamais subi un truc pareil. Enfin, « subi » c’est peut-être beaucoup dire mais je vais pas me casser la tête à décortiquer. Le fait est que je suis pas très active et ce n’est pas une habitude. Heureusement je prends cher ! Ça me sort cette gêne de la tête. Je fous pas grand-chose mais déjà ça me crève, c’est génial ! En fait je fous tellement rien que j’en suis à essayer de comprendre ce qui se passe en moi.

Bon, il y a un gros truc qui passe en moi, et qui repasse, et qui continue. La douleur s’est tassé, assourdie par la tension de mes muscles et mon souffle qui m’échappe. Je n’ai pas besoin de comprendre, je n’ai besoin que d’oxygène : mon corps fait le reste. Chaque coup de rein balaie un peu plus de pensées, élague ce qui me reste de conscience jusqu’à me faire oublier tout ce qu’on m’avait dit ou que je m’imaginais sur le sexe. Il n’y a bientôt plus qu’une seule idée qui se cristallise dans ma tête : corps à corps.

Il n’y a vraiment rien d’autre et c’est tellement bon ! Ce que je ressens est si intense que je sais même plus si c’est du plaisir. En fait je ne le ressens pas comme du plaisir, pas directement. Une épreuve, mon organisme est agressé et trop content de se défouler. Tant pis pour les baisers tant que Ryouka me baise.

« Hinh ! Encore ! Gyah ! Plus fort ! »

Cramponnée aux épaules de mon amante, je tourne la tête pour me mordre le bras. Je n’y vais pas à moitié, je ne relâche que pour crier à nouveau. Je veux tenir encore, je veux tenir jusqu’au bout. Je veux qu’elle continue de me vider la tête à grands coups de sa grosse queue ! Mais j’ai perdu d’avance, je le sais très bien. D’abord je voyais flou à cause des larmes, maintenant tout est en train de virer au noir. Je sens mes muscles bandés qui commencent à trembler, c’est frustrant. Trop de tension, trop de résistance, je n’ai plus assez d’énergie. Les coups de reins s’enchaînent, se mêlent, je n’arrive plus à suivre. Je suis tellement dépassée que j’entends des voix... Non, il y a une troisième personne dans la pièce... Je crois... Et puis je m’en fous !

Je suis prise d’un vertige encore inconnu, de sensations totalement impossibles. Soudain je sens la queue de Ryouka cogner au fond de moi, une énième fois mais la plus claire depuis que j’ai commencé à perdre pied. En un éclair je me retrouve vidée de mes dernières forces, comme téléportée dans le néant. Ça ne dure qu’une fraction de seconde, je le sais, mais ça semble tellement plus long. Puis cette sensation insupportable, comme si le sexe de Ryouka voulait tirer le mien hors de moi, ou plutôt que le mien voulait le retenir. J’ai l’impression que ça racle, que ça crisse, comme une pierre à feu sur une lame. Je me mets à frémir au niveau de la taille, à tel point que j’ai peur que mon bassin se disloque.

Soudain tout mon corps se tend à nouveau, à l’extrême. C’est insoutenable, j’ai le cerveau en carafe pour de bon. Je sais pas où j’ai les bras mais j’agrippe et je tire. Heureusement ça n’a pas l’air d’être des cheveux, et avec les bras en croix ce serait étonnant. Je cambre à mort, mon dos va se péter en deux mais c’est plus fort que moi. Et mon bassin suit celui de Ryouka, je tire aussi sur les jambes instinctivement. Je me sens remuer autour de sa queue, je mouille comme une fontaine mais pas assez pour ce que je sens remplir mes entrailles. C’est chaud, c’est épais, putain qu’est-ce que c’est bon !

« KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! »

Un autre orgasme plus brutal, plus puissant... plus dégradant aussi. Je jouis, je n’arrive pas à reprendre un tant soit peu de souffle, mon corps entier me fait souffrir tellement il a forcé. Pourtant je continue d’en réclamer. Ce n’est pas une secousse incontrôlée qui m’a mise dans cette position, ça ne vient pas des spasmes qui tirent mes muscles. Je lève ma chatte, j’en veux jusqu’à la dernière seconde, jusqu’à...

