Sujets

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Le coin du chalant / L'alcool peut etre le carburant du destin ( 1/2 )

« le: lundi 24 juin 2024, 22:42:14 »

Hello hello, je poste donc un petit chalant pour les intéressé et donc quelques propositions

Vous avez besoin d'un remontant et d'une oreilles pour vider votre sac ? Un bar fait très bien l'affaire pour ça et c'est sur Karl que vous tombez au comptoir.

Des ennuies en sortie de bar après avoir un peu trop bu ? Il y a un Barman pour soi vous vous sauver les miches soi vous aider à ce moment là

Vous êtes à la salle de sport et vous vous ennuyez ? C'est souvent plus agréable de travailler et de s'encourager à deux plutôt que seul.

Bien-sur, si vous avez d'autres idée ou des variante de ce qui est proposé, n'hésitez pas à proposer, je suis tout ouïe.

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Centre-ville de Seikusu / Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]

« le: lundi 24 juin 2024, 21:23:53 »

Comme à ses habitudes, Karl était arrivé tôt au travail. Le jour était encore présent, le soleil presque en bout de course pour cette journée lorsqu'il passa les porte du bar. Déjà habillé pour le travail, il n'avait pas besoin de se changer pour attaquer la soirée. Son premier tour fut d'abord de jeter un œil au stock présent derrière le comptoir, savoir ce qui lui restait pour la soirée, prévoir en conséquence selon ce qu'il pensait avoir de monde aujourd’hui. Il faisait beau et il faisait bon, donc il devinait facilement qu'il y aurait assez de monde de sortie ce soir, alors il fallait faire le plein, même le patron le lui faisait comprendre.

Il était donc descendu dans la cave, faisant quelques allée retour pour ramener boisson, consommable et autres qui pourrait servir et qui lui éviterait de perdre du temps au plus mauvais moment. Après ses allé retour, il lui restait une chose à faire, ramener un second fut de la bière la plus prisé du bar pour la mettre sous le comptoir au cas où celui déjà en place soit vidé trop vite à son goût. Il se mit donc à faire craquer les articulations de ses mains ganté, puis souleva le fut pour le remonter au bar. En tout cas, c’était l'impression que ce geste donnait à beaucoup de ses collègues, et le bruit émit par ses mains ressemblait vraiment au craquement d'articulation. Mais en vrai, ce geste était simplement pour régler plus ou moins discrètement la fermeté de sa prothèse pour porter des charge lourde. Tout comme il cachait son infirmité, il laissait donc les gens penser qu'il avait la mauvaise manie de faire craquer ses doigts, se qui rajoutait au fausses histoire qui pouvait être raconté sur lui. Ancien délinquant, mafieux en cavale, voir même homme de main, il avait entendu bien de ces choses à son encontre et en riait assez, tant cela était loin de qui il était.

Un fois le fut rangé derrière le bar, il était temps de remettre de l'ordre et, surtout, de passer un coups de chiffon sur le comptoir et les verre laissé séché par le service de l’après midi. Tout était donc prest pour commencer la soirée et c'est à ce moment là qu'il se dit qu'il pouvait bien s'accorder une pause. Il prit la porte de service qui menait à une ruelle assez sombre, coupé du passage du soleil, mais surtout du bruit ambiant de cette ville, le laissant souffler un instant, regardant une vieille enseigne lumineuse clignoter difficilement. Cela lui donnait l'impression de revoir un peu de son passé, chez lui, il n'y avait pas d’électricité, mais la magie était présente et pouvait en faire tout autant, se souvenant de fée venant jouer avec les lumières de la ville, les faisant légèrement clignoter, que ce soit pour s'amuser ou pour parler en langage codé.

Ce souvenir lui donna un léger sourire, avant de redescendre de nouveau sur terre en entendant des bruit de pas arriver dans la ruelle. Tournant la tête, il put voir l'une de ses collègues arriver

" Bonjour Mademoiselle Starling. Comment allez vous aujourd’hui ? "

Dit-il d'une voix aimable, droit sur lui, inspirant confiance et décontraction dans son apparence malgré la rigueur de ses vêtements, son regard droit dans le sien.

3

Prélude / Passeport de Karl Neumann [Vanéalidé !]

