Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Melissandre Dolorès Seila

Pages: [1]
1
Le quartier de la Toussaint / Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)
« le: mercredi 04 juillet 2012, 21:22:27 »
Il embrassa mon nombril, puis descendant de plus en plus bas, mon pubis, et puis merci, enfin, dieux tout puissant, il passa sa tête entre mes jambes,,il y donna un coup de langue, mon dieux, que m'avait il fait?
Une décharge d’excitation retentit dans tout mon corp,mes jambes, se tendant, mon buste se cabrant, je ne pus retenir un petit cris de surprise et de plaisir, ce fut cette petite décharge qui me fit perdre le contrôle de ma réserve et de ma naïveté, me poussant à prendre les choses en main, mais pas encore, je voulais en profiter un peu tout de même.

J'avais bon gout? Eh bien merci, je prenais ça pour un compliment, il remonta pour m'embrasser avec tendresse tandis que son sexe dur frottait contre ma jambe, il continua à jouer avec mes cuisses, ces petits jeux qui m’excitèrent de plus en plus, d'un geste fluide je me laissai glisser ,m’échappant de ses mains puissantes pour arriver à la hauteur de sa verge, sans une once d'hésitation, j'y posai mes mains pour jouer avec, la sentant se durcir un peu plus entre mes mains.
Après avoir fait quelques aller-retour, j’apposai mes lèvres contre son extrémité rose et me mit à la sucer avec douceur, laissant ma langue trainer sur sa verge qui m'attirait de plus en plus, faisant protection de mes dents avec mes lèvres, je me mis à reproduire les mouvements que m'incitait mon excitation, frottant l’intérieur douce et chaude de mes joues contre son engin, au bout d'un moment, je me redressai ,face à lui l'embrassant à mon tour, me collant à lui et l'enlaçant, lui faisant comprendre que j'avais compris, qu'a présent, je le désirais, ce fut donc mon pubis et mes partie intimes qui se mirent a frotter contre son phallus, par gestes instinctifs, presque incontrôlables, mêmes s'ils étaient lents et doux, même si je ne m'en rendais pas encore compte, tout ce que j'attendais, c'est que nous ne fassions plus qu'un.

2
« Alors laisse moi te montrer à quelle point tu as envie d'être folle ! A quel point je veux te rendre folle ! »

Me dit il après m'avoir mordillé le lobe de l'oreille, ses caresses faisaient se courber  mon corp.
Un instant, l'un de ses doigts vint chatouiller mes parties intimes, geste qui déclencha comme un minuscule choque électrique dans mon corp. C'est à cet instant que je compris Que mon excitation venait de là et mon corp se tendit un peu plus alors qu'il me faisait basculer sur le canapé, je n'avais pas la moindre idée du "jeu" au quel nous jouions, mais il me plaisait, et pas qu'un peu...
Il était au dessus de moi et je me sentait  soudainement légérement dominée ,une position qui ne m'aurait pas plu a la base, je n'appréciais pas qu'on me soumette, puis ,là, ce n'était qu'une impression, pas une réalité  , même si c'était une impression vachement excitante. Je me surpris soudain a vouloir passer à la vitesse supérieure, de m'abandonner entièrement à lui, qu'il continue ses jeux divins jusqu'à ce que j'en meure de plaisir.
Alors qu'il embrassait ma peau, descendant peu a peu vers mon intimité, je lui passai ma main sur la joue, continuant vers ce qui faisait de moi une femme, j'avais l'impression que mon cœur y battait et j'attendais avec patience qu'il y arrive, ma jambe frolant son sexe, me rappelant que je n'étais pas très active, mais dans la position dans la quelle j'étais, je ne pouvais pas faire grand chose.....

3
Ce que c'était agréable! Ces lèvres contre les siennes, cette attraction qui jusqu'ici m'avait été inconnue... Gabriel me caressait avec douceur, passant ses main dans mon dos ,sur mes fesses... j'aurai aimé qu'il continue sans jamais s' arrêter, m'imaginant qu'il n'y avais sans doute rien de meilleur, je me trompais, évidemment, mais je n'en avait pas la moindre idée. Mon corp se faisait de velours sous ses doigts doux comme des plumes.
Ile se mit torse nus, et je me mis "à cheval" sur ses genoux. Posant les mains sur son torse, explorant chaque parcelle de son buste avec mes doigts, caressant ses muscles, il en avais, et des beau, pas trop, juste assez, enfin à mon gout...

Je posai une seconde mes lèvres sur son torse, avant qu'il ne me ré embrasse.

