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Sujets - Phasmaria

Pages: [1]
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Dictature d'Ashnard / Réfugiée à l'Oasis [Akira Fubuta]
« le: lundi 04 juin 2018, 00:59:52 »
L’Oasis de Phasmaria était un agréable refuge, dans l’un des déserts les plus dangereux de Terra, pour les esclaves en fuite. Un royaume microscopique, entretenant des liens étroits avec Zon’Da et les cellules terroristes non-humaines, comme la Scoia’tael. Les alliés de Phasmaria savaient que celle-ci n’était pas totalement fiable, en raison de son orgueil démesuré, mais ils savaient aussi qu’elle était l’une des meilleures portes d’entrées vers l’Empire d’Ashnard. L’Oasis se trouvait en effet près de Papua, un important royaume ashnardien, lui-même plutôt proche de la frontière. Et le désert environnant était dénué de garnisons, du fait de sa dangerosité naturelle. Outre les conditions climatiques extrêmes, il y avait les pillards, les monstres, les sables mouvants... L’Oasis était donc une aubaine, et ce d’autant que, lorsqu’elle était encore prêtresse, Phasmaria avait mis la main sur de précieuses cartes de navigation permettant à ses caravanes de traverser sereinement le désert, à l’aide d’antiques balises de signalisation qu’il était impossible de repérer sans de précises cartes.

Phasmaria dominait donc cet oasis d’une main de maître. Elle était considérée par les siens comme une véritable Déesse, et, ayant jadis été une prêtresse, elle savait au mieux comment organiser un culte. Très généreuse avec ses ouailles, elle distribuait généreusement de la nourriture, et disposait de plusieurs exploitations agricoles le long de l’Oasis. Pour le reste, l’Oasis ne comprenait qu’une ville, somme toute assez petite, comprenant plusieurs statues et fontaines, les statues étant à l’effigie de Phasmaria, des tables de banquet, et un grand temple central, la demeure de la Reine-Déesse et de sa grande famille. C’était là, depuis le Temple, que Phasmaria dirigeait sur la région. Elle rendait justice, donnait ses ordres, et se renseignait sur les mouvements papuans, tout en disposant d’éclaireurs et de gardes, généralement de redoutables Terranides-crocodiles qui approchaient les étrangers, et les amenaient de force au Temple, où Phasmaria décidait de leur vie.

C’est ainsi que l’un des Terranides-crocodiles aperçut, en patrouillant, une femme qui émergea dans le désert. Phasmaria avait senti une manifestation magique, une perturbation spatio-temporelle signe d’un Portail, et avait ordonné à une patrouille de s’en approcher, afin de repérer d’éventuels intrus. C’est ainsi que le Terranide-crocodile, Kol-Kothor, renifla de la chair humaine. Avec sa solide carapace, Kol’ survivait sans peine à ce soleil caniculaire qui s’abattait dans le désert. Grimpant sur une dune, il repéra des traces de pieds, et comprit qu’il n’y avait qu’une seule personne.

Poursuivant sa marche, le Terranide retrouva rapidement sa « proie », en voyant un corps endormi sur le sable, victime d’une insolation. Il la retourna, et aperçut une humaine, au corps bien proportionné, dans un bikini rouge.

« Rrrrrr... »

Conformément aux instructions de sa Déesse, Kol-Kothor s’empara de la femme, et, la tenant entre ses bras, l’amena, inconsciente, vers le Temple, afin qu’elle soit soignée par les mages de Phasmaria...

