Sujets

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Les alentours de la ville / Alliance humain contre vampire! Pas vraiment [PV: Semper]

« le: mercredi 07 novembre 2012, 17:07:36 »

Tu peux croire ça, Shuni? La police militaire t’avait approché! Ils t’avaient nommée pour devenir un nouvel inspecteur, sachant qu’avec toutes tes années à observer les mouvements de tes ennemis en tant que sniper, tu serais douée pour trouver des éléments qui pourraient leur échapper. Est-ce que sa voulait dire que tu ne pouvais plus partir en mission, pour ton véritable travail? Non, tu n’as eut qu’une promotion, une tâche alourdie, sans pour autant empêcher tes occupations premières.

Peu de temps après que tu ais reçu ton badge, tes supérieurs t’ont confié ta première mission; depuis quelques temps, des soldats disparaissaient, sans donner le moindre signe de vie. Tu avais eut pour mission de retrouver les hommes, et les forcer à te dire la raison qui les a poussés à déserter. Malheureusement, tu savais que ce n’étais pas si simple.

Au fil des jours qui s’étendaient sous tes yeux, tu avais eut la preuve de ce dont tu redoutais le plus; tu avais trouvé le cadavre de chacun des cinq déserteurs, complètement vidés de leur sang, dans une seule et unique benne a ordure à 300 mètres d’un repaire de vampires que tu observais depuis quelques semaines. Naturellement, tu mentis et dis à tes supérieurs que tu n’avais pas avancé dans ton enquête, que c’était comme s’ils s’étaient envolés… Mais voilà, tu faisais le pied de grue depuis des jours, à quelques centaines de mètres de leur tanière, observant les allées et venues de tous ses membres.

Depuis le temps que tu les chassais, tu savais très bien que, pour mettre un clan de vampires en déroute, il fallait simplement couper la tête, c’est-à-dire tuer celui qui semblait être le chef. Tu savais qui était celui de ce clan, tu avais déjà tenté de l’abattre une fois, mais il avait rapidement détecté ta présence, t’empêchant d’agir. Une chance cette nuit là qu’il avait plus important à faire, car tu serais morte. Mais au lieu de ça, je suis l’émotion qui est ressentie à chaque fois que tu le rencontres : la rage, le désir de vengeance!

Soudainement, alors que tu te focalisais sur ton tir, une ombre passa dans la trajectoire, te faisant perdre ta concentration…  Braquant la lunette de visée de ton L96 AWP, tu suivis l’ombre qui semblait être une femme jusqu’à l’entrée de leur repaire. Bon sang, elle était courageuse celle-là! Ton rôle habituel étant le support, tu décidas de la laisser faire, assurant ses arrières si jamais quelque chose se produisait… Le problème, c’était que le soleil était sur le point de se coucher; Or c’est le pire moment de la journée pour un soldat dans ta position, il fait trop sombre pour pouvoir voir correctement, mais trop clair pour pouvoir utiliser la visée thermique sans te brûler la rétine… Il va falloir que tu sois meilleure que jamais, si tu veux protéger cette fille…

Tiens? Le doute s’installe!

Shuni, tu n’es pas si naïve, qu’est-ce qui te fait croire qu’elle est bel et bien là pour assassiner ce vampire? Peut-être est-elle un de ces hybrides, mi-humain, mi-vampire, qui patrouillait dans le secteur, et qui t’as vu!... Ah? Non, j’ai rien dit; elle ne semble pas vouloir le réveiller, mais plutôt l’endormir pour toujours… Attention! Il y a un sbire derrière elle!

Ton tir était presque parfait; trois centimètres à droite du cœur, en plein centre de la cage thoracique. Ça aurait tué un humain sur le coup. Le problème, c’est que ce n’était pas un humain; un vampire, tu l’atteins au cœur et il tombe en poussière, sans un son, rate sa pompe à sang répugnant et il va appeler ces potes, avant de se relever. Tu le sus lorsqu’il avait tombé, son corps entier secoué de violents spasmes. Le pire approchait.

