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Messages - Lucie Backerlord

Pages: 1 ... 6 7 [8] 9 10
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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 03 janvier 2018, 17:35:03 »
La manière qu'elle avait d'énumérer plusieurs choses possible me fit sourire, et même ricaner quelque peu. Je ne me moquais pas, mais elle était tellement loin du compte. Cependant, je notais ce genre d'idées dans un coin de mon esprit, pour les ressortir un peu plus tard, si j'en avais bien entendu l'occasion. Il fallait toujours trouver une occasion pour ces choses-là, même s'il était évident qu'on ne basculait pas dans ce genre de délire comme ça, en plein milieu d'un acte, sans que la situation ne s'y prête. Je le savais mieux que quiconque.

- On va juste dire que t'es très loin du compte. Mais je pense que ça ne te laisseras pas indifférente non plus.

Je savais ce qu'il fallait que je fasse. Alors que nous étions debout, dans ma chambre, je la prenais contre moi avant de l'allonger sur mon lit. Je venais instinctivement lui mordiller le cou, aussi lentement que possible. Pour ce genre de choses, il me fallait vraiment faire attention à contrôler ma force. Une de mes mains descendit lentement vers son bas-ventre, passant outre la barrière de son caleçon. Prenant son membre bien en main, je commençais à faire de très lents mouvements de poignet. Beaucoup trop lents. Mais cela faisait parti de mon plan. Le but était de la faire languir avant de passer à la suite.

- Je suis persuadée que tu sais ce qu'il va se passer par la suite. Et je pense qu'on en a autant envie toutes les deux.

Les mouvements de mon poignet se firent bien plus rapides, presque même désordonnés par moments. Avant de totalement cesser, ma bouche prenant le relais de mon poignet. Et j'attaquais cette étape avec vigueur et détermination. J'étais habituée à cela, et je comptais user de cette expérience. Je m'attardais à certains endroits, qui souvent étaient bien plus sensibles que d'autres. Je joignais, à mes mouvements de langue, un lent massage de ses testicules. La regardant droit dans les yeux, j'alternais les mouvements lents et rapides, comme à mon habitude, avec une grande fluidité. J'agissais souvent de la sorte au début, pour mettre la personne dans le bain, avant de moduler mes actions suivant le ressenti. Je comptais la faire partir en vrille, tout comme elle venait de le faire avec moi.


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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 03 janvier 2018, 00:30:42 »
Je savais que je pouvais tenir longtemps si je concentrais mon attention en un point donné. Mais serait-ce vraiment utile? Pas vraiment. Il valait mieux que je me laisse aller. Vouloir à tout prix durer le plus longtemps possible et utiliser de multiples stratagèmes pour y parvenir n'était pas vraiment utile dans certaines situations. Je lâchais donc totalement prise, ce qui fit que mes gémissements s'amplifièrent. Je savais comment cela allait se terminer, et à vrai dire, j'avais finalement très envie que tout ce termine comme je l'avais prévu. Si je ne prévoyais rien, j'étais malade. L'on voyait mon état de santé à mes initiatives professionnelles.

Alors que je gémissais de plus en plus, je sentais que je n'allais pas tarder à flancher. Bien évidemment j'essayais de ne pas tout lâcher d'un coup sans prévenir. Je détestais que l'on ne me prévienne pas, alors que je n'allais pas faire ce que je détestais que l'on me fasse. Je serrais les poings, pour me concentrer uniquement sur ce qu'elle était en train de me faire. J'allais perdre pied si elle continuait sur sa lancée. Et mon niveau sonore en était une excellente preuve.

Alors que j'étais au bord de ma limite, je la prévenais, afin qu'elle ne soit pas trop surprise non plus. Une période de flottement plus tard, je me laissais totalement aller, dans sa bouche. Sans un bruit, juste, un léger soupir. J'étais plus bruyante avant d'en arriver à ce point. Je ne savais pas clairement pourquoi, mais c'était comme ça. Un léger soupir de bien-être. Tout ce que je pouvais faire, c'était sourire. Sourire, et passer lentement l'une de mes mains dans ses cheveux. Je reprenais lentement ma respiration, tout en gardant ma main sur sa tête.

- T'es une brave fille. Je pense que t'as mérité un petit quelque chose en particulier. Mais on a pas vraiment la place pour ça ici. Viens.

