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Les alentours de la ville / Re : Une erreur salvatrice ? (PV Futaba Lily Ramses)
« le: mercredi 02 avril 2014, 00:12:41 »
Ariel ne s'attendait pas à voir une femme nue. Elle semblait jeune et son teint pouvait faire supposer qu'elle venait d'un pays étranger. Il n'eut pas le loisir de la détailler d'avantage car il fut attrapé par...des tentacules ? Rêvait-il ? Le choc contre le mur lui prouva le contraire. La cape ne cachait plus grand chose et, comme la plupart des hommes, on pouvait aisément voir une jolie bosse formé dans le boxer du jeune humain.
Cela engendra un flash où il se retrouvait dans une salle, en pierre, sombre. Lui était pendu par les bras et les jambes, en croix par des chaines, nu, alors qu'une sorte de femme serpent passait une main gantée sur son visage. Était-ce une fantaisie de son esprit ?
Il était écartelé par les tentacules, certes cela faisait mal, mais cela lui permis d'avoir les idées un peu plus claire. La peur de mourir se fit présente et cela empira lorsque la divinité prit la parole. Son air meurtrier et sa marche lente terrifia Ariel qui devait chercher une raison. Il devait avoir interrompu des ébats avec une autre divinité car les femmes ne pouvaient pas produire de sperme et elle semblait avoir une mentalité matriarcale assez poussée, a moins qu'elle est croisé un rare cas d’hermaphrodisme, ce qui pouvait expliquer sa fureur. Des images indécentes lui vinrent en tête qu'il chassa par un mouvement de tête, il devait parler vite tant qui pouvait le faire convenablement. Au diable sa fierté, il était face à un être infiniment plus puissant, sans possibilité de lutter contre.
-Veuillez pardonner mon sexe déesse, je ferais ce que vous souhaitez, mais ne me tuez pas. Je souhaitais juste de l'aide avant que ce désir ne me brise. Par pitié déesse aidez-moi, votre prix sera le votre, sauf ma vie. Même les pires humiliations valent mieux que cela.
Il avait dit cela rapidement sans reprendre son souffle et lorsqu'il reprit ce dernier la luxure frappa avec force, il retint un gémissement. Il était, presque, prêt à tous car si cela continuait il serait détruire par cette flamme non naturelle qui brûlait en lui.
Par un geste malencontreux de la main il activa l’interrupteur, allumant la lumière, tamisée par un abat-jour, dévoilant une grande chambre avec un papier peint bleu. Il y avait un lit où était entassé des vêtement aussi bien d'hommes que de femmes, suite à la recherche de sa cape. Il y avait aussi un vieux meuble en bois avec un miroir, du matériel de coiffure et divers flacons. Il avait son bureau avec son ordinateur portable allumé et ses cours. Une armoire sculpté en bois était grande ouverte avec des costumes de scène d'hommes et de femmes, un costume pour les grandes occasions et ses fringues usuels.
Ariel ignorait comment allait réagir la divinité en voyant cela. Pourvu que cela ne l'enrage pas d'avantage, auquel cas il demanderait aide à Séraphina
Une fille l'aurait peut-être traité de pervers, mais il préférait mettre les tenues féminine ici plutôt que chez lui et puis Séraphina avait droit de se changer aussi. Son grand-père partait du principe que les meubles là pour être utilisés et que ce qui appartenait à Ariel était privé, donc il ne fouillerait pas sans permission.
L'esprit héroïque observait, prête à prendre la place de force pour discuter entre femmes afin delimiter le risque de mort. C'était une règle qu'elle s'imposait, face à une menace tenter la diplomatie pour éviter le conflit , si possible. Au pire elle songeait à user de sa magie créatrice d'espace, ainsi aucun ne pourrait mourir. Si elle pouvait voir à travers les yeux de Lagrini ce n'était pas réciproque et elle usait souvent de cela pour faire tomber le glaive de la justice sur ceux qui dépassait les bornes avec Ariel. Dans le cas présent un combat serait une très mauvaise idée.
Tout allait dépendre de la réaction de la femme qui approchait dangereusement du jeune humain.
