Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Pages: [1] 2 3 ... 29
1
Andromaque sourit en voyant que Lie n’hésitait pas à prendre ses aises, pinçant fermement ses fesses, et lui mordilla le cou, arrachant à Andromaque plusieurs soupirs. La puissante Reine ferma les yeux pendant quelques secondes, savourant le contact du corps de la femme, la Celkhane qui se pressait contre elle. Elle avait enjoint la Reine de lui apprendre tout ce qu’elle savait, et renchérit ensuite en expliquant que sa tenue ne convenait pas, ce qui fit doucement sourire Andromaque.

« Parce que nous avons une tenue officielle ? De ce que je vois, ta tenue ne t’empêche pas de te battre, et met tes formes en valeur. Partant de ce constant, elle est conforme à nos standards. Mais, si tu veux en changer, il faudra aller voir les sœurs qui gèrent la couture et les uniformes. »

Il y avait des Amazones ouvrières qui étaient spécialisées là-dessus. Elles concevaient les vêtements, mais aussi les armures, les plastrons, les épaulières, les bottes, à partir des pièces et des ressources que la Horde récupérait. Lie allait vite comprendre que le fonctionnement de la Horde était très différent de ce qu’elle faisait à Caelestis. La vie ici était beaucoup plus survivaliste, et une Amazone apprenait vite à éviter autant que possible le gaspillage de ressources, ou leur dépense inutile. Chaque denrée était une denrée rare que les Amazones se devaient d’utiliser au mieux. C’était donc à Lie de voir, mais Andromaque estimait qu’une coquetterie de ce genre était un luxe dont les Amazones pouvaient se passer.

En tout cas, ça ne l’empêche pas de retourner embrasser la femme, la plaquant contre l’un des piliers soutenant sa tente. Le corps de la Celkhane se crispa encore contre le sien, et la Reine prolongea volontiers le baiser, tout en défaisant sa ceinture et le reste de ses vêtements. D’une main habile, témoignant de son expertise, elle finit ainsi toute nue, avec une verge dressée, qui se frotta contre les cuisses de la jeune femme.

« Allons-y, ma belle, passons aux choses sérieuses... »

Et, sans guère attendre plus longtemps, Andromaque écarta les vêtements de la femme, puis enfonça sa belle virilité en elle. Son sexe se perdit dans le corps de la Celkhane, et Andromaque appuya, restant bien au fond de l’intimité étroite de sa partenaire, maintenant cette position pendant une bonne quinzaine de secondes. Sa queue restait dure, tendue, coincée dans le corps de la femme, sans que son corps ne daigne vouloir remuer, vraisemblablement au grand désespoir de la jeune femme. Andromaque ne commença à remuer qu’après ces longues secondes passées, filant bien en arrière, puis remonta brusquement, d’un coup sec, s’enfonçant encore largement, puis recommença. Elle optait pour des coups de reins profonds et puissants, témoignant de son ardeur, de sa férocité, de son énergie.

« Là, voilà, hmmm... Oh, que c’est bon, putain... ! »

2
Les contrées du Chaos / Re : Soeur de foudre à en devenir (ft Les Amazones)
« le: dimanche 22 juillet 2018, 23:11:13 »
Andromaque voyait déjà plusieurs fonctionnalités aux pouvoirs électriques de Lie, outre les fonctions guerrières. Elle pourrait aussi être utile aux métallurgistes pour recharger les batteries de leurs machines. Il allait sans doute falloir qu’elle y envoie Lie. Pour le reste, elle pouvait comprendre que, dans une nation technologiquement avancée comme Caelestis, l’usage de pouvoirs capables de provoquer des coupe-circuits dans les systèmes informatiques puisse poser des difficultés. Mais, ici, au sein de la Horde, et même si les Amazones disposaient d’armes avancées, la technologie restait encore très rudimentaire, très rupestre. En tout cas, Andromaque sentit Lie répondre à son baiser, et sourit doucement.

Quelques instants s’écoulèrent après son baiser, et la Reine l’écouta silencieusement, posant ses mains sur les hanches de la femme. La vie amazone pulsait doucement dans son ventre, et, rien que pour ça, Lie méritait son amour, sa protection. La Reine était toujours très proche de ses Amazones, et vieillir n’avait nullement émoussé ses pulsions sexuelles... Bien au contraire.

« Hmmm... Tu sais, j’ai la quarantaine passée, ma chérie. J’ai une grande expérience sexuelle, et je dois admettre avoir toujours eu un faible pour les jeunes beautés comme toi, pleines d’énergie, fraîches et désirables... »

Pour elles, ce fut l’occasion d’un troisième baiser, mais Andromaque en profita pour déplacer ses mains, et les posa sur chacune des fesses de Lie, avant de les pincer fermement. Son baiser se fit alors plus mordant, car elle se mit à pincer entre ses lèvres la lèvre inférieure de la jeune femme, tirant doucement dessus, avant de fourrer ensuite sa langue dans sa bouche, jouant intimement avec elle, serrant son corps contre le sien. Lie pouvait se sentir chanceuse, car elle allait avoir l’immense honneur de coucher avec la délicieuse Reine des Amazones... Qui était effectivement d’une redoutable beauté.

La belle blonde rompit le baiser après quelques instants, mais conserva ses mains sur le cul agréable de Lie, parfaitement moulé dans sa tenue collante.

« Mais ne crois pas que je vais t’épargner, ma chérie... Je ne fais l’amour qu’à la manière sauvage et purement débridée des Amazones... »

Autrement dit, Lie allait devoir s’attendre à un sacré rodéo !

3
Andromaque avait toujours refusé d’avoir un statut trop important par rapport aux autres. Certes, elle était Reine, mais avant tout Amazone. Et la Horde était une grande famille, une société fondée sur un idéal égalitariste. Andromaque adhérait à ce système, et c’était bien pour ça qu’elle s’efforçait d’accueillir autant que possible les nouvelles Amazones. Andromaque préférait passer davantage de temps près d’un feu-de-camp, avec les siennes, plutôt que sur son trône, à dominer les autres. Elle se montra donc proche de Lie, qui lui expliqua ensuite disposer de pouvoirs spéciaux, et en fit l’illustration, faisant crépiter ses doigts.