« Pour ça, le meilleur moyen, c'est la chaleur humaine.... »

Je levai mes yeux pour chercher son regard. Un beau regard...un regard plein de malice.
Il me serra contre lui,et j'en profitai pour embrasser son cou du bout des lèvres, avec douceur. Il amena lentement sa main à mon sein, zone sensible qui comme les hanches n'avait pas à entrer en contact avec autre chose que mes vêtements et l'eau de ma douche... le contact de ses doigts me déclencha une série de frissons d’excitation, de son autre main,il massa mes fesses.  Mon cœur qui s'était plus ou moins calé recommença à battre la chamade à un rythme incontrôlé.   Moi à mon tour je passai mes mains dans son dos, frottant légèrement mon corp au sien, qui comme il l'avait dit quelques secondes plus tot, était d'une chaleur agréable.

"Mieux vaut prévenir que guérir"
, avais-je dit d'un souffle dans son coup alors que nous recommencions à nous embrasser.

« Tu sais que tu as vraiment un corps superbe, une beauté d'ébène ! »

J'eus un frisson de plaisir à ces mots, mondieux que lui répondre, qu'il était grand musclé et beau? Sur ce point la,j'étais bien trop timide, nous y viendrions plus tard....
Il me sourit, sourire que je lui rendit  et il m'embrassa a nouveau en chuchotant , nos langues se rencontrant, la boule d'énergie au bas de mon ventre grandissant un peu plus de secondes en secondes.

« Tu es vraiment très belle ! »


Nouvelle décharge de frissons, elle ne se doutait pas que les mots avaient un tel effet sur elle.
Il m'embrassa dans le cou ,des baisers chauds et doux, ah, cette curieuse boule d'énergie s'était agrandie, touchant mon cour, qui accéléra plus encore, son visage embrassant mon corp, le plaisir était grand et ma respiration se faisait de plus en plus rapide.
Mon corp avais envie de se rebeller et de faire des geste que je ne connaissait pas, surtout, ce qui entre mes jambes me titillait exagérément.
Mes mains quand a elles se baladaient elles aussi sur son corps, lui caressant le coup et passant dans ses cheveux. Mais mon instinct  me poussait à en demander plus...
J'avais glissé mes mains dans son dos, se dirigeant de plus en plus vers le bas, pénétrant la limite de son pantalon, le poussant,remontant dans son dos, les jambes se courbant, comme si elles voulaient le capturer, je voulais le contact de son corp contre le mien.
Maintenant je haletait légérement, et je décidai d'explorer son corp, moi  aussi, que cachaient les hommes sous ces pantalons trop larges?
Mes mains glissant sur ses cuisses, sous son pantalon, j'embrassai à mon tour son torse, lui mordillant légèrement la peau, mes mains glissant jusqu’à ses fesses, mon cœur battait trop vite. Je voulais quelque chose, mais quoi? J'aurais aimé lui voler tout ses vêtement ,à l'instant, et c'est en me disant  que je n'oserai jamais lui retirer tout ça, que mes doigts défirent son pantalon et le firent glisser à ses pieds, mes lèvres remontèrent pour chercher les siennes, mon corp qui ne tenait plus se collant au sien, c'est au contact entier de son corp que la boule d'énergie mystérieuse se répendit entièrement dans mon corp.je devenais folle, je voulais quelque chose, quelque chose qui calmerait cet état de folie.
"Je vais devenir folle" lui dis-je l'embrassant à nouveau, nos langues se touchant explorant nos bouches.


 







4
« Vous devriez peut être faire quelque chose pour ta tenue.... »
Je rigolais intérieurement, mon caractère changeait du tout au tout. Mon subconscient essayait de me prévenir mais mes pensées et mon instinct prenaient trop de place pour que j'y prenne garde. Il m'embrassa, passa ses mains dans mon dos, déclenchant une série de frissons sur mes bras et...ma poitrine.... je souris nous nous embrassâmes longuement  puis il continua.

« Vous avez l'air d'aller déjà mieux ! »

Ah ça oui,j'allais bizarrement beaucoup mieux, a vrais dire, je n'était plus moi même. Enfin si, mais mon comportement était totalement inhabituel.

Il posa sa main sur mes reins, essuyant mes larmes de l'autre.

« Je resterai si vous voulez, pour vous protéger ! Mais allez vite retirer cette tenue qui va finir par attraper la mort ! Ce serait dommage que vous tombiez malade ! »

là je ris... Il persistait, ça l'ennuyait vraiment hein?

Je l'embrassai à nouveau, je me redressai, quittant ses bras, et debout, dos à lui,je retirai ma robe.

"Je n'ai pas l'habitude de porter des vêtements quand je suis chez moi...je ne les met qu'avec les gens que je n'embrasse pas..."


Je retournai me blottir contre lui, posant à nouveau mes lèvres sur les siennes, passant ma main dans ses cheveux, l'autre dans son cou.
Je n'avais absolument aucune idée de ce que je faisais , mais ça me plaisait, assez pour que je continue en tout cas...

