Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Mélinda Warren le mercredi 18 avril 2012, 21:23:42
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« Je vais te faire une offre que tu ne pourras pas refuser, ma belle... »
Pour Mélinda, tout avait commencé ainsi, dans le creux de son lit, à la faveur d’une caresse sensuelle, d’un baiser dans le cou, d’un souffle dans son oreille. Assise dans les gradins déserts de la grande piscine municipale de Seikusu, Mélinda songeait distraitement à cela en soupirant, observant la petite beauté qui nageait comme une sirène, remontant le bassin dans sa longueur en restant dans l’eau, avant d’en ressortir, pour replonger dedans, et ainsi de suite. Un vrai poisson dans l’eau. Il ne lui manquait plus qu’une longue queue couverte d’écailles à la place des jambes.
Pour comprendre, il fallait toutefois remonter un peu plus loin que cette chaude nuit dans les quartiers de Mélinda à Ashnard. Il fallait remonter à plusieurs semaines en arrière, voire même à plusieurs mois. Tout avait démarré quand Kaileesha (http://img76.xooimage.com/files/1/a/a/kaileesha-330d23a.jpg) avait entendu parler, en lisant un journal dans le manoir de Mélinda, de deux individus qui avaient perdu leur procès en appel, le couple Nasegawa. Ils avaient défrayé la chronique du monde financier, ayant été accusés d’un nombre assez impressionnant de crimes. Un procès extrêmement médiatique, très politique, qui avait reçu une attention mondiale. Les Nasegawa étaient après tout un couple japonais extrêmement riche, héritiers d’un clan ancien et puissant au sein de ce pays. La chronique judiciaire de ce couple avait fait la une de toutes les revues économiques spécialisées, que ce soit au Japon ou dans d’autres pays : « The Economist », « Alternatives économiques », « Forbes ». Même le « New York Times » et le « Washington Post » avaient fait de longs dossiers sur ce couple. Mélinda avait suivi cette histoire de loin, étant assez impressionnée par les charges retenues : corruption, faux et usages de faux, délit d’initié, trafic d’influence, favoritisme, menaces, harcèlement, homicides, vol, séquestration, torture... Elle avait même découvert de nouvelles infractions !
Ils avaient été condamnés à la peine de mort, et, quand Kaileesha était venue, elle avait distraitement lu le journal, assise sur un fauteuil. Difficile d’imaginer une démone surpuissante en train de s’asseoir dans un fauteuil pour lire le journal, mais c’était bien ce qu’elle avait fait. Elle avait ainsi appris que les Nasegawa venaient de perdre leur procès en appel, et seraient tous les deux exécutés sous peu... Ce qui, dans le jargon judiciaire, signifiait dans quelques années. Kaileesha avait semblé distraite ensuite, et Mélinda n’y avait, sur le coup, pas fait attention, avant de comprendre... La démone était suffisamment influente dans l’Empire pour avoir organisé la libération de ce couple. Ils avaient été soumis à une batterie de tests qui avaient montré qu’ils étaient bien des ESPers. L’Empire avait offert le choix à ce couple : retourner en cellules, ou travailler pour eux. Ces derniers avaient tenté de négocier, mais n’avaient pas négocié grand-chose.
« L’Empire recherche constamment des assassins efficaces, avait expliqué Kaileesha à Mélinda. Des informateurs à même de faire craquer n’importe qui, des bourreaux efficaces. Un télépathe et une femme qui brise les os peuvent être très utiles lors d’interrogatoires contre des citoyens supposés être des espions.
- Parce que l’Empire n’a pas de télépathe ? avait ironisé Mélinda, nue dans le lit, faisant la moue.
- Bien sûr que si, petit chaton... La seule différence, c’est que nous n’avons pas un couple qui se complète assez bien. Les espions résistant à la télépathie y résistent beaucoup moins s’ils sont en même temps torturés, et les généraux pensent qu’un couple sera plus utile, en terme d’efficacité et de synchronisme, que deux bourreaux ne se connaissant pas.
- Soit... Mais qu’est-ce que je viens faire là-dedans, moi ? Tes collègues me reprochent déjà assez de me mêler de ce qui ne me concerne pas... Il y a d’abord eu cette Jedi, ensuite Clara, et maintenant...
- C’est différent, petit trésor, avait rétorqué la démone en caressant un chat avec ses longues griffes. A chaque fois, c’est ta grande curiosité qui t’amenait dans les pattes de l’Empire, à tel point qu’on a lancé une enquête sur toi, d’ailleurs...
- Je devrais m’en sentir flattée ? grogna Mélinda.
- Je ne sais pas... A toi de voir... Cette enquête a dans tous les cas permis de réaliser que tu es plutôt bien implantée au lycée de Seikusu.
- Je ne vois pas le rapport avec...
- Cesse de m’interrompre tout le temps, et tu le verras ! Le rapport, c’est que les Nasegawa ont une fille. Et qu’ils la détestent. D’après ce que j’ai compris, ils auraient préféré un garçon, mais la Madame ne peut plus enfanter. L’une de leurs quelques conditions que l’Empire a accepté tient justement à cette petite donzelle...
- Tu me demandes de...
- A vrai dire, il s’agit plutôt d’un ordre... Mais tu es gagnante... Cette fille te plaira... »
Mélinda comprenait mieux pourquoi Kaileesha lui avait fait avec force l’amour. Autrement, quand elle lui avait annoncé que l’Empire lui ordonnait de faire quelque chose, comme à un vulgaire laquais, elle aurait probablement tenté d’égorger la démone. Elle n’était pas une soldate, mais elle savait que l’Empire pouvait réquisitionner n’importe quel civil. Kaileesha lui avait présenté l’ordonnance impériale qui enjoignait à Mélinda de « faire l’acquisition de la femme dénommée NASEGAWA, AYUMI », avec un exposé des sanctions financières auxquelles Mélinda s’exposait en cas de refus.
Voilà ce qui amenait Mélinda dans la piscine, pour l’instant dans les gradins. Elle allait devoir... Elle allait devoir porter un maillot ! Quelle horreur ! Elle s’imaginait avec dégoût dans un vêtement si serré, si étroit, qui l’étranglerait presque ! Elle aurait l’air tout simplement ridicule ! Mais les ordres étaient les ordres... La piscine était, du reste, assez grande, et comprenait plusieurs bassins. Outre ce bassin olympique, il y en avait aussi d’autres qui étaient en plein air, ainsi qu’un long toboggan aquatique. C’était la fin de journée, et Mélinda avait au moins pu éviter la ribambelle de gamins qui l’auraient bousculé dans la piscine. Il en restait encore, bien entendu ; ils poussaient comme de la chienlit, ces mômes imbéciles.
Se relevant, Mélinda quitta les gradins pour revenir à l’accueil, et paya un ticket.
« En vertu du règlement intérieur rappela la femme, tu devras nouer tes cheveux... »
Mélinda sentit un volcan exploser dans sa tête.
*Et elle ose me tutoyer ! Retiens-toi, Mélinda, calme-toi, ou je vais l’égorger sur place, et lui faire bouffer son propre bras !*
Se forçant à sourire, elle lui lâcha :
« Ne t’en fais pas pour ça ! »
La standardiste ne sembla guère appréciée que cette lycéenne se mette à la tutoyer, et Mélinda alla dans un vestiaire, manquant arracher la serrure en claquant la porte. Elle retira son uniforme de lycéenne, et contempla le maillot de bains. C’était un maillot une pièce (http://csimg.webmarchand.com/srv/FR/28021241324195641/T/340x340/C/FFFFFF/url/maillot-de-bain-1-piace.jpg) assez élégant, à défaut d’être mieux. Elle l’enfila, et noua ses longs cheveux en une longue queue de cheval. Elle sortit pesamment du vestiaire, et fourra le tout dans un casier, avant d’aller dans la piscine, se dirigeant vers le bassin olympique.
Elle savait qu’Asumi était une ESPer, et elle était plutôt jolie. Heureusement, d’ailleurs. Mélinda avnça le long d’un bassin, essayant d’adopter une allure sympathique. Se rendant compte que ses griffes étaient pointées, elle les rétracta, et s’approcha du bassin olympique. Elle attendit qu’Ayumi termine une longue brasse, et se repose un peu pour lui parler. Mélinda avait alors les pieds qui barbotaient dans l’eau, et elle s’exclama :
« Tu nages vachement bien, Ayumi ! »
Ayumi et Mélinda n’avaient aucun cours en commun, mais, dans ce lycée, tout le monde connaissait vaguement tout le monde. Mélinda lui fit un léger clin d’œil, avant d’enchaîner :
« Un vrai poisson dans l’eau... »
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Ayumi était occupée à se mettre en maillot de bain, pour faire son entrainement quotidien, alors que son esprit lui, était à des lieux de là. Cela devait en effet faire trois mois que ses détestables parents auraient dû être exécutés. Et pourtant, aucune information n'étaient passées aux informations, alors qu'il s'agissait d'une des affaires les plus médiatisées au monde. Par ailleurs, la presse internationale semblait se poser de plus en plus de questions, parlant même de corruption de la justice, tandis que le Japon faisait la sourde oreille. Mais malgré les apparences, la jeune nageuse avait bel et bien peur. Peur de voir de nouveau ses parents, avec cette lueur de violence dans le regard. Peur d'être de nouveau rouée de coups, enfermée dans une cave. Elle avait envie de crier à l'aide mais, ses années d'enfance ayant fait leur travail, Ayumi c'était renfermée sur elle-même et était incapable de communiquer normalement avec son entourage.
Sortant finalement de sa cabine, elle se rendit au plongeoir du grand bassin, avant de d'entrer avec grâce dans l'eau. L'eau... son élément naturel. Lorsqu'elle était en contacte avec ce liquide, Ayumi se sentait bien mieux, comme en sécurité. Dalleurs, si elle devait être en danger, cette piscine ferait un bien meilleur abris que n'importe quel bâtiment. Durant deux heures, la jeune fille enchaina les brasses et les crawl, sans vraiment montrer de signes de fatigue. En fait, elle créait imperceptiblement un courant près de ses jambes, afin d'augmenter sa vitesse. A vrais dire, il s'agissait autant d'entrainer ses performances de nageuse que d'ESPer. La aussi, la jeune fille avait découvert depuis longtemps que les ESPer étaient largement plus nombreux dans cette ville que dans le reste du monde. Et pourtant, cela ressemblait à un secret que personne ne devait divulguer. Elle pensait pourtant que la vie ici pourrait être meilleur, si les ESPer étaient connus du reste du monde. Dans un sens, ça pourrait même éviter certains drames.
Après un nouveau retour en nage papillon, elle fini par faire une pose sur le rebord du bassin. C'est à ce moment là qu'elle vit une paire de jambes à coté d'elle, barboter tranquillement dans l'eau. Et qu'une voix se fit entendre, par la même occasion.
- Tu nages vachement bien, Ayumi !
Relevant la tête, elle reconnu le visage de Mélinda Warren, une élève de son lycée. D'une certaine façon, il était assez étrange de la voir dans un tel lieu. De mémoire, c'était même la première fois qu'elle la voyait à la piscine. A Mishima, tout le monde connaissait tout le monde. Ayumi était elle-même surnommée "La sirène de Mishima", car elle était la championne de natation du comité sportif de l'établissement. Une sorte de fierté du lycée. Le fait qu'elle soit également belle et loin d'être prétentieuse, mais au contraire taciturne, rajoutait au fait qu'elle soit appréciée, bien qu'insociable. Mélinda était elle aussi assez connue dans l'établissement, mais plutôt comme une grande bouche prétentieuse et capricieuse, très désagréable. Bref, bien loin de la Mélinda que la nageuse avait actuellement sous les yeux. En plus, elles étaient toutes deux issues de famille de riche, bien qu'ayant aucun contact avec celle-ci.
- Un vrai poisson dans l’eau...
Une légère teinte rosée apparue sur son visage. Ce n'était pas vraiment dû au compliment. Plus le fait qu'on lui adresse directement la parole. Une réaction classique, qui arrivait à peu près chaque fois que quelqu'un tentait de communiquer avec elle. Même un simple "bonjour" amenait au même effet. Faiblement, elle murmura un "Merci" à peine audible, sauf pour quelqu'un sachant lire sur les lèvres. Mais à présent, elle se sentait bien gênée par la situation. Reprendre sa nage serrait impoli et rester amènerais à un long silence, prémices d'une future fuite à l'autre bout de la piscine...
Saleté de caractère...
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Bon... Ça risquait d’être compliqué. De ce que Mélinda savait d’Ayumi, elle avait la réputation d’être une sirène, et ce dans tous les sens du terme, c’est-à-dire qu’elle était aussi douée que les sirènes dans l’eau, mais aussi asociale que ces dernières. Généralement, quand une sirène voyait un être de la surface, elle filait à toute allure, sachant combien les êtres des surfaces aimaient capturer les autres.
*C’est bien ce que je pensais... Il ne lui manque qu’une queue à la place des jambes...*
Ayumi remua faiblement les lèvres, murmurant un presque inaudible « Merci ». Mélinda dut à vrai dire lire ce mot sur ses lèvres pour le comprendre. Une faculté qu’elle avait apprise, et qui pouvait avoir son utilité, quand on était une femme d’affaires. Mélinda comprit rapidement qu’il était inutile de menacer Ayumi. Le simple fait de lui parler semblait la terroriser, comme si elle avait peur qu’on la batte continuellement. Si elle se souvenait bien, lors du procès, certains avaient affirmé que les parents battaient cruellement leur fille, ayant à l’appui des rapports médicaux, mais Mélinda n’avait pas souvenir qu’Ayumi ait témoigné contre eux. Sans doute la justice avait-elle désiré lui éviter ce fardeau...
Mélinda comprit rapidement ce qu’elle devrait faire. Elle plongea dans l’eau, à l’aide d’une poussée avec les mains, et s’approcha très légèrement d’Ayumi. La menacer étant inutile, il fallait au contraire la rassurer, la mettre en confiance Plus facile à dire qu’à faire... Même si Ayumi parlait peu, elle avait sûrement entendu parler de Mélinda comme d’une jeune fille capricieuse qui aimait faire de vilaines farces. Ce n’était pas faux... Mélinda lui fit un clin d’œil.
« Je croyais que te parler dans l’eau aiderait un peu à te détendre, lança-t-elle alors. Rassure-toi, je ne mords pas ! »
*Enfin... Si, je mords, mais ça, tu le sauras plus tard...*
La vampire lui offrit un sourire qu’elle voulait honnête, avant de se lancer à nouveau, suivant son inspiration :
« Tu sais, je suis fan de toi, en un sens... Je veux dire... T’es vachement douée dans l’eau, et... Même si je ne vais pas à la piscine souvent, j’aime bien me baigner. Pour tout te dire, je trouve ces maillots affreusement horribles. Je préfère me baigner nue, et profiter de l’eau sur mon corps. C’est comme... Hum... Mais tu dois savoir ça mieux que moi... »
Mélinda n’allait pas faire de la psychologie avec elle, mais elle supposait que, si Ayumi aimait tant l’eau, c’était, outre ses qualités d’ESPer, parce que l’eau apportait un réconfort, une sorte de bouclier contre le monde extérieur. Dans l’eau, on était paradoxalement libre et prisonnier. Prisonnier, car les mouvements étaient réduits, et l’oxygène manquait. Libre, car il n’y avait personne pour nous embêter, rien d’autre que le silence réconfortant de l’eau... Mélinda comprenait pourquoi Ayumi aimait tant l’eau, et elle poursuivit :
« Je n’en ai peut-être pas l’air, mais je suis une très bonne nageuse... J’ai assisté à beaucoup des concours auxquels tu as participé, et... J’arrive pas à comprendre comment tu fais pour rester si longtemps dans l’eau ! C’est quoi, ton truc ?! »
Mélinda essayait de parler de manière décontractée, de se faire réellement passer pour une lycéenne, et, surtout, d’amener progressivement Ayumi à comprendre que Mélinda savait qu’elle était douée de facultés paranormales. A dire vrai, Mélinda pouvait très bien briser pour de bon la vie d’Ayumi en révélant qu’elle était une mutante. Les ESPers n’existaient officiellement pas, mais les mutants, si. Tous les prix qu’elle avait gagné lui seraient retirés, et elle serait à jamais interdire de postuler à un nouveau concours.
*Disons que c’est mon arme de secours... Si je l’utilise, j’ignore totalement comment cette jeune fleur blessée réagirait... Elle pourrait tout à fait me tuer dans cette eau... Mieux vaut que je devienne sa confidente, puis sa Maîtresse...*
Dans sa tête, Mélinda commençait à échafauder une stratégie, se disant que le plus dur serait de pouvoir suffisamment se rapprocher d’Ayumi. Son esprit était aussi verrouillé que le cul d’une nonne, pour reprendre une expression d’un soldat ashnardien. L’approcher de près serait un vrai challenge, mais, fort heureusement, Mélinda aimait les défis.
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Tandis que la nageuse s'enfonçait un peu plus dans l'eau, comme pour se cacher, Mélinda la rejoignit dans le bassin, avant de se rapprocher un peu d'elle. En fait, il semblait évidant qu'elle tentait d'engager un semblant de conversation avec elle. Ayumi, dans un coin de sa tête, se demandait d'où lui venait ce soudain intérêt pour sa personne, alors qu'elle étaient dans le même établissement depuis des lustres.
- Je croyais que te parler dans l’eau aiderait un peu à te détendre. Rassure-toi, je ne mords pas ! Tu sais, je suis fan de toi, en un sens... Je veux dire... T’es vachement douée dans l’eau, et... Même si je ne vais pas à la piscine souvent, j’aime bien me baigner. Pour tout te dire, je trouve ces maillots affreusement horribles. Je préfère me baigner nue, et profiter de l’eau sur mon corps. C’est comme... Hum... Mais tu dois savoir ça mieux que moi...
La jeune fille hocha légèrement la tête. Oui, elle commençait un peu à comprendre. Si Mélinda ne venait pas souvent à la piscine, ce devait être à cause du maillot et peut être même de chlore. Par conséquent, elle devait sans doute faire du naturisme sur une plage sauvage, pour ne pas être dérangée. Et puis, elle-même le faisait pour se détendre, quand elle ne souhaitait pas s'entrainer en natation. Par contre, que Mélinda soit fan d'elle, cela l'étonnais un peu... ce qu'elle montra en penchant légèrement la tête sur le coté. Même si elle parlait peu, il suffisait de savoir lire ses expressions... ou lire dans sa tête...
- Je n’en ai peut-être pas l’air, mais je suis une très bonne nageuse... J’ai assisté à beaucoup des concours auxquels tu as participé, et... J’arrive pas à comprendre comment tu fais pour rester si longtemps dans l’eau ! C’est quoi, ton truc ?!
- Peter Colat
Une réponse simple et rapide, comme Ayumi en avait l'habitude, mais qui pouvait expliquer énormément de choses, pour les connaisseurs. Ce Suisse était, entre autre, le record mondial d'apnée, avec 19 min. 21 sec. sans respirer. Bien entendu, la jeune fille était capable de largement moins, à peine une seule petite minute. Mais avec sa capacité d'ESPer, elle était capable de manipuler imperceptiblement son environnement liquide, pour amener l'air de la surface jusqu'à ses poumons. Ainsi, elle pouvait tenir une dizaine de minute, ce qui ressemblait à son record personnel, connu dans tout le lycée. Elle pourrait évidement tenir deux bonnes heures si elle le voulait, mais là, ce serrait se trahir bêtement. Au fil des années, elle avait apprit à toujours garder certaines capacités secrètes, même devant ses parents. Ainsi, ces derniers ignoraient que leur fille ne se limitait pas seulement à la manipulation de l'eau, mais également à sa température et son état.
- Record mondial d'apnée, environ 20 minutes, précisa t-elle tout de même.
En fait, elle utilisait souvent cette excuse pour répondre à cette question.
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« Peter Colat »
Il y avait du mieux ! Ayumi venait de lui parler, d’ouvrir les lèvres pour formuler un son. Elle venait de lui parler de Peter Colat, et Mélinda esquissa un léger sourire, presque imperceptible. Elle s’était un peu renseignée avant de venir ici. Sa stratégie consistait à amener Ayumi à lui faire confiance, car c’était souvent le meilleur moyen de faire d’un être un esclave. Pour cela, elle s’était un peu renseignée, et s’était attendue à ce qu’Ayumi lui sorte une réponse du style : « Je ne suis pas une femme exceptionnelle. Ce que je fais, des humains normaux l’ont déjà fait ». Un argument imparable, et qui permettait à Ayumi de pouvoir se sauver à chaque fois. En se renseignant, elle avait ainsi rapidement appris que le record du monde en plongée statique était détenu par un Suisse, un Zurichois.
« Record mondial d'apnée, environ 20 minutes, précisa Ayumi.
- Je sais » répliqua Mélinda en souriant.
