Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Draven Dairn

Pages: [1]
1
One Shot / Première leçon [Pv]
« le: samedi 11 mai 2024, 17:41:40 »
Il devait être 18h ou 19h à peu de choses près… bientôt serait l’heure de la nuit, bientôt saurai-je me restaurer. Cela me ferait du bien, je me sentais épuisé. Paradoxal, n’est-ce pas ? Epuisé le soir, mais incapable de dormir. Parce que le sommeil n’était pas un repos, c’était généralement une prédation. Parfois juste une errance, mais jamais un repas. Le repos ne venait que de la satisfaction des appétits, des rêves et des cauchemars des autres. Et plus les émotions et les réactions y étaient vives, plus c’était revigorant. En somme, je ne dormais jamais, mais je reprenais ma force et ma forme comme d’autres reprendraient une carafe de café, du redbull, et sans doute une bonne petite ligne de poudre blanche.
Pas ma came.
Revenir au japon avait été comme un retour aux sources qui n’avait pas été une mauvaise chose. Loin de là. La France, les Etats-Unis, Oxford ou Brisbane, j’avais connu beaucoup de lieu de résidence ces dix dernières années. Chaque fois de bons moments, chaque fois trop courts. Mais bon, qu’importait. Maintenant, j’étais rentré cela faisait deux semaines, j’avais trouvé un logement, un petit truc pas trop mal, mais petit ; en même temps, les logements au Japon étaient toujours plus petits. Question de place, et à Tokyo en plus… question de densité de population à n’en pas douter. Une fois réinstallé, j’avais alors repris du service. Pas de poste de titulaire pour le moment, mais surtout du remplacement en tant qu’enseignant dans plusieurs domaines. Sans être polymathe, j’avais toutefois un gros bagage me permettant d’être à la hauteur dans plusieurs domaines, parce que la temporalité du monde des rêves et des cauchemars n’avait rien à voir avec la réalité. Mais ce n’était pas ça qui payait toutes les factures, et il m’avait bien fallu me résoudre à revenir à mes anciennes habitudes : donner des cours particuliers. Ça par contre, ça payait bien les factures. De quoi être installé et pouvoir commencer à chasser ma nourriture la nuit tout en travaillant le jour. D’une certaine manière je gérais la matérialité le jour et le reste la nuit aurait-on pu dire.

Ce travail fonctionnait beaucoup par bouche à oreille, bien sûr, mais j’avais aussi un site pour ça, entre autres et c’était par ce site que j’avais été contacté aujourd’hui. Par email j’avais convenu d’un contrat sur trois fois par semaine pendant huit semaines, le temps de voir le résultat des efforts fournis en somme. Parce que le programme était chargé. Il s’agissait d’une jeune femme qui avait de gros soucis en japonais. Et je ne parlais pas de le parler, non, mais de l’écrire. Le niveau attendu, notamment en kanjis, n’était pas négligeable, alors pour une étrangère récemment arrivée, forcément, c’était compliqué. Alors pour suivre des études supérieures, cela compliquait grandement les choses…

Je pianotais sur mon téléphone, retrouvais l’adresse et vérifiais. Ah, j’y étais. Parfait. L’interphone indiquait une certaine P.Nichols. Très bien. Je sonnais et j’attendais jusqu’à ce qu’une voix de femme retentisse.

« Bonsoir, je suis Tachibana-sensei, nous avons rendez-vous pour des cours. »

La porte s’ouvrit et j’allais toquer à sa porte.

2
Les contrées du Chaos / Un paiement de dette [Pv]
« le: mardi 05 mars 2024, 19:22:39 »
Je regardais la personne qui me faisait face. Était-il sérieux ? Il parlait vraiment de rembourser à dette ? Bon, d’un autre côté, il avait une larme qui lui chatouillait la glotte. Donc normal. Mais bon, il semblait si habile de sa langue jusque-là, pourquoi est-ce qu’il faisait la carpette maintenant ? La perspective de ne pas la perdre, sa lague, justement. Je souris l’air mauvais. Je le dominais de ma hauteur, lui était placé au sol, couteau sous la gorge, littéralement.

« Tu es sur ? »

« Oui, oui, bien sûr ! Et j’ai un tout nouvel arrivage ! Servez-vous ! »

Il avait la trouille, il chougnait même…. Spectacle écœurant. Je pariais qu’il faisait le fier avant mon arrivé dans sa boutique… maintenant ce n’était plus le cas. Je m’écartais et je lui donnais un petit coup de pied.