"Comme ça,je ne risque pas de tomber malade."

Ma peau était déjà sèche,et je me penchai suffisamment vers lui pour que mes cheveux forment un rideau,séparant nos visages du reste de la pièce...

5
Il me serra doucement dans ses bras, je tressaillit légèrement et il se mit à me parler d'une voix calme et apaisante.

« Là....là....allez, calmez vous melissandre, ça ne sert à rien de vous mettre dans des états pareils, asseyez vous, allongez vous, peu importe, mettez vous en position de bien être, vous en avez besoin. Ne vous inquiétez pas. »


Il me fit m'asseoir, et prenant place à coté de moi,il  m'enlaça doucement et se mit à caresser mes cheveux et mes épaules. Les larmes continuèrent à couler silencieusement. Je les essuyai d'un geste de la main. Mon cœur battait trop rapidement, ce n'était pas normal. Avais-je attrapé une maladie? Un virus, mon corp avait-il une défaillance?
Je respirai calmement, pour tenter de calmer les battements de mon cœur, mais cela n'y faisait rien.

« Allons, dites moi ce qui vous mets dans cet état, ce n'est pas que le vertige ? De quoi avez vous peur ? Dites le moi, je suis là pour vous protéger, non ? »


Lui dire? Non, je ne pouvais pas dire  n'importe qui n'importe quoi. J'étais visiblement en plein délire. Mon cœur battait trop vite, et j'étais sans doute victime de paranoïa.
Il prit ma main dans la sienne, caressant doucement mes épaules.
ça me plaisait et je finis par me calmer.
Je levai les yeux vers lui. Un regard plein de doutes et de peur, d'interrogation...

"Je ,je me demandais si les voleurs allaient revenir...,je m'excuse, j'ai,j'ai paniqué. Je n'ai pas assez dormi, et on m'a donné des médicaments pour le sommeil."

Je me sentais bien dans ses bras, ma tête posée contre son épaule,ma respiration s'était stabilisée ,mes longs cheveux lisses et doux se répandaient comme un ruisseau blanc sur nos bras et sur mes épaules. Je relevai entièrement ma tête vers lui. Je n'était jamais entrée en contact a ce point avec un homme. Je me rappelai de mon ancien maitre, un homme qui s'était un jour jeté sur moi pour m'embrasser. J'eus un frisson au souvenir de ce jour épouvantable. Souvenir qui me poussa à me blottir plus encore contre lui.
Mes lèvres s'entrouvrirent, comme pour dire quelque chose, puis tendant le coup mon visage se rapprochant du sien, elles entrèrent en contact avec les siennes.
Mon Dieu! Qu'avais-je fait? De quel droit je me permettais?
C'étaient là les phrases que m' hurlait ma conscience....en arrière plan.
Le contact de ses lèvres était bien trop agréable, le geste m'était venu naturellement,au rappel de mon dernier baiser,j'avais du inconsciemment reproduire le geste.
En tout cas, a ce moment la, je n'y pensais pas, mon regard était à nouveau plongé dans le sien. Mes yeux étaient emplis de la sincérité qui accompagnait l'innocence de mon geste. Je n'avais aucune idée de ce que cela signifiait. Seulement que mon corp en demandait plus. C'était de là que venait mon curieux malaise? J'avais envie des lèvres de cet homme?
Je le ré-embrassai à nouveau, complètement perdue dans mes pensées, n'ayant pas conscience de l'importance et de la signification de mon geste...

-J'ai l'impression que je fais une bêtise... dis-je sans les quitter des yeux, mon visage se rapprochant à nouveau du sien...


6
Il me sourit en se relevant du fauteuil sur le quel il était assis. Je lui rendit son sourire, j'étais plus à l'aise ainsi.

« Bon, très bien, alors si je comprends bien, mademoiselle.... - puis-je vous appeler tout simplement Melissandre ? - c'est ici qu'a eu lieu la cambriole ? Savez vous ce qui a été volé ? »

Je baissai la tête un instant mes cheveux immaculés glissant sur mes épaules comme une avalanche lisse et soyeuse. Pouvait il m’appeler Melissandre? Comme si j'allais l'en empêcher! Il me sourit à nouveau, pourquoi? Il n'arettait pas! Étai-ce pour me mettre en confiance?
Ce la m'irritait un peu, parce que ce sourire me plaisait...
J'allais lui répondre lorsqu'il posa sa main sur mon épaule , me déclenchant un frisson.
Je redressai ma tête, il était face à moi et notre regard se croisa un instant, prise au dépourvu, je devais avoir l'air effrayée. Mes longs cheveux accompagnaient tout me mouvements, et ils virent se ranger sur mes épaules ,juste sur sa main.
Ça ne parut mas le déranger,  mais il détourna tout de même la tête pour observer la pièce.