« Oh... » commenta la Reine.

Elle resta ensuite silencieuse pendant quelques instants, comprenant qu’elle avait affaire à une ESPer, une mutante. Elle était née avec une affinité particulière, un pouvoir spécial qu’elle avait appris à contrôler et à utiliser chez les Celkhanes. Devant cela, Andromaque hocha doucement la tête.

« Ma foi, il existe aussi des magiciennes chez nous... Et des Amazones qui naissent avec des pouvoirs particuliers, comme toi. »

Andromaque se rapprocha doucement d’elle, et serra ses mains contre les siennes, avant de lui sourire tendrement, et déposa un baiser sur ses lèvres. Un tendre et délicat baiser, la Reine lui souriant ensuite tendrement.

« Tu vois, je te l’ai dit, tu n’as rien à craindre ici, Lie... »

La Reine l’enlaça ensuite, lui faisant une accolade, serrant son corps contre le sien. Elle posa ensuite ses mains sur ses épaules, puis lui sourit affectueusement :

« Alors, dis-moi... Qu’est-ce que tu peux faire avec tes capacités ? »

4
Lie Matoï était face à la personne la plus puissante de la Horde, la Reine. Andromaque, malgré& sa beauté, était une femme assez âgée, approchant de la cinquantaine. Elle approchait aussi de la fin de son règne, mais personne ne souhaitait le voir se  terminer. Sous son autorité, la Horde avait retrouvé de sa superbe. Andromaque avait mis fin à certaines pratiques barbares et désuètes de son peuple, comme l’abandon des nouveau-nés de sexe masculin dans le désert. Andromaque avait aussi veillé à se rapprocher d’autres États, notamment en construisant une alliance diplomatique avec Sylvandell. Des méthodes inattendues, modernes, s’éloignant de la cruauté habituelle de la Horde, mais qui avaient porté leurs fruits. Le peuple des Amazones allait maintenant mieux, même si la situation n’était pas encore idyllique.

Face à Andromaque, il y avait donc Lie, cette courageuse Celkhane, qui avait découvert la Horde par l’intermédiaire de Silke, la « Red Sonja ». C’était une excellent recommandation, et Lie était visiblement motivée. Toutefois, il était rare qu’une Celkhane vienne, d’elle-même, choisir de rejoindre la Horde. La question de la Reine était donc tout à fait légitime, et, face à elle, l’intéressée ne tarda pas à se présenter. Lie lui expliqua être venue sur Terra depuis un Portail, et, si elle aimait bien Caelestis, elle ne s’y sentait pas à sa place, et voulait donc rejoindre les Amazones.

Il fallait bien avouer que ses motivations n’étaient pas très pertinentes. Vu comment elle se présentait, elle risquait aussi bien de quitter la Horde... Mais Andromaque se contenta d’un léger sourire, et se redressa lentement. Elle se rapprocha de la femme, et posa ses mains sur ses épaules, venant les caresser.

« Je vois... Tu as soif d’aventure, c’est ça ? Explorer le monde, pour découvrir ce que tu veux, et ce que tu es... C’est une philosophie que je partage. Vois-tu, la Horde met en avant la liberté par-dessus tout. C’est aussi pour ça que, malgré les siècles, notre peuple reste toujours non sédentarisé. Tu es libre de quitter la Horde, Lie... Et de la rejoindre. Silke t’a recommandé, alors, je ne vois aucune raison de refuser ta présence en notre compagnie. »

Les choses étaient-elles aussi simples que ça ? La Horde restait un peuple peu formaliste, avec une tradition orale.

« J’annoncerai ta présence ce soir, lors du souper. »

Est-ce qu’une Celkhane arriverait à se faire à la dure vie amazone ? Tout le confort technologique auquel elle était habituée était inexistant ici. La Horde vivait à la dure, ce qui permettait aussi de se forger une mentalité de guerrière. Comprenait-elle ce à quoi elle s’engageait en les rejoignant ? Si ce n’est pas le cas, elle le comprendrait bien vite.

« Est-ce que tu as des questions ? Pour l’heure, même si tu rejoins la Horde, tu n’es pas encore une véritable Amazone. Tu ne le deviendras qu’en faisant tes preuves, et à l’occasion d’un rituel destiné à sacraliser ton statut. »

C’était des éléments importants à préciser. À Lie de se montrer curieuse, maintenant !

5
Les contrées du Chaos / Re : Tractations internationales [Ysice Jadescath]
« le: lundi 18 septembre 2017, 00:42:46 »
Mythilène avait expliqué à Ysice les grandes lignes du fonctionnement de son peuple. Comme quoi, la Horde était bien loin de ressembler à ce troupeau barbare et sauvage comme certains aimaient à les décrire. Après tout, si la Horde n’était pas un minimum structuré, elle n’aurait jamais survécu à l’écoulement de l’Histoire. La Horde était en réalité l’un des plus vieux peuples du monde, un peuple qui n’avait jamais ressenti le besoin de se sédentariser, restant ainsi un peuple de fières et puissantes guerrières. C’était là le secret de leur force, et pourquoi elles étaient si redoutées. En tout cas, ses explications avaient véritablement captivé Ysice, ce qui ne manqua pas de faire sourire la Chamane. Au sein de la Horde, elle avait un peu le rôle de transmettre aux générations antérieures, non seulement son savoir-faire magique, mais aussi culturel et politique. Le rôle des Chamanes était central au sein de la Horde, car elles étaient ce qui s’assimilait le plus à des savants.