... tourner de l’œil, ce qui ne tarde pas à arriver.

Quand la brume se dissipe je suis allongée sur le lit, je sens encore cette douce chaleur au creux de mon ventre. Et je suis vannée.

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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: lundi 10 juin 2013, 14:43:33 »
Bien plus gros ? Je sens mon vagin trembler d’angoisse à cette idée.  C’est qu’elle est marrante, Ryouka : sa taille normale prenait déjà de la place dans ma bouche ! J’ai jamais ouvert aussi grand les lèvres du bas, je sais pas si c’est possible. Et pour parler technique : j’ai pas les mensurations de Nika, je suis même bien en dessous ! Elle est pas grosse, c’est moi qui suis maigrichonne. 

Heureusement la belle geekette vient vite calmer mon anxiété de ses douces lèvres. Elles pressent sur les miennes, glissent alors que Ryouka bouge sur moi. Je frémis, puis tressaille en sentant la chair couverte de salive glisser sur ma peau. Mon cœur s’emballe, je sens son membre brûlant et lourd sur mon ventre, dur. Il monte jusqu’à mon nombril, elle qu’il ira aussi loin à l’intérieur ? Le baiser qui s’étire n’est finalement pas si apaisant, mais je sens soudain mes cuisses se contracter d’elles-mêmes. Ma tête a beau faire toute une montagne de ce gros sexe, mon corps se cambre pour le réclamer.

Autant dire que je bois les paroles rassurantes de Ryouka. Je ne demande qu’à la croire quand elle dit que ce sera divin, et j’écarte timidement les cuisses. Mes mains rampent le long de ses bras pour atteindre ses épaules. Crier ? Ça ferait si mal que ça ? Il faut dire qu’on a un entraînement pour résister à la douleur, l’idée que je puisse crier malgré ça n’est pas rassurante. Mais déjà je sens le bout de son sexe pousser contre mes lèvres intimes. Je baisse la tête et mes yeux s’ouvrent grands, tout comme ma bouche.

«  ... »

Ce n’est pas tant la douleur que la surprise qui me coupe le souffle, le choc de voir cet énorme piston de chair descendre entre mes cuisses. Je le sens, et je n’ai jamais ressenti quelque chose de vaguement approchant dans ma vie. Ça fait mal, ma chair ne s’est jamais tendue de cette façon. Mais ce n’est pas une douleur alarmante. Mon vagin n’a jamais été aussi rempli, son gros machin prend toute la place, même un peu trop. Je ne le ressens pourtant pas comme une agression, c’est plutôt une sorte de gêne. Ce n’est pas comme les doigts qu’elle m’a glissé dans l’anus, rien à voir.

Je me mordille encore la lèvre, mais je ne me retiendrais plus bien longtemps de gémir. La douleur décroît rapidement et c’est bien ce qui va me faire crier. Serrer les dents sur la souffrance est une chose, sur ce que je ressens en ce moment... Elle avait raison, c’est bien plus intense que les doigts, trop intense. Je ne comprends pas tout ce qui se passe, ce que mon corps est en train de faire. Soudain ça tire dans l’autre sens, le membre de Ryouka recule, je le sens au millimètre près. C’est encore plus intense ! Et il revient, ça n’en finit pas ! Je vais devenir dingue, je suis complètement larguée. Je ne sais qu’une chose, qui me fait soudain rejeter la tête en arrière pour crier, les yeux fermés.

« Gyah ! C’est bon ! Ryouka ! C’est trop bon ! »

Je reste agrippée à ses épaules, tendue comme un arc. À partir de la taille mon corps est cambré. J’en veux plus, je veux qu’elle reste en moi, je veux son corps contre le mien, je veux des baiser, des caresse et qu’elle continue de faire aller et venir son gros machin dans ma petite chatte. Je veux de la chair jusqu’à m’étouffer ! Mes mains abandonnent ses épaules pour grimper dans son dos. Je me hisse péniblement pour ne parvenir qu’à caresser brièvement ses lèvres du bout de la langue. Ryouka... Je me laisse retomber sur les matelas. Allongée les cuisses grandes ouvertes, j’ai l’impression de tailler un cent mètres à la nage. Tous mes muscles sont tendus, mon corps est en train de cramer une énergie monstre à rien foutre. Parce qu’on ne peut pas dire que je sois très active.

