Sujets

1

Les contrées du Chaos / Petites trahisons entre amants [Pv]

« le: dimanche 24 janvier 2016, 16:01:29 »

Tout finissait toujours par payer, ou plutôt, tout finissait toujours par se payer ! C’était une évidence. Ils le savaient tous les deux !  Il fit un petit sourire et attendit quelques instants alors qu’il savourait l’instant… la jeune femme qui se trouvait face à lui était une acquisition récente. Une jeune sorcière assez talentueuse qu’il avait pris soin de modeler pour répondre à sa volonté, à ses souhaits… elle était parfaite dans ce rôle, avec ses longs cheveux noirs, sa peau albâtre et ses yeux noisette… elle semblait si fine, si fragile, et il l’avait brisée. Plusieurs fois. Au sens propre comme au figuré. Et tout cela était fait dans un seul but : le rituel pour lequel el était en train de s’ouvrir les veines.

Sous une grande tente, une dalle avait été mise en place dans laquelle les symboles magiques d’invocation et de rétention avaient été gravés. Et maintenant elle badigeonnait de son sang les symboles pour les rendre efficient, et pour que le maitre ne puisse pas être incommodé par le cercle, il avait lui aussi donné un peu de son sang… tout était presque prêt pour l’incantation… il ne manquait plus que quelques éléments. Au sein d’autre cercle inscrit dans le premier, on installa une petite sphère qui semblait faite de cristal. Il enfermerait ses dons dedans… elle serait ainsi prisonnière et elle ne pourrait rien contre lui… Il sourit.

« La vengeance est un plat qui se mange froid… sauf en enfer… commence le rituel. » [/i][/color]

La jeune femme sursauta quand elle entendit l’ordre et commença à se calmer pour réciter les mots de pouvoirs qui lui permettrait de faire venir dans ce monde la démone qu’il recherchait… il regarda la jeune femme en train de travailler et frissonnait de plaisir et d’impatience… ça allait être délicieux… il allait récupérer ce qui lui appartenait… il allait la récupérer… et il ne tolérerait pas de refus de sa part !

L’invocation touchait à sa fin alors qu’une faille apparaissait… elle allait en être tirée sous peu… voilà qui était très intéressant… et enfin, il ne put s’empêcher de lui lancer, sur un ton fort amusé à la nouvelle venue.

« Tiens donc… bienvenue chez moi… de nouveau… ma chérie... » [/i][/color]

Il ricana…. Et demanda à ce qu’on lance, bien qu’il soit plus douloureux, l’extraction de ses dons pour qu’ils rejoignent la sphère. Elle allait souffrir un peu pour que tout se passe bien !

2

Ville-Etat de Nexus / Embauche, débauche, du pareil au même [Pv]

« le: jeudi 14 janvier 2016, 17:15:52 »

Rappelez-vous d’une chose simple :  Sarkesh ne voyait pas dans les villes autre chose qu’un fatras de pierres inutiles… rien ne valait une tente ou autre chose en plein air, loin de tous ces crétins bouffis d’arrogance. Dans son campement, il était le seul maître et tout le monde le savait, ici, personne ne savait qui commandait vraiment, personne ne pouvait savoir qui flatter et les forces apparentes n’étaient pas forcément les forces réelles. Bref, c’était le bazar. Mais si Sarkesh ne venait pas ici par plaisir, mais il avait besoinde…. Quel était le terme déjà qu’il employait ? De rabatteuses, voilà ! Il trouvait que dans ce rôle, les femmes étaient meilleures que les hommes… allez savoir pourquoi, il avait toujours remarquer qu’elles donnaient davantage le meilleur d’elles-mêmes une fois qu’elles avaient été « placées » dans leur rôle…