Elle n’avait pas dit son dernier mot. Pour réussir cet exploit, Colat avait, avant de plonger dans l’eau, inhalé pendant un certain temps de l’air pur, à l’aide d’une bonbonne d’oxygène. Mais Ayumi, elle, devait plonger sans se poser de questions. Mélinda continua donc sur sa lancée :
« Tout comme je sais que tu n’as pas de bonbonne à côté de toi... Pour réussir ce record, Colat a du inhaler pendant un certain temps de l’air très pur. Et tout comme je sais aussi que tu pourrais largement tenir plus longtemps que cet homme. »
Se rapprochant un peu d’Ayumi, Mélinda lâcha à nouveau :
« J’ai hésité à venir te voir, Ayumi, car je craignais que tu ne prennes peur ou ne me repousse, mais... Je sais qui tu es. Je sais qui tu es vraiment. Je sais que tu n’es pas qu’une simple lycéenne avec une passion pour l’eau. Je sais que tes parents sont des mutants, et que tu en es une, toi aussi. »
C’était dit. La vampire avait été plus rapide que ce qu’elle comptait initialement faire, mais faisait confiance à son instinct. Elle poursuivit encore, afin qu’Ayumi ne se fasse pas de fausses idées :
« Je ne te veux aucun mal, petite sirène... Je sais que tu peux manipuler l’eau, et il t’est inutile de le nier. Je veux que tu me fasses confiance... Car il n’y a pas que moi et tes parents qui savent de quoi tu es capable, et tous n’ont pas de bonnes intentions... A vrai dire, il existe bien des scientifiques gouvernementaux qui rêveraient de te kidnapper, de t’enfermer dans un bunker au milieu d’un désert, pour te disséquer... Tu as toutes les raisons du monde de détester tes parents, mais ils avaient au moins veillé à ce que personne ne puisse t’enlever. Maintenant qu’ils ne sont plus là, tu es toute seule, libre... Mais tu risques de découvrir que la liberté a un goût amer. Je veux être ton amie, et te protéger. »
Elle avait tout dit. Mélinda comptait beaucoup sur la naïveté d’Ayumi, mais elle ne s’attendait pas vraiment à que cette dernière bondisse dans ses bras en clamant être sa meilleure amie. Il fallait maintenant avancer ses pions en fonction des réactions d’Ayumi. La peur ? Le dédain ? La colère ? Bien des réactions étaient possibles, et tout le rôle de Mélinda allait être de savoir comment réagir en fonction du comportement qu’Ayumi adopterait. Ce n’était pas particulièrement simple, mais la vampire avait confiance en ses propres capacités pour y arriver.
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- Je sais... Tout comme je sais que tu n’as pas de bonbonne à côté de toi... Pour réussir ce record, Colat a du inhaler pendant un certain temps de l’air très pur. Et tout comme je sais aussi que tu pourrais largement tenir plus longtemps que cet homme.
Ayumi y avait déjà pensée justement et le fait est que quelques humains sur Terre étaient capables, sans inhalations quelconque, de tenir huit à douze minutes sans respirer, faisait d'elle une personne faisant partie de cette faible catégorie. Elle se tenait en effet dans cette moyenne avec ses dix minutes. D'ailleurs, certaines de ces personnes étaient connues pour leur clips avec des sirènes, costumes fait de silicone. Elle allait lui en faire la remarque, toujours avec le moins de mots possible, lorsque Mélinda reprit, en se rapprochant un peu.
- J’ai hésité à venir te voir, Ayumi, car je craignais que tu ne prennes peur ou ne me repousse, mais... Je sais qui tu es. Je sais qui tu es vraiment. Je sais que tu n’es pas qu’une simple lycéenne avec une passion pour l’eau. Je sais que tes parents sont des mutants, et que tu en es une, toi aussi.
La nageuse s'enfonça alors un peu plus dans l'eau, le teint légèrement rose, murmurant faiblement un «C'est pas vrai...», jusqu'à se retrouver avec les yeux juste au dessus de la surface. En effet, elle n'était pas une mutante, mais une ESPer. Déjà d'une, les mutants étaient soit nés ailleurs que sur terre, ou soit leur ADN avait été altéré. Ce qui n'était pas son cas. La jeune fille était bien née à Seikusu, tout comme le reste de sa famille, toute générations confondue et son ADN était toujours le même. Ensuite, les mutants avaient leurs pouvoir dès la naissance, alors que les siens étaient apparus vers ses 12 ans. En prenant en compte qu'elle faisait des compétition depuis l'âge de 8 ans, il était évident qu'elle faisait une batterie de test bien avant et bien après l'apparition de son pouvoir, pendant les dites compétitions. Autant dire que si une anomalie avait été détectée, elle aurait arrêtée les compétition depuis longtemps.
Et en plus, on n'agissait pas, simplement parce que quelqu'un affirmait qu'une personne était une mutante, simplement sur un simple témoignage. Et Ayumi était peut être associable, mais était loin d'être idiote. Elle n'utilisait jamais son pouvoir lors des épreuves. Seulement en entrainement, pour augmenter sa maîtrise de l'eau. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il lui arrivait de perdre certaines places...
- Je ne te veux aucun mal, petite sirène... Je sais que tu peux manipuler l’eau, et il t’est inutile de le nier. Je veux que tu me fasses confiance... Car il n’y a pas que moi et tes parents qui savent de quoi tu es capable, et tous n’ont pas de bonnes intentions... A vrai dire, il existe bien des scientifiques gouvernementaux qui rêveraient de te kidnapper, de t’enfermer dans un bunker au milieu d’un désert, pour te disséquer... Tu as toutes les raisons du monde de détester tes parents, mais ils avaient au moins veillé à ce que personne ne puisse t’enlever.
C'est sur qu'en étant séquestrée et battue à mort dans le manoir, elle ne risquait pas d'être enlevée. Elle aurait même été mieux traitée par ses ravisseurs que par ses parents... A ce souvenir, elle resserra ses bras autour de son buste, tremblant légèrement. Elle avait du mal à imaginer pire que son père jouissant en la rouant de coups ou ça mère s'amusant à briser ses jambes, mais si ce que disait Mélinda était vrai... Des larmes se mirent alors à couler de ses yeux, mais finirent très rapidement dans le bassin. Ayumi avait peur... Non, elle était littéralement terrorisée, se rendant compte qu'au final, elle avait toujours été seule et dépendante...
- Maintenant qu’ils ne sont plus là, tu es toute seule, libre... Mais tu risques de découvrir que la liberté a un goût amer. Je veux être ton amie, et te protéger.
La lycéenne se tourna alors vers sa camarade, les yeux rouges et humide et ne fit que bouger les lèvres, sans provoquer le moindre son. Malgré tout, on pouvait y lire un «C'est vrai...?» désespéré, avant que la jeune fille ne se mette à pleurer pour de bon sur son épaule. Peut importe qui était Mélinda en réalité. A ses yeux, ce serrait une personne qui ne la battra jamais, peu importe se qui pouvait arriver d'autre... De plus près, on pouvait voir certain stigmates sur son corps, à peine effacé malgré le temps passé. Même si la plus grande majorité était cachée par le maillot, on pouvait voir une fine trace rouge, à peine visible autour de son cou, qui prouvait qu'elle avait déjà été étranglée par une corde ou autre chose, et ceci sans doute plus d'une fois...
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*Hum... Ce fut plus facile que prévu, en fait... Peut-être même trop facile...*
Mélinda songea à tout cela, alors qu’Ayumi se mit à pleurer, probablement en repensant aux sévices faits par ses parents. Elle alla se blottir contre Mélinda, qui enroula l’un de ses bras autour de sa taille, l’autre étant agrippée à la paroi du bassin pour qu’elle ne coule pas. Elle avait lu dans les grands yeux d’Ayumi bien des choses : la souffrance, évidemment, mais aussi... Une espèce d’espérance... Mélinda comprit qu’elle ne pourrait la faire sortir de sa coquille qu’en lui parlant un peu plus d’elle, en se confiant un peu plus. S’humectant les lèvres, elle parla donc, fait assez rarissime avec ses esclaves, mais qui lui simplifierait indéniablement la vie, de son passé.
« Tu sais, je comprends ce que tu ressens... L’amour, je ne l’ai jamais connu auprès de mon père ou de mon frère. Ils m’ont battu, torturé, humilié, violé, même... »
Tout en parlant, elle lui caressait le dos. Pour le coup, ce qu’elle disait était entièrement vraie. Ceux qui pensaient que Mélinda était une bourge qui avait eu une enfance de Princesse insupportable étaient bien loin de la vérité.
« Mais ce n’était pas ça, le pire... poursuivit Mélinda. Non, le pire, c’était que, dans ma tête, j’étais persuadée que je méritais ce que je subissais... Qu’ils avaient raison de me punir, de me battre... N’est-ce pas ce que tu ressens, Ayumi ? Au fond de toi ? La raison pour laquelle tu refuses tant le contact des autres ? Parce que tu es, dans le fond, persuadée qu’ils te feront du mal ? »
Mélinda redevenait psychologue, mais elle se fondait ici sur son propre vécu, et son propre ressentiment. Elle laissa s’écouler plusieurs secondes, avant de délivrer un gros baiser sur la joue d’Ayumi.
« Crois-en mon expérience : il n’est jamais bon d’enfermer trop longtemps ses émotions. Pleure contre mon épaule, mais sois sûre d’une chose : je ne te laisserai pas tomber. »
Ayumi allait découvrir que, quand on avait Mélinda sur le dos, il était très difficile de s’en séparer. De son côté, l’esclavagiste était rassurée sur un point ; elle n’aurait pas à battre Ayumi. La petite avait déjà été tellement battue que la peur se lisait naturellement sur son corps. A vrai dire, elle semblait tellement terrorisée que, si Mélinda était venue en lui annonçant tout de go qu’elle allait devenir son esclave, et qu’elle serait cruellement battue à chaque fois qu’elle se révolterait, cette dernière aurait fui, ou se serait défendue. Cette approche-là était bien plus productive, et elle caressa tendrement la nuque d’Ayumi, laissant son dernier continuer à pleurer sur son épaule.
Autour d’elles, il n’y avait pas grand-monde. Quelques nageurs les regardaient parfois en passant avec curiosité, mais sans insister. L’heure de la fermeture approchait, après tout, et il n’y avait pas grand-monde. Mélinda embrassa à nouveau Ayumi, dans le cou, et se confia un peu plus :
« Pour être honnête, je ne suis moi aussi pas très normale... Mais, si je dis ce que je suis vraiment, tu ne me croiras pas... Il faudra aussi que je te le montre... Sache que tu n’as plus à t’en faire. Je suis un peu comme toi, bien plus dangereuse que ce dont j’ai l’air. Avec moi, tu pourras concourir aux plus prestigieuses compétitions de natation, devenir une légende de la natation, nager dans tous les océans de ton choix... Et plus personne ne te battra... »
Pour un esclavagiste, dire à son esclave qu’elle ne comptait pas la battre, c’était un peu se couper la branche sous le pied. Mais Mélinda savait que, parfois, il existait des outils bien plus efficaces qu’un coup de fouet. Et puis, dans le fond, ce ne serait pas la première fois qu’elle reviendrait sur sa propre parole.
« Acceptes-tu mon aide, Ayumi ? » finit par demander Mélinda d’une voix douce et tendre.
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Alors que Ayumi continuait d'extérioriser toute sa peine par ses larme, sur l'épaule de Mélinda, cette dernière l'enlaça d'un bras et lui parla plus lentement. On pouvait sentir un douloureux passé dans la voix de sa camarade de lycée, comme si le raconter lui faisait véritablement mal.
- Tu sais, je comprends ce que tu ressens... L’amour, je ne l’ai jamais connu auprès de mon père ou de mon frère. Ils m’ont battu, torturé, humilié, violé, même... Mais ce n’était pas ça, le pire... Non, le pire, c’était que, dans ma tête, j’étais persuadée que je méritais ce que je subissais... Qu’ils avaient raison de me punir, de me battre... N’est-ce pas ce que tu ressens, Ayumi ? Au fond de toi ? La raison pour laquelle tu refuses tant le contact des autres ? Parce que tu es, dans le fond, persuadée qu’ils te feront du mal ?
C'était vrai... Dans le fond, elle avait peur des autres, parce que toute sa vie depuis la naissance n'avait été que souffrance. Et elle connaissait la raison. Elle était battue simplement parce qu'elle n'était pas un garçon. Et, au fil du temps, elle c'était persuadée que c'était de sa faute. Peut être était-ce là la raison de son fantasme pour les hermaphrodites ? Être à la fois une fille et un garçon ? C'était également la raison pour laquelle Ayumi ne connaissait que le plaisir solitaire. Le sexe, à défaut d'amour, lui faisait beaucoup de bien. Mais sa peur des autres l'empêchait de connaître une relation avec une autre personne...
- Crois-en mon expérience : il n’est jamais bon d’enfermer trop longtemps ses émotions. Pleure contre mon épaule, mais sois sûre d’une chose : je ne te laisserai pas tomber.
C'était justement la raison pour laquelle, lorsqu'elle était seule, elle devenait perverse. C'était sa manière à elle de laisser libre cours à ses émotions. Et se que lui avait dit Mélinda résonnait de manière sincère dans son cœur. Ayant eu la même enfance, chacune avait choisie un comportement différent une fois libre. Ayumi était taciturne, tandis que sa camarade était une grande bouche en publique. Mais dans tout les cas, c'était une façon d'éloigner les autres de soi. Être associable ou insupportable, menait généralement au même résultat : La solitude. Une façon de ne plus subir de coups.
- Pour être honnête, je ne suis moi aussi pas très normale... Mais, si je dis ce que je suis vraiment, tu ne me croiras pas... Il faudra aussi que je te le montre... Sache que tu n’as plus à t’en faire. Je suis un peu comme toi, bien plus dangereuse que ce dont j’ai l’air. Avec moi, tu pourras concourir aux plus prestigieuses compétitions de natation, devenir une légende de la natation, nager dans tous les océans de ton choix... Et plus personne ne te battra...
La lycéenne se doutait qu'il y avait de nombreux ESPer aux lycée et dans la ville. Pour autant, rare étaient ceux qui confiaient leur secret. Elle-même ne l'avait jamais dit à personne. Tout le monde savait qu'il y avait une Télékinésiste, une fille qui annulait les pouvoirs, une femme qui contrôlait la nature, une autre l'électricité ou le feu, mais personne ne savait de qui il s'agissait.
- Acceptes-tu mon aide, Ayumi ?
De tout le discours de Mélinda, la jeune fille avait retenue trois choses : "je ne te laisserai pas tomber" ; "tu pourras concourir" et "plus personne ne te battra". Trois promesses, qui firent que Ayumi - qui se sentait naturellement soumise - confirait désormais sa vie à Mélinda. Elle était seule et dépendante des autres, malgré sa peur pour ces derniers. Mélinda était passée par les mêmes épreuves qu'elle mais sa camarade, plus forte, les avait surmontée alors qu'elle-même s'était renfermée. Aussi, tant que Mélinda respecterait ces trois promesses, Ayumi était prête à se soumettre corps et âme à elle.
- Merci... chuchota t-elle dans son oreille.
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« Merci... »
Un bref et délicat murmure, presque inaudible, mais qui voulait tout dire. Mélinda lui sourit lentement, grattant le dos d’Ayumi, et l’embrassa sur le front. Elle ne lui avait pas explicitement dit qu’elle serait son esclave, mais, dans les faits, c’était ce qu’elle avait suggéré. Dans le fond, Mélinda ne faisait que parachever ce que les parents d’Ayumi avaient fait. A force de la battre, ils avaient fait d’elle une véritable soumise. Mélinda aurait également pu finir sur cette voie, si sa souffrance n’avait pas été utilisée pour nourrir sa haine et sa fureur. Ayumi s’identifiait à elle, et c’était tout ce que Mélinda cherchait. Elle lui embrassa désormais le nez en lui souriant :
« Je vais t’attendre sur le rebord de cette piscine... Détends-toi un peu entre-temps... Enfin, fais ce que tu as à faire, comme tes brasses... Nous avons beaucoup de choses à nous dire, mais pas dans cette piscine... Si tu n’as rien de prévu ce soir, je t’inviterais volontiers chez moi. »
Il était évident qu’Ayumi n’avait rien de prévu. Qu’aurait-elle de prévu ? Mélinda s’était renseignée sur elle. Elle vivait dans un petit studio, probablement financé avec l’héritage des parents... Héritage qui risquait de disparaître bientôt, vu que Kaileesha comptait récupérer tout l’argent des Nasegawa pour le réinjecter dans la société d’Ashnard, la Sombra.
*Il faudra donc aussi s’assurer que son loyer continue à être payé... Dans l’absolu, il est peut-être préférable qu’elle conserve un peu d’indépendance...*
Néanmoins, quand on voyait son petit studio, il y avait fort à parier qu’Ayumi préférerait rester dans le manoir. Comme les autres lycéennes qui étaient sous le service de Mélinda. Entre rester dans les dortoirs communs, ou pouvoir loger dans un immense manoir avec un équipement high-tech dernier cri et des nekos à câliner partout, le choix était généralement vite fait. Mélinda s’écarta donc un peu d’Ayumi, allant se mettre sur le rebord, et lui fit un sourire complice.
« Fais-moi voir comment tu nages, Ayumi ! »
Il fallait la mettre en confiance, tout simplement, l’amenant à sortir de sa nervosité. Si Mélinda pouvait lire dans les esprits... Mais elle ne disposait pas de ce pouvoir, malheureusement. Elle était encore trop jeune comme vampire pour pouvoir le faire. Ayumi nagea donc pendant un certain temps, et les deux femmes sortirent ensuite. Mélinda tenait la main d’Ayumi en lui délivrant de temps en temps des petits baisers dans le cou et la joue, faisant preuve d’une telle affection qu’il était difficile de se méprendre sur ses goûts sexuels. Elle n’alla pas jusqu’à aller dans la même cabine qu’Ayumi pour l’habiller, mais Mélinda était assez pressée de pouvoir se glisser à nouveau dans ses belles robes.
« Généralement, j’ai un chauffeur avec moi, mais, ici, nous serons toutes les deux ! Rassure-toi, j’ai mon permis ! »
Quand on vivait sur Terre, savoir conduire était, semble-t-il, le minimum. Passer le permis avait été colossal pour Mélinda. Elle ne comptait plus le nombre de moniteurs qu’elle avait failli égorger. Elles rejoignirent le parking, et Mélinda ouvrit l’une de ses voitures de luxe. C’était une Mercedes F700 (http://www.tours2piste.com/mag/concept_cars/mercedes_f700-6.jpg) qu’elle avait sorti de ses garages.
« Mets tes affaires dans le coffre... Si tu veux qu’on fasse un détour par chez toi, n’hésite pas à me le dire. »
A l’intérieur de la voiture, Mélinda se mit à rouler, rejoignant l’autoroute urbaine, le long périphérique de Seikusu. Quand elle alluma le moteur, la musique se mit en marche. C’était une playlist qu’une des lycéennes de Mélinda avait mise quand elle avait utilisé la Mercedes. Mélinda avait laissé les musiques se défiler. C’était un morceau de rock qui passait, une musique qui faisait actuellement rage, un morceau d’un groupe de rock américain, Balance Slays the Demon (http://www.youtube.com/watch?v=1-SGqKUgaaw). Mélinda baissa sensiblement le son, et finit par poser à Ayumi une question :
« Dis-moi, Ayumi... Si je te disais que les vampires existent, que me dirais-tu ? »
Mieux valait y aller en douceur, plutôt que de lui annoncer d’emblée : « Ah, au fait, Ayumi, je suis une suceuse de sang ! »
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Suite à son petit remercîment, Mélinda se mit à l'embrasser sur le front, tout en lui caressant légèrement le dos, comme pour la réconforter. Et dieu sait qu'elle en avait grandement besoin en ce moment... Puis, sa camarade fini par se redresser.
- Je vais t’attendre sur le rebord de cette piscine... Détends-toi un peu entre-temps... Enfin, fais ce que tu as à faire, comme tes brasses... Nous avons beaucoup de choses à nous dire, mais pas dans cette piscine... Si tu n’as rien de prévu ce soir, je t’inviterais volontiers chez moi. Fais-moi voir comment tu nages, Ayumi !
Elle hocha légèrement la tête et retourna faire quelque brasses, pendant que Mélinda remontait sur le bord. Malgré sa petite crise d'angoisse et de tristesse, elle se sentit tout de suite bien mieux. Mais le must, ce fut lorsqu'elle commença à faire du sous-l'eau. Entièrement plongée dans cet or bleu, Ayumi se sentait véritablement heureuse, libre et légère. A vrai dire, si elle pouvait un jour devenir une sirène, il n'y aurait pas meilleur cadeau à ses yeux, ce dernier étant exæquo à celui de devenir hermaphrodite.
Au bout d'une petite heure environ, elle fini par sortir de l'eau, avant de se diriger vers les vestiaires avec Mélinda, celle-ci montrant un vrai déferlement de tendresse envers la jeune lycéenne. Mais étant donné que celle-ci était attirée envers la gente féminine, munie de membre masculin si possible, ceci n'était pas pour lui déplaire. Mais son caractère naturel l'empêcha de répondre à ses petites attentions, préférant prendre une légère teinte embarassée.
Au moment de passer en cabine, elles prirent chacune la leur. Ainsi, Mélinda ne vit pas les très nombreuses stigmates et autre zébrures qui parcouraient son corps meurtrit, sous le maillot. Une fois de nouveau vêtue de son uniforme scolaire, Ayumi rejoignit sa camarade devant une luxueuse voiture.
- Généralement, j’ai un chauffeur avec moi, mais, ici, nous serons toutes les deux ! Rassure-toi, j’ai mon permis ! Mets tes affaires dans le coffre... Si tu veux qu’on fasse un détour par chez toi, n’hésite pas à me le dire.