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Dictature d'Ashnard / Rencontre divine [Bastet]
« le: mercredi 30 mai 2018, 00:33:16 »
La journée de Phasmaria commençait souvent par une partie de jambes-en-l’air. Elle dormait avec ses femmes, et les nourrissait le matin avec son délicieux maternel, irrésistibles pour elles, et les prenait ensuite longuement. L’appétit sexuel de la Déesse était à la hauteur de sa beauté incroyable. Elle passait ensuite au moins deux heures dans un long bain parfumé, que les servantes entretenaient régulièrement, et où elle s’occupait des affaires courantes. Ses épouses lui apportaient en effet les doléances, et Phasmaria les écoutait, tout en faisant régulièrement l’amour, que ce soit avec elles, ou avec de simples servantes. Ensuite, Phasmaria passait une demi-heure à se faire câliner et masser. C’est là qu’on appliquait sur son divin corps cette huile sacrée qui était si réussie, et elle faisait ensuite encore l’amour. Comme quoi, sa libido était assez exceptionnelle. La Déesse terranide était ensuite enfin prête pour inspecter l’Oasis. Elle y allait en compagnie de sa Grande Prophétesse (également une épouse à elle), la belle Aziza. Magnifique comme à son habitude, Aziza lui présentait l’Oasis, une grande cité religieuse composée de statues (généralement à l’effigie de Phasmaria), de maisons, d’immeubles, et de constructions.

« L’expansion de votre domaine se poursuit, Majesté. »

Les gens s’agenouillaient au passage de Phasmaria, et elle les caressait, leur tapotant la tête, les flattant. L’impériale Déesse marchait au milieu de sa foule, et rejoignit les chantiers de l’Oasis. Après tout, ce n’était pas parce que le lieu était secret qu’il ne fallait pas songer à sa défense. Rien de grandiloquent dans les chantiers, il s’agissait juste de construire d’autres maisons, afin de recueillir de nouveaux arrivants, et construire de nouvelles statues.

« Bien, Phasmaria est très satisfaite, commenta la sensuelle beauté. Tout cela est magnifique ! »

Elle inaugura aujourd’hui une nouvelle statue d’elle-même, puis rendit ensuite justice. Une personne était accusée d’avoir profané l’une de ses statues, un Terranide rebelle qui était insensible à ses charmes. Malheureusement, la magie rose de Phasmaria ne fonctionnait pas continuellement, et le Terranide-loup qu’on lui présenta, et qui occupa une bonne partie de l’audition, était irrécupérable. Phasmaria prit donc sa décision sur le siège, après avoir entendu ses explications, et le rapport d’Aziza sur l’enquête. Le Terranide-loup ne nia pas les faits, et Phasmaria ordonna son exécution pour blasphème. Elle n’aimait pas particulièrement punir ni sévir, mais il était parfois important de rappeler son autorité. Les Dieux se devaient d’être intransigeants, après tout.

Phasmaria continua ensuite sa journée en se rendant dans l’une de ses écoles, et passa un long moment à câliner de jeunes Terranides, qui ronronnaient sur place quand elle les caressait. La Déesse termina ensuite sa journée par l’exercice de son droit de première nuit. Phasmaria avait en effet instauré un droit de cuissage, qu’elle célébra donc avec une jeune humaine, lui faisant copieusement l’amour. L’épouse, qui les assistait, participa ensuite à la séance, et les trois femmes firent encore l’amour longuement, les deux jeunes mariées léchant avec appétit le corps parfait de Phasmaria, s’empalant sur sa verge. Une excellente manière de terminer la journée de la Déesse.

Cette dernière retourna ensuite dans son palais, où elle se renseigna sur ce que ses épouses avaient fait, et passa ensuite du temps avec ses enfants. La jeune « Déesse » engrossant régulièrement toutes ses femmes, elle commençait déjà à avoir quelques portées, des filles comme des garçons, qui se blottirent contre elle.

Phasmaria retourna ensuite dans ses quartiers... Sans se douter qu’elle allait faire une rencontre inattendue sur place.

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One Shot / L'Amour de la Déesse [PV]
« le: lundi 07 mai 2018, 00:17:27 »
El-Osmadth était une province assez riche du nord de Papua, ayant pour capitale la belle Jericho. La cité entretenait d’étroits liens avec la riche province d’El-Kalim, l’une des plus riches provinces de Papua, abritant la richissime cité de Kalim. El-Kalim était dirigée à son sommet par un riche sultan débonnaire, qui avait eu beaucoup d’enfants, et qui passaient son temps à marier ces derniers à ses alliés politiques et économiques. Et ça avait été le cas de l’une de ses plus belles filles, la Princesse Jasmine. Elle devait se marier à l’un des riches aristocrates de Jericho, afin de renforcer les liens entre les deux provinces. Un mariage peu recommandable, en réalité. La Princesse allait se marier à un sexagénaire âgé, ventripotent, qu’elle n’avait jamais vu. Un mariage arrangé, mais, face à la volonté du sultan, ses filles ne discutaient pas. Un véritable gâchis.