Pour cela, Sarkesh s’était rendu compte qu’il lui fallait des prédatrices, capable de trouver, traquer, vaincre…. C’était un travail de longue haleine et il fallait de bons talents pour que ce genre de choses soient appréciables !  Il regarda un peu alentour, cherchant les démarches félines de prédateurs, cherchant les regards perçant, cherchant toute chose qui aurait pu « trahir » cette nature qu’il cherchait. Il resterait ici jusqu’au coucher du soleil, le lendemain, bien sûr ! pas une minute de plus, il a vait d’autres choses à faire et l’odeur empuantie de la ville lui donnait au cœur…

Soyons honnêtes, il ne savait pas avec précision ce qu’il cherchait, ou du moins, il ne savait pas exactement qui il cherchait, mais il restait à l’affût, suivant les rumeurs et les observations qu’il faisait à droite comme à gauche… il était sur qu’il finirait par trouver une solution valide et valable…. Mais pour le moment, ce n’était pas exactement cela, c’était davantage une erreur d’être venu qu’autre chose… il regarda d’un peu plus près ce qui se passait alentour et finalement quand la porte de l’auberge où il était assis s’ouvrit, il ne put s’empêcher de sourire en voyant les deux beautés qui entraient en ces lieux… il sentit le frisson de danger et à leur démarche, il comprit que c’était elles qu’il cherchait… il sourit et appela le serveur pour lui dire de glisser, avec un verre, une invitation aux deux beautés à le rejoindre à sa table.

Restant silencieux il attendit et réfléchit sur le « quoi dire » il sentait que ces femmes seraient dangereusement intéressantes… il fallait trouver la bonne manière de présenter les choses… en tout cas, si elles le rejoignaient, il essayerait de se montrer poli et aimable…

« Bonsoir mesdames… je dois avouer que vous voir dans ce genre de gargote est un ravissement pour les yeux…. » [/b][/color]

Il ne rajouterait rien et se tairait, attendant de voir leurs réactions…

3

Les terres sauvages / une capture intéressante... [Pv]

« le: vendredi 23 octobre 2015, 23:38:28 »

C’était amusant, parfois, les petites annonces prenaient la forme d’avis de recherche ! C’était le cas cette fois-là par exemple : en effet, parfois, on trouvait son bonheur sur les murs des postes de garde ou autres ! Il était rare que cela convienne à Sarkesh, néanmoins. En effet, il s’agissait souvent de mâles ou de « sans-dons », hors il s’agissait là de deux types bien distincts qui ne faisaient pas franchement partie, sauf qualité exceptionnelle, du cheptel de bétail que notre démon élevait ! Bien sûr, en parlant de bétail, il fallait entendre par là esclaves ! aujourd’hui, il trouvait la situation fort intéressante. Il avait arraché une affiche représentant une jeune femme loin d’être vilaine… peut-être avait-il quelque chose à tirer d’elle ? Il verrait bien !

Il avait fini par emporter l’affiche avec lui juste au cas où, et il avait continué sa route dans les terres sauvages. Et une nuit, il se rendit compte qu’il avait eu de la chance et du génie d’emporter cette fameuse affiche, puis il explosa de rire. Cette nuit une intruse s’était introduite dans le campement nomade et avait tenté de prendre de quoi survivre… de quoi manger et boire, surtout… manque de pot, elle était tombée sur l’équipe de surveillance… et elle avait été proprement assommée, attachée et installée dans une tente de détention.

Voilà pourquoi il riait. Sarkesh, en entrant sous la tente de détention, avait tout de suite remarqué la ressemblance. Voilà pourquoi il avait ri, voilà pourquoi il avait eu les yeux qui pétillaient, avant de s’adresser à elle sur un ton à la fois doux et ferme, mais non sans une ponte de moquerie.

« Tiens-donc, qu’avons-nous là ? une petite souris ? Une petite voleuse ? » [/b][/color]

Il la regarda. On lui avait lesté des chaînes aux poignets, elle avait les vêtements lacérés mais sinon, elle semblait n’avoir pas trop été abîmée… on lui avait aussi attaché les poignets liés entre eux à un bloc de roc, histoire qu’elle ne puisse pas s’enfuir. Il posa un genou à terre pour être à la hauteur à laquelle elle était réduite, il lui sourit et lui dit, sur un ton amusé, sur un ton bien moqueur.