« Donc à quelle heure êtes vous rentrée ? Comment était l'appartement ? Plus encore, aviez vous remarqué le moindre signe d'effraction, le moindre signalement anormal ? »


Je passai ma main dans mes cheveux, les rangeant  dans mon dos pour dégager sa main.
Nous étions bien trop proches à mon gout, le pire, c'est que ça ne me déplaisait pas, je levais mes yeux et cette fois, les plongeais , déterminée, dans les siens.
Ma bouche s'ouvrit toute seule pour lâcher ces mots:

-Oui, vous pouvez m’appeler Melissandre ,  C'est bien ici qu'a eu lieu le cambriolage, a vrais dire, je suis rentrée de mon...travail vers à peu près une heure du matin, La porte était ouverte, tout simplement parce que nos chats aiment se promener dans l'immeuble la nuit, et que nous faisons confiance aux voisins. Quand je suis entrés, j'ai laissé la lumière éteinte pour ne pas réveiller..mh, enfin bref, ils avaient l'air de m'attendre, ils m'ont...

* je ne peut tout de même pas lui dire qu'ils m'ont assommée et que grâce à la magie blanche j'ai résisté.*


Je continuai mon récit après quelques secondes d'hésitation.
Ils m'ont ligotée et  comme ils avaient des armes,j'ai fait semblant d'être dans les vapes.
Ils ont disparu et sont revenus quelques secondes plus tard de la chambre de mon hôtesse avec ce qui ressemblais pleinement à des bijoux,ils ont fichu les camp par la porte d'entrée. je regardai le vase brisé à terre avec le quel les hommes m'avaient assommée.

-A mon avis ,brodais-je, ils ont du fouiller quelques objets, comme ce vase pour voir si il n'y avais rien d'autre qui pourrait les intéresser.

Soudainement, la réalité de la situation me prit d'assaut. Il n'y avais pas que le vase de brisé, les hommes avaient ils trouvé tout ce qu'ils voulaient? Et si ils revenaient?
Un éclair de terreur passa dans mes yeux en pensant à la pauvre Mamie, que lui arriverait il la prochaine fois?  Puis elle m'avait tu la présence des bijoux,y avait-il autre chose?
Je me mis à douter d'elle,et pendant un bref instant de l'homme qui se tenait face à moi, une violente boule d'angoisse se forma à la hauteur de mon cœur lorsque je me rendis  compte que nous nous regardions toujours dans les yeux, il pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert. Prise d'horreur et de honte je reculai vivement, me dégageant de sa main bienveillante. Je baissai les yeux pour rompre le contact de nos regards, et je fus prise d'un violent vertige. Fichus médicaments! Voulant prendre appui à quelque chose, je posai mes mains sur la table en équilibre qui se renversa, répandant  le thé a présent légèrement chaud sur moi, sur ma belle robe blanche a présent transparente, ma peau étant de couleur foncée, elle traversait d'autant plus le tissus. Je dus tendre les bras vers lui et me retenir à sa poitrine . Posant le bout de mon front contre lui je retint un hoquet , le transformant en un sanglot silencieux.

-Je...je suis désolée,j'ai,j'ai le vertige.


Mon cœur battait très très vite, cet homme me faisait un effet qui m'était encore inconnu jusqu'ici. Les larmes coulaient sur mes joues. Le thé avait eu le temps de refroidir légérement, mais il était toujours chaud lorsqu'il était entré en contact avec ma peau. Mais ce n'était pas pour cela que je pleurais silencieusement(javais usé de magie blanche pour apaiser ma douleur et soigner ma peau qui était redevenue parfaite.) Non, ce qui m'ennuyait, c'était que j'étais à présent dans la position que je voulais évitée. Accrochée à cet homme ,ce Gabriel qui m'était pourtant inconnu. Et mon vertige s'était calmé, menaçant de revenir si j'osais relever la tête. En bref, j'étais collée à lui et cela créait dans mon ventre un sentiment tumultueux qui m'était inconnu.
Je poussai un soupir, espèrent que le malaise disparaitrai...espérant qu'il ne se fâcherait pas sur moi, surtout que ma robe était à présent transparente...












7
Oh!  Ma petite pourrait être une de tes prétresses? Comme tu m'as dit qu'elle avais tout pour, et que l'idée me plait bien, je voulais te proposer, après,si mon personnage ne convient pas, dis le moi  :D

8
C'était un grand homme blond, visiblement légérement plus grand que moi, et plus âgé aussi.
Il me sourit et me tendis un carte.
Légèrement exaspérée, (touut au fond de moi même) je me penchai pour la regarder.
J'ai les yeux sensibles à la lumière, et bien que je ne porte pas de lunettes, j'avais du mal à voir les trop petites choses dans une lumière trop forte. Quelques mèches de cheveux se détachèrent de ma natte pour suivre le mouvement.
L'homme prit la parole et je me redressai vivement, un air innocent peint sur mes traits fins. Il venait surement à propos du cambriolage...