Je l'emmenais donc dans ma chambre, laissant libre court à son imagination pendant quelques instants.


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La façon qu'elle avait d'agir avec moi n'était pas quelque chose qui m'aurait dérangé plus que ça, à la surface. Ici, j'avais une réserve d'oxygène plus que limitée. Et si elle n'était pas impactée par le manque d'oxygène, elle devait donc être une sirène. Au fond de moi, j'espérais vraiment ne pas manquer d'air à un moment ou à un autre. Je ne voulais pas me l'avouer, mais mourir noyée me faisait extrêmement peur. Je ne voulais vraiment pas que cela arrive, mais je n'osais clairement pas l'avouer. Il y avait des choses qui me faisaient peur et que je n'avais en aucun cas envie d'avouer.

Alors qu'elle commençait à me tripoter de partout, j'essayais vraiment de contenir mes gémissements. Et en voyant ce qu'elle était en train de faire, j'étais en train de monter une espèce de scénario dans ma tête. Et à vrai dire, ce n'était pas le genre de choses qui me dérangeait, bien au contraire. Je n'étais pas née de la dernière pluie et je comprenais parfaitement ce qu'elle voulait faire. Ce genre de choses m'était déjà arrivé, et à chaque fois, j'avais apprécié. Donc pourquoi serait-ce différent ce coup-ci? J'essayais par dessus tout de garder mes algues dans la bouche et de contenir mes gémissements. Sans grand succès, il est vrai.

Le problème, c'est que je ne savais pas vraiment quoi faire pour m'occuper les mains. Je comptais la laisser faire pendant un certain temps, mais je détestais ne rien pouvoir faire. Je devais toujours trouver quelque chose pour m'occuper les mains. Je n'arrivais pas à changer cette habitude, et je devais faire avec.

- Je pense que tu sauras rapidement si je suis en train de passer du côté des légumes. T'en fais pas pour moi va.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: lundi 01 janvier 2018, 19:28:51 »
Je ricanais doucement en l'entendant dire une chose pareille. Il valait mieux que je verrouille mon esprit. Elle devait sans doute lire dans mes pensées, et je devais donc trouver un stratagème pour m'en sortir si tel devait être le cas. Oui, parfois, je partais très loin dans mes hypothèses. Mais là, je reprenais bien vite mes esprits, en la sentant faire. Soit disant, elle n'avait encore jamais fait quelque chose de ce genre. Soit elle me mentait, soit elle savait vraiment s'y prendre, sans même le savoir. Car si telle était la vérité, elle s'en sortait très bien. Je devais l'avouer. Rien que la manière avec laquelle je gémissais suffisait à rendre compte que ce n'était pas pour me déplaire.

Je réfléchissais toujours à une sorte de contre-attaque. Mes mains toujours dans ses cheveux, je restais là, à gémir, sans pouvoir rien faire d'autre. Je n'arrivais pas à être statique en fin de compte, il fallait toujours quelque chose pour au moins m'occuper les mains. J'avais certes beaucoup de patience, mais je détestais rester sans rien faire. Ce n'était clairement pas dans ma nature, et je ne pouvais absolument rien faire pour lutter contre ça. Néanmoins, je décidais de ne plus rester statique et de prendre légèrement le contrôle de mes petites mimines. Et pour ce faire, je lui appuyais doucement sur la tête. Pourquoi? Parce que j'en avais l'habitude. Et je n'arrivais pas à me débarrasser de mes vieilles habitudes.

Et cela avait le don de me faire littéralement partir en vrille. Si je ne contrôlais pas ce que je faisais, elle allait le sentir passer. Et là n'était pas le but. Je n'allais tout de même pas lui infliger ça pour le moment. Par la suite peut-être, mais je ne prévoyais pas cela pour le moment. Je serrais mon poing libre pour ne pas partir en vrille pour le moment. Il me fallait de la retenue. Parce que que je savais très bien comment cela allait se passer si je ne le faisais pas. Mes gémissements s'amplifiaient de plus en plus, mais j'étais encore loin de lâcher prise. Il fallait juste que je me retienne d'appuyer encore plus, si elle n'était pas encore habituée.

- Je ne vais pas te dire comment tout cela va finir. Je te le montrerais, ça sera bien plus simple. Mes mots étaient hachés par mes gémissements.