« Quand on m’a décrit la prise par surprise, j’ai cru que l’on se fichait de moi… et bien non… tu as vu un peu à quelle somme s’élève ta mise à prix ? » [/b][/color]

Il déroula l’affiche pour qu’elle puisse y jeter un œil.

« La question, c’est à quelles conditions je ne te livre pas pour toucher la récompense… » [/b][/color]

Nouveau ricanement. Il n’avait pas vraiment l’intention de la livrer…

4

Les landes dévastées / D'une main à une autre [Pv]

« le: mardi 05 mai 2015, 22:52:40 »

Maigre récolte. Non, en fait, récaolte complètement nulle quand on ty réfléchissait, un village sans intérêt, le massacre acvaiut été rapide, efficace, vioent, sans la moindre finesse, juste avec une violente et froide efficacité, celle, mortelle, de véritables assassins. Il ne pouvait s'empêcher de se féliciter de l'efficacité de ses hommes, avec les bons dons ils étaient dévastateurs, et à peine une heure plus tard, seul un feu, unique grand bucher funéraire, pa sun seul être vivant, puis empoisonné, et plus un seul grain de céréale encore mangeable. Tout avait été proprement rasé et seules des ruines restient prueve de leur passage. C'était à trois heures de route. Il avait préféré monter le camp loin de cela, oin des odeurs et en contrebas, où un immense camp avait été mis en place à la romaine en un temps record, plus efficace qu'un légion. Pas mauvais, non ? Il sourit devant l'efficacité du camp.

Il y eut une trompe, un bruit de trompe. Porte nord. Il se dirigea vers cety entdroit comme unhe furie, cimettre à la main, lame au clauir, fourreau dans l'zutre. Il était vetu d'une tunique longue, ouverte sur son torse musclé il avait sa lame au clair et ne cherchait pas la moindre trace d'ennui, ce serait vite réglé, ce serait prompt et efficace. En fait, cela ne venait pas avec précision de la porte nord mais des cuisines qui se trouvaient à proximité de l'endroit. Il s'agissait de plusieurs personnes. Ils étaient deux, deux pauvres hères qui semblaient bien faméliques… ils n'avaient pas du manger depuis un oment, sans doute avaient-ils espéreré trouver des vivres dans le village mais n'y avaient trouver que ruine… pour manger ils repasseraient.

« On les a trouvé qui rôdaient près des stocks de nourriture. Des voleurs sans doute. Doit-on leur trancher les doigts ou la main ? »

Sarkesh réfléchit avant de faire glisser sa lame sur la joue de l'un des malfrats qui gémit ; Il expliqua alors tout ce qu'on voulait savoir et même bien plus encore… Sarkesh le fit couiner pendant plusieurs heures avant de finalement se satsifauire de sa réponse. Juste deux pillards, des imbéciles.. et apparemment il y en avaient d'autyres… et ils disaient avoir de quoi monnayer leur liberté… il n'y croyait pas trop. À vraie dire c'était plutôt deux personnes qui avaient du dire ce qu'ils voulaient entendre pour qu'on lesz laisse en vie. Il avait donc décidé d'emmener un détachement avec lui, à cheval, à peine une demi-douzine d'archers montés et lui-même, avec son éternel cimeterre

Un peu avant d'arriver, il mit pied à terre et une personne resta derrière pour garder les chevaux, les cinq autyres prirent la direction du lieu indiqué, à proximité d'un ruisseau, dans un bosquet. Ses bons yeux de démons purent lui permettre d'observer. Deux hommes et une femme attachée. Il avait envie d'en savoir plus. Il fit signe à ses archers. Les deux meuilleurs visèrent avec leur petit arc et  décochèrent leur trait, touchant à la cuisse les deux hommes. Alors Sarkesh s'avança pendant que les deux hommes étaient maitrisés. La rouqsse était plutôt jolie. Et elle n'était pas forcément bien couverte pour les nuits des landes dévastées… surtout aussi loin au nord…

Il plaça la lame de son cimeterre sous sa gore, lui relevant le menton du plat de la lame. Difficile pour elle d'y échapper puuisqu'elle était en partie soulevée par les poignets attachés à une branche au dessus de sa tête. Position inconfortable il fallait en convenir. La pointe de ladite lame était légèrement enfoncée dans la gorge, juste de quoi picoter.