« Allez, lève-toi et montre-moi ta marchandise. »

Péniblement, l’adipeux se leva, sa grosse bedaine le ralentissant dans sa tâche. Les marchands pansus étaient légion. Preuve que le commerce florissait pur eux. Et les marchands d’esclave, c’était une race à part qui prospérait en permanence tant qu’ils avaient du stock.
Devenu presque servile, sans doute que sa face démolie aidait à cela, il se dépêcha de se diriger vers un coin de sa boutique ou de petites cages étaient entreposées. Enfin, petites… on tenait debout dedans, mais c’était bien tout. Elles étaient réduites au maximum pour permettre d’en stocker davantage. Pour la plupart, c’étaient de pauvres hères, trop maigres, trop hagardes pour avoir le moindre intérêt. Même le joyau de sa collection, une elfe aux cheveux de feu, semblait bien pâlichonne. Et pas pâlichonne diaphane, pâlichonne malade.

« Non, rien ne me satisfait. Je vais devoir prendre ta vie. »

Ton détaché, comme si le tuer ne me dérangeait pas plus que ça. En fait, la seule chose pénible à cela, c’était que ça pouvait être salissant.

« A...Attendez, j’ai une dernière pièce à vous proposer. Elle st arrivée ce matin. Elle a été prise hier dans un raid d’un village. Ce n’est qu’une pécore, mais elle est très jolie, vous allez voir… je ne vous l’ai pas proposée parce qu’elle n’a pas encore été dressée ni rien. Et puis, elle n’a rien de noble ou d’altier, ce n’est qu’une vulgaire paysanne… »

Je soupirai.

« Montre toujours. »

Il se précipita et le voir presque courir étaiut comique, je le reconnaissais. Ça m’amusait beaucoup. Il se dirigea vers une autre pièce, bouclée, et prit une lanterne et un fouet.  Il ouvrit la porte en retirant la barre et mit la lanterne à l’intérieur.

« Toi là, sort, quelqu’un veut te voir. »

Il menaça du fouet et eut une réponse positive avant même qu’il n’ait besoin d’user de fouet. Une jolie jeune femme sortit. Elle avait une robe qui semblait avoir vécu et qui avait été largement déchirée. Sans doute n’avait-elle pas eu d’autres frusques depuis qu’elle avait été capturée.

« Voilà ma plus fraiche arrivée… »

« Voyons voir cela… »

Je m’approchais et je venais saisir son menton, écarter les lèvres et voir les dents. Saines et blanches.

« Quel est ton nom ? »

3
Le quartier de la Toussaint / Le Fruit d'une obsession [Pv]
« le: mercredi 28 février 2024, 21:10:47 »
La nuit était tombée, le quartier de la Toussaint était calme. Enfin, calme… autant que faire se pouvait dans ce lieu animé. Je regardais la jeune femme que je suivais depuis une petite heure. J’avais fait mes recherches. Sakura. Une modèle qui faisait sa sexy en ligne… et pas que… j’avais vu sa photo et je m’étais immédiatement dit « je te veux. » et quand je voulais quelque chose, je finissais par l’avoir. J’avais un vrai souci avec la gestion de la frustration. En somme, je ne supportais pas qu’elle puisse exister.
Mais étrangement, si je gérai mal ma frustration, je gérai très bien la patience. Et du coup, j’avais bien fait les choses.
Moins d’un mois après je connaissais son emploi du temps par cœur, et en conséquence, je savais exactement quoi faire et quand.

Il devait être trois heures du matin, quand elle sortit du Paradis. Je la guettais, je l’avouais. Je savais quel trajet elle prendrait pour rentrer chez elle et du coup, je vais à quel moment intervenir sur le trajet. Il y avait une ruelle qui finissait avec un grillage. Elle passait devant. Elle était assez profonde et les lieux étaient peu fréquentés à cause du brigandage, pour dire les choses ainsi, local. Et dès qu’elle passa devant ses ruelles, je l’agrippais et je l’y poussais sans ménagement, sans l’empêcher de crier si elle le voulait. Cela ne gênerait personne. Et pas moi. La peur était le plus parfait des aphrodisiaques, n’est-ce pas.