Le trajet menant  de Kalim à Jericho passait par des sentiers escarpés, des monts dangereux. Pour autant, c’était l’un des endroits les plus sûrs de Papua, et le convoi royal disposait d’une solide escorte. Non content d’amener sa fille, le sultan amenait aussi une dot considérable, consistant en une cargaison de pierres précieuses, d’artefacts magiques, et même une lampe magique, qui était dans les affaires de Jasmine. Cette lampe, disait-on, abritait un djinn, mais personne n’avait encore réussi à le réveiller. C’était néanmoins un cadeau précieux.

Fort heureusement pour elle, Jasmine avait attiré l’attention d’une femme très puissante. Et, tout aussi heureusement pour elle, il y avait, parmi les serviteurs du sultan, des Terranides voués à la cause de Phasmaria. La puissante Déesse avait ourdi son plan, visant à libérer la belle Jasmine, et à voler les trésors du sultan. Elle avait pu obtenir l’itinéraire du convoi, et avait organisé un piège. Elle avait choisi l’endroit idéal, et avait déployé de puissants Terranides. Il y avait plusieurs Terranides-crocodiles avec elle, ainsi que des Minotaures. Le convoi passait à un moment dans un dédale escarpé, un passage menant tout droit vers la vallée de Jericho. C’était l’emplacement idéal pour tendre un piège. Phasmaria en personne supervisait les opérations. Comme toujours, elle était très faiblement vêtue, et portait à ses doigts une multitude de gemmes magiques formant des bijoux, ainsi qu’un ânkh le long de son cou. Ses pouvoirs n’étaient pas aussi importants qu’au sein de l’Oasis, mais suffisamment pour venir à bout des gardes.

« Ils approchent, Déesse !
 -  Parfait. Laissez-les approcher, attendez le moment idéal ! »

Les Terranides se mirent en position, prudents, vigilants. Jadis, ils étaient utilisés comme bêtes de somme, soulevant de lourds blocs de pierre pour faire des fortifications, assembler des murs, ériger des forts... Ils servaient maintenant une cause noble : la sienne. Le soleil se réfléchissait sur la peau de Phasmaria. Elle avait pris le temps d’utiliser son huile très spéciale, un onguent qui magnifiait sa peau, la rendait plus lisse, mais agissait aussi comme un protecteur magique. L’un des nombreux sorts qu’elle avait appris depuis le culte qu’elle avait jadis servi.

Le convoi était mené par plusieurs cavaliers quand Phasmaria attaqua. Elle utilisa un sort de Terre, et provoqua un éboulement, faisant tomber plusieurs rochers sur les cavaliers, les écrasant sur place. Les autres se mirent en position, et les Terranides bondirent alors sur eux. Ils étaient massifs, et Phasmaria les avait protégés avec des boucliers magiques, ce qui amortit leur chute. Toroth, un massif Terranide-crocodile, s’abattit sur le premier chariot. Sa gueule abyssale s’ouvrit en grand, et il la planta dans le corps du cocher, lui arrachant la tête, et égorgea son comparse. Il hurla en relâchant le cadavre du garde, et une boule de feu se forma dans sa gorge, qu’il lâcha à l’intérieur du chariot. Les gardes d’élite de Phasmaria disposaient d’artefacts magiques générés par leur Déesse.

Depuis les hauteurs, Phasmaria les aidait à distance, générant autour d’elle des cônes pierreux, les lançant sur les gardes, les transperçant ainsi. Bien sûr, certains eurent l’occasion de se défendre, notamment autour du chariot royal. Le capitaine brandit son épée, et lança un sort de foudre, qui heurta la carapace de Toroth. Ce dernier grogna de douleur, et deux gardes s’élancèrent vers lui, mais d’autres Terranides arrivèrent alors.