En fait, passer les jambes autour des cuisses de Ryouka pour lui servir de garde-fou est de loin ce que je fais de plus notable. Mais je prends trop mon pied pour m’en plaindre, et très vite il n’y a plus que ça qui compte. J’en ai les larmes aux yeux tant tout ça est intense.


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Prélude / Re : les enfers sont loin d'être cruels :3 - { Validée }
« le: jeudi 06 juin 2013, 15:00:31 »
Tentacules *q*

Heu... Je veux dire, bienvenue espèce de créature trop beurk avec plein de trucs gluants qui pendent et... Excusez-moi ! *File dans sa chambre.*

130
Prélude / Re : All hail the Steam ! - { Validé }
« le: jeudi 06 juin 2013, 14:57:20 »
*Prend une photo de Szaalion pour aller l'accrocher à la cible de fléchettes du mess de la caserne.*

Citer
Empereur des Légume-Vapeur,
à vaporiser des que possible.

*Puis prend une photo de la cité flottante.*

Citer
Cocotte-minute volante,
essayez de pas trop la bousiller.
(ça fera un spa très correct)

Celkhan power !

(Quoi ? J'ai pas dit de gros mots et je l'ai pas tué. C'est un esclavagiste après tout :p)

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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: mardi 04 juin 2013, 16:07:48 »
Bin voilà autre chose : faut passer le diplôme en ligne, maintenant ! Mais je commence à me dire que Ryouka va chercher toutes les excuses pour me garder dans sa chambre... Ça m'excite encore plus ! Mais on verra le cybersex plus tard. Pour l'instant j'ai du réel juste sous le nez. Je me redresse sur le fauteuil pour le reprendre dans une main, mais j'ouvre à peine les lèvres que les doigts de Nika s'y faufilent. Je ne peux retenir un petit soupir de plaisir. J'adore lécher des doigts couverts de mouille, même si c'est la mienne. En fait jusqu'ici je préfère ça à une verge.

Je tourne la tête vers Nika, accueillant d'autant plus ses doigts pour les suçoter et les caresser de la langue. Je n'oublie pas Ryouka et son gros machin encore dur, que je masturbe lentement. D'ailleurs ça va être le moment de perdre un peu plus ma virginité. Je profite d'avoir la bouche prise pour retourner dans ma tête les propositions de la petite sœur. Quatre pattes ? Dessus ? Dessous ? Qu'est-ce que j'en sais ?! J'étais encore une pucelle lesbienne il y a une demi-heure. En relâchant les doigts de la grande brune je ne suis pas très assurée, je sens même que je rougis de dire un truc aussi bête. J'ose même pas relever les yeux vers Ryouka.

" Bah... Comme Nika ? "

En même temps j'ai pas des masses de points de comparaison ! Et quitte à encaisser ce gros machin, autant commencer doucement... Enfin, je parlerais pas de douceur pour qualifier ce que ces deux bourrines ont fait sur le lit ! Je quitte le fauteuil pour aller m'allonger. Je frissonne, ça me fait bizarre de me mettre dans cette position, de m'offrir sans défenses. Mes cuisses tremblent presque, je dois poser les mains dessus pour ne pas les laisser se resserrer. Je me mordille la lèvre un moment en fuyant du regard Ryouka et son gros machin. Puis je trouve le courage de relever un regard un peu anxieux.

" Tu... Tu es sûre que... ça va rentrer ? "

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La pauvre infirmière Yamakashi a droit à un baptême en fanfare. Je ne sais pas si je dois la plaindre, dans le genre boucherie ma première mission a compté son lot de surprises macabres. D'un autre côté, entre ça et ce que j'ai vu dans la Fourmilière j'ai l'estomac solide, et l'adrénaline qui monte vite. C'est la première fois que je repars en guerre ouverte contre les esclavagistes depuis Que j'ai appris pour ma mère. Niveau 7, médaille d'argent des pires pourritures répertoriées à ce jour : J'espère que je vais avoir droit à l'assaut.