Si Ayumi pouvait avoir la possibilité de vivre chez elle, elle n'hésiterais pas. Malgré tout, il y avant des choses auxquels elle tenait. Mais la lycéenne verrait cela plus tard, suivant le déroulement des évènements. Ecoutant la musique en l'appréciant silencieusement, Mélinda fini par lui poser une drôle de question, sans rapport avec ce qui c'était dit auparavant.
- Dis-moi, Ayumi... Si je te disais que les vampires existent, que me dirais-tu ?
Ayumi prit le temps d'y réfléchir... Après tout, les ESPer et les mutants existaient bien, eux. Et elle était également liée à une ange. Partant de là, les démons devaient sans doute exister eux aussi. Des vampires et autres créatures ne serraient sans doute pas improbables. Elle commença donc à dire sa plus longue phrase, la première depuis sa naissance. Et avec un peu d'espoir, probablement pas la dernière...
- S'ils existent vraiment, alors ils doivent se cacher...
Bon... Encore un peu court comme réponse, mais c'est déjà un début. Mais sur Terre, les vampires devaient très probablement se cacher des autres, tout comme les ESPer ne révélaient pas leurs pouvoirs ou les anges ne descendaient du ciel que très rarement. Elle repensa alors à une des paroles de sa camarade... « Pour être honnête, je ne suis moi aussi pas très normale... Mais, si je dis ce que je suis vraiment, tu ne me croiras pas... » Elle la regarda alors, avec d'avantage un air de surprise que de peur et de panique dans les yeux.
- T'en est une ?
-
« S'ils existent vraiment, alors ils doivent se cacher... »
Sur Terre, c’était un fait... Mélinda tourna lentement la tête vers elle, tout en roulant vers son manoir. Elle était au-dessus des limitations de vitesse, ayant du mal à les respecter, surtout avec un tel bolide. Elle doublait fréquemment, oubliant deux fois sur trois de mettre les clignotants. Une conduite assurée, rapide, qui amenait les autres voitures à s’écarter. Ayumi semblait réfléchir, et tourna soudain la tête vers Mélinda, un regard de surprise dans les yeux.
« T'en est une ? »
Mélinda lui sourit lentement, exhibant ses dents, mais sans montrer ses canines.
« Nous avons beaucoup de choses à nous dire », se contenta-t-elle de répliquer.
Mélinda s’engagea sur la sortie menant au quartier riche de Seikusu, se trouvant dans les hauteurs. C’était le quartier ancien, où on trouvait notamment le temple de la ville, et, un peu plus en hauteur, à la lisière de la forêt, les manoirs. Les villas étaient plutôt le long de la plage. Ici, il y avait de grandes propriétés luxueuses, et Mélinda s’engagea sur une route parfaitement entretenue. Tout ce quartier était géré par une entreprise privée qui se chargeait notamment de l’entretien des rues. Mélinda s’éloigna un peu, empruntant un chemin qui passait à travers une petite portion de la forêt pour atteindre l’entrée de son manoir.
Le manoir était entouré par un épais mur en pierre, avec, à l’entrée, un grand portail noir en fer. Le portail s’ouvrit à son passage, révélant une grande cour remplie de graviers avec une grosse fontaine au centre. Un perron menait à la porte d’entrée, et Mélinda s’arrêta à l’entrée du perron. L’un de ses laquais allait venir déposer la voiture dans l’un des garages, devant pour cela sortir du manoir pour passer par une autre entrée. Quant au manoir en lui-même, il était de style occidental, et non pas japonais. Un manoir en pierre, avec un toit fait de tuiles noirs. Pour être plus précis, on pouvait même parler d’un manoir de style victorien.
« Voilà mon manoir, Ayumi », fit Mélinda en sortant de la voiture.
Ayumi en sortit également, et Mélinda rentra.
« Je te laisserais visiter le manoir toute seule, il est plutôt grand... fit Mélinda. Avant de commencer à tout te dire, il faut que je te montre quelque chose... »
Mélinda traversa plusieurs couloirs, monta un ou deux escaliers, et atteignit l’arrière du manoir. Le manoir était en U, avec deux ailes, et, au centre, un jardin avec une grande piscine en marbre. Eclairé par le soleil, c’était une piscine assez agréable, même si elle n’avait pas la taille d’une piscine olympique.
« L’eau de la piscine est changée tous les jours, ou presque... Tu auras le droit de t’y baigner autant que tu le souhaites... D’ailleurs, tu risques aussi de croiser d’autres camarades ici... »
Devant la piscine, Mélinda lui parla alors pour de bon :
« Comme tu l’as compris, je suis effectivement une vampire, mais la vérité est encore plus incroyable que ça. Comme tu le comprendras rapidement, je suis la maîtresse de ces lieux, et les occupants me désignent par ce titre. Je viens d’un autre monde, un monde qui est relié à celui-ci par des espèces de portails. Un monde où on trouve tout ce dont les Terriens ont toujours rêvé d’avoir : la magie. Un monde où les Anges, les Démons, les vampires, existent en toute liberté, ainsi que les nekos, mais aussi les sirènes... »
Ce fut à ce moment que quelque chose vint heurter les jambes d’Ayumi. Une petite créature qui se déplaçait à quatre pattes. Elle s’appelait Liana (http://images.ados.fr/bd-manga/photo/hd/3737829373/neko/neko-serveuse-2500458816.jpg), et c’était une neko en tenue de serveuse, qui tenait sur sa queue, en équilibre, un plateau avec une bouteille et un verre.
« Je vous apporte votre rafraîchissement, Maîtresse... »
Liana déposa le plateau sur une table d’été, et remarqua alors qu’Ayumi était nouvelle. Sursautant légèrement, remuant sa queue, Liana poussa un miaulement interrogatif, et alla lui renifler les pieds.
« Drôle d’odeur... Mais agréable... »
Elle se frotta alors contre la jambe de la lycéenne, ronronnant légèrement, jusqu’à ce que Mélinda frappe dans ses mains, faisant sursauter Liana.
« Je suis sûre qu’Ayumi doit avoir soif... Va lui chercher... Et bien, que veux-tu boire, Ayumi ? De l’eau pure ? Du jus de fruits ? Autre chose ? »
Le soleil commençait à se coucher, dardant la piscine de lueurs orangées. Mélinda alla s’asseoir sur un transat longeant la piscine, croisant les bras en tenant dans les mains un verre au liquide écarlate. Ses griffes étaient sorties, de même que ses canines lorsqu’elle sourit à Ayumi.
-
- Nous avons beaucoup de choses à nous dire, lui répondit-elle avec un sourire éclatant.
Le véhicule continua de rouler un moment, avant d'entrer dans le haut quartier aisé, principalement composé du vieux temple et des manoirs. En fait, Ayumi resserra un peu ses jambes contre elle et détourna même la tête en passant devant l'une d'entre elles. Il s'agissait en effet du manoir ou elle-même avait grandit, la prison de laquelle elle sortait très rarement, pour ses cours et ses compétitions uniquement.
C'était aussi pour cette raison qu'elle avait choisie de vivre dans un petit studio, pour être le plus loin possible de cet endroit. Y retourner, même seulement dans ce quartier, c'était rouvrir une blessure pas encore tout à fait refermée. Lors l'acquisition de son héritage, elle avait catégoriquement refusée les biens mobilier et immobilier et, en un sens, les notaires comprenaient bien pourquoi. Aussi était-ce la raison pour laquelle seul l'argent lui avait été attribué. Cependant, celui-ci ne servait pratiquement à rien, mis à part pour quelques rares achats, ainsi que son loyer.
Finalement, la voiture s'arrêta dans la cour d'un grand manoir Victorien. Elles sortirent du véhicule, avant de pénétrer dans le hall.
- Voilà mon manoir, Ayumi. Je te laisserais visiter le manoir toute seule, il est plutôt grand... Avant de commencer à tout te dire, il faut que je te montre quelque chose...
La lycéenne suivit donc la maitresse des lieu à travers les étages et les couloirs, jusqu'à arriver dans une petit jardin, encadré par les ailes du domaine, au centre duquel logeait une piscine marbré qui devait faire un tiers de la piscine olympique de Seikusu. L'endroit était jolis et agréable.
- L’eau de la piscine est changée tous les jours, ou presque... Tu auras le droit de t’y baigner autant que tu le souhaites... D’ailleurs, tu risques aussi de croiser d’autres camarades ici...
Ainsi, il y avait d'autres camarades du lycée qui vivaient dans le manoir ? Mais ça voulait aussi dire qu'il n'y avait pas de secrets entres elles ? Oui, Ayumi avait compris que Mélinda était sans aucun doute lesbienne et que de nombreuses filles vivaient sans doute ici. Par conséquent, le sexe devait aussi avoir une forte place. Mais il faudra sans doute un moment pour que la jeune fille accepte de coucher avec elles... Parlant de ça, la vampire se retourna vers elle avant de poursuivre.
- Comme tu l’as compris, je suis effectivement une vampire, mais la vérité est encore plus incroyable que ça. Comme tu le comprendras rapidement, je suis la maîtresse de ces lieux, et les occupants me désignent par ce titre.
La jeune fille hocha la tête, montrant ainsi qu'elle comprenait bien et que ce serrait ainsi qu'elle l'appellerait désormais, même si elle se demandait si elle devait la vouvoyer ou la tutoyer, comme dans la voiture...
- Je viens d’un autre monde, un monde qui est relié à celui-ci par des espèces de portails. Un monde où on trouve tout ce dont les Terriens ont toujours rêvé d’avoir : la magie. Un monde où les Anges, les Démons, les vampires, existent en toute liberté, ainsi que les nekos, mais aussi les sirènes...
Dans un sens, Ayumi ne fut qu'à moitié surprise. Pour les créatures, elle en était arrivée elle-même à ses propres conclusions. En revanche, concernant ce monde relié par des portails à la terre, ce fut véritablement un choc. Et de la à penser que, là bas, les ESPers n'étaient pas cachés, l'était encore plus. Ce fut à ce moment là qu'elle sentit quelque chose heurter ses jambes. En baissant les yeux, elle constata qu'il s'agissait d'une fille blonde en soubrette, mais avec des oreilles et une queue de chat, qui marchait à quatre pattes, un plateau en équilibre parfait sur sa queue. Savoir que les Neko existent est une chose mais en voir une en vrai en est une autre. Et Ayumi se mit à rougir en la voyant.
- Je vous apporte votre rafraîchissement, Maîtresse...
Puis se retournant et miaulant, elle renifla les jambes de la jeune fille, avant de se frotter contre elle en ronronnant doucement. Ayumi ne savait plus où se mettre et était rouge de gêne.
- Drôle d’odeur... Mais agréable...
- Je suis sûre qu’Ayumi doit avoir soif... Va lui chercher... Et bien, que veux-tu boire, Ayumi ? De l’eau pure ? Du jus de fruits ? Autre chose ?
- Heu... De l'eau minérale, merci...
Elle fini par rejoindre sa maitresse donc, qui c'était assise sur un transat. Après tout, même si elle était issue d'une riche famille et avait vécue dans une grande demeure, elle avait reçue une "éducation" pour être soumise... Aussi, ce fut naturellement qu'elle s'adressa ainsi à Mélinda, en courbant l'échine.
- Désolée... Maîtresse...
Même pas besoin d'un quelconque dressage, Ayumi reconnaissait déjà la vampire comme sa supérieure. En fait, à bien y réfléchir, les vampire était naturellement supérieurs aux humains, peu importe le rang social ou le pouvoir. Quand au "désolée", elle faisait référence au tutoiement dans la voiture... encore que... il fallait le comprendre, manque de mots...
En attendant son verre, elle s'assit à son tour sur un transat et sortit une feuille et un stylo pour y griffonner son adresse, avant de le lui tendre avec ses clefs. Pas un son ne sortit de sa bouche, mais une phrase était écrite en lettres arrondies sur la feuille.
« Je veux vivre au manoir avec vous, mais j'ai encore des affaires auxquelles je tient beaucoup dans mon studio... »
Il était évident qu'il lui était plus facile de s'exprimer à l'écrit, plutôt qu'à l'orale. Pour autant, son teint était toujours aussi rouge. Mais c'était surtout dû au fait que, dans sa bibliothèque, il y avait des magasines hentaï Yuri, futanari et hermaphrodites, quelques DVD porno du même genre, et des accessoires d'esclaves, tels que des menottes en cuir, un collier, une tenue très légère en latex et un double gode vibromasseur assez particulier. En effet, celui-ci était monté en ceinture et, si la partie dans le vagin vibrait intensément, l'autre moitié pouvait cracher un liquide blanc comme du sperme, si on le pressait d'une certaine façon.
Si Mélinda ou quelqu'un d'autre récupérait ses affaires, elle savait que ses gouts sexuelles seraient révélés à la vampire, et peut être même les autres résidantes. Mais si ça ne sortait pas de ce manoir, cela ne la gênerais finalement pas tant que ça. Elle était après tout inferieur à Mélinda, qui était à présent sa maîtresse. Elle était donc soit sa servante, comme cette neko, soit sa championne de natation, qui rapporterait de la pub à la vampire, soit son esclave sexuelle, qui était un peu son fantasme. Ou peut être même un peu des trois, qui sait...
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Voilà une affaire rondement menée. Un sourire aux lèvres, Mélinda vit Ayumi se rapprocher d’elle, et rapidement se soumettre. Diable ! Elle n’avait même pas eu besoin d’hausser le ton que cette dernière l’appelait déjà « Maîtresse » et s’excusait. Mélinda ignorait de quoi elle pouvait bien s’excuser. Pour elle, ce qui s’était passé dans la voiture ne faisait partie que d’un subterfuge pour amener Ayumi à devenir son esclave.
*Voilà une soumission qui mérite d’entrer dans les annales... Je n’aurais même pas besoin d’hausser la voix... Un petit record personnel, je crois, même si la réussite en revient surtout aux parents d’Ayumi...*
La jeune femme se mit alors à écrire quelque chose, alors que Mélinda buvait du sang frais. Elle lui tendit alors un papier. Il y avait dessus son adresse, que Kaileesha lui avait préalablement fourni, ainsi qu’une demande. Mélinda sourit lentement, et reposa le papier sur la table, avant de regarder Ayumi. « Des affaires »... Vu qu’elle avait écrit ça sur le papier, comme si elle avait peur de le dire, il devait sûrement s’agir d’objets intimes. De plus, ses joues rouges ne faisaient aucun doute sur la nature de ces « affaires ». Souriant, Mélinda décida de la rassurer :
« Rassure-toi, je ne compte pas vendre tes affaires... Tu pourras aller les chercher demain... Peut-être avec moi, ou avec l’un de mes subalternes... Pour le reste, Ayumi... Il faut que tu comprennes qu’il y a quelques règles à suivre dans mon manoir... Comme toutes les règles, certaines te sembleront plus faciles que d’autres... »
Mélinda allait commencer à les énumérer, lorsque Liana revint, portant sur sa queue un plateau avec une bouteilel d’eau minérale fraîche et un grand verre. Elle glissa le plateau sur une petite table. En songeant à cela, Mélinda se dit qu’il faudrait sans doute qu’elle agrandisse un jour la piscine afin d’y intégrer un pool bar. Elle avait cela dans son harem, sur Terra, mais elle n’y avait pas pensé sur Terre...
« Tenez, Madame... »
Mélinda frotta alors ses doigts vers le sol, et Liana s’approcha d’elle. Mélinda se contenta ensuite de lui caresser la tête, à hauteur de la nuque, amenant cette dernière à plier les genoux pour profiter des caresses de sa Maîtresse. Son autre main tenant son verre ensanglanté, Mélinda reprit, jambes croisées :
« Je n’aime pas battre mes esclaves, sauf si je sens qu’ils en ont envie. Si tu me déçois, si tu me trahis, ou si tu ne fais pas ce que j’accomplis, tu t’exposeras à des sanctions morales ou physiques. Ceci peut aller d’un simple enfermement à des punitions plus sévères, que j’aimerais ne pas avoir à t’infliger. Néanmoins, je ne pense pas que j’aurais un jour à lever la main contre toi... En revanche, Ayumi, tu dois être avec moi d’une franchise absolue. Sache que, si je suis ta Maîtresse, je suis aussi ta plus grande confidente. Être une esclave a bien des inconvénients, j’en conviens, mais l’avantage est que je suis aussi ton mécène. Je te protègerai contre les autres, et je veillerai à ton épanouissement et à ton bonheur personnel, car je n’ai que faire d’un personnel qui ne soit pas heureux et détendu. Partant de là, tu continueras à avoir une certaine autonomie ; tu pourras aller au lycée, continuer à suivre tes cours, même retourner dans ton studio, si tu en as envie. »
C’était une assez longue tirade, mais il fallait tout de même que Mélinda le dise. Elle continuait à gratter Liana, qui ronronnait tendrement. Buvant un peu de son verre, Mélinda poursuivit :
« Au niveau de tes obligations, tu devras simplement obéir à ce que je t’ordonnerai de faire. Et, pour l’heure, tes principales fonctions vis-à-vis de moi seront essentiellement sexuelles. Tu as du le comprendre, je te trouve... A mon goût. Il faut donc que j’en sache plus sur tes goûts sexuels, et ton expérience. Ces objets que tu veux que je récupère... De quoi s’agit-il ? Sûrement pas d’une encyclopédie ou de manuels scolaires... Alors, dis-moi... Des ceintures de chasteté ? Des godes ? Des DVD pornos ? Tu n’as pas à en avoir honte, mais tu ne dois pas me cacher ce que tu caches. Si tu crois que ce manoir est un lieu de vertu morale et de chasteté, alors tu fais fausse route. Mes esclaves ont le droit d’amener leurs effets personnels, et de faire des achats. J’ai une collection de jeux vidéos à faire pâlir de jalousie n’importe quel geek de cette foutue planète, j’ai une collection de films pornos’ et de gadgets à donner des complexes à une pute. »
Reposant son verre sur une table, Mélinda sourit, tout en tirant un peu sur le collier de Liana. Elle se pencha pour attraper la petite neko, la posant sur ses jambes, et alla caresser son cou, glissant vers ses seins, la faisant gémir et miauler, tandis qu’elle poursuivit ses propres explications :
« Est-ce que je t’attire ? Sexuellement parlant ? De manière plus générale, es-tu bisexuelle ? Hétérosexuelle ? Lesbienne ? Aimes-tu que ton partenaire te domine ? Qu’il t’injurie ? As-tu des goûts sexuels déviants ? Zoophilie ? Scatophilie ? Aimes-tu les tentacules ? Les hermaphrodites ? Je dois dresser ton profil sexuel, car il faut bien que tu comprennes que, pour l’heure, c’est la seule chose qui m’intéresse vraiment chez toi. Tes talents aquatiques ne me sont d’aucun effet pour mon plaisir personnel. »
Elle s’attendait à ce qu’Ayumi cafouille, mais elle lui donnerait implicitement ses réponses. Mélinda observait le blanc de ses yeux pour savoir quel mot la faisait le plus titiller.
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Mélinda prit donc le papier, avant de le poser sur la table basse et lui sourire, montrant ses canines. Pour autant, Ayumi n'avait pas peur. Elle lui avait promis après tout et, vu que les servantes semblaient être là depuis un moment, elle ne devait sans doute pas les saigner à blanc. De plus, le liquide rouge dans le verre prouvait qu'elle n'attaquait pas les veines à tout bout de champ, même si voir du sang dans un verre à pied faisait un peu frissonner.
- Rassure-toi, je ne compte pas vendre tes affaires... Tu pourras aller les chercher demain... Peut-être avec moi, ou avec l’un de mes subalternes... Pour le reste, Ayumi... Il faut que tu comprennes qu’il y a quelques règles à suivre dans mon manoir... Comme toutes les règles, certaines te sembleront plus faciles que d’autres...
- Tenez, Madame...
La lycéenne vit la Neko revenir avec son eau, avant de se mettre aux pieds de sa maitresse pour se faire caresser la nuque. Elle ouvrit donc sa bouteille et fit léviter l'eau à sa bouche en de petites sphères, comme les astronautes en station orbitales. Ce n'était pas pour se donner en spectacle qu'elle buvait ainsi, mais c'était son petit plaisir à elle et ici, Ayumi pouvait boire comme il lui plaisait, sans avoir à se cacher des autres. En un sens, même si elle était devenue la soumise de Mélinda, elle se sentait plus libre... Croisant les jambes, la vampire reprit.
- Je n’aime pas battre mes esclaves, sauf si je sens qu’ils en ont envie. Si tu me déçois, si tu me trahis, ou si tu ne fais pas ce que j’accomplis, tu t’exposeras à des sanctions morales ou physiques. Ceci peut aller d’un simple enfermement à des punitions plus sévères, que j’aimerais ne pas avoir à t’infliger. Néanmoins, je ne pense pas que j’aurais un jour à lever la main contre toi...
A ce niveau là, elle n'avait pas à s'inquiéter. Ayumi ne pouvait plus suporter la moindre petite gifle. Elle détestait la violence, surtout à cause de son passé. Être soumise ne la dérangeait pas, mais elle n'aimait pas les relations de SM, ne voyant pas ce qu'il y avait de jouissif dans la douleur, sans doute à cause de son enfance... en revanche, elle n'avait rien contre le bondage et le fait d'être attachée, tant que la violence était absente...