Merde! Court ma belle, je vais te couvrir en lieu sûr

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Le coin du chalant / La sniper reprend du service!

« le: mardi 30 octobre 2012, 01:16:10 »

Salut à tous!

Je me permet de remettre Shunï sur le marché!

Hentai? Pas vraiment. Il faut avoir un solide Rp social pour ça... Combat, tout à fait. Elle est un Sniper, donc elle risque cependant de vous voir avant que vous ne la voyez

Ce perso est déjà parti en vrille quand j'ai essayé de faire comme Hiro, donc voilà, je veux quelque chose de différent.

Pour les trames, j'aime mieux attendre, pour voir ce que je pourrai y faire. Pour le moment, rien ne m'est arrivé en tête.

Au fait, n'ayant plus d'inspiration pour les anciens rps, je préfère les aligner et les descendre un par un dans la ruelle, désolé à tous mes partenaires... Mais je veux m'amuser, et c'est pour ça que je ne prendrai que des rps frais, sinon je risque de me faire ch*** (plus d'inspiration pour les rps déjà entrepris, soit dit sans offense pour mes partenaires!)

Voilà! A noter que je prends des rps autant avec les hommes qu'avec les femmes( en passant par les monstres!^^)

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Le quartier de la Toussaint / Tous les vampires sont mauvais... Vraiment? [PV:Iruka]

« le: mardi 17 janvier 2012, 20:27:25 »

Encore une fois, les deux vampires, qui semblaient être le maître et son élève venaient de faire une victime. Shunï les suivait depuis des nuit, à scruter leur moindre mouvement à l’aide de sa lentille de sniper, à un peu plus d’un kilomètre de là, où son odeur est camouflée par la multitude d’autres odeurs dans cette ville. Mais c’en était trop, elle ne pouvait plus se contenter de regarder ces deux erreurs de la nature se nourrir de qui ils voulaient impunément. Posant le doigt la gâchette, la jeune femme tira. Un petit rire, elle regarda le pantin désarticulé tomber au sol, la balle ayant sectionné sa carotide, alors que le plus jeune, paniquant, s’agenouilla auprès de son maître toujours vivant.

 
Descendant du toit sur lequel la militaire était perchée, elle se servit de l’ombre des bâtiments pour pouvoir passer inaperçue. Le sens olfactif de l’apprenti, le vampire étant encore très jeune, était de loin inférieur à celui du vampire âgé qu’était l’agonisant, il n’avait senti Shunï venir alors qu’elle n’était qu’à quelques mètres de lui, un couteau de chasse à la main.


Se retournant rapidement, la créature de la nuit fit face à la jeune femme, montrant les crocs et décrivant de grands cercles autour de la jeune femme. Shunï n’avait jamais été une grande adepte du combat rapproché, préférant voir sans être vue, mais ces dernières semaines, elle s’entraînait avec acharnement au combat au corps à corps, sachant très bien qu’il fût très difficile d’assassiner un vampire sans qu’il ne se rende compte de votre présence.


Donc, la voilà, la rouquine, dans de beaux draps, c’est ce que croyait le vampire, qui avait grandement sous-estimé la force de la jeune femme, et sur estimé la sienne… Envoyant un coup de poing vers la jeune femme, le vampire nommé  Ako poussa un hurlement de douleur. À peine le coup évité que Shunï avait emprisonné le bras de son adversaire en l’entourant du sien, pour finalement lui traverser le biceps de son long poignard. Fléchissant les genoux pour éviter le coup que portait le vampire de son bras encore intact, la militaire coupa l’intérieur des deux cuisses de l’immonde avant de se relever et de trancher la gorge de la créature, qui tomba à genoux.


T’es nul, pour une créature surpuissante


D’un petit sourire satisfait, Shunï posa la pointe de sa dague à son cœur, avant d’exercer une pression, insérant la lame dans le corps de son adversaire, qui disparut en fumée suite à un horrible cri.