En attendant j'échange quelques mots avec l'infirmière Yamakashi, histoire que mes regards pour Suki ne soient pas trop flagrant. Difficile d'aller la voir devant tout le monde pour l'embrasser et lui raconter quelques petites histoire de mon voyage.

" Il paraît que les mission de niveau 7 sont vraiment affreuses.
- Je n'ai fait qu'une mission de niveau 4... Niveau 5, en fait, mais on était pas au courant pour le trafic d'organes.
- La mission avec le docteur qui était portée disparue ?
- Huit ans à soigner des esclaves et découper leurs corps, ou ils tuaient sa fille. "

C'est pour ça que je préfèrerai l'assaut. Je veux des cibles qui n'ont pas d'excuses, des salauds que je pourrais tuer, ou blesser s'ils ont la malchance de devoir survivre. Retour au garde à vous, pour tout le monde. Je me place aussi loin que possible de Suki. On va devoir être concentrées, inutile de nous mettre encore plus la pression. Donc notre nouvelle infirmière est aussi magicienne ? Pas étonnant, mais intéressant. Et on a notre nouveau vaisseau !

Donc on embarque, j'imagine que la fenêtre d'intervention va vite se refermer. Ça se vérifie assez rapidement : ils ont été balancés, et la balance a été repérée. Ils doivent se préparer à plier bagage s'ils ont des neurones. Ils découpent les filles vivante ? Je dois bien avouer que le pain de voyage aux lardons pèse comme un petit regret sur mon estomac. Mais ça me retourne le ventre d'une toute autre manière aussi : je sens la rage qui monte. J'ai considérablement progressé depuis ma première mission. Un peu d'entraînement et de combat réel pendant ma mission ont profité à mon sabre.

Donc deux objectifs : sauver les esclaves et perquisitionner... Finalement j'hésite. Il y aura peut-être des choses pour moi de ce côté. Je ne dois pas laisser passer la moindre chance de trouver des pistes, si je peux court-circuiter un peu le système ça économisera de la paperasse. Des questions ? Je lève la main.

" On a une estimation du nombre d'esclaves sur place ? "

Histoire d'avoir une petite idée de l'ampleur de la tâche, et de ce qui se cache derrière les images qu'on vient de voir. L'esclavagisme est comme tous les commerces : il demande une logistique. Et vu les facettes particulières de leurs affaires, leur logistique doit être lourde.


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Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: lundi 03 juin 2013, 16:08:54 »
Si je n'avais pas les lèvres fermées autour de la chair brûlante de Ryouka, je serais en train de gémir. C'est presque étonnant de sentir à quel point la grande brune est généreuse, elle ne cherche pas à me rendre folle en tournant autour du pot. L'expression est appropriée vu qu'elle fouille déjà ma petite fente à deux doigts. Ces bruits humides me montent à la tête, quelque part je trouve ça gênant. mais ce qui me fait vraiment rougir c'est de m'imaginer sur un écran, prise entre ces deux femmes aussi superbes qu'avides. Je tourne le regard pour essayer de trouver la caméra, mais ma tête continue d'aller et venir le long de ce membre, en rythme avec ma main.

Elle filme vraiment ? Je ne sais pas ce qui est le plus fort, l'angoisse ou l'excitation. Je ressens un frisson pervers à m'imaginer observée alors que je me fais dépuceler. Et je suis vraiment le centre de cette scène torride. J'ai l'impression que des gens sont planqués dans un coin à nous observer, nous détailler... nous juger. Et je ne vois qu'une réaction possible. Je glisse un second doigt à travers le petit œillet de Ryouka et mon poignet s'active un peu plus. Puisqu'elle filme autant montrer honnêtement que j'aime ce qui se passe. Qui aura le culot de me faire la leçon ?