La Reine Ysice avait en tout cas libéré toute sa journée pour la délégation, et leur proposa d’aller voir leur chambre, ou de visiter les jardins. Les Amazones hésitèrent un peu, avant de brièvement discuter entre elles. Finalement, Sélène, qui était après tout la Princesse des Amazones, se retourna vers leur hôte, et lui expliqua ce qu’elles avaient en tête :

« Tamara, Pirène et Calypso vont vaquer à leurs occupations, si cela ne vous dérange pas. Quant à Mythilène...
 -  Bien que j’aime bavarder avec vous, Majesté, enchaîna Mythilène, je serais très intéressée par l’idée de consulter votre bibliothèque, si vous en avez une. Les livres sont ma grande passion, et, si nous devons discuter d’une alliance, c’est le meilleur moyen pour que je me renseigne sur vos pratiques et sur l’histoire de votre royaume. »

Mythilène n’était pas une érudite pour rien, mais, au-delà de ça, les Amazones voulaient surtout laisser les deux femmes en tête-à-tête : la Reine et la Princesse. C’était un bon moyen de leur permettre de se rapprocher, car, après tout, Sélène était la seule habilitée à engager la Horde. Ceci fit qu’elle se retrouva seule avec Ysice. Sélène lui demanda alors de la conduire aux jardins, et le duo marcha donc, s’aventurant le long des couloirs du Palais, jusqu’à s’approcher d’une terrasse surplombant l’entrée des jardins. Ils étaient plutôt agréables, avec des fontaines ici et là, et de belles allées fleuries avec des bancs. Les jardins royaux étaient manifestement très bien entretenus, et de délicieuses senteurs s’en dégageaient.

Fermant les yeux pendant quelques secondes, Sélène, ses mains posées sur le rebord de la terrasse, huma l’air, avant de rouvrir les yeux, et de regarder la jeune Reine.

« Sortez-vous souvent de votre château, Ysice ? Chaque fois que je rencontre des Princesses ou des Reines, je suis étonnée de voir combien elles sont consignées chez eux, et n’osent pas sortir, comme si elles avaient peur de leur propre peuple. Je l’ai vu à Nexus, quand ma mère était venue porter réconfort à la jeune Reine à son retour de Nexus... Mais aussi à Sylvandell, quand mon peuple a conclu un pacte avec cette nation, et où j’ai pu voir que leur Princesse ne sortait que très peu du château avant d’atteindre sa majorité... Qu’en est-il de vous ? »

C’était aussi pour ça que les Amazones se méfiaient des sociétés sédentarisées. Pour elles, bâtir des murs entre les gens n’incitait qu’à la méfiance, la suspicion... Et, peu à peu, entraînait une dégradation du lieu social, jusqu’à conduire à une rupture. C’était une situation qu’elle trouvait profondément regrettable, et elle était donc curieuse de voir comment, à Jadescath, les choses se passaient...

6
Les terres sauvages / Re : La sorcière et les amazones (PV)
« le: mercredi 19 juillet 2017, 01:19:14 »
En ratissant large, l’Ordre Immaculé regroupait de tout. De fait, l’Ordre Immaculé était une très vaste religion, regroupant quantité de fractions et de mouvances diverses, qui s’opposaient parfois entre elles. Des croisés aux Paladins, en passant par les monastères et les pèlerins, on trouvait vraiment de tout. Ces types, vu leur allure, devaient visiblement être des Croisés. Autant dire qu’ils n’avaient de religieux que le nom. Il s’agissait généralement de pauvres types incultes ou ayant un gros casier judiciaire, et qui, pour éviter une condamnation à une peine d’emprisonnement, ou pire, choisissaient la voie de la rédemption en prenant le chemin de la croix. En échange de plusieurs années de service dans des terres dangereuses, ils bénéficiaient du rachat de leurs péchés. La magie de la religion... Xyla, comme bien des Amazones, avait une tendance naturelle à détester l’Ordre Immaculé, et encore plus les individus comme ça, qui attaquaient, sans vergogne, les femmes, simplement parce qu’elles étaient belles.

Xyla était prête à intervenir, mais quelque chose lui disait d’attendre encore un peu. Son instinct, peut-être... Ou le fait qu’elle n’avait jamais été une Amazone qui fonçait tête baissée dans le tas, contrairement à d’autres. Xyla était méthodique, calculatrice, prenant toujours le temps d’analyser son environnement avant d’attaquer ses cibles. Elle était une spécialiste de l’infiltration. Normalement, elle avait avec elle une sacoche comprenant des armes à distance, comme des shuriken, mais, comme elle prenait son bain juste avant l’attaque, elle n’avait pas eu le temps de les récupérer.

Discrète, elle restait dissimulée, et vit un homme passer à l’action, embrassant la femme... Et Xyla perçut alors, comme les autres, une étrange magie agir.

« Hnnnnnnnnn... !! » sem mit à hurler à l’homme.

Il écarquilla les yeux, et posa ses mains sur les hanches de la femme, se crispant dessus en cherchant à la repousser. Xyla vit les jambes de la femme se serrer autour de sa taille, appuyant plus fort, tandis qu’une espèce de vigueur nouvelle semblait envahir son corps.

« Mais qu’est-ce que c’est que ce bordel ?!
 -  Elle a de l’obsidienne, elle peut pas faire ça !
 -  HNNNNNNNNNNNNNNN... !! »

Xyla vit l’homme se ratatiner sur place, gagnant des années à toute allure, son corps se creusant de rides, ses cheveux blanchissant, avant de tomber... Et elle comprit ce qu’était cette femme quand elle relâcha la carcasse de l’homme, qui s’écroula sur le sol, toute son énergie vitale ayant été aspirée. Avec de l’obsidienne aux mains, il ne pouvait s’agir que d’une faculté génétique, et non d’un sortilège magique.

Les deux Croisés, bien qu’idiots, en arrivèrent à la même conclusion, et brandirent des épées.