« Qui es-tu est que fais-tu là ? Son-ils tes maîtres? Combien sont-ils au total ? »

Il sentait de cette femme émaner une sorte de trace résiduelle de magie, si légère que cela ne servait à rien de chercher à l'extraire sans doute. Il leva les yeux au ciel et reforumla plus fort, elle n'avait peut être pas entendu.

« Qui es-tu, que fais-tu ici ? Sont-ce tes maîtres ? Réponds moi, jcar ici, j'ai droit de vie et de mort. »

Et d'un geste efficace, il fouetta l'air de son arme, les liens de corde qui retenaient ses bras furent tranchés lui permettant de tomber au sol.

« Emmenez ces hommes au camp et gardez les, je les jugerai à mon retour. Je vous rejoindrai plus tard. »

5

Les landes dévastées / Captivité [Pv]

« le: mardi 05 mai 2015, 22:51:46 »

Sarkesh était assez satisfait de la journée alors que le soleil se couchait. Il était ravi de voir ce qui s'était passé, il éait ravi de voir ce qu'il abvvait récolté. Sa ravbatteuse avait déniché ce petit village terranide. Il procéderait à l'extraction le lendemain. Dans ce village, la quantité de magie était bien plus haute que partour ailleurs dans le coin… aussi, il avait fait une jolie moissobn, notamment un pyrokynésiste, un télékynésiste, un change-forme..il avait eu beaucoup de chnces. Trois doués dans le même village, il n'avait pas eu de moisson aussi impressionnante depuis bien des années… en un seul village il était rare qu'il y ait plus de deux ou trois détenteur de magie, un par génération en général… mais là, plus d'une douzaine sur une cinquantaine d'habitants… rien à redire là dessus. Sciore record. Mais il y avait eu d'autres jolies prises… bon, il fallait faire monter le camp, d'abord et en profiter aussi pour mettre en place un buchger funéraire pour les morts… le village serait désormais un village fantôme. Hors les caputérs, il n'y avait plus que mort et désolation… il ordonna qu'on fasse bruler les cadavres. On lui obéit sur l'heure alors qu'un autre groupe était en train de placer les carcans de bois autour du cou des prisonniers et prisonnières.

Léger sourire au lèvre, il rregarda le spectacle… les prisonniers et prisonnières, une fois les carcans installés, allaient macher pendant une bonne heure de là, où on aurait mis en place le camp nomade, un camp fourmillant d'activité. Il y avait beaucoup d'esclaves, mais beaucoup restaient par choix, aussi curieux que cela puisse paraître :  ils dormaient presque aussi bien que des soldats, étaient nourris, logés, blanchis et personne ne risquait d'attenter à leur vie s'ils travaillaient dur… oui, concept étonnant de la part d'un esclavagiste, mais selon lui, une fois brisé, un esclave ne pouvait qu'être utile et loyal, pour peu que l'on sache exactement quoi faire de tout un cahcun et comment garder l'hostilité sous contrôle… pour cela il avait un petit sortilèghe bien pratique, qui, uen fois imprimé dans le corps de la chose lui ferait regretter amèreement toute vélléité de rébellion et permettait aussi à rahemar et à son commandement de transmettre des ordres…

Le seigneur nomade, commença à faire le tour de la prise du jour, cherchant quelque chose d'intéresant pour le lendemain. Il y aurait d'abord l'extraction, une extraction quicauserait cri et larmes, il le savait mais d'ici là, d'ici là, il avaot envie de s'amuser un peu.. ; Aussi, passa-t-il dans les rangs pour observer davantage, observer de plus près… il se pencha bvers une terranide. Elle n'était pas comme les autres. De passage sans doute. Intéreessant. Il claqua des doigts, l'indiqua et repartit aussitôt our sa tente, spacieuse et bien gardée…