Se retournant, la TDE put voir le vampire ‘’sénior’’ qui tentait de se relever, malgré la douleur de voir presque tout son sang s’échapper par la carotide. Sans plus de manière, Shunï s’approcha de l’homme à genoux, avant de lui faire subir le même sort qu’à son élève. Toussotant légèrement à cause de la poussière créée par la disparition des vampires, la rouquine fit le tour sur elle-même, regardant là où se trouvaient ses ennemis, relativement fière d’elle-même.


Deux ordures de moins sur la planète, elle est maintenant plus sûre. Pas de beaucoup, mais l’humanité a fait un pas vers l’avant.


Soudain, sans un bruit, un allié à ceux qu’elle venait tout juste de rendre à la terre se jeta sur elle, comme un fauve enragé, l’assommant contre l’asphalte. Elle ne put voir le visage de son agresseur avant de tomber dans les pommes, ni de constater que c’était une femme. Mais elle était plus qu’un vampire femelle; c’était la mère et la femme des hommes que Shunï avait tué.


Qu’allait-il arriver à la jeune femme? Si elle avait été consciente, elle aurait maudit le ciel de ne pas lui avoir laissé plus de temps pour accomplir sa vengeance.

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Les alentours de la ville / Halte!... [PV: Voodoo]

« le: lundi 16 janvier 2012, 18:50:45 »

C’est honteux! Mais tu veux bien me dire ce que j’ai fait de mal pour qu’on m’envoie faire les guets? Je fais partie du groupe Echo qui vont faire une mission pour capturer un chef du cartel de drogue le plus sérieux au Japon, et je dois me taper des : "Regarde, un intrus! Oh, non c’est un rat… tire dessus!" C’est vraiment rageant!


Ça, c’est le gros défaut de Shunï Azikamü; une fois contrariée, la jeune femme se met à maugréer contre tout ce qui a été fait ou dit dans les derniers instants. Mais cette fois, selon l’officier en charge du groupe Echo, elle avait été trop loin en sortant en douce pour mener une mission qu’elle seule connaissait l’existence… Depuis le camp de formation où elle avait été l’institutrice, où elle continuait à l’être, mais seulement avec des militaires qui ne lui feraient pas perdre son temps, Shunï menait une mission de haine contre les vampires, comme si quelque chose c’est produit pendant ce camp, quelque chose qui avait complètement bouleversé sa vie et maintenant, elle s’était mise en tête de ne plus laisser de vampire vivant près d’elle… Sauf que c’était une mission illégale, et l’armée aurait dû sévir, mais ce n’était pas dans les plans de la garnison de Seikusu de se départir d’un de leurs meilleurs tireurs… Grommelant encore pour elle-même, elle scrutait l’horizon, à l’extérieur du grillage barbelé, jetant un œil sur l’intérieur du camp.


Celui-ci semblait tout à fait à un camp provisoire normal; les grosses tentes vertes semblaient prêtes à foutre le camp au moindre coup de vent, mais tous savaient qu’elles étaient très résistantes. Le filet vert, recouvert de végétation  pour tromper les yeux dans le ciel, complétait vraiment le cliché du portrait d’une base militaire, vu dans à peu près tous les films. La raison pour laquelle cette base, pourtant permanente, avait l’allure d’un camp militaire provisoire, c’était qu’il fallait montrer aux recrues à se déplacer dans ce genre de campement. D’ailleurs, le camp était situé au dessus d’un laboratoire souterrain de recherches militaires pour des armes plus puissantes, humvees moins polluant et possédant une meilleure autonomie, ect. Et c’était précisément ce que les tireurs protégeaient, nuits et jours, depuis maintenant quinze ans.


Une ombre avait attiré l’attention de la TDE, qui scrutait momentanément la partie intérieure de l’enceinte. À cette distance, même si elle touchait sa cible, ça allait aisément traverser et alerter la garnison au complet. Or, elle avait déjà fait assez de vague pour cette année… Posant son fusil de précision au sol, elle attrapa le famas qui était accoté contre la rambarde avant de descendre rapidement l’échelle, l’arme accrochée à son épaule.