Le raid fut très court, et Phasmaria abattit même un cavalier cherchant à s’enfuir pour prévenir les autres, à l’aide d’un ultime cône. La porte du chariot de Jasmine était restée fermée, et la jeune femme était sans doute terrorisée, d’autant plus que, quand Toroth avait tué le capitaine, le sang de ce dernier avait jailli, éclaboussant la vitre. Elle devait sans doute s’attendre à ce que l’un des massifs Terranides n’arrache la porte... Mais il n’y eut en réalité rien. Aucun bruit, aucun mouvement, et ce pendant plusieurs instants. Des bruits de pas, oui, mais rien contre la porte, jusqu’à ce que cette dernière ne s’ouvre.

Phasmaria se tenait dans l’embrasure de la porte, et grimpa. Un élégant parfum sensuel se dégageait de son corps, et la porte se referma toute seule derrière elle, tandis qu’elle s’assit face à Jasmine, avant de croiser sensuellement les jambes.

« Bonjour, Princesse Jasmine. Vous avez sûrement entendu parler de moi... Je suis Phasmaria, l’Avatar de la Déesse Amaounet. Et la Déesse Amaounet a décidé de te protéger contre l’ignoble mariage arrangé auquel tu étais destinée... En me mettant sur ta route. Je suis l’instrument de ma Déesse, et c’est à ce titre que je suis venue te secourir de ton funeste destin. Ne crains donc plus rien, belle Princesse, car, à partir de ce moment, tu es sous la protection de la Déesse. »

Et elle lui sourit chaleureusement, onctueusement... Une redoutable beauté sombre, élégante et torride.

4
Prélude / Kneel Before Your Goddess ! [Valikoyée]
« le: dimanche 06 mai 2018, 22:11:12 »

  • Identité : Phasmaria,
  • Âge: Environ une cinquantaine d’années,
  • Sexe : Femme,
  • Race : Hybride Terranide/humaine se faisant passer pour une Déesse, mais surtout Terranide,
  • Sexualité : Bisexuelle.



Physique

Phasmaria est une très belle Terranide à la peau bronzée. Elle a pour habitude de porter des vêtements très légers, héritage des tenues qu’elle portait à Papua. C’est à ce titre que son corps est souvent orné de bijoux. Phasmaria aimant les massages et les bains, elle est souvent recouverte d’une espèce d’huile un peu brillante qui fait briller et scintiller sa peau. Sa redoutable beauté est largement mise en valeur par les touches de maquillage qu’elle porte, ainsi que par ses vêtements, destinés à mettre en valeur ses formes généreuses. Ses seins, ses hanches, sa chute de reins, sa longue chevelure brune tombant près de ses fesses.

Vu son arrogance, Phasmaria entretient volontiers ses formes, et passe beaucoup de temps à s’assurer de rester belle. Précisons enfin qu’elle a de beaux yeux verts, et est plutôt grande pour une Terranide. Elle aime bien porter des bijoux, ainsi que des brassards dorés. Il faut également préciser que ses bijoux sont souvent des pierres magiques canalisant et augmentant ses pouvoirs, et qu’elle dispose également d’amulettes en forme d’ânkhs qu’elle utilise, là aussi, pour accroître ses pouvoirs magiques.

En bonus, et parce que vous le valez bien, voici une galerie de cosplay du personnage pour mieux visualiser son physique (plus de 150 images, rien que pour le bonheur des yeux !).


Mental

Phasmaria est une neko très arrogante, qui use de ses pouvoirs magiques pour se faire passer pour une Déesse auprès des individus qu’elle a recueillie. Autant dire que, à ce titre, elle est très égocentrique, et parle ainsi fréquemment d’elle à la troisième personne du singulier. Tout en appréciant la flatterie, elle est pour autant suffisamment intelligente pour savoir discerner les flagorneurs, et les compliments excessifs ont tendance à l’agacer rapidement. Son orgueil est après tout justifié par le fait qu’elle a reçu l’impossible, à savoir concevoir une nation souveraine, où elle-même se trouve à la tête, ce qui est particulièrement exceptionnel pour une Terranide, peuple enclin à la soumission. Phasmaria est donc fière de ce qu’elle a entrepris, et n’hésite tout simplement pas à le faire savoir. Elle dispose volontiers d’esclaves dévoués à son service.

Comme dit, elle se fait passer pour une Déesse, en l’occurrence une réincarnation d’Amaounet, Déesse des mères et de la fertilité, ce qui est faux.