- En revanche, Ayumi, tu dois être avec moi d’une franchise absolue. Sache que, si je suis ta Maîtresse, je suis aussi ta plus grande confidente. Être une esclave a bien des inconvénients, j’en conviens, mais l’avantage est que je suis aussi ton mécène. Je te protègerai contre les autres, et je veillerai à ton épanouissement et à ton bonheur personnel, car je n’ai que faire d’un personnel qui ne soit pas heureux et détendu. Partant de là, tu continueras à avoir une certaine autonomie ; tu pourras aller au lycée, continuer à suivre tes cours, même retourner dans ton studio, si tu en as envie.
La lycéenne hocha la tête, montrant ainsi qu'elle comprenait.
- Au niveau de tes obligations, tu devras simplement obéir à ce que je t’ordonnerai de faire. Et, pour l’heure, tes principales fonctions vis-à-vis de moi seront essentiellement sexuelles. Tu as du le comprendre, je te trouve... A mon goût. Il faut donc que j’en sache plus sur tes goûts sexuels, et ton expérience. Ces objets que tu veux que je récupère... De quoi s’agit-il ? Sûrement pas d’une encyclopédie ou de manuels scolaires... Alors, dis-moi... Des ceintures de chasteté ? Des godes ? Des DVD pornos ?
La pauvre petite ESPer rougit un peu plus à chaque fois, avant que sa maitresse ne réplique doucement, atténuant sa rougeur.
- Tu n’as pas à en avoir honte, mais tu ne dois pas me cacher ce que tu caches. Si tu crois que ce manoir est un lieu de vertu morale et de chasteté, alors tu fais fausse route. Mes esclaves ont le droit d’amener leurs effets personnels, et de faire des achats. J’ai une collection de jeux vidéos à faire pâlir de jalousie n’importe quel geek de cette foutue planète, j’ai une collection de films pornos’ et de gadgets à donner des complexes à une pute.
La vampire commença alors à caresser la poitrine de la Neko sans aucun complexe, celle-ci à présent sur ses genoux et miaulant de plaisir. Faire du sexe ainsi, comme on lirait un journal, rendait la lycéenne toute chose... en fait, une eau plus intime commençait un peu à couler entre ses cuisses, en voyant la scène sous ses yeux.
- Est-ce que je t’attire ? Sexuellement parlant ? De manière plus générale, es-tu bisexuelle ? Hétérosexuelle ? Lesbienne ? Aimes-tu que ton partenaire te domine ? Qu’il t’injurie ? As-tu des goûts sexuels déviants ? Zoophilie ? Scatophilie ? Aimes-tu les tentacules ? Les hermaphrodites ? Je dois dresser ton profil sexuel, car il faut bien que tu comprennes que, pour l’heure, c’est la seule chose qui m’intéresse vraiment chez toi. Tes talents aquatiques ne me sont d’aucun effet pour mon plaisir personnel.
Malgré tout, cette dernière phrase la fit un peu tiquer. Il fallait se souvenir du matériel dans sa chambre aussi... Selon vous, comment pouvait-elle prendre du plaisir en étant attachée et avec des jouets remuer en elle, alors qu'elle vivait seule ? Même, comment faisait-elle pour s'attacher les mains dans le dos avec ses bracelets en cuir ? La réponse était simple, avec une bassine d'eau à coté de son lit. Vous ne voyez pas ? Ayumi fit la démonstration avec une légère honte sur le visage, en faisant naitre des tentacules d'eau depuis la surface de la piscine, légèrement gélatineuses mais surtout solides. C'est grâce à ceux-ci qu'elle parvenait à s'attacher toute seule, sans aucune aide.
Merci le pouvoir ESPer inintéressant.
- J-j'aime les... hermaphrodites... Être soumise à elles, mais sans violence... Mais ce n'est qu'un fantasme...
Elle était toute rouge, mais c'était plus du au fait qu'elle parlait longtemps qu'à cause de ce qu'elle disait. Elle n'en avait pas l'habitude, tout simplement.
- J'ai des revues sur... les hermaphrodites et... les lesbiennes aussi... ainsi que des DVD... Et un gode à ceinture... particulier... qui peut vibrer et jouir... un liquide blanc épais... mais qu'il faut recharger... Et l'attirail des esclaves sexuelles...
En un sens, elle aimerait être une hermaphrodites elle aussi, ce qui sous-entendait que la jeune fille était attirée exclusivement par les femmes, avec un pénis ou non. Mais en raison de sa nature taciturne, elle n'osait pas partager ce fantasme avec une autre femme. Et vu comment elle aimait tant les hermaphrodites, elle rêvait sans doute d'un Bukake aussi... Mais le plus grand de ses fantasme allait vite débarquer...
- J'ai toujours rêvée d'être une vrai sirène... Me transformant quand je le souhaitais...
-
Mélinda put le percevoir à la manière dont le sang de la jeune femme évoluait dans ses veines. Elle mouillait, ce qui amena Mélinda à comprendre deux choses. La première, c’est qu’Ayumi était une perverse, et, la seconde, c’est qu’elle était en manque pour mouiller devant ce si simple spectacle que celui de voir une neko ronronner de plaisir et être caressée. Elle sentit une espèce de vive concentration sanguine à hauteur de l’intimité de cette dernière. Tout le corps d’Ayumi semblait bouillonner. C’est ça, qui rendait les gens nerveux et timides insupportables. Ils ne réalisaient pas à quel point ils représentaient un véritable festin sur pattes pour les vampires ! Dès que leur tuyauterie s’emballait, que le rouge gonflait leurs joues, la circulation sanguine était sensiblement accélérée, ce qu’un vampire percevait comme une invitation à aller planter ses dents dans une quelconque veine pour en aspirer le contenu. Ayumi ne faisait pas exception, et Mélinda se contrôla en continuant à boire, et en pinçant les seins de la neko, qui gémit tout doucement. Tremblante, Ayumi finit par avouer ses goûts :
« J-j'aime les... hermaphrodites... Être soumise à elles, mais sans violence... Mais ce n'est qu'un fantasme... »
Un léger sourire éclaira les lèvres de Mélinda. Un sourire pervers.
*Un fantasme, vraiment ? Hum... Dois-je lui dire maintenant, ou lui faire la surprise ?*
Elle choisit de ne rien dire. Quand Ayumi le sentirait, ce serait encore mieux. Mélinda, en effet, était une hermaphrodite. Ce n’était pas naturel, contrairement à certaines femmes de Terra, comme les habitantes de Caelestis. Tout ceci remontait à cette époque où elle n’était qu’une esclave, et avait subi une opération magique et alchimique pour modifier ses gènes. Une expérience assez douloureuse, même si la technique avait évolué depuis. Ayumi ne tarda pas à enchaîner, étant visiblement toujours aussi gênée :
« J'ai des revues sur... les hermaphrodites et... les lesbiennes aussi... ainsi que des DVD... Et un gode à ceinture... particulier... qui peut vibrer et jouir... un liquide blanc épais... mais qu'il faut recharger... Et l'attirail des esclaves sexuelles... »
Mon Dieu... A croire qu’elle était faite pour être soumise, celle-là ! Une femme pareille, on en rencontrait une tous les cinq ans ! Mélinda en vint à se dire que, finalement, cette « mission » de l’Empire était une aubaine pour elle. Elle s’était attendue à ce que soumettre une ESPer avec un pouvoir aussi efficace soit difficile, mais elle avait le profil psychologique d’une vraie soumise. Même ses fantasmes sexuels allaient dans ce sens !
« J'ai toujours rêvée d'être une vrai sirène... Me transformant quand je le souhaitais... » lâcha-t-elle ensuite, s’éloignant de la question initiale de Mélinda.
Hochant alors lentement la tête, mais sans rien dire pour le moment, la vampire souleva lentement Liana, afin qu’elle se pousse. Mélinda sortit alors de son transat, et déposa son verre à pied sur la table, avant de se rapprocher de l’ESPer. Elle se glissa dans sn dos, et caressa son cou, glissant sur ses épaules, avant de remonter sur sa tête, faisant pointer ses griffes pour gratter la peau d’Ayumi.
« Très bien, ma petite... Il se pourrait que tu sois énormément surprise sous peu... »
Elle continua à caresser sa tête, avant de glisser sur son dos, le grattant, et lui annonça alors, sans ambivalence ;
« Ce soir, nous ferons l’amour ensemble. Et, crois-moi, ma petite, tu vas adorer ça. A tel point que tu en redemanderas, et que tu seras déçue chaque fois que je ne pourrais pas à nouveau m’occuper de ton corps. Fais-moi confiance sur ce point. »
La langue de Mélinda avait failli fourché, mais, vu que les hermaphrodites étaient le fantasme d’Ayumi, il fallait bien entretenir un peu de mystère.
« Demain, nous irons dans ce monde dont je t’ai parlé. Il s’appelle Terra. Nous y rencontrerons la femme qui m’a demandé de m’occuper de toi, afin qu’elle s’assure que j’ai bien exécuté ma tâche. Rassure-toi, tu resteras à mon service. Ensuite... Ensuite, si tu es sage, j’irais te présenter à une sirène. Une vraie sirène. »
Dans son harem, Mélinda avait effectivement une sirène, qui se baladait généralement dans le réseau de canalisations du harem pour rejoindre celui d’Ashnard, évitant les eaux usées pour rejoindre les lacs et les autres bassins d’eaux qui décoraient ici et là la ville.
« Puis, si tu es une bonne esclave, il est possible que je t’offre... Quelques récompenses... »
Tout en parlant, elle embrassait Ayumi sur les épaules, s’étant mise à genoux, remontant pour embrasser son cou et ses joues.
« Sur Terra, il existe des appareils qui permettent de transformer les gens... Il existe même des créatures qui peuvent se métamorphoser... Et l’Empire pour lequel je travaille maîtrise cette discipline. C’est loin d’être gratuit, mais j’aime faire des folies pour mes plus belles esclaves... Alors, qui sait... Peut-être que je pourrais t’offrir la possibilité d’obtenir ce que tu as envie quand tu le souhaites, comme une longue queue palmée à la place de tes jambes, ou une queue entre ces dernières... Quand on est mon esclave, Ayumi, quand on est un esclave fidèle, il n’y a que des avantages. Sexuellement, tu seras comblée, et tes rêves les plus fous, je les réaliserai... Ne doute pas de ma détermination... »
Mélinda avait cessé de parler, et se releva, retournant s’asseoir sur un transat, en face d’Ayumi, et la regarda. Elle avait envie de lui faire l’amour, là, maintenant, mais, avant ça, il y avait encore un dernier petit détail à s’assurer :
« Viens m’embrasser et me lécher les pieds, maintenant. »
Elle voulait s’assurer de sa soumission la plus totale.
-
Lorsque Mélinda se leva pour se mettre derrière Ayumi et caresser ses épaules, celle-ci soupira légèrement. Après tout, ce genre de sensation, c'était une première pour elle. Se laissant faire par la vampire, elle écouta tout ce que cette dernière lui dit.
- Très bien, ma petite... Il se pourrait que tu sois énormément surprise sous peu... Ce soir, nous ferons l’amour ensemble. Et, crois-moi, ma petite, tu vas adorer ça. A tel point que tu en redemanderas, et que tu seras déçue chaque fois que je ne pourrais pas à nouveau m’occuper de ton corps. Fais-moi confiance sur ce point.
Si elle lui parlait d'une telle surprise, elle devait parler de ses fantasmes... Même si faire l'amour avec une hermaphrodite lui plairait beaucoup, elle ne voyait pas comment elle pourrait bien devenir une sirène... Il devait donc s'agir de la première chose. Rien que d'imaginer Mélinda avec un membre, elle en mouillait encore plus sa culotte...
- Demain, nous irons dans ce monde dont je t’ai parlé. Il s’appelle Terra. Nous y rencontrerons la femme qui m’a demandé de m’occuper de toi, afin qu’elle s’assure que j’ai bien exécuté ma tâche. Rassure-toi, tu resteras à mon service. Ensuite... Ensuite, si tu es sage, j’irais te présenter à une sirène. Une vraie sirène.
Soumise qu'elle était, elle continua de se laisser aller sous les caresses, s'imaginant nager avec une sirène main dans la main... et peut être en devenir une aussi finalement... C'était fou, mais Ayumi se disait que, finalement, tout était possible dans cet autre monde...
- Puis, si tu es une bonne esclave, il est possible que je t’offre... Quelques récompenses...
Aux caresses, s'ajoutèrent des baisés dans le cou et sur les joues de la jeune fille. A présent c'était officiel, la lycéenne était en chaleur, chauffée par une vampire sans doute hermaphrodite. En fait, il fallait bien comprendre son fantasme pour de telles femmes... Petite, ses parents la battaient déjà et elle ne trouvait du réconfort que dans les bras des servantes. Lorsqu'ils s'en rendirent compte, alors qu'ils ne souhaitaient pas le moins du monde le bonheur de leur filles, les servantes furent renvoyée (après avoir saisis tout leur bien, jusqu'aux vêtements) pour les remplacer par des brutes, qui s'amusaient alors avec elle, comme si elle n'était qu'une poupée gonflable. Même si, à force, les membres lui faisaient du bien, parallèlement, elle avait peur de ces hommes. Pour avoir du plaisir et de la douceur, elle s'imaginait plus des servantes avec des membres. Voilà d'où parti son fantasme...
- Sur Terra, il existe des appareils qui permettent de transformer les gens... Il existe même des créatures qui peuvent se métamorphoser... Et l’Empire pour lequel je travaille maîtrise cette discipline. C’est loin d’être gratuit, mais j’aime faire des folies pour mes plus belles esclaves... Alors, qui sait... Peut-être que je pourrais t’offrir la possibilité d’obtenir ce que tu as envie quand tu le souhaites, comme une longue queue palmée à la place de tes jambes, ou une queue entre ces dernières... Quand on est mon esclave, Ayumi, quand on est un esclave fidèle, il n’y a que des avantages. Sexuellement, tu seras comblée, et tes rêves les plus fous, je les réaliserai... Ne doute pas de ma détermination...
Donc en gros, elle pourrait devenir une sirène hermaphrodite, si elle était une esclave fidèle... Ce qui lui permettrait de réaliser trois fantasmes... Ayumi, servile comme elle était, se disait qu'elle venait enfin de trouver ce qui lui manquait pour être heureuse... et si dans le même temps, elle pouvait participer à des compétitions de natations, alors ce serrait le nirvana... Mélinda retourna sur son transat, laissant échapper à Ayumi un gémissement de déception, avant de lever légèrement une jambe.
- Viens m’embrasser et me lécher les pieds, maintenant.
- Maîtresse...
Voyant miroiter les promesses de non violence et la réalisation de ses rêves, elle obéit sans hésiter. Bien que cela soit son premier baisé, elle y mit toute l'adoration qu'elle éprouvait vis-à-vis de la vampire, faisant danser sa langue avec la sienne, explorant sensuellement tout les recoins de cette agréable bouche, haletant doucement de plaisir, avant de finalement se retirer, un mince filet de salive la reliant à sa maîtresse, alors que ses yeux semblaient un peu dans le vague...
Elle se mit ensuite à genoux en prenant délicatement la jambe de la vampire et la déchaussa doucement en donnant quelques baisés sur sa douce jambe. Une fois le pied nu, Ayumi fit glisser sa langue dessus, passant et repassant plusieurs fois sur la peau et soufflant de l'air chaud dessus, avant de suçoter un à un les orteils. Dans sa culotte, sa vulve continuait de laisser s'échapper son nectar de plaisir, qui fini par traverser le tissu pour goutter au sol, alors que ses tétons se durcissaient sous le plaisir... Celui d'en donner à sa maitresse, plutôt que d'en recevoir...
Soumise jusqu'au bout des ongles...
-
Ayumi, soumise, excitée, tremblante, commença par embrasser Mélinda sur les lèvres. Ce n’était pas que cette dernière avait ordonné, mis ça ne la gêna pas. C’était probablement le premier baiser d’Ayumi dans sa vie. Il était mal assuré, mais délicieux. Mélinda y répondit avec plaisir. Ce fut un baiser encourageant, qui confirma que la petite, si elle n’avait jamais vraiment fait un baiser, avait du longuement se renseigner. Sa langue s’engouffra dans la bouche de Mélinda, qui répondit en caressant avec la sienne celle d’Ayumi. Elle ne remua pas ses bras, n’alla pas la caresser, se contentant simplement de répondre à son baiser. Il fut appuyé et un peu plus long, jusqu’à ce qu’Ayumi retire ses lèvres. Mélinda lui fit un sourire encourageant, et Ayumi alla ensuite s’occuper du pied redressé de Mélinda, l’embrassant, le léchant, et le suçotant avec un respect profond.
« Hum... soupira Mélinda en fermant les yeux. Je te sens mouiller, petite cochonne... Tu aimes lécher mes pieds, hein ? Tu n’as jamais couché avec personne, je suis sûre, mais tu es pourtant talentueuse... Une vraie salope... Là, continue à lécher, ne t’arrête pas... Car, si tu aimes embrasser mes pieds, sache que j’adore quand de belles petites poupées viennent me lécher les pieds... »
Elle continua à la laisser faire, l’observant en train de mouiller. Elle ignorait si Ayumi apprécierait qu’on l’insulte... Elle verrait bien, de toute façon... Certaines esclaves aimaient qu’on les insulte, et, vu comment Ayumi était soumise, Mélinda présumait que c’était le cas. Lentement, les minutes s’écoulèrent. Mélinda relevait parfois son pied pour qu’elle s’attaque à l’autre, et les minutes se poursuivirent ainsi. Mélinda était fortement fétichiste, et Ayumi dut le comprendre. Elle continuait à mouiller, tachant les dalles sur le sol, et il fallut bien un bon quart d’heure avant que Mélinda ne se redresse. Si Ayumi levait les yeux, elle verrait que la vampire était passablement excitée également. Son corps tremblait et frémissait, et elle s’agenouilla devant Ayumi, tendant une main pour caresser sa belle joue.
« Je comptais attendre jusqu’à cette nuit, mais... Je crois que, si j’attends jusque-là, tu vas tâcher tout mon manoir... Que dirais-tu de faire l’amour dans la piscine, hum ? Mais... Je te veux dans ta combinaison... Ta belle combinaison aquatique... Liana, va la chercher... »
La neko, qui avait adoré voir ce spectacle fétichiste, hocha la tête, et fila dans les méandres du manoir. Mélinda, de son côté, avança vers la piscine en se déshabillant, finissant toute nue. Comme elle l’avait dit à Ayumi dans la piscine, elle préférait se baigner nue, et elle en profita pour offrir à la jeune femme la beauté de son dos, de ses longs cheveux qui tombaient en cascade dans son dos, presque à hauteur de ses délicieuses fesses. Un merveilleux cul, qui était reposé sur des jambes fuselées. Oui, c’était indéniablement un corps parfait.
Mélinda tourna la tête vers elle en lui souriant, et lui montra désormais le devant de son corps, afin de la faire saliver. Sa belle poitrine, ces seins longs et galbes qui étaient offerts, son joli ventre, et son intimité propre, débarrassée de n’importe quel poil. Elle lui fit un sourire insolent, et tomba en arrière dans l’eau. Elle s’écrasa par le dos. Quelques gouttes d’eau tombèrent sur le sol. Mélinda remonta à l’air libre, et Liana s’approcha, déposant devant Ayumi sa combinaison.
« Laisse-nous, Liana... De ton côté, Ayumi, déshabille-toi, enfile cette combinaison, et viens me rejoindre dans cette piscine. »
Mélinda donnait des ordres sur un ton calme et simple, posé et réfléchi. Elle lui fit un petit sourire amusé, ravi, et pétillant de désir.
-
Continuant de lécher les orteils de sa maîtresse avec beaucoup de tendresse, Ayumi gémit longuement de plaisir lorsque cette dernière la complimenta.
- Hum... Je te sens mouiller, petite cochonne... Tu aimes lécher mes pieds, hein ? Tu n’as jamais couché avec personne, je suis sûre, mais tu es pourtant talentueuse... Une vraie salope... Là, continue à lécher, ne t’arrête pas... Car, si tu aimes embrasser mes pieds, sache que j’adore quand de belles petites poupées viennent me lécher les pieds...
Oui... Dans le fond, la lycéenne n'était qu'une petite salope qui adorait le sexe, mais qui était ironiquement trop renfermée pour l'avouer. Se faire traiter ainsi était pour elle plus un compliment qu'une insulte. D'autant plus qu'elle était à présent une esclave sexuelle... Durant de longues minutes, elle lécha et suçota ainsi les pieds de Mélinda, mouillant comme une folle sur les dalles, jusqu'à ce que sa culotte devienne inutile. Mais la vampire finit par se redresser, avant de s'agenouiller et lui caresser la joue.
- Je comptais attendre jusqu’à cette nuit, mais... Je crois que, si j’attends jusque-là, tu vas tâcher tout mon manoir... Que dirais-tu de faire l’amour dans la piscine, hum ? Mais... Je te veux dans ta combinaison... Ta belle combinaison aquatique... Liana, va la chercher...
