Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Slave Prime

Pages: [1] 2 3
1
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 10 mars 2015, 12:10:51 »
Tu as un humour de merde, connard. è_é

(J'aime bien Slave, en fait. Mais putain, j'ai l'impression que je ne sais plus jouer les méchants éè)

12h10

2
Le volcan et les terres de feu / Re : Step by Step [Slave Prime]
« le: mardi 10 mars 2015, 12:09:44 »
Un simple baiser ? Il n'y avait décidément qu'elle pour pouvoir se permettre de refouler mes avances sans avoir à en craindre une seconde les conséquences. Je goûtais à ses lèvres sur lesquelles ses combats avaient déposé des perles de sang et la laissait retourner au cœur de la bataille, valkyrie implacable et immaculée qui virevoltait parmi les légions adverses pour les faucher de sa lame agile. Il n'était plus question d'une vaporisation énergétique lancée de ma seule paume, à présent. Si Lady Death se tenait au centre du maelström, je devais me contenter d'une offensive plus subtile dans laquelle ma maîtresse ne serait pas prise. Autour de moi, les troupes de ma sensuelle derviche de mort se heurtaient aux hordes sataniques qui déferlaient comme une marée hurlante prête à emporter le royaume que nous défendions. Les premières lignes furent de nouveau sur moi et je n'eu qu'à refermer mes poings pour que l'aura rouge sanguine de mes pouvoirs ne se mette à crépiter pour me rendre les longues lames effilées avec lesquelles je m'étais battu jusque là. Puis ce fut mon tour de hurler en me jetant dans la bataille avec rage, tranchant les chairs et répandant les viscères en balançant mes coups. Quelques démonettes se retrouvèrent à vouloir m'acculer mais ne trouvèrent que les affres de la mort quand je délivrai de la main un arc d'énergie explosive qui détruisit en me laissant le champ libre pour reprendre le fil de mon assaut. Vindicatif et barbare, je fendais les troupes ennemies comme un fléau nimbé d'ombre et de sang, ne laissant dans mon sillage que des corps fendus par mes lames jumelles dont la trace légèrement luminescente se lisait dans l'air avant de disparaître tranquillement.

Plusieurs
Tychrédons, de misérables démons à l'aspect bâtard oscillant entre l'homme, le calamar et l'insecte en virent à réussir à m'encercler. Leur carapace résistante et la puissance de leurs pinces capables de scier un humain en deux ne tardèrent pas à me mettre en difficulté. Si je les exterminais d'une technique plus puissante, les minions de ma Lady seraient pris dans le feu de l'un de leur alliés. Non pas que j'entretenais pour eux un quelconque sentiment de camaraderie, mais notre maîtresse serait elle probablement affectée par leur perte. Résolu à ne pas l'attrister, je me retrouvais à lutter dans un affrontement de plus en plus inégal qui décuplait la rage grondante qui me ravageait déjà les tripes. Le goût du sang avait laissé place à une frustration terrible, celle de ne pas faire état de l'ensemble de mon inestimable pouvoir. Moi, Slave Prime, condamné à affronter ces chiures et à me laisser blesser par elles ? MOI, réduit à éprouver la douleur et le doute comme n'importe quel mortel ? J'en hurlais à plein poumons, à m'en enflammer la gorge. Mes lames se fondirent en une silhouette d'épée unique à la lame large et longue avec laquelle je parvins à abattre trois Tychrédons avant d'en tuer un quatrième puis un cinquième à l'aide d'un rayon perforateur né du bout d'un de mes doigts. J'en étais à hésiter à désobéir à un des ordres de ma souveraine quand sa voix m'intima un nouvel ordre avec empressement. Colmater la brèche.
Ainsi finissait le jeu ? Tourbillonnant sur moi-même, je fis place nette autour de moi pour m'envoler comme une étoile écarlate au dessus du champ de bataille sur lequel Lady Death se détachait clairement, écrasant ses adversaires avec l'éclat sombre de la terrible putain infernale qu'elle était. Je sentis poindre une érection violente tandis que je filais à travers les cieux pour rejoindre le volcan.