« Bonjour mademoiselle, lieutenant Valmy, Gabriel Valmy, police judiciaire, enquêtes spéciales, j’ai cru comprendre qu’il y avait eu cambriolage dans votre appartement, et j’ai été mis en charge de l’enquête. Puis-je entrer ? J’aurai quelques questions à vous poser dans le cadre d’une déposition. »

Bingo,il venait bien pour le cambriolage. En me réveillant, j'avais espéré pendant une demie minute avoir rêvé...apparemment, ce n'était pas le cas.
Il me sourit, un sourire qui me parut agréable à voir, et je ne pus m’empêcher de lui en rendre un.
Pourquoi être désagréable au final, il  était bien forcé de venir, lui, je n'allais pas lui parler méchamment parce qu'a cause de son boulot, il était obligé de déranger des jeunes filles angoissées à 8 heures du matin.... Il n'y avais plus qu'a le faire rentrer.

« Bien évidemment, si vous le souhaitez, je peux patienter quelques minutes avant de le faire, le temps de vous mettre en condition, histoire de ne pas vous brusquer, bien évidemment, vous comprendrez que si nous ne le faisons pas ici, vous serez convoquée au commissariat central sous peu, dans les deux cas vous seriez interrogée, mais refuser ici ne mettrons pas dans de bonnes dispositions mes collègues là bas, au commissariat. »

D'un coup je rougis, j'avais oublié ma tenue inadéquate pour l'occasion,je comptais remonter dans mon lit, donc ,je n'avais pas pris la peine de m'habiller, bien évidemment, et là, je me retrouvais, la crinière toute ébouriffée, en tenue légère devant ce charmant inconnu. Bon, après c'était une façon de parler, hein.
Il me sourit encore un fois et cette fois ci ça m'irrita plus qu'autre chose. Pourquoi? Aucune idée.
C'est a dire que je m’étonnais moi même,être de mauvaise humeur ne me ressemblais pas.
Bon, je n'avais pas trop trop envie de le faire monter, l'appartement était en désordre et au niveau des vêtements éparpillés dans ma chambre, c'était pas top... Hein? Mais attendez, pas de raisons qu'il aille dans ma chambre, de toute manière! Je n'avais pas envie d'aller à la police, et puis, si c'était pour tomber sur des gens plus désagréables encore! Pas le choix de toute façon, puis si il continuais à me sourire comme ça. Je finirais par céder de toute façon.

-Euh ..pas la peine, je veux dire, vous pouvez rentrer, si vous vouliez juste patienter deux secondes dans le salon! Je répondrais à toutes  vos questions.

Je lui fis un sourire gêné, sincère, au moins!   
Puis lui faisant signe d'entrer, je fermai la porte derrière lui. Je n'étais pas habituée à être aussi proche d'un homme, et je rougis encore plus lorsque nous nous retrouvâmes à l'étroit dans le minuscule hall d'entrée. Rougissant de plus belle, je lui fis signe de me suivre, montant en vitesse la longue volée d'escalier,je tirai sur le bas de ma nuisette, je me fichais bien qu'on voie mes jambes et mes cuisses, et même ma culotte, mais cet homme là me gênais , surtout dans un aussi petit espace, bizarrement,je me sentais honteuse, et ça ne me plaisait pas qu'il puisse me juger sur ma tenue.
J'aurais du le laisser monter et le suivre, mais c'était mon appartement, pas le sien.
J'étais irritée au possible, et je sentais les larmes au bord de mes yeux. Quelle horrible situation! Mon comportement était plus que gênant, ma bienfaitrice était à l’hôpital,  on m'avais fait une prise de sang (chose dont ,aussi surprenant que cela puisse paraitre, j'avais strictement horreur) et voila maintenant qu'un drôle d'homme était plus bas que moi, dans la position parfaite pour reluquer mes fesses.
Les yeux fermés, tirant toujours sur l'arrière de ma nuisette, je montai les dernières marches. Une fois sur le palier, je me mis de profil, histoire qu'il n'ai plus de vue sur moi, et qu'il ne voie pas mon visage, qui devait avoir sacrément chamboulé.
J'ouvrai la porte d'entrée que je fermais à double tour depuis la veille (au diable ces foutus chats) j'entrai dans le salon, puis me tournant vers lui, je lui sourit malgré mon vertige soudain, surement un effet secondaire des médicament pour dormir qu'on m'avais fourni, et de mon large manque de sommeil.

-Si vous voulez bien attendre un seconde, histoire que je me change.