« Démone !
 -  Une succube !
 -  Tu vas mourir, sale monstre ! »

La situation commençait à devenir critique pour la femme, qui se déplaça alors... De telle sorte que les deux hommes se retrouvèrent dos à Xyla. Et l’Amazone n’était pas dupe, elle avait vu le regard de la mystérieuse femme à la peau basanée se diriger vers elle.

*Elle a dû sentir ma présence... L’obsidienne annule la magie, mais ces menottes ont l’air assez usées, les cristaux ne doivent plus fonctionner aussi bien qu’auparavant.*

Xyla se redressa lentement, pendant que les deux tueurs cherchaient comment aborder cette femme... Puis l’Amazone bondit brusquement, et frappa rapidement. Son wakizashi décapita l’un des Croisés, faisant voler sa tête. Surpris, l’autre se retourna vers elle.

« Mais que... ?! »

L’Amazone aurait pu le tuer, lui aussi, mais elle préféra opter pour un impressionnant coup de pied retourné, atteignant son visage, et le clouant au sol dans un gémissement. Xyla se retourna alors vers la femme.

« Montre-moi ton dos. »

Dès que la femme obtempéra, l’épée frappa encore... Et coupa les menottes en deux, libérant ses poignets. Elle avait son pied posé sur la tête de l’autre homme, qui gémissait.

« Je pourrais le tuer... Mais je trouve ta manière de les mettre à mort beaucoup plus excitante. »

Les Amazones n’étaient pas très connues pour leur sens de la miséricorde ou du pardon...

7
Xyla lui sourit. Elle savait qu’il existait bien des Amazones qui se montraient assez hésitantes à l’idée de rejoindre la Horde, alors que, inversement, d’autres acceptaient presque spontanément la nouvelle vie qui s’offrait à elles. Et Lie, visiblement, appartenait à la seconde catégorie. Xyla, elle, n’avait jamais eu à se poser cette question. Sa mère l’avait abandonné auprès des Amazones, et elle avait toujours grandi en ne connaissant que la Horde. Autant dire qu’elle ne se sentait pas particulièrement dépaysée en étant ici. C’était une Amazone dans les veines, redoutable guerrière, qui avait pour habitude d’être très dénudée. Enfin, de manière générale, on ne pouvait que reconnaître que les Amazones étaient franchement peu vêtues. C’était un style, tout simplement, à se demander comment elles pouvaient être d’aussi redoutables guerrières. Et, pour autant, nul n’aurait osé remettre leurs compétences en doute.

L’Amazone sourit donc, et caressa encore le ventre de la femme.

« Il n’y a pas que ta fille qui sera une Amazone, Lie. Toi aussi, tu le seras. Tu en as déjà l’envie, et c’est la principale chose qui importe. »

Le reste, l’entraînement, la discipline, les principes de vie de la Horde, tout ça s’apprenait sur le tas. La Horde, de fait, ne pouvait se suffire à elle-même, et avait donc toujours besoin d’enrôler des forces extérieures... Des personnes comme Lie, autrement dit. Xyla lui sourit donc à nouveau, se montrant chaleureuse. Certes, la Celkhane venait avec une fille, mais elle apportait aussi sa valeur ajoutée, elle-même.

Fanis profita de ce moment pour répondre à la femme sur ce qui se trouvait dans la grande tente :

« C’est ici que siège le Conseil, mais tu as raison, il n’y a pas que ça. On y trouve aussi toutes les structures indispensables, notamment un dortoir, et le centre d’accouchement. Pour des raisons évidentes, les nouveau-nés ne peuvent pas gambader librement dans la nature, et restent les premières semaines au chaud. »

C’était une évolution liée à la Reine Andromaque. Lie aurait le temps de le réaliser, mais, pendant des siècles, la Horde avait vécu de manière très archaïque, pour ne pas dire barbare, avec un taux de mortalité à la naissance bien trop élevé. La Reine avait tâché de moderniser les pratiques de la Horde, bien consciente que son peuple ne pouvait pas continuer à ce rythme. L’une de ses décisions notables avait notamment été d’interdire la pratique de l’abandon de nouveau-nés jugés trop faibles pour la Horde, une pratique qui avait divisé la Horde en de multiples occasions. La lucidité de la Reine Andromaque avait été proprement salutaire pour la Horde, car c’était elle qui avait réalisé à quel point ce peuple était un anachronisme voué, à terme, à disparaître.

Tout ça, les Amazones auraient l’occasion d’en parler plus longuement à la belle Celkhane. Pour l’heure, la priorité était de la présenter au Conseil.

« Allons-y, Lie, tu pourras parler avec Xyla plus tard. »

Les deux femmes rentrèrent dans la grande tente. On pouvait en réalité parler d’un chapiteau, et, à l’intérieur, il y avait un couloir central, avec, à gauche et à droite, des ouvertures. La salle du Conseil se trouvait droit devant, et ce fut par là que Fanis se rendit. Aucune porte, tout était accessible. La Reine n’entretenait aucun secret avec son peuple, tout simplement, et, en parlant de la louve, les deux femmes tombèrent finalement sur la Reine en personne : Andromaque. Elle était assise à la table du Conseil, et écrivait quelques notes.

« Salutations, ma Reine. »

Fanis s’inclina respectueusement, et lui présenta sommairement Lie, sans lui cacher que la jeune femme attendait une fille de Silke.

« Oh... Voilà qui est intéressant. Et tu souhaites faire partie de notre famille, donc ? Pourrais-je savoir pourquoi une Celkhane chercherait à nous rejoindre ? »

8
Une véritable vie champêtre, sauvage, ancestrale. Pas de grands bâtiments derrière lesquels se réfugier et s’isoler. Au sein de la Horde, tout le monde vivait en harmonie. Les ouvrières travaillaient en surveillant leurs enfants, qui gambadaient librement dans la Horde. Ici, la filiation ne fonctionnait pas de la même manière que dans les autres sociétés. Une mère biologique était certes proche de sa fille, mais toutes les Amazones étaient les « grandes sœurs » des « petites sœurs », ce qui faisait que chaque Amazone avait le devoir de veiller sur elles, de les aider, de les éduquer, et de les guider. Lie comprendrait vite que, dans la Horde des Amazones, il n’y avait pas de cellule intermédiaire entre l’individu et la société.  Ce qu’on appelait la « famille » n’existait tout simplement pas, car la famille se confondait avec la société, de sorte qu’il n’existait pas non plus d’inceste.

