Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Naisho Yujima le vendredi 06 juillet 2012, 01:35:52

Titre: I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le vendredi 06 juillet 2012, 01:35:52
Battle of Power,chapter one: I had enough of you, Melinda!:

     http://www.youtube.com/watch?v=LU6nCzeWZE4

Une autre journée à l'école, une autre journée horrible. Déjà que Naisho c'était réveillé plus tard, ce qu'il détestait parce que ça lui avait empêché de déjeuner (pas de prendre une douche, Naisho ne peux se passer d'une douche!) et de se sécher correctement après la douche (...No comment), il avait en plus fallu que sa soit sa ''journée favorite de la semaine'': Celle qu'il est toujours dans les mêmes courts que l'horriblement détestable Mélinda Warren! Cette fille était l'incarnation du mal! Elle était tout ce que Naisho détestait: Arrogante, populaire, maligne et encore une longue liste de choses! Beaucoup n'osait pas lui dire ses quatre vérités tout simplement parce qu'elle était séduisante. Naisho ne pouvait pas lui enlever ça, cette fille avait le don de se faire aimer facilement par les gens normaux. Mais lui, LUI, il n'était pas normaux, il n'était pas un idiot qui tombait dans le panneau des apparances! Oh que non, il savait exactement (bon, pas tout à fait exactement non plus) ce que cette Mélinda était: Une v...ilaine personne!

Donc, Naisho arrive de bonne humeur, préparer pour une magnifique remplie de papillon, d'oiseau, de sang, de meurtre, de souffrance , de... Oui, Naisho n'était pas de bonne humeur. Il arrive dans son court, les cheveux encore mouillés, le regard sombre, les cahiers tenus un peu n'importe comment. À peine eux -t-il le temps d'entrer qu'il sent la majorité des regards sur lui et entend quelques rires. Naisho fit face aux gens et beaucoup arrêtaient de trouver sa drôle. Pour plusieurs, quand un géant de quasiment 1 mètre 90, sportif au maximum et réputer pour ne pas avoir de patience te regarde avec un regard sombre, arrêter de rire est un automatisme. Pour tous? Non, Quelque part dans la classe, une fille résistait encore et toujours à l'effet d'un regard sombre: Mélinda Warren. Naisho poussa un soupire en regardant le bureau vide à côté d'elle, sachant très bien que c,étais le sien depuis le début de l'année.

Après des explications au professeur qui traita Naisho d'irréparable délinquant manquant de conviction dans la vie et qui ne réussirait jamais à réussir avec cette attitude, il put finalement allez s'asseoir, frustrer, déranger, mouiller et humilier. Il ouvre ses cahiers, réalisant bien vite qu'i s'est mélangé et à oublier un des cahiers de note. Il avait plutôt emmené son cahier de dessein. Il regarde aux alentoures, particulièrement vers Mélinda et repousse son cahier un peu à sa gauche, le laissant ouvert. Naisho écoute un peu ce que le professeur en avant dit, sans grand intérêt. Quelqun cogna à la porte et l'enseignant alla voir qui était là. Pendant ce temps, Naisho se retourne vers Mélinda et lui parle à voix basse.

Tu avait l'air plutôt contente de me voir arriver en retard, Mélinda. Toujours aussi heureuse du malheure des autres?
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 06 juillet 2012, 10:29:47
Mélinda était venue en cours ce matin. Elle n’avait pas dormi de la nuit, et avait préféré, comme à son habitude, faire l’amour. Comme elle n’était pas fatiguée, elle avait décidé d’aller au lycée. Tant qu’à faire... Elle aimait bien le lycée, après tout. Les élèves étaient plutôt beaux, et sa réputation de garce commençait à lui valoir quelques admirateurs, outre que ses protégées. Cette réputation l’avait en effet conduite à remettre à sa place des petits caïds, des pétasses, mais aussi les souffre-douleurs. Quand elle avait vu un sportif racketter un petit gros avec des lunettes, elle avait boxé le premier, mais aussi le second. Mélinda ne comprenait pas cette logique terrienne à s’écraser, et à ne jamais faire face à l’adversité. Les humains lui apparaissaient toujours comme des soumis naturels, des insectes, des proies qui se prenaient pour des seigneurs. C’était risible.

Elle avait un cours d’Histoire s’étalant sur deux heures aujourd’hui. Le senseï visait une thématique assez large, inscrite au programme : le monde au 19ème siècle. Le premier cours avait été une longue introduction dans laquelle l’homme avait essayé d’expliquer que les changements politiques, économiques, et sociaux du 19ème siècle avaient façonné le 20ème, et étaient « absolument indispensables pour appréhender les grands enjeux qui ont déchiré notre précédent siècle ». Le premier chapitre de cette thématique s’était naturellement concentrée sur l’Asie, notamment sur le Japon et la Chine. Le premier entrait dans le commerce international avec l’ère Meiji, et le second commençait à s’effondrer et à être grignoté par les Occidentaux sous la chute de la dynastie des Qing. Cette première partie terminée, le prof’ s’était attaquée à la plus longue, le plus gros morceau : l’Europe, où le chapitre avait été divisé pour chacune des plus importantes nations européennes de l’époque : la Russie, symbole par excellence de la dictature, la Prusse, la France, et l’Angleterre. Les autres nations, comme l’Espagne, ou l’Italie, ne seraient, faute de temps, qu’évoqués brièvement.

C’était donc un vaste programme, qui amenait Mélinda à se rappeler que, de tous les cours, elle préférait indéniablement l’Histoire. L’Histoire de Terra n’était pas bien compliquée. Trois surpuissantes nations, et tout un tas de péquenauds. On en faisait le tour en une heure, mais la Terre... Seigneur... Dès qu’on laissait les humains seuls, ils nous sortaient quelque chose de fabuleux ! L’Histoire de la Terre méritait bien sa majuscule, tant elle était fascinante et riche. Surtout celle de l’Europe, puisque chaque pays avait suivi un développement différent, que ce soit la France, une espèce de république monarchiste centralisatrice, la Prusse, l’éternelle conquérante, les éternels Teutons qui rêvaient de cette période lointaine où le Saint-Empire romain germanique dominait l’Europe, l’Angleterre, avec cette opposition ancestrale entre le Roi et les parlementaires, entre les Anglais, les Écossais, et les Irlandais, la Russie, qui avait, sous l’influence de tsars, réussi à créer un modèle parfait d’autoritarisme, le tsarisme. Il y avait donc beaucoup de choses à dire sur l’Europe.

« Comme nous l’avons vu la dernière fois, c’est en 1815 que l’Empire napoléonien s’écroule totalement. Ou presque... Car il ne fallait pas croire que les idées révolutionnaires propagées par la France n’ont pas trouvé d’échos dans les pays victorieux. C’est sur cette optique que les monarchies victorieuses ont décidé de former entre elles une alliance ayant pour but de maintenir la paix dans l’Europe, et d’éviter de nouvelles révolutions. C’était la Sainte-Alliance. Notez, notez... Elle a été signée à Vienne en Septembre 1815, et, disons que, pour résumer son but, on peut la comparer à une espèce d’assistance de secours mutuelle entre monarques absolus. Hum ? Oui, Takeshi ?
 -  Un genre de ‘‘3615 SOS monarque absolu en détresse’’, non ? »

Il y eut quelques rires étouffés, et le professeur sourit.

« C’est une belle image, mais évitez de la mettre dans les copies. Au début, il n’y avait donc que trois pays, qui étaient... »

Ce fut à ce moment qu’on frappa à la porte. Plutôt cool, le prof’ avait les pieds sur le bureau, la chaise basculée en arrière, et fronça soudain les sourcils, agacé.

« Entrez ! »

Mélinda releva la tête. Elle n’avait noté que très partiellement. Elle connaissait l’histoire dans les grandes lignes, et elle était plutôt surprise d’apprendre quelque chose. Ce fut donc avec une pointe d’agacement qu’elle vit une espèce de grand con aux cheveux bleus débarquer. Le prof’ s’énerva devant ce retard.

« Je veux pas de vos excuses ! Et on s’étonne que la jeunesse aille aussi mal, avec des tire-au-flancs pareils ! Vous voulez finir chômeur, c’est ça, hein ? Faire partie de ces comiques qui se plaignent de ne trouver aucun boulot ? Normal, quand on en fiche pas une à l’école ! Si on a pas de diplôme, c’est qu’on travaille pas. Et, si on travaille pas, et ben, c’est pas le travail qui va venir à vous. Allez, filez vous asseoir, et tenez-vous à carreaux ! »

Ça, c’était du prof’. Il y eut surtout des rires sous cape, et le grand dadais alla s’asseoir à côté de Mélinda, qui ne lui accorda même pas un regard. Le senseï ne tarda pas à reprendre :

« Pour bien comprendre ce qui s’est passé après la chute de l’Empire napoléonien, il faut bien avoir en tête que l’Empire a instauré de profonds changements dans l’Europe. Et il faut surtout bien comprendre à quel point les monarchies avaient peur de la Révolution à la Française, cette révolution où on guillotine à tour de bras. L’Autriche, la Prusse, et la Russie, furent donc les moteurs de la réorganisation de l’Europe, avec pour idée fédératrice celle de préserver la paix, la justice, la monarchie, et la religion chrétienne. Les piliers de l’Europe, en quelque sorte. Dans cette optique, il y a un nom qui symbolise bien cette ancienne Europe, conservatrice et monarchiste. Quelqu’un qui avait vu en Napoléon un fou furieux, un Robespierre à cheval. Il s’agissait, je vous le donne en mille, de Metternich, et... »

On frappa à nouveau à la porte, et le prof pesta, avant de se lever, et d’aller ouvrir en personne. Le grand dadais en profita alors pour parler à Mélinda, qui tourna la tête vers lui.

« Tu avait l'air plutôt contente de me voir arriver en retard, Mélinda. Toujours aussi heureuse du malheure des autres ?
 -  Hein ? »

Mélinda cligna des yeux, le temps de comprendre ce que ce grand type disait, et répliqua rapidement, laissant parler son inspiration :

« D’où tu crois pouvoir m’adresser la parole comme ça, toi, face de cul de poubelle ? Avec moi, c’est ‘‘Oui, Madame’’, et ‘‘Merci, Madame’’. Quand je t’ai vu, j’ai cru voir un gorille débarquer. T’en as la coupe, la taille, le poids... Et visiblement aussi le mental. Alors ouais, ça m’a bien fait rire... Euh... Comment tu t’appelles, déjà, machin ? »

Elle répondit rapidement à sa question :

« Nichon, ou quelque chose comme ça ? »
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le vendredi 06 juillet 2012, 21:30:06
Une réponse...forte, c'était le cas de lui dire. Mélinda n'avait jamais caché son plaisir à faire mal aux gens, comme si elle se croyait supérieure. Elle était aussi le genre de fille qui insultait beaucoup, avec beaucoup moins de classe qu'ont pourrait s'attendre d'une fille ressemblant à ça.

Naisho...je m'appelle Naisho Yujima. Je sais que madame vas bientôt l'oublier, étant trop occupé par ses préoccupations hyper importante comme... ou encore... en fait, c'est bizarre. Plus j'y repenses, plus j'ai l'impression que, à part être une plaie dans la société, vous n'êtes pas grand-chose... Madame!

Naisho, sourire en coin, attrappe un crayon et son livre de dessein.

Non, j'ai peut-être été trop sévère envers t...vous! Vous servez à bien des choses! Vous êtes une source d'inspiration pour toute les petites garces, vous êtes la raison pour là-qu'elle certaines personnes s'entraînent pour avoir l'air moins faible, en fait, vous êtes tellement chiantes que vous changez le monde! Pour moi aussi, vous êtes une grande source d'inspiration! La preuve, c'est que, jusque en vous regardant, vous m'avez inspirez un dessein!

Naisho commence a dessiné sur son cahier, plus il avançait, plus un serpent était plus visible. Sauf que ce n'était pas n'importe qu'elle serpent, oh non, c'étais un des fils de Loki, le serpent de Midgard, Jörmungand. Il le dessina, entourant la planète, entrain de se mordre la queue. Il regarda Mélinda un instant, approchant son dessein d'elle, comme s'il comparait les deux images devant lui. Naisho écrivit en haut de l'image: Représentation de Mélinda Warren.

Tu me rappelles étrangement se serpent Mélinda. Tu es puissante, égocentrique, tu prends toutes la place, mais un jour, s'il n'est pas déjà arriver, tu vas t'emmener à ta propre perte! Croît-moi, madame Warren, si tu penses pouvoir échapper à ta destiner, tu te trompes grandement. Tout comme se serpent, un jour, tu t'éteindras. Beaucoup t'oublieront, certains vont avoir de vague souvenirs, mais au final, personnes ne vas réellement se rappeler de qui tu était. Personne ne vas se rappeler de toi, parce que personne vas vouloir repenser à Mélinda Warren.

Naisho repprte son attention sur son cahier. Il était bien content d'avoir emmené celui-là et non pas le plus grand. Considèrent le fait que , au début de l'année, il avait fait un grand dessein de Mélinda , ne la connaissant pas encore bien, il aurait perdu pas mal de crédibilité. Il changea de page. Continuant de dessiner. Cette fois-ci, c'était du feux, deux feux différents qui finissent par s'entremêler. Il pris deux crayons de couleurs, un bleu et un rouge. Il dessina les deux feux, avant de marquer un N dans le bleu et un M dans le rouge. Naisho se retourne a moitié vers Mélinda,avec un sourire arrogant.

J'éspèr que tu es bonnes aux échecs Mélinda, parce que tu est entrain de t'embarquer dans toute une partie!  
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 08 juillet 2012, 13:12:22
Naisho... Ça lui revenait, maintenant ! En même temps, ce lycéen était du genre asocial, et Mélinda ne s’y était jamais intéressée plus que ça. Elle ignorait si ce dernier s’était trouvé une copine, ou avait tout simplement envie de mourir, mais il continua dans ses moqueries, allant jusqu’à la représenter sous la forme d’un serpent. Fronçant les sourcils, Mélinda l’écoutait et le regardait en essayant de se demander si ce gars n’avait pas tout simplement envie de mourir.

*C’est quoi son problème, à ce type ?*

De plus, représenter Mélinda en tant que serpent était une représentation légèrement imprécise. Une représentation bien plus correcte aurait été de la mettre en tant qu’araignée essayant progressivement de dominer le monde. Toutefois, ses ambitions étaient bien plus modestes. Il dessina ensuite à nouveau, et montrant deux feux... Est-ce que, dans son arrogance, ce primitif se croyait son égal ? Cette idée était tellement saugrenue qu’elle éclata de rire à la dernière remarque de ce zouave :

« J'éspèr que tu es bonnes aux échecs Mélinda, parce que tu est entrain de t'embarquer dans toute une partie ! »

C’était plus fort qu’elle... Ce minus la mettait au défi ?! Elle ? Diable, mais la menace était sérieuse ! Elle ne put pas se retenir, et se mit à glousser, avant de se tenir les côtes, et de rire à gorge déployée, si tant est que tout un chacun se mit à la regarder, se demandant si la belle Mélinda n’avait pas fini par péter les plombs. On se regardait entre soi, haussant les épaules, ne parvenant pas à comprendre ce qui lui traversait l’esprit.

« On peut savoir ce qui vous amuse, Mademoiselle Warren ? »

Revenu dans la salle, le senseï croisait les bras, fronçant les sourcils, ne partageant visiblement guère cette plaisanterie. Mélinda se força donc à se calmer, se mordillant les lèvres, et secoua la tête, faisant remuer ses beaux cheveux.

« Désolée, senseï... J’ai repensé à une anecdote amusante, tout simplement...
 -  Et bien, faites-en donc partager toute la classe !
 -  Je ne voudrais pas retenir le déroulement de ce cours... Disons qu’elle concernait un gorille qui essayait d’apprendre les mathématiques... fit Mélinda en regardant brièvement Naishoa.
 -  Lui faire apprendre l’Histoire aurait été mieux. Je vous demanderais de bien calmer vos humeurs, Mademoiselle Warren. »

Le senseï n’en dit pas plus. Il connaissait la réputation de Mélinda Warren. Une incontrôlable boule de nerfs, mais, dans son cours, elle était plutôt sage. Ce n’était pas comme dans le cours d’anglais, où elle avait été jusqu’à frapper une élève. Et, à vrai dire, le senseï l’aimait plutôt bien. Elle se faisait respecter, tout simplement, et bien des élèves l’appréciaient. Avant qu’elle ne soit là, obtenir l’attention de la classe était toujours un exercice difficile. Ça l’était maintenant bien moins. Elle était un bon élément, même si elle était un peu spéciale.

« Bon... Où en étais-je, moi ? Ah oui, Metternich ! Il est important de s’arrêter un peu sur cet homme, car son rôle a vraiment été primordial dans l’Europe post-napoléonienne. Il... »

Tandis que le senseï dévissait, Mélinda se retourna vers Naisho. Elle ne doutait pas une seule seconde que ce comique était très sérieux dans son exposé, et elle se racla lentement la gorge, avant de se mettre à compter sur ses doigts, yeux clos, se concentrant, comptant les noms.

« J’ai actuellement 23 lycéennes qui résident dans mon établissement. Et à peu près, sauf erreur de ma part, 200 employés qui sont sous ma responsabilité. Toi, tu as quoi ? Un chat ? Un poisson à t’occuper ? Une copine, si une fille a été suffisamment désespérée pour sortir avec un type qui ressemble à un croque-mort ? »

Elle parlait avec dédain. Dans les 200, elle incluait, outre ses prostituées, les majordomes, les gardes, et les chasseurs de têtes, ceux qui allaient lui trouver des esclaves précieux pour les dresser. Elle acheva alors, avec un sourire espiègle sur les lèvres :

« Et je ne suis pas un serpent, petit Naisho... Non, je ressemble bien plus à une araignée. Ma création, ma toile, est d’une incomparable beauté, et ma cruauté... Ma cruauté est sans limite. Je suis une prédatrice, et toi, petit crétin, tu es une proie. Alors, méfie-toi. Tes dessins à la con, tu peux te les foutre dans le cul et chier dessus, car ce n’est pas ça qui m’empêchera, si tu me tapes trop sur le système, de te rappeler ta position dans l’échelle sociale, génétique, et, plus simplement naturelle : à récurer la merde. »
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le dimanche 07 octobre 2012, 23:01:42
Oulà... elle avait du caractère la petite. Dans la majorité des cas, Naisho aurait beaucoup aimé sa, rien de mieux qu'une fille qui sait ce qu'elle veux. Mais quand la fille veux le monde entier à ces pieds et être respecter par tous, c'est tout de suite moins plaisant. Surtout quand elle ne fait pas grand chose pour être aimé. Elle impose le respect, c'est sûre,  même lui la respecte en quelque sorte. Après tout, elle est tout de même au top du monde, est encore jeune et semble avoir toute les possibilités ouverte à elle.  Le problème, c'est qu'elle le sait et en profite pour que tout le monde le réalise.  Insulte gratuite, ironie, désintérêt totale, c'est une reine. Une majestueuse mais insupportable reine de Seikusu.  Il la regarda au moment qu'elle racontait l'histoire du gorille et ne put s'empêcher d'avoir un sourie en coin. Lui, un gorille? Oui il était grand et imposent, mais il était plus que sa. Il aimait apprendre, lire, dessiner, écouter de la musique et ce genre de chose. oui, il adorait le sport, s'entraîner et le fait d'être imposent, mais ce n'était pas pour des raisons de fierté.  Naisho ne faisait pas que détester Mélinda. Au fond de lui, il s'avait qu'il en avait aussi peur. Toute sa jeunesse, il avait été mit au pied d'une personne supérieur à lui, en l’occurrence, son père.  Torturer, battu, considérer comme n'étant absolument rien excepter un objet de torture et la raison de tout les malheurs de ce monde, il avait apprit à ce méfier de ce qui était considérer comme étant meilleur.