« Salut ma belle… »

Je ricanais gentiment, la plaquant contre le mur de la ruelle, et je humais ses cheveux.

« J’ai beaucoup attendu ce moment…. Je t’ai guettée tu sais. Toi, tes cheveux verts et tes grosses mamelles que tu fais semblant de cacher en les mettant pourtant en avant comme une fausse mijaurée… »

4
Ça, je ne l’avais pas prévu. Je prévoyais beaucoup de choses au quotidien, parce que j’avais une bonne raison de prévoir. Changer de corps était compliqué… cela me rendait dans un état particulièrement vulnérable et je ne souhaitais pas le faire hors d’un espace complètement contrôlé. Mais voilà, j’étais tombé sur plus fort que moi, et ma régénération avait largement été dépassée par mon adversaire. Ce corps était dans un tel état qu’il en était irrécupérable.
J’en avais fait le constat dans cette ambulance, déjà, et ensuite, quand on avait essayé de me mettre sous assistance respiratoire. Il fallait éviter où je me retrouverai prisonnier… alors j’avais essayé de lutter jusqu’à ce qu’ils abandonnent. Et une fois à l’hôpital, même combat. Ils étaient nombreux à regarder… le médecin chef avait toute une bande de lemmings qui singeaient ses gestes.  Stagiaires ou internes, peu importait… il fallait juste que j’attendent qu’ils…. Ah voilà ils commençaient à quitter les lieux. Qu’importe que quelqu’un s’attarde, je n’avais pas vraiment le choix…

J’expirai alors fortement et je me sentis me diffuser dans l’air. D’un point de vue extérieur, une sorte de brume émeraude commença à se diffuser, remplissant presque entièrement la pièce. Il y avait deux personnes dans la pièce, je les sentais. Une femme et un homme.
Merde. Qui s’était attardé ? Je n’en savais rien…. De toute façon, je ne pouvais plus attendre et j’entrais dans la bouche et le nez de l’homme.
Le volume de brume diminua. Diminua. Et il diminua jusqu’à disparaitre complètement. Et le jeune homme inspira un grand coup.
Voilà, je reprenais « vie » …. Bon sang… ça faisait du bien…. Je bougeais les doigts, les pied… le corps était un peu petit. Pas grave… de toute façon, je ferai comme d’habitude. Je frissonnais doucement et je m’étirai…. Bon, il fallait gérer la deuxième personne de la pièce. Il s’agissait d’une jolie et plantureuse brune à la peau sombre. Une gijin, comme ils disaient sur terre ? Bref. Je me tournais vers elle. Le regard avait déjà pris la même teinte que la brume.
Sans prévenir je fonçais vers la porte de la chambre que je fermais et verrouillais pour l’empêcher de fuir. Enfin, je m’avançais vers elle.

« Je suis désolé, mais je ne peux pas te laisser parler de ce que tu as vu… pour ma propre sécurité… »

5
Le coin du chalant / Draven et les autres
« le: dimanche 21 janvier 2024, 14:50:47 »
Draven et les autres

Bonjour à tous !

Pour me repérer plus facilement, je préfère tout centraliser dans un seul sujet. On va faire personnage par personnage, dans l’ordre alphabétique ? Allez, partons sur ça. De toute façon avec deux comptes, c’est vite trié !

Draven Dairn
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Résumé

Occupation : Bandit Mercenaire Assassin
Localisation :  Terra Terre
Espèce : Être extraplanaire invoqué possédant un autre être
Caractère : Opportuniste Arrogant Voleur sans scrupule égocentrique vantard
Dons :  Résistance à la magie Maîtrise du métal Possession
Faiblesse :  Ego Très fragile hors possession

Trames
Vous êtes une cible. Draven a été payé pour vous abattre, ou pour vous capturer. A vous de voir comment le convaincre de renoncer. C’est quelqu’un dont la loyauté est particulièrement négociable.
Vous souhaitez engager Dravn pour tuer ou vous ramener quelqu’un ou quelque chose. Pas de soucis, faites sa rencontre et vous aurez tout loisir de discuter du prix.
Un autre White Mantis vous a ramené au QG. Vous vous retrouvez face à Draven. Comment réagirez-vous ?
Vous surprenez Draven en plein méfait, allez-vous chercher à l’arrêter ? Ou vous ferez vous repérer , ce qui le pousserait à essayer de vous faire taire ?
Draven échoue dans une de ses missions et ça le met dans une position délicate. Vous avez la possibilité de le sauver ou de l’enfoncer… et si pour une fois, c’était lui qui devait subir la négociation ?
Autres ? Je suis ouvert à beaucoup de chose et j’aimùe les idées qui peuent paraître saugrenues…