Au centre, il y avait un grand brasero et sur le côté, un lit de camp, large, ainsi qu'un petit bureau sur le côté our poser par écrit quelques notes. Il s'attela à son bureau et commença à travailler, une ou deux lettres, puis il devait écrire dans le journal de bord ce qu'il avait fait aujourd'hui et comment tout avait fonctionné. Il écrivit une vingtaine de lignes. Il complèterait le reste le lendemain après l'extraction.

On frappa contre le morceau de métal à l'entréd de la tn,ete et il signala d'entrer.. On poussa l'esclave choisie dans la tente et on rabattit le battant derrière elle, pour la laisser, seule, avec le maitre des lieux. Il avait récupéré une cravache d'équitation et on avait lancé dans la tente de la corde si besoin s'en faisait sortir. Il se planta devant elle, tenant la cravahe avec une main de fer qui montrait son habitude.

« Qui es-tu et que faisais-tu dans ce village.

La voix était dure, inflexible. De l'acier trempé.

6

Ville-Etat de Nexus / Trouvaille ? [Pv]

« le: mardi 10 mars 2015, 21:16:00 »

Sarkesh n'aimait pas les villes, pas parce qu'elles n'offraient pas de divertissement, pas parce qu'elles n'offraient pa de protections suffiantes ou autres, mais être engoncé dans du béton, enserré, étouffé, à quoi cela pouvait-il bien rimer au juste?une pseudo sécurité entre chaque coupe gorge ? Il n'en savait rien, il savait juste qu'il était du genre à vouloir les fuir, mais parfois, comme aujourd'hui, une halte s'imposait dans une ville, histoire de refaire le stock de médicaments pour les médikiners, et accessoirement, parce qu'il avait un peu de marchandise à y vendre et à y récupérer, certaines personnes ici avaient des talents magiques assez intéressants… il eut un léger sourire avant de finalement ramener sa capuche sur sa chevelure pour mettre son visage dans l'ombre alors qu'il fouillait les ruelles à la recherche de quelque chose d'intéressant… il y avait quelqu'un de magique ici… quelqu'un avec des dons intéressants…. Il eut un léger sourire avant de finalement tourner dans une nouvelle ruelle, puis une autre…

Par deux fois on tenta de lui dérober une bourse... par deux fois, il y eut un bras de brisé, ou un poignet, enfin qu'importe, par trois fois on lui mit un couteau sous la gorge… et par trois fois, le couteau finit dans la gorge de quelqu'un d'autre… ; et qui pouvait y dire quoique ce soit ? Il eut un petit sourire… les bas quartiers étaient parfaitement mal famés. Il eut un petit sourire avant de finalement se décider à trouver quelque chose d'intéressant…

Une jeune femme était allongée, au sol, dans une cour mal pavée, elle était exposée à la vue de tous et de toutes, nue, intégralement, ses cuisses étaient suffisamment écartées pour vir un joli filet de sang en couler. Il sourit et s'approcha… il s'approcha assez prêt pour qu'il puisse constater que même si c'était faiblement, son coeur battait et elle rspirait… plus encore, il percevait une certaine form e de don… il la retourna sur le dos. Elle était jolie même si elle était crasseuse et quand il regarda ses pupilles elles étaient voilés… une aveugle…. Il faudrait sans doute lui trouver un bandeau, histoire qu'elle ne soit pas trop mal à l'aise… non, histoire qu'elle ne mette pas trop mal à l'aise…

« Allez ma fille, viens avec moi ! »

Elle était belle. Elle ferait un réceptacle de choix… il la porta  sur son épaule jusqu'au chariot qui attendait plus loin et l’enferma dans la cage ave les autre et l'indiqua au médecin… il l'examine avant qu'ils ne partent. Ils en avaient encore plusieurs heures. Qu’il l'emmène dans sa chambre à l'auberge, qu'il vérifie qu'elle allait bien, il reviendrait avant e partir. Que l'on ùette un garde en faction, cela pouvait servir.