Naisho se re-concentra sur Mélinda qui le regardait de nouveau. En fait, non. Elle était tourner mais avait les yeux fermés, se concentrant sur quelque chose. Naisho attendait la réplique de Mélinda en se donnant un air faussement désintéresser. Il dut admettre que la réplique était...forte.   S'il avait entendu parler de l'influence de cette fille, il en avait manqué des bouts particulièrement importent. Autant de personne à la fois sous le contrôle d'une seule personne? Il y avait quelque chose d'étrange. S'il aurait entendu des paroles du genre dîtes par un homme ou une femme de 30-40 ans, riches aux aces,  il aurait trouvé sa normal. Sauf que là, c'était une étudiante qui parlait. Quelqu’un  qui semblait avoir environ son âge.  Il la regarda, parla d'une voix morne mais avec une certaine curiosité dans les yeux.

200 employés? Eh bien, toute mes félicitations. Autant de personne à tes pieds, tu doit te sentir si grande, si forte, si majestueuse... Mais dit-moi, Mélinda, à quoi peux-te servir 200 personnes? Je peux bien croire que vous êtes vingt-quatre résidente , mais sa reste exagérer. Quelques majordomes, des cuisiniers, des femmes de chambre... mais après sa?

Naisho reporte son attention sur le cahier de dessein pendant un moment, semblant réfléchir à une théorie. Il ouvre le cahier, prend un crayon et commence à dessiner, levent son bras droit pour essayer de cacher ce qu'il fait à Mélinda.

Yujima! Que faîtes-vous?!

Naisho releva la tête et sourie au proffesseur.

Eh bien , je me demandais quelque chose.  J'aurait une question à caractère historique, mais je ne suis pas sûre qu'elle rentre dans le sujet actuelle.

Si sa fait en sorte que vous arrêtez de perturbé mon court, sa vas me faire un plaisir  de répondre!

Naisho referme son livre pour montrer qu'il est sérieux et commence à parler.

Eh bien, je me demandais, si ont prend par exemple un Roi de France. Dans ces employés, il avait des majordomes, des personnes pour s'occuper de la cuisine , d'une armée, mais y avait-il, ce que je pourrait appeler des employés de l'ombre? Des gens qui avaient des travaux au noms du Roi qui était moins... digne que d'autre?


Le professeur regarda Naisho avec un air interrogatif, essayant de comprendre le but de la question. Naisho comprit la situation et donna donc la première excuse à lui venir en tête.

Je veux écrire un livre qui prendrait lieux dans un royaume. J'aimerais vraiment être le plus réaliste possible pour représenter le style de vie que la Royauté avait.

Ah oui, certains de tes enseignants m'avaient parlé du fait que tu était très intéresser par toute les sortes d'art.  Bon,certains m'on aussi dit que tu avait de l’intérêt dans certaines classe, ce qui me semble totalement faux, mais bon, c'est peut-être juste la matière. Mais pour répondre à ta question, bien sûr qu'il y avait des rôles de l'ombre. Par exemple,les messagers, qui risquaient leurs vie pour emmener une lettre, un cadeau ou même une déclaration de guerre  à un autre royaume.  Si le roi avait une armée, il n'était pas rare qu'il ait des mercenaires, des personnes payés pour aller faire des missions plus ingrates.  Il  y a les esclaves, bien sûr. Sans oublier les femmes de joie, les courtisanes, qui pouvaient rapporter de l'argent au Roi dut à leurs corps. La majorité des éléments d'un Empire de l'époque pourrait exister dans une entreprise  de nos jours.  À certaines exceptions prêtes. Par exemple, les mercenaires ne sont plus des soldats qui passe d'un endroit à l'autre dut à l'argent. Habituellement, ils resteraient avec la même personne et aurait une mission précise.  Les courtisanes elles... et bien, disons qu'elles servent pour faire sentir les visiteurs et investisseurs confortable...  C'est un résumer plutôt court ,même incomplet. Je pourrait t'en dire plus à un autre moment.

Naisho prenait tout en note et remercia le professeur. Par la suite, il se retourna vers Mélinda. Sourire au lèvre , il finit par lui adresser la parole.

Je présume qu'avec tout ce qu'il a dit...sa ferait du sens d'avoir 200 employés.  J'aurait jamais deviner.  T'en a d'autre, des petits secrets comme sa? Sa vas être  quoi la prochaine découverte? Que tu ne soit pas humaine?

Naisho croyait tout connaitre, en ayant vut des Esper, des nekos et d'autre créatures. Mais pas de vampire, il n'a jamais entendu parler de l’esclavagisme à Terra et de plusieurs autres choses. En d'autre mot, il a vu un arbre et penses avoir vu la forêt au complet.   
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le mardi 09 octobre 2012, 01:02:26
Plus les minutes passaient, et plus le jeune homme continuait à casser les pieds de Mélinda. Venir au lycée était déjà suffisamment difficile pour elle sans qu’on vienne en plus la harceler avec des stupidités. Au lycée, la vampire devait se comporter comme une inoffensive lycéenne obligée de suivre les ordres et les directives de fonctionnaires imbéciles. Pour elle, c’était comme si un gueux venait commander à son seigneur. Mélinda était une vampire, la représentante d’une race supérieure. Dans un monde meilleur, sa seule présence aurait du auréoler la vie de tous ces microbes puants qui croupissaient près d’eux. Naisho aurait du se sentir honoré que Mélinda l’autorise seulement à lui parler. Au lieu de ça, il la narguait, se moquait d’elle...

*Dans un monde meilleur, il y a longtemps que j’aurais enfoncé mes belles petites griffes dans ton gorge pour t’apprendre le respect... Si seulement tu savais à qui tu t’adresses, tu ne me parlerais pas ainsi, tu tremblerais devant moi, vermisseau.*

Il était de plus en plus tentant pour elle d’agir, et de calmer cet étudiant qui, à son goût, l’embêtait un peu trop. Au lieu de ça, Naisho choisit de poser une question au senseï. Surpris, ce dernier consentit à y répondre, et Mélinda écouta d’une oreille distraite, en profitant pour rétracter rapidement ses petites griffes. Sous la colère, ces dernières avaient commencé à pointer. Fermant les yeux, elle tenta de se calmer, inspirant et expirant lentement. Finalement, Naisho se retourna vers elle, et semblait... Légèrement surpris.

Mélinda avait effectivement sous sa responsabilité un certain nombre de personnes... Et elle faisait des économies. Ses prostituées étaient ainsi tour à tour serveuses dans le restaurant du harem, et femmes de ménage. Comme elles étaient ses esclaves, elles se vouaient entièrement au harem, et, en fonction du planning, nettoyaient les chambres, ou contribuaient à les salir. Ses protégées constituaient le cœur de son harem. A côté d’elles, on trouvait les gardes, nombreux au sein du harem. Ils protégeaient ce dernier, et surtout le personnel. Il était fréquent que des clients abusent des filles, et fassent des choses qu’elles ne voulaient pas. Dans ce cas, les gardes intervenaient. Cependant, ils pouvaient aussi agir pour empêcher certaines filles de s’enfuir. C’était rare, mais ça arrivait. Parallèlement, il y avait aussi des cuisiniers, du personnel en plus, des secrétaires, des hôtesses d’accueil, des formatrices, des infirmières, etc... Et même un conseil d’avocat. En somme, il y avait aisément de quoi trouver au moins 200 personnes.

Naisho lui avait demandé si elle avait d’autres « petits secrets ». Entre-temps, le cours sur l’Europe postnapoléonienne avait repris. La vampire réfléchit brièvement, cherchant la meilleure manière de lui répondre. Elle pouvait l’envoyer sur les roses, ou, au contraire, lui en dire un peu plus. La deuxième idée fut finalement la plus tentante, et elle lâcha donc :

« Je ne suis pas une Reine... Même si c’est ainsi que mes... Que mes employés me considèrent. »

Employés... Le terme était mal adapté. Mélinda avait bien plus d’esclaves que d’employés, mais elle savait que, sur Terre, l’esclavage était mal vu. C’était compréhensible ; la Terre étant principalement, ou presque, peuplée d’humains, l’égalité est un concept valable. Sur Terra, où on trouve de tout, prétendre chaque individu égal à un autre n’avait pas de sens. Pouvait-on comparer un humain à un ange ? Un neko à un démon ? Un vampire à une goule ? Ça n’avait pas de sens. L’égalité n’avait pas de fondement logique sur Terra, et l’esclavage pouvait donc y être admis. Il n’y avait que quelques illuminés pour prétendre le contraire.

Le sourire de Mélinda révéla alors ses canines pointues, qu’elle poussa pendant quelques secondes, de manière ostensible. Elle voulait que Naisho les voit, et qu’il comprenne à qui il avait affaire. Elle reprit ensuite, une lueur de malice malsaine dans les yeux :

« Quand tu es né au monde, petit Naisho, quand tu étais un petit bébé chialeur, j’arpentais déjà les villes et les villages... Et, quand tu ne seras pas qu’un vieux débris loqueteux qui ne parviendra pas à marcher sur plus de dix mètres sans avoir le dos cassé, je serais toujours là, toujours aussi belle... En d’autres termes, Naisho, et, pour en revenir à ce que je te disais tout à l’heure : tu n’es rien pour moi. Rien de plus qu’une petite parenthèse de vie qui disparaîtra pour moi aussi rapidement qu’elle est venue... Alors, je te conseille bien de profiter de ta vie, car ton existence est terriblement éphémère. »
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le dimanche 04 octobre 2015, 04:39:25
Ah tiens, madame ne se dit  pas reine. C’est bien, sa démontre un… est-ce que ces dents viennent de grandir?....Oh….OOOOOH!  Sa c’est pas les petites nekos affectueuses qui avaient ce genre de trucs!... Excepter une, mais ce n’était pas pareil, elle était à moitié-chienne.  Aniway, ce n’est pas sa le sujet.  Le sujet? C’EST UN VAMPIRE!  Si Melinda à le sens d’observation, elle vas clairement voir le poing du géant se refermer, son regard fixer les canines et de la sueur couler du front.  Bien entendu, il va s’excuser, se fermer la gueule et…

Oh…euhm…je vois qu’il y avait un détail que je ne savais pas. Quand même surprennent, avec le nombre de fois que tu t’ouvres  la gueule, j’aurais jamais cru qu’il y aurait quelque chose de cacher à l’intérieure.  L’autre monde est remplie de surprise…peu semble être bonne.

... Bon. Certaines personne  pourrait dire que c’est de la folie. Qu’aucune personne saine ne devrait s’attaquer verbalement à quelqu’un venant clairement de prouver qu’elle était d’une race supérieure. Certains pourraient dire que seul un fou oserait continuer d’argumenter avec Melinda après ce qui a été dit.  Toutes ces personnes auraient raison, sans le moindre doute. Mais il ne faut pas oublier une chose : Naisho n’est pas exactement sain d’esprit.  Plus particulièrement, il est incapable de respecter toute sorte d’autorité tentant de le rabaisser par la force. Est-ce un comportement enfantin causé par un manque de maturité?  Pas tout à fait. Disons tout simplement que sa relation avec son père, plus particulièrement les longues séances de torture,  ont laissé des séquelles physique et mentale.  Rejet de l’autorité, incapacité à faire confiance aux autres, peur du feux, de plusieurs objets tranchants et bien d’autre chose. Il ne faut pas croire qu’il ne ressent pas la moindre peur en ce moment même.  Sa réponse est arrogante et provocante, mais le ton de voix ne suit pas. Il démontre clairement de l’inquiétude, tout comme le regard. Mais il est incapable de s’avouer vaincu, ce n’est plus dans sa nature.  Plus jeune, il n’aurait suffi qu’elle lui demande de lui embrasser les pieds et il l’aurait fait pendant des heures. Mais maintenant, le géant n’étais plus le petit enfant effrayer, il était borner, incapable de s’avouer vaincu.  Un humain, c’est ce qu’il était.  Mais un faible,un esclave? Il ne pouvait se l’avouer.

Laisse-moi être claire, je comprends, t’est un vampire. C’est impressionnent, croit-moi. Je sais pas si ça te rends d’avantage excitante ou un peu plus repoussante, mais ça te donne un style.   Je comprends que sa fait de toi un être génétiquement plus fort que moi, c’est bien, tant mieux pour toi.

Naisho pris une pause afin de se racler la gorge. Il comprenait le fait qu’il était dans une situation particulièrement mauvaise. Avec Nycy toujours  pas revenu de son dernier séjour sur Terra, il n’avait pas une fille lanceuse de feux pour l’aider.  Il était lui-même un simple humain. Particulièrement grand et fort, oui. Athlétique, bon cardio et capable de prendre des coups? Définitivement.  Mais quand il vient temps d’affronter une créature pouvant te vider de ton sang avec ces dents, une créature réputer pour sa force, sa rapidité et plein d’autres habilités ? Eh bien, il ne fait pas le poids.  Naisho commença à jouer avec ces doigts, les bougeant un à un, tentant de trouver les mots.

Je n’ai pas surpassé toute les épreuves, je n’ai pas dépassé toute les expectations et je n’ai certainement pas tenu tête à toutes ces personnes seulement pour m’agenouiller devant toi et arrêter de me battre.   Peut-être que 200 personnes te considèrent comme une reine, je les comprends. Je suis sûr que tu as une force incroyable, en plus de tes charmes… tes charmes physique quoi.Mais je ne fais pas partit de ce nombre.   Tu n’es pas celle qui me donne des ordres le matin, ni ma raison de vivre. T’est Melinda Warren,  celle qui me fait regretter mon lit chaque jours.

Soupire de Naisho, définitivement pas habitué à devoir s’exprimer de la sorte. Déjà qu’il ne parle pas souvent et surtout, depuis quelque temps, il n’avait plus été la personne en position de faiblesse. La dernière fois, c’était avec le Terranide loup-garou, mais ce dernier n’avait aucune intention  négative envers le jeune homme. Melinda elle? Elle était différente. Menaçante, à l’air cruelle, prennent plaisir à intimider Naisho…. La situation ne se ressemblait  pas du tout.  Sauf qu’il sentait une certaine rage à l’intérieur de lui. La situation était loin d’être plaisante et sa le frustrait. Devait-il vraiment toujours se prosterner pour toute créature venant d’un autre monde? Était-il née avec une laisse invisible que seul l’élite pouvait observer? Son premier contact avec Terra, Nycy, avait été si bon, parfait et remplie de bonne volonté, que de voir toute ces bonnes impressions briser, rejeter et bafouer en devenait particulièrement dérangeant.  Cette Melinda, en une seule personne, était capable de  représenter quasiment tout ce qu’il détestait.

Tu peux me traiter de parenthèse si tu veux.  Tu peux me traiter de personne juste bonne à récurer de la  merdre si sa t’intéresse.  Tu peux même montrer tes canines dans le but de m’intimidée.  Est-ce que je peux y faire grand-chose? Pas vraiment.  Mais je vais pas me prosterner devant toi.  Certaines parenthèse devienne très importante et emmène un sens à une histoire. Un énorme texte peux devenir inutile s’il n’y as pas de précision apporter grâce à ces parenthèse.  Napoléon, Cao Cao, Nobunaga Oda et bien d’autres n’étaient que des simples humains, des parenthèses. Pourtant, ils ont changé le court du temps d’une planète entière.   Y seraient-ils parvenus en s’écroulant devant la première armée plus imposante qu’eux? Bien sûr que non.  Si tu veux vraiment me faire fermer la gueule, si tu veux vraiment perdre ton temps avec moi juste pour que tu te sentes si bien d’avoir ‘’remis une vermine à sa place’’ afin de faire monter ta libido ou whatever ce que ça t’apporte comme sensation,  c’est bien. Tu peux t’essayer. Mais si tu veux juste rester la fille croyant posséder le monde entier, celle qui croit que l’humanité entière devrait tomber à genoux et crier son nom, mais qui ne fait absolument rien pour y arriver, qui croit que montrer les dents lui suffira toujours à avoir ce qu’elle veut,  tu vas être amèrement déçue ma belle.   Alors, je vais faire comme si c’était jamais arriver, je vais retourner à mes choses et éviter le plus possible de me remettre dans ton chemin.   Je vais peut-être devenir un vieil homme au dos briser, mais il vas s’être briser avec le temps et l’effort physique, pas à force de me courber devant tous ceux me le demandant.

Pour la première fois  depuis qu’elle fit pousser ces dents,  Naisho fut capable de détourner son regard  et porta de nouveaux attention à ces notes.  Venait-il de faire la pire erreur de toute sa vie? Probablement, mais il avait voulu faire passer le message.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le mardi 06 octobre 2015, 10:29:58
Plutôt que de se courber, l’homme qui avait interpellé Mélinda continua à la narguer, commençant par l’insulter, ce qui la fit grincer des dents... Une provocation qui ne pourrait guère rester sans conséquence. On n’insultait pas Mélinda Warren comme ça ! La vampire lui avait montré qui elle était, et prit conscience que Naisho était sans doute suicidaire. Plus il parlait, sans tenir compte du cours d’Histoire, et du pauvre senseï déblatérant dans le vide sur le système Metternich, et plus Mélinda avait l’intime conviction que, fondamentalement, cet homme n’était qu’un tâcheron, interchangeable parmi d’autres tacherons, qui voulait juste faire son intéressant en s’en prenant à une fille qui était assez populaire au sein du lycée, qu’on détestait autant qu’on l’appréciait. Il continuait à parler, citant Napoléon et d’autres personnes dont le point commun était d’avoir été des militaires : le Chinois Cao Cao et l’unificateur japonais Oda Nobunaga. Elle le laissa parler. Le senseï avait le dos tourné, ce qui faisait qu’il ne devait pas trop entendre ce que Naisho disait... Mais, et peu importe dans le fond ce qu’il disait, Mélinda en était toujours restée à sa première réplique. Elle avait envie de l’égorger, et, alors qu’il parlait, ses ongles étaient devenues des griffes tranchantes et acérées, qui déchirèrent ses feuilles.

Shii (http://img72.xooimage.com/files/2/a/7/shii-32114ee.jpg), qui se trouvait à côté d’elle, avait tourné la tête vers ces discussions, et fronça les sourcils en voyant sa Maîtresse sortir ses griffes. Shii était une jeune fille, une lycéenne timide, mais aussi très intelligente, l’une des grosses têtes du lycée, qui avait toujours les meilleures notes de la classe... Et c’était l’une des esclaves de Mélinda, et elle pouvait clairement voir que cette dernière était énervée.