Je lui souris à nouveau  et puis me dirigeant  vers ma chambre j'entrepris de l'ouvrir. Je dus m'appuyer deux secondes sur la clinche pour reprendre mon équilibre.Un fois dans ma chambre,je me laissai tomber sur le lit, attendant que mon vertige se calme enfin.
Je m'habillai en vitesse avec une robe blanche légère, il faisait trop chaud pour porter plus lourd, surtout dans mon état Je défis ma large natte et coiffai mes cheveux, les laissant tomber jusqu'au bas de mes fesses. Je me débarbouillai, respirai un bon coup, puis je sortit de ma chambre en souriant. Le vertige n'avait pas disparu, mais je me sentait déjà mieux.
Je souris à l'homme nommé Gabriel.

-Voila, désolé de vous attendre. Oh, je ne vous ai pas dit mon nom, je m'appelle Melissandre , mais bon,vous le saviez sans doute déjà. Je fais du thé, vous en voulez?


Je me dirigeai vers la théière, versai l'eau bouillante que j'avais mis à chauffer en me levant dans le récipient, y mit du thé et servit  deux tasses, je les posai sur la table, ainsi qu'un pot de sucre.
Il en prenait, il n'en prenait pas,comme il voulait, ça m'était égal.
Je m'assis sur l'appui de fenêtre et croisai les jambes.

-Vous vouliez me poser des questions?




9
Le quartier de la Toussaint / On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)
« le: dimanche 29 avril 2012, 22:03:06 »
On m'a cambriolée.
Malheur!
Comment ça peut arriver à quelqu’un qui n'a quasiment rien?
En fait, c'est pas très compliqué, c'est pas moi,qu'on à cambriolé, c'est mamie...
Mamie est le nom que j'ai donné à la vielle femme qui m'héberge, parce qu'elle est très vielle, pas parce que c'est ma mamie.
Non,je n'ai pas de grand mère...enfin bref, passons, nous en étions ou déjà?
Ah, Oui! Le cambriolage.
Il devais être 1h00 , plus ou moins l'heure à laquelle je rentre du boulot. Un travail de serveuse que je fais dans un petit bar, après le Lycée.
Je le fais pour rapporter de l'argent à Mamie, elle est gentille, elle m'héberge, et puisqu'elle souffre financièrement, j'essaye de l'aider comme je peut.
Enfin bon,j'étais rentrée du boulot, j'avais glissé ma clef dans la porte d'entrée, j'avais monté quatre à quatre les marches jusqu'au 4 éme étage.
J'étais entrée dans l'appartement sombre, et comme d'hab,j'avais laissé la porte contre.
Je le fais toujours, parce qu'ici, nous avons 5 chats, et qu'ils aiment se promener dans l'immeuble la nuit.
Je n'avais pas allumé la lumière, pour ne pas réveiller ma bienfaitrice qui dors dans le salon.
Il faisait très sombre, mais je connais l'appartement par cœur, impossible donc que je trébuche sur quelque chose, si ce n'est un chat.
Crevée, je m'étirais , me dirigeant directement vers ma petite chambre et là....je trébuchai.
Ne rigolez pas, si je me suis vantée de connaitre cet endroit par cœur, c'est parce que je ne savais pas que des inconnus s'y étaient introduits juste avant que je rentre.
Je ne sais pas pourquoi ils ont fait ça. On est juste au dessus du seuil de la pauvreté. C'est vrais quoi, on à rien de précieux à la maison... enfin c'est ce que je croyais.
Bref, un des hommes m'a fait tomber, j'ai été assommée.
Heureusement j'ai mes bases en magie réparatrice, et je sais m’empêcher de tomber dans l'inconscience.
Ils m'ont ligotée avec de simples corde qui m'ont brulé les bras. Puis aussi silencieux  que des chats, ils avaient filé dans la chambre de Mamie. Je n'y suis jamais entrée, elle ne me l'a pas interdit,mais elle ne m'y a pas autorisé, je n'ai jamais osé entrer dans son sanctuaire, parce qu'elle n'y vas pas, elle non plus,elle m'a expliqué que ça lui rappelait son mari décédé.
Faisant toujours semblant d'être dans les vapes, je les ai vu revenir quelques minutes plus tard avec un sac, qui tintait. Comme s'il était remplis de bijoux.
Pas la peine de me leurrer.
Je me doutait bien depuis le début qu'elle cachait quelque chose dans cette pièce hermétiquement fermée.
Mais je m'était dite qu'avec ses problèmes d'argents, ce n'était surement pas quelque chose comme des bijoux ou quoi que ce soit de précieux.
Encore une fois je m'étais trompée. Et je m'en voulais.
A mort.
Si je l'avais su, si j'avais été voir, comme ma malsaine curiosité que je m'évertuais à combattre me l'avait dit, j'aurai vu ces bijoux, et j'aurais pris gardes à d'éventuels voleurs.
Je serais surement devenue parano, mais comme on dit, prudence est mère sureté.
Enfin bon, ils étaient partis comme ils étaient arrivés... par la porte d'entrée.
Dés l'instant ou ils avaient disparu de mon champ de vision, a ce moment habitué à l'obscurité, j'avais rongé mes liens. Quelle stupide idée de ligoter les bras de quelqu’un devant sa poitrine. Mais bon,je n'allais pas me plaindre.
Une fois délivrée ,j'avais immédiatement allumé la lumière, et j'avais réveillé Mamie, suis bien entendu, ne s'était doutée de rien.
Elle n'avait rien, elle se demandait juste  pourquoi je la réveillai à cette heure.
Quand je lui avais appris la disparition de ses précieux bijoux.. elle avait tout bonnement fait une attaque.
Morte d'angoisse ,j'avais appellé une ambulance pour l'amener à l’hôpital, et j'étais rentrée à 4heures du matin, et après mes 4 maigres heures de sommeil, quelqu’un avais osé sonner à ma porte....
Bon,il n'était pas forcément au courant de ma nuit agitée, mais j'étais crevée, et pas vraiment d'humeur à être agréable. Raison pour laquelle, un fois réveillée,j'avais trouvé le monde injuste, et que j'étais prête à fondre en larme à la moindre remarque désagréable, qu'elle soit constructive ou pas.
J'avais descendu les escaliers, prête à envoyer gentillement inopportun inconnu (ou connu) sur les roses.
Raison pour laquelle j'étais encore en nuisette dorée, que mes cheveux blanc tressés en arrière (coiffure que je me fais toujours pour dormir) n'avaient pas étés coiffées .
En baillant j'avais ouvert la porte et j'étais tombée face à un parfait inconnu. Ma première réaction fut de dire

