Sujets

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Les alentours de la ville / Des Ramen...

« le: jeudi 04 juillet 2013, 20:45:25 »

Il était tard, l’air était frais. C’était peu e chose, mais c’est ce qui le poussa à se ramener près de ce stand sans grande allure où l’on vendait ces nouilles japonaises dont il entendait toujours parler. Ça avait peut-être un côté exotique en occident, mais il ne fallait pas se tromper, c’était l’équivalent japonais du hamburger-frites, et ça n’avait rien de gastronomique. Mais bon, il était loin de chez lui, un brin fatigué et savait que son frigo était plus vide encore que son portemonnaie. Ce petit dîner aux Ramen était donc le moyen le plus aisé de trouver un peu de chaleur et de tordre le cou à la faim qui le harcelait depuis peu. Ha, il était bien misérable en cette fin de journée, mais ça n’était pourtant pas son habitude.

En témoignaient son costume trois pièces de prix, ses chaussures sobres mais impeccables, son teint frais et son œil vif. Il ne manquait pas d’argent, et n’avait pas l’habitude d’être dans une telle situation. Il ne se laissait pas abattre d’ailleurs, il préférait voir la chose comme une prise de contact éphémère avec la réalité. Ça lui tirait presque un sourire de se retrouver dans un lieu aussi banal et inintéressant. Près du stand, il planta ses baguettes dans le contenu de la boîte en carton et commença à manger. Il avait acquis un brin d’expertise dans le maniement de ces ustensiles depuis son arrivée, et s’en tirer assez bien à présent pour ne pas avoir l’air du touriste primaire dont les locaux n’avaient cure. À vrai dire, on voyait même à la façon dont il avait de se tenir, le dos droit, sans s’appuyer sur un quelconque support, qu’il abritait encore assez d’énergie pour répondre à l’étiquette qu’on lui avait inculqué dès son plus jeune âge. C’était en partie pour cela qu’il avait réussi à s’intégrer assez facilement au sein de la population japonaise : il avait un tel respect pour les traditions qui lui avaient été imposées qu’il n’avait aucun mal à étendre cette bienséance pour qu’elles conviennent aux normes du pays. Son accent était loin d’être mauvais, d’ailleurs, mais il n’avait jamais été mauvais en langues.

Non, au final, seule sa lenteur et les cernes visibles à la lueur des néons de l’enseigne arrivaient à donner une idée de sa fatigue. Il en avait assez, il voulait se reposer, tranquillement. Oui, il mangerait son quota de pâtes, puis il irait dormir. Déjà, il se promettait de faire les courses, le lendemain, afin de cuisiner par lui-même un repas digne de ce nom. Il retirerait aussi de l’argent, ce qu’il aurait dû faire en début de semaine… S’il n’avait oublié son portefeuille chez une conquête. C’était d’ailleurs la raison du périple qui l’avait épuisé ce jour-là.

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Le coin du chalant / Pornotopia (juste pour faire vulgaire)

« le: jeudi 04 juillet 2013, 19:59:05 »

Bonjour gente dame, gente damoiselle peut-être.

Je suis à la recherche de sujets Hentai. Ceux-ci se limitent, pour le moment, aux personnages humains, féminins. Lysandre aime dominé. (Possibilité de triolisme si proposition acceptable.)

Quelques trames, pour la forme :

1. Rencontre lors d'une soirée de ce qui prétend être la haute société, un désaccord entre Lysandre et son interlocutrice se résout sur l'oreiller.

2. Une rencontre inattendu avec un ancien amour estival mène deux jeunes gens à s'ébattre à l'arrière d'un train.

3. Deux amateurs de littérature érotique se découvrent par hasard dans un salon et décident de mettre à l'épreuve leurs connaissances du genre.

4. Lysandre tombe sur une jeune femme innocente et tente de la débarrasser de cette vilaine qualité.

5... Des idées ?

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Prélude / Lysandresque [Validora !]

« le: mercredi 03 juillet 2013, 01:36:16 »

Nom/Prénom/Surnom : Lysandre "Varan" Ovid

Âge : 25 ans

Sexe : Mâle

Race : Humain

Orientation sexuelle: Hétérosexuel

Description physique : Haut du mètre quatre-vingt qui le distingue habituellement de la population asiatique au milieu de laquelle il circule, Lysandre arbore en tout temps et en tout lieu son plus fier atour : un regard bleu sombre doté de la plus joyeuse espièglerie. Âgé de vingt-cinq ans, et loin d'être adulte, le loquace éphèbe que voilà a pour habitude de porter en toute occasion des vêtements de grand prix. Le costume cravate est pour lui un accessoire indémodable qui lui permet de souligner, non sans ironie, toute l'inconvenance de sa personne. Car cet apparat qui sied tant aux hommes du monde est chez lui un déguisement sans tromperie, une farce faite aux "businessmen" et autres "cadres" qui veulent faire de leur complet la marque d'un élitisme fâcheux. Lysandre porte ces vêtements pour rendre ses pitreries plus aberrantes encore et pour faire de ses fantasmes des désirs d'homme puissant. Son cheveux châtain clair se démarque à peine de sa peau légèrement hâlée et sa silhouette svelte est le signe d'un régime équilibré - la seule chose peut-être qui le soit chez lui.