La Légion de l'Eternel Ardant
Lien de la fiche
Juste ici

Résumé

Occupation : Armée en campagne
Localisation : Terra Terre (éventuelles incursions individuelles)
Espèce : Divers, souvent hybridés avec des esprits du feu
Caractère : Divers
Dons :  Maîtrise du feu Capacités physiques accrues Divers

Trames
Vous êtes une divinité. Callisteros est sensé mettre fin à votre existence. Préférant vivre, vous essayer de lui survivre ou de discuter. Qui sait, renoncera-t-il à peut-être à ses projets. Mention spéciale si vous vous révélez être son père
Personnage : Callisteros

Vous êtes au prise avec un ennemi résistant et qui menace de vous submerger… et parce que mieux vaut s’associer au diable que de servir Dieu, vous demandez des pourparlers avec la Légion pour une alliance militaire.
Personnage : Pyrrhus – Séraphine – Blaise – Ignatius – Melandra

Vous êtes assiégé par la Légion. Le risque de perdre grandit de jour en jour. Il ne reste qu’une méthode pour s’en sortir : négocier, que ce soit pour la reddition ou pour un duel déterminant la fin de cette guerre.
Personnage : Pyrrhus (duel) – Soliès (duel) – Callisteros (duel) – Ignasia (duel) – Blaise (reddition) – Séraphine(reddition) – Melandra (reddition) –
Ignatius (reddition)

Vous êtes une personne ayant une forte affinité avec le feu, que ce soit par magie ou non.  Vous vous sentez inspiré pour rejoindre la Légion. Quoi de plus simple que d’entrer en contact avec eux.
Personnage : N’importe lequel

Vous êtes terranide, soit dans la rébellion, soit esclave. Dans les deux cas, vous devez forcément connaitre l’histoire de Pyrrhus le flamboyant, non ? Et voilà que vous êtes face à la légende. Est-ce qu’il est vraiment à la hauteur de son histoire ? A vous de le découvrir !
Personnage : Pyrrhus

Vous êtes esclave ou propriétaire d’esclave. Un nouveau terranide semble faire partie des esclaves de votre domaine. Pourtant, vous êtes sûr que lui, il n’a jamais été acheté. Que trame-t-il au juste ? Peut-être devriez-vous le découvrir…
Personnage : Meruem

Un oracle a été fait par l’Eternel Ardant.  Une personne a été révélée pour devenir un esprit du feu. Le hic ? Vous ne faites pas partie de la légion et c’est vous qui avez été désigné(e). Un émissaire va venir vous checher. Accepterez-vous ou essaierez-vous de prendre la fuite ?
Personnage : Meruem – Melandra – Callisteros – Pyraetus

Il y a des années, votre village ou votre pays a été consumé par la Légion. Et aujourd’hui, vous voyez enfin la responsable d’une telle chose face à vous. Elle semble seule…. L’occasion semble parfaite pour se venger.
Personnage : Ignasia

A la recherche d’une bonne occasion de vous faire de l’argent, vous essayez de pénétrer la forteresse de la Légion, imaginant vous emparer de trésors de grandes valeurs. Mais quelqu’un vous a vu faire…
Personnage : Pyraetus

Une troupe de la Légion vient d’entrer dans une ville ou un village ou vous vous trouvez, et le bruit s’est répandu :  les impies seront brulés vifs s’ils refusent de se convertir. A vous de convaincre la Sainte Immolatrice de renoncer à ce projet, par la parole ou par la force.
Personnage : Seraphine

Vous êtes barde, ménestrel, courtisan€, ou autre et vous pensez pouvoir vous faire une place à la cour de l’empereur des fournaises… mais serez-vous à la hauteur ?
Personnage : Blaise

Pour la première fois de l’histoire de la Légion, Ignatius a subi une défaite et est forcé de fuir. Vous croisez le chemin de la petite troupe escortant le général pour lke mettre en sécurité. Allez-vous les aider ou les arrêter ?
Personnage : Ignatius