Quelques troupes aériennes tentèrent bien de m'arrêter; un combat céleste n'était franchement pas à leur avantage. A celui-çi je coupais les ailes pour qu'il aille s'écraser sur ces camarades, à celui là j'ouvrais le ventre pour faire pleuvoir sur ma maîtresse une pluie d'intestins et de sang, à cet autre je vaporisais sa sale gueule baveuse. Les légions volantes anéanties sans effort, j'arrivais au volcan dans lequel je n'hésitais pas à plonger en m'entourant d'une enveloppe protectrice qui ne me fit pas ressentir la morsure de la lave. Slave Prime pouvait-il se faire arrêter par quelque chose d'aussi pitoyable que la prétendue fureur de la nature ? Ah ! Je me gaussais de cette force qui ne valait pas la mienne alors que j'attaquais la paroi du volcan de mes coups de poings surpuissants afin de faire s'effondrer la paroi qui surplombait le portail qui alimentait les troupes adverses. Dans un abominable fracas de roches brisées et de magma frémissant, l'éclat de mon action fut total : le volcan ainsi remodelé se mit à vomir ses tripes flamboyantes sur nos adversaires et leur portail.
Tel une divinité ancestrale, je m'extirpais du volcan dans un sinistre halo rougeâtre et croisait les bras en volant, contemplant le fruit de mes efforts tandis qu'un sourire goguenard déformait mes lèvres. Qu'ils se lamentent et me maudissent, à présent ! La force incomparablement supérieure de Slave Prime venait de les engloutir dans une allégorie magmatique réjouissante de ma colère sourde. Décidé à maintenant prendre ma maîtresse, je fonçais la retrouvais et me posais derrière elle pour la tirer à moi.


- Slave Prime t'offre le massacre et la victoire, ô ma maîtresse. Es-tu satisfaite ?

Bien sûr, qu'elle l'était. Son corps sculptural se mu contre le mien tandis qu'elle se retournait pour me faire face et bientôt nous étions à nous embrasser de nouveau, nos lèvres plaquées les unes aux autres tandis que nos langues se retrouvaient avec fièvre pour un ballet aussi fièvreux qu'obscène. Je me régalais de la salive qui perlait à sa bouche quand elle recula la tête pour me regardait et m'empressais de la faire mienne en saisissant à deux mains ses fesses encadrées par le cuir de son indécent string noir, remontant sa chair insolente pour la presser contre elle-même et la faire jouer entre mes doigts avant de la laisser retomber mollement, me délectant de ce volume qui suffisait à m'exciter terriblement. Nos regards se mêlèrent et sa jambe fila contre ma taille, l'ouverture suffisante pour presser contre son flamboyant creuset intime le volume raidi de ma vierge. Des mes doigts qui caressaient son cul, j'arrachais sans autre forme de procès le string et me mit son intimité à disposition. Ma tenue s'évapora -elle n'était jamais qu'une création issue de mon pouvoir- je me retrouvais la queue frottant ostensiblement contre son con, sentant sa lourde et si appréciée poitrine se presser contre mes pectoraux saillants.
Ma main ensanglantée fila se cacher dans sa chevelure laiteuse pour la saisir d'une poigne ferme afin de la tirer un peu un arrière, inversant ainsi le rapport de soumission. Bien sûr, elle pouvait s'en détacher... Jamais je ne l'aurai forcée, mais je savais d'expérience qu'elle aimait la poigne. Mon sourire n'était pas moins diabolique que le sien et tout l'amour que je lui portais se lisait dans mon regard.