Naisho termina en disant qu’il voulait aller à autre chose, et Mélinda le regarda sans rien dire... Puis elle se retourna alors à son tour, observant la salle, faisant sembler d’écouter les explications de l’homme sur l’Europe du milieu du 19ème siècle, sur la crainte des monarques européens de se retrouver face à des vagues démocratiques et de rébellion... Et, soudain, la main de Mélinda se posa sur la cheville de l’homme, et serra... Ses griffes s’enfoncèrent dans la toile de son pantalon, et percèrent sa peau.

« Je vais faire court, moi aussi... Ce soir, je vais t’éduquer... Tu peux te comparer à qui tu veux, petit Naisho... Tu citeras Napoléon quand tu seras dans ma cellule... »

Elle serra encore un peu, enfonçant ses griffes de quelques millimètres... Puis releva sa main, et lécha alors ses doigts remplis de sang, une lueur de perversion brûlant dans les yeux.

« Sois heureux... Si je n’étais pas aussi gentille, je t’aurais égorgé sur place. »

C’était au moins une affirmation claire.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le lundi 28 décembre 2015, 23:06:32
Il y a des moments dans la vie d’un homme qui nous pousse à se questionner.  Quand nous devenons suffisamment grand pour déménager et quitter notre famille, comme Naisho l’as fait auparavant.  Quand on rencontre des personnes qui brisent notre vision du monde, comme il est arrivé le jour qu’il rencontra Nycy.  Plusieurs de ces moments sont très importent, mais peu, voir aucun, ne le sont autant que ce moment précis, le moment où une personne fait l’erreur du siècle : Provoquer une chose que l’on ne peut vaincre.  Même s’il était incapable de se l’admettre, il devait se l’avouer : Face à Mélinda, il ne pouvait rien faire.  Lui qui avait habituellement l’avantage physique contre les autres était incertain de la puissance de cette femme.  Qui sait, peut-être que les histoires de vampires avaient tout exagérés? Après tout, il était le jour et elle n’éclatait pas en poussière! Quoique sa c’est négatif, puisque sa lui enlève une faiblesse. Mais si cette chose était fausse, combien d’autre le sont? Si sa se trouve, les vampires ne sont que des humains à grande dents et qui vivent bien plus longtemps que la moyenne? Une évolution de la race humaine? Quoique si ce n’était que ça, elle ne serait pas si confiante en ces moyens.  Donc, non seulement Melinda est le genre d’adversaire qui semble imbattable,  mais en plus il était impossible de savoir exactement à quelle point elle était dangereuse. Naisho, même s’il regardait les notes en face de lui, pensait surtout à ce qu’il pouvait faire pour s’en sortir si la situation devenait plus dangereuse. Après tout, peut-être qu’elle n’allait pas répondre ou juste l’insulter en retour en lui faisant comprendre qu’elle pourrait lui faire très mal s’il recommence?  Peut-être qu’après le court elle allait lui envoyer un bon coup à la gueule histoire de lui faire comprendre sa place mais qu’après elle allait faire comme si de rien était en se disant qu’il n’oserait plus jamais se lever devant elle? Avec son immortalité et tout ça, elle devait être une femme très occupée! Quoique justement, si elle était immortelle, elle devait aussi pouvoir prendre son temps. Décidemment, tenter de comprendre un vampire, c’était compliqué et très chiant.  Peut-être pour ça que les gens ne veulent pas les affronter, trop chiant à comprendre.   

Il ne pouvait pas non plus demander de l’aide à des gens de la classe. La technique de’’ Hey toi, un vampire peux me tuer, faut que je fasse quoi?’’ A non seulement aucune crédibilité, mais qu’est-ce qu’ils pourraient faire de toute façon? Prier pour lui? Très pratique.  Même les personnes plus brillantes que lui dans la classe ne pourraient rien faire.  Comme Shii, tout près d’eux. Cette fille est intelligente, il en est certain, mais elle ne doit même pas savoir que les vampires existent réellement et elle n’est pas une combattante. Elle serait totalement inutile dans cette situation.  Décidément, il devait en venir à une conclusion : Il était seul. Du moins, pour le moment.  Après le court, il pourrait tenter de trouverJiro (http://safebooru.org/index.php?page=post&s=view&id=1489597) et Mashario (http://safebooru.org/index.php?page=post&s=view&id=1586205), après tout, les deux viennent de Terra, ils ont peut-être une idée de comment se sortir de cette situation? Quoique le premier était surtout un soldat bien ordinaire qui allait finir par crever pour un royaume qui en avait rien à faire de lui et le second était un esclave, qui as oublié bien des choses dut à sa consommation excessive de drogue.  Ah bah franchement, je ne vois pas comment un trio de la sorte pourrait perdre contre un vampire hein, c’est vraiment l’élite…du bas de l’échelle.  Même pas la peine de demander à Shelly (http://safebooru.org/index.php?page=post&s=view&id=1590806), c’est une humaine comme lui. La plus intelligente et civilisé du groupe, mais une humaine quand même. Surtout que sa position de prof faisait en sorte qu’elle devait rester un minimum distante au lycée et faire comme si, pour elle, Naisho était un élève comme un autre.  Il y avait des rumeurs qui disaient qu’il y avait quelque chose entre les deux, mais bon, il y avait des rumeurs avec quasiment chaque enseignant. Comme le fait que celui qui donne le cours d’en ce moment déteste le monde plus grand que lui. Pourtant, Naisho est dans son cours  et…. Oh….OH! Peu-importe, ce n’est pas le sujet. Le sujet étant qu’une vampire est proche de lui, avec sa main sur sa cheville  et…QUOI?!  Naisho est surpris par le geste de Melinda et a seulement le temps de baisser ces yeux pour regarder les griffes de cette dernière s’enfoncer à travers son pantalon et sa peau.


« Je vais faire court, moi aussi... Ce soir, je vais t’éduquer... Tu peux te comparer à qui tu veux, petit Naisho... Tu citeras Napoléon quand tu seras dans ma cellule... »

La douleur avait été vive et rapide. De quoi lui rappeler son enfance, quand sa mère était absente et que son père avait trop buts.  Il aurait d’ailleurs suffit que Melinda l’attrape un petit peu plus haut et elle aurait touché à une de ces cicatrices.  Les souvenirs faisaient probablement plus mal que la blessure en elle-même, mais les paroles étaient encore pire. Il n’y avait plus de doute à avoir, il avait été trop loin. Elle le regardait, avec toute la perversion du monde et en léchant du sang. Son sang à lui. La panique est quelque chose qu’il tentait d’éviter le plus possible, ça n’emmenait jamais rien de bon. Mais à ce moment précis, il avait envie de paniquer, de crier un mélange de rage, de terreur et de tristesse. Il avait juste envie de se lever et de lui envoyer son poing à la gueule, devant tout le monde.  Sauf qu’il avait aussi envie de disparaître et de ne plus jamais refaire surface, de devenir invisible pour le restant des temps. 

« Sois heureux... Si je n’étais pas aussi gentille, je t’aurais égorgé sur place. »

Cette menace était de trop. Quelque part dans le cerveau du géant, un plomb venait de sauter. Sans y penser, il se leva.  Tous les yeux se retournèrent vers lui sans qu’il ne le réalise réellement. Il fixait Melinda d’un regard remplie de haine, semblant vouloir lui arracher la tête. Il fermait les mains et tous les muscles de ces bras semblaient forcer. À tout moment il pourrait envoyer un coup, juste un.  Il serait probablement virer pour avoir frappé une fille en plein visage, sa c’est si elle ne le tue pas 3 secondes après. Peu importe, elle finirait par le tuer, que sa soit la journée même ou après des années de tortures. Mais bon sang, ce coup de poing serrait fantastique sur le moment.
Naisho, que faîtes-vous? Je vous demande de vous asseoir immédiatement ou de partir de ma classe. Je ne vais pas tolérer ce genre de comportement!
L’élève continua de fixer sa voisine de bureaux pendant quelque instant, la fixant droit dans les yeux. Dans sa tête, les voix se bousculaient les unes après les autre : Frapper, rester, fuir, insulter et plein d’autre mots prenaient toute la place. Certaines des voix lui étaient familières,  comme le Joker qui lui demandait de frapper, Jiro qui l’encourageait à insulter, même la voix de Shelly se faisait entendre dans le fond de sa pensée. Après un moment à la fixer, il baissa sa tête et parla à voix basse.

Bonne journée connasse, on se revoit une prochaine fois.

Il se retourna et quitta la classe, ne faisant pas attention au fait qu’il ne prenait pas ces choses scolaires, ni au sang qui avait continué de couler un peu de sa cheville et encore moins à l’enseignant qui lui criait dessus de retourner à son bureaux chercher ce qu’il avait oublié.  Il n’allait pas vers son appartement, mais plutôt vers celui de Mashario. Les deux étaient les seuls à avoir une clé pour y rentrer. Il était connut que les deux étaient amis, se tenant souvent ensemble à l’heure du diner et durant les pauses. De plus, il n’était pas rare de voir le plus petit des deux porters un chandail à capuche appartenant à l’autre.  Naisho espérait tout simplement que Melinda n’était pas au courant et que même si elle l’était, elle ne trouverait pas celui qu’elle cherche.  Il partit donc vers la sortie du lycée, remplie de rage et de peur.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le samedi 02 janvier 2016, 13:09:34
« Ce type, je vais le tuer ! Il m’a humilié !
 -  Allons, Maîtresse, il était juste jaloux, voilà tout... Ce garçon est un asocial, tout le monde se fiche de lui...
 -  Pas moi ! Il m’a agressé ! »

Mélinda ruminait toujours en songeant à l’altercation de ce matin. C’était la pause du midi, un quart d’heure avant de reprendre les cours, et, si Mélinda aurait tout à fait pu rentrer chez elle (elle avait, après tout, depuis longtemps, passé l’âge d’assister aux cours), elle préférait traîner en compagnie de sa bande d’amis, en réalité des esclaves. La femme qui lui parlait s’appelait Niriko (http://img103.xooimage.com/files/d/6/5/niriko-45741ce.jpg), et elle était assise sur un banc, avec la tête de sa Maîtresses sur ses genoux, cette dernière allongée sur le banc. Niriko était un membre du club nautique de Seikusu, et était proche d’Ayumi Nasegawa, une autre esclave de Mélinda. C’était d’ailleurs par le biais d’Ayumi que Niriko avait rejoint le harem. Elle se demandait pourquoi Ayumi avait disparu, et, quand elle était revenue, pourquoi elle était... Différente. En menant son enquête, Niriko avait pisté Ayumi jusqu’au manoir de Mélinda, et avait été capturée en train de tenter de s’y infiltrer. Avec le recul, elle ne regrettait pas sa curiosité.

Quant à la vampire, elle, elle se demandait de quelle manière elle allait faire souffrir ce petit con prétentieux de Naisho. C’était lui qui lui était tombé dessus, en la toisant de haut, en lui parlant comme si elle était une égale. Un foutu délire ! Elle s’était empressée de le calmer, mais la situation, par la suite, n’avait fait que s’envenimer. Quand il était parti en trombe du cours, le professeur d’Histoire, furieux, avait attrapé son carnet de classe, et avait écrit une note assassine dessus, avant même de partir précipitamment, pour prévenir l’administration. Mais les tracas administratifs de Naisho, Mélinda s’en moquait un peu. Elle voulait faire couiner ce maudit garnement, elle voulait prendre sa vengeance, une belle revanche.

« Et comment tu comptes faire ? Le capturer ? Je te rappelle que nous sommes surveillées ! »

La femme qui parlait s’appelait Clara (http://img71.xooimage.com/files/f/9/9/student-1--32114a9.jpg), et elle n’avait pas tort. Mélinda venait d’Ashnard, d’une autre dimension, ce qui lui conférait un statut assez particulier, ce que les autorités de Seikusu savaient... Du moins, certaines autorités. Depuis que Mélinda hébergeait chez elle cette femme-dragon issue d’une étrange expérience génétique mélangeant humain et dragon, Asako Minami (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=5389)*, elle avait appris qu’une autorité terrienne la surveillait, et, cette autorité étant dotée de super-humains, Mélinda n’avait pas spécialement envie de se heurter à eux. Or, on lui avait fait comprendre qu’elle allait devoir se restreindre sur les rapts, les kidnappings, et toutes ces joyeusetés.

« C’est de la légitime défense, il m’a attaqué ! Lui et sa tête de con ! Je ne peux pas faire comme si de rien n’était !
 -  Je dis juste qu’il faut y réfléchir... »

Mélinda bouillonnait sur place. Ashnard était bien meilleure de ce point de vue, on pouvait capturer presque qui on voulait... Sauf les citoyens impériaux. Ici, il y avait ces conneries de démocratie, et d’égalité, qui faisaient que tout était assimilable et interchangeable, et qui avait pour conséquence qu’elle était surveillée. Un comble ! Qu’avait-elle fait de mal ? Est-ce que ses « victimes » se plaignaient de son traitement ?

« C’est tout réfléchi, je vais le faire souffrir... Le harceler discrètement, à petits feux... Trouver qui sont ses amis, où il crèche, son casier, et lui pourrir la vie. »

Elle ne pouvait pas le capturer ? Soit. Mélinda avait d’autres cartes en stock, d’autres atouts dans sa manche... Dont son discret grand-frère.

Mélinda se sentit tout d’un coup plus heureuse, plus ragaillardie, ce qui amena sur ses lèvres un très léger sourire.

« Oui, on va s’amuser... »



* : Cf. RP « Asako découvre une nouvelle pièce ! (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=16248.0) ».
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le dimanche 03 janvier 2016, 01:49:20
Comme toute personne normale, Mashario était la victime de plusieurs rumeurs à son sujet. Bon, il n’était pas actuellement une personne normale d’un point de vue terrien puisqu’il vient d’un autre monde, mais ça, qui le sait excepter Naish, Shu et Jiro? Personne? Eh bah voilà, il était donc normal du point de vue des autres! Bon, presque normal,  certains de ces agissements était mal vu ou considérer comme étant étrange.   Il marchait souvent en donnant l’impression de ne pas réaliser ce qu’il y avait autour de lui. Plusieurs personnes se sont plaintes d’avoir dut l’éviter au dernier moment.  Certains disent l’avoir vu bouger ces lèvres comme s’il se parlait seul, à multiple reprise,  que ça soit dans un corridor, à la bibliothèque ou au réfectoire. 

Il est aussi encore plus  centré sur lui-même que celui qui est présenté comme son frère.  Il se parle à lui, Naisho et Jiro, puisqu’il ne parle pas à Sully à l’école pour cacher leur relation et qu’il n’essaie pas de s’entendre avec qui que ce soit d’autre. En fait, la majorité des gens n’ont jamais entendu sa voix, à un point que certains le pense muet.  La seule chose qui sur à 100% est le fait qu’il déteste être touché ou ne pas avoir d’espace pour lui-même.  Il a déjà frappé en plein visage quelqu’un qui l’avait bousculé par accident et s’éloigne souvent des groupes de personne.  Certaines filles ont aussi eu l’impression de se faire observer par lui, comme s’il s’amusait à regarder les gens de loin.  Mais bon, bien des rumeurs qu’il n’a jamais confirmé, alors peut-être que c’est faux pour la plupart.

Presque toute ces actions étrange qu’il fait sont lier à ce qu’il était avant de rencontrer ‘’son frère’’ Naisho : Un esclave neko qui ne se rappelait même plus de son nom.  Une vermine à qui on ne parlait jamais, qui n’intéressait personne en dehors de ces services et qui passait la majorité de son temps à subir des expériences et tester des drogues qui allaient être vendu dans le marché noir.  Pendant la majorité de sa vie, il n’as pas eux d’ami, pas eux de famille et aucune éducation.  Il a fallu beaucoup de temps pour que les trois autres l’aident suffisamment pour qu’il accepte d’aller au lycée et qu’il ait un niveau suffisant pour, sans passer tous ces cours, ne pas avoir l’air d’un abruti total.  Sans oublier le temps qu’il reçoit ces faux-papiers, fait par des personnes excellentes dans ce domaine. C’est l’avantage quand quasiment tout le monde d’un groupe de  4 a des contacts dans le monde du crime. 

Étant plus vieux que Naisho et Jiro il est sensé jouer le rôle du leader silencieux dans les trois et tente de son mieux pour donner l’impression qu’il a le contrôle de toute sorte de situation. Plusieurs enseignant pense même qu’il est un élève modèle, puisqu’il ne dérange pas en classe, fait ces devoirs et ne semble pas laisser les choses au hasard pour ces travaux. Bon,  ils remarquaient bien les autres problèmes, mais du moment qu’il faisait les travaux, il n’y avait pas de problème.  Quand le monde le voit bouger ces lèvres, il est en train de revivre dans sa tête une scène de sa vie avant d’arriver sur Terre et imite les personnes qu’il entend dans sa tête, comme s’il replongeait dans ces souvenirs même physiquement. 

Même s’il tentait souvent de s’éloigner des autres, il ne pouvait pas toujours y échapper.  Comme en ce moment où il se dirigeait vers la cafétéria.   Malgré son physique des plus correctes, il est un glouton. Il consomme des quantités énormes de nourritures et passe plusieurs heures par semaine à s’entraîner afin de ne pas prendre du poids. N’ayant pas mangé depuis bientôt 5 heure, il était affamé et décida donc d’aller se chercher à manger.  C’était quasiment le seul moyen de le voir et de l’entendre parlait quand il commandait sa nourriture.

Une fois que ce fut fait, il alla vers les tables.  Il regarda pendant un moment,  quasiment en plein milieux de la pièce, mais ne trouva pas son frère. Il ne s’attendait pas à voir Jiro, il ne dinait quasiment jamais.  Voyant qu’il allait être seule, il alla donc s’asseoir vers la table la plus au fond à droite possible. Il n’y avait personne qui l’utilisait, il allait donc avoir la paix.
Rendu à sa table,  il déposa son cabaret et s’assoit de façon nonchalante. Si le fait que lui et Naish’ vivait ensemble n’était pas connu par certain, le fait qu’en ce moment même Mashario portait un chandail appartenant à Naisho rendait la chose très claire. Il avait maintenant les yeux fermés en lançant une pomme dans les airs, la rattrapant de la main gauche.  Perdu dans ces pensées, il ne faisait plus attention au monde qui l’entourait.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 03 janvier 2016, 21:25:40
La vengeance était un plat qui se mange froid, et a fortiori quand elle portait sur quelqu’un qui, à proprement parler, ne pouvait pas vraiment la menacer. Mélinda s’était sentie humiliée par le comportement de Naisho, mais ce n’était pas ce type, aussi grand soit-il, qui pouvait sérieusement espérer menacer Mélinda et son harem. Ainsi, les jours se passèrent, sans que rien ne semble arriver à Naisho. Mélinda, comme d’habitude, ne venait pas à tous les cours, et, quand elle venait, elle s’asseyait toujours à côté de ses amies. On put ainsi voir qu’une nouvelle jeune femme avait visiblement rejoint leurs rangs : la belle et timide Asami Yamada (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=3321). Et Naisho, lui, semblait avoir étrangement disparu des écrans radars de la vampire... Mais tout cela n’était, bien évidemment, qu’une impression, car la vampire était une femme fière, et donc susceptible. Naisho lui avait manqué de respect, et elle apprit ainsi qu’il avait quelques amis proches.