Les jeunes sœurs se rapprochèrent de Lie, intriguées par cette femme aux longs cheveux roux. Gênée, elle les remercia poliment, caressant quelques têtes, avant de marcher, et parla de nouveau à Fanis, lui confiant ses doutes et ses appréhensions.

« Ce que tu es ? C’est-à-dire ? Une Celkhane ? »

Fanis haussa les épaules.

« Crois-moi, c’est sans importance. Que tu viennes de Caelestis, d’Ashnard, de Nexus, ou de Sylvandell, peu nous importe. La Horde recueille énormément de personnes comme toi, venant d’autres contrées, et qui ont décidé de rejoindre notre communauté. »

Partant de là, le parcours de Lie n’avait rien d’exceptionnel, même si la Celkhane devait se sentir un peu honteuse à l’idée de renier sa patrie natale. Fanis s’avança donc.

« Ton bébé, c’est ton argument le plus sacré. Les lois sont claires. Toute femme portant un enfant amazone devient une Amazone, sauf cas de trahison. »

Et, à ce que Fanis sache, Lie n’avait jamais trahi la cause amazone. Elle n’avait donc, en soi, aucun souci à se faire. L’Amazone remontait la route menant à la tente centrale, et passa près de terrains d’entraînement, où des Amazones s’entraînaient entre elles, croisant le fer. Fanis esquissa un léger sourire, et se rapprocha d’une Amazone asiatique qui était presque nue, portant sur le dos un long tatouage en forme de dragon.

Xyla se retourna vers Fanis, et les deux femmes partagèrent un baiser passionné, la langue de Fanis filant rapidement dans la bouche de la femme, qui lui répondit avec plaisir, pressant son corps contre le sien.

« Heureuse de te revoir, Xyla...
 -  Et moi donc... »

Xyla regarda brièvement Lie, et Fanis fit les présentations. L’Amazone orientale se rapprocha de la Celkhane, et l’embrassa à son tour, blottissant son corps contre le sien.

« Bienvenue au sein de la Horde, ma sœur. Tu portes l’une des nôtres. »

La main de Xyla caressa brièvement le ventre de Lie, là où un fœtus était en train de se développer et de croître.

« Prends-en grand soin, nos enfants sont notre bien le plus précieux. »

9
Fanis sourit devant la sagacité de Lie, et caressa tendrement son visage suite à sa réflexion sur son opportunisme affiché.

« Il y a de ça... Mais il faut aussi m’assurer que tu es prête à tisser des liens avec la famille que tu souhaites rejoindre. »

La famille... C’était bien comme ça que les Amazones se voyaient. Elles étaient autant une communauté qu’une grande famille, et Lie avait pu en avoir un aperçu. La mignonne rouquine avait largement aimé ce traitement, cette intronisation, mais se montrait cependant lucide. La Celkhane caressa à son tour la joue de Fanis, qui sourit, et glissa ses mains sur ses hanches, venant l’embrasser tendrement, plaquant son corps contre le sien. Elle profitait encore des formes agréables de la Celkhane, et l’embrassa une nouvelle fois pendant plusieurs secondes.

Ceci fait, Lie reprit, en indiquant qu’elle savait que Fanis n’était pas la chef, et que son avis ne serait pas déterminant.

« N’en sois pas si sûre, je suis une Amazone, Lie, mon avis sera pris en compte. »

Pour l’heure, Fanis se déplaça, et fit signe à la Celkhane de la suivre. Elles avaient fait l’amour en pleine nature, sans que l’Amazone ne s’en émeuve. Les deux femmes passèrent le long d’un petit sentier serpentant entre deux gros rochers. Elles arrivèrent ainsi devant une vaste vallée, qu’elles voyaient depuis les hauteurs.

« Et voici... La Horde ! »

Devant elles, un magnifique spectacle avait lieu. S’étalant à perte de vue, on pouvait voir un vaste camp, avec de multiples tentes plantées ici et là, ainsi que des caravanes, des chariots, des clôtures abritant des animaux, ou des chevaux. Une vaste population qui s’étalait dans une grande vallée fleurie.

« Allons-y. La tente de notre Reine Andromaque est au milieu de la Horde. C’est celle avec les drapeaux. »

Elles continuèrent à suivre le chemin, rejoignant ainsi la Horde, peuplée de femmes. Il y avait de jeunes filles, et des femmes plus adultes, occupées à s’entraîner, à jouer, ou à faire des tâches ménagères, veillant sur les animaux, ou nettoyant les vêtements ou les équipements militaires des Amazones guerrières. Beaucoup de jeunes filles saluaient Fanis, lui faisant des câlins, ce qui était la preuve qu’elle était très populaire au sein de la Horde.

Lie avait donc trouvé une bonne guide, et certaines filles venaient aussi vers elle, pour la saluer, lui demandant si elle était, elle aussi, une Amazone...

10
Lie serait assurément une recrue de poids, talentueuse et motivée. Sa passion était palpable, et très exquise. Elle léchait sa queue avec envie, et, en retour, Fanis déplaçait son buste de haut en bas, ondulant de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément en elle. Elles ne parlaient que peu, maintenant, communiquant surtout avec les mouvements du corps.  Fanis léchait son sexe, atteignant son clitoris, titillant régulièrement ce dernier, ses mains caressant les jambes de la femme. Le temps continuait à doucement défiler, tandis que le plaisir, lui, croissait.