En silence, elle s’approcha de la silhouette, qui ressemblait de plus en plus à une femme de dos, à chaque mètre franchi. Une fois assez près, elle arma son fusil d’assaut, faisant détoner un « Cric » guttural, et alluma la torche intégrée.


Halte! Lieut… Sergent première Classe Azikamü… Vous êtes en territoire militaire japonnais, veuillez décliner votre identité, ou je fais feu!


Eh oui, ils ne s’étaient pas contentés que de lui donner une tape sur les mains, ils avaient même retiré ses galons de lieutenant…

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Vous nous quittez déjà ? / Panne d'inspiration

« le: mardi 06 décembre 2011, 16:57:57 »

Voilà, je dois me défaire (pour un certain temps) de Shunï, je n'ai plus une seule goutte d'inspiration pour ce compte, je crois que je l'ai modelée trop à la hâte, je n'ai pas su m'imprégner de son caractère. Je vais donc devoir revoir ma vision de Shunï, et je vais faire un retour, lorsque je serai convaincu de ce personnage.


Vraiment désolé à toutes les personnes avec qui je Rpais, ou que j'avais promis un RP (Spécialemetnt Iruka). Mais dites vous que ce n'est pas un Adieu, peu importe le temps que je vais prendre pour revenir sous le nom de Shunï. Vous me verrez probablement sous un autre nom...

Oh et puis merde, au diable les secrets! Cet autre nom sera celui d'Hiro Atayoshi

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L'Art / Demande pour une âme charitable

« le: samedi 19 novembre 2011, 21:15:16 »

Bonjour!

Étant donné que je suis nulle en création de signatures, je demandes à une âme charitable de me faire un kit!

Le paiement sera ma reconnaissance éternelle! (Ainsi qu'un remerciement publique sous la signature  )

Donc pour les images j'avais pensé à

Celle-ci
;

Celle là;

J'aime bienne aussi elle

À noter: Les trois images qu'il y a là ne sont que de simples propositions, si vous avez mieux, je suis ouverte!

Merci d'avance!


Edit: Voici deux nouvelles images qui me plairaient beaucoup! (Gros merci à Loona pour me les avoir montrées!)

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Les alentours de la ville / Tiens une nouvelle institutrice? [Pv: Boris]

« le: mercredi 02 novembre 2011, 01:33:16 »

Le Mp3 sur les oreilles, Shunï fonçait sur son vélo dans la voie réservée expressément pour ces engins à deux roues, située entre le trottoir et la rue, se dirigeant vers le camp paramilitaire, en dehors de la ville. Elle avait fait sa dernière mission il y a de ça deux mois, et l’index commençait à lui démanger… Mais ce n’était pas pour ça qu’on lui avait demandé de se rendre à la base, un Lundi matin à six heures tapante. On lui avait demandé de devenir l’institutrice de certaines recrues TDE, pour un mois entier. Ce n’était pas le meilleur  job qu’un tireur d’élite pouvait avoir, mais elle ne s’en plaindrait pas, tourner en rond dans son appartement allait la rendre folle, d’ailleurs, à ce qui parait, l’armée avait fait une journée de porte ouverte, la semaine précédente, histoire d’avoir quelques inscriptions en plus. En effet, il semblait bien que certains civils avaient décidé de s’inscrire pour une séance complète, un mois, à voir exactement ce que les soldats subissaient. Évidemment, ils ne pouvaient pas avoir un entrainement complet, ils devaient choisir une discipline, TDE étant l’une de celles-ci.

Bon, allez, ressaisi-toi, ma vieille, ou tu vas te ramasser devant tes étudiants!