La Neko, qui les regardait avec envie, s'exécuta et s'enfonça dans les méandres du manoir. Entre temps, le soleil avait disparu derrière les arbres et la nuit s'installait de plus en plus, alors que les lumière du domaine et de la piscine s'allumaient. La vampire se déshabilla pour se retrouver finalement nue, offrant son corps à la vie de l'humaine, qui semblait comme hypnotisée. Ayumi avait la sensation d'être dans une sorte de bulle temporelle, comme si tout ce qui pouvait arriver dans ce manoir n'aurait jamais aucune incidence sur le reste de la planète.
Mélinda se retourna avec le sourire, avant de se laisser tomber dans l'eau vers l'arrière, dans un magnifique plat sur le dos. La lycéenne savait par experiance que ce genre de chose faisait plutôt mal, même pour un non-humain. Aussi avait-elle été prévenante et avant rendue l'eau sous son corps légèrement gélatineuse, pour aténuer la douleur, avant de la liquéfier de nouveau. En plus, elle n'avait prétée aucunes attention aux tentacules, ce qui l'avait légèrement véxée...
Liana fini par revenir avec son maillot de bain, posant ce dernier sur un transat.
- Laisse-nous, Liana... De ton côté, Ayumi, déshabille-toi, enfile cette combinaison, et viens me rejoindre dans cette piscine.
Ayumi commença donc par se déshabillée, mais pas avec une rapidité infernale. Au contraire, elle retira ses vêtement avec beaucoup de sensualité, comme elle avait vue faire dans ses DVD, jusqu'à se retrouver elle aussi totalement nue, ses tétons durs et dressés et sa mouille coulant abondamment sur ses cuisses. Elle prit ensuite son maillot et le mit tout aussi sensuellement, avant de se tourner vers le bassin. Là, plutôt que de plonger, une colonne d'eau s'éleva à sa hauteur, dans laquelle elle pénétra en restant en suspension, avant de finir proprement dans la piscine avec Mélinda, sans éclaboussures d'aucune sorte. La Sirène de Mishima nagea vers sa maitresse, ses yeux brillant d'envie...
- Maitresse... Je suis votre chose... Utilisez moi... comme vous l'entendez...
Du moment qu'elle ne souffrait pas, alors elle ferait tout ce que Mélinda veut...
-
Ayumi choisit de lui rendre la pareille, et, en souriant, Mélinda l’observa se déshabiller avec lenteur, pour se rhabiller tout aussi lentement. Elle enfila cette belle combinaison, et Mélinda saliva presque en la regardant, sentant son désir exploser. Cette petite allait souffrir... Il n’était jamais bon d’exciter une vampire, jamais. Elle allait le lui faire comprendre, l’observant dans cette tenue moulante. Sur Mélinda, une telle tenue faisait moche, mais sur Ayumi, ça lui allait à merveille. Utilisant un conduit aquatique, Ayumi plongea dans l’eau, rejoignant sa Maîtresse, qui lui sourit.
« Maitresse... Je suis votre chose... Utilisez moi... comme vous l'entendez... »
Sa « chose »... Voilà qui était bon à entendre... Mélinda lui sourit, et la plaqua contre le bassin, avant de l’embrasser avec plaisir, frottant ses dents pointues contre ses lèvres, mais sans la faire saigner. Elle se plaqua contre elle, caressant cette peau trempée et douce, infiniment désirable, avant de lui parler dans un souffle :
« C’est ce que je compte faire... »
Mélinda approcha ses lèvres de son oreille, et lui parla de manière assez salace :
« Je vais te baiser comme tu n’as jamais pu y rêver, ma petite salope, te baiser à tel point que tu en deviendras ma pute... »
Elle écarta ses lèvres, et lui fit alors un insolent sourire, avant de rapidement ajouter.
« Tes tentacules aquatiques... »
Elle avait vu Ayumi les utiliser, mais n’avait sur le coup rien dit, n’ayant rien trouvé à dire là-dessus. Mais, maintenant, elle leur voyait une certaine utilité... Reprenant le fil de sa pensée, Mélinda donna des instructions supplémentaires :
« Attache tes jambes avec et tes bras... Attache-les contre le mur. Tu n’aimes pas qu’on te batte, mais je suis sûre que tu adores qu’on te ligote, qu’on tire tes bras en arrière, qu’on les serre, qu’on les tortille, que tu te sentes prisonnière. Alors, tire tes bras dans ton dos, retiens-les par des tentacules aquatiques... Et j’en veux un autour de ton cou, aussi... »
Elle attendit qu’Ayumi s’exécute, et la contempla en souriant, avant de lui embrasser ses seins, à travers la combinaison, enfonçant ses petites dents sur ce tissu. Elle aurait pu le déchirer sans difficulté, mais elle s’abstint de le faire, voulant juste l’exciter. Elle continua à le faire ainsi, léchant sa combinaison, pendant de longues minutes, amenant Ayumi dans un état de tension difficile à comprendre.
« Maintenant, je veux que tu me le dises... Que tu es une salope qui veut se faire baiser par tous les trous, et je ferais venir à toi l’objet de tes désirs... Car je suppose que tu sais de quoi je suis capable, maintenant... Je veux que tu le dises, Ayumi, que tu le cries, même. Je ne veux pas que tu le murmures d’une petite voix timide, mais que tu hurles que tu es une salope, une grosse salope, qui veut se faire baiser. »
Il fallait bien trouver un moyen de rendre Ayumi moins coincée, et s’insulter soi-même était, du point de vue de Mélinda, une très bonne percée, surtout en public. Mélinda l’encourageait en caressant et en embrassant ses zones érogènes, frottant ses griffes sur sa combinaison.
-
Soudainement, Ayumi se retrouva plaquée contre le mur du bassin, sentant le corps nu de sa maîtresse contre elle, ses tétons au même niveau que les siens, se frotter contre elle, ce qui les fit durcir encore plus. Elle était bien excitée à présent, mais encore trop coincée pour agir librement.
- C’est ce que je compte faire... Je vais te baiser comme tu n’as jamais pu y rêver, ma petite salope, te baiser à tel point que tu en deviendras ma pute...
- Oui... Maîtresse...
- Tes tentacules aquatiques... Attache tes jambes avec et tes bras... Attache-les contre le mur. Tu n’aimes pas qu’on te batte, mais je suis sûre que tu adores qu’on te ligote, qu’on tire tes bras en arrière, qu’on les serre, qu’on les tortille, que tu te sentes prisonnière. Alors, tire tes bras dans ton dos, retiens-les par des tentacules aquatiques... Et j’en veux un autour de ton cou, aussi...
Ayumi obéis et s'exécuta. Si les tentacules étaient invisibles dans l'eau, on pouvait néanmoins les sentir au touché. Elle mit elle-même ses bras croisés dans son dos avant de les attacher et ses jambes furent maintenue en grand écart. La seule preuve de présence des tentacules, fut au niveau de son cou. Les appendices d'eau avait cette faculté de serrer sans causer la moindre souffrance et, au finale, la lycéenne était ligotée avec son propre pouvoir, tandis que son souffle se faisait plus profond sous l'excitation. Mélinda promena alors sa langue et ses dents sur le maillot, glissant sur sa poitrine, durant de longues minutes. La jeune esclave sexuelle était à présent folle de désir et ne souhaitait qu'une chose, que l'on vienne s'occuper de son antre des plaisir en feu.
- Maintenant, je veux que tu me le dises... Que tu es une salope qui veut se faire baiser par tous les trous, et je ferais venir à toi l’objet de tes désirs... Car je suppose que tu sais de quoi je suis capable, maintenant... Je veux que tu le dises, Ayumi, que tu le cries, même. Je ne veux pas que tu le murmures d’une petite voix timide, mais que tu hurles que tu es une salope, une grosse salope, qui veut se faire baiser.
D'une certaine façon, elle ne se sentait pas encore prête à s'ouvrir ainsi. C'était comme ouvrir une porte avec un pied de biche, plutôt que de le faire avec une clé. Ayumi se souvint alors de la "bulle temporelle". Tout ce qui se passerait ici ne se répercuterait jamais ailleurs. C'est alors qu'arriva la véritable libération. Ce qui fut une toute petite ouverture au début se fendilla et fini en une véritable brèche.
- Oui... Baisez moi... Maîtresse... Je suis une... une SALOPE... Une Salope avide de SEXE !
Et la barrière se brisa complètement, laissant de coté la taciturne pour la révéler au grand jour, une soumise perverse. Ses cris résonnèrent dans tout le domaine, ce qui amena quelques visages aux fenêtres pour voir ce qui se passait. Mais Ayumi n'y prêta aucune attention, seul le moment présent devant elle l'intéressant.
- Baisez votre petite salope d'esclave par tout les trous Maîtresse!!! Je suis votre petite pute soumise !!! Défoncez ma chatte en feu et mon petit cul sérer avec votre grosse bite Maîtresse !!!
Ses yeux étaient humide de plaisir et sa langue pendait de sa bouche, achevant la métamorphose, de timide à nympho. Dorénavant, voilà quel serrait le visage et le comportement de la petite ESPer lorsqu'elle serrait excitée. Mais à ce niveau, il ne fallait pas s'attendre à ce que cela dépasse le cadre du sexe. Dans son état normal, elle redeviendra surement renfermée...
-
Ayumi sembla réfléchir, hésitant à se lancer. Mélinda dut l’embrasser, la cajoler, continuer à la caresser, jusqu’à ce qu’elle finisse progressivement par se lâcher. Ce fut d’abord une timide phrase.
« Allez, allez, ma belle murmurait Mélinda entre deux baisers dans le creux de son oreille. Dis-le... »
Et cela finit par venir. Le déclic. Qu’on ose ensuite dire que le sexe n’était pas libérateur... Ayumi ferma brièvement les yeux, et finit par se lâcher, poussant un hurlement sonore, des jurons élevés, qui amenèrent quelques servantes à se demander si Mélinda n’était pas en train de la torturer. Elle ne fit pas attention aux curieuses, se contentant de sourire.
« Baisez votre petite salope d'esclave par tout les trous Maîtresse!!! Je suis votre petite pute soumise !!! Défoncez ma chatte en feu et mon petit cul sérer avec votre grosse bite Maîtresse !!! »
Voilà une bienheureuse déclaration, qui fit sourire la vampire, amusée. Dans le manoir, on reconnut cette jeune femme. Il y eut notamment une lycéenne, assez rebelle, du genre à sécher les cours, Clara (http://img71.xooimage.com/files/f/9/9/student-1--32114a9.jpg).
« Mais... C’est Ayumi ! »
Clara fut interloquée, mais se reprit bien rapidement. Une autre lycéenne, Shii (http://img72.xooimage.com/files/2/a/7/shii-32114ee.jpg), qui était à côté de Clara, rougit légèrement devant de telles insultes, lui rappelant justement la manière dont Mélinda avait amené cette timide lycéenne à sortir de ses gonds pour qu’elle lui fasse violemment l’amour.
« Ça me rappelle quand tu as toi-même hurlé comme ça... glissait Clara, qui n’en ratait pas une pour se moquer d’elle.
- C’est faux ! protesta Shii en rougissant.
- Ah vraiment ?! répliqua Clara.
- Hey ! N... tenta de dire Shii, avant que Clara n’aille l’embrasser, la poussant pour la plaquer contre le mur.
- Chhhhhhtt... »
Mélinda entendit vaguement tout cela, et sourit à nouveau, amusée. Elle embrassa Ayumi sur les lèvres, et lâcha rapidement :
« Ma petite pute... Tu sais que tes cris inspirent tes petites collègues ? Il va falloir que je te fasse hurler encore plus, alors... »
La vampire embrassa une nouvelle fois Ayumi, un long et vorace baiser, en profitant pour caresser son dos, ses fesses, et faire pointer son pénis. Ayumi sentit alors, contre son ventre, une grosse pointe. Mélinda prolongea à nouveau le baiser, et l’arrêta, avant de sourire.
« Baisse les yeux... Et regarde... »
En baissant la tête, Ayumi pouvait voir quelque chose heurter son bas-ventre, près de son intimité, une espèce de longue pointe de peau, dure et solide. Le pénis de Mélinda, qui venait de son corps. La vampire lui fit un gros sourire, et glissa ses mains près de l’intimité de cette dernière, le déchirant pour révéler l’accès à son intimité.
« Ça te plaît ? Tu veux que cette grosse queue rentre en toi, hein ? Hum ?! »
Elle caressa avec le bout de son membre le contour de cette intimité, afin de la faire patienter un peu. Un sourire sur les lèvres, Mélinda l’observait silencieusement.
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Après cette déclaration digne d'une nymphomane en manque de sexe, la vampire alla embrasser sauvagement sa petite esclave, avant de lâcher avec un sourire :
- Ma petite pute... Tu sais que tes cris inspirent tes petites collègues ? Il va falloir que je te fasse hurler encore plus, alors...
Et pendant qu'elle retournait à l'assaut de ses lèvres, Ayumi bavait sans retenue, mouillant d'avantage encore en imaginant des servantes les observer à travers les fenêtres, se doigtant intensément devant la scène et faisant l'amour ensemble. Oui, la lycéenne ne semblait plus être la même, comme une schizophrène laissant place à son autre personnalité. Elle sentit alors une chose dure frotter contre son bas ventre. Ayant déjà eu ce genre de chose en elle par le passé, vraies comme factices, elle savait déjà de quoi il s'agissait. Mais sachant que la chose en question appartenait à une fille, cela l'excitait plus encore.
- Baisse les yeux... Et regarde...
Elle obéit et vit un beau membre masculin bien dur se presser avec envie contre elle, ce qui la fit lâcher un doux gémissement de désir, tandis qu'elle fixait ce barreau de chair viril.
- Ça te plaît ? Tu veux que cette grosse queue rentre en toi, hein ? Hum ?!
- Oui Maîtresse... Je veux votre bite tout au fond de ma petite chatte dégoulinante de mouille... Pitié, possédez moi... Je suis votre sac à foutre !!!
En y repensant, peu importe que ce sperme soit fécond ou non... Elle-même avait été rendue infertile par ses parents, ce qui aurait constitué un déshonneur à leur yeux si elle tombait enceinte de l'un des hommes de mains...
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Même pour Mélinda, un tel retournement de situation était... Étonnant. Il y a à peine une heure, et encore, Ayumi était une petite fleur refermée, isolée, aussi timide qu’une nonne. Maintenant, elle hurlait...
*Si toutes les femmes étaient comme elle, je me retrouverais au chômage, moi ! songea, légèrement, amusée, Mélinda. Bon... Alors, allons-y...*
Les cris de cette dernière étaient assez grisants. L’attrapant par le bassin, Mélinda utilisa l’une de ses mains pour diriger son membre. L’eau la gênait, mais elle s’était dit que le contact de l’eau aiderait Ayumi à se décoincer. Sur ce point-là, on pouvait dire que c’était plutôt un franc succès. Ayumi était complètement lâchée. Mélinda enfonça alors son sexe en elle, et décida d’y aller franco. Le bout de son membre heurta les parois d’Ayumi. Mélinda se mordilla les lèvres, et posa une main sur les fesses d’Ayumi, afin de tirer dessus. L’eau ambiante rendait l’expérience relativement simple. Il y avait de l’eau partout, facilitant les glissements, et le membre de Mélinda s’enfonça dans le corps d’Ayumi.
« Hum... Hurle, ma belle, fais entendre ta belle petite voix. Je veux que chaque membre de ce manoir sache que tu n’es rien de plus qu’une... Sale... Dé... Ver... Gon... Dée... »
Elle ponctua les derniers mots de soupirs, donnant des coups de reins, donnant de très légères tapes sur les fesses d’Ayumi. Se rappelant bien que cette dernière refusait d’être battue, elle se donnait plutôt un appui sur son derrière, enfonçant rapidement son membre. Elle en vint même à se demander, si, inconsciemment, Ayumi ne faisait pas pression sur l’eau pour faciliter la pénétration du membre. Mélinda remua ensuite son sexe, se déplaçant dans son eau, s’appuyant sur le corps d’Ayumi, l’écrasant contre le mur, remuant son sexe.
« Haaa ! soupira Mélinda. Tu... Tu es délicieuse, ma belle ! »
Mélinda la prenait avec force, et le corps d’Ayumi ne tarda pas à rebondir contre le mur. Cette petite lycéenne était, comme toutes celles qui avaient eu l’immense chance de tomber entre les pattes de Mélinda, exquise. La vampire la prenait avec un plaisir évident, et poussa un long soupir de plaisir. Son érection enflait progressivement, et elle sentait qu’Ayumi allait risquer de passer de nombreuses fois dans son lit. Remettant en cause ce qu’elle avait pensé sur l’inutilité de son pouvoir, Mélinda voyait en effet des applications très tentantes, et donna à Ayumi des ordres, continuant à remuer son corps :
« U... Utilise un... Un tentacule aqueux pour... Haaan bordel, c’qu’c’est bon... Humm... Oui... Là, dans mes fesses... »
Ayumi allait bientôt découvrir que l’une des particularités de Mélinda était la sodomie. Si les deux femmes pouvaient mutuellement lire dans leurs pensées, elles auraient découvert bien des points communs et des similitudes. Pour Mélinda, la sodomie était née de son enfance, où les hommes ne la prenaient qu’ainsi. Elle avait détesté ça, mais, dans les tréfonds pervers de son esprit, après avoir été sodomisé un nombre incalculable de fois, elle avait fini par apprécier, se forçant. Maintenant, la sodomie était, pour ainsi dire, son péché mignon.
« Mille fois mieux que de se faire prendre par des jouets, non, ma petite vicieuse ? » glissa Mélinda avec un sourire coquin dans le creux des oreilles d’Ayumi.
Pour lui glisser cette phrase, elle avait totalement enfoncé son sexe dans son vagin, leurs seins se heurtant. Elle se régalait naturellement des hurlements d’Ayumi, ayant de plus en plus de mal à résister à l’envie de mordiller son cou. Se connaissant, Mélinda ne tarderait pas à succomber à la tentation. Son cou était si tentant...
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La vampire arracha pratiquement le bas du maillot, exposant ses lèvres intimes et rendant le vêtement aquatique bon pour la poubelle. Mais Ayumi ne prêtait pas à ce genre de détail pour le moment. En effet, elle était sur le point de se faire pénétrer par une hermaphrodite pour la toute première fois de sa vie. Et une Maîtresse en plus, son fantasme de toujours. Aussi, lorsque le membre la pénétra d'un coup jusqu'au fond, elle se cambra de plaisir vers l'arrière, facilitant encore plus la pénétration.
- Hum... Hurle, ma belle, fais entendre ta belle petite voix. Je veux que chaque membre de ce manoir sache que tu n’es rien de plus qu’une... Sale... Dé... Ver... Gon... Dée...
D'intenses vas et viens débutèrent donc et la lycéenne perdit définitivement toutes traces de gêne et de timidité, hurlant son plaisir jusqu'aux toits du manoir à s'en arracher les cordes vocales, tant les sensation étaient puissantes. Si de nombreuses queues avaient déjà visiter cette petite grotte humide, c'était la première fois que le plaisir était si grand. Bientôt, elle se mit à rebondir contre le mur.
- Haaaa.... Siiii boooonn !! Maitresse... Votre grosse bite... s'enfonce tout au fond... de ma chatte en feeeeu !!! Haaaa... Haaaa... Encoooore !!!! Plus foooort !!! HAAAA !!! HAAAA !!! Défoncez votre petite PUTE d'esclave !!!
Si un élève était passé par là à ce moment précis, voir même un prof, ce dernier aurait été incapable de reconnaitre en elle cette fille taciturne qui ne disait pas un mot en cours... ou ailleurs. Ayumi se sentait fiévreuse, tant se faire prendre ainsi était bon.
- Haaa ! soupira Mélinda. Tu... Tu es délicieuse, ma belle ! U... Utilise un... Un tentacule aqueux pour... Haaan bordel, c’qu’c’est bon... Humm... Oui... Là, dans mes fesses...
- Haaaa ! Haaaa ! Tout de suite... Haaaa ! Maîtresse... Haaaa !
Sans prendre la peine de la préparer, vu que la vampire semblait apprécier le sexe fort, elle constitua un long et épais tentacule avec la forme d'un pénis, avant de l'enfoncer entre les fesses de Mélinda. Le membre en question était assez gélatineux, bien que solide, ce qui lubrifiait naturellement le tentacule, tout en étirant les parois au maximum, offrant ainsi de grandes sensation de plaisir et sans douleur. La lycéenne le savait très bien pour l'avoir testé sur elle-même. Elle fit des vas et viens dans l'anus de sa Maîtresse, alors qu'elle-même était vivement défoncée par devant, sentant un premier orgasme poindre.
- Mille fois mieux que de se faire prendre par des jouets, non, ma petite vicieuse ?
- Oui Maîtresse... Haaaa.... Votre sexe est si gros... Si dur et si boooonn.... Haaa.... Haaa... Je... Haaa... Haaa... Je JOUIIIIIIIIIIIIIIIS !!!!!
L'eau entre les deux corps se mit à faire des remous, tant la cyprine était vite expulsée... Mais comme Mélinda n'avait toujours pas éjaculée, elle se doutait que ce n'était pas fini. Aussi intensifia t-elle le mouvement du tentacule, alors que l'eau du bassin commençait à bouillir, comme un jacuzzi. En fait, Ayumi était tellement excitée, que l'eau du bassin s'adaptait à sa température corporelle. Lorsqu'elle était dans cet état, elle perdait peu à peu le contrôle de son pouvoir. Ce que la jeune soumise ne pouvait pas savoir, étant donné que c'était sa première fois.