Il ne revint à l'auberge qu'à la nuit tombée. Il partirait le lendemain matin. ON lui dit qu'on avait déjà monté son repas dans sa chambre, aussi monta-t-il sans attendre. IL enra dans la chambre et en profita pour regarder l'état de la jeune femme, elle était assise dans son lit et mangeait quelque chose… un bol d'une bouillie…

« Bonsoir. »

7

Prélude / Un nouvel esclavagiste [Valicidé !]

« le: mardi 03 mars 2015, 22:03:56 »

Nom/Prenom/Surnom : Sarkesh
Âge : Environ cinq cents ans
Sexe : Mâle
Race : Démon
Orientation sexuelle: Hétérosexuel

Description physique :
Grand et large d'épaules on ne peut pas nier que ce démon est bâti comme une armoire à glace… que vous dire de plus?Qu'il porte les cheveux longs ainsi qu'une barbe ? Oui, c'est vrai, c'est ainsi qu'il aime se présenter, torse nu, cheveux longs, barbe, nu comme au premier jour… il n'a aucune honte de son corps et pour lui, le naturisme n'est pas gênant… en même temps il n'y a pas de quoi le gêner… quelques cicatrices bien placées, des muscles bien dessinés, ce presque colosse a tout pour ravir ou effrayer, c'est selon la personne ne face… disposant d'un visage un peu dur, au menton sans doute trop proéminent pour vous, il dispose aussi d'une autre marque particulière sur le corps : sur les épaules, il dispose de deux marques symétriques par rapport au tronc : de marques rouges, tatouées dans une couleur qui n'est pas sans rappeler le sang… pourquoi ? Pour impressionner, bien sur !

Caractère :
C'est un démon… le caractère pourrait trop facilement se résumer à cela : fourbe, cruel et mauvais de nature, il ne s'en cache pas, pas plus qu'il ne se cache des penchants qu'il a pour la bonne chair, pour le sexe « faible » comme il se plaît à l'appeler… égoïste, pervers et dominateur, il ne cachera que rarement ses envies, d'autant plus quand elles sont logiques et limpides…
Égoïste, il est néanmoins loin d'être stupide et il pourrait aller dans votre sens si vous montrez des intérêts commun ou ses avantages…
Ah et il est très têtu… trop selon beaucoup, mais quand on a son ambition et sa volonté de puissance, il n'y a pas de raison pour y voir un désavantage… après tout, cela lui donne la patience pour le dressage et obtenir le meilleur de ses esclaves
Plein d'entrain et d'énergie, il a une forte tendance à la dérision et la moquerie, autant de lui-même que des autres...

Histoire :
Dans la famille,devenir esclavagiste, c'est une tradition. Mon père l'a appris de mon père qui l'a lui même appris du sien…. Bref, il s'agit d'une forme d'entreprise familiale… le meurtre aussi… mais ça je vous expliquerai plus tard ! Prenons les choses dans l'ordre. Je suis né il y a environ cinq cent ans de la troisième concubine de mon père. Il n'avait pas d'autre enfant, donc il m'apprit dès le plus jeune âge ce que je devais savoir pour un jour lui succéder. Ou plutôt, non, pour que je le tue… Oui, une tradition de meurtre je vous disais.

Père avait une manière bien à lui de voir les choses, il estimait que pour devenir fort, je devais gravir les échelons… ainsi, quand il me confia à mère, je crois que c'est là que ça a commencé à devenir compliquées. Vivre avec un collier au cou était difficile. Comment, je ne l'ai pas précisé ? Les concubines de père étaient des esclaves. Privilégiées, certes, mais des esclaves quand même ! Ayant un mode de vie assez nomade, je me retrouvais donc à devoir aider de tous les côtés, à devoir travailler sous la menace du fouet… c'est ainsi que dès le plus jeune âge, je forgeait mon corps dans l'adversité, la difficulté.