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Zone Sous-Marine / Re : Qu'est-ce qu'on s'éclate, sous l'ocean ♫ [Feat Lyli]
« le: dimanche 31 décembre 2017, 00:26:46 »
J'avais vraiment l'impression qu'elle me prenait pour une conne. Bon, c'était évident, plonger dans cette tenue n'avait pas été l'idée la plus intelligente de ma vie, mais quand même. Je savais encore aligner une phrase correcte et réfléchir de manière rationnelle. Mais si elle voulait me voir comme une bonne grosse débile, libre à elle. De toute évidence, si elle voulait jouer avec moi, j'allais avoir ma revanche, à un moment ou à un autre. Il me suffisait d'être patiente. Patiente, sous l'eau. Avec une réserve d'oxygène limitée. Dans quoi est-ce que je m'embarquais?

- Dire à une sorcière qu'elle est peut-être en train de divaguer. Je vois que tu es pleine d'humour.

J'étais tiraillée entre le fait d'être outrée par ses propos, et le fait d'en rire. Mais je ne comptais pas me barrer, au risque de me faire passer pour une nana incapable de comprendre un brin d'humour. Je n'étais pas comme ça, et je ne voulais pas être vue comme cela. J'avais tout de même un brin d'amour propre. Un peu trop même, parfois. Mais je l'assumais. J'allais rester pour lui prouver qu'elle avait tort. Parfois, à trop vouloir en faire, je me mettais dans des situations dans lesquelles j'avais parfois du mal à sortir. Mais, au fond de moi, je savais qu'elle n'allait pas me laisser mourir comme une merde sous l'eau. Du moins, je l'espérais du plus profond de mon âme. Si elle voulait me laisser mourir, elle ne m'aurait clairement pas empêché d'aller au fond.

Je me laissais totalement faire. De mon plein gré. Je n'avais pas d'autre optiques en fin de compte. Donc autant profiter jusqu'au bout, et réfléchir à une digne contre-attaque par la suite. Elle allait voir que je n'étais pas une débile profonde.

- Tais toi et profites.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 30 décembre 2017, 23:41:12 »
En la voyant faire, je savais dans quoi je m'embarquais. Et j'y allais avec tout l'enthousiasme du monde. Je n'allais quand même pas regretter quelque chose comme ça. Si je commençais à regretter chaque acte sexuel, autant me couper ce que j'avais entre les jambes, entrer dans un couvent, et prier un dieu quelconque jusqu'à la fin de ma vie. En tant que sorcière, je pouvais vivre plusieurs longs siècles, et clairement, il était hors de question que je passe 500 ou 600 ans dans le même couvent. Autant me foutre en l'air, cela aurait le même impact mais serait bien plus rapide.

Mes mains glissaient dans ses cheveux, alors que je contenais le fait de vouloir contrôler la situation. Pour une fois, j'allais arrêter de tout vouloir contrôler et la laisser se démerder un peu. Elle était pleine de bonnes intentions, et tout gâcher avec une volonté de contrôle à la con était plus que stupide. Cela me demandait vraiment des efforts pour ne pas tout contrôler, mais je pouvais bien faire cet effort, au moins une fois. Cela n'allait pas me tuer. Néanmoins, sa réaction me fit rire. Je ne me moquais clairement pas.

- On dirait que ça te choque. Et j'espère pour toi que t'as pas peur de la fatigue, j'ai une grande endurance.

C'était l'un de mes pouvoirs. Et celui là, je veillais à ce qu'il prenne de plus en plus en puissance. Gagner en endurance était toujours une bonne chose. Pour moi comme pour les autres. Lui laissant donc le champ libre, j'allais rester passive durant un certain temps. Mais tout ceci était finalement calculé, pour savoir mieux contre-attaquer. Je préparais toujours soigneusement mes contre-attaques. Même dans ce genre de cas, mon boulot ressortait quelque peu. J'en avais conscience, mais je ne pouvais pas vraiment faire autrement.