D'un mouvement de rein, je m'insinuais en elle sans aucune difficulté. La pénétration fut efficace et profonde, sans préliminaires : notre excitation respective après la bataille se passait d'amabilités stupides et sirupeuse. Nous voulions baiser et ce fut un vœu auquel je répondis volontiers en plongeant dans ses chairs d'un coup sec et impérieux. L'amour, nous le ferions plus tard. Tripes et flots de sang se prêtaient plus à une étreinte furieuse et c'est ce que je donnais à ma maîtresse, la labourant de ma verge épaisse tout en la maintenant debout contre moi afin de sentir tout son corps se tendre contre le mien. J'aurai voulu pouvoir jouïr de sa lourde poitrine insolente, mais je me résolu à la frustration de notre position : elle n'en renforçait que davantage la violence de l'ébat.
Usant de ma force, je saisi la seconde jambe de Death pour la passer également contre ma taille puis reportait mes mains sur son cul afin de la soutenir tandis que je restais debout, à la faire s'empaler sur mon dard juteux qui n'attendait plus que le déclic ultime pour cracher son poison gluant.

3
Mets toi à genoux et ouvre grand, peut-être que je te donnerai le droit de kiffer ce que je vais te cracher sur la gueule.

è_é

4
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 20 août 2014, 10:47:28 »
Nichons.
MAINTENANT.

10H48

5
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: dimanche 24 novembre 2013, 19:07:57 »
<Fait craquer ses poings>

Okay, qui est le con qui a un problème avec les collants de la famille ? Hein ? Hein ?

<Se prépare à atomiser ses vdd>

6
L'Art / Re : This. Is.. BULLSHIT!!... Yeah. Well. Whatever...
« le: vendredi 15 novembre 2013, 12:02:36 »
La signature est grande.
Et on voit pas assez de boobs.

Mais ma maîtresse est toujours aussi fraîche, wesh.

7
Prélude / Re : Du pouvoir des ombres, rejoins les rangs ! [Law]
« le: mardi 23 juillet 2013, 23:32:53 »
J'ai lu "démon".
J'ai ri.
Je suis reparti.

Malv'nue.

8
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: mardi 25 juin 2013, 18:51:43 »
Il faut vraiment tout vous apprendre.

*Attrape sa vdd, la gifle, lui colle un direct à l'estomac et la crucifie*

Open-bar.


9
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 14 juin 2013, 16:34:43 »
D'ailleurs, ça manque de nichons depuis notre absence.
Je constate que l'équation SP actif + LGJ = gros nichons est toujours d'actualité.

Nous sommes les Divinités du Nibard.

*Va faire un truc immoral, car il est méchant*

16h30

10
Prélude / Re : Empress [Valawdée !]
« le: vendredi 14 juin 2013, 15:36:07 »
Fais comme tu l'entends, Pondeuse potentielle.
J'aurai de toutes façon le dernier mot.

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 14 juin 2013, 15:28:03 »
Mourrez.

15h24

12
Prélude / Re : Empress [Valawdée !]
« le: vendredi 14 juin 2013, 15:26:51 »
Moi qui cherchais justement des génitrices, on me livre une Veuve Noire et une Impératrice sur un plateau.

Malvenue, poches à oeufs.

13
Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: vendredi 01 mars 2013, 21:17:15 »
Y'a des gens, sérieusement, ils me font flipper.

Genre je suis tombé sur un forum de site d'anime, une nana poste une fan-fiction. Bon, jusque là, tout va bien. Sauf qu'elle se dit que c'est tellement bon que tout le monde devrait kiffer, dont les fans de la dite série adaptée, comme ça tout les fans seront fans de son boulot à elle et ça remontra donc fatalement à l'auteur original au Japon... Qui le dessinera et l'intégrera à l'oeuvre originale, forcément !

Le tout en s'imaginant qu'elle est son personnage et que bien sûr, tout les persos du manga sont fous d'elle, mais qu'elle n'en aime qu'un même si elle roule des patins et se laisse tripoter les nibards à tour de bras. Et elle parle d'elle comme si elle était son propre perso dans sa propre histoire.

Voilà voilà.

