Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Darlyne

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Darlyne se leva se matin sous un pont adjacent au lycée de Seikusu, c'était d'ailleurs la sonnerie des débuts de cours qui servit de réveil-matin. Aussi elle prit ses  maigres affaires et partit à la recherche de son repas du midi, en effet Darlyne ne mangeait jamais le matin, car la plupart des sans domicile comme elle sont plus actif le matin que le soir.

C'est un autre mode de vie qui se défend.

La demoiselle se faufile aisément dans la foule qui la fuyait par l'odeur des loques qu'elle portait, une robe avec plein de trous et des bandages pour masquer autant que possible son intimité et sa poitrine. Même s'il n'y avait pas grand chose à cacher pour cette dernière qui était petite.

Elle finit par truover le chemin d'une grotte qui est un vrai labyrinthe, sauf pour l'humaine qui connaissait le chemin par coeur, débouchant sur une nappe phréatique où elle trouva un savon et du shampoing, les deux ayant été volés.

Elle prit son temps pour laver son corps et ses affaires, puis une fois ceci sec, elle se dirige vers le centre commerciale. Mais le garde surveillant les lieux n'accepta pas que Darlyne passe, craignant qu'elle ne vol, chose qu'elle allait faire pour manger.

Elle resta devant le cente commerciale et attendit la fermeture, elle avait fait du coup une diette pendant la journée et son ventre grogna, torturant la demoiselle pour avoir quelque chose dans l'estomac, peut importait quoi, même quelque chose d'indigeste ou qui n'a pas pour but d'être mangé.

Aussi la demoiselle monta sur une gouttière, sa blessant la plante des pied sur les raccords métallique qui coupait la peau sous le poids du  corps, une fois sur le toit le plus bas, elle arracha un câble électrique, non sans devoir finir les raccord en utilisant ses dents, laissant un horrible goût de gaine et de cuivres, sans compter les châtaignes qu'elle se prenait de temps à autre.

Une fois cela fait, elle accrocha un bout et fit pendre le reste à travers un velux ouvert, elle descendit, mais se trouva à bien deux mètre du vide, aussi elle lâcha prise, se réceptionna et une horrible douleur parcouru sa jambe gauche, du fait de sa faible alimentation son corps s'en trouvait faible, hors Darlyne avait jouée avec le feu et maintenant elle c'était brulée.

Elle marcha donc, en boitant, vers les poubelles, cherchant quelque chose à manger, elle fit ceux du supermarché, mais elle vit que les produits étaient imbibé de javel, encore une chose qu'elle déteste, pourquoi empoisonner une nourriture qui n'avait pas été vendue et qui serait mieux dans le ventre d'une personne, plutôt que détruit par un produit chimique. Elle changea donc d'endroit, allant vers les traiteurs, là il n'y avait rien, Darlyne vit ensuite un poubelle qui était assez bien remplit de nourriture vers le fond, aussi elle mit la mains à la pâte pour retirer ce qui ne rentrerait pas dans sa bouche ou serais trop dangereux à manger, bien sur n'importe qu'elle nourriture n'entrait dans aucun de ses critère, c'était de la nourriture cela peu importait sa date de consommation.

Elle finit par avoir ce qu'elle cherchait et fit un inventaire rapide pour savoir si cela risquait d'attirer d'autre rapace ou non. Elle trouva donc une bouteille d'eau encore pleine, un sandwich crudité avec un peu de moisissure et d'insecte, une pomme complètement pourrie.  Pour la plupart des gens manger cela serait répugnant, voir même impossible, pour Darlyne il s'agissait avant tout de survivre. Elle prit la nourriture et s'installa près d'un banc, puis elle se mit à fractionner sa part en huit, quatre qui servirait de paiement pour être tranquille, deux pour demain, un pour le cas où les autres journées soient mauvaises et la part d'aujourd'hui.

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Prélude / Darlyne Sague [valifreizh]
« le: mercredi 19 mai 2010, 22:56:06 »
Mon nom, vous voulez savoir mon identité, je m'appelais Fiona Mc Furry, mais c'était il y a bien longtemps ... depuis six ans pour être précis. Maintenant c'est Darlyne Sague. Je suis âgée de 16 ans, même si des fois j'ai l'impression d'avoir vécu plusieurs millénaires, je suis une humaine ... oui ... une simple humaine qui ne possède aucun don, même pas celui d'oublier. J'ai tellement vu de personnes que je n'arrive plus à savoir si les hommes ou les femmes m'attirent plus que les autres ...  et après tous je ne suis rien et ils ne doivent même pas me voir.