Il est bon d’être dans cette taverne, c’est agréabl d’y boire un verre. Et voilà qu’un ménestrel, un barde, se joint à la soirée et commence à égrener les chants d’une voix d’or. Sa prestation finie, vous décidez de lui offrrir un verre et comprendre un peu pourquoi il ne parle que de légendes sur l’Eternel Ardant, quel qu’il puise être.
Personnage : Blaine

Un duel particulièrement rude vient d’avoir lieu... blessé, Soliès a quand même gagné. Et sitôt remis, il n’y a queune seule manière selon lui de fêter sa victoire :  de l’alcool et des femmes à foison. Célèbrerez-vous avec lui ?
Personnage : Solies

Vous pénétrez dans un véritable champ de ruine, où tout n’est que cendres et calcination. Et au milieu de cette étendue désolée, se trouve une jeune femme, une elfe. Elle semble pleurer sur ce qui semble être une stèle. Allez donc la voir pour comprendre ce qu’il lui arrive.
Personnage : Melandra
EN COURS

Autres idées, je suis prêt à écouter ce que vous pouvez avoir à dire, ou les trames que vous pouvez avoir à proposer.
Personnage : Selon ce que vous me proposerez on avisera ;)

6
Centre-ville de Seikusu / What is a fox on a trojan horse ? [pv]
« le: mercredi 17 janvier 2024, 22:55:31 »
La nuit était tombée depuis longtemps, il devait être tard, très tard à n’en pas douter. Je n’aimais pas le concept de surveiller l’heure, je savais sur Terra les moments propices aux basses œuvres et je n’avais pas forcément besoin de plus. Sur Terre, c’était plus délicat toutefois. Parce que la nuit n’avait pas le même domaine. Les seigneurs de la nuit étaient souvent exposés au grand jour. Dans ce monde, la nuit ne dominait plus le genre humain. Elle avait même été bannie d’une certaine manière. Mais ce n’était pas grave. Je me débrouillais autrement.
Venait alors un autre obstacle typique de la terre. La technologie pouvait rendre des endroits presque entièrement inviolables. Presque. Entre les détecteurs de mouvement, les caméras, et que savais-je encore, c’était devenu, pour des cambriolages de haut vol, un véritable casse-tête. D’habitude j’aurai pris le temps et j’aurai fait le nécessaire pour m’approprier les lieux, pouce par pouce, centimètre par centimètre. Mais la date limite était ce soir, sinon, la rose de saphir, un bijou inestimable désiré par ma cliente, disparaitrait du pays, et le récupérer serait pour le moins compliqué. En outre je ne serai plus le seul à le chercher. J’avais l’exclusivité du contrat pour l’instant. Ça ne durerait plus.
Du coup, il fallait que je me trouve quelqu’un qui puisse me faciliter le travail si je connaissais l’intérêt et l’utilité de la technologie, je n’y comprenais pas grand-chose, autant par méconnaissance que par manque d’envie de m’y intéresser. La magie, je n’étais pas doué, il semblait que la technologie, c’était la même chose.

Voilà pourquoi j’étais là, silencieux comme un ombre. Comment étais-je entré ? Par la porte bien sûr. J’avais un vrai don pour faire céder ou me faire obéir, des serrures sans le moindre bruit, sans me faire repérer… j’entrais, à pas feutré, et je me dirigeais dans la direction de la lumière et des claquements de clavier. Et, ravi de ce que j’espérai être mon plus bel effet, je posais les mains sur les hanches et j’inspirai un peu avant de lancer une sonore salutation, espérant la faire sursauter fort joliment.

« Bonsoir ! » [/i]

Oui, je disais la faire sursauter car selon mes informations, c’était une femme. J’avais fait savoir que je voulais la rencontrer, donc elle m’attendait peut-être, ceci dit… ce serait bien moins drôle, mais sans doute plus propice à négocier ses services.