Mes mains toujours dans ses cheveux, je ne pouvais pas réprimer certains gémissements en la sentant faire. Parfois, je savais être relativement discrète, mais je sentais que cela n'allait pas être le cas ici. Néanmoins, je ne simulais jamais. J'avais clairement horreur de mentir, et la simulation était quelque chose qui me répugnait. J'agissais donc comme je le fais d'habitude. Quand j'appréciais quelque chose, je le faisais savoir. L'inverse était aussi valable. Jouant avec des mèches de ses cheveux, je la laissais faire, lui laissant également voir l'effet que cela me faisait. J'avais hâte de savoir ce qu'elle comptait faire par la suite, car je n'allais clairement pas me contenter de gémissements.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: vendredi 29 décembre 2017, 19:59:35 »
Elle devait sans doute se demander pourquoi je ne parlais pas. Mais lui expliquer ne servirait pas à grand chose. J'avais délibérément choisi de ne pas parler. Mon langage corporel parlait pour moi. Je n'étais certes pas une experte du langage corporel, en dehors de tout ce qui était expression faciale, mais je m'en sortais plus ou moins. Plus ou moins étant la réalité. Par moments, je ne savais pas vraiment quoi faire. Alors qu'à d'autres moments, je gérais la situation. C'était à n'y rien comprendre, et je n'avais pas tellement envie de tout comprendre.

Alors qu'elle se mit à califourchon sur moi, instinctivement, je la serrais contre moi. J'agissais vraiment par instinct. Tout ce qui me venait semblait plus que naturel. Comme la suite logique des choses. Pour n'importe qui, cette situation serait incompréhensible, vu ce qu'elle m'avait envoyé dans la gueule trois jours plus tôt. Mais au fond de moi, je savais que ce n'était pas une garce. Sinon, elle ne ferait aucun effort. Je voyais quelque chose de positif en elle, même si elle ne voulait pas se l'avouer. S'il n'y avait aucun avenir en elle, pourquoi l'aurais-je pris avec moi?

Même si j'étais connue comme étant patiente, je détestais perdre mon temps avec quelqu'un qui n'en valait pas la peine. Et je voyais en elle quelque chose qui valait la peine. Je ne savais pas vraiment ce que c'était, mais je n'avais pas vraiment envie de me poser plus de questions. Glissant lentement une de mes mains dans son dos, je venais taquiner du bout des doigts le creux de ses reins, avant d'agripper son fessier, fermement, à deux mains. En l'entendant parler de la sorte, j'adoptais un air des plus intéressés. Ce genre de paroles avaient le don de piquer ma curiosité à vif. Et vu le regard que je lui lançais, ma curiosité n'était plus piquée. Elle était écartelée.

- Si tu comptes faire ce que je pense, tu as un boulevard ouvert devant toi. Mais le retour de flamme risque d'être important.

Je détestais recevoir sans donner. Elle allait pouvoir rapidement s'en rendre compte si elle prenait l'initiative des choses. J'attendais de voir de quoi elle était capable avant d'adapter ma riposte en conséquence.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: jeudi 28 décembre 2017, 18:47:24 »
La seule réponse que je trouvais à sa question était le silence. Parfois, il valait mieux ne pas parler. Le silence pouvait exprimer bien plus de choses que de simples paroles. Et comme ici, les paroles étaient une réponse quasiment négative, ne rien dire voulait justement tout dire. Même si je détestais être silencieuse, je savais faire abstraction de mon ressenti intérieur, et m'adapter à une situation donnée. Ce n'était évidemment pas donné à tout le monde, et je restais on ne peut plus humble avec ça, le crier sur tous les toits était l'une des choses les plus stupides à faire. Mais quelque part, sa manière d'agir me surprenait beaucoup. Dire que cela me dérangeait serait mentir. Au contraire, j'appréciais énormément ce genre d'attentions.

Gardant ses mains dans les miennes, je ne savais pas vraiment quoi faire d'autre pour le moment. Je n'avais pas vraiment envie de sonder son esprit pour deviner ses intentions. Lorsque je prenais l'initiative, je savais comment réagir. Mais ici, elle me prenait vraiment de court. Au fond de moi, je n'aimais pas du tout n'avoir aucun contrôle sur une situation donnée. Mais je n'allais pas tout arrêter sous prétexte que je n'aimais pas avoir de contrôle. Agir comme une foutue princesse n'était pas dans ma façon d'être. Je savais plus ou moins comment tout cela allait se dérouler, je n'étais pas née de la dernière pluie, mais j'attendais de voir comment elle allait faire pour y parvenir.