21h15



 ;D

21h18

14
Le coin du chalant / Re : Slave's Book
« le: vendredi 01 mars 2013, 18:49:37 »
Up du Slave's book.
Demandes toujours ouvertes, mais peu de places restantes ! > Contact par mp sur Le compte de Sentinel Prime, sinon vous n'aurez pas vraiment de réponse rapide... :)

15
L'ascenseur s'ouvrit, ses portes grinçant un peu alors qu'elles se rabattaient pour dévoiler la cage exigue. Mes pas tranquilles chaussés dans des souliers hors de prix résonnaient doucement dans l'étage vide et alors que je me rapprochais des voix qui s'entendaient à quelques mètres, je m'allumais une cigarette. Desmond parlait à une femme pas tout à fait humaine, si j'en jugeais par sa seule aura. Mais elle ne m'intéressait aucunement, du moins pour l'heure. C'était pour son interlocuteur que j'étais venu, une petite merde infernale que j'avais désigné pour me servir d'intermédiaire sur Terre lorsque j'avais à y régler des affaires bénignes. Je m'étais toujours moqué de la façon dont ces histoires se terminaient et la plupart du temps, Desmond ne m'avait pas déçu. Mais depuis quelques temps, certaines de mes prérogatives avaient commencé à changer. Et certaines de mes ambitions s'étaient dévoilées à mon restant d'âme pour s'imposer comme une fatalité.

Je n'en avais rien dis à ma maîtresse. Lâcheté ? Non. Crainte. Mes objectifs ne lui plairaient certainement pas et je n'avais pas envie d'endurer son courroux.
Je n'avais pas envie de devoir la forcer à ramper devant moi, en vérité. Parce que j'avais l'intime conviction que si j'avais à l'affrontrer, elle n'en sortirait pas victorieuse. Bien des choses faisaient pourtant que nous étions extrêmement proches, aussi me refusais-je encore à aller contre elle, comme si Lady Death avait été le dernier îlot de calme sur la mer démontée et abyssate de mon esprit. L'amour qu'on donnait à toutes les sauces, c'était peut-être ça.

Desmond hochait la tête à la jeune femme. La peine lui semblait raisonnable, bien qu'il avait dû laisser une fortune à l'avocate pour obtenir ce résultat presque assuré. L'argent de son maître. MON argent. Pas que cela eut une réelle importance, mais le principe ne me plaisait nullement. Cette petite merde savait parfaitement que je n'aimais pas qu'on joue avec mes possessions, pourtant.


- M'zelle Ashfield, je ferais comme vous dites... Hey, ça ne vous dirait pas de me sucer si je rallonge un peu votre paie ? Vous avez une sacrée petite bouche de putain et vous regardez à l'endroit de ma queue d'puis tout à l'heure. Allez... Dites oui... Ca va vous plaire de bosser pour moi...

Il s'était rapproché, tentant de faire en sorte que ses mouvements lui donnent une sorte de classe qu'il n'avait pas. Desmond préférait violer, Desmond venait des Enfers et ne connaissait que peu de limites. Mais Desmond se raidit instinctivement avant même que ses mains n'effleurent une seule parcelle de l'humaine. Il avait vu que j'étais là, dans l'encadrement de la porte sur leur côté, à l'observer en tirant sur ma cigarette. Vêtu d'un costume noir comme la cravate qui le soulignait, seule ma chemise était d'un rouge foncé. Les tissus que je portais étaient agréablement tendus par ma carrure puissante et ma crinière, pour une fois, était presque sage.
Desmond poussa un petit cri étranglé et fit quelques pas en arrière, comme pour fuir. Il n'en fit rien, préférant baisser la tête comme la misérable petite chiure qu'il était.


- S-se-seigneur Pr-Prime !

- Je t'attends depuis deux bonnes semaines, larve. Et je te retrouve avec une pute, t'amusant avec mon argent ? Je ne suis pas de bonne humeur, Desmond.

- Iiiiik ! Ce n'est pa-pa-pa-pas une pute, Seigneur ! C'est... c'est Grâce Ashfield, une av-avo-avocate pour les... non-humains.

Quelques pas en parlant et voilà que je me tenais à deux mètres d'elle, la détaillant. Une belle femme, au corps bien formé et au regard attirant, plein d'assurance et brillant d'une volonté à toute épreuve. Excitante sur bien des plans. Bandante.
Destructible.
Ce ne fût pas à elle que je m'adressais, pourtant.