Certainement pas Ryouka, vu comme elle s'accroche à ma tête. Elle en veut plus et ne prend pas la peine de demander, et je la laisse faire. Je serre un peu plus les  lèvres et presse la langue à chaque retour de son gland dans ma bouche. Nika dit qu'elle va jouir, et elle ne sera pas la seule. Tout ça est si excitant ! Les doigts de la grande brune qui clapotent entre mes cuisses vont me faire venir aussi. Mais Ryouka va jouir dans ma bouche. Qu'est-ce que ça va donner ? Une éclaboussure, comme quand Nika a joui tout à l'heure ? Sans doute pas tout à fait, mais quelque chose va sortir : ça c'est sûr.

Soudain la belle aux cheveux d'argent attire ma tête et pousse son membre jusqu'à l'orée de ma gorge. Je n'ai pas le temps de gargouiller une plainte que quelque chose de chaud et épais envahi ma bouche. J'arrive à en avaler une partie mais ça sort encore par petites giclées. Ça déborde de mes lèvres. Je rejette ma tête en arrière pour reprendre mon souffle, abandonnant du même cou le petit orifice de Ryouka.

" Hinh ! Trop... Hah !... Ni-kyah ! "

Et c'est tout entière que je pars en arrière, cambrée sur le fauteuil avec le bas du visage dégoulinant de... sperme. Ryouka vient d'éjaculer dans ma bouche, je le réalise seulement. Elle vient de jouir, de me remplir à tel point que je n'ai pas pu tout avaler. J'agrippe soudain les accoudoirs en me tendant comme un arc. Dire que si ça se trouve elles vont montrer tout ça en HD à leurs copines. Si elles filment n'importe qui pourra me voir comme ça, à moitié à poils avec du sperme dégoulinant jusque sur ma poitrine. C'est trop ! J'ai honte de jouir en pensant à ça, mais je jouis quand même ! Les jambes étirées, les chevilles tordues par la tension me foudroie. J'éclabousse les doigts de la belle brune en serrant les dents.

" G-Guh... Gniiiiiih... Gyaaaaaaaaaaaaaaah... "

Enfin, la vague passe. Je me laisse retomber mollement dans le fond du fauteuil avec un long soupir. je frissonne, je frémis en reprenant mon souffle avec un grand sourire et le regard un peu lent.

" Je vais vraiment devenir... une grosse perverse... avec vous deux... "

Et je laisse s'envoler un petit rire en attendant avec impatience la suite du programme.

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J'ai passé une nuit... Bizarre. J'ai peu dormi. Je suis rentrée hier en fin d'après-midi, d'une mission spéciale sur Terra. L'état-major n'a pas tourné autour du pot : tout est vrai. L'abandon de ma mère sur le terrain par Swedan, son sauvetage inattendu par Rayka quelques mois plus tard, ma conception alors qu'elle était esclave, son refus d'avorter une fois sortie de l'enfer. Kross... Il est intouchable, s'en prendre à lui pourrait provoquer une escalade vers une guerre totale contre Ashnard. Mais les Ashnardiens rien à redire si sa fille vient seule pour se venger. En tant que commando je suis éligible au statut d'agent spéciale, et ce titre m'a été accordé en vue de cette tâche : trouver et assassiner Gillam Kross. Aucun soutien, aucun compte à rendre, sur le terrain je suis seule.

Ma mission n'a rien eu de très impressionnant. J'ai fureté un peu à nexus, puis voyagé avec une bande de Nains très sympas. Au sol je ne suis qu'une jeune mercenaire qui vagabonde à la recherche de son père. Les infos de nos dossiers ne suffisent pas, je dois chercher des pistes ailleurs. Et j'en ai trouvé une ou deux. J'aurais dû appeler Suki dès mon retour, la rejoindre si possible et passer la nuit avec elle. Mais j'avais déjà trop repoussé ma visite au mémorial. J'avais besoin d'être seule avec ma mère, de refaire connaissance avec elle à travers mes souvenirs et ce que j'ai appris récemment. Je sais qu'elle ne voudrait pas pas que je le traque, encore moins maintenant que j'ai Suki. Mais c'est plus fort que moi, quand j'essaie de l'oublier ça vire à l'obsession. Je dois le trouver et vaincre, l'écraser d'une manière ou d'une autre. j'ai passé une bonne partie de la nuit assise en face de la plaque sur le caveau de ma mère.