Outre son arrogance, Phasma’ est évidemment très perverse. Une créature sensuelle ne peut pas renier ses origines, et elle est très tactile. Elle aime qu’on la caresse, qu’on l’embrasse, et elle aime avoir des amants. Sexiste, elle a néanmoins tendance à mésestimer les hommes, et, même si elle aime coucher avec eux, le fait est que ses épouses sont avant tout des femmes, les hommes servant essentiellement de gardes du corps ou de gigolos.

Manipulatrice et stratège, Phasmaria est une Terranide très particulière. Là où la plupart des Terranides ont une propension naturelle à la soumission, elle n’a jamais pu accepter cette nature. Peut-être est-ce lié à ses origines génétiques particulières, au fait qu’elle a été éduquée et cultivée... Phasmaria aime à se faire passer pour une libératrice, et, si elle entretient ainsi des liens avec divers mouvements de résistance, comme Zon’Da, ou la Scoia’tael, elle n’a en réalité rien d’une libératrice. Elle aime l’idée d’avoir des esclaves, et dirige son « utopie » avec un véritable culte de la personnalité autour de sa personne. Elle peut ainsi se montrer cruelle quand il le faut.

Toutefois, signe de son passé, Phasmaria est relativement méfiante envers les humains, même si elle a quelques humaines comme épouses.


Histoire

Phasmaria est née et a grandi à Papua, un ancien Empire devenu une province impériale ashnardienne. Elle est la fille d’un humain et d’une neko, cette neko officiant comme prêtresse dans un culte très particulier, voué à une ancienne divinité papuanne. Si les Terranides sont unanimement considérés comme des esclaves, il existe à Papua des cultes sacrés permettant à certains Terranides de disposer d’un statut particulier. Le chat est en effet un animal sacré à Papua, considéré comme un symbole de protection. Magiquement parlant, les chats ont d’ailleurs toujours été les compagnons des sorciers et des sorcières, précisément parce qu’ils ont des utilités magiques. Ils font en effet office d’éponges, et permettent de stabiliser certains sorts ou invocations. Les chats ont d’ailleurs une tendance naturelle à être réceptifs à la magie, de sorte qu’ils sont parfois utilisés pour débusquer des fantômes ou des Poltergeist dans les maisons. Partant de ce principe, Papua a toujours eu parmi ses plus importantes divinités une Déesse en forme de chat. On pourrait tout à fait rapprocher ce culte de ceux de l’Égypte antique. De fait, le culte de Papua est dédié à la Déesse Bastet, et les prêtres et prêtresses de Papua sont proches de la cité de Bubastis.

Légalement parlant, le culte de Bastet de Papua dispose donc d’un contrat spécial, reconnu par l’Empire d’Ashnard, qui leur permet d’employer des Terranides comme prêtres ou prêtresses. C’est une tradition culturelle, et les Terranides du culte sont choisi de manière héréditaire. Autrement dit, le culte n’accueille pas d’esclaves en fuite, et les Terranides du culte bénéficient d’une formation magique. C’est ce à quoi Phasmaria eut droit. La jeune Terranide s’avéra d’ailleurs très douée en la matière, et, au cours des années, développa de réels talents, faisant d’elle une prêtresse d’exception, tant et si bien qu’elle suscita l’attention de la famille royale en personne.