7
Je regardais l’enveloppe que j’avais conservé. Soyons clairs, je n’étais pas stupide au point de garder des traces de compromission sur moi, mais j’avais toujours de quoi m’assurer que je ne me ferai pas doubler. Généralement sous la forme, sur Terra, d’un sceau magique qui dévoilerait mon commanditaire si le besoin s’en faisait sentir. Ici, il s’agissait juste de la photographie de la personne qui m’avait commandité.
 Dans cette enveloppe, il y avait un résumé des consignes et une photographie de la cible. Une jolie petite étudiante. J’avais le nom, le prénom, et l’adresse. Donc elle était facile à retrouver. Mais apparemment, monsieur Takeda était assez libre sur l’état de la jeune femme, la liquider n’était pas une option dans un premier temps, après, j’en ferai, pour le paraphraser, ce que je voulais tant qu’il n’était pas au courant.
Forcément, j’avais fait ma petite enquête sur l’identité, et la nature de mon client. C’était normal, je m’étais renseigné au moins autant que sur ma cible. La relation avait été évidente et collait avec les consignes qui m’avaient été données. Donc forcément, je comprenais bien vite le principe. En somme, monsieur Takeda avait des affaires en commun avec la famille Monroe. Ou plutôt des rivalités d’affaire. Et du coup, sans doute espérait-il forcer le retrait des Monroe de certains marchés, ou juste perturber l’équilibre pour pouvoir prendre l’avantage. Bonne idée. Mais liquider la famille aurait été plus simple. Trop voyant peut être… oh, j’imaginais bien, un crime horrible, où il se serait confondu en larmes, comme l’adversaire de valeur, l’ami, dans le fond, de la famille, etc…
La bonne blague. Ces terriens étaient tous les mêmes au fond. Tout sur l’apparence. Et derrière, ça partait à vaux l’eau.
Bref. Je regardais à nouveau la photographie. La jeune femme, presque la jeune fille, portait une tenue assez stricte, sans doute un uniforme local, et sortait de l’établissement bien connu qu’était le lycée de Seikusu. Que de choses intéressantes à dire sur ces lieux… enfin bref.

Je regardais l’heure. Bien, il était l’heure, et si je me fiais à l’enquête de proximité et aux filatures, elle rentrerait dans son appartement d’ici quinze à trente minutes. Avant qu’elle n’arrive j’avais pris soin de saccager un peu les lieux, pour faire bien comprendre qu’elle avait eu des ennuis et je me préparai, me mettant derrière la porte, elle l’ouvrirait, rentrerait, et quand la forme se refermerait, je serai là. Le lieu était holi, c’était presque dommage.
Ah, vous vous demandez comme j’avais fait pour entrer dans son appartement ? Allons, allons, je ne révèle pas mes secrets. Cela décevrait tout le monde…
L’alarme ?  Des détails, toujours des détails. Merci une collaboratrice locale, ce sera tout ce que je dirai. J’avais préparé le nécessaire à portée de main. Même si els matériaux terrestres étaient bien, je privilégiais la rusticité du matériel de Terra. Terranien ? Non, je n’aimais pas le terme. J’entendrais des discussions venant du couloir. Merde alors. Elle ne rentrait pas seule ? Je claquais de la langue et changeais mon fusil d’épaules et je prenais la dague à lame fine et bien aiguisée que je gardais avec moi d’une main. Et de l’autre, je me préparais à saisir ma cible.

Le bruit de la clef dans la serrure. Les babillages qui continuaient. Un garçon ? Possible. Qu’importe.
La porte s’ouvrit, une silhouette entra sans même me voir, la deuxième suivit. La première était ma cible. La seconde cible du sentir le poignard se glisser entre deux côtes pour aller percer le poumon, et avec un peu de chance, j’avais même atteint le cœur. Je retirais le poignard et saisissais ma cible pour l’attirer vers moi et lui plaquer la main sur la bouche, la dague contre sa gorge, laissant la trace du sang de son ami, dont je me fichais éperdument.

« Bonsoir Wistéria… je suis ravi de te rencontrer. Si tu cries ou si tu te débats, tu auras de gros ennuis, d’accord ? Si tu restes calme et sage, alors tout se passera bien, et je ne te ferai aucun mal... »

Un probable mensonge, nous étions d'accords.