" Sergent ! "

Et c'est la voix du major Fusanari qui me réveille en sursaut. Je porte encore ma tenue de voyage incognito : pantalon de cuir, chemise en coton blanc et une cape vert sapin. C'est vrai que c'est primitif, mais ça tient chaud et c'est plus confortable qu'il n'y paraît. Je me relève en tapant du doigt sur ma broche.

" Au rapport ! Pardon, major ! "

Je tousse pour m'éclaircir la gorge, j'ai la voix enrouée à force de dormir à l'air libre. Et j'aurais pas dû tirer sur la pipe de Bordin, ça m'a laminé la trachée ! Je m'étire et je m'ébroue en écoutant les directives.

" Briefing d'urgence, quais B-547.
- B-547, bien reçu. "

Je fourre une main dans ma poche. Coup de chance : il me reste un petit bout de pain de voyage aux lardons ! J'en prends une bouchée.

" Ho ! Mission de niveau 7 ! Évitez de prendre une petit déjeuner !
- ...
- Sergent ?
- Bien r'fu ! "

Je l'entends soupirer avant de couper la connexion. c'est qu'une semaine et demi, ça suffit pour prendre des habitudes. À peine levés on mangeait et on repartait. J'espère que la délicate puanteur infernale de la dizaine de mecs miniature au système pileux sur-développé m'aura assez blindé l'estomac. Ils sont sympas, les nains, et pas chiants : les filles minces et imberbes ça leur parle pas du tout. Mais ils ont de gros efforts à faire sur l'hygiène.

Je finis d'enfourner mon morceau de pain et je pars en courant vers la terrasse qui donne sur le cimetière. Un bond pour prendre appui sur la rambarde, un autre pour me jeter dans le vide d'une bonne dizaine de mètres. C'est largement assez pour générer un souffle et partir en vol plané à travers l'archipel. Je manœuvre tranquillement, au-dessous des voies aériennes urbaines pour ne gêner personne. je me pose le temps de passer l'entrée de la caserne, puis je file à nouveau. Une mission de niveau 7, c'est du lourd. Tout l'escadron sera sans doute réuni, donc Suki sera là... Notre jeune couple va subir l'épreuve du feu. Et on a une nouvelle dans l'équipe. Ça en fait, des choses !

Je file vers l'armurerie pour faire un petit brin de toilette, et surtout me changer. Ma tenue de combat m'avait un peu manqué, elle tient moins chaud mais elle est vraiment plus légère. J'enfile ma ceinture avec mon pistolet et un sabre à micro-filament avant de me mettre en route pour le quais. J'espère ne pas avoir l'air trop fatiguée, de toutes façons quand j'aurais digéré ça ira mieux. À peine arrivée je viens me planter au garde à vous devant le colonel Sokoku et le Major Fusanari.

" Sergent Yukimistu au rapport ! "

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Les contrées du Chaos / Re : Le grand jour! [PV Rinako Yukimitsu]
« le: lundi 03 juin 2013, 13:50:30 »
" Moi, je la trouves super ! T'es trop craquante ! "

J'en profite, sur la base je ne pourrais plus lui dire ce genre de choses. Minute : je suis sur son portable, maintenant ! Une belle photo craquante de ma petite amie surprise par mon petit bisou. Trop mignon ! Mais j'ai pas de téléphone, il faudra que je pense à enregistrer sa voix sur ma broche pour l'avoir toujours avec moi. En attendant c'est reparti, la main dans la main. Heureusement mon petit coup de fourbe ne semble pas avoir braqué ma Suki d'amour. Tant mieux, je veux qu'elle s'amuse au maximum, qu'elle se laisse aller. Elle n'a pas tant d'avance sur moi, elle aussi le droit de rester une gamine de temps en temps. C'est visiblement le cas maintenant ! Elle m'emmène à la boutique de souvenirs et je ne peux m'empêcher de rougir un peu.