Il faut aussi bien dire que, en grandissant, Phasmaria, si elle préserva ses attributs héréditaires terranides (sa queue poilue et ses oreilles de chat) eut aussi une morphologie humaine. Contrairement à bien des nekos qui avaient du mal à marcher sur leurs pattes arrières, elle était bipède. Mais, surtout, elle trouva vite très frustrant la situation actuelle. Phasmaria eut en effet une bonne éducation : elle apprit l’algèbre, la géographie, la lecture, l’Histoire... Elle découvrit vite qu’elle n’était pas faite pour un simple rôle de prêtresse. Ambitieuse, elle apprit également que l’esclavage était de plus en plus contesté, et qu’il existait beaucoup de Terranides rêvant secrètement de liberté. En effet, les prêtresses de Bastet pouvaient se rendre dans des réserves esclavagistes, des quartiers isolés dans certaines villes n’abritant que des Terranides, appartenant à de grands propriétaires terriens. Les prêtresses s’y rendaient pour soigner les Terranides, et répandre le culte. Elles y étaient plutôt respectées, et Phasmaria, en y passant du temps, apprit vite qu’il existait, dans ces réserves, des pamphlets et des prospectus anti-esclavagistes, vantant les mérites de Zon’Da, un « Royaume terranide » utopique où bien des Terranides voulaient se rendre. Les autorités papuannes cherchaient l’imprimerie illégale, celle qui diffusait ces prospectus. De fait, il y avait régulièrement des révoltes, notamment sur les grands chantiers où des centaines de Terranides construisaient des pyramides, des palais, des forteresses... Et, quand des Terranides-taureaux ou des Terranides-léopards commencent à se révolter, les autres ont rapidement tendance à les suivre.

Phasmaria y vit là l’occasion d’agir. Elle rencontra les agitateurs de Zon’Da, des Terranides envoyés pour répandre la révolte, et organiser l’exode des Terranides à Zon’Da, un royaume très éloigné situé dans une région polaire. Las, il n’était pas aisé de quitter Papua. Le royaume avait l’avantage d’être proche de la frontière, mais aussi à l’orée d’un redoutable désert, mortel, tant par la forte chaleur qui y régnait que par les nombreux monstres y habitant. Phasmaria proposa aux Terranides de Zon’Da de collaborer avec eux, d’installer une sorte d’avant-poste dans un endroit reculé, qui permettrait de soigner les Terranides, d’organiser des raids pour en libérer d’autres, et organiser leur exode sur Zon’Da.

La belle Terranide organisa ainsi son plan, et entreprit de libérer les premiers Terranides. Les choses ne se passèrent toutefois pas aussi bien que prévues, car, parmi les Terranides, il y avait des espions, et les autorités papuannes attaquèrent. Phasmaria défendit les rebelles, tout en tuant des soldats papuans. Dès lors, elle fut déclarée hérétique, et rejetée de son culte. Sans importance pour Phasmaria, qui rejoignit son refuge, son « utopie », un oasis perdu dans le désert, très difficile d’accès, car entouré de montagnes escarpés, de crevasses, de ravins, mais aussi de sables mouvants et de mirages. Phasmaria en avait découvert l’accès dans de vieux grimoires du temple, grimoires qu’elle a naturellement dérobés.

Avec les années, Phasmaria a aménagé cet endroit. On l’appelle l’Oasis, et, même si Phasmaria est très arrogante, elle n’en est pas moins une Déesse généreuse. Elle offre à ses Terranides nourriture et opulence, et leur offre le choix entre rester chez elle, ou partir à Zon’Da. Pour l’heure, le jeune Royaume terranide continue à la soutenir, faute d’autres alliés, mais ils savent qu’on ne peut pas se fier à Phasmaria.

La Déesse continue également à entretenir des liens avec Bubastis, et, même si on oasis est difficile d’accès, il y a fréquemment des visiteurs qui s’y perdent. Elle organise également régulièrement des raids dans les environs, et, dans l’ensemble, se contente fort volontiers de sa vie d’opulence, tout en s’entraînant fréquemment pour perfectionner ses sortilèges.


Autres

Phasmaria est une magicienne assez puissante, qui s’entraîne régulièrement. Elle n’est pas non plus la plus puissante magicienne qui soit, mais elle connaît son domaine, et dispose d’artefacts magiques améliorant ses pouvoirs, notamment au sein de l’Oasis, ce qui lui permet de se faire passer sans trop de mal pour une Déesse.

Elle est également très sexy, ce qui est assurément un avantage.


Source de l’avatar

Une image faite par un auteur inconnu sur la base, d’après ce que j’ai cru comprendre, d’un cosplay d’Anubis fait par la sensuelle Nonsummerjack.

Comment avez-vous connu le forum ?

Je passais, j’ai vu de la lumière, j’ai ouvert la porte.

RPs

1°) Rencontre divine [Bastet] [EN COURS]
2°) Réfugiée à l'Oasis [Akira Fubuta] [EN COURS]

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