Je ne suis pas comme les autre filles, à se pouponner devant une glace, j'ai toujours voulu avoir l'apparence d'un mannequin, mais cela n'a pas été possible, du coup je me contente de se corps dont je doute dès fois même de son existence, pensant que je l'ai sans doute volé à quelqu'un ou encore qu'il va se désagréger quand la pluie tombera. Cette enveloppe fait 1m60 et du fait de mon faible appétit je suis dans les alentours de 45 Kg, mais bizarrement c'est ma poitrine et mes fesses qui ont été réduit de taille, mon épiderme est légèrement rosée mais pas de quoi me faire passer pour une poupée ... dommage. J'arrive même pas à me décrire parfaitement c'est désolant. Bon continuons tous de même, mes bras et mes jambes sont tellement fines que si une personne venait à les toucher, elle sentirait presque directement les muscles et les os. Je crois qu'il ne reste plus que mon visage, pour faire simple j'ai des cheveux courts et des yeux tous deux couleur noisette, même si la couleur est plus intense dans ses yeux ayant trop regardés.

Comme vous l'aurez vite constaté, je ne brille pas pour être une file optimiste, je suis réaliste, usant de ce que j'ai vu, de mon expérience personnel, je ne suis pas non plus une de ses fille qui va s'ouvrir les veines dans la salle de bain, cela serait tous simplement choisir la voie de la facilité. Je n'attend rien de la vie et la vie ne doit pas non plus attendre grand chose de moi. Je ne haïs pas les humains, car j'en suis un, je ne les blâme pas car ils ne feraient pas ça pour moi, je reste là à voir le monde qui m'entoure s'écrouler sous la corruption, l'argent, magnifique chose qui attire la religion et tout autres raison de faire la guerre. Je ne crois pas avoir peur de la mort, pour cela il faudrait que je passe dans l'au-delà, mais je cherche une chose qui m'est précieuse, même si je l'ai perdue il y a très longtemps. Je peux tout aussi bien être une gamine que parler comme les personnes du troisièmes âge.

Dès le départ je n'est pas été choyée comme la plupart des enfant, mon père était partie depuis bien avant ma naissance, quand à ma mère, elle me désigna comme la source de tout ses malheurs, quand elle n'arrivait pas à trouver du boulot, quand elle n'avait plus d'alcool ou de cigarette, c'était toujours et encore de ma faute, et si j'osais seulement verser une larme ou crier elle me battait davantage.

chaque jours était une épreuve de survie, quand elle me faisait prendre le bain, elle essayait de me noyer, elle mettait de temps à autre du cyanure dans ma nourriture, je ne sais quelle étoile brillait au-dessus de moi à se moment mais il me fit éviter le pire, sans pour autant m'épargner de longue années de souffrance. Bizarrement je n'arrivait pas à mourir, sans doute cet instinct de survie que l'on développe tout petit, de six à dix ans je subit mes pires sévices, dont je ne garde maintenant aucune trace, sauf dans mon esprit.

Se fut un nuit en pleine hiver, je m'en rappelle encore car la neige recouvrait tout, y comprit mes plaies, car j'avais encore été la cause des malheur de ma mère, du coup j'étaie couvert de coupure et nu dehors, dans le jardin, il faisait froid et les flocons de neiges me procurèrent un apaisement après légèrement me piquer aux plaies. Le spectacle fut ignoré par presque tout les voisins, préférant détourner les yeux que voir ce qui se trouvait sous leurs nez et une mère appela les policiers.

Dès cet instant je fut placée en famille d'accueil et l'assistante sociale vint même à changer mon identité pour éviter de subir une vengeance de ma mère biologique. Je vécu une vie plus paisible, je ne recouvra l'envie de parler ou de communiquer qu'à quatorze ans. Tout ce que je faisait avant c'était des gestes de la tête pour dire oui ou non, rien de plus rien de moins. Bien sur je n'était pas dans un état assez solide pour suivre des cours normalement, les souvenirs de mon anciennes vie me rongèrent tellement que je fit plusieurs fois des crises de folie hurlant à la mort me griffant la peau jusqu'au sang et mordant sauvagement quiconque voulait m'empêcher de me faire du mal.

Se fut lors d'une de ces crises que je me retrouva à plus de dix kilomètres de chez moi, dans un endroit paisible où il n'y avait personne,pas de bruit parasite.

Je passa donc deux ans à me balader et observer chaque gestes, chaque paroles des personnes que je croisais, seulement, plus je le faisait, plus cela me déprimais, rien de joyeux, un mariage ... chouette ... et plus loin on parlait d'enterrement.

Aujourd'hui je suis encore à la rue, je ne sais pas où je vais dormir, sans doute sous un pont ou un banc. vivre de cette manière n'est pas viable pour la santé, mais elle renforce l'instinct de survie et la résistance, surtout quand on mange un hamburger qui date un peu.

Actuellement je suis  vierge, mais ma mère biologique m'a tellement fait de mal que je ne pourrais sans doute plus faire d'enfant, c'était l'avis du médecin qui m'avait examiné.

Comme je l'ai dit je n'ai pas de pouvoir, juste une très grande endurance aux sévices, une déprime constante et un estomac solide. Je parle aussi très peu et je déteste par dessus tout raconter ma vie que je haïs.

Je suis une doublette, voir plus, mais cela faisait un moment que j'étais pas venu, donc je met les autres au placard en attendant.^^


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