-"quoi encore"

Ce n'était pas mon genre, mais j'avais vraiment eu une nuit pénible. Je m'était rattrapée de suite.

-Je veux dire: Vous venez pour quoi?



 

10
Prélude / Re : Mélissandre Dolorès ( Validhéra ! )
« le: dimanche 29 avril 2012, 17:36:18 »
*regarde William et part pleurer dans un coin.* Bah, IRL, j'ai une grosse poitrine mais j'attire pas plus de garçons que ça ^^  (par contre ma beauté interieure est défaillante...//SBAMM//) Sinon, Merci! ♥

*Place ses mains en coupe en dessous de ses...* Non mais qu’es ce que je fous?  J'ai déjà essayé, ça fonctionne pas xD
Merci, d'essayer, de me rassurer, mais je ne suis pas sure que ça fonctionne tout a fait xD

*Regarde Kamui et ..fond*
Kyaaaah! Mais c'est qu'il est trop mignon ce petiiit♥ *serre Kamui contre ses seins*
C'est pas grave Mercii ♥-♥ (voila, maintenant tu vas l'avoir sur le dos....U_U)

*S'éloigne lentement de Sentinel , trèès lentement, pense: "faites qu'il ne me saute pas dessus, à l'aide TTOTT"*

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Prélude / Re : Mélissandre Dolorès ( Validhéra ! )
« le: dimanche 29 avril 2012, 12:34:03 »
Sakura,Yuri: Mercii :)
Mélinda: Héhé, tant mieux, alors :D
Kamui>....mais je veux pas d'enfaaants T_T

Hera: Merci beaucoup, c'est vrais, que ça me parait comme une drôle d’expérience, j’espère que tout se passera bien, encore merci,je n'hésiterai pas à vous poser des questions si j'en ai ! ♥

Sentinel>....'-' Euh.... *vient de regarder les autres présentations et se demande si Sentinel n'a pas un problème avec les seins* Je suis complexée par ma poitrine IRL donc si je devais choisir le personnage parfait, elle serait plate comme une limande.xD*passe un bras dans son dos* C'est que c'est lourd quoi U_U x)
Encore mille fois merci à tous pour votre accueil! :D

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Prélude / Re : Mélissandre Dolorès
« le: samedi 28 avril 2012, 22:55:53 »
Merciii beaucoup tout le monde! ♥
Rae>TTOTT Raah ><' Un inconnu m'a roulé une pelle O_O '-' *fait un malaise*
Je suis souillééééeeeeuh, mon Dieu, achevez moi,je ne mérite pas de viiiivre *Se roule parterre en mode hystérique* heureuse de ne pas faire partie de ton monde!*s'en vas rapidement en courant*
Alice> Merci beaucoup, Je suis un peu masochiste, alors si je risque la fessée, je vais en faire, des bêtises :D //SBAFF//

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Prélude / Mélissandre Dolorès ( Validhéra ! )
« le: samedi 28 avril 2012, 21:27:45 »
Âge : 17 ans