8
Prélude / Draven Dairn - mes services sont chers [Vanéalidé !]
« le: mardi 02 janvier 2024, 08:38:40 »
Identité : Draven Dairn
Âge : 32 ans d’apparence, son âge véritable est incommensurable
Sexe : masculin
Race : Avatar
Sexualité : Hétérosexuel

Physique :
Je me présente toujours sous la même apparence. Pas particulièrement grand, sans doute autour du mètre quatre-soixante-dix, assez large d’épaules, mais sans tomber dans l’armoire à glace. J’aime avoir les cheveux longs, flamboyants, que j’attache le plus souvent en un catogan assez lâche sur la nuque, et puis, reconnaissons que ça, plus la moustache et le petit bouc, ça donne une allure folle, non ?
Autant vous dire que j’aime un peu me faire remarquer. Mais je vous ai décrit juste l’apparence que je préfère. Mais qui suis-je vraiment ? Eh bien… nul ne le sait, pas même moi. La vérité c’est que je suis un être incorporel, similaire à une brume émeraude. C’est d’ailleurs cette même brume qui se reflète dans mes yeux.
Ma tenue est le plus souvent au diapason de ma vocation, le brigandage, le meurtre, le crime en tout genre, à savoir un mélange de cuir et de tissu pour ne pas gêner les mouvements, assortis d’une cape, sur Terra. Sur une terre plus moderne, qu’il m’arrive parfois de visiter, je ne désavoue pas des tenues plus élégantes, plus riches, plus respectables, comme s j’étais issu de la haute société.

Caractère :
Arrogant ? Non. Pas le moins du monde. Et en même temps pourquoi le serai-je ? J’ai juste une excellente conscience de ma valeur :  qui ne connait pas de réputation Draven Dairn de la bande des White Mantis !  J’ai volé les plus grands… pour moi-même ou pour les plus grands. Pas de notion de bienfaisance ou quoique ce soit d’autre. Non, comme l’organisation que j’ai fondée, Draven Dairn est sans scrupule, avide, répondant à qui paye le plus sans la moindre notion de loyauté au-delà du contrat présent. Menteur, tricheur, voleur, kidnappeur, tueur, et bien d’autres choses en « eur » encore… pire que cela, ça m’est égal. Passé les miens, les quelques membres de la bande, je n’éprouve que rarement de compassion.
Soyons clairs, je suis corruptible. Et en soi, m’acheter est facile. Toutefois, mon égo est sans doute ma faiblesse la plus facile à exploiter. Et si je ne ferai rien qui puisse attenter à ma vision de la dignité – qui peut facilement varier – je suis extrêmement sensible à la flatterie et à ce qui pourrait renforcer l’image que j’ai de moi-même. C’est d’ailleurs la cause de mes échecs les plus cuisants.
Amateur d’esbroufe en tout genre comme de paris risqués, la simple notion même de challenge à ma hauteur peut me faire frétiller d’impatience. C’est moins parce que j’ai besoin de faire ses preuves que de briller.

Histoire :
Est-ce que vous avez déjà eu cette sensation, celle de vous sentir exister ?
Au début il n’y avait rien, j’étais sans être. Je peuplais une brume sans fin, dans un monde où tout n’était que vapeur. Et la lumière se fit. Je me sentis – ou nous sentis, difficile de savoir si j’étais déjà un être à part entière ou si j’étais une partie d’un tout mais par commodité, je vais partir du principe qu’il y avait déjà un « je ». Je me sentis aspirer vers un ailleurs qui n’était ni de ce plan ni du néant originel. Et dans le nouvel endroit où nous étions, je me sentis être vraiment au travers d’une émotion simple et primordiale : la peur. Parce que je ne savais rien, et parce que j’étais là, sans avoir, j’avais peur. Je me sentais faible, isolé…. Et du coup, oui, j’avais peur.
Je fis la seule chose que je pouvais. Je me réfugiais dans un autre être. Je m’enfonçais dans la cavité de celui qui se trouvait le plus près de moi. Et ma conscience s’ouvrit à autre chose. A une réalité différente, à un autre niveau. Et je vis, j sentis, j’entendais, je touchais et je goutais le monde qui m’entourais. Une véritable ivresse. Une avalanche de sensations.
Et la réalité du moment : j’étais encerclé d’êtres étranges, semblables à celui dont j’avais pris le corps, de ce que je m’en savais. Je fus entravé, et manipulé. Et une nouvelle ère commença pour moi.