Comme pour la motiver davantage, Lie alla jusqu’à donner une série de claques sur ses fesses, faisant frémir Fanis. Des frissons traversèrent le corps de l’Amazone, qui appréciait ce traitement, et filait délicatement, de haut en bas, et d’avant en arrière, bien décidée à sentir au mieux sa queue s’enfoncer dans la bouche de la femme.

« Hmmmm... Haaaa... »

On pouvait entendre de multiples bruits de succion, tandis que l’Amazone continuait à l’honorer. Le temps filait donc, et, sous ce rythme, Fanis finit par sentir ses muscles se contracter, et esquissa un profond soupir. Elle serra les lèvres, avant de gémir encore. Son corps se crispa encore une fois, des soupirs supplémentaires fusèrent... Et, ensuite, ce fut au tour de son sperme. Dans un profond soupir, Fanis se vida dans la bouche de la rouquine, accélérant pendant quelques secondes ses coups de reins, la baisant sèchement, inondant sa bouche de sa crème, avant d’émettre un long soupir.

« O-Ouuii, haaaa... Voilà... »

Soulagée, Fanis respirait longuement, et se redressa au bout de plusieurs secondes, avant d’adresser à Lie un sourire mielleux.

« Tu... Tu as réussi le test, ma chérie... Tu vas pouvoir entrer dans la Horde, avec ma bénédiction. »

Et ça, mine de rien, c’était un magnifique cadeau.

11
Les terres sauvages / Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]
« le: lundi 06 février 2017, 00:57:51 »
Visiblement, les trois femmes étaient arrivées bien après la fête. Difficile de comprendre ce qui s’était passé ici. Un affrontement entre Ashnardiens et Orcs ? Mais où étaient passés les nains ? Fanis et Astrid suivaient Apogée à travers les coursives de la ville naine. Fidèle à leur habitude, les nains construisaient d’immenses structures, s’en servant, non seulement pour abriter leurs forts, mais aussi leurs villes. Les villes naines étaient ainsi des forteresses à part entier, abritant une succession impressionnante de bâtiments, de couloirs, de ponts suspendus, le tout s’articulant autour du donjon central. C’était d’ailleurs là-bas que les femmes se rendirent. Ici et là, il y avait de multiples signes témoignant de l’intensité de la bataille, comme des barricades improvisées faites sur les rues, amoncellement de fauteuils, de meubles renversés et étalés pour former des constructions de fortune.

« Ça a bataillé sévère… »

La garnison impériale située ici avait visiblement dû combattre un redoutable ennemi. Des Orcs ? Possible.. Mais Karaz’hor pouvait aussi abriter encore plus chose. L’ennemi, en tout cas, était venu de l’extérieur, et les défenses s’étaient focalisées autour du donjon central, qui se trouvait au centre de la ville, reliée à cette dernière par une série de six ponts surplombant la cité. L’ensemble était majestueux, et témoignait de tout le savoir-faire architectural des nains. Depuis les tunnels dans la montagne, on ne faisait que contourner l’immensité de la ville, sans se douter de ce que les nains avaient bâti ici. L’accès aux mines de Karaz’hor se faisait certainement depuis le donjon, et, depuis les ponts, on pouvait voir que les ponts s’enfonçaient dans les profondeurs de la région, probablement le long des mines.

Il y avait de quoi en avoir le vertige, et le trio rejoignit le centre de la ville. Elles grimpèrent dans le donjon central, et arrivèrent devant une immense pièce, évoquant une ancienne salle de manger, au vu des longues tables en bois qui se dressaient ici et là.

« La salle de vie… Les mineurs devaient manger ici. »

Fanis et Astrid observèrent davantage les lieux, car elles notèrent rapidement d’étranges choses sur le sol. Les Ashnardiens morts semblaient s’être battus contre des créatures doitées d’épaisses griffes, mais qui émanaient de l’intérieur du fort. La position des corps, leur regroupement près de la porte d’entrée… Astrid constata rapidement qu’il y avait, le long de la porte, d’épais barreaux en bois, qui avaient servi à condamner la porte, mais qui avaient, entretemps, été découpées.

« Ça venait de l’intérieur… »

Le mystère continuait à rester entier, mais des éléments de réponse commençaient à venir. Quelque chose avait impitoyablement massacré les Ashnardiens. Apogée poursuivit ensuite sa marche. Une fois la salle de banquet traversée, le trio se rapprocha de la salle du trône, avec le sentiment persistant qu’elles étaient suivies. Sans grande surprise, la salle de trône abritait plusieurs reliques, ainsi que de nouveaux cadavres dans les couloirs. Apogée s’empara d’un puissant marteau de guerre, tandis que les deux Amazones observèrent la couronne du Roi, sertie de pierres précieuses.

Apogée semblait vouloir le marteau, et Astrid, elle, attrapa la couronne. Néanmoins, il était peu probable que le trésor de Karaz’hor se résume à un marteau de guerre et à une couronne, aussi impressionnants soit ces deux joyaux. Alors que Fanis et Astrid commençaient à se demander ce qu’elles allaient faire, des bruits de pas se firent entendre… Ainsi que des grondements, et des grognements bestiaux.

« On n’est pas seules… commenta Fanis.
 -  Les bruits viennent de la salle de banquet. »

Rebrousser chemin, ou s’enfoncer dans les entrailles du château ? Fanis et Astrid hésitaient.

« Les Ashnardiens à l’intérieur de ce donjon ont affronté une menace qui venait des entrailles… Probablement des mines.
 -  Si on s’enfonce, et qu’on tombe sur d’autres ennemis, nous n’aurons aucun point de repli. »

Mieux valait, avant de se lancer dans une exploration à l’aveuglette, sécuriser leurs arrières. Astrid rebroussa donc chemin, traversant le couloir, et l’escalier, qui ramenaient vers la salle de banquet. Leur présence avait attiré un monstre, et, quand les deux femmes rejoignirent la salle de banquet, elles ne tardèrent pas à voir ledit monstre, qui reniflait leur odeur, et avançait lentement sur le sol, créature massive, comprenant de longues griffes.