Sexe : féminin

Race : Humaine du plan de Terra

Orientation sexuelle:Bisexuelle

Description physique :

Melissandre est très grande pour son age, elle fait à peu près 1m86, Elle est toute en longueur, ses jambes, lisses ,son buste, ses bras, ses doigts et son visage, le tout fin, long et délicat. Son visage à une forme plutôt ovale et ses grands yeux ronds brillent d'un bleu-vert presque irréel aux centaines de nuances de couleur. Son nez est fin et droit et ses sourcils hauts et bien tracés lui donnent un air sérieux et distingué. Ses longs cheveux blancs lui descendent jusqu'au bas des fesses, ces dernières rondes et charnues portent une tache de naissance en forme de papillon blanc que toutes les filles de sa famille portent à de diverses endroits. Sa peau lisse et douce comme de la soie à une couleur chocolat  et ses lèvres foncées sont petites mais s'accordent bien au proportions de son visage. Melissandre à une forte poitrine qui fait fort contraste avec sa taille mince et les larges courbes de ses hanches. 

Caractère : Melissandre est douce et Naïve. Elle est naturellement gentille et elle aime faire le bien autour d'elle. Elle ne connait rien au sexe, elle se doute a peine que cela existe. Elle à eu une éducation très stricte et simplette, ce qui fait qu'elle ne s'y connait pas du tout, de même qu'elle ne se rend pas compte de sa beauté. Elle s'habille bien mais c'est surtout pour se faire plaisir à elle même. Elle est malgré tout très intelligente et elle tient à garder son innocence. Pour elle, faire du mal à autrui est totalement impossible. Elle à horreur de l'injustice et de voir les gens souffrir. D'ailleurs la moindre violence d'une personne envers une autre la choque, car pour elle, c'est inconcevable de faire de telles choses. Elle n'est par contre, pas du tout pudique. Son corp ne la dérange pas et lorsqu'elle est seule chez elle, elle se promène nue, comme elle n'a aucune notion de la sexualité, elle ne se doute pas qu'elle pourrait passer pour une perverse. Voila, c'est ce personnage que je veux transformer en une perverse manipulatrice qui n'hésite pas à faire usage de son corp pour satisfaire ses désirs.


Histoire : Je suis née  dans un pays humide, dans un endroit paumé, entouré d'une foret de bambous. Ma mère m'a mise au monde la dernière. j'ai 4 soeurs et 2 frères. Ils sont tous très beau et très gentils et nous avons les mêmes traits physiques que moi,peau noire, yeux bleus et chevelure blanche. Quand je dis qu'ils sont tous très gentils, je mens, Honte à moi. Ma soeur ainée est mauvaise comme une vipère, et d'ailleurs, ses yeux sont plus verts que les miens. Cette vilaine est jalouse de nous pour une raison qui m'échappe. Ce n'est pas comme si nous étions très gâtés. Nos parents sont très strictes , mais eux aussi très gentils. Ils ne feraient jamais de mal à une mouche. Et si nous avions le malheur de le faire, nous serions très sévèrement punis. J'ai toujours eu beaucoup de respect envers ma famille et mes proches. Je suis serviable et j'aime beaucoup l'étude, ce qui fait quelqu’un de moi normalement intelligent et très cultivée. Mon attribut génétique le plus particulier me vient de ma mère mais je n'y ai pas encore accès, et peutètre que je n'y aurais jamais accès. Ma mère est une femme chat. Elle arrive à se transformer en une chatte blanche et douce comme la soie. Bien sur, elle ne le fait plus jamais. Enfin,c'est a dire, que je ne le sais pas trop, puisque je ne la voit plus.
Un Jour,un grand homme, un voyageur riche passa par chez nous. Il arpentait la foret et s'était fait attaquer par un fauve, moi qui ai quelques notions en médecine, je l'ai aidé à se rétablir, et très vite il s'est épris de moi. Il était beau, mais je n'avais pas connaissance de ses sentiments. Raison pour laquelle le jour ou il dut partir, j’acceptai, ainsi que mes parents, qu'il m’emmène avec lui. pour que je puisse ainsi le servir. Nous voyageâmes beaucoup , traversâmes des mers. Puis un jour, il tenta d'abuser de moi. Il ne fit que m'embrasser, mais ce fut déjà trop, je fui, en larmes. Depuis,j'essaye d'une manière ou d'une autre de me trouver un abris, ce qui n'est bizarrement pas très difficile.   

Situation de départ :
Vierge

Autres : Elle possède les bases en magie réparatrice, elle peut soigner des blessures et calmer des âmes tourmentées. 
(C'est mon premier forum rpg hentai,j'ai l'impression que je ne vais faire que des bêtises)

Comment avez vous connu le forum : en faisant une recherche sur google

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: je ne pense pas :/


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