« le: lundi 24 juin 2024, 18:07:34 »

Identité : Karl Neumann
Âge : 32 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Sexualité : Hétéro

Physique : Karl est un homme grand, surtout pour le japon. Un mètre quatre-vingt-douze pour une centaines de kilo, ce qui en fait un élément plutôt visible pour tous, chose qui l'aide dans sa profession actuelle. Des cheveux mi long, noir de jais, orne sa tête, se coiffant le mieux possible, mais ayant tendance à préférer n'en faire qu'à leur tête. Une pilosité de quelques jours orne souvent son visage, chose qu'il lui arrive de faire disparaître, contrairement au quelques cicatrices se trouvant sur son visage et qui font jaser bien des personnes sur son lieu de travail, leur offrant un pieu mensonge sur leurs raisons d'être là.

Des yeux bruns luisent difficilement au milieu de tout cela, comme s'il regardait souvent au-delà de tout de temps à autre avant de revenir, légèrement mélancolique.
Il est souvent habillé de la même façon que ce soit pour le travail que pour la vie de tous les jours, chemise, cravate, pantalon, chaussure en cuir, le tout, taillé pour son gabarit. Il porte souvent une paire de gant léger, dont la couleur change comme pour ses vêtements, selon son humeur ou le thème à son travail, autant pour l'esthétisme que pour cacher l'une de ses prothèse. Oui, sous ses vêtements se cachent d'autre marque de son passé lointain, quelques cicatrices sur les avants bras, sur la jambe droite, mais surtout une main gauche remplacée par une prothèse.

Caractère : Karl est plutôt quelqu'un de jovial et serviable, ce qui colle assez bien avec son travail, mais malgré cela, il reste peu bavard en dehors, surtout sur lui-même, ou sur son passé. Il est bosseur, ne rechigne pas aux heures supplémentaires et se fiche des remarques que l'on lui fait là-dessus.

Il n'est pas du genre à rester inactif, ayant toujours aimé l'action et, aime pas mal le sport. La face cache de cet homme au léger sourire, ce sont ses difficultés à s'adapter totalement à son nouvel environnement, il déteste les voitures, à du mal avec l'électronique et se force beaucoup pour en apprendre plus sur tout ça, devant rattraper beaucoup de choses, Mais surtout, il reste marqué par la raison de sa présence au Japon, marqué par son passé, par son chez-lui disparu.

Il possède de bonne manière, ce qui peut en surprendre beaucoup au vue qu'il ne roule pas sur l'or et ne fait pas un travail forcement des mieux payé, ainsi que son apparence dû à ses cicatrices, laissant penser à beaucoup qu'il doit traîner avec de mauvaises personnes, mais cela lui assure tout de même de bon points auprès de la clientèle.

Histoire : Karl Neumann, 32 ans, né en Autriche dans la ville de Vienne, un père charpentier, une mère couturière, il a décidé de voyager et s'est retrouvé à choisir de rester au Japon à ce moment-là. Voilà la version officielle que tout le monde qui cherche à le connaître un peu entendra, voilà le tissu qui servit à sa nouvelle vie, mais qui se trouve très éloigné de la réalité.

Karl von Kolberg, héritier de la famille von Kolberg, né au duché d'Anessa dans une des grandes familles de son royaume. Karl ne vient pas de la terre, mais d'un monde y ressemblant beaucoup, amplis de créature en tout genre, de magie et de gens dignes de conte pour enfant.

Digne fils de son père et de sa mère, il avait grandi sous leur précepte, était rentré au service de l'empereur comme il se devait, gravissant les rangs et surtout sauvegardant la réputation de sa famille au sein de l'empire auquel il appartenait. Comme tout fils de famille noble, il avait aussi un devoir familial et rapidement, la question du mariage tomba de nouveau.
Le choix avait été fait bien des années avant qu'il n'est l'âge de le savoir et il l'avait déjà rencontré durant son enfance, mais revoir sa futur épouse adulte lui fit un choc. Une chevelure en cascade arrivant jusqu'à ses reins, blanc comme la neige, des yeux plus bleu que les mers du sud les plus pures, un sourire pouvant faire craquer les plus épais des remparts et un caractère des plus unique et marqué. Il en tomba petit à petit amoureux et ce fut le cas pour elle aussi.

Il aurait aimé que sa vie continue comme prévu, un mariage grandiose, un comte de fée, la fameuse phrase, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, il l'aurait tant aimé.
Malheureusement, tout changea en un si cours instant, un moment qui lui parut pourtant une éternité, mais où un battement de cil fut trop long pour réagir. Un tournoi était organisé au Duché voisin où il choisit de participer, voulant montrer bravoure et honoré sa futur épouse présente dans les gradins. Il se mit donc à se lancer dans les joutes équestres et autre pas d'arme qui faisait tant d'amusement auprès de tous quand, tout commença à s'envenimer.