Le choix de Mélinda finit par se porter quand ses esclaves lui rapportèrent tout ce qu’elles savaient sur Naisho, notamment sur ses proches. Une cible, en particulier, attira l’attention de Mélinda : Shelly Gardener (http://safebooru.org/index.php?page=post&s=view&id=1590806). C’était une professeur d’anglais, en apparence anodine, mais qui veillait sur le groupe de Naisho, un groupe composé de trois demeurés :

  • Naisho itself ;
  • Mashario Yujima, un neko (Mélinda l’avait reniflé pour s’en assurer) qui restait très isolé ;
  • Jiro Sasaki, dont Mélinda avait étrangement retrouvé des traces sur Terra, confirmant que cette bande de joyeux drilles connaissait l’autre monde. Ses esclaves avaient retrouvé des traces de son service militaire en consultant des registres militaires impériaux.



Mélinda avait donc une liste, et, d’après ce qu’on lui avait dit, ces gens-là n’étaient pas forcément très respectueux vis-à-vis de la loi. Elle avait utilisé Bran pour les suivre, son grand-frère vampirique, et ce dernier avait notamment suivi Miss Gardener, pour découvrir qu’elle avait des relations sexuelles avec le monde des stupéfiants. Or, à Seikusu, le trafic de la drogue passait par deux grands pôles : d’un côté, les Guramu, le plus puissant clan yakuza de la ville (et, de facto, le plus puissant groupe criminel de la ville, présent depuis la fondation de la cité), et, de l’autre, les rivaux des Guramu, la Mafia russe, les Petrovski.

Mélinda ignorait ce que cette felle allait chercher auprès des Yakuzas, mais elle s’en moquait. Elle avait des photos, et donc un moyen de pression sur Naisho, un moyen d’exercer sa vengeance. Car ces trois benêts semblaient être hébergés chez cette femme. Bran avait donc ramené des photos, et, aujourd’hui, Mélinda se trouvait dans le gymnase du lycée, après la fin des cours. Fort heureusement, l’une des surveillantes du lycée, Pepper Calgary (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=16632.0), était aussi l’une de ses amantes, et avait donc accepté de lui laisser un double des clefs.

Et, quant à Naisho, quand il irait dans son casier pour récupérer ses vêtements civils, il aurait la surprise de voir une enveloppe, avec une série de photographies à l’intérieur, montrant sa belle amie anglo-saxonne aux prises avec ses clients. Des photographies sensibles, avec le message suivant :

Citer
« Si tu ne veux pas que les exploits nocturnes de Shelly se retrouvent dans les bureaux des journaux locaux, et qu’on apprenne qu’une belle prof’ étrangère aime s’envoyer en l’air avec des dealers, je t’encourage à venir ce soir au gymnase !

Bisoux !
»

M.

Restait donc à voir si Naisho mordrait à l’hameçon...

Mais Mélinda avait bon espoir que oui.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le lundi 04 janvier 2016, 07:22:51
J’ai entendue parler de ce qui est arrivé dans ton cours d’histoire il y a quelque jours, tu comptais m’en parler quand?

Il était tard, très tard. La bande revenait de vandaliser une boutique afin d’accomplir un contrat qu’ils avaient reçu.  Mashario c’était endormi rapidement par la suite sur un fauteuil tandis que Jiro venait tout juste de trouver sommeil sur le matelas dans le salon après avoir bu un peu.  Il ne restait que Naisho et Shelly dans la chambre des maîtres.  Le géant finissait de fumer un joint, déjà dos sur le lit, la chemise ouverte et encore en pantalon,  tandis que l’enseignante se changeait devant lui en lui parlant. Un verre de vin à moitié vide traînait sur le meuble à sa gauche.
 
La direction ne t’aime pas beaucoup, tu devrais te tenir au calme durant les semaines à venir, te faire oublier un peu.

Naisho ne répondit pas et tourna la tête vers la fenêtre afin de regarder à l’extérieur. La ville semblait vide, il ne voyait aucune lumière et n’entendait aucun bruit.

Jiro est venu me voir tout à l’heure. Il dit s’inquiété pour toi, que tu ne te comportes pas comme d’habitude.  Caches-tu quelque chose? Nous sommes comme une famille et tu en est le leader en quelque sorte,  il est important que l’on soit au courant si quelque chose t’arrive.

Cette fois-ci, l’élève se mit en position assise et regarda Shelly.Il écrasa son joint dans le cendrier sur le meuble de nuit prêt de lui après une dernière pouffée.   Leur relation était étrange et elle était surtout contre bien des règles morales. L’élève et l’enseignante vivant ensemble et ayant parfois des rapports sexuelle? Une personne qui use de sa force physique et l’autre de sa beauté pour se faire un nom dans le monde du crime?  Il y avait bien des moyens de regarder le lien entre les deux, mais des façons que cette relation soit vu comme étant saine? Il n’y en avait pas vraiment.  Il était indéniable qu’elle était presque nécessaire à Naisho. Sa lui donnait quelqu’un à qui faire confiance, une confidente mais aussi une alliée dans la vie de tous les jours.  L’anglaise y gagnait le fait de plus à devoir vivre seul dans cet appartement qui fut à une époque celui d’elle et son mari.  Il n’y avait pas que du négatif, mais en aucun cars elle devait être connut.

Il n’y a pas de panique à avoir, je vais bien. J’ai juste eux beaucoup de pression à l’école dernièrement, essayé d’avoir du succès scolaire et criminel est pas toujours facile, c’est tout. 
Comme tu le dit si bien, je suis le leader, je me dois de faire attention à tout le monde, que les opérations se déroulent sans problème et tout ce genre de truc.  On est encore relativement jeune dans le domaine et sa me cause du stress.

La femme le regarda d’un air sceptique en prenant une gorgée de vin. Elle était en sous-vêtement et un peu saoul, mais ça ne l’empêchait pas de continué à se prendre très au sérieuse dans son rôle.

Ne me fait pas à croire n’importe quoi mon petit Naisho, depuis quand l’école te cause du stress hein? Je sais très bien que tu en as quasiment rien à faire de tes cours, je vie avec toi depuis des mois. Alors,  qu’est-ce qu’il y a ?

Elle termina le restant de sa coupe et la déposa sur le meuble, avant d’aller s’asseoir à la droite de son compagnon.  Elle enroula ces bras atour de la tête de celui qui partageait son lit, en caressant ses cheveux.

Qu’elle terrible secret ravage ainsi celui que j’aime tant? Tu ne vas quand même pas me cacher la vérité ? [/color]

Il y a eu un moment de silence dans la pièce suivant cette phrase. Comme un flottement dans le temps. Il ne mentait jamais à Shelly, l’idée même de la laisser dans l’ombre le dégoutait.  Sauf qu’il ne voulait vraiment pas l’inclure dans cette situation.  Il la regarda donc droit dans les yeux avant de lui parler.

C’est rien de compliqué. J’ai été insultant envers quelqu’un et je le regrette, ça me joue dans la tête. Habituellement, c’est les autres qui sont incorrecte avec moi, je ne suis pas habitué à être le provocateur, celui qui s’en prend aux autres. Mais ne t’en fait pas, je vais tout arranger et je vais plus y penser dans quelque jours.  Alors, repose toi et tout ira bien, t’as un cours à donner demain.

Il dépose un baiser sur le front de son interlocutrice avant de se remettre droit sur le lit et de fermer les yeux.
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Sauf que le lendemain de cette discussion, les choses tournèrent très mal. En revenant de son dernier cours, pour prendre ces vêtements, il trouva une enveloppe dans sa case. Une enveloppe avec un contenu… tout simplement horrible.  Quelqu’un avait suivi Shelly et avait réussi à prendre des photos qui allaient détruire la vie de cette dernière.  Il bouillait de rage intérieurement.  Comment quelqu’un osait s’en prendre à elle ainsi? Il semblait évident que Melinda avait trouvé la relation entre les deux, mais comment? On dirait que les contacts de cette dernière étaient encore plus dangereux qu’il le pensait.  Il était impensable  pour lui de ne pas intervenir.  Shelly ne méritait pas de se faire avoir ainsi. Il était celui qui avait merdé, celui qui c’étais attaquer à la mauvaise personne.  Si quelqu’un allait payer, c’était lui. Il rangea donc l’enveloppe dans sa poche de pantalon et alla rejoindre les deux autres à l’entrée du lycée.

Bon, les gars, vous allez devoir partir sans moi. Je dois rester après l’école pour finir des travaux.

Les deux se regardèrent d’un air incrédule. C’est le neko qui parla en premier.

Bah Naish’, si tu veux faire des travaux vas à l’appart, on vas pas te déranger.

Il a raison, on est capable de te laisser tranquille si tu en as de besoin.

Soupire de découragement du leader qui tente d’éloigner les deux autres.

Je sais les mecs, c’est juste que je vais faire les travaux avec quelqu’un, donc je préfère les faire ici que de les emmener à l’appart là où la personne verrait Shelly avec nous. Donc, allez-vous en, je vais revenir plus tard.

Moment d’hésitation des deux principaux intéressés, mais ils finirent par accepter et partir.  Naisho alla à une table s’asseoir le temps de réfléchir à la situation. Il entendait la voix de son père, qui lui criait dessus qu’il allait crever comme un chien.   Le connard avait peut-être raison finalement.  Quoiqu’il n’y avait qu’un seul moyen de le savoir. Ça lui prit du temps, mais il se leva de sa chaise et alla vers le gymnase. Il arriva devant les portes, poussa un gros soupire, sentant encore le mélange de peur et de rage d’il y a quelque jours l’envahir.  Bouleverser par toute les émotions différente, il ouvra la porte.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 07 janvier 2016, 10:49:42
Ressentait-elle une quelconque honte à s’en prendre à Shelly ? À une innocente ? Pour commencer, il aurait déjà fallu assurer à Mélinda que cette Shelly était bien une « innocente », car, au vu de ses fréquentations sexuelles, Mélinda était en droit d’avoir des doutes Elle ignorait ce que cette bande trafiquait, et, en toute honnêteté, elle n’en avait un peu rien à faire, mais elle était convaincue que les à-côtés auraient plu à la police. Bien entendu, Mélinda n’avait aucune envie de contacter la police, estimant avoir déjà suffisamment rencontré les autorités légales de cette planète lorsqu’elle avait rencontré les forces du SHIELD. Il s’agissait juste d’un moyen de pression. S’en prendre à la belle femme, ça ne marchait pas que dans les contes de fées. Mélinda savait que Naisho allait accourir à bride abattue, et elle ne se trempa pas, en sentant le sang de ce géant se rapprocher.

Elle était dans le gymnase, et l’homme la rejoignit rapidement. Son sang remuait follement dans ses veines, signe qu’il était... Nerveux. Était-ce la rage ou la peur qui animait ses mouvements ? Même le sixième sens de Mélinda ne pouvait pas répondre à ça, juste lui donner des indications.

« Bonsoir, Naisho. Je suis ravie de voir que tu as su répondre à mon invitation. »

La femme était au fond du gymnase, et lui fit un grand sourire.

« Je ne savais pas que tu avais une poulette aussi douée au lit. Je suis sûre que tu ne peux pas t’empêcher de jouir quand elle te suce le soir... Mais, dis-moi, ça se passe comment, exactement ? Tu la gardes juste pour toi, ou tu la partages avec Mashario et Jiro ? Vous trois, vous devez sacrément vous éclater avec une gonzesse pareille... »

L’impertinence et la provocation, voilà deux mots qui définissaient bien Mélinda. Elle ne jouait pas avec le feu, car elle avait toujours un as dans sa manche. En l’occurrence, cet as était dissimulé sur les poutres au plafond, et était son silencieux grand-frère, prêt à  bondir sur ce géant, avec toute sa force vampirique, si ce dernier tenterait d’aller la molester.

Mais frapper une femme, même une peste comme Mélinda Warren, ce n’était pas très galant, n’est-ce pas ?
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le jeudi 07 janvier 2016, 17:31:49
Lui qui avait peur de devoir faire face à Melinda accompagner et de d’autre personnes, il était en quelque sorte rassurer d’être seul avec elle. Ou du moins,  de ce qu’il croyait.  Sauf qu’en même temps, c’était un peu inquiètent. Les deux, seules dans une pièce, personne pour intervenir ou la calmée si les choses dégénèrent, il était dans une cage avec une bête, un monstre.  Un monstre avec une puissance non-définie et qui semblait surtout très sadique. Pour avoir préparée toute cette opération, Melinda devait aimer jouer avec ces proies, ce qui n’était pas une bonne nouvelle. Il avança jusqu’au milieu de la pièce après qu’elle l’avait salué, n’osant plus réellement faire un pas de plus.

Pas comme si j’avais vraiment le choix et tu le sais très bien.

Le fait d’être ici était très déplaisant.  Que pouvait-il faire pour s’en sortir? Pas grand-chose. Une mauvaise idée et Shelly apparaissait dans les journaux et peut-être que lui allait disparaître pour toujours.  Peut-être que physiquement il n’y avait absolument rien qui le retenait, mais il se sentait emprisonner, enchaîner et sans pouvoir.  Au final, c’était peut-être lui l’animal. Avec toute la rage du monde à l’intérieur, l’envie de mordre et de tuer, mais des chaînes, qui dans son cas son  invisible, le retienne et au final il est exposer devant quelqu’un.

Le commentaire sur Shelly fut comme un coup de poing en plein visage.   Il sentit une bouffée de colère monter en lui, prêt à exploser à tout moment. Son main droite était fermer et il avait toute les envies du monde d’aller la voir et la massacrer, mais il se retenait.

Shelly est une bonne personne!  C’est une femme respectueuse qui fait de son mieux pour aider trois jeunes qui se sont mis dans le pétrin! Ce n’est pas une simple salope!

Il voulut prendre un paquet de gomme dans sa poche de pantalon, mais toucha à l’enveloppe contenant les photos et retira sa main comme s’il venait d’être brûlé.  Le dégout qu’il avait envers les images était puissant et il comptait bien trouver un moyen de s’en débarrasser à jamais.

Est-ce que c’est vraiment pour sa que tu m’as fait venir ici? M’insulter? T’as pas mieux à faire de ton temps que de t’en prendre à quelqu’un comme moi? T’as pas 200 employés ou un truc comme ça? ALORS POURQUOI TU N’IRAIS PAS JUSTE SURVEILLER TON BUSINESS ET NOUS LAISSER TRANQUILLE HEIN?!

La dernière phrase avait été crié, comme un moyen d’extirper la rage qu’il avait accumulé  depuis le jour où il avait fait l’erreur de parler à la vampire. Il essuya du revers de la main gauche de la salive qu’il avait perdu en criant, en ne perdant pas des yeux celle qui avait le plein contrôle de la situation en ce moment.  Plus il y pensait, plus il se considérait comme un animal devant son nouveaux maître, ou du moins son maître temporaire. Mais il n’avait pas l’intention d’être le gentil petit chaton.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 08 janvier 2016, 01:01:10
L’homme ne tarda pas à s’énerver, et Mélinda, elle, conservait juste sur ses lèvres un léger sourire amusé. La colère de Naisho était agréable à regarder, et lui aurait presque donné envie de glousser. Il voulait se battre pour Shelly, et était visiblement prêt à beaucoup de choses pour empêcher cette dernière de sombrer. La vampire était en train de s’amuser beaucoup, car le fait que Naisho ne la menace pas, ou ne se rue pas sur elle, signifiait qu’il avait peur. Peut-être pas peur pour lui, mais surtout peur que Mélinda ne mette sa menace à exécution. Cette dernière souriait donc, adossée contre le mur, et s’en décolla alors un peu, en se mettant à marcher.

Mélinda ne portait pas son uniforme d’écolière, mais sa longue robe dorée, avec son décolleté plongeant, et croisait les mains en marchant, ses doigts s’entremêlant entre eux, tandis qu’elle souriait gentiment, visiblement très amusée par la situation actuelle.

« Oh, j’admets que t’insulter est toujours très plaisant, et je me dis que cette pauvre Shelly doit vraiment avoir du mal, si tes deux autres amis sont aussi aptes que toi à se foutre dans la merde... Mais non. Si je t’ai demandé de venir, mon petit Naisho, c’est pour une raison très simple. »

La vampire n’éprouvait aucune gêne à l’appeler « petit », même s’il était physiquement bien plus grand qu’elle. Mélinda marchait encore, tranquillement, ménageant ses effets.

« Tu m’as agressé. Pas physiquement, mais verbalement. Tu m’as sauté dessus, alors que je ne te connaissais même pas. Je le reconnais, ça m’a énervé. Mais... »

Et elle balança cet ultime mot en levant un doigt, comme pour signifier qu’elle avait nuancé ce à quoi on pouvait s’attendre d’elle.

« Je me suis demandée... Pourquoi. C’est vrai... Je ne te parlais pas beaucoup avant. Voire même pas du tout. Je me suis demandée que je t’avais peut-être piqué une copine... Que tu es amoureux profondément de l’une de mes filles. Mais, en voyant la tête de ta Shelly, et la manière dont tu t’emportes quand on parle d’elle... Je crois que cette hypothèse est fausse. Et je le reconnais, elle est très mignonne. »

Suffisamment mignonne pour être le genre de femme à qui Mélinda ferait des avances... Mais elle regarda l’homme à nouveau, avant de poursuivre :

« Je n’ai aucune intention de causer des ennuis à ta petite prof’... Si elle aime autant que ça coucher avec les autres, je serais plus tentée par l’idée de l’avoir dans mon lit que par celle de la dénoncer aux autorités. Ce que je veux savoir, c’est ce que toi, en réalité, tu me veux. »

Habile...

Mélinda venait de retourner le débat !
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le mercredi 20 janvier 2016, 06:27:39
Melinda avançait, lentement mais sûrement. Probablement par une certaine peur, mais Naisho décida de reculer d’un pas. Elle avait l’air si confiante, si certaine que rien ne pouvait mal tourner, qu’il était lui-même convaincu  qu’elle avait raison.  Il avait été tellement stresser de la situation qu’il n’avait pas réellement porter attention aux vêtements de la vampire jusqu’à ce qu’elle avance.  La robe lui allait très bien, une élégance claire.  Bien évidemment, il ne pouvait de s’empêcher de baisser le regard et de regarder vers le décolleter. Melinda était une femme attirante, voir même excitante.  Malheureusement pour les hommes et les femmes de ce monde, elle le savait et elle l’utilisait à son avantage.  Ce n’était vraiment pas le temps pour lui  de se laisser déconcentrer par la beauté de son interlocutrice et il faisait de son mieux pour garder son calme.
Comme il le croyait, elle n’avait pas apprécié qu’il s’en prenne verbalement à elle de la sorte. Il est vrai qu’il n’avait pas été particulièrement gentil avec elle. Au contraire, il avait été brutale et offensant. 