Dans le même temps, si des servantes elle aussi hermaphrodites débarquaient, elle ne pourrait en être que plus heureuse encore...
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« Oui Maîtresse... Haaaa.... Votre sexe est si gros... Si dur et si boooonn.... Haaa.... Haaa... Je... Haaa... Haaa... Je JOUIIIIIIIIIIIIIIIS !!!!! »
Un ravissant sourire sur les lèvres, Mélinda sentit quelque chose se mélanger dans l’eau, se diluant rapidement. Ayumi avait joui assez rapidement, ce qui ne faisait que confirmer qu’elle ne simulait pas. On ne pouvait pas simuler de tels cris. Souriant, Mélinda continua donc ses coups de bassins. Elle n’avait pas joui, mais elle sentit qu’Ayumi allait encore jouir. Elle sentit un tentacule aqueux se glisser entre ses fesses, l’encourageant à la pénétrer encore plus violemment. L’eau autour d’elles se mit à bouillir, des bulles éclatant, comme si elles se trouvaient dans un jacuzzi. Il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre que c’était lié au plaisir que la petite Ayumi ressentait.
« Hum... Ha, haaaa ! soupirait Mélinda. Jouis, jouis, JOUIS, petite pute ! Jouis encore, encore, ENCORE ! »
L’excitation amenait Mélinda à réduire ce qu’elle pouvait dire. En chaleur, avec son corps trempé, Mélinda s’enfonça à nouveau dans le corps d’Ayumi, lui griffant le dos, continuant à malmener sa combinaison, l’eau la rendant encore plus fragile. La chaleur ambiante ne l’aidait pas à se calmer, et Mélinda ne tarda pas également à jouir, sans pour autant s’arrêter. Elle continua à prendre Ayumi sans relâche, et leurs cris, surtout ceux d’Ayumi, avaient attiré bien des curieux. Le public... Le public était là, les observant respectueusement, sans trop savoir quoi dire. La plupart des serviteurs étaient venus en pensant qu’on était en train d’égorger Ayumi, mais voir cette scène assez surréaliste les laissait... Pantois.
La piscine fumait. De la vapeur d’eau s’en échappait, tant la température était élevée. La peau vampirique de Mélinda l’aidait à ne pas se sentir trop mal, mais une humaine normale aurait bien chaud. Des tentacules d’eau flottaient également dans l’air, explosant pour mouiller encore plus les deux femmes. Levant la tête, observant les femmes qui se tenaient là, incrédules, elle en chercha une qui serait à même de satisfaire encore plus la petite sirène. Il y avait d’autres lycéennes, certaines en petite tenue, d’autres avec des tenues de maid.
*Diable, elle a dérangé tout mon personnel, la cochonne...*
Mélinda, fermant les yeux, laissa ses instincts vampiriques parler, tout en commençant à décoller Ayumi du rebord. Son maillot de bain était en pièce, déchirée ici et là, mais l’état de ce vêtement était sans réel intérêt pour la vampire. En utilisant ses instincts, elle finit par repérer celle qu’elle cherchait : une jeune fille avec de longs cheveux bleus, qui était en train de prendre un bain quand elle avait entendu, depuis la fenêtre, une femme hurler. Craignant que Mélinda ne soit en train d’effectuer une punition publique, comme elle le faisait rarement, elle avait dévalé les marches, manquant tomber. Elle s’appelait Kaori (http://i764.photobucket.com/albums/xx289/Thomas_Bishop/1289331052-sans-titre-6152.jpg), et était, comme Clara, Shii, ou encore Ayumi, une lycéenne. Sa petite culotte se mit à pointer, révélant, outre son état d’excitation, la modification génétique qu’elle avait subi sur Ashnard. De la main, Mélinda lui fit signe de venir.
« Ka... Kaori ! haleta-t-elle. Ramène-toi ! »
Sursautant, Kaori se mit à rougir, et s’approcha. Elle retira sa culotte et son soutien-gorge, et hésita à plonger dans l’eau, tant elle avait l’air chaude... Elle tenta du bout du pied de la toucher, mais glissa alors sur une flaque d’eau. Kaori poussa un hurlement en tombant dans l’eau, et se releva rapidement, frissonnant.
« Prends... Prends ta petite camarade par les fesses... Je crois qu’elle n’a besoin que de ça pour atteindre le septième ciel, et aller au-delà...
- Euh... D’accord, Maîtresse... »
Kaori alla poser ses mains sur le postérieur d’Ayumi. Perturbée, elle s’approcha un peu trop lentement. Un tentacule aqueux la saisit, s’enroulant autour de sa taille, pour qu’elle aille plus rapidement sodomiser Ayumi. La lycéenne se retrouva en somme prise entre deux hermaphrodites, au milieu de la piscine, qui ressemblait à une espèce d’ouragan miniature.
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Si au début, la piscine ressemblait encore à un bassin normal, c'était à présent un véritable petit Onsen à bulles, avec de petits geysers de temps à autres. Ayumi avait atteint son premier orgasme de la soirée et celui-ci avait était aussi rapide à arrivé qu'intense. Pourtant, loin d'être épuisée comme cela arrivait souvent dans son enfance ou lorsqu'elle était seule chez elle, la jeune soumise en voulait toujours plus. Malgré le fait qu'elle soit entourée de personnes et même d'autres lycéenne, elle continuait de se comporter en petite dépravée perverse, sa langue sortie et haletant de plaisir. Les sensations étaient si intenses, qu'elle était désormais incapable de prononcer des phrase complète, se contentant de crier dans un vocabulaire très restreint.
- Hum... Ha, haaaa ! Jouis, jouis, JOUIS, petite pute ! Jouis encore, encore, ENCORE !
- Haaa !! Haaa !! Haaa !! Maitressssse !! Haaa !! Haaa !! Encoooore !! Haaa !! HAAAAAAAAAA !!
A peine avait t-elle jouie que la deuxième vague arriva relativement vite – dix secondes, sans doute un record – lorsque la vampire éjacula longuement dans son utérus, la remplissant comme il se doit. Ses yeux se révulsèrent vers l'arrière et sa salive coulait paresseusement le long de son cou. Loin d'être épuisée, Mélinda alla encore plus vite en elle. Cela dura un bon moment, avant qu'elle n'interpelle une des lycéennes, qui s'avérait ironiquement être dans la même classe que Ayumi.
- Ka... Kaori ! Ramène-toi !
La nouvelle esclave ne la vit pas arriver. En revanche, elle la sentit entrer un peu brutalement dans l'eau, vite ramenée à la surface par un de ses tentacule, qui enleva bien vide le peu de tissu qui recouvrait son corps, la mettant à nue.
- Prends... Prends ta petite camarade par les fesses... Je crois qu’elle n’a besoin que de ça pour atteindre le septième ciel, et aller au-delà...
- Euh... D’accord, Maîtresse...
Ayumi sentit sa camarade se glisser derrière elle et hésiter un peu, son manche tendu vers son petit puits secret. Impatiente de se faire prendre par une deuxième hermaphrodite, la jeune soumise enroula un tentacule autour de sa taille pour l'amener entre ses deux fesses. Lorsque le membre entra en elle, elle rejeta sa tête vers l'arrière, qui se retrouva sur l'épaule de l'autre lycéenne. La poitrine de celle-ci se retrouva plaquée contre son dos, près de ses mains et, alors que les vas et viens dans ses deux orifices allaient à des cadences différentes, Ayumi se mit à malaxer cette poitrine délicieuse et à rouler les tétons entre ses doigts.
- Haaa...aaaaa....aaaa...aaaa !!!! S-siii... iiiii... Boo...ooonnn !!! Maî....tresss...ssse !!! Haaa...aaaa....aaa !!! Kaaa... oooriiiii !!! Bai.... sez....moiiiiiii !!!Haaaaa !!! Haaaaa !!! Haaaaaaaaa !!!
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Dans un soupçon d’indécence, tandis que Kaori entrait dans l’eau chaude de la piscine, une autre lycéenne sortit une caméra, afin de filmer cette troublante et excitante scène. L’eau était en ébullition, et Kaori se retrouva rapidement collée contre le dos d’Ayumi, sentant la tête de cette dernière se poser dans le creux de son épaule. La vidéo continuait à tourner. Elle ne servirait naturellement qu’à usage personnel, afin d‘enrichir la collection déjà impressionnante de Mélinda, mais aussi afin de se persuader que cette femme qui était prise entre Mélinda et Kaori était bien cette jeune fille timide dont on pensait qu’elle était frigide, tant elle était isolée. Elle était en réalité bien loin d’être frigide, fort bien loin, comme elle le prouvait en ce moment.
« Ahh... soupira Kaori, les joues rouges. Si... Si j’avais pu m’attendre à... Uuuuh... ! »
Un peu comme Ayumi, Kaori avait rêvé d’être hermaphrodite quand elle avait vu que Mélinda pouvait le faire. Étant une bonne lycéenne, Mélinda avait décidé de la récompenser à sa manière, et l’expérience avait été un succès. Kaori s’était vu greffer un sexe masculin qui était, comme celui de Mélinda, rétractable, venant sous l’effet du plaisir. La cyprine permettait en effet d’anesthésier la douleur qu’on ressentait en le faisant sortir d’entre les cuisses.
Ayumi, quant à elle, était tellement excitée que son corps peinait à fonctionner normalement. De la bave s’écoulait de ses lèvres, car elle ne pensait visiblement même plus à avaler sa salive. Et les deux hermaphrodites, imperturbables, s’enfonçaient en elle, la pénétrant, caressant son corps, entremêlant leurs doigts.
« Haaa... ! Allez, Kaori, allez, ne sois pas timide ! Baise-là, baise-là, BAISE-LA ! »
Encouragée par les rugissements de sa Maîtresse, Kaori tâcha de remuer son corps. A vrai dire, quand elle faisait l’amour de cette manière, les fesses étaient souvent un endroit qu’elle visitait. Et elle devait bien reconnaître que le petit cul d’Ayumi était très attirant. Il était ferme et étroit, et, avec toute cette eau, se mouvoir à l’intérieur était très facile. Kaori finit donc par donner également du mouvement, se cramponnant sur le bassin d’Ayumi, mais ses mouvements étaient surtout rythmés par les coups de rein de Mélinda. A chaque fois que la vampire enfonçait son sexe, le bassin d’Ayumi se déplaçait, ce qui amenait le membre de Kaori à se perdre dans les profondeurs de son cul, faisant hurler cette dernière. Ensuite, Mélinda retirait son membre, le ramenait ne arrière, et Kaori avançait alors le sien.
« Oh, Maîtresse ! Hum... Co... Comment avez-vous pu ?!
- Shhhht ! l’interrompit Mélinda. Contente-toi de la prendre, haaa... Baise ta petite camarade, ne vois-tu pas qu’elle demande que ça ?!
- O-Oui, Maîtresse... »
Les deux femmes continuèrent ainsi à lui faire l’amour, remuant le corps d’Ayumi dans tous les sens. Mélinda jouit encore plusieurs fois, et finit par planter ses dents dans le cou de la jeune fille, allant boire un peu de son sang. Pas assez pour la faire souffrir, loin de là, mais suffisamment pour que l’érection de Mélinda gagne en intensité. Son sexe se tendit et se gonfla légèrement, croquant quelques centimètres, continuant à défoncer l’intimité d’Ayumi, à lui déchirer les jambes. Son sang était délicieux, et elle libéra vite son cou, retirant ses dents, en lui offrant un sourire ensanglanté.
« Quelle... Haa... Quelle endurance, ma petite esclave... On jurerait que tu as attendu ce moment toute ta vie ! »
-
- Ahh... Si... Si j’avais pu m’attendre à... Uuuuh... !
- Haaa... ! Allez, Kaori, allez, ne sois pas timide ! Baise-là, baise-là, BAISE-LA !
- V... Vos bites sont... siiii boooooneeees !!!
Inutile de préciser que la petite soumise était hors d'elle. Prise en sandwich entre deux hermaphrodites, elle sentait leur membre se glisser en elle de plus en plus rapidement, multipliant les jouissances et la remplissant peu à peu de sperme chaud et gluant. Elle-même enchainait les orgasmes les uns après les autres et, à la surface du bassin, la vapeur et les geysers s'intensifiaient de plus en plus, prouvant du même coup que le corps en chaleur de Ayumi bouillait littéralement de plaisir. Un énième tentacule d'eau vint se glisser entre les fesses de Kaori pour la prendre sauvagement.
- AHHHHHHH !!! AHHHHHHH !!! AHHHHHHH !!! OUUUIIIIIIIII !!! ENCOOORE !!! ENCOOOOOOORE !!!
- Oh, Maîtresse ! Hum... Co... Comment avez-vous pu ?!
- Shhhht ! Contente-toi de la prendre, haaa... Baise ta petite camarade, ne vois-tu pas qu’elle demande que ça ?!
- O-Oui, Maîtresse...
La piscine était désormais vidée de la moitié de son eau, tant le plaisir ressentit par l'esclave était grand, ce qui rendait les tentacules bien plus visibles. Soudainement et sans prévenir, Mélinda vint mordre sa soumise dans le cou pour boire un peu de sang. La brève douleur causée par la morsure fut remplacer par un intense plaisir, qui la fit jouir sur le coup, sans doute causé par un quelconque aphrodisiaque. Ayumi était ballotée dans tout les sens, possédée et utilisée comme une poupée gonflable, un simple jouet sexuel. Mais comme elle était le jouet d'hermaphrodites, elle en était très heureuse. Se retirant de son cou, la vampire lui fit un magnifique sourire sanglant.
- Quelle... Haa... Quelle endurance, ma petite esclave... On jurerait que tu as attendu ce moment toute ta vie !
- Ouiiiii.... Maîtreeeeesse... HAAAA... Me faire... Baiser c-comme une... Une petite SALOPE.... Par des hermaaaaa... phrodites.... C'était m-m-mon rêêêve.... HAAAA... HAAAA... HAAAA...
Pendant de très nombreuses minutes encore, Ayumi enchaina les orgasmes, avec la sensation de n'avoir fait que ça de toute sa vie. Jamais elle n'avait autant jouit de toute sa vie. Mélinda était inondée de sa mouille et, manque de place en elle, la semence blanche et épaisse s'écoulait de son anus et de son vagin, malgré que ceux-ci soient encore occupé par les barreaux de chair. Finalement, il arriva un moment où toute trois finirent par jouir en même temps, provoquant un formidable geyser, qui atteignit facilement les toits. Ensuite, ce fut le calme plat sur la surface du bassin et même la vapeur finit par se dissiper. La fornication intense avait fini par avoir raison de la jeune soumise, qui avait tout simplement perdue connaissance, mais avec un large sourire de bien être aux lèvres. Nul doute que ses camarades du lycée ne la verraient plus jamais comme avant.
Pour l'heure, Ayumi était tombée dans un profond sommeil. Cependant, elle ignorait comment elle allait se réveiller. Dans un grand lit frais ou enchainée à un mur, avec des jouets vibrant en elle ?
-
Ayumi faisait preuve d’une résistance exceptionnelle. Mélinda saluait cette performance. Elle hurlait comme une folle, et jouissait en rythme. Une véritable femme-fontaine, qui ne pouvait plus retenir ses orgasmes. Elle les balançait sans se retenir, emportant aussi Mélinda que Kaori dans une espèce de spirale de plaisir. C’était... Tout simplement intense. Mélinda jouit à son tour, ainsi que Kaori, mais c’était indéniablement Ayumi qui jouissait le plus. Elle semblait presque avoir une sorte d’orgasme continue, et les trois femmes finirent par jouir en même temps. Des gouttes de sperme remontèrent jusqu’à toucher les joues d’Ayumi et ses cheveux, et les cris laissèrent place à de longs soupirs. Ayumi était endormie, visiblement à bout de force, mais le large sourire qu’elle avait sur les lèvres suffisait à montrer qu’elle était heureuse, et qu’elle rêvait probablement de ça.
*Brave fille... Tu as bien été la plus endurante de mes esclaves jusqu’à présent... Repose-toi donc...*
Les tentacules aqueux, les trombes d’eau, disparurent, et un silence de plomb s’installa autour de la piscine. Mélinda remarqua alors que la nuit était tombée, et elle entreprit, en même temps que Kaori, de se retirer du corps d’Ayumi. Une spectatrice lâcha alors le mot final.
« Waoh... »
Souriant, Mélinda entreprit de sortir de la piscine, soulevant Ayumi.
« C’est... C’est vraiment Ayumi ? demanda une lycéenne.
- Elle cachait bien son jeu, cette petite... Qu’en faisons-nous, Maîtresse ?
- Pour l’heure, vous allez faire à manger répliqua tout simplement Mélinda. Quant à Ayumi... »
Silencieusement, Mélinda réfléchit à ce qu’il convenait d’en faire. Elle regarda Kaori.
« Tu la connais ?
- Elle... On est dans la même classe, Maîtresse... On a bossé ensemble une fois sur un projet en sciences, mais je n’aurais jamais pensé que...
- Alors, tu vas te charger d’elle, la coupa Mélinda. Porte-là dans ta chambre. Jusqu’à ce que je lui en trouve une, vous serez dans la même chambre. »
Kaori acquiesça silencieusement. Ayumi était légère, et elle put la porter, se faisant toutefois aider par une autre camarade. Non, Kaori n’en revenait pas... Lors de l’exposé, Ayumi lui avait semblé avoir la palme de la « fille la plus coincée de tout Seikusu ». Elle avait même rneversé une éprouvette quand le doigt de Kaori avait involontairement effleuré le sien.
« Vous l’avez drogué ? demanda une autre femme. Un aphrodisiaque particulièrement puissant...
- Je n’en ai même pas eu besoin...
- Mais... Comment avez-vous fait, Maîtresse ? C’est incroyable ! Il y a sûrement un... »
Soupirant, Mélinda, en s’enfilant dans une serviette, se retourna pour parler sur un ton sec et autoritaire :
« Bon, ça suffit, les questions, petites commères ! Allez bosser ! »
Les filles se séparèrent rapidement. Mélinda soupira à nouveau. Avoir un troupeau de belles adolescentes, ce n’était pas de tout repos... Commères comme ce n’était pas permis, la plupart des filles au service de Mélinda adoraient s’espionner mutuellement. Une sorte de sport local. Mélinda choisit de se rendre dans son bureau, afin de parler avec Kaileesha.
Kaori, de son côté, posa Ayumi sur un grand lit à baldaquin rouge. Elle avait une belle chambre, avec une grande fenêtre donnant sur la forêt. Elle se tenait dans l’aile Est du manoir, et sa chambre comprenait un grand placard où elle rangeait ses effets personnels, une petite salle de bains avec des toilettes, un bureau où elle rangeait ses affaires, et deux tables de chevets. Dans l’une de ses tables, on pouvait voir des mots croisés, un manga érotique, et un roman. Kaori déposa Ayumi au milieu du lit, et lui caressa les joues.
« Je n’arrive pas à y croire... »
Mélinda non plus. Elle allait devoir converser pendant un certain temps avec Kaileesha pour lui expliquer tout ce qui s’était passé.
-
Elle ne savait pas combien de temps elle avait dormit. Mais en émergeant doucement de ses rêves mouillés, elle constata qu'elle se trouvait dans un grand lit moelleux où elle avait bien chaud. Ensuite, ce fut le contact des draps sur sa peau. Il semblerait qu'on l'ai débrasée de son maillot en pièce. De ce fait, elle était toute nue dans le lit. Mais c'est en effleurant cet autre corps chaud, présent à coté d'elle, qu'elle se réveilla instantanément. Ainsi, elle vit la grande et magnifique chambre dans laquelle elle se trouvait, avec une grande fenêtre d'où on pouvait voir la forêt.
Ayumi se tourna alors vers le corps endormi à coté d'elle. Il s'agissait de Kaori, sa camarade de classe, avec qui elle avait fait sauvagement l'amour la veille. En temps normal, voir une autre fille, même nue, dans ce genre de situation, la gênerais au plus haut point. Seulement voilà, Kaori était une hermaphrodite. Si la jeune fille l'avait su plus tôt, elle aurait sans doute couchée avec elle depuis longtemps. D'ailleurs, elle pu constater que sa camarade devait sans doute faire un rêve très érotique, vu comment son membre était bien dur. Elle se rallongea donc à coté d'elle et la prit doucement dans ses bras, poitrine contre poitrine, et lui caressa lentement les cheveux d'une main, pendant qu'elle en faisait de même sur sa queue. Ayumi fini par la réveiller dans un doux et sensuel baisé, avant de lui parler.
- Ohayo, Kaori... Je sais que tu te pose des question sur moi... Mais... je préfère répondre devant tout le monde... en même temps...
Ayumi fit glisser ses doigts sur le gland gonflé de plaisir, avant de poursuivre.
- Tu m'as l'air excitée... L'aise moi m'occuper de toi... J'ai toujours eu un faible pour... les hermaphrodites...
La jeune fille conclut sa tirade par un baisé plus langoureux, avant de se diriger vers le sexe fièrement dressé pour le prendre en bouche et le sucer comme une débutante, bien qu'en donnant des coups de langue dessus. Après tout, Ayumi avait encore de nombreuses choses à apprendre, sur sa nouvelle profession.
-
« Est-ce qu’elle dort toujours ?
- Oui, Maîtresse, confirma Kaori.