- Les filles, Desmond ?

- C'est que... euh...enfin...iiiiiik...

- En plus, tu n'as pas mes filles. Tu t'inquiètes de la justice de la Terre alors que tu sais que la mienne est plus à craindre. Je dois envoyer un présent à Drakengord, Desmond. La Dame des Ombres saura bien te faire passer ton éternité à souffrir.

Ephemera. Son évocation suffisait à faire blêmir nombre d'infernaux. Je savais à présent pourquoi et je savais que c'était amplement mérité. J'avais pris l'habitude de lui faire parvenir quelques amuse-gueules pour entretenir notre...relation. Et de parfois la visiter dans ses geôles. Pour l'heure, Desmond avait compris qu'il n'était qu'à un doigt d'un univers de tortures sadiques et se décida finalement à agir comme n'importe qui de sensé l'aurait fait : il avait attrapé violemment le bras d'Ashfield pour lui balancer son poing dans l'estomac sans prévenir. Elle se plia, parodie de salut à mon égard.

- E-elle ! Elle, Seigneur ! Elle est bien plus baisable que les filles que j'avais trouvé, Seigneur ! Cette salope vaut bien dix filles ! DIX !

On pouvait dire que la chance d'Ashfield l'avait quittée à cet instant précis. Si Desmond ne me l'avait pas proposée, je l'aurais certainement laissée partir. Après tout, je n'étais pas venue pour elle et comparée à certaines succubes, l'avocate faisait pâle figure. C'était une femme de classe, de celles que j'appréciais. Qui avait plus de valeur quand elle était chassée que quand elle était prise. Desmond venait de vendre son âme à elle au Diable. Ou à ce qui à cet instant sur Terre s'en rapprochait le plus.
Les doigts d'une de mes mains se refermèrent brutalement sur sa crinière noire et Desmond la relâcha, s'écartant dans un sourire mauvais. Je relevais le minois aux yeux verts à ma hauteur sans difficulté, avant de le faire s'écraser littéralement sur le bureau tout à côté de nous, la maintenant. Qu'elle saigne, qu'elle souffre, qu'elle se débatte. Oh oui. Qu'elle se débatte.


- Écarte lui les cuisses.

Desmond se rua à terre et obtempéra, me laissant le loisir d'utiliser ma main libre pour arracher le tissu superflu qui protégeait tout ce que la brune pouvait encore avoir d'intime. Et, sans douceur aucune, deux de mes doigts se logèrent dans son vagin.

- Bien. Vous êtes très fertile, mademoiselle Ashfield. Fauteuil, Desmond. Pour elle.

Je m'ôtais de la même façon que je l'avais pénétrée, l'envoyant bouler sur l'assise proposée par le démon décidément bien servile. Que n'aurait il pas fait pour éviter Drakengord, ce résidu merdeux... Mais grâce à lui, un premier rouage venait de se mettre à tourner. M'essuyant les doigts dans les lambeaux de tissu que j'avais arrachés sur Ashfield, je me mis à parler.

- Desmond vous a donnée, Mademoiselle Ashfield. A moi. Mais j'ai dans l'idée que vous voulez avoir votre mot à dire, n'est ce pas ? Bien sûr que oui. Vous êtes du genre indomptable. A vrai dire, il me serait aisé de vous prendre et de vous soumettre rapidement, mais je suis d'humeur joueuse. Aussi vais-je vous laisser l'opportunité de me dire non. Téléphone, Desmond. Il le sorti de sa poche et lui balança négligemment. Usez de tout ce que vous voulez contre moi, tentez de m'abattre ou de m'empêcher de vous nuire. Faites venir des alliés, déchaînez vos forces sans vous retenir. Je vous laisse vingt minutes. Après quoi, mademoiselle Ashfield, je vous passerai un collier et une laisse.

Je m'assis sur un coin du bureau, jambes tendues et croisées, main libre dans la poche tandis que l'autre tenait la cigarette dont l'extrémité rougeoyait alors que je tirais dessus.

- Tic tac, mademoiselle Ashfield.

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