Il est vrai que j’ai été offensant, j’ai  trop parlé.

Elle continuait son speech, elle semblait adorer le son de sa voix, et encore plus faire comprendre à Naisho qu’il allait devoir s’expliquer pas mal, tout en souffrant beaucoup psychologiquement si elle continuait de la sorte.  Lui, vouloir prendre une des filles de Melinda? En effet, il y avait de très belle fille qui se tenait avec elle,  le genre de fille qui pourrait faire perdre la tête à bien des gens, mais ce n’était pas vraiment ce qui l’intéressait, pas depuis qu’il connaissait Shelly. Oui, il avait eu des relations sexuelles avec d’autre femme qu’elle-même depuis qu’ils vivaient ensemble, mais en aucun cas les autres filles lui étaient primordiales. Elles n’étaient que des distractions,  passé un bon moment.  En aucun cas les filles se tenant avec Melinda l’avaient poussé à lui parler de la sorte.

Il fallait qu’elle parle de Shelly. Évidemment, elle ne pouvait s’empêcher de le faire.   Il ne voulait pas savoir que Melinda la trouvait mignonne.  Encore moins que cette horrible personne voudrait avoir cette femme si pure dans son lit.  Les poings du géant se fermèrent et il se craqua le cou, tentant aussi bien qu’il le pouvait de ne pas éclater de rage.


Premièrement, ne te fait pas trop d’espoir avec Shelly.  Ce n’est pas le genre de fille à coucher avec des élèves.

Petit moment de silence tandis qu’il se  mordait les lèvres .  Ce qu’il venait de dire sonnait complètement stupide. Bien sur qu’elle couchait avec des élèves, les deux dormaient ensemble chaque nuit et avait habituellement plus d’une relation par semaine.

Ok ok, peut-être qu’elle couche avec moi. Voir Mashario et Jiro . MAIS, ce n’est pas le même genre de situation.  On vit ensemble, on passe notre temps ensemble, avec nos activités criminels que tu sembles avoir découverte d’une façon inconnu, on peut même dire qu’on travaille ensemble. Ce n’est pas une relation enseignant/élève,  c’est différent. Ne crois pas l’avoir dans ton lit en lui faisant des beaux yeux et en lui montrant ta poitrine.

Il mettait tous les efforts humainement pour ne pas aller la frapper directement au visage ou tenter de l’étrangler,  mais aussi être le plus convaincant possible. Parce qu’au fond de lui, il inquiet. Melinda est une manipulatrice, une femme incroyablement sexy et si elle ne réussit pas à convaincre l’enseignante du premier coup, quelque menace bien placer pourrait  faire le travail. Probablement que Shelly allait résister le plus possible, mais pourrait-elle vraiment le faire jusqu’au bout? C’est ce qui l’inquiétait et c’était exactement pour cette raison qu’il voulait prendre toute les responsabilités et les conséquences de ces actes.  Qui dans son groupe ne tomberait pas dans un piège? Jiro était bien trop naïf, une jolie demoiselle dit avoir besoin d’aide et le preux chevalier sur son cheval blanc arrive à la rescousse, sans se méfier de quoi que ce soit. Mashario? Un drug addict qui fantasme sur probablement le ¾ des filles du lycée? Aucune chance de s’en sortir. 

Ok, tu veux savoir pourquoi je t’ai ‘’agressé verbalement’’? Je vais te le dire.   Depuis que je suis arrivé dans ce lycée, tout à toujours tourner autour de Melinda Warren! Il est impossible de faire quoi que ce soit sans que tu finisses par le savoir!  Quand tu te promènes dans l’école, on dirait que la reine du monde vient d’entrer.  Avec ton beau petit look, ta bonne manière de parler et ton armée de personne qui te suivent comme une bande de  mouton sans cervelle.   Peut-être que tu ne le réalise pas, même si je suis convaincu que tu le sais et que sa t’amuse chaque jour de ton existence, mais il est très frustrant pour quelqu’un qui doit travailler fort, persévérer et se surpasser de voir quelqu’un comme toi qui ne semble jamais faire le moindre effort et qui reçois tout sur un plateau d’argent.

Il détestait Melinda, depuis le premier jour qu’il avait entendu parler d’elle.

Regarde, je ne savais pas que tu étais une vampire, que tu avais un empire et tout sa. Pour moi, tu n’étais qu’une fille ayant tous reçu de la part de parents riches.  J’avais tort, en aucun cas je n’avais à m’attaquer à toi.  Bon, je continu d’avoir un opinion négatif sur bien des choses que tu fais et j’ai mon propre opinion sur toi, mais ce que j’ai dit en classe? C’était une erreur, une grave erreur.

Il ravala sa salive, en même temps qu’un peu de son honneur.  Qu’est-ce qui était arriver à la bonne vieille époque que deux hommes se battait dans une ruelle pour régler un problème? Où qu’ils pouvaient parler en ayant l’impression qu’ils étaient égaux? En ce moment, il ne pouvait pas se battre contre elle et il n’était certainement pas son égal!

Je comprends que tu sois en colère, que je mérite probablement une punition à ton regard. Mais garde cette rage entre toi et moi. Tu n’as pas besoin d’inclure Shelly et les deux autres. Tu te rappelles ce que tu avais dit? Que tu allais me faire citer Napoléon dans une cellule? Je ne peux pas vraiment dire que j’ai envie de subir sa, mais je suis prêt à le faire pour épargner les autres.

Il baissa les yeux. Non pas vers le décolleter, mais bel et bien vers le sol.  Il se sentait battu, sans option. C’était lui ou les autres, mais il savait très bien qu’il ne se pardonnerait jamais de les mettre en danger.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 22 janvier 2016, 00:49:30
L’habit ne faisait pas le moine. Ce vieil adage se justifiait totalement en ce moment, où, face à Naisho, ce géant, Mélinda était celle qui menait la danse. Elle pouvait sentir sa rage, à travers la manière dont son sang bouillonnait dans ses veines, ou juste à travers la manière dont son visage semblait fulminer sur place. Il rejeta en bloc l’idée que Mélinda puisse s’approcher de Shelly, avant de dire tout ce qu’il avait à dire, faisant sourire la vampire, qui avait les bras croisés sur sa poitrine, rehaussant, ce faisant, un peu ses seins. En souriant donc, malicieusement, elle lui répondit donc :

« D’accord... Tu es donc jaloux. »

Mélinda sourit à nouveau, en secouant lentement la tête.

« Ou alors, tu as juste envie de coucher avec moi... Est-ce que c’était pour ça, ta crise ? Parce que je m’intéresse à tout le monde, sauf à toi ? Ce serait typique de vous, les humains... Comme le garçon qui tire les couettes de la fille devant elle parce qu’il est amoureux d’elle, mais qu’il ne sait pas comment le dire. »

La provocation, encore et toujours... Ça, au-delà de tout le reste, c’était bien la colonne vertébrale de Mélinda Warren. Mais était-elle si éloignée que ça de la vérité ? Naisho avait sur elle une idée toute faite, ignorant la réalité du personnage. Il ne savait pas que Mélinda était une ancienne esclave, et qu’elle avait dû batailler dur pour arriver au niveau où elle en était actuellement. S’il l’avait su, peut-être aurait-il eu un avis différent... Mais Mélinda n’avait guère envie de parler de son passé à l’homme. Pour l’heure, elle cherchait surtout un moyen de jouer un peu plus avec ses nerfs.

C’est ce qui l’amena à le regarder de nouveau, en souriant encore :

« Si je t’ai invité ici, ce n’est pas pour menacer ta Shelly... J’ai envie de coucher avec elle, mais je crois que nous allons faire autre chose. Et je ne te veux pas non plus comme prisonnier, mais... »

Elle se mordilla les lèvres, avec une lueur espiègle dans les yeux, le signe qu’elle avait une idée vicieuse derrière la tête... Comme toujours avec elle ! Mélinda laissa encore planer quelques secondes, et reprit ensuite :

« Je veux que tu me fasses l’amour maintenant... Et, si tu me fais jouir, je ne t’embêterais plus ! »
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le dimanche 24 janvier 2016, 03:01:47
Jaloux?Lui? Eh bien…il n’y avait pas vraiment penser de la sorte, mais elle avait probablement raison .  Quand il était jeune, il était un enfant d’une famille plus riche que la moyenne.  Les deux parents avaient de bons emploies et il aurait pu avoir une bonne vie aisée. Il n’est pas mauvais à l’école, rien d’extraordinaire mais quand même bon, avec le support des parents il aurait probablement une très bonne vie en ce moment. Mais son père a tout gâcher par sa violence et son alcoolisme. Du moins, c’est ce qu’il essaie de se faire à croire. Il aurait toujours put avoir le support de sa mère, qui voulait garder contact avec lui, mais il avait refusé et c’était éloigner d’elle le plus possible, passant le reste de son adolescence avant Seikusu chez son oncle.  Par la suite, le manque d’argent et ces démons intérieure l’avait emmené dans un monde de crime et de décision douteuse les unes après les autres.  En quelque sorte, Melinda lui rappelait la vie qu’il aurait pu avoir. Riche, influent, dangereux pour ceux se mettant dans son chemin. À la place, il était souvent celui qui devait écouter les ordres et trouver différent moyen de gagner un peu d’importance. Mais lui non plus n’avait pas l’intention de raconter son histoire et encore moins de donner raison à Melinda.

Ce n’est  pas de la jalousie, mais du dégout face à ton style de vie.

Comment pouvait-elle dire qu’il avait réagis de la sorte parce qu’elle ne s’intéressait pas à lui? Il la détestait, il ne voulait jamais la voir et  a toujours dit n’avoir aucunement l’intention de lui parler. D’ailleurs, il aurait dut s’écouter lui-même et fermer sa gueule.

Désoler de te décevoir, mais en aucun cas la moindre attirance sexuel que j’ai envers toi ne m’as causé à réagir de la sorte. Tu es peut-être belle, très belle même, mais je ne suis pas du genre à perdre la tête pour le corps d’une fille!

Perdre la tête, probablement pas. Mais il était vrai qu’il avait souvent été déconcentrer dans la vie de tout les jours par le corp des femmes. Il considérait que c’était normal, que c’était un réflexe humain et qu’il ne devait pas en avoir honte. Il le faisait peut-être plus que la moyennee, mais il ne se considérait pas comme étant incroyablement pervers pour autant.

Évidemment, elle dut refaire un commentaire sur baiser Shelly. Il allait devenir fou et tenter de la tuer si elle continuait de la sorte. Il s’imaginait déjà lui détruire le visage à grand coup de poing au visage et l’image était des plus plaisantes.  C’était bon de savoir qu’elle ne voulait pas faire de lui un prisonnier, mais le regard de la belle vampire n’avait rien de bon.

« Je veux que tu me fasses l’amour maintenant... Et, si tu me fais jouir, je ne t’embêterais plus ! »

Un moment de silence suivit cette phrase, le colosse étant incapable de faire une réponse immédiate. Il se passe une main au niveaux de la bouche et regarde Melinda, avant de s'avancer et de pencher sa tête suffisamment pour la regarder droit dans les yeux.

T’es en train de me dire… que tu m’as menacé, que tu as suivit Shelly comme une prédatrice, la prenant en photo de la sorte, que tu m’as donné un rendez-vous ici, que j’ai stresser pendant des jours en me demandant si t’allais te venger de ce qui c’était passer en classe, juste pour… que tu me demandes de baiser avec toi? Sa te tentait pas de trouver mon numéro de tél ou un truc du genre? T’ES UNE PUTAIN DE PSYCHOPATE! Je devrais juste te frapper à répétition jusqu’à ce que tu perdre conscience et tout le sang que tu as…espèce de… de…FUCK!

Il lève sa tête vers le plafond, sans toutefois voir le frère de Melinda. Il pousse un grand soupir et repose ces yeux sur la vampire.  Il bouillonnait de rage et ne savait même pas par qu’elle force il résistait à faire la pire erreur de toute sa vie.

Donc, si je te donne un orgasme, j’ai plus à m’inquiéter que tu m’attaque, que tu t’en prenne à Jiro et Mashario, en plus, surtout, de ne plus avoir à entendre tes commentaires sur Shelly?

Il regarda intensément le corps de Melinda, plus particulièrement la poitrine, en réflechissant à la situation.

Eh bien, si c’est le cas…tu peux considérer que l’instant d’un soir, j’ai comme seul but d’exister de te faire jouir et que j’ai pas l’intention de partir avant que ça soit arriver. Si tu ne veux pas qu’elle soit déchirée, je te conseille d’enlever ta robe. Je ne suis pas du genre à faire attention quand vient le temps de dénuder une fille.

Il n’arrivait pas réellement à croire qu’il allait devoir faire sa pour sortir son groupe, mais si c’est ce qu’il doit faire…as-t’il vraiment un choix?

Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 24 janvier 2016, 12:32:31
La provocation, c’était clairement l’art de Mélinda. Elle avait une langue fourchue, bien pendue, aiguisée comme une épée, et Naisho venait d’en faire les frais… Jusqu’à une proposition incroyable, mais qui acheva de confirmer et de corroborer tout ce que Mélinda pensait. Si Naisho la détestait vraiment, s’il la haïssait à ce point, et si tout en elle le dégoûtait vraiment, Naisho aurait refusé ça. Il aurait refusé tout de go l’idée de coucher avec elle… Mais, au lieu de ça, Mélinda n’eut même pas à batailler. L’homme la regarda, louchant visiblement sur ses seins, avant d’acquiescer. Mélinda sourit donc, et lui répondit rapidement :

« Disons qu’un orgasme paiera les provocations que tu m’as faite… Mais, en ce qui concerne Shelly, rien ne m’empêche d’aller la séduire… On verra si elle me trouve aussi insupportable que toi. »

Mélinda savait se montrer adorable avec les professeurs quand il le fallait. Ceci étant dit, elle ignorait si elle irait vraiment la séduire. En l’occurrence, il s’agissait plutôt de la même chose : provoquer Naisho. Un art dans lequel, visiblement, elle excellait. Et Naisho était visiblement décidé à lui montrer le grand jeu. Ainsi, après sa tirade, Mélinda tirait sur le lacet noir de sa orbe, celui situé à hauteur de ses seins, et défit les quelques nœuds. Ceci eut pour effet d’ouvrir la robe par le haut. Le haut s’ouvrit dans tous les sens, comme les pétales d’une fleur se réveillant, et le bas tomba ensuite, laissant Mélinda dans sa plus simple intimité, avec juste une culotte verte à hauteur des cuisses.

En souriant, la vampire retira également sa culotte, montrant une intimité très proprement épilée, sans l’ombre d’un seul poil, et elle se présenta ainsi face à l’homme, une main sur la hanche, un sourire moqueur sur les lèvres, provocateur.

« Pour un homme forcé, je te trouve étrangement très entreprenant, Naisho… Mon corps te plaît ? »

Dans sa bouche, c’était une question rhétorique. Elle joignit ses mains devant elle, les relevant légèrement, tout en pivotant sur place, lui montrant, de cette manière, la vue de son superbe dos, de ses hanches fines, mais aussi de son magnifique petit cul. Sa longue chevelure tombait presque jusqu’à ses seins, conférant à lui donner une féroce beauté. Une beauté de noblesse, et elle se remit ensuite face à lui. Mélinda avait hérité de la beauté légendaire des Warren, notamment de sa mère. Elle estimait être une pure perfection physique, à tous les plans. Ses hanches, ses mains, ses cuisses, ses longues jambes fuselées… Tout en elle n’était que beauté et volupté, et le tout s’accompagnait d’un esprit d’une rare perversion, comme une sorte de nymphe des temps modernes. La résister, c’était se battre au poker en ayant, pour seule arme, une paire de deux face à un flush royal qui s’apprêtait à vous balayer sur place.

Elle reprit ensuite :

« Quand tu auras fini de te rincer l’œil, je pourrais, moi aussi, me faire plaisir… Et ne t’inquiète pas, j’aime les hommes forts et bourrins. Si la Nature vous a dotés de muscles en place d’une cervelle, c’est bien pour que cela serve à quelque chose, non ? Alors, si tu veux épancher toute ta frustration sur moi en me baisant méchamment… N’aie pas peur. »

Et pan ! Ça, c’était gratuit.

Mélinda avait de quoi tourner les gens en bourrique, non ? Mais comment en vouloir à un si beau minois ?
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le dimanche 24 janvier 2016, 19:15:53
S’il avait été le vampire, elle serait morte. Assurément.  Toute cette provocation était trop pour lui.  L’idée qu’elle approche Shelly lui donnait envie de mourir et elle le savait très bien.  Mais c’était Melinda au pouvoir et lui qui tentait de son mieux d’accepter les conditions qu’elle lui donnait.  Se faire demander par une fille aussi belle de lui donner un orgasme, c’était pas si mal, non? Bon, c’était quand même insultant de se faire utiliser comme un simple jouet sexuel et il savait très bien qu’il ne pouvait se permettre d’échouer,  mais il allait peut-être être capable d’avoir du plaisir en faisant son obligation?

Sa me frustre encore pour Shelly, mais au moins… oh…

Alors qu’il commençait à répondre,  Melinda fit ouvrir sa robe par le haut, dévoilant son corps de façon magistrale. Le colosse fut surpris sur le coup et figea pendant un moment.  Dire qu’elle était belle n’aurait pas été suffisant, voir même insultant envers elle (même si bon, l’insulter ne le dérangerait pas vraiment). Cette femme était d’une beauté spectaculaire, le genre de physique donc les hommes rêvent de voir.  Quoique ce corps pourrait devenir son cauchemar.  Le genre de beauté hypnotique, qui donne tout le pouvoir à celle l’ayant. Elle enleva ensuite sa culotte et elle fit un sourire dont elle avait le secret, insultant, mais tellement magnifique.

On peut dire que oui, ton corps est …wow

Encore une fois, alors qu’il parlait, la vampire fait quelque chose afin de lui faire perdre le focus.  Elle se tourna et ainsi, montra le coté de son corps que le géant n’avait pas encore vue.  Il avait maintenant la confirmation d’absolument tout le corps de la demoiselle était d’une pure beauté.  Quand même le dos d’une fille est magnifique, tu sais que t’est dans le trouble.  Le cul de la vampire était tellement beaux que s’il était déjà nu, il aurait probablement déjà sauter sur elle afin de la baiser. C’était tout simplement une vision tout droit sorti du paradis.  Plutôt de l’Enfer en fait, une beauté irrésistible qui t’attire à faire quelque chose de mal, quelque chose que tu devrais éviter absolument.

Sauf qu’il n’était pas réputer pour éviter ce genre de situation. Chaque fois qu’il avait été dans une situation dangereuse mais qui pouvait lui profiter en quelque sorte, il l’avait fait. Joker, Hiro, vol de banques, alliance, il était incapable de s’éloigner de tout ce qui était maléfique, de tout ce qui était néfaste mais qui faisait du bien sur le coup. 

Ce corps a dut faire tomber bien des gens hu? Encore mieux que je pensais.