En reconnaissant le monstre, Fanis serra les dents.

« Et merde…
 -  Je comprends maintenant ce qui a pu mettre en pièce les soldats ashnardiens… »

Une créature des plus redoutables se dressait en effet devant elle.

Un massif Écorcheur !

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Les contrées du Chaos / Re : Soeur de foudre à en devenir (ft Les Amazones)
« le: lundi 06 février 2017, 00:45:11 »
Lie et Fanis allaient continuer à se faire l’amour, car c’était ce qu’elles voulaient faire. Pour la jeune Amazone, c’était le meilleur moyen de s’intégrer à la Horde qu’elle souhaitait rejoindre, cette communauté qui était prête à l’accepter, pour peu qu’elle se montre à la hauteur... Ce dont Fanis, en réalité, ne doutait maintenant guère. Elle se dressait au-dessus du corps de Lie, et descendait lentement, de manière à permettre à la Celkhane de bouger la tête, afin d’être à la bonne position pour prendre sa verge. Son membre se glissa dans les lèvres de la femme, et sa langue fila sur l’intimité de la femme, ses mains caressant ses hanches.

« Hmmm... »

Un long soupir de plaisir s’échappa de ses lèvres, tandis qu’elle se mettait à remuer de haut en bas, filant dans le corps de la jeune femme. Lie soupirait contre elle, et l’Amazone filait d’avant en arrière, ondulant dans la bouche de la jeune femme. Elle cherchait à enfoncer son membre le plus loin possible, mais veillait aussi à prendre son temps, à ne pas la pénétrer trop rapidement, de manière à lui permettre de s’habituer à ce mandrin. Elle, de son côté, fourra sa langue dans sa chatte, cherchant, non seulement son sexe, mais surtout son clitoris, qu’elle lécha en se concentrant dessus, avec le talent et la dextérité légendaire des Amazones.

Sa langue remuait dessus, encore et encore, la titillant sans hésitation, continuant à déclencher du plaisir dans le corps de la jeune femme. Elle sentait le corps de Lie se tortiller sous elle, remuant en harmonie avec le plaisir qu’elle ressentait en ce moment. Pour elle, seul le plaisir comptait en ce moment. L’Amazone commençait à sentir sa queue grossir et durcir sous les bruits de succion de la jeune femme, et continua à jouer avec son sexe.

« Haaaa... O-Ouiii, hmmm... »

Fanis exprimait tout son plaisir, gémissant et soupirant, pendant que Lie continuait à la sucer. Elle sentait la mouille de la femme, et s’aida rapidement de ses doigts, cherchant, sans nul doute, à la pousser vers l’orgasme...

13
Les terres sauvages / Re : Le temple du bourbier [Ariman, les Amazones]
« le: mercredi 11 janvier 2017, 07:13:25 »
Le séjour au sein du « Terminus » fut une réussite pour elles, et marqua, à sa mesure, toutes les Amazones. Clara avait trouvé une excellente partenaire, et Sélène vit bien, au sourire qu’elle fit à Maven, et à leur étreinte, que Clara était peut-être partie avec une surprise dans son ventre. Après tout, si Sélène n’avait pas le droit d’avoir plus qu’une seule fille, cette règle ne s’imposait évidemment pas pour les autres Amazones, et, après leur séjour à Tetsihéane, elles allaient avoir besoin de repos. Mythilène et Léda, quant à elles, semblaient s’être intimement rapprochées, et, quand elles partirent, Léda offrit à Bauda de longs baisers en public, achevant ainsi de convaincre même les plus indécis, le jeune Wyrd venant à rougir comme une tomate.

Pour leur dernière fois, Ariman avait remis son armure complète, et salua Sélène, en lui disant que ce n’était pas un adieu, mais un au revoir. Sélène ne put que sourire, en ressentant, à sa grande surprise, une sorte de pincement au cœur, comme si l’idée de se séparer de lui allait... Lui manquer.

*Et, ma foi, c’est exactement ça... Qui aurait cru que cet homme me marquerait autant que ça ?*

Ils s’embrassèrent une dernière fois, Sélène fermant les yeux en soupirant, puis Ariman se retourna.

« À une prochaine fois, alors... »

Sélène n’était pas non plus une grande spécialiste des adieux. Elle ne pleura pas, mais fit un geste qui, à sa manière, était sans doute encore plus significatif : elle lui sourit. Difficile de dire si jamais elle reverrait Ariman, et si l’homme serait toujours sain d’esprit, ou consumé par le Chaos... Mais, quoi qu’il en soit, l’homme retourna dans son vaisseau. Les moteurs sifflèrent, puis la navette s’envola lentement, avant de disparaître, les Amazones assistant à son départ... Jusqu’à ne plus voir que les nuages.

Les Amazones restèrent ensuite là pendant quelques instants, perdues dans leurs pensées... Puis Sélène se rappela à la réalité, et s’avança vers le village.

« Allons-y, mes sœurs. Il est temps de rentrer à la maison. »

Les Moires avaient été vaincues, Tetsihéane avait été sauvée, après des siècles et des siècles d’une corruption lente et forte. Le marais renaîtrait de ses cendres, l’Arbre-Cœur fleurirait à nouveau.

Alors, Sélène avait toutes les raisons du monde d’espérer pour Ariman. Au-delà du reste, c’était bien de cela qu’il s’agissait.

L’espoir.