J'avais déjà vécu ce genre de situations. Soit de ma propre initiative, soit de l'initiative de quelqu'un d'autre. Avais-je déjà regretté quelque chose comme ça? Pas vraiment, bien au contraire. Je ne regrettais presque jamais rien, sauf en cas d'extrême nécessité. Pour le moment, je ne faisais que profiter, lui laissant un champ libre bien plus que conséquent. Elle avait toutes les opportunités du monde, et il ne tenait qu'à elle de les saisir.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 27 décembre 2017, 18:32:28 »
- Je suis sûre que tu as une très grande imagination, et que tu dois savoir de quoi je veux parler en disant quelque chose comme ça.

Elle voyait en moi quelqu'un qu'elle connaissait. Mais je n'avais personne dans ma famille qui me ressemblait à ce point. A vrai dire, j'étais la seule à posséder des cheveux de cette couleur. La nature faisait parfois bien les choses, et ressembler comme deux gouttes d'eau à quelqu'un qu'on ne connaissait pas ne me choquait pas plus que ça, à vrai dire. Et sa réaction ne me choquait pas plus que ça. Alors que la quasi totalité des phrases prononcées depuis le début avaient un caractère plus que suggestif, cela semblait être la suite logique des choses. Peut-être que je m'imaginais des choses ou quoi que ce soit, mais je me laissais faire, sans dire un mot. Faisant ensuite craquer mes doigts par la suite, je restais un moment silencieuse, avant de reprendre la parole.

- Cette dernière a tenté plusieurs fois de te tuer, mais tu réagirais comme ça avec elle? Charmant. J'ai tout plein d'images qui me viennent en tête maintenant. La manière que j'avais de dire une chose pareille stipulait que cela ne me dérangeait clairement pas. J'avais eu des choses bien plus obscènes à l'esprit, et je l'assumais totalement. J'avais un esprit relativement tordu pour la plupart des gens, voire même obscène. Mais je n'avais jamais prétendu être pure ou quoi que ce soit de ce style. C'était bien tout le contraire. Je m'étais forgée une réputation auprès de certaines personnes avec ma façon d'agir, et à vrai dire, je l'acceptais sans même broncher. Je faisais ce que bon me semblait, et n'avait aucune remarque à me prendre de la part d'autrui. J'étais majeure, je pouvais donc faire ce que je voulais.

Je m'amusais toujours avec ses bandeaux dans les cheveux, comme une espèce de gosse en fin de compte. Par moments, j'avais vraiment quatre ans d'âge mental. Mais rester sérieuse 100% du temps m'était impossible, même si ma façon d'agir, souvent très professionnelle, montrait le contraire. Mais là, nous n'étions que deux, alors, à quoi bon faire preuve de faux-semblants? J'allais sans doute reprendre tout mon sérieux si quelque chose d'important allait se dérouler. Comme à mon habitude.

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Zone Sous-Marine / Re : Qu'est-ce qu'on s'éclate, sous l'ocean ♫ [Feat Lyli]
« le: mercredi 27 décembre 2017, 18:12:45 »
Alors que je descendais, je la sentais bien agir. Elle était là, en train de me malaxer le cul. je ne savais pas vraiment ce qu'elle voulait, mais si cela pouvait lui faire plaisir, ce n'était pas comme si une telle chose me dérangeait la plupart du temps. Je la laissais donc faire, et continuait à descendre un peu, jusqu'à ce qu'elle décide de me retenir par les cuissardes. Elle voulait donc m'empêcher de descendre plus bas. Au fond de moi-même, je savais qu'elle ne devait pas faire ça dans mon intérêt propre. Et à vrai dire, je ne savais pas jusqu'à quelle profondeur je pouvais aller et m'en sortir vivante.

- Je ne sais pas ce que tu trouves à mon cul, très chère, mais t'as visiblement l'air de bien t'amuser à jouer avec. Alors dis le clairement si t'as envie de faire mumuse avec moi. Je suis partisane des gens francs et directs.

Vu comment elle agissait, je savais qu'elle n'avait pas envie de jouer à la dînette avec moi. J'étais loin d'être née de la dernière pluie. Je n'avais pas vraiment besoin de lire dans ses pensées pour devenir ses intentions. Elle n'était pas là pour me sauver la vie en m'interdisant de descendre plus bas. Elle avait une autre idée derrière la tête. Et à vrai dire, j'étais assez curieuse de la découvrir. Je le savais, un jour, ma curiosité allait causer ma perte. Je me rapprochais donc d'elle, quasi inconsciemment, me demandant bien ce qui allait se passer par la suite. J'oubliais même presque ce pour quoi j'étais venu aujourd'hui. Tout ça parce que j'avais une femme à moitié nue en face de moi qui en avais après mon cul.