Le feu était tombé vert pour les vélos avant même qu’elle n’ait eut le temps de ralentir, elle était trop loin pour l’avoir fait avant. Elle ne pouvait pas prévoir qu’un ouvrier de la ville était en retard  et qui avait décidé de brûler le feu rouge…

La voiture heurta de plein fouet la roue arrière de Shunï. Alors que le vélo s’envolait dans un sens alors que la rousse tombait dans l’autre. Si elle avait ralenti, elle serait probablement allongée sur le capot de la voiture en ce moment, mais, par chance, elle s’en tire avec simplement quelques petites égratignures au niveau des genoux et des mains. Pleine d’adrénaline, elle se releva, alors que le conducteur sortait de sa voiture, fou de rage.

BON SANG, MAIS REGARDES AVANT DE FAIRE QUELQUE CHOSE D’AUSSI DANGEREUX!

Sans répondre, elle marcha rapidement jusqu’à sa hauteur…Avant de lui mettre son poing au visage. Le pauvre bougre, ne sachant pas à qui il avait à faire,  n’aurait pas dû tenter de mettre ce qui était arrivé sur son dos. Maintenant, il était étendu au sol, le nez cassé, du sang  tachant l’asphalte gris.

Ne grilles plus les feux rouges, tu veux?

Jetant un coup  d’œil à son vélo, Shunï se dit qu’elle manquait de chance; il était inutilisable. Soupirant, elle marcha jusqu’à un arrêt de bus, laissant son moyen de locomotion et l’idiot où ils étaient, bien décidée à ne pas attendre l’arrivée des policiers. Tiens? Voilà le gros engin bruyant et malodorant qui apparait au coin de la rue, au moins lui n’est pas en retard!

Montant dans le bus, elle déposa un billet de 20 Yens dans la jarre.

Je vais à la sortie de la ville… Combien de temps ça va prendre?

20 minutes.

Alors qu’elle vérifiait l’heure indiquée sur son Mp3,  un air lourd tomba sur son visage; il était 5 heures trente… Lorsqu’elle arriverait  à sa base, après encore une dizaine de minutes de marche, et ce, si elle courrait, il lui resterait à aller s’enregistrer à l’accueil et se rendre à la salle de cours. Bon sang, quand on dit que les choses arrivent mal!

Après la vingtaine de minutes de bus, qui avaient plus semblé être des heures pour la militaire, elle descendit les trois marches  avant de retrouver le sol de béton et de se mettre à courir  en direction de la base.

Soufflant, Shunï écarta les portes de verre de son chemin avant d’arriver vers la secrétaire, qui la regardait froidement.

Li… Lieutenant Azikamü… Je… dois donn… donner un cours à des recrues… un cours de TDE

Sans vouloir vous offenser, Lieutenant, vous êtes en retard et semblez bien essoufflée, c’est sur cet étage couloir 4, troisième porte à droite.

Après un petit sourire de remerciement, elle fonça vers la classe trois du couloir quatre. Par chance, il n’y avait personne dans les couloirs, elle ne voulait pas avoir à se confondre en excuses pour avoir bousculer un Major alors qu’elle était en retard pour son propre cours… Ce n’était pas digne d’un Lieutenant décoré!

La jeune femme s’arrêta tout juste avant d’arriver à la porte de sa classe, dans le but de reprendre son souffle et de ne pas montrer à la classe qu’elle s’était dépêchée. Expirant une dernière fois, elle entra dans la pièce, droite. Posant son sac en bandoulière sur le bureau, elle jeta un coup d’œil à la classe. Quatre hommes y étaient dont deux  étaient debout, droit comme des barres de fer, saluant leur professeur.

Repos, et rassoyez vous… N’êtes vous pas censés être six?

Ils ne sont toujours pas arrivés! Mon lieutenant!

Sur ces propos, un homme aux cheveux blonds et un autre au crâne rasé entrèrent dans la pièce,  saluant l’institutrice avant d’aller s’asseoir sur les deux chaises encore libre. Souriant légèrement, je croisai les bras, les fesses posées sur le bureau, face à mes six nouveaux élèves.

Je suis le lieutenant Shunï Azikamü, je serai votre institutrice pour le prochain mois dans la classe de TDE.