FIN

14
Les terres sauvages / Re : Le temple du bourbier [Ariman, les Amazones]
« le: lundi 09 janvier 2017, 01:08:20 »
Terrible. À lui seul, ce mot suffisait à résumer l’intensité des ébats que Sélène avait eu avec Ariman. Un diable d’amant, infatigable, force de la nature, qui lui avait déboîté le corps en la pénétrant rudement. Il était la preuve de l’existence de la virilité masculine. Le puissant amant s’était enfoncé en elle, la prenant férocement, avec une frénésie incroyable, et, maintenant, Sélène reprenait son souffle. Elle avait été baisée avec l’impression qu’un mammouth la labourait, et, en sueur, avait enchaîné les orgasmes, hurlant à s’en casser la voix. De fait, quand Ariman avait fini, et que Sélène avait repris le contrôle de son corps, elle éternuait, la voix cassée, et le corps en lambeaux. De grosses gouttes de sueur roulaient le long de sa peau. Haletant sur place, la jeune Amazone reprenait des forces, et ce fut bien Ariman qui la souleva, de manière à la coller contre lui.

Papillonnant des yeux, Sélène gémit encore, essayant de retrouver le contrôle, de revenir à elle, et de pouvoir se calmer. Elle soupira, et l’embrassa doucement dans le creux du cou, puis se laissa rouler sur le côté. Plusieurs des pieds soutenant le lit s’étaient rompus, et ce dernier était maintenant posé à même le sol. Elle observa le plafond, sans rien dire, respirant encore lourdement.

« Par la Déesse, ça a été… Magnifique, Ariman… »

Tout simplement magnifique, en effet. L’Obliterator ne lui avait rien épargné, mais elle n’avait pas oublié sa question.

Savoir s’ils allaient se revoir, c’était là une sacrée question… Elle se retourna lentement, se mettant sur le flanc, et posa sa main sur le torse de l’homme, caressant doucement sa peau.

« Honnêtement, je ne peux pas y répondre, Ariman. Terra est ma patrie, et la Déesse ne compte pas encore m’envoyer ailleurs. Je dois rester auprès de mon peuple. Toi… Toi, tu voyages dans les étoiles. »

Et il était effectivement un funambule, qui risquait à chaque moment de tomber. Toutefois, Sélène avait encore des choses à dire, et réussit à se redresser. Son dos émit plusieurs séries de craquements, signe de sa fatigue physique, et elle sourit à nouveau, en le regardant.

« Nous sommes tous des funambules, Ariman. Le Chaos et la Lumière ne sont que des allégories de nos choix. Ce sont les êtres vivants qui ont créé le Chaos. On a beau dire tout ce qu’on veut, en définitive, nous sommes responsables de nos propres choix. N’oublie jamais qui tu es au fond de toi, Ariman, et, quand nous nous reverrons, nous ne croiserons pas le fer. »

Elle parlait d’une voix affaiblie, mais avec, toujours, cette allure altière, ce ton princier, et ce regard déterminé, bleu acéré, rempli d’assurance.

« Sache bien que mon cœur saignerait à l’idée de devoir affronter quelqu’un qui a été, non seulement un ami et un camarade… Mais aussi un amant. »

Sélène soupira encore, avant de conclure :

« Tu as les moyens de résister au Chaos, Ariman, je le sais. J’ai foi en toi, maintenant. »

15
Les terres sauvages / Re : Le temple du bourbier [Ariman, les Amazones]
« le: mercredi 04 janvier 2017, 22:33:15 »
Sélène ignorait que ses sœurs étaient, elles aussi, en train de s’envoyer en l’air d’un bout à l’autre du « Terminus ». Mais, après tout ce qu’elles avaient vécu, le sexe apparaissait, non seulement comme une récompense, mais aussi comme un moyen de décompresser, et de repartir ensuite sur des choses plus normales. Ce n’était en effet pas tous les jours que Sélène en venait à sauver le monde... Ni à se faire prendre par un tel homme. Dieu, quel colosse ! Par la Déesse, elle sentait sa verge lui labourer le corps, s’enfouissant en elle, déboîtant son utérus. Il avait une force insoupçonnée, une vigueur exceptionnelle, qui la mettait à bout... Elle, la Princesse des Amazones ! C’était tout simplement incroyable ! Elle se laissait prendre par lui, encore et encore, sans relâche, Ariman continuant à la prendre. Le corps de Sélène dansait sur le sien, en harmonie avec Ariman, et ses gémissements et ses cris inondaient toute la pièce.

Elle dansait sur lui, quand, brusquement, l’Obliterator se redressa, et la repoussa. Le dos de Sélène heurta la rebord du lit, et elle sentit ensuite ce dernier la retourner, posant ensuite ses grosses mains sur ses hanches, la soulevant, la forçant à se mettre à quatre pattes. Le corps de Sélène, débordant de son fluide intime, se redressa. Elle aimait sentir les grosses mains de l’homme sur son corps, sentir sa puissante virilité l’étreindre, ses muscles saillants se frotter à elle... Et sa queue, tendue, trempée de sa mouille, qui tapa contre sa croupe.

« Tu... A-Ariman, j-je... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

La Princesse avait tenté de lui dire qu’il n’y avait aucun risque qu’elle tombe enceinte, dans la mesure où elle prenait un élixir amazone permettant, à la manière des pilules contraceptives tekhanes, d’éviter de tomber enceinte sans le vouloir. Las, elle n’eut guère le temps de dire grand-chose, car, assoiffé, Ariman enfonça sa verge contre sa porte arrière. Le phallus la heurta, et Sélène, très naturellement, hurla, crispant ses mains sur le lit, ployant le corps sous cette vague de douleur et de puissance qui la traversa, avant de s’appuyer sur ses bras, de bander ses muscles, et de tenir le choc.

Aussi grosse soit-elle, la queue d’Ariman devait forcer le passage, et, comme les parois anales de Sélène n’avaient pas été lubrifiées, l’exercice étant d’autant plus difficile... Et douloureux.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Quelle force, quelle force ! Par la Déesse, elle avait le sentiment qu’une épée s’enfonçait dans sa chair !

Ses hurlements résonnaient furieusement dans la chambre, témoignant de l’immense et incommensurable plaisir qu’elle ressentait en ce moment.

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