- Bon... Elle ne dînera pas, alors... »
Il était en effet 22h, heure rituelle à laquelle Mélinda mangeait sur Terre. Et Mélinda n’aimait pas manger seule. Kaori embrassa donc Ayumi sur le front, et suivit la Maîtresse vers la salle à manger. Mélinda choisit toutefois de manger dans l’un des salons de détente principaux, sur une table normale, en compagnie de plusieurs esclaves. D’autres se chamaillaient devant l’écran géant pour savoir si elles voulaient continuer à jouer, ou regarder des films. Silencieusement, Mélinda n’intervint pas, plongée dans les souvenirs de sa conversation avec Kaileesha.
La démone lui avait dit que les Nasegawa avaient passé avec brio les différents tests, et rejoindraient les corps de l’armée ashnardienne. Ils avaient été offusqués à l’idée d’être considérés comme des 3ème classes, l’un des rangs militaires les plus bas, et Kaileesha avait décidé de les nommer tous deux officiers. Ils avaient pour le moment été tous les deux assignés dans le service des interrogatoires. Ils auraient aussi pu servir de bourreaux, surtout la Dame, mais ils avaient préféré rester au sein de l’armée. Ils s’étaient soumis à des tests sur un prisonnier de guerre, et les tests avaient été très concluants. Kaileesha avait noté que les Nasegawa étaient « particulièrement pervers », ayant un « goût prononcé pour l’humiliation et la souffrance ». Néanmoins, ils tenaient à s’assurer que leurs conditions avaient été bien respectées. Mélinda avait donc parlé d’Ayumi, sans omettre aucun détail. Elle avait tout raconté à Kaileesha, et cette dernière avait confirmé.
« Je préconise d’éviter une rencontre entre elle et ses parents...
- Malheureusement, je suppose que ses parents voudront s’entretenir avec elle, s’assurer... Qu’elle est bien comme ils veulent qu’elle soit...
- Ceci n’était pas prévu dans nos termes ! Je devais en faire une esclave, je l’ai fait ! Mais c’est mon esclave, et j’entends la diriger comme je le veux !
- L’Empire...
- Tu peux te foutre ta raison d’État dans le cul, Kaileesha ! Ayumi est, pour résumer ça, émotionnellement fragile. Revoir ses parents serait contre-productif.
- J’en étais sûre, la railla Kaileesha. Tu t’es attachée à elle, n’est-ce pas ?
- Moi, je ne me laisse pas dicter ma conduite par des humains ! répliqua Mélinda sans se laisser démonter.
- Sais-tu que, rien que pour de tels propos, je pourrais te couper la langue ? Tu es une civile, après tout... lâcha Kaileesha, avant de sourire. Mais je ne pourrais pas me résoudre à ne plus t’entendre parler... Écoute, je vais faire de mieux, mais, pour de simples humains, ce couple est assez exténuant... »
La conversation s’était terminée ainsi. Mélinda était retournée ensuite dans la chambre de Kaori, pour voir qu’Ayumi dormait toujours. Elle avait alors laissé Kaori avec Ayumi pour la nuit. La lycéenne avait commencé par déshabiller Ayumi, observant son joli corps nu, et avait embrassé sa belle peau chaude. Excitée, elle s’était caressée dans le lit, trouvant ainsi le sommeil. Elle s’était si bien caressée qu’elle en avait fait sortir son membre, et dormit ainsi, avec le pénis dressé.
C’est au beau milieu de la nuit qu’elle fut réveillée par sa voisine. Les deux étaient nues. Kaori gémit faiblement. Elle avait une érection, rêvant qu’elle faisait l’amour à Ayumi. Ce fut un tendre baiser qui la réveilla. La lycéenne ouvrit ses yeux, et eut l’agréable surprise de voir Ayumi. Elle arqua un léger sourire, même si elle sentait son membre la démanger.
« Ohayo, Kaori... Je sais que tu te pose des question sur moi... Mais... je préfère répondre devant tout le monde... en même temps...
- Je comprends, ne t’en fais pas... Mais je suppose que tu comprends ma... Ma surprise » répondit Kaori d’une voix assoupie.
Kaori gémit ensuite quand Ayumi promena ses doigts sur son membre en érection.
« Tu m'as l'air excitée... L'aise moi m'occuper de toi... J'ai toujours eu un faible pour... les hermaphrodites...
- Haaa... Ça, je.. Je l’avais bien compris, A-Ayumi, hum... »
C’était un merveilleux réveil, même s’il faisait encore nuit dehors. Elle eut droit à un autre baiser, et soupira dans la bouche de la sportive, avant qu’elle ne commence à entamer une agréable fellation. Kaori poussa un long soupir, et entreprit de se redresser, mais une nouvelle vague de plaisir la ramena dans le lit. Elle tendit ses mains pour caresser la tête d’Ayumi.
« Han... Hum... Haaaa ! »
Un peu dans les vapes, Kaori se demandait si elle rêvait ou si c‘était vraiment la réalité. Elle avait à peine eu le temps d’ouvrir les yeux qu’une belle jeune fille lui astiquait la queue. Elle tendit une main pour agripper les cheveux d’Ayumi, et se tortilla lentement sur le matelas. Ayumi s’était faufilée sous la couette.
« Con... Continue, Ayumi... Mais... Enfonce-là dans ta gorge... Ma queue... Je le veux au fond de ta gorge, oh... Han, oui, ohhh... Mon Dieu... Crois... Crois-moi, Ayumi, tu... Ah, avec un comportement comme ça, tu finiras bien souvent dans... Dans le lit de M-Maî... De Maîtresse ! »
-
Ayumi trouvait le sexe de sa copine fort odorant et ayant un très bon gout. En fait, elle ne se contenta bientôt plus de le sucer. Elle s'y prit comme si elle léchait une agréable glace, parfum phallus. Sa langue passa et repassa sur le gland gonflé de plaisir, sur cette verge fièrement tendue, avant de retourner la fourrer dans sa chaude bouche, humide de salive, pour l'enrouler de son muscle buccal. Kaori de son coté, se tortillait de plaisir sous les attentions de la nageuse en agrippant les doucement cheveux de sa camarade.
- Han... Hum... Haaaa ! Con... Continue, Ayumi... Mais... Enfonce-là dans ta gorge... Ma queue... Je le veux au fond de ta gorge, oh...
Elle s'exécuta et enfonça l'agréable queue tout au fond de sa petite gorge, révulsant ses yeux. Elle déglutit plusieurs fois pour masser la bite, avant de se retirer brièvement pour se mettre en 69, présentant son antre juteuse au dessus du visage de son amante.
- Ta bite... Elle est délicieuse... Lèche ma chatte... étanche ta soif...
Elle retourna ensuite à son office, léchant, suçant, déglutissant sur la verge en gémissant doucement de plaisir et des désir, plus encore lorsqu'elle sentit Kaori commencer à lui rendre la pareille. Faire tendrement l'amour à une hermaphrodite, après avoir sauvagement baisée quelques heures plus tôt par deux d'entre elles, la rendait véritablement heureuse.
- Han, oui, ohhh... Mon Dieu... Crois... Crois-moi, Ayumi, tu... Ah, avec un comportement comme ça, tu finiras bien souvent dans... Dans le lit de M-Maî... De Maîtresse !
- Si je peux être... Haaann... utile à la M-Maîtresse.... Huuuu... Alors ça... ça me vaa.... Hmmm...
Durant de longues minutes, les deux filles se firent ainsi mutuellement du bien, jusqu'au moment où Ayumi jouis directement dans la bouche de sa compagne de jeu, alors qu'elle-même en recevait directement dans sa gorge. Elle en garda toutefois un peu en bouche et retourna coller ses lèvres contre celle de son amie, dans un langoureux baisé spermique.
-
Effectuant probablement une position qu’elle avait du voir dans les films qu’elle regardait, Ayumi présenta à Kaori son intimité humide, sa fleur délicate, et cette dernière l’accepta sans problème. Elle posa ses mains sur les fesses de la sportive, les empoignant, et suçota son intimité, glissant sa langue, frottant sa peau avec son nez. C’était bon... Délicieux, même. Sa cyprine avait un délicieux goût sucré. Kaori y plongeait sa langue avec plaisir, et finit par déplacer l’une de ses mains, titillant avec ses doigts son sexe, cherchant son bouton de plaisir pour l’oppresser. La jeune femme mouillait abondamment, sa cyprine coulant sur les lèvres de Kaori, alors qu’elle multipliait d’intenses gorges profondes, faisant gémir Kaori.
Le résultat ne se fit pas attendre. Kaori éjacula furieusement dans sa bouche, tout son corps se tendant. Elle écarta les lèvres autant que possible, afin de recueillir la cyprine de la jeune femme.
« Hmmmmmmmmmmmmm... »
Ce fut tout ce que Kaori parvint à dire en jouissant. Elle sentit tout son membre se tendre, et un immense soulagement traversa son corps. Pour elle, faire l’amour, c’était avant tout une épreuve de souffrance, d’impatience. Jouir, c’était retrouver son état normal, et, ce qu’elle appréciait aussi, c’était ce petit moment qui suivait le fait d’avoir joui, ce moment de calme, de détente, où elle se sentait incroyablement sereine et épanouie. Ayumi ne la laissa toutefois pas se reposer longtemps. Elle bondit sur elle, et l’embrassa, déversant dans sa bouche le sperme que Kaori lui avait balancé. Ce sperme se mélangea aux résidus de cyprine qui se trouvaient dans la bouche de la jeune lycénne, et elle se blottit contre elle, avançant sa langue pour la plonger dans cette masse liquide, allant chercher la langue d’Ayumi pour jour avec la sienne.
Le baiser fut relativement long, et dura même après que leurs gorges aient avalé ces jus intimes. Kaori posa l’une de ses mains sur les fesses d’Ayumi, la pressant, glissant l’autre dans ses cheveux. Ce contact finit par raviver son érection, et sa queue frotta entre les jambes d’Ayumi. Rougissant, Kaori rompit le baiser, frottant son nez contre celui d’Ayumi.
« Tu me mets dans un de ces états... »
Se mordillant les lèvres, Kaori l’embrassa à nouveau, plus sauvagement, mordillant ses lèvres, avant de lui laisser le choix :
« Tu préfères être dessus ou dessous ? Que je danse sur toi, ou que tu danses sur moi ? »
Excitée, Kaori n’avait plus aucune envie de dormir, seulement le désir de faire intensivement l’amour avec son amie... Car Ayumi était maintenant son amie, et même plus que ça, vu qu’elles partageaient le même lit. Mélinda avait eu un choix éclairé en confiant à Kaori le soin de veiller sur Ayumi... Très éclairé, même, vu que cette petite était excitée comme une puce... A en donner des convulsions à une nymphomane.
« Maintenant que je connais tes fantasmes, attends-toi à sentir ma grosse queue un peu partout dans ton corps... » lui souffla Kaori dans le creux de l’oreille.
-
Les deux filles avaient toutes deux gémies de plaisir en jouissant et en recevant les fluides sexuels de l'autre, avant de s'embrasser très longuement. Ce fut alors le moment de passer aux choses sérieuses, lorsque Kaori frotta son membre contre la vulve humide du Ayumi.
- Tu me mets dans un de ces états... Tu préfères être dessus ou dessous ? Que je danse sur toi, ou que tu danses sur moi ?
- Hmmm... Je veux monter à cheval... sur ma petite Kaori...
Doucement, elle s'installa à califourchon sur le bas ventre de son amante, guidant le barreau de chair dans sa petite fente, avant de l'enfoncer dans un long et sensuel gémissement de plaisir, jusqu'à la garde. S'allongeant de nouveau contre sa camarade, elle retourna l'embrasser en remuant tendrement son fessier et ses hanches. Puis, le baisé fut de nouveau rompu.
- Maintenant que je connais tes fantasmes, attends-toi à sentir ma grosse queue un peu partout dans ton corps...
- Ha mais... hum... J-J'y compte b-bien... Haan...
La nageuse se redressa alors et remua plus énergiquement sur le sexe de Kaori, roulant les tétons de celle-ci entre ses doigts. Ses gémissements furent plus intenses, plus profonds, tandis que son rythme accélérait, ses seins se ballottant au grés des mouvements. Sa langue sortit bientôt hors de sa bouche et un filet de salive coula sur son corps, jusqu'au ventre de sa copine de jeu.
- Huumm... Haaaaaa... Haaaaaa... J'aime ta b-bite... haaaaaa... Kaori... Haaaaaa... haaaaaa...
-
Ayumi surprit encore une fois Kaori, qui réussit à se convaincre que, de toute façon, il n’y avait rien de logique dans ce manoir, un manoir où on était dirigé par une vampire, où on entendait de drôles de cris la nuit, et où des femmes-chats servaient le plat. Kaori avait mis des semaines à s’y habituer, et avait apprécié les efforts des autres esclaves pour rendre ce manoir moins étrange, par exemple en achetant une télé à écran plasma immense, et toutes les consoles de jeux vidéos du moment : PlayStation 3, XBOX 360, et même la Wii, avec un catalogue de jeux à faire pâlir n’importe quel gamer. Avouons que le budget n’était pas le même ; dans les dortoirs communs du lycée, on devait se farcir une vieille PS2 toute cabossée avec des jeux ancestraux qui passaient difficilement, sur une vieille télé. Et puis, au lycée, on ne pouvait pas aussi facilement faire l’amour, avec les surveillants... Dans le manoir, paradoxalement, il n’y en avait pas, ce qui amenait une jeune femme comme Kaori à considérer que, somme toute, être esclave de Mélinda, c’était encore plus libre que d’être une lycéenne dans un lycée démocratique.
Kaori fut donc surprise qu’Ayumi veuille la monter comme un cheval, car c’était une position qui, de manière commune, n’allait pas pour les soumises comme elle... Est-ce que Kaori s’était vraiment trompée sur toute la ligne avec elle ? Elle poussa en tout cas un cri de plaisir quand Ayumi la monta, ressemblant alors assez à Mélinda, qui montait également Kaori, dansant sur elle... A cette différence près que Kaori faisait rarement l’amour avec Mélinda en étant seule.
« Hummm... »
Kaori poussa un petit gémissement quand Ayumi l’embrassa, en profitant pour serrer ses belles fesses. Elles commencèrent par un délicieux baiser, et l’érection de Kaori se mit à grossir. L’une des particularités de suivre l’expérience génétique de Mélinda pour devenir hermaphrodite, c’était que la taille du sexe était assez modulable. Néanmoins, Kaori restait à des proportions « normales ». Quand on faisait l’amour avec Mélinda, il fallait savoir que cette dernière n’aimait pas qu’on en ait une « plus grosse qu’elle », et, outre cela, plus le sexe était gros, plus il pompait. Kaori le fit toutefois durcir et grossir un peu, afin de déchirer Ayumi.
Le résultat ne tarda pas à se faire sentir. Délicatement, le lit émit quelques craquements au fur et à mesure qu’Ayumi se balançait sur le corps de sa partenaire. De la bave coulait de sa langue qui était sortie, ce qui fit pouffer brièvement Kaori. Mine de rien, avec cette tête, elle avait un certain charme.
« Huumm... Haaaaaa... Haaaaaa... J'aime ta b-bite... haaaaaa... Kaori... Haaaaaa... haaaaaa...
- Haaaa... Et... Et... J’aime... J’aime te l’enfoncer bien profond ! »
Kaori plaça ses mains sur les hanches d’Ayumi, et la laissa danser sur elle, la montant comme un cheval. Elle aimait bien cette comparaison. Ayumi se laissait progressivement aller, et Kaori aussi, gémissant et soupirant, se tortillant dans le lit. En ce moment, Kaori était au comble du bonheur ! Avoir une partenaire comme Ayumi, c’était tout ce dont elle avait besoin ! Dans ce manoir, elle avait un peu de mal à vraiment se lier avec les autres membres. Mais, avec Ayumi, elle sentait bien que le courant passait, même si elle ne pouvait pas vraiment se l’expliquer.
« Ça... Ça te plaît, hein ? De danser sur... Sur moi ? De... Me prendre comme... Comme un cheval... Vas-y, jouis... Putain, Ayumi, jouis, jouis, JOUIIIIS ! »
Kaori donnait des ordres sur un ton strident, autoritaire, fort, vibrant. Un ton empreint de désir et de plaisir.
« Tu verras, Ayumi, tu verras ! Tu aimes sentir des grosses queues, haaaaa... Tu... Toi aussi, tu le peux !!! »
Kaori voulait lui dire qu’elle pouvait, elle aussi, être hermaphrodite, mais le plaisir intense qu’elle ressentait l’empêchait de formuler correctement ce qu’elle avait à dire.
-
A l'heure actuelle, Ayumi était littéralement folle de désir et exécutait un véritable rodéo sur le sexe tendu de sa compagne, mais tout en restant très sensuelle. Elle jouait allègrement avec la poitrine de Kaori et gémissait de concert avec celle-ci.
- Ça... Ça te plaît, hein ? De danser sur... Sur moi ? De... Me prendre comme... Comme un cheval...
- Haaaan ouuiiiiiiii.... C'est si boooooon...
- Vas-y, jouis... Putain, Ayumi, jouis, jouis, JOUIIIIS !
- Je... Je... JE JOOOOOOUUUUUUIIIIIIIIS !!!!
Elle arrosa le bas ventre de son amante et les draps d'un délicieux jet de mouille, les yeux exorbités et sa bouche grande ouverte, la langue pendante et salivante. Plus la fornication avançait, plus la nageuse ressemblait à une nymphomane en manque de sexe. Après l'orgasme, son antre des plaisirs était devenu très glissant, permettant l'accès à un plus gros calibre. Suite à quelques vas et viens encore, elle se leva dans un agréable bruit de succion, avant de se mettre à quatre pattes, dos à sa camarade et en remuant les hanches.
- Viens Kaori... Viens baiser ma chatte en chaleur... Baise moi comme une salope de chienne...
Le déblocage de Mélinda ayant pas mal aidé, Ayumi s'insultait désormais volontairement lorsqu'elle était excitée... Et elle voulait se faire intensément défoncer en levrette par sa camarade de classe. Et puis au fond, elle se disait qu'elle avait toujours été une pute guine avide de bites, telle était sa pensée actuelle, avec des mots très crus.
-
Et elle jouit. Elle jouit avec puissance, même, ressemblant à une espèce de possédée transcendée par la passion. En d’autres circonstances, avec ses yeux écarquillés, sa bouche grande ouverte, elle aurait indéniablement eu l’air particulièrement ridicule, mais Kaori avait un sexe dans son corps, et était bien loin de la trouver ridicule. Il se dégageait au contraire de ce corps fiévreux une espèce de désir fiévreux, fanatique. Elle était belle à en damner des saints. Kaori l’observait, totalement fascinée. Elle réalisa qu’elle avait joui, qu’elle avait craché en Ayumi son sperme, et qu’elle ne s’était pas protégée.
*Espérons qu’elle ne tombera pas enceinte…* songea silencieusement Kaori.
En soi, Mélinda était assez hostile aux esclaves enceintes. Un gros ventre, ça n’était pas très beau pour les clients, et Kaori ne voulait pas la décevoir, ni même être mère de famille… Ou père, vu qu’elle avait le sexe… Elle n’eut toutefois pas trop le temps d’y penser, car le plaisir sexuel revint assez rapidement. Satisfaite, Ayumi n’était toutefois toujours pas vaincue, continuant à remuer son corps. Elle avait chevauché avec une énergie assez impressionnante l’heureuse Kaori, à tel point que cette dernière avait presque cru avoir affaire à une autre Mélinda, vu à quel point le lit avait craqué… Et vu à quel point elle donnait envie à Kaori de lui faire l’amour.
Ayumi se retira d’elle, mais pas pour se reposer. En sentant son intimité libérer son sexe, Kaori en eut des frissons. La lycéenne se redressa sur ses avant-bras, et vit Ayumi se mit à quatre pattes sur le lit. Ce dernier était suffisamment grand pour ça, et Kaori en frémit. La mouille d’Ayumi continuait à s’égoutter de son vagin, titillant l’estomac de la jeune lycéenne. La lycéenne rougit furieusement de désir, avant de se relever.
« Viens Kaori... Viens baiser ma chatte en chaleur... Baise moi comme une salope de chienne... »
Kaori sourit. Une vraie soumise… La lycéenne commença à se redresser, lentement. Son sexe la gênait. Elle remarqua que son érection avait encore grossi de quelques centimètres, devenant une vraie matraque. Ayumi avait demandé à se faire baiser comme une « chienne »… Ceci donna à Kaori des idées, qui alla ouvrir le placard de sa table de chevet, en sortant un plug. N’étant pas habituée à avoir le rôle de la dominatrice, Kaori avait envie de s’aider de ce jouet, et le mit dans le cul d’Ayumi, tout en lui répondant sur le même ton :
« Petite pute… Je vais te déchirer ton vagin de salope… Mais je vais aussi m’attirer que ton petit cul ne soit pas jaloux… Tu mérites d’être baisée et enculée à la fois, comme pour n’importe quelle salope ! »
Elle enfonça le plug dans ses fesses, et lui donna ensuite une gifle sur le cul. Contrairement à Mélinda, Kaori ignorait qu’Ayumi n’aimait pas les sévices physiques, et, même dans ce cas, elle se disait que de simples claques sur les fesses ne pourraient pas lui faire trop mal, comparé à ce qu’elle allait lui mettre dans le vagin. Se concentrant, Kaori posa ses deux mains sur le bassin d’Ayumi, et enfonça son membre d’un coup sec en elle, tirant sur ses fesses pour que son sexe se glisse en profondeur en elle.