" Oui, je pense que ça pourrait... "

Je rougie un peu plus. Ces jouets m'évoquent des loisirs qui ne sont pas pour les enfants. Ma Suki d'amour en terranide... Je n'ai eu qu'une expérience sexuelle pour l'instant, peut-être pas très représentative. Mais il y a une part bestiale des relations charnelles, un côté animal dans la façon de laisser libre cours à des désir primaires. L'envie de contacts, de sensations intenses, de toucher, goûter, sentir et entendre l'autre, de s'enivrer. Et les terranides sont connus pour être très en phase avec leurs envies primaires, l'une des raisons de leur nombre sur tous les marchés de l'esclavage. Il y en a aussi sur Caelestis, et même si les anciennes esclaves anthropomorphes n'ont pas les capacités requises pour occuper des postes à responsabilité elles s'intègrent bien. En fait les réfugiées adultes ont du mal à rattraper leur retard, humaines ou terranide, ce qui est normal vu le niveau d'étude requis par des postes finalement bas de plafond dans la hiérarchie. Mais la nouvelle génération a l'air bien partie pour démentir les études alarmistes comme quoi les terranides vont finir au rang des hommes à faire les mêmes conneries. C'est vrai qu'on a des extrémistes sur l'Archipel, certaines voudraient appliquer un tri drastique des réfugiées.

La voix de ma petite amie me rappelle dans l'instant présent. J'avais pas vu ! Elle a mis une paire d'oreilles et une queue. Ma tigresse jaune... Ou... une guêpe mutante ? Non, une guêpe serait pas aussi mignonne. Elle a l'air un peu inquiète de savoir ce que j'en pense, ça se lit autant dans ses yeux que sur son déguisement. Les oreilles en arrière et la queue qui se balance lentement. la connaissant elle doit aussi être un peu gênée. Si on lui avait dit ce matin qu'elle allait se travestir en terranide pour amuser sa petite amie... En fait je pense qu'elle aura collé son poing dans le ventre de la personne qui le lui aurait dit.

Je me mord la lèvre et me détourne d'elle.

" Han ! T'es trop craquante ! J'ai envie de te prendre dans mes bras pour te faire des mamours. "

À moi de trouver mon totem. Un oiseau ça ferait pas top avec le bec. Et puis des oiseaux roses... Je suis déjà plus grande que Suki, si me colle un bec de flamant rose j'aurais pas besoin de me tenir sur une jambe pour que ce soit du dernier ridicule. Une Neko ? Non. C'est mignon, les Neko, j'imagine que ma petite amie ne se ferait pas prier pour me gratter le dos. Mais ça me gêne. Je repense à cette pauvre esclave que ma mère paniquée essayait en vain de ranimer dans la vision que m'a donné Mastermind. Pas de Neko. Inu ? Il y en a des tonnes ! Difficile de choisir. Je jette un petit coup d'œil à ma tigresse adorée. Elle regarde un peu plus loin.

Encore des canidés, mais plus sauvages. Une louve ? À part prendre le modèle noire pour coller avec ma tenue ça risque de le pas être bien probant. En même temps, une louve rose, si le modèle existe il doit être en rupture de stock. Mais il y a du rose à côté, en fait toute une gamme de roux qui vont de la douceur du miel à la sombre chaleur du bordeaux. Il y a donc aussi du rose quelque part entre les deux. Je décroche ma broche pour la fixer à mon plastron. Puis le passe les barrettes dans mes cheveux, je plaque la ventouse dans le bas de mon dos. Deux oreilles pointues, en ogive, et une queue touffue qui se balance derrière mes cuisses.

À mon tour de me soumettre à son jugement. Je me retourne vers elle la tête baissée, les oreilles couchées en arrière alors que je sens à peine le plumeau remuer derrière mes jambes.

" Alors ? Je suis comment en kitsune ? "

Une renarde rose bonbon, j'espère que c'est bien ce qu'elle regardait. Et puis finalement c'est sans doute ce qui me colle le plus. Maintenant que j'y pense, je doute qu'une peluche suffise à certaines filles. Et puis quelques petits trucs de ce genre pourraient mettre un peu d'animation. Il doit bien y avoir des cadeaux pour les plus grandes, celles qui vont bientôt partir pour des pensions d'état et entamer leurs études.

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