Il ne savait probablement pas à qu’elle point il avait raison, mais il se doutais bien que personne ne résistait à Melinda. Il y a trois choses d’inévitable dans la vie : Les taxes, la mort et Melinda qui gagne.

C’était maintenant son tour et elle lui faisait savoir, sans la moindre tendresse évidemment. Non seulement elle insinuait qu’il avait peur, mais en plus qu’il était un imbécile.  Il ne put s’empêcher de répondre.

Ok, Ok. Soyons clair: Je n’ai pas peur! Pas pour moi du moins.  C’est pour mes amis que je m’inquiète! Ensuite : Je ne suis pas un idiot! Peut-être que tu es une plus grande intellectuelle que moi, je te l’accorde, mais je suis quand même capable de réfléchir et prendre de bonne décision!

Réfléchir, oui. Mais prendre des bonnes décisions commençait à être très discutable.  Il écouta quand même ce que Melinda venait de lui dire et  se déshabilla petit à petit. Bien évidemment, on enlève soulier et chaussette en premier, évidemment. Ensuite, ce fut le pantalon qui fut enlevé. Il était maintenant en caleçon et chandail, son appréciation du corps de celle devant lui était évidente puisque son engin sexuel semblait tenter de briser ce qui l’empêchait d’être libre.  Il était possible de voir quelque cicatrice aux niveaux des jambes, mais rien de bien sérieux.  Il décida d’enlever son chandail par la suite, après avoir poussé un soupir. Il n’avait pas vraiment envie de montrer les marques sur son corps à la vampire, mais il n’avait pas vraiment le choix. Il l’enleva donc lentement, montrant petit à petit ces abdos qu’il entretenait avec beaucoup d’effort, ces biceps et tout le reste, avant d’enlever son chandail pour de bon.  Sa carrure était impressionnante,  large et bâtît,  mais ce n’était pas ce qui ressortait le plus.  Les marques de brûlure et les cicatrices qui parcouraient le corps du géant était très visible.  Une qui était juste en-dessous de sa gorge et qui descendait juste au milieu de son corps était la plus grande. Il en avait aussi une sur chaque bras, une sur la cote droite et ceux sur ces jambes.  Il avait l’air mal à l’aise de la situation et ravala encore une fois un peu de salive. Comparant son corps à celui de Melinda, c’était très différent.  Celui de la femme était fin, magnifique, pure, tandis que lui était grand, muscler,  remplie de blessure et quasiment disproportionner par sa grandeur.

Si tu pourrais éviter de ré ouvrir toute les blessures avec tes griffes comme tu as passé proche de le faire en classe,  sa serait très apprécier.

Par la suite, il enleva son caleçon, laissant finalement sa queue sortir. Elle était déjà dure, prête à l’action.

Ah, et sur la partie que tu me disais de te baiser sauvagement pour évacuer la colère…

Il agrippa Melinda en enroulant son bras gauche autour d’elle et la poussa contre lui. De sa main droite, il rentra immédiatement deux doigts dans l’intimité de la femme.  Par la suite, il l’embrassa langoureusement, se faisant plaisir. Il retira sa bouche et, avec  l’aide de ces jambes, la fit tomber au sol pour qu’il soit par-dessus elle, continuant de faire des vas et viens avec ces doigts en elle.

Dis-toi tout simplement que je vais me faire incroyablement plaisir. Tu ne peux même pas savoir à qu’elle point j’ai envie de te défoncer, d’un moyen ou d’un autre.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le mardi 26 janvier 2016, 00:42:59
Elle s’était déshabillée, et, plus que ses provocations incessantes, le spectacle de son corps nu avait définitivement cloué la langue de Naisho. Silencieux et médusé, l’homme ne savait visiblement plus où donner de la tête, tant chaque centimètre carré du corps de Mélinda semblait être comme une ode à la perfection. Mélinda était arrogante, et même narcissique, mais, honnêtement, quand on avait un corps comme le sien, c’était tout à fait normal, non ? Elle était tout simplement magnifique, et c’était une chose dont elle avait largement conscience. Souriant lentement, elle se tenait donc face à Naisho, faisant de petites moues coquines avec ses lèvres, ou entortillant quelques mèches de cheveux dans ses doigts. Quand il s’agissait d’aguicher les autres, Mélinda était une experte, et ce fut rapidement à son tour de se rincer l’oeil en voyant Naisho se déshabiller. Il y alla un peu plus timidement qu’elle, au début, mais se déshabilla également intégralement. Nu, il exhibait ainsi son corps massif, sculpté, bâti dans le granit... Avec plusieurs cicatrices qui firent sourire Mélinda, l’amenant à se mordiller les lèvres. Autant elle trouvait ça laid sur le corps d’une femme, comme des cassures et des fissures dans un émeraude parfaitement taillé, mais, sur le corps d’hommes musclés, ça leur donnait une allure guerrière qui, en réalité, était très excitante.

Naisho lui demanda de ne pas rouvrir ses blessures, et elle sourit.

« Ne t’en fais pas pour ça, mon beau... »

Il se rapprocha, et elle en profita pour poser une main sur sa peau, à hauteur de son sein, et serra un peu, se mordillant les lèvres en sentant les muscles. Quel homme ! On pouvait deviner sa carrure et sa musculature en le voyant, mais, nu, il était... Et bien, il était très beau. Un géant musclé, un parfait gigolo en devenir ! Ils se rapprochèrent, et, sans plus attendre, Naisho enfonça deux doigts dans sa chatte, la faisant soupirer et couiner, avant de se retrouver couchée sur le sol, avec Naisho au-dessus d’elle.

« Hmmm... »

Elle soupira, et posa une main sur la nuque de l’homme, l’autre venant s’appuyer sur son épaule, tandis qu’il glissait qu’il comptait la baiser.

« Quelle impatience, Naisho, haaaa... Mon pauvre, je n’ose imaginer le nombre de fois où tu t’es masturbé en pensant à moi... »

Elle pouvait sentir sa queue, qui caressait ses cuisses, et elle se pinça les lèvres, avant d’aller l’embrasser, plaquant sa bouche contre la sienne. Elle-même sentit le désir monter en elle, croissant joyeusement, au fur et à mesure qu’elle était excitée. Elle frottait ses cuisses avec ses jambes, et griffa ensuite un peu son dos. Il n’y avait rien qui puisse rouvrir ses blessures, c’était juste... Comme un petit coup de fouet supplémentaire, afin de le motiver.

« Allez, baise-moi, je sens toute l’impatience de ta queue... Fourre-là en moi, défonce-moi comme si tu voulais me violer et me faire hurler... Allez, BAISE-MOI, défonce-MOI comme si j’étais une PUTE ! »

Mélinda lui hurlait dessus, vociférant des jurons, afin de réveiller la bête sauvage qui se terrait en lui...

Ce genre de trucs, ça marchait à tous les coups !
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le jeudi 04 février 2016, 01:25:45
Il perdait petit à petit le peu de contrôle sur la situation  qu’il avait.  Les provocations de Melinda faisait tout simplement le travail comme elle le désirait et son corps empêchait Naisho de penser comme il devrait.  Lui qui pensait arriver et négocier avec la vampire, il se retrouvait à accepter tout ce qu’elle voulait. II était maintenant  nue, par-dessus elle et ne pensait plus vraiment à ce qu’il faisait.  La petite griffure de Melinda lui fit l’effet d’une bombe et il embrassa la vampire dans le cou, la gorge et juste en haut des seins. Il continuait d’enfoncer les doigts de plus en plus loin, plus fort et plus rapidement.

Continue de me faire mal et je vais devoir le faire moi aussi.

Il l’embrassa au niveau de la bouche cette fois-ci, en mordant la lèvre inférieure de Melinda par la suite.  Il se sentait petit à petit devenir un animal, une créature réagissant seulement par ces pulsions et qui ne devait se préoccuper de rien d’autre. Il voulait reprendre le contrôle, mais chaque fois qu’il l’embrassait, chaque fois qu’elle bougeait pour qu’il sente le corps de la belle femme contre lui, il sentait sa santé mentale disparaître. Même une fois qu’elle était contre le plancher et qu’il était par-dessus elle, elle ne pouvait s’empêcher de continuer de jouer dans la tête du géant, parlant de masturbation qu’il aurait fait en pensant à elle. Il essayait de son mieux d’ignorer l’insulte, mais son excitation était trop grand. Surtout qu’il savait très bien l’avoir déjà fait, il y a un bon moment , quand il avait vu la demoiselle pour la première fois.

Croit-pas non plus que c’est arriver souvent…bah…pas trop souvent.

Petit rire nerveux de l’homme.  Il  ne pouvait regarder la femme dans les yeux, ne se sentant pas capable de supporter le regard de la vampire. Il lui parlait donc en regardant ailleurs, comme la bouche ou les seins.  Melinda bougeait, faisant sentir son corps contre lui et sa l’excitait terriblement.

« Allez, baise-moi, je sens toute l’impatience de ta queue... Fourre-là en moi, défonce-moi comme si tu voulais me violer et me faire hurler... Allez, BAISE-MOI, défonce-MOI comme si j’étais une PUTE !

À ce moment précis,  toute gêne, toute réserve et hésitation qu’il avait s’écroulèrent d’un coup. Il poussa un grognement et son regard fut soudainement plus sévère, comme s’il regardait une proie qu’il voulait abattre.

Oh croit-moi, tu vas regretter de me provoquer de la sorte! J’en ai marre de t’entendre parler de la sorte!

Il se redressa un peu et fit soulever Melinda pour que son dos ne touche plus le sol, seulement la tête, pendant que les jambes étaient autour des reins du géant.  Sans autre avertissement, il entra sa queue en elle. Ce moment  fut quasiment magique pour lui, sentir l’intérieur de la chatte de la vampire était fabuleux.  Il ne put s’empêcher de pousser un soupir de plaisir, avant de commencer les vas et viens.  Il y allait avec puissance, ne se se gênant pas de faire mal à Melinda.

J’ai entendu tes petits soupires de plaisirs dès le début. T’aime un homme grand et fort hein? C’est ce que t’aime, te faire défoncer avec puissance? Je vais te faire regretter de pas m’avoir parlé avant.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 04 février 2016, 13:01:59
Quelles chances Naisho pensait-il vraiment avoir contre elle ? Face à Mélinda, le brave homme était aussi désemparé qu’un enfant, ses gros muscles ne lui servant à rien, car ce n’était pas avec les poings que Mélinda se battait, mais avec une arme nettement plus redoutable, et nettement plus acérée : sa doucereuse et serpentine langue. Que faire contre elle ? Vaincu, Naisho l’embrassa, ce baiser sonnant comme un aveu, encore plus marqué que chacun des mots que l’homme pouvait dire pour tenter de garder la face. Oui, il avait beau coucher avec Shelly, la vampire était sûre qu’il fantasmait sur elle, qu’il fantasmait sur son corps parfait, sur sa silhouette de rêve, sur ce corps magnifique et taillé dans la grâce. C’est ainsi qu’il avoua que, oui, effectivement, il s’était déjà masturbé en pensant à elle. C’était, après tout, typiquement humain ; quand une fille vous intéressait, le meilleur moyen qu’on trouvait pour le montrer, c’était de lui tirer les couettes. L’approche primitive, immature… Humaine, autrement dit. Il était là, sur elle, avec le sexe tendu, le regard fiévreux, tout son corps trahissant le désir virulent qu’il était en train d’éprouver.

Puis il y alla enfin, semblant sortir de son idolâtrie, soulevant le corps de poupée de la femme, et approcha sa verge, qui s’enfonça d’un coup, la tête de Mélinda partant en arrière, tandis que ses ongles griffèrent un peu plus fort le corps de l’homme.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa… !! »

Quelle queue ! Quelle queue ! La brave vampire en était toute retournée, médusée devant une telle force, sentant les coups de reins de l’homme se multiplier, meurtrissant et pénétrant son corps, le tas de muscles remuant contre elle, soulevant celui de la vampire sous ses multiples et voraces assauts. Cet homme était une vraie brute, une masse de muscles, ses veines pointant le long de sa peau tandis qu’il se perdait en elle, remuant, encore et encore, dans son corps.

« Ooooouuuuiiii-Ouuuuuiiii !! »

Évidemment qu’elle aimait ça ! Quelle femme n’aimerait pas se faire baiser par un tel homme ? Un géant musclé et solide. Ah, la brave Shelly devrait prendre son pied au plumard quand l’homme s’abattait avec elle. C’était un vrai grizzly, épais et massif, et, tandis qu’il continuait à la prendre, Mélinda finit par se redresser, en bandant ses muscles autour de son bassin, et se retrouva finalement contre lui, posant une main sur sa nuque, venant pincer la poitrine de l’homme, avant de lui mordiller le cou à son tour, tout en usant de ses muscles et de ses hanches pour accompagner ses coups de reins.

Mélinda soupirait, crispant contre son corps contre le sien. De cette manière, les mouvements de Naisho étaient ralentis, mais elle pouvait sentir cette queue remuer en elle, plus fermement.

« Hmmm... Lààà... Ouuuiii, j’aime beaucoup ta queue, mon chéri... Palpe-moi le cul, vas-y, je suis sûre que tu as toujours eu envie de le pincer, de le serrer, hummm... Empoigne-le, allez ! Haaa... »
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le dimanche 14 février 2016, 08:03:05
Avait-il vécut dans sa vie une meilleur sensation? De pouvoir faire l’amour à une femme qui semblait tout simplement être la beauté à l’état pure? Probablement que non. En fait, il savait que non. Ce corps était la plus belle chose qu’il avait vu de sa vie, le genre de corps qui ne devrait probablement pas être vu par un simple mortel comme lui. Pourtant, il avait Melinda dans ces bras, nue pendant que les deux faisaient l’amour.  Peut-être que faire l’amour n’était pas la meilleure façon de décrire la situation, les deux n’étant pas amoureux de l’autre et il n’y avait aucune bonté et générosité dans la situation.

Il l’entendait gémir, il la voyait réagir. C’était excitant de voir à qu’elle point il était capable de donner du plaisir à une femme comme Melinda. Habituellement, il faisait de son mieux pour plaire à sa partenaire, la majorité du temps la dite partenaire étant Shelly, mais dans cette situation particulière ce n’était pas exactement le cas.  Oui, jusqu’à un certain point c’est ce qu’il fait, puisqu’il doit lui donner un orgasme. Sauf qu’il n’y avait pas que ce petit détail : Il voulait tout simplement prouver à Melinda, une vampire, une créature si puissante et dominante, que lui, un humain, était capable de se rendre utile et qu’il était capable de démontrer beaucoup de puissance. Oui, il tentait de se prouver à Melinda et oui, pour lui, c’était personnel, c’était importent.

Chéri? Je sais pas je suis le combientième que tu appelles de la sorte cette semaine, mais j’accepte avec plaisir les mots de la sorte ma belle!

Malgré son arrogance, il ne put s’empêcher d’agripper le derrière de Melinda.  C’était si tentant, il le désirait. Il le serrait, le palpait. Décidemment, tout le corps de Melinda était aussi bon, voir meilleur qu’il l’avait imaginé.  Il sentait les griffures, les morsures et les pincements qu’elle faisait, mais il aimait ça. La proximité des corps, l’un contre l’autre faisait en sorte qu’il plongeait totalement dans l’action.  Il ne pouvait plus y aller aussi vite qu’avant maintenant que Melinda avait changé sa posture mais il savait qu’elle allait maintenant ressentir à 100 % tous les coups qu’elle allait recevoir.  Il continuait de faire les mouvements tout en ressentant lui-même beaucoup plus le corps de sa partenaire.

‘’Argh… tellement bon…’’

La sensation était tout simplement incroyable.  Il ne pouvait pas faire semblant.   Comment ne pas tomber dans le piège de Melinda? Elle était magnifique et était probablement la plus grande provocatrice de tous les temps. Une femme au visage d’ange, mais avec l’attitude d’un démon prêt à te prendre ton âme à tout moment.  Sauf que vendre son âme à un démon aussi sexy, est-ce que c’était la pire chose au monde?

Naisho commença à parcourir le corps de Melinda avec sa bouche et sa langue. Il en voulait tout simplement plus.  Il embrassait les seins, leur donna des coups de langue et fit de même avec le cou et le ventre de la vampire.  Plus la soirée avancait, moins il avait de contrôle sur lui-même et plus il avait envie d’être tout simplement le jouet de Melinda. Mais il voulait résister, il voulait être le dominent, le mâle alpha qui allait prouver à Melinda qu’un humain n’est pas inutile.  C’est avec cette mentalité qu’il continuait de faire des mouvements de vas et bien, mettant toute la force qu’il le pouvait.  Ces muscles ressortaient, ces veines étaient visible et sa respiration était digne d’un animal, forte, démontrant l’effort physique qu’il était en train d’accomplir.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le lundi 15 février 2016, 07:33:04
Crispée contre le corps de ce géant, Mélinda retrouvait le plaisir inné, intense, qu’elle éprouvait à chaque fois qu’elle couchait avec un homme. Musclé et solide, Naisho était un amant virulent, quelqu’un qui, à voir son acharnement, avait visiblement eu très envie de coucher avec elle. Oui, Mélinda en était sûre, tout son numéro n’avait eu que pour but de coucher avec elle, et, si Naisho pensait se débarrasser de la vampire juste en jouissant en elle, il se trompait bien lourdement. Au contraire, en couchant avec elle, il était comme la personne goûtant au fruit défendu, et qui, par la suite, ne pourrait qu’y revenir. Malgré son arrogance, et une certaine forme de narcissisme vampirique, il y avait, en elle, quelque chose d’irrésistible et de très attachant. Était-ce sa beauté redoutable ? Oui, bien entendu, mais pas uniquement. Il aurait été réducteur de réduire l’attrait de la vampire à sa beauté, et ce même si elle était la première à dire que sa beauté était fabuleuse.

« Haaaann... »

La vampire soupirait, et gémit quand l’homme posa ses mains sur ses fesses.

« Oui, haaa... Maltraite mon petit cul, Naisho, hum... »

Outre sa beauté, il y avait aussi, et c’était lié, sa perversion. Elle était une grande admiratrice de sexe. Certains pensaient que l’abus de sexe finissait par rendre le sexe inintéressant, mais Mélinda, elle, était la délicieuse exception à cette règle. Elle couchait depuis des siècles, avait subi des centaines d’orgies, quantité de séances de sexe tendues, ardues, dans tous les sens, et, pour autant, le sexe ne la lassait toujours pas. Elle adorait coucher avec de belles femmes, leur défoncer le cul, ou baiser avec des mecs bien membrés, grands et tendus. Elle se serrait contre le corps de Naisho, griffant sa nuque, ses épaules, tout en sentant sa verge se perdre en elle. Oh, si c’était bon ! Comment diable Naisho pouvait-il penser pouvoir, un jour, fuir l’emprise de la vampire ? Il était maintenant entre ses griffes, telle une grande marionnette, dont les fils allaient le dompter. Mais s’en plaindrait-il ? Qui irait se plaindre de se taper Mélinda Warren ?