Dans sa tente, accompagné d'un serviteur ainsi que de son père, un carreau d'arbalète vint frapper leur servant, avant que plusieurs personnes n'entre à l'intérieur, Rapidement des cries retentirent aussi en dehors de la tente, laissant deviner qu'ils n'étaient pas les seuls à courir un danger et tout aussi rapidement, Karl tenta de sortir son épée pour protéger son père, mais en fut incapable. Plaqué au sol par une force immense sorti de l'esprit d'un des assaillant alors que sa main ayant saisi sa lame avait été tranché net, il était désemparé, hurlant et grognant d'impuissance.

Comment a t-il survécu à cela ? Et bien ce ne fut pas grâce à une divinité ou au destin, mais grâce à sa future épouse, alors qu'il était traîné hors de la tente, saignant abondamment, qui dans un tour de main, usa d'une sort qu'elle connaissait pour le sauver, pour l'envoyer loin du danger, dans des larmes et des mots si durs à entendre pour la dernière fois.

Tout ce que Karl se souvint, fut une ruelle sombre, des détritus ainsi que des bruits à en faire vriller ses tympans. Il n'était plus chez lui, plus dans l'empire, il n'était plus que dans un endroit qui lui était totalement inconnue, démesuré et presque effrayant, perdant son sang avant de s'écrouler au sol, affaiblit par sa blessure, mais aussi l'effet du sort.

Il se réveilla plus tard à l'hôpital, il ne comprenait ni où il se trouvait, ni ce que les gens lui disaient autour de lui. Les premières communications se firent donc par dessin avec les autochtone et, bien vite, il fut pris pour un fou ou un drogué qui avait eu un délire et s'était soi fait agressé où s'était auto-mutilé. Il fut enfermé à la suite de cela, énervé d'être traité de fou, voulant retourner chez lui, retourner sauver les siens, mais sans aucune chance. Personne ne le croyait et, il avait vite deviné que s'il continuait, il finirait enfermé à tout jamais dans un asile.
Il lui fallait donc apprendre la langue local, et c'est lorsqu'il fut interrogé sur ses origines qu'il commença à créer son futur lui. Il avait opté pour jouer la carte de l'amnésie et donc aidé par des associations, put petit à petit s'adapter à ce monde. Il finit par faire semblant d'avoir l'impression de connaître des endroits dont on lui parlait, un pays sonnant comme le sien, des noms se rapprochant des siens et, inventa petit à petit avec l'innocence des gens qui l'aidaient, des choses sur sa vie pour être accepté.

Mais il ne perdit pas son objectif de vue pour autant, malgré son cœur lourd, il se devait d'être patient et de s'intégrer pour pouvoir faire ses recherches sur ce monde et surtout, sur comment rentrer chez lui. Tout été fait pour lui faire perdre espoir, il n'y avait aucune magie dans ce monde, seulement de la technologie, aucun livre parlant de sort ou de portail, rien ne suivait les règles de son monde à part les comtes et légendes qu'il avait put trouver.

Il ne lâchait pas l'espoir de rentrer chez lui, mais, les années passèrent, arrivant rapidement à la décennie. Il perdait espoir, il se disait qu'avec tout ce temps passé, plus rien ne devait être comme avant chez lui, qu'il devait être considéré comme mort. Il avait dut trouver du travail pour vivre, mais aussi s'occuper l'esprit après que toute les réponses qu'il cherchait ne furent que négative. Il avait déjà auparavant noyé tout cela dans l'alcool et, c'est ainsi qu'il trouva sa nouvelle vocation, un endroit à l'écart du bruit moderne, moins difficile pour s'adapter, un endroit qui existait aussi chez lui, mais toujours avec leur différence.

Il était donc devenu Karl Neumann, Habitait désormais au Japon, était un Barman atypique de par son accent, son physique et ses mystères attirant regard et racontars, au sourire simple, mais au regard souvent perdu vers l'horizon et dont les seuls souvenir de son passé sont une armure emballé dans du tissu au fond d'un placard de son appartement et ses cicatrices.

Autre :

Comment avez-vous connu le forum ? Joker numéro 3