- Si ma combinaison te dérange autant, il ne tient qu'à toi d'en faire ce que bon te semble. Tant que tu ne la laisses pas couler au fond.

Si je commençais à vouloir jouer avec la provocation, surtout avec quelqu'un dont je ne connaissais absolument pas le psyché, je n'allais pas aller bien loin. Mais tout cela me semblait bien naturel en fin de compte. A tort ou à raison, je n'en savais rien, au final. Tout ce qui sortait de ma bouche me semblait normal. Pour le moment.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 27 décembre 2017, 17:30:47 »
Si j'affirmais ne pas être surprise en la sentant faire, je serais la plus grande menteuse de tous les temps. Je ne m'attendais clairement pas à ça de sa part. A vrai dire, comme je n'arrivais pas vraiment à cerner ce qu'elle était réellement, à la fois tout m'étonnait mais plus rien m'étonnait également. Une sorte d'ambivalence dans mon esprit que je n'arrivais pas à comprendre. Voulais-je réellement comprendre? Quelque part, oui. Je devais bosser avec elle, j'allais vivre un certain temps avec elle, chez moi, donc il était hors de question pour moi de laisser des choses de côté en terme de compréhension.

Je me laissais donc totalement faire. Dire qu'elle s'en sortait mal serait un plus gros mensonge encore. Elle se débrouillait vraiment pas mal. J'étais assez sensible à ce genre de choses, et je savais reconnaître quelqu'un qui se débrouillait bien, et quelqu'un ne sachant pas du tout ce qu'il faisait. Il y avait un moyen très simple de savoir si j'aimais quelque chose de ce genre. Si je gardais les yeux ouverts, c'était mauvais signe. Si je fermais les yeux, cela voulait tout dire. Et mes yeux étaient clos. Je ne parlais pas, je ne disais absolument rien, je ne faisais pas le moindre bruit, je me contentais d'apprécier la chose. Tout un tas de pensées se bousculèrent dans mon esprit. Pourquoi est-ce que j'étais en train de penser à des trucs pareils?

J'assumais de penser à des trucs pareils. J'assumais tout ce que je pensais, à chaque fois. Même lorsque la situation ne prêtait pas du tout à de telles pensées. Pouvait-on me blâmer pour cela? Pas vraiment. Alors que je me laissais faire, je finis par ne plus penser à rien. Et lorsque je ne pensais plus à rien, cela pouvait être à la fois mauvais et bon signe. Tout dépendant de l'optique de la personne en face. Pour une fois, je ne faisais pas craquer les os de mon cou, même si j'en ressentais l'envie. Instinctivement, sans que je ne sache vraiment pourquoi, j'en arrivais à prendre ses mains et à les garder dans les miennes. J'agissais sans vraiment m'en rendre compte au final. Est-ce que cela me dérangeait? Pas tant que ça.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 27 décembre 2017, 00:35:39 »
Je faisais donc rapidement mon boulot, pour pouvoir rentrer chez moi le plus rapidement possible. En voyant qu'elle était partie, mais n'avait pas prises mes clés de voiture, je soupirais un peu. Elle devait être là, dehors à attendre. Mais visiblement, elle ne revenait pas. Terminant donc mon boulot, je prenais quelques petites affaires, saluait mes hommes, avant de partir. Je la voyais donc là, sur le capot de ma voiture, en train d'attendre. Je soupirais quelque peu. Elle aurait très bien pu rentrer pour me les demander, au lieu de se peler le cul dehors comme ça. Car tout de même, l'air ne s'était pas réchauffé. J'ouvrais donc rapidement ma voiture afin qu'elle puisse rentrer dedans. Pour une fois, rien ne pressait donc j'allais conduire normalement.

M'allumant une cigarette sur le trajet, je souriais, lui expliquant que j'allais m'occuper de son poignet en rentrant. J'avais tout une pharmacie chez moi, j'allais bien pouvoir trouver quelque chose qui allait lui convenir. Néanmoins, je venais de penser à une chose, et je devais lui expliquer. Pour dissiper le malentendu qui pourrait se produire une fois arrivées.