Il remuait contre elle, grognant contre elle, accélérant le rythme, plaquant le corps de la femme, répondant à ses baisers, des baisers où Mélinda le mordillait. Elle le laissait agir, elle le laissait faire le mâle dominant, car elle savait que les hommes aimaient ça.

« J’espère que... Haaa... Que tu as de la réserve... Mon petit cul attend ta... Ta queue... »

Elle lui embrassa le cou, le mordillant légèrement, puis continua à onduler contre lui.

« Au sol, ou contre le mur... Prends-moi comme tu veux... Allez, Naisho, baise-moi comme une pute, haaa... N’est-ce pas tout ce dont tu as envie, hum... ? O-Ouii... Baise-moi, allez, haaa... !! »

Mélinda mouillait de plaisir tout contre lui...
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le vendredi 26 février 2016, 20:34:26
Chaque secondes qui passait depuis le début de cette soirée brisait toute résistance de Naisho petit à petit. Celui qui pensait faire ce que Melinda allait lui demander et simplement partir par la suite prenait soudainement beaucoup plus de plaisir qu’il ne l’aurait pensé.  Il en venait à un point que chaque fois qu’il se convainquait qu’il allait tout simplement partir après, il avait une petite hésitation, comme si, en quelque sorte, il ne voulait pas partir par la suite. C’était complètement ridicule, Melinda l’avait menacé, elle avait mis en danger la carrière et la réputation de Shelly…mais il y avait quelque chose qui l’attirait. Bien sûr, le physique de  la vampire y était pour quelque chose, ce corps était tout simplement irrésistible et il en avait rêver, alors avoir la chance de le toucher et d’avoir une relation sexuelle avec l’objet d’un si grand fantasme était incroyable. Mais au fond de lui, il y avait autre chose. L’attitude de Melinda, la confiance en elle, son autorité,  toute des choses qui la rendait si attirante, si intéressante, qu’au finale, il était très tentant de découvrir son monde, rester prêt d’elle.  Il était dans la position du mâle dominant, mais pourtant, la grande majorité des gestes qu’il effectuait était sous les demandes de la belle femme.  Pouvait-il vraiment se penser en contrôle, se sentir comme étant celui qui décide de tout quand il est incapable de réfléchir par lui-même sans que Melinda lui indique quoi faire? Pas vraiment, mais il était bien trop exciter et confus pour faire attention à ce genre de détails.

Toute les petites morsures, les griffures et les mouvements que la vampire faisait démontrait à qu’elle point elle savait ce qu’elle faisait.  Il adorait Shelly, la femme la plus gentille et sincère qu’il avait eu la chance de rencontrer, mais il devait se rendre à l’évidence : Aucune des nuits qu’il avait eu la chance de passer avec sa belle enseignante pouvait se comparer à ce qu’il vivait en ce moment.

Ne t’en fait pas pour ton cul ma belle…  Je vais le défoncer!

Depuis qu’elle s’était déshabille il voulait tout simplement la détruire, être tellement brutale avec elle que jamais elle ne pourrait oublier cette soirée.  En même temps, elle avait tellement eux d’expérience, comment pouvait-il espérer réellement la marquer à ce point? Il ne le savait pas réellement, mais s’il y avait une chose dont il était convaincu, c’est qu’il allait faire de son mieux, coups de rein après coup de rein et qu’il comptait bien la faire crier comme une salope.  L’entendre parler en soupirant et en gémissants lui donnait beaucoup de plaisir, comme si sa lui prouvait qu’il était capable d’être un bon amant même pour une femme comme elle, qui peux s’offrir n’importe qui et qui domine tout ceux qu’elle désire. Bien sûr, il lui restait inférieur, il restait un humain sans grand pouvoir et qui n’as aucune véritable chance de survivre contre ce genre de créature, mais c’était tellement sensationnel d’avoir l’impression d’être suffisamment bon pour plaire à quelqu’un comme elle. 

Te prendre comme je le veux? Tu…aah… est bien généreuse…ma belle!

Il suait, comme s’il était en train de faire une séance intensive de sport.  Il se donnait à 100 % et personne n’aurait pu dire le contraire.   Il avança jusqu’à pouvoir mettre Melinda contre le mur, en gardant sa verge en elle jusqu’à l’arrivée, l’embrassant avec passion. Il sentait la mouille de sa compagne contre lui et trouvait cette situation très excitante,  Arriver, il se sépara d’elle et la retourna, pour qu’elle est le visage contre le mur.  Il lui donna une claque au cul avec toute la force qu’il lui était possible d’avoir.

Tu peux pas savoir le nombre de fois que j’ai rêvé de faire ça. Tu peux pas savoir le nombre de fois que j’ai eu envie de te sauter dessus, de te baiser comme une chienne.

Il passait sa main gauche sur le cul de la vampire tandis que sa main droite se promenait sur son dos.

Ton corps… c’est tout ce que je désire.

Il embrassa la nuque de Melinda à répétition, avant de descendre aux épaules, suivit du dos. Après ce petit moment plus calme, il agrippe durement les cheveux de miss Warren et, sans avertissement, pénétra le petit cul devant lui. Une vague de plaisir lui parcourut le corps au grand complet et il ne put s’empêcher de pousser un  mélange de grognement et de gémissement. Il dut actuellement prendre un petit moment pour respirer avant de commencer à faire des vas et viens en elle. Chaque coup lui donnait un grand plaisir.  Il la plaquait contre le mur et lui tirait les cheveux vers l’arrière.

En fait, il lui manquait juste les couettes et elle était la petite fille donc l’humain naïf était tombé amoureux.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le samedi 27 février 2016, 12:47:57
C’était bien là la preuve de tout ce qu’elle pensait. Difficile de dire si Naisho était amoureux d’elle ou non, mais, en tout état de cause, il avait très envie de se la taper. Souvent, les humains confondaient l’amour avec l’envie de baiser, des sentiments qui, tout en étant similaires, répondaient aussi à des pulsions différentes. Même pour Mélinda, il était impossible de dire si ce grand niais était amoureux d’elle, ou s’il avait juste envie de s’envoyer en l’air avec elle, mais, au moins, elle était sûre d’être l’objet de ses fantasmes. Impossible de nier, maintenant. Naisho ne pouvait pas se retrancher en disant que Mélinda l’avait forcé, car l’ardeur dont il faisait preuve, c’était celle d’un amant transi de désir, qui voyait, devant lui, une source de fantasmes s’ouvrir enfin à lui. Depuis combien de temps est-ce que Naisho fantasmait sur elle ?

*Depuis suffisamment longtemps pour avoir tourné sa frustration en détestation de moi-même, et ainsi pour se dissimuler ses véritables sentiments...*

La psyché humaine, une chose indéniablement fascinante. Mélinda avait beau être belle, elle n’en était pas moins d’une intelligence féroce, seule chose justifiant le fait qu’elle puisse avoir une telle prestance, et autant d’esclaves dévoués à sa personne. Elle savait ainsi que, par définition, l’être humain était très paradoxal. La haine qu’il ressentait envers quelqu’un était très souvent une forme d’amour détournée, surtout quand cette haine était injustifiée. La fierté vous forçait à agir ainsi. Il n’y avait rien de plus humiliant que de confier ses sentiments à quelqu’un et de voir qu’ils n’étaient pas réciproques, et, partant de là, la fierté vous amenait à enterrer ses sentiments, et à les rejeter.

Naisho avait visiblement fonctionné comme ça, et, maintenant qu’il pouvait se taper la nana, il n’y avait plus de raisons de dissimuler ses sentiments. L’homme était brutal et violent, et c’était comme ça que Mélinda le voulait. Il la plaqua contre le mur, al faisant soupirer, puis claqua ses fesses.

« Hm... ! »

Elle se pinçait les lèvres, serrant ses ongles contre le mur, ses seins s’aplatissant dessus, puis elle gémit quand l’homme agrippa ses cheveux, tout en lui confirmant ce qu’elle pensait : il avait rêvé de faire ça. Elle gémit, la tête penchée vers l’arrière, espérant que Naisho ne lui arracherait pas ses précieuses mèches de cheveux (Mélinda tenait beaucoup à ses cheveux). Puis sa queue s’approcha de ses fesses, elle se mordilla les lèvres, retint son souffle, et...

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Sans ménagement, l’homme venait de s’enfoncer dans ses fesses, amenant le corps de Mélinda à s’écraser contre le mur, et cette dernière à hurler. Naisho venait de la sodomiser sans véritable préparation, ce qui avait entraîné, chez elle, une vive douleur, comme si un feu ardent venait d’exploser dans son cul.

« HMMMMMMMMMMMMMM... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.. !! »

Mélinda se mit à pousser des hurlements aigus, en se dandinant, tout son corps se mettant à vibrer contre le corps de l’homme. Naisho était un amant impassible et violent, et sa queue avait tué tout ce que Mélinda aurait eu envie de lui dire, pour le narguer. Pour l’heure, en effet, la femme se contentait de subir, et de devoir adapter son anus à cette grosse queue qui la labourait avec force et puissance.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !!! » hurlait-elle donc, ses cris résonnant dans le gymnase.

Hannnn ! Que c’était bon !!
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le jeudi 24 mars 2016, 05:44:06
Il n’était pas dur à comprendre que Melinda ne puisse savoir exactement ce que Naisho ressentait envers elle, puisque lui-même en était de moins en moins sûr.  Il s’était persuader de détester Melinda et son attitude de princesse incontestée de ce monde, qui allait toujours recevoir ce qu’elle voulait. Mais pourtant, pendant cet acte très bestial qu’ils étaient en train de faire, il avait commencé à éprouver quelque chose envers cette femme. Cette beauté incroyable, son intelligence supérieure,  sa confiance absolue et sa façon de lui adresser la parole, il en devenait fou. Peut-être qu’en réalité, ce fut toujours le cas.  Il ne pouvait se rappeler d’un moment depuis qu’il avait vu miss Warren qu’il n’avait absolument rien ressenti en la voyant. Ce qu’il pensait être de la haine et du dégoût était peut-être un amour garder secret et de la jalousie? Il n’en avait aucune idée et sa lui jouait dans la tête depuis quelques moments déjà. Il pouvait traiter Melinda d’égoiste autant qu’il le voulait, au final, c’était son propre égoïsme qui le poussait à se convaincre que ce n’était pas le cas.
Il arrête de forcer sur les cheveux de sa compagne d’un soir (ou du moins celle qui est censé être sa compagne d’un seul soir) mais laissa sa main droite  contre la tête de Melinda et la plaqua contre le mur. Il continuait ces mouvements de vas et viens dans le cul de Melinda du mieux qu’il le pouvait, entendant la magnifique demoiselle crier de plaisir.

Alors Melinda, plus d’insulte? Ta grande gueule te permet juste de crier maintenant?!

La voir de la sorte était terriblement excitant. Être capable de faire tellement de plaisir à une fille si expérimentée et habituée d’insulter tout le monde qu’elle en était soudainement incapable de dire quoi que ce soit, c’était si bon! En fait, juste savoir le fait qu’il était capable de plaire à Melinda lui faisait du bien. Probablement que sa lui permettait de se prouver auprès d’un être supérieur…ou peut-être était-il réellement intéresser à faire plaisir particulièrement à Melinda Warren?

Frustrer d’être encore incertain sur ce qu’il ressentait, il sortit sa verge du derrière de Melinda et , en se donnant un élan, donna une dur claque sur la fesse droite de la vampire.

Tu dois aimer sa hein? Te faire défoncer comme une salope contre le mur?!  Des centaines d’esclaves mais incapable de résister à une partie de jambe en l’air!

Sans prévenir, il se renfonça de nouveaux en elle, tentant d’être le plus brutale possible. Frustrer par les émotions qu’il ressentait, il en oubliait quasiment la raison qu’il était venu dans le gymnase ce soir et son objectif de donner un orgasme à Melinda. Il continuait de donner coup après coup, sans se soucier du fait qu’il allait probablement avoir un orgasme dans un futur non-lointain s’il continuait de la sorte, étant tout simplement trop déterminer à défoncer sa partenaire. Il grognait et poussait quelque soupires de plaisir, commencent lui-même à devenir incapable de parler dut à l’intensité de la situation.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 25 mars 2016, 00:04:00
Mélinda était assurément une femme dominatrice, autoritaire, arrogante, présomptueuse et orgueilleuse. Elle aimait sodomiser les gens, et, pour autant, elle faisait partie de ces femmes qui aimaient aussi se faire remplir et dominer. La vampire considérait tout simplement qu’on ne pouvait bien dominer qu’en apprenant ce qu’était la soumission... Et là, avec cet amant costaud et brutal, elle ressentait très bien la soumission. Son corps heurtait violemment le mur, ses seins rebondissaient dessus, ses cheveux volant dans tous les sens, tandis que Naisho, imperturbablement, continuait à la prendre, à la fourrer dans le cul. Mélinda hoquetait et gémissait, avant de le sentir soudain se calmer, en la narguant.

« Haaaa... Haaaaa... Ne... Haaaa... »

Comme toujours, en pleine sodomie, parler était dur, et Mélinda respirait énormément, car elle sentait son cul être en feu, frissonnant joyeusement. L’homme avait retiré son sexe, mais, même malgré ses provocations, elle pouvait sentir sa fatigue, sa surprise. Le brave homme ne comprenait pas trop ce qui arrivait, car il était parti du principe qu’il haïrait Mélinda, et était maintenant en train de se découvrir, pour elle, une étrange affection... Une affection que, en réalité, il avait toujours nié, avant de réaliser, maintenant, qu’elle existait.

Plaquée contre le mur, elle sentait tous ses muscles frissonner et trembler, puis elle le nargua, en dandinant son cul, tournant la tête sur le côté en souriant :

« Mais... Tu peux parler, Naisho... Tu crois qu’on m’a jamais tringlé le cul ? Ne me dis pas que tu es déjà épuisée... Je suis sûre que tu peux faire mieux que ça. »

Mélinda lui sourit encore, un sourire malicieux qui jouait sur ses lèvres.

« Allez, petite bite, viens me défoncer le cul... »

Les jurons, elle savait les employer savamment, exactement quand il le fallait.

Puis, en retour, Naisho retourna s’enfoncer en elle, et elle hurla encore.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le vendredi 25 mars 2016, 05:03:58
Malgré tout les efforts qu’il allait faire et toute la puissance qu’il donnait dans ces coups, il ne pouvait pas échapper aux insultes de la belle vampire qui s’amusait beaucoup à le raaisser et le provoquer. Il avait toujours bien aimé les filles avec du caractère, une des raisons principales qu’il était avec  Shelly. Une femme du genre,  professionnelle, sérieuse mais aussi capable d’être joueuse et  fanatique de sexe, ce fut suffisant pour le rendre accro à sa professeur d’anglais.  Ce n’est pas comme s’il connaissait une autre personne qui était du même genre…quoique, n’était-il pas en train d’avoir une relation sexuelle avec une femme du même genre? Melinda était capable d’avoir l’air d’une vrai pro et d’une élève parfaite, elle savait quand être sérieuse, elle avait su attirer Naisho et bien d’autre et elle semblait ADORER le sexe.  D’ailleurs, il avait rencontré Melinda avant Shelly , donc théoriquement s’il aurait fantasmer sur une des deux en premier, il aurait s’agit de…

« Allez, petite bite, viens me défoncer le cul... »

QUOI?! Comment osait-elle dire une chose de la sorte? Elle criait de plaisir et de douleur comme une folle, il la détruisait du mieux qu’il pouvait, comme si sa vie en dépendait et elle…elle l’insultait ainsi sur sa verge? Il était un géant, un colosse comparer aux gens normaux! Quand on as vécu toute notre vie en ayant la réputation d’être plus gros que nature, c’est quand même très insultent de soudainement se faire traiter de la sorte!

Espèce de… de… SALE PUTE!

La phrase avait été crier avec rage et détermination. Il continua de l’enculer avec force, tentant de rendre tous les coups plus puissants les uns que les autres.

Vraiment….VRAIMENT?! De toute les putains d’insultes possibles…petite bite? Tu crois vraiment qu’une femme ordinaire trouve que j’en ait une petite?! J’ai jamais, JAMAIS échouer à faire jouir une femme et je ne vais pas me laisser parler de la sorte par une pétasse qui passe ses semaines à se faire baiser par des centaines de personnes différentes parce qu’elle est la plus grande pute de tous les temps!

Il était tellement enragé qu’il en crachait par moment, comme une bête sauvage. C’était une réaction qui paraissait peut-être exagérer, mais c’était surtout une réaction causer par tout ce qui se passait dans cette soirée. Que ça soit toutes les autres insultes, la réputation de Shelly en danger ou ces sentiments pour Melinda qui se révèle, tout était parfaitement mit ensemble pour lui causer une rage incroyable.  Comment pouvait-il être amoureux de cette folle? Elle ne faisait que souffrir les gens, les exploiter, les domines… alors pourquoi juste penser à la possibilité d’être traité comme rien d’autre qu’un esclave par Melinda l’excitait? Il était un géant, il était un homme de grande puissance, il devrait être un leader, le dirigent. Comme… bah, il était un sous-fifre pour Hiro, un soldat sans droit pour Joker et maintenant il travaillait pour les Yakuzas.  Bon, il se disait être le leader du groupe de 4 à son appartement, mais très souvent il ne faisait qu’accepter ce que Shelly lui disait. Oui il pouvait être brutale, agressif, violent, mais il l’était quand on lui demandait. Était-il réellement soumis à ce point?

Tu peux m’insulter autant que tu le veux, je sais que tu aimes ça, je sais que tu en redemande!

Il suait, son cardio n’avait jamais été sa plus grande force. Il en avait plus que ce que les gens pourraient penser d’une montagne de muscle, mais il restait quand même difficile pour lui de tenir un rythme aussi intense pour si longtemps.  Sa respiration était forte et il poussait d’avantage de soupire de plaisir.  Il essuyait du revers de la main de la sueur sur son front et la regarda pendant un moment. Cette fille allait causer sa mort si il continuait pendant des heures, mais ça allait en valoir le coup. De son bras droit, il enroula la taille de Melinda, lui agrippa les cotes et d’un coup, la leva dans les airs. Il la plaqua contre le mur, les pieds de la femme ne touchant plus le sol.

Tu voulais une baise intense? Je vais te donner un truc que tu vas te rappeler des centaines d’années après ma mort!

Il continuait de donner des coups puissants, espèrent que Melinda allait y prendre beaucoup de plaisirs au point de l’emmener prêt d’un orgasme plus facilement.

Parce qu’il réalisait que c’était son cas et que sa première éjaculation approchait bien plus vite qu’il ne le voudrait.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 30 mars 2016, 02:05:38
Pour provoquer un homme, il n’y avait rien de plus efficace que d’insulter la taille de sa queue. C’était primitif, puéril, une insulte facile, gratuite, mais ça marchait toujours. La même chose se trouvait avec les femmes quand on parlait de leur poids (le sujet foireux par excellence), mais, chez les hommes, insulter la taille de leur sexe déclenchait en eux une réserve de rage primitive, et c’était précisément ce qu’elle voulait chez Naisho. Elle voulait pousser ce grand Musclor à bout, ce grand benêt qui avait sauté à pieds joints dans ses plates-bandes. Elle voulait voir jusqu’où il était capable d’aller, et, en sentant son sang s’enflammer suite à son insulte, elle sut qu’elle avait frappé juste. C’était un coup bas, mais elle ne cherchait pas à l’insulter, juste à le provoquer pour renforcer sa détermination. Et ça marchait… Comment ne pas douter, alors, de l’esprit manipulateur de Mélinda ? Elle avait vite vu que Naisho tenait à sa fierté, vu la manière dont il s’emportait contre elle.