Caractère : Lysandre se veut amical, mais ne l'est pas toujours. Indépendant, sans être rebelle, il répond par l'humour aux abus d'autorité et remet généralement en cause les abus de pouvoir. Ça ne l'empêche pas pour autant de couver quelques artistes conceptions du machisme sexuel, qui font de lui un grand dominateur à ses heures couchées. Il est plaisant à vivre pour tous ceux qui saisissent le jour à la racine, mais semble généralement puériles à ceux qui se targuent de leurs responsabilités. Le jeune homme est insouciant, parfois fleur bleu, mais généralement volage et aime à prendre son pied de quelque façon que ce soit, depuis la pâtisserie occasionnelle jusqu'à l'orgie générale. En toute occasion, cependant, ce brave jeune homme sait tirer profit du moment, soit en se distrayant, soit en s'offrant le plaisir d'une charmante rencontre ou d'une bonne rigolade.

Histoire : Petit, il vécut dans une grande bâtisse, aussi lumineuse qu'élaborée. Les étagères de la bibliothèque étaient en chêne et faisaient deux fois la taille d'un homme. Une gargouille ou trois gardaient l'entrée et la porte principale n'avait jamais à être ouverte par la maîtresse de maison. On avait des bijoux ancestraux, venus d'une noblesse oubliée, des vases coûteux issus d'une archéologie lointaine et la certitude que l'argent ne manquerait jamais. Son éducation fût riche dans tous les arts, mais on ne trouva que peu d'intérêt aux choses de la science, qui, bien que sources de revenus, n'était pas l’apanage de la très vénérable famille. Ici vécurent des peintres, vivaient des musiciens, vivraient des poètes. Il ne fallait pas s'abaisser aux choses du monde. Même la mathématique, pourtant si abstraite, était dépréciée, car trop contraignante dans sa pratique. On apprit à Lysandre que l'originalité était la ressource la plus rare, la plus importante, le prime objet de toute recherche. Le plaisir, pourtant, vint à satisfaire le jeune homme, qui très tôt déjà découvrit les choses de la vie et apprit, à l'aide d'aînées, les mystères de la chair. Aujourd'hui, pourtant encore jeune, il se plait à jouer les précepteurs à son tour, découvrant les beautés de leurs atours de tissu pour ravir leurs envies les plus charnelles.

Son surnom de "Varan" lui vint très jeune, alors que d'anciennes relations - elles mêmes assez jeunes - lui reprochaient d'être trop distant. L'idée du reptile ne mit pas bien longtemps à apparaître, et le varan sembla être le plus disgracieux d'entre eux. La chose amusa Lysandre plus qu'elle ne le vexa et, bientôt, le surnom lui resta, jusqu'à nos jours. Après avoir vécu une vie universitaire assez longuette, qui le mena jusqu'à la "Maîtrise", un diplôme dont le nom lui semblait bien pompeux, Lysandre se trouva confronté à une triste réalité : Un étudiant en littérature, aussi loin aille-t-il dans ses études, n'a pas pléthore de débouchés. C'est donc toujours sur les deniers de la famille, et avec un refus total de travailler dans un secteur qui ne lui convient pas, que ce jeune humain vit ses journées au Japon, un pays qui ne lui déplaît en rien, d'autant que la gente féminine y semble plus accueillante qu'il n'aurait su s'y attendre.

C'est sans doute la raison pour laquelle il aime à traverser la ville, de long en large, à la recherche de têtes inconnues qui pourraient, si l'envie les prenait, devenir intimes, sans pour autant être davantage que des connaissances. La proximité ne se fait pas toujours dans l'information, elle peut se faire par une voix charnelle, et c'est celle qu'il privilégie. Un train de vie assez houleux, s'il en est, mais qui le mène à vivre des moments d'extases auxquels d'autres se refuseraient. Le vent le porte, emporte sa voix, ce timbre délicat qui séduit tant que la douceur de ses mains et qui mènent dans son étreinte chaude et lascive l'innocence de quelques unes, et le stupre des autres.

Situation de départ : Expérimenté dans les limites de sa sexualité.

Autres : Nous verrons pour le reste... ensemble.

Comment avez vous connu le forum : "Forum Hentai RPG" + Google = Vous. Well done!

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Heu... Non. Désolé, je suppose.

PS: Je n'ai aucune idée d'avatar, si un membre avait la moindre idée, je verrais ça comme un accueil d'une chaleur délectable !

J'ai trouvé un avatar (avec quelques difficultés) grâce à un lien fourni par Peluche, donc,
Merci (quand même) Peluche !

Il s'avère qu'Itami a de meilleurs goûts que moi en terme d'avatars, du coup, je vais prendre celui qu'il m'a envoyé.
Merci Itami !