Je ne vais pas me dire que cela me donna de l'empathie pour les autres esclaves…. En effet, j'estimais toujours que l'on obtenait ce que l'on méritait dans ma vie, tout simplement. Je devenais grand adulte, alors que mes dons commençaient à se manifester… mère était une hybride, un mélange d'humaine et de divinité des sables. Comment elle était devenue esclave ? Je n'en sais rien, je comprenais juste que d'elle me venait certains dons, comme le fait que j'apprenne à me servir de lui à ma guise, à le modeler, à le manipuler… je crois que c'est le premier don qui s'est manifesté. Oh, les autres ont suivi, mais chacun à leur tour, en temps et en heures, comme si chaque don mettait en avant une nouvelle étape dans ma vie.

Je devais approcher de la soixantaine quand Père décida que mon temps d'esclavage était fini… c'est là qu'il commença à m'apprendre, d'abord à comprendre le dressage, puis à le pratiquer. Voyez-vous, chacun avait sa place dans le monde. Et eux, ils étaient au dessus. Au dessus de la masse grouillante des autres êtres… et c'était cela, dresser : ramener les autres à leur juste place.

Il m'apprit sa magie, la magie incube… bon, je vous l'avoue, pour cette magie, je n'étais pas franchement doué, c'était même tout le contraire ! Enfin, que voulez-vous. On ne peut être doué en tout n'est-ce pas ! Il passa presque un siècle à m'apprendre  toutes les ficelles de son métier. J’étais passé d'esclave à prince en si peu de temps que cela semblait incroyable et pourtant, je vous avouerai que cette folie des grandeur s'avérait tellement grisante que je ne pus m'empêcher d'en faire plus, d'en vouloir plus !  Et je finis par faire exactement ce qu'il avait fait avant moi. Je le tuais. Rien de bien glorieux, non, il n'y a nulle gloire à tuer quelqu'un dans son sommeil…

Le sable commença par s'infiltrer grain par grain jusque dans son corps, avant de sortir de toute part comme de minuscules balles de fusil, le transperçant de part en part ! Pour la suite, je me contentais de l'achever en séparant la tête du corps et je reprenais l'entreprise familiale, à sa tête, comme un véritable seigneur, continuant sans m'établir à errer, nomade, avec une suite. Je me débarrassais des trop proche collaborateurs, ceux qui m'auraient sans doute tués…

Je continuais ainsi à errer, apprenant de nouveaux savoirs, surtout dans les livres en ce qui concerne la magie… j'avoue que je m'y suis particulièrement intéressé… ; au final, j'ai trouvé là dedans la clé du renouveau de mon commerce. Un puissant sortilège oublié depuis des milliers d'années peut être, bon, j'en sais rien, mais la plaque de pierre était plus qu'ancienne… il s'agissait d'un sortilège pour emprisonner l'essence magique des être surnaturels dans un réceptacle à part, priver ceux-ci de ce qui les rendaient spécieux…

Petit à petit je commençais à en faire ma marque de fabrique, des esclaves sur mesure, avec ou sans dons, choisissez les corps puis les dons, et on vous mixe le tout… ingénieux, non ? Autant vous dire que mes affaires son pérennes ! Depuis ce temps j'ai bien prospéré et j'ai pu m'établir un ou deux pied à terre en dur histoire d’avoir des lieux où m'occuper du dressage en préservant les secrets familiaux !

Situation de départ : Très expérimenté

Autres :
- IL est cannibale et hématophage
- IL contrôle les sables
- Il dispose d'une apparence démoniaque autrement plus impressionnante que celle-ci, plus humaine.
- Il est virtuellement immortels
- Plus il vieillit plus il devient fort.
- Il dispose de rudiments de magie incube.
- Il dispose d'une bonne connaissance de magie noire.
- Il dispose d'un sortilège qui lui permet après un long rituel, de séparer l'essence magique de son hôte, et ce même rituel peut aussi jouer le rôle inverse.

Comment avez vous connu le forum : DC
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Niet