Pendant longtemps, cela me parut comme des éons, j’appris, et je servis. Je servis beaucoup parce que, compris-je durant cette période, j’avais été invoqué pour servir d’arme. Une longue guerre avait éclaté et je devais servir à la remporter. Ah ça, ils en eurent, je n’étais pas le puissant être invoqué qu’ils espéraient…. Ils avaient l’impression d’avoir invoqué un Goliath, ils découvrirent qu’ils avaient enchainé un des moutons de David. Rassurez-vous, les êtres pensants de ce monde avaient quand même une certaine habileté à agir ainsi ; transformer les autres en armes. Je devins un espion pour eux, et je passais des années à développer mes réseaux. Les petits êtres que l’on me découvrit capable de manipuler – et les moins petits - étaient quelque chose de pratique, pour délivrer des messages secrets ou obtenir des informations. Et l’information, c’était, appris-je, le nerf de la guerre.
Vint alors, avec l’utilisation de ce don, les autres capacités, et l’envie de voir le monde. Et la frustration de ne pas pouvoir le faire. J’étais toujours entravé.

L’opportunité finit néanmoins par se présenter et je profitais de la confiance d’un jeune idiot, mon nouveau responsable, pour le faire la malle avec ses tripes en guise de collier. Je vous avoue que découvrant l’immensité du monde, une nouvelle pointe de peur vint. Mais elle fut bien vite éclipsée par la joie de me libérer de la sorte. De voir que je pouvais découvrir le monde. Et ce monde, me rendis-je compte, était merveilleusement excitant. Par la diversité des êtres, par le fait que je pouvais faire ce que je voulais. Et je fis ce que je voulais. Je n’avais connu qu’une chose, le massacre, les horreurs, la guerre, la mort, la loi du plus fort. Je reconnus que je reproduis un peu ce schémas un temps, jouant les guerriers, les seigneurs de guerre…

Et las de lutter en permanence, je réfléchis à ce que je devais faire. Et là… rien…. Je reconnaissais que je n’envisageais pas e revenir à mon monde originel, et je ne savais pas forcément beaucoup plus quant à mon avenir. Aussi me laissais-je embarquer. Je rejoignais un petit groupe de voyageur, des mercenaires en tout genre. Qui allaient de pays en pays pour du travail. C’était pas mal. J’y passais du temps, beaucoup de temps, et je finis même par avoir une forme d’affection pour eux. Jusqu’au premier contrat plus juteux que les autres. Qui me fit les abandonner à leur sort. A leur mort. Traitre ? Oui. Mais soyons clairs, l’attrait des belles choses, l’attrait des possessions matérielles, c’était presque une forme de drogue. Oui, je me découvrais avide. Et je finis même par laisser crever la gueule ouverte de nombreuses personnes, ou m’approprier ce qui ne m’appartenait pas.
De cette avidité naquit un autre groupe, que je fondais avec des êtres qui étaient un peu comme moi.  White Mantis. Cinq personnes qui travaillaient généralement chacun pour soi, mais qui avaient besoin de se sentir chez soi quelque part.

Et nous en sommes là je fais un peu ce que je veux, je saute de corps en corps au gré de leur pourrissement respectif. Faisant un peu ce que je veux, quand je veux, profitant de la notoriété du groupe pour satisfaire mon avidité et mes passions. Sur Terre ou Terra, j’accepte es contrats, ou je fais sans. Mais soyez certains de deux choses :
- Je réussirai à atteindre mes objectifs, contractuels ou non.
- Si vous êtes trop chiches, je retournerai ma veste sans le moindre remord.


Autre :
C’est un être inférieur extra planaire qui peut posséder les individus. Toutefois, tout individu qu’il possède se métamorphosera en son apparence « type » en moins d’une heure. Chaque corps a une durée de vie d’environ une cinquantaine d’années, au-delà duquel il pourrit sur place à vitesse grand V.
Bien que possédant une grande résistance magique, ses propres capacités à utiliser la magie sont assez réduites. Il ne saurait pas même lancer le sort le plus basique, même s’il a une petite influence sur le métal.
Il a une affinité certaine avec les insectes, de qui il parvient à se faire obéir assez facilement.
Le temps lui a permis d’apprendre à se servir de diverses armes. De part sa nature, il a d’ailleurs des facilités physiques. Il est plus fort, plus rapide, etc.
Dû à son état naturel de brume, il est d’une grande vulnérabilité entre deux corps, n’ayant aucun moyen de se défendre. D’autant qu’il doit prendre possession de quelqu’un capable de respirer puisqu’il possède via inhalation. Sa brume pourrait être dispersée ou même emprisonnée.


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