"Ah oui, j'ai deux fauteuils une place en fait. Pas de canapé. Donc je crois qu'on va vraiment devoir dormir dans le même lit. Mais t'en fais pas ça pour ça, je suis relativement discrète quand je dors, tu ne soupçonneras même pas ma présence, même si tu me cherches.

Roulant tranquillement, et faisant des ronds de fumée, je ne mis pas longtemps avant d'arriver chez moi. Elle pouvait donc voir où j'habitais. Même si je ne gagnais pas des centaines de millions de yens par mois, ma maison était suffisamment grande pour que je m'y sente bien. La laissant donc s'installer, je me jetais dans mon fauteuil avant d'allumer la télé. Je lui ferais une petite visite guidée par la suite, j'avais tout le temps du monde pour ça.

[HRP] Désolé de faire court, j'suis assez malade là... [/HRP]

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Alors que je descendais toujours plus profond, je commençais à penser qu'heureusement, j'avais des algues dans ma bouche. Sans eux, j'allais manquer rapidement d'air. Il fallait que je pense tout de même à remonter à la surface à un moment donné, mais pour le moment, j'étais en train de gérer la situation. Je préférais gérer une situation plutôt que de n'avoir absolument aucun contrôle. Comme à peu près tout le monde sur cette terre, j'imagine. Mon rythme de nage vers le fond était progressif, je savais parfaitement qu'un changement trop brutal de pression allait me jouer des tours. J'avais tout de même des rudiments dans ce domaine, même si plonger avec une tenue comme la mienne actuellement était l'une des choses les plus stupides que j'ai pu faire de toute ma vie. Et je commençais à le ressentir, vu que le cuir et le latex qui composaient ma combinaison, commençaient à bien se rétracter. Mais cela n'était pas si gênant pour le moment. Après tout, ce n'était pas comme si les poissons allaient me mater le cul.

Toutefois, alors que je descendais toujours plus profond, une voix se fit entendre derrière moi. Par surprise, je manquais d'avaler mes algues. Ce qui aurait été une grossière erreur, que j'aurais pu regretter pendant un bon bout de temps. Je me retournais et faisant face à une femme à moitié nue. En soi, être à moitié nue en plein milieu de l'océan n'était pas le plus choquant. Je me demandais bien ce qu'elle pouvait être. Une sirène sûrement, cela semblerait logique. De toute manière, les sorcières existaient, alors pourquoi pas une sirène? Passé le choc, je pouvais parler, lentement, pour ne pas avaler les algues que j'avais en plein milieu de la bouche.

- Wow wow wow. Une petite minute. Qu'est-ce que c'est que ces questions? Alors pour ta gouverne, je suis consciente que c'est débile de plonger comme ça, mais j'avais pas de combinaison. Je cherche une algue qui pousse uniquement en haute profondeur. Elle est assez bizarre, petite, rouge. Je suis encore loin d'arriver en bas.

Je savais qu'elle allait me suivre. Le contraire m'étonnerait plus qu'autre chose. Vu comment elle avait l'air d'être curieuse, si elle me laissait en plan, cela m'inquiéterait. Et qui sait, si elle était vraiment une sirène, elle devait connaître quelques trucs pour aider les autres à respirer sous l'eau. Autant l'avoir sous le coude à un moment donné. Je continuais donc à descendre, la lumière se faisant de plus en plus rare. Je savais que ce que j'étais en train de faire était complètement con, mais j'avais besoin de cette algue. Utilisée dans la bonne préparation, elle pourrait améliorer mes pouvoirs. J'en avais donc vraiment besoin. Je la laissais venir avec moi. Si son délire était de me peloter le cul sur toute la descente, elle allait pouvoir se faire plaisir.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: mardi 26 décembre 2017, 19:22:29 »
Lorsqu'elle me demanda de pratiquer un exorcisme, tout s'effondra autour de moi. Cela faisait tellement longtemps que je n'en avais pas pratiqué, je devais absolument gagner du temps pour me souvenir. Je ralentissais une nouvelle fois le temps pour m'en donner afin de rassembler mes souvenirs. Je savais très bien que je n'allais pas ressortir en pleine forme de tout ce merdier, mais je devais le faire, pour ne pas perdre la face. Alors que les secondes s'écoulaient, me rapprochant rapidement du retour au temps normal, je tentais tant bien que mal de me souvenir de quelque chose. Je triturais mon esprit dans tous les sens, avant d'avoir un éclair de lucidité et de me souvenir de quelque chose que ma mère m'avait appris il y a très longtemps. Me mettant à genoux, j'entamais une très longue incantation en Enochien.