Ainsi, alors qu’il lui labourait le cul avec la force d’un buffle chargeant un troupeau de moutons, il était permis de se demander qui, réellement, dominait l’autre. Mélinda sentit en tout cas Naisho s’enfoncer en elle, plus violemment encore, à tel point qu’il finit par la soulever, plaquant violemment son corps contre le mur.

« Haaaa… HAAAAAA… HMMMMMMMMMMMMMMM… !! »

La vampire sentait son corps rebondir d’avant en arrière, et enfonçait ses griffes dans le mur, laissant ses marques en les faisant crisser. Elle tapait avec sa main, tout en sentant Naisho continuer à la prendre, l’homme usant de ses muscles pour l’empêcher de tomber. La jeune femme en fermait les yeux quand la douleur remontait en elle, la traversant de part en part.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !! »

Les hurlements jaillissaient de sa gorge. Douleur et plaisir n’étaient maintenant plus que des synonymes, les expressions d’une même et unique sensation, envahissante et totalitaire.

« Hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm… !! »

Difficile, impossible même, de parler ou de pouvoir communiquer, Mélinda ne pouvait que subir, mais guère en silence. L’homme continuait à la prendre, à la bourrer, et l’une des mains de Mélinda jaillit alors dans son dos, et vint se saisir de la nuque de l’homme. Ses attributs vampiriques étaient alors déployés, ses canines pointaient, tout comme ses griffes, qui s’enfoncèrent dans la chair de l’homme.

« Oooooohhhhh… !! Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa… !! BAAAAAAAAIISSEEEEE-MOOOIII, HNNNNNNN… !!! »

Comment ne pas être plus clair ?

Mélinda mouillait abondamment, marquant le mur de sa mouille, qui coulait sur le sol, chaque coup de reins la rapprochant de l’orgasme.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le mercredi 28 juin 2017, 07:34:34
Le plaisir était une chose importante dans la vie de plusieurs, ce qui donne la motivation nécessaire de surmonter de dure épreuves, dans l'espoir de pouvoir recevoir ce fameux plaisir qui aide à tout faire paraître meilleur. Pendant des mois, Naisho avait refouler toute sa rage, tout le manque d'attention et son désire envers Mélinda pour ne pas se faire rejeter, pour ne pas paraître minable. Maintenant, il pouvait tout faire ressortir, tout oublier grâce à ce grand,fabuleux moment de plaisir qu'il partageait avec la plus belle femme au monde. Il n'était qu'un jouet pour elle, une proie, il s'en doutait, au fond de lui il le savait très bien. Sauf que pénétrer Melinda,être en elle, la faire mouiller et crier tout le plaisir qu'elle ressent, commençait à devenir bien plus que simplement plaisant, sa en devenait addictif.  Alors qu'une partie de lui voulait tout simplement la faire jouir et en finir de cette histoire, une autre voulait continuer de la baiser, encore et encore, non pas seulement pour son amusement personnelle, mais aussi pour continuer de la voir ainsi.Elle était cruelle, une manipulatrice, le genre de personne qu'il déteste, mais il y avait quelque chose d'excitent en elle, en-dehors de sa beauté légendaire. Son attitude, sa façon d’agir, la confiance qu'elle a envers elle-même, c'est envoûtant, de quoi faire perdre la tête à quelqu'un, ce qui en quelque sorte était le cas en ce moment.

''C'est une salope, arrête de t'intéresser à elle, arrête de...''

À ce moment, Melinda ne pouvait plus s'empêcher d'émettre des sons de plaisirs et de souffrance, combiner ensemble comme si c'était la plus normale des choses. Avec toute sa puissance, il tentait quasiment de la détruire, mais en même temps de lui faire plaisir. C'est ce qui est étrange au final dans le sexe, devoir faire mal pour faire du bien, devoir y aller avec puissance pour démontrer notre douceur, des choses contradictoires, mais qui au final était relier dans un moment, remplie de passion.  Toute la haine accumuler, tout le désir créer par les mois et années avaient emmener à ce moment précis. Réunie par le plaisir et la haine, les deux en étaient à agir comme des animaux, voulant tout les deux démontrer leur puissance et supériorité à l'autre. Un combat perdu d'avance pour le grand humain, mais qu'au final, il désirait depuis longtemps, sans vouloir l'admettre.

Me...Melinda...

Toute volonté de continuer sa phrase ou de dire quoi que ce soit fut interromput par une vive sensation, mélangeant douleur et satisfaction une fois de plus. Exciter, la vampire venait tout juste de lui rentrer ses griffes directement dans sa nuque. Sur le coup, ce fut douloureux, mais il ne put s'empêcher de lâcher un soupire de plaisir par la suite. Il aimait ce genre de situation, cette violence, le fait que Melinda ne pouvait même plus contrôler se genre de chose.


Aaaahhhh....salope....je vais....te...DÉFONCER!

Il déplaca sa main droite de façon à la placer directement contre la tête de Miss Warren et de lui aggriper les cheveux avec férocité de nouveaux, tirant la tête de sa compagne d'un soir vers lui. Il embrassa ses épaules et son cou avant de remonter sur le visage. Il passa sa langue tout prêt des crocs de la vampire sans même réellement penser au risque qu'il prenait. Les cheveux dans une main, le cul de Melinda dans l'autre en même temps de la pousser contre le mur, il tenta du mieux qu'il put d'accélerer le rythme de ces coups de reins, de la baiser encore plus rapidement. Il ne pouvait s'empêcher de la toucher, de palper le derrière, de licher le corps. Il voulait la faire jouire, protéger sa belle Shelly, la femme de sa vie, mais il était incapable de se calmer et de se concentrer pendant qu'il faisait l'amour à celle de ces rêves, la riche,belle,puissante Melinda Warren était avec lui, en train de se faire totalement démolire par sa queue, à en redemander. Il se sentait comme le roi du monde, celui au pouvoir, qui avait toute les merveilles du monde en sa possession. Il y allait de coups de plus en plus fort, de plus en plus vite, quand soudain

HAAAAAAAAAAA!

L'orgasme qu'il craignait tant seulement quelque moment plus tôt arrivait, incapable de se contrôler d'avantage, il tenta de se repositioner, essayer de ralent l'inévitable, mais en se faisant il perdit pieds et tomba dos contre le sol, emmenent Mélinda avec lui dans sa chute, l'empalant au plus profond de son intimitée. La sensation, soudaine et puissante, le poussa finalement à jouire en elle.

Ohhhh....Ooooo HAAAAAAAAAAA.

L'orgamse fut puissant,au point de le faire trembler, il ne se rappelait aucunement d'avoir vécut quelque chose d'aussi incroyable de toute sa vie, ne pouvant s'empêcher de gémire un peu de plaisir, brisant un peu toute son apparance de dure à cuire sans réactions. Au sol, avec Melinda par-dessus lui, il était temporairement incapable de réagire, espérent tout simplement avoir réussit à faire jouire Mélinda aussi.
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le lundi 03 juillet 2017, 00:47:13
Naisho ne le réalisait pas, mais, en acceptant le défi de Mélinda, il était entre ses griffes. Elle n’était pas dupe. Elle savait que, s’il l’avait provoqué, s’il avait fait son intéressant avec elle au début, c’était bien dans la perspective de lui faire l’amour. Elle savait comment les humains fonctionnaient. Quand un garçon était amoureux d’une fille, plutôt que de le lui avouer ouvertement, il lui tirait les couettes. C’était une approche primitive, humaine, qui consistait à refuser de voir la réalité. Mélinda, elle, était au contraire très honnête, souvent brute de décoffrage, comme en ce moment. Ce colosse la baisait bien fort, et il finit par la plaquer contre le mur, consistant à enfoncer sa trique en elle.

Le défi, ça avait été qu’il arrive à la fasse jouir pour qu’elle lui foute la paix. Et, si Mélinda n’avait qu’une parole, elle interprétait aussi très librement ce qu’elle disait. En ce moment, il n’y avait pas que Naisho qui l’intéressait. Si elle avait parlé de Shelly, c’était aussi avec la perspective d’avoir cette prof’ dans son lit, et, surtout, de s’en faire une complice. Mélinda avait déjà des soutiens au sein de l’administration et des professeurs, des complices qui l’aidaient à falsifier les dossiers scolaires.

« Haaaaa… !! »

Quelle force, quand même ! Quelle énergie, quelle passion ! C’était l’expression typique de la virilité masculine. Naisho ne lui épargnait rien, la baisant fortement, enfonçant sa grosse trique en elle, écrasant son torse en sueur contre sa poitrine, leurs corps claquant l’un contre l’autre, le petit corps de Mélinda rebondissant contre le mur. Sa salive s’échappait de ses lèvres, ses dents pointues brillaient sous l’excitation, et lui continuait à la bourrer, serrant les dents, avant de jouir en elle.

« Hmmmm… »

C’était une sensation magnifique, divine et jouissive, que de sentir la semence d’un home, surtout aussi costaud que lui, vous remplir. Naisho se répandit longuement en elle, finissant au sol, couchée sous elle. Elle le dominait de toute sa hauteur, griffant son torse, empalée sur sa grosse queue, qui se répandait comme un petit volcan… Et elle sourit en l’entendant gémir. Ses longs cheveux tombaient en cascade le long de son corps, et Mélinda se laissa également aller, relâchant son orgasme, la tête partant en arrière, ses griffes s’enfonçant dans la chair de l’homme sous ce contact. Un grognement bestial, vampirique, s’échappa de ses lèvres sous l’orgasme, tout son corps semblant frémir sur place, avant de se relâcher, sa mouille recouvrant la queue de l’homme, glissant de ses cuisses pour se répandre sur le sol.

« Haaaa… »

Mélinda reprenait sa respiration, ses longs cheveux tombant en cascade le long de son corps, avant qu’elle ne les écarte d’une main, ramenant ses mèches dans son dos, et secoua la tête pendant quelques secondes, avant de caresser le torse de l’homme, restant assise sur lui.

« Et maintenant ? »

Elle se tut pendant quelques secondes, avant de reprendre :

« Nous sommes quittes… Mais, pour autant, je suis convaincue que tu n’as pas envie que je parte. N’est-ce pas ? »
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Naisho Yujima le mardi 04 juillet 2017, 06:55:07
L’homme fort du groupe, celui qui menait toujours la charge et qui montrait toujours le plus de confiance, était tomber face première dans un piège sans même y penser à deux fois. Trop arrogant et fière de lui-même, il n’avait jamais penser pouvoir tout simplement devenir accro à Melinda, encore moins en une seule soirée. Elle était belle oui, incroyablement, mais il ne voyait pas la possibilité de ne pas pouvoir se débarrasser d’elle une fois l’acte terminer. Mais Melinda Warren était une grand manipulatrice, elle savait très bien ce qu’elle pouvait faire à un homme. Naisho, qui avait agis de façon primitive, avait tout de suite sauté sur l’occasion de baiser la belle femme qui se tenait devant lui, sans penser pour le moindre instant à de quelconque conséquence. Sa musculature, son endurance et sa vigueur, n’aidait absolument pas sa cause contre quelqu’un de bien plus intelligent et puissant que lui. Une sourie déposer dans un labyrinthe créer par un humain, sauf que maintenant, il était sous l’impression qu’il n’y avait aucune sortie, qu’il était pris au piège jusqu’a ce que la vampire se débarrasse de lui et le remplace par quelqu’un d’autre.

Il avait réussit à lui donner un orgasme, réussissant ainsi son objectif. Il pouvait maintenant partir sans regarder en arrière, en sachant qu’il avait accomplit son travail. Évidemment, il en était capable. Ce n’était pas à cause qu’elle était sur lui,il aurait peut-être put tout simplement l’éloigner de lui, se rhabiller et partir. Ce n’était pas une question d’être trop épuiser pour partir tout de suite, il en aurait été capable. Au final, il ne voulait pas la quitter des yeux, il voulait rester avec elle pendant encore très longtemps.   Le simple fait qu’elle passait sa main sur son torse pendant qu’elle était par-dessus lui le fit frémir de plaisir , il était incapable de cacher le plaisir d’être avec elle, il était rendu encore plus prévisible et encore moins crédible . Comment pouvait-il dire qu’il ne voulait pas d’elle alors que chaque moment le faisait soupirer,gémir ou frémir ? Il tentait de trouver la moindre raison de ne pas rester avec elle, mais son cerveaux refusait de coopérer ? Îl n’avait pas à être fidèle à Shelly, les deux pouvaient coucher avec qu ils voulaient, ils n’étaient pas un couple , seulement deux personnes qui partageaient le même lit. Ne pas devenir accro à Melinda ? Non seulement c’était peut-être trop tard, mais sa ne sonnait pas comme une mauvaise chose, pourquoi ne pas vouloir être avec elle ? Le fait qu’elle était une salope sans pitié qui était prête à manipuler tout le monde ? Raison qui devrait être valable, mais quand il la regardait, il ne pouvait s’empêcher de se dire qu’elle en valait le coup. Peut-être qu’il avait justement besoin de ce genre de femme ? Celle qui avait réellement le contrôle, celle qui pouvait toujours savoir la meilleur décision prendre, qui avait la volonté et la puissance nécessaire pour faire ce qu’elle voulait réellement.  C’était des choses qui avait pousser le colosse à s’intéresser à Shelly , elle était toujours confiante et toujours en avant. Du moins, elle en avait de l’air, mais maintenant qu’il avait vu ce que Melinda était capable de faire, il savait bien que sa belle enseignante faisait de son mieux, tandis que Mélinda était tout simplement la meilleure. Il ne s’imaginait pas quitter complètement la belle anglaise pour la vampire, mais peut-être passer d’avantage de temps avec miss Warren pourrait être très intéressent.

Preuve qu’elle savait très bien ce qui se passait, celle sur lui fit savoir qu’elle était bien au courant qu’il ne voulait pas se séparer d’elle tout de suite. Maintenant, il était temps pour lui de l’admettre. Il soupira, un mélange de désespoir et de plaisir, tout en prenant le temps de regarder le corps de la vampire. Elle était si belle, avec son sourire, ses formes, son regard qui lui transperçait l’âme, il pourrait mourir en regarder les yeux de cette femme. Il sentit sa queue, qui avait légèrement débander après son éjaculation, reprendre toute sa puissance, comme si la simple vision de cette fille par-dessus lui était suffisant pour qu’il puisse bander comme si de rien était.

Je….je ne veux pas te voir partir, pas maintenant….j’ai besoin de plus.

Comme un malade ayant besoin de médicaments, Naisho avait besoin de Mélinda. Il saignait légèrement dut à la puissance des griffes de la vampire lors de son orgasme, mais il ne le réalisait pas vraiment. Lui qui d’habitude ne voulait pas subir de nouvelle cicatrice ou subir de douleur physique, adorait la sensation quand c’était d’elle. Il y avait quelque chose d’animale, de puissant, qui l’attirait.  Il sentait la mouille de Melinda sur lui, ce qui ne lui donnait qu’une seule idée : Lui faire plaisir d’avantage. Elle méritait bien plus qu’un orgasme, elle venait de lui donner le plus grand plaisir de sa vie, elle méritait la planète entière ! Il utilisa ses coudes pour se redresser légèrement, afin de la regarder d’avantage, avant de reprendre la parole.

Je...je veux aussi te donner plus,tu….mérite mieux. Mon corps est à toi pour ce soir.

En réalité, il n’avait aucun problème à ce que son corps soit à elle pour bien plus qu’un soir, mais il tentait quand même encore un peu, de façon désespérer et peu utile, d’offrir un minimum de résistence. Il ne voulait pas dire qu’il voulait devenir son jouet, une propriété de Mélinda, mais il y pensait de plus en plus,
Titre: Re : I had Enough (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le lundi 10 juillet 2017, 01:04:50
Ils avaient tenu leurs engagements respectifs. L’affront de Naisho était pardonné, mais, pour autant, le colosse était encore confus, et ne surprit pas Mélinda en glissant qu’il voulait encore d’elle. Bien au contraire, un sourire narquois se dessina sur ses lèvres. Son sexe était toujours niché en elle, et elle le sentit grossir lentement, au fur et à mesure qu’il prenait conscience que, définitivement, il ne pouvait pas se séparer d’elle ainsi. Son corps était ainsi en conformité avec ses mots, et il alla jusqu’à se damner, en glissant que son corps lui appartenait. Mélinda, dont les yeux semblaient briller d’amusement, sourit alors, révélant sa magnifique paire de dents, et se pencha lentement vers lui. Elle avança ses mains, et les croisa sur le torse de l’homme, s’allongeant le long de son corps, agissant très lentement. Ses bras séparèrent ainsi de quelques centimètres son visage de celui de Naisho, et elle se rapprocha encore, venant, non pas l’embrasser, mais lécher ses lèvres, d’un mouvement brusque et rapide.

« À moi... Mais je crois qu’il n’y a pas que ton corps qui soit à moi pour ce soir, Naisho, en réalité... »

Mélinda lui sourit encore, malicieusement, et posa ses mains sur ses épaules, avant de l’embrasser dans le creux du cou, mordillant tendrement sa peau. Elle aurait planter ses canines dans cette chair fraîche et puissante, mais n’en fit rien, se contentant juste de le titiller, tout en frottant ses seins contre lui. Dire qu’il y a encore quelques heures à peine, elle trouvait ce type insupportable... Et puis, tout cela s’était résolu de la plus traditionnelle des manières, en faisant l’amour comme des bêtes. Et ce n’était que le début, bien sûr. Avec un tel corps, Naisho se devait d’avoir une bonne endurance.

Quant à Mélinda, était-il utile de préciser à quel point elle était, sexuellement parlant, gourmande ? Elle continua à lui faire un suçon, puis se redressa à nouveau, son bassin appuyant plus profondément sur le phallus de l’homme, lui arrachant un soupir. De nouveau à califourchon sur lui, elle le dominait, situation d’autant plus paradoxale qu’elle était nettement plus petite que ce géant. Pour autant, c’était bien elle qui se dressait, avec de longues mèches de cheveux qui glissaient le long de ses seins. Son corps était encore parcouru de traces de sueur, et elle remua un peu avec son bassin, d’avant en arrière.

« Ta queue était bien plus grosse tout à l’heure... Est-ce que tu veux que je te suce ? »

Elle posa un doigt sur ses lèvres, l’empêchant de répondre sur le coup, et poursuivit rapidement :

« Si tu veux que je le fasse, il va falloir que tu le demandes... Et, précisa-t-elle après une petite pause, que tu le demandes à ta Maîtresse. »

Jusqu’à quel point s’inclinait-il devant elle ? C’est ce qu’elle allait bientôt réaliser !