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Le coin du chalant / Premier RP

« le: mardi 01 novembre 2011, 20:43:02 »

Bon, donc, comme j'ai été validée, je demande un RP ( ou plusieurs )

Partenaire: 1-2

Qualité de langue: Aucune en particulier, tant que l'histoire avance

Idées de trame: Je n'ai pas vraiment d'idée, je m'adapte à pas mal toutes les  trames. Ma seule condition est qu'il faut que ça se passe sur Terre, Shunï ne connais pas Terra.

On pourrait parler d'une rencontre fortuite,  ou encore vous voulez apprendre les rudiments du tir à l'arme à feu...

Je tiens à préciser que ce ne sont que de simples idées lancées en l'air comme ça, si je vous intéresse Pmez moi et on pourra bien s'arranger

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Prélude / Echo 8-5, Au rapport! [Valiplantée!]

« le: mardi 01 novembre 2011, 17:43:23 »

Nom : Azikamü 

Prénom : Shunï 

Surnom : Echo 8-5, lors de ses missions 

Âge : 26 ans, c’est encore plutôt jeune pour une Lieutenant.

Orientation sexuelle :
Lorsqu’elle porte l’uniforme, elle est Hétérosexuelle. Lorsqu’elle le retire, elle est une bisexuelle affirmée.   

Caractère :
En fait, le terme ‘’militaire’’ exprime tout ce qu’il y a à savoir sur le caractère de cette jolie rouquine, pour plusieurs raisons : À l’armée, l’ordre est de rigueur, elle a donc appris à détester toute forme de saleté ou encore de désordre, son appartement dans le centre-ville de Seikusu en est un parfait exemple; il est toujours immaculé. Une femme dans l’armée, ça doit avoir un caractère des plus forts, sinon ses camarades ont vite fait de lui saper le moral; Donc, comme beaucoup de femmes qui ont décidé de grimper les échelons dans ce métier, elle a su se construire une armure d’indifférence face à ses collègues masculins. Elle éprouve même un malin plaisir à leur faire remarquer qu’elle est meilleure qu’eux dans certains domaines.

En dehors de l’armée, Shunï est une femme tout à fait adorable; elle n’a pas peur de sourire, de faire la fête. C’est une femme tout sauf intravertie, qui n’a pas peur de dire ce qu’elle pense, ni de charmer homme ou femme.

Lors de ses missions, elle fait preuve d’un sens de la détermination que peu peuvent se vanter d’avoir, ce qui l’amène à souvent devoir tirer dans des situations plus ou moins périlleuses, ou encore à se dévoiler pour pouvoir accomplir sa mission.

Physique :
Ne vous fiez pas à la photo qui a été prise lors d’une fête, organisée par ses collègues de l’armée, elle n’est pas toujours vêtue ainsi. Généralement, un chandail relativement décolleté ainsi qu’une bonne vieille paire de jeans avec ses bottes d’armée,  montant jusqu’à la moitié des mollets, constituent son habit de tous les jours.Pour les soirées, elle a sa robe noire fendue à partir de la cuisse gauche.

Côté physique, elle est semblable à toute autre femme dans le domaine militaire; taille fine, corps recouvert d’une fine musculature, surtout au niveau des jambes. Du haut de ses 175 centimètres, ses yeux couleurs noisette vous regarderont parfois avec fermeté, ses fins sourcils froncés, parfois avec tendresse, ses petites lèvres esquissant un sourire. La rouquine passe très peu de temps à s’occuper de ses longs cheveux, se contentant de les faire tenir en queue de cheval, qu’elle attache généralement avec un élastique jaune,et retient une mèche rebelle à l'aide d'une pince à cheveux, ornée un joli crâne sur le dessus.

Les messieurs voudront probablement avoir les mensurations de celle-ci? Eh bien soit. Peu de graisse recouvre le corps de la jeune femme, la majorité se concentrant au niveau de la poitrine. Celle-ci est peu corpulente, mais juste assez pour qu’on puisse la remarquer. Grâce à ses années d’entraînement, et bien malgré elle, les fesses de Shunï sont rondes, plus grosses que la moyenne, et c’est ce qui constitue son complexe; elle préférerait ne pas en avoir que d’avoir celui là.