La répétant plusieurs fois pour qu'elle ai bien plus d'impact, je faisais ce qu'elle me demandait. Ma voix changeait à chaque fois que je parlais en Enochien. Je ne savais pas pourquoi, mais c'était un fait que je devais accepter. Continuant mon incantation, je voyais qu'elle commençait à faire effet. Je n'avais qu'à continuer jusqu'à la fin. Cela allait prendre un certain temps, mais c'était plus que nécessaire. Fermant les yeux, je me concentrais de plus en plus, afin d'amplifier l'effet. Je ne prêtais pas attention à l'environnement alentour. J'avais un objectif, je devais y parvenir, le reste n'était pas si important. Parvenant enfin à mes fins, je rouvrais les yeux. Je savais très bien que j'allais bien me fatiguer, mais je devais faire abstraction. Même si j'étais une sorcière, il y avait des choses que je ne pouvais pas faire en permanence, notamment ralentir le temps.

- Cela convient-il à sa très chère sainteté? Je souriais, bien évidemment. - Voyons, y'a des choses bien plus sexy que voir une sorcière dans du cuir/latex rouge se battre. La même sorcière faisant autre chose, c'est bien plus intéressant. Je ne savais pas pourquoi, mais tout ce qui sortait de ma bouche depuis mon arrivée était tendancieux. Est-ce que c'était prévu? Est-ce que j'agissais ainsi inconsciemment? Je n'en savais strictement rien. Mais cela ne me dérangeait absolument pas, au final.

J'enlevais la poussière de mes genoux. Hors de question que cette saloperie ne vienne salir ma combinaison.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mardi 26 décembre 2017, 18:51:42 »
- En gros, ça va faire une petite heure qu'on est là. T'as de la chance, aujourd'hui je ne bosses pas cette après-midi. On va pouvoir rentrer plus tôt. Mais clairement, j'ai vraiment du boulot avec toi. Je vais pas te juger sur ton manque de compétence, tu n'as pas un cursus militaire. Mais pour une première fois, c'est pas si mauvais... Reste qu'on a beaucoup, mais alors beaucoup de travail pour te faire toucher quelqu'un du premier coup.

Cependant, je lui tapotais la tête. Je la regardais avec un air absolument neutre lorsqu'elle m'annonça qu'elle allait m'apprendre à faire des blagues. Je faisais très bien l'air neutre, quasi blasé. Je m'étais entraînée durant des années pour parfaire cet air. Parfois, une simple expression faciale valait mieux qu'un long discours. Je communiquais beaucoup avec mon visage. Il fallait juste me comprendre. Mais pour ceux qui me connaissaient, la lecture de mon visage n'était pas quelque chose de difficile, bien au contraire. Ils pouvaient presque lire en moi comme dans un livre ouvert.

- Tiens, on va rigoler un bon coup. Je me mettais derrière elle, lui prenait son arme et lui mit la mienne entre les mains. Avec la sécurité bien entendu. Je rangeais la sienne à ma ceinture et entourait ses mains avec les miennes. - Tu vas comprendre pourquoi je t'interdis de toucher un truc pareil. Je lui remis son casque sur la tête pour lui éviter de devenir sourde avec un tel machin aussi près de ses oreilles. Sortant la sécurité, je la laissais faire en gardant bien ses mains dans les miennes, pour éviter qu'elle se prenne l'arme en pleine tronche. La laissant tirer, je faisais ce que je pouvais pour compenser le recul qu'elle allait subir. Lui prenant ensuite des mains, je lui tapotais une nouvelle fois la tête. - Un jour tu pourras tirer avec ça. Mais là, c'est pas pour tout de suite.

Nous retournions dans mon bureau car j'avais encore quelques petites choses à régler. Notamment encore une ou deux tâches administratives à son sujet. Mais cela allait être rapide. Pour ce genre de choses, du moins, j'allais relativement vite. J'écrivais très vite, mais assez bien. Du moins, pour quelqu'un qui pouvait déchiffrer mon écriture. Elle était relativement complexe graphiquement parlant, mais c'était encore pire lorsque j'écrivais en Enochien. Enfin terminé. Maintenant il me restait moins d'une heure et je pouvais rentrer chez moi avec elle.

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