Il était évident que le désir en question était la luxure et si une créature du vice passait par là le jeune homme aurait été facilement repéré vu son aura de luxure. Ce qui se passait était dû à sa nature étrange dont il ignorait jusqu'à l'existence.
La personne invoquée pouvait peut-être reconnaitre divers chose à travers l'aura, comme-ci le jeune homme était composé de multiples entités dont une succube.
Cela engendra un flash où il se retrouvait dans une salle, en pierre, sombre. Lui était pendu par les bras et les jambes, en croix par des chaines, nu, alors qu'une sorte de femme serpent passait une main gantée sur son visage. Était-ce une fantaisie de son esprit ?
Il était écartelé par les tentacules, certes cela faisait mal, mais cela lui permis d'avoir les idées un peu plus claire. La peur de mourir se fit présente et cela empira lorsque la divinité prit la parole. Son air meurtrier et sa marche lente terrifia Ariel qui devait chercher une raison. Il devait avoir interrompu des ébats avec une autre divinité car les femmes ne pouvaient pas produire de sperme et elle semblait avoir une mentalité matriarcale assez poussée, a moins qu'elle est croisé un rare cas d’hermaphrodisme, ce qui pouvait expliquer sa fureur. Des images indécentes lui vinrent en tête qu'il chassa par un mouvement de tête, il devait parler vite tant qui pouvait le faire convenablement. Au diable sa fierté, il était face à un être infiniment plus puissant, sans possibilité de lutter contre.
-Veuillez pardonner mon sexe déesse, je ferais ce que vous souhaitez, mais ne me tuez pas. Je souhaitais juste de l'aide avant que ce désir ne me brise. Par pitié déesse aidez-moi, votre prix sera le votre, sauf ma vie. Même les pires humiliations valent mieux que cela.
Il avait dit cela rapidement sans reprendre son souffle et lorsqu'il reprit ce dernier la luxure frappa avec force, il retint un gémissement. Il était, presque, prêt à tous car si cela continuait il serait détruire par cette flamme non naturelle qui brûlait en lui.
Par un geste malencontreux de la main il activa l’interrupteur, allumant la lumière, tamisée par un abat-jour, dévoilant une grande chambre avec un papier peint bleu. Il y avait un lit où était entassé des vêtement aussi bien d'hommes que de femmes, suite à la recherche de sa cape. Il y avait aussi un vieux meuble en bois avec un miroir, du matériel de coiffure et divers flacons. Il avait son bureau avec son ordinateur portable allumé et ses cours. Une armoire sculpté en bois était grande ouverte avec des costumes de scène d'hommes et de femmes, un costume pour les grandes occasions et ses fringues usuels.
Ariel ignorait comment allait réagir la divinité en voyant cela. Pourvu que cela ne l'enrage pas d'avantage, auquel cas il demanderait aide à Séraphina
Une fille l'aurait peut-être traité de pervers, mais il préférait mettre les tenues féminine ici plutôt que chez lui et puis Séraphina avait droit de se changer aussi. Son grand-père partait du principe que les meubles là pour être utilisés et que ce qui appartenait à Ariel était privé, donc il ne fouillerait pas sans permission.
L'esprit héroïque observait, prête à prendre la place de force pour discuter entre femmes afin delimiter le risque de mort. C'était une règle qu'elle s'imposait, face à une menace tenter la diplomatie pour éviter le conflit , si possible. Au pire elle songeait à user de sa magie créatrice d'espace, ainsi aucun ne pourrait mourir. Si elle pouvait voir à travers les yeux de Lagrini ce n'était pas réciproque et elle usait souvent de cela pour faire tomber le glaive de la justice sur ceux qui dépassait les bornes avec Ariel. Dans le cas présent un combat serait une très mauvaise idée.
Tout allait dépendre de la réaction de la femme qui approchait dangereusement du jeune humain.
Il était évident que le désir en question était la luxure et si une créature du vice passait par là le jeune homme aurait été facilement repéré vu son aura de luxure. Ce qui se passait était dû à sa nature étrange dont il ignorait jusqu'à l'existence.
La personne invoquée pouvait peut-être reconnaitre divers chose à travers l'aura, comme-ci le jeune homme était composé de multiples entités dont une succube.