Cependant, ce n’est pas une femme qui est mal dans sa peau, elle sait qu’elle est belle, et peut même utiliser ses charmes pour pouvoir se sortir d’un mauvais pétrin.

Histoire :
Ses parents étaient pauvres; son père, un simple soldat, et sa mère qui ne savait rien faire d’autre que de s’occuper de sa fille unique et d’entretenir la maison, il était difficile de pouvoir joindre les deux bouts, mais ça n’a pas empêché la petite rouquine d’avoir une belle vie, avec l’amour de parents qui étaient là pour la supporter dans ses peines, célébrer avec elle dans ses joies… Non, l’argent ne fait pas le bonheur, et c’est ainsi qu’on peut le prouver.

Dans ce temps, c’étaient les années tranquilles au Japon pour les soldats, il y avait très peu de guerre ou encore de manifestations, ces derniers étaient donc simplement payés pour s’entraîner, juste comme précaution, une police d’assurance pour le pays que personne n’oserait s’attaquer à eux, le souverain étant un pacifique, il n’irait jamais trahir ses convictions profondes pour simplement s’emparer d’un bout de territoire. Cependant, le général des armées et bras droit du dirigeant du bout de terre qu’on appelle Japon, voyait autrement plus grand et, après plusieurs efforts, réussi à convaincre son chef de partir en guerre contre la Chine, qui était soupçonnée de préparer une invasion. Toutes les troupes étaient appelées à prendre les armes et se diriger vers le port de Niigata, où des bateaux les attendraient pour défendre leur pays. Malgré l’effet de surprise, le Japon avait pris la raclée du siècle et avait subi de lourdes pertes sur les terres chinoises.

Des vingt mille soldats qui avaient quittés le port, quelques mois auparavant, cinq mille huit cent soixante quatre en sont revenus. Shunï avait seize ans lorsque son père est parti en Chine pour trouver et détruire des armements massifs, elle ne l’a plus jamais revu depuis. 

Deux ans, c’est le temps qu’elle et sa mère ont pris pour faire leur deuil. Mme Azikamü a réussi à tourner la page en faisant le ménage et en travaillant dans une usine de Tôkyô, mais ce n’était pas le cas de sa fille majeure. Celle-ci avait donc décidé de faire quelque chose d’impensable pour une jeune femme qui avait perdu son père à la guerre, devenir soldate.

Tu es nulle en combat rapproché, Shunï. Toi, ton truc, ce sont les armes à feu… J’aurais peut-être un poste assez intéressant pour toi…

Même si ça lui avait fait mal de savoir que son évaluateur lui avait dit qu’elle ne serait jamais douée en combat à mains nues, elle avait accepté de suivre des cours pour devenir TDE, un tireur d’élite. Après seulement quelques mois, elle avait passé de recrue de front à TDE recrue, et elle y prenait goût. En fait, dès son premier tir avec une dragonuv à lunette ajustable, elle était devenue accroc.

À 18 ans elle a commencé le programme et à vingt ans elle fût diplômée, mais il fallait à présent trouver un endroit où habiter. Il y a plusieurs raisons qui ont poussé Shunï à venir s’installer dans le village de Seikusu, après l’obtention de son diplôme de l’école militaire japonaise, mais la plus convaincante était qu’elle avait toujours vécu ici. Donc, une fois bien installée dans un petit appartement dans le centre-ville, elle commença sa vie de TDE, une mission à la fois.

Six ans, une vingtaine de missions et quatre grades plus tard, elle s’occupe désormais d’une classe de six recrues TDE à sa base militaire, située à trente minutes de vélo de Seikusu. La suite? À vous de voir…

Autre :
Elle possède un tatouage : Les trois lettres « TDE » en écriture stylisée, de couleur turquoise, à l’intérieur de la cuisse droite. Elle ne sort jamais sans son couteau de chasse bien à l’abri des regards dans son sac à main noir.

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