« Haaa ! Haaa, aaaah, PUTAIN DE BORDEL DE MERDE ! Hooooo !!! Si c’est bon, aaaah ! Allez, allez, hurle, HURLE ! Hurle ta souffrance, sale pute ! Montre-moi à quel point tu aimes qu’on te baise comme une salope ! »
Debout sur le lit, Ayumi la prenait avec force, la faisant glisser sur la couverture. Le lit se remit à craquer violemment, mais il était fort heureusement très solide. Un lit fait avec du bois massif, spécialement conçu pour ce genre d’ébats. Kaori n’y allait donc pas de main morte, giflant parfois le popotin d’Ayumi, afin de donner le rythme. Elle avait la plus grosse des érections qu’elle n’avait jamais eu. Son sexe la faisait énormément souffrir, une douleur insoutenable. Elle en serait devenue folle, et elle ne tarda pas à avoir un orgasme, ce qui ne l’empêcha pas de continuer à la prendre, poussant des râles et des cris de plaisir.
-
Tandis que la jeune esclave s'attendait à recevoir le sexe dressé de son amante en elle, celle-ci se leva pour se diriger vers un placard. Ayumi poussa un gémissement plaintif, qui devint vite un bref cris de surprise, avant de se changer en légère plainte de douleur lorsqu'elle sentit un objet entrer dans son anus non préparé. Mais la suite lui fit un peu peur quand même...
- Petite pute… Je vais te déchirer ton vagin de salope… Mais je vais aussi m’attirer que ton petit cul ne soit pas jaloux… Tu mérites d’être baisée et enculée à la fois, comme pour n’importe quelle salope !
Si le fait d'être traitée comme une salope ne pouvait lui faire que plaisir, que fallait-il comprendre par "déchirer" ? Elle n'eu malheureusement pas le temps de se pencher plus sur la question, car Kaori lui donna une violente claque sur le postérieur en la prenant violemment, lui arrachant un cris de douleur, ce qui n'arrêta pas son amante qui n'y allait pas de main morte et était de plus en plus violente.
- Haaa ! Haaa, aaaah, PUTAIN DE BORDEL DE MERDE ! Hooooo !!! Si c’est bon, aaaah ! Allez, allez, hurle, HURLE ! Hurle ta souffrance, sale pute ! Montre-moi à quel point tu aimes qu’on te baise comme une salope !
- HAAAAAAA !!! HAAAAAAA !!! HAAAAAAA !!! J'AI MAAAAAAL !!! HAAAAAAA !!! N-NOOOON !!! HAAAAAAA !!! HAAAAAAA !!!
Elle poussait de véritables hurlements de douleur, qui pouvaient être pris pour des cris de plaisir pour quiconque n'avait pas déjà subit ce genre de chose par le passé. Ou du moins, son bourreau continuait de la prendre intensément sans prendre en compte l'état d'esprit de la nageuse, ou du moins, celui de son intimité. Car entre les violents coups de reins, les claques qui rendaient son postérieur douloureux et le jouet qui martyrisait son petit puits secret et sérer, Ayumi avait la sensation d'être brutalisée par l'un des hommes de mains de ses parents, ce qui la plongeait dans une profonde terreur, au point de ne plus mouiller du tout, accentuant encore plus la douleur. Malgré l'antre des plaisir à sec, cela n'empêcha pas Kaori de jouir en elle, avant de continuer de plus belle. Ses cris finirent par diminuer, car la jeune soumise avait hurlée à s'en casser la voix et ses yeux se faisait plus vitreux, ruisselants de larmes. Elle qui pensait que les femmes étaient plus douces que les hommes, la désillusion se payait au prix fort. Car elle se faisait belle et bien brutalisée par une camarade de classe, qu'elle connaissait depuis pas mal de temps. Où du moins, qu'elle croyait connaître...
- Kaori... S-s'il te p-plaît... Ar... Arrête... Haaaaaa !!!
En réponse à sa supplique, une grande claque c'était abattue sur sa fesse droite, lui arrachant un autre cris de douleur... Sur le point de perdre connaissance, elle entendit la porte s'ouvrir brutalement. Ayumi n'eu pas envie de voir débarquer d'autres personnes, excitées par le bruit. Aussi ne regarda t-elle pas dans cette direction. Mais après un temps d'incertitude, elle sentit ses orifices se libérer enfin, mais l'air qui s'engouffra de nouveau lui fit souffrir le martyr sous les brulures causées par l'énorme membre et le jouet en plastique. Malgré sa faiblesse dû aux violents assauts, la lycéenne utilisa ses dernières forces pour se précipiter et se prostrée dans un coins sombre de la pièce, pleurant à chaudes larmes sans penser à regarder sa sauveuse. Une fois de plus, elle éprouvait le sentiment de vouloir mourir, de disparaître à jamais pour ne plus avoir à souffrir...
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Emportée par les feux de la passion, par le désir, Kaori était effectivement bien loin de se douter qu’Ayumi avait une « limite » à ne pas franchir. Elle y allait franco, et on en pouvait que difficilement le lui reprocher. Ayumi était un véritable festival ! Une salope comme on en faisait plus ! Elle avait complètement électrisé Kaori, et cette dernière voulait lui procurer autant de bonheur que possible, en s’occupant simultanément de ses deux trous. Elle la prenait comme une chienne, y ressentant là un plaisir jouissif, probablement le même que Mélinda devait ressentir quand elle prenait ainsi ses sujets. C’était tout simplement divin ! Ayumi avait un corps délicieux, et Kaori interprétait les hurlements de la femme comme de véritables cris de bonheur.
Comment aurait-elle pu se douter qu’elle était en train de la faire réellement souffrir ? Entre le plaisir et la douleur, dans le sexe, il n’y a qu’un pas à franchir. Et, maintenant qu’elle avait l’occasion de faire l’amour à une femme sans avoir sur les épaules l’ombre de sa Maîtresse, Kaori comptait bien y aller. Fort heureusement, les deux jeunes femmes étaient surveillées. Comme n’importe quelle pièce dans le manoir, il y avait un équipement de vidéosurveillance, et, quand les deux femmes avaient commencé à se faire des câlins, on avait immédiatement appelé la Maîtresse des lieux, qui s’était contentée d’observer.
Cependant, contrairement à Kaori, Mélinda, elle, était calme et réfléchie. Elle remarqua donc que la petite Ayumi éprouvait donc bien moins de plaisir. Connaissant les facultés spéciales de la jeune femme, ceci décida Mélinda à quitter son confortable lit douillet où deux esclaves massaient avec une tendresse infinie son corps en lui délivrant des baisers dans le cou, et sur les épaules. Elle enfila une robe, et y alla.
« Haaaannn ! s’exclamait pendant ce temps Kaori. Oh mon Dieu, ce que tu es bonne, ma petite pute ! »
Elle s’enfonça encore une fois en elle, allant au fond des choses, et s’abandonna à nouveau à l’orgasme. La porte s’ouvrit alors, et Kaori sursauta en voyant la silhouette de Mélinda.
« Maî... Maîtresse ?! » s’étonna-t-elle.
Soupirant, Mélinda poussa d’un coup sec Kaori, envoyant la jeune femme atterrir sur le sol, et retira le plug. Ayumi s’enfuit alors dans un coin, et se mit à pleurer. Sur le coup, Kaori ne comprit pas l’intervention de Mélinda. Avaient-elles fait trop de bruit ? Pourtant, les murs étaient très épais, et les pièces assez insonorisées... Ce ne fut que quand elle vit Ayumi s’enfuir pour pleurer que Kaori comprit. Elle rougit confusément, mais n’eut pas l’occasion de s’approcher d’Ayumi, car Mélinda s’agenouilla devant elle.
« Je...
- Tu n’as rien à te reprocher. C’est ma faute, reconnut Mélinda. J’avais sous-estimé les... Les capacités de notre chère Ayumi...
- Mais je ne voulais pas qu’elle pleure ! s’exclama Kaori. Ayumi, je...
- Shhhhht ! »
Mélinda posa un doigt sur les lèvres de Kaori, qui rougit confusément, avant de baisser les yeux. Elle avait mal au cœur. Elle avait fait souffrir l’une de ses amies ! Elle ferma les yeux, soupira longuement, et Mélinda choisit alors de tendrement l’embrasser.
« J’ai oublié de dire qu’Ayumi était plus sensible qu’elle n’y paraissait. Je crois que je vais la prendre avec moi. Elle a beau hurler, elle n’est qu’une petite bête qui a encore besoin d’être entraînée pour résister à tes ardeurs, Kaori... »
Un sourire poli éclaira les lèvres de Kaori, qui rougit toutefois légèrement sous ce compliment. Mélinda l’embrassa à nouveau, puis rejoignit Ayumi. Elle était dans un coin, et Mélinda fléchit les genoux devant elle, réfléchissant à la manière d’aborder cette jeune fille. Être esclavagiste, mine de rien, c’était savoir faire preuve de beaucoup de psychologie. Mélinda finit par approcher ses mains, et attrapa les joues d’Ayumi, la forçant à relever la tête pour la regarder, lui offrant la vision de ses hypnotiques yeux verts.
« Allons... A quoi rime cette crise, Ayumi ? Tu ne vas quand même pas me dire que je ressemble à tes parents, hein ? Je suis Mélinda, ton amie, ta Maîtresse, ta protectrice. Tu vois ? J’ai remarqué que le plaisir que tu éprouvais commençait à partir, et je suis intervenue pour te protéger. Là... »
Mélinda plaqua la tête d’Ayumi contre ses seins, l’embrassant sur les cheveux, caressant ses joues, son nez, et ses lèvres avec ses doigts.
« Tu as un gros chagrin, toi... Alors, puisque tu ne veux pas t’arrêter de pleurer, pleure donc, ma petite Ayumi. Laisse les larmes de ton corps partir. Allez, vas-y... Ne retiens pas ta douleur, laisse-là partir, afin que je te remplisse ensuite de bonheur. Tu as sacrifié ta liberté pour être heureuse, n’est-ce pas ? Alors, si je ne parviens pas à te rendre heureuse, c’est que je suis très mauvaise... Tu me trouves nulle, Ayumi, hum ? »
-
Ayumi pleurait toujours à chaudes larmes dans son coin sombre. Malgré que la sauterie se soit terminée depuis un moment, elle souffrait toujours... L'air qui passait ainsi sur les parties meurtries la brulait énormément. Elle sentie alors qu'on la prenait par les joues et se retrouva nez à nez avec Mélinda.
- Allons... A quoi rime cette crise, Ayumi ? Tu ne vas quand même pas me dire que je ressemble à tes parents, hein ? Je suis Mélinda, ton amie, ta Maîtresse, ta protectrice. Tu vois ? J’ai remarqué que le plaisir que tu éprouvais commençait à partir, et je suis intervenue pour te protéger. Là...
Alors que sa tête se retrouva plaquée contre la poitrine de sa maitresse vampirique, la jeune soumise émit quelques brides à travers ses pleurs.
- Mal... demandée... arrêter... mais toujours mal... me brûle... comme avant...
- Tu as un gros chagrin, toi... Alors, puisque tu ne veux pas t’arrêter de pleurer, pleure donc, ma petite Ayumi. Laisse les larmes de ton corps partir. Allez, vas-y... Ne retiens pas ta douleur, laisse-là partir, afin que je te remplisse ensuite de bonheur.
- Maî... tresse...
Et elle pleura un long moment, toutes les larmes de son corps y passant. Cela dura bien une bonne demi-heure... En même temps, c'était compréhensible. Pendant un instant qui lui avait paru être interminable, elle avait revécue une partie de son passé. On dit souvent que la douleur mélangé au plaisir peut être jouissif pour certaines personnes. Pas pour la sportive. Lorsque ce genre de chose lui arrivait, elle faisait abstraction du plaisir, pour ne laisser la place qu'à la douleur. La faute à son éducation brutale. De ce fait, la moindre gifle pouvait la plonger dans une terreur sans nom.
- Tu as sacrifié ta liberté pour être heureuse, n’est-ce pas ? Alors, si je ne parviens pas à te rendre heureuse, c’est que je suis très mauvaise... Tu me trouves nulle, Ayumi, hum ?
- Non... pas vous maitresse... pas vous...
Sous entendu que c'était Kaori qui était nul, très nul même, de ne pas avoir écoutée ses plaintes avec plus d'attention. Plusieurs fois elle lui avait demandée d'arrêter, qu'elle avait mal, mais en réponse à ses demandes, elle ne recevait que gifles et griffures. Et la peur l'avait submergée. Elle avait peur à présent et, une fois de plus, c'était la vampire qui lui était venue en aide... Elle n'avait pleinement confiance qu'en elle à présent... Mais elle avait toujours mal...
- Mon vagin... me brûle... j'ai mal... aux fesses aussi...
Par ailleur, on pouvait voir que certaines cicatrices de son passé c'étaient reouvertes sous les coups répétés de sa camarades...
-
Sur le lit, Kaori se faisait toute petite. Rouge de honte, elle hésitait entre s’auto-fustiger, ou critiquer Ayumi. Comment était-elle supposée savoir, elle, qu’Ayumi ne supportait pas qu’on la gifle, quand elle vous demandait qu’on la prenne comme une « salope » ? Kaori avait surtout peur que Mélinda ne décide de la punir pour avoir fait pleurer une esclave qui venait de débarquer, et, ne voulant pas aggraver sa situation, sachant combien Mélinda avait horreur que ses filles se disputent, elle préférait se taire... Un comportement assez raisonnable. Mélinda se moquait toutefois complètement de Kaori. Elle avait sous-estimé la tristesse et la souffrance d’Ayumi, et Mélinda s’en voulait pour ça. Dans son métier, être une bonne esclavagiste, c’était avant tout savoir preuve de psychologie. Et, vu ce qui se passait, c’était un beau zéro pointé pour l’instinct vampirique de Mélinda. Serrant tendrement Ayumi contre elle, elle embrassait son front, caressant avec une délicatesse infinie son dos.
« Mon vagin... me brûle... j'ai mal... aux fesses aussi... » parvint à lâcher Ayumi.
Mélinda se contenta d’un léger sourire, avant de lui répondre :
« Ça, ma petite perle, ce n’est pas tant lié aux gifles de Kaori qu’à ton insatiable appétit. Tu n’avais jamais eu une relation sexuelle avant aujourd’hui, et tu as fait l’amour à en effrayer des prostituées. Il est normal que ton corps soit un peu largué. C’est comme un lendemain de cuite, en quelque sorte... Tu as des courbatures, ton corps est fatigué, et tes organes ont été tellement malmenés qu’il te faudra au moins plusieurs jours pour ne plus avoir mal aux fesses quand tu les poseras quelque part. »
Terminant ses explications, Mélinda continua à bercer avec tendresse Ayumi, continuant à lui offrir quelques agréables baisers.
« Tu vas te recoucher, Ayumi... Avec moi... Mais je crois qu’on attendra un peu, pour de nouvelles galipettes. Et ne reproche pas trop à Kaori son comportement ; dans l’euphorie du sexe, elle a du oublier certains détails... Elle ne voulait pas te faire de mal. Personne ici ne veut te blesser. Tu es dans un nouveau foyer. Avec une nouvelle famille. Et cette nouvelle famille ne voudra jamais te faire de mal. »
Se taisant un peu, Mélinda continua à embrasser et à serrer contre elle Ayumi, prolongeant son câlin, avant de se relever, continuant à tenir Ayumi par les mains. La vampire parlait d’une voix douce et chaleureuse, presque maternelle. Mais c’était un peu ce dont Ayumi avait besoin, dans le fond : qu’on la mette en confiance, qu’elle se sente rassurée. Tous les humains fonctionnaient généralement sur ce même principe. Avoir une famille, des amis... Mélinda non plus, d’ailleurs, n’échappait pas à cette logique. Elle caressa les joues d’Ayumi en lui faisant un grand sourire, et l’embrassa sur les lèvres.
« Ça ne se reproduira plus... C’est aussi en partie de ma faute. J’ai oublié de dire à tes camarades à quel point tu es sensible. Ne t’en fais pas... »
En caressant le corps d’Ayumi, Mélinda avait senti que cette dernière avait des espèces de marques, des zébrures et des hématomes qui n’étaient pas liées aux gifles de Kaori... En tout cas, les petites mains inoffensives de Kaori ne pouvaient pas infliger de telles marques. Ayumi avait été torturée, de ce que Mélinda en savait. Elle continua à caresser le corps de la lycéenne, jusqu’à la faire sortir de la chambre. La laissant dans le couloir, Mélinda alla ensuite s’occuper de Kaori, qui était toujours sur le lit, n’osant plus rien dire. Mélinda s’entretint un peu avec elle, et l’embrassa. Elle lui expliqua que Kaori n’avait rien à se reprocher que sa fougue naturelle, et lui conseillait de s’endormir. Mélinda ne se faisait toutefois aucun doute ; Kaori avait bon fond, et sa conscience viendrait la persécuter pendant toute la durée de la nuit. Le sommeil aurait en ce sens bien du mal à venir. Mais bon, Mélinda ne pouvait pas non plus être à deux endroits à la fois, et Ayumi lui semblait être dans un état qui réclamait plus l’attention de Mélinda que Kaori.
Mélinda conduisit donc Ayumi dans sa chambre, et l’invita à s’allonger sur le ventre, afin que des masseuses viennent panser ses blessures à l’aide de pommades. Les masseuses n’étaient pas franchement ravies d’être réveillées en pleine nuit, mais contester un ordre de Mélinda était dur, et leurs expertes mains caressèrent le dos nu et les fesses d’Ayumi. Elles étaient relativement jeunes, soit des adolescentes, et massèrent avec dextérité le corps d’Ayumi. Elles venaient tout droit du harem de Mélinda au cœur de l’Empire d’Ashnard, et soignèrent le corps d’Ayumi, lui faisant un massage qui pouvait facilement l’emporter sur des îlots de douceur et de tendresse. Leurs mains étaient douces, leurs doigts légers et fins, et elles ne cherchaient nullement à exciter Ayumi, simplement à la masser et à aider son corps à se porter mieux.
Lorsque ce massage se termina, Mélinda vint s’asseoir sur le lit, à côté d’Ayumi, pour lui lancer :
« Tu te sens mieux, ma belle ? »
-
Comment dire... après de tels ébats, Ayumi souffrait littéralement le martyr... Ce n'est pas qu'elle était gourmande de sexe mais, sans mouille pour la lubrifier, le sexe de Kaori lui avait bruler les chairs internes, ce qui lui faisait vraiment mal. Pour autant, Mélinda ne semblait pas vraiment comprendre...
- Ça, ma petite perle, ce n’est pas tant lié aux gifles de Kaori qu’à ton insatiable appétit. Tu n’avais jamais eu une relation sexuelle avant aujourd’hui, et tu as fait l’amour à en effrayer des prostituées. Il est normal que ton corps soit un peu largué. C’est comme un lendemain de cuite, en quelque sorte... Tu as des courbatures, ton corps est fatigué, et tes organes ont été tellement malmenés qu’il te faudra au moins plusieurs jours pour ne plus avoir mal aux fesses quand tu les poseras quelque part. Tu vas te recoucher, Ayumi... Avec moi... Mais je crois qu’on attendra un peu, pour de nouvelles galipettes. Et ne reproche pas trop à Kaori son comportement ; dans l’euphorie du sexe, elle a du oublier certains détails... Elle ne voulait pas te faire de mal. Personne ici ne veut te blesser. Tu es dans un nouveau foyer. Avec une nouvelle famille. Et cette nouvelle famille ne voudra jamais te faire de mal.
Techniquement parlant, Ayumi avait déjà une certaine expérience sexuelle, même si c'était en tant que soumise et non consentit, soit des viols à répétition. Ses sanglots finirent par s'atténuer doucement, même si cela prenait du temps. Du sang coulait doucement de ses plaies rouverte et, même si elle avait mal, la nageuse se sentait en sécurité dans les bras de sa Maîtresse. Au bout d'un moment, elles finirent par se relever et Mélinda lui caressa tendrement la joue, avant de l'embrasser légèrement sur les lèvres.
- Ça ne se reproduira plus... C’est aussi en partie de ma faute. J’ai oublié de dire à tes camarades à quel point tu es sensible. Ne t’en fais pas...
Ayumi attendit ensuite brièvement dans le couloir, avant d'être conduite dans la chambre de sa Maîtresse. Celle-ci réveilla des masseuses, qui commencèrent à masser doucement et tendrement le corps meurtrit de la lycéenne, passant une crème rafraichissante sur ses plaies et l'apaisant. Le massage en lui-même dura bien trois quart d'heure et à la fin, mis à part les brulures de ses orifices sexuels, Ayumi se sentait bien mieux.
- Tu te sens mieux, ma belle ?
- Oui Maîtresse... Merci beaucoup, ajouta t-elle aux masseuses. Mais... ça me brûle encore... ici...
Rouge de honte, elle indiquait du doigt sa fente à sec, dont les lèvres étaient comme boursoufflées. En touchant légèrement, elle ressentit un éclair de douleur et, après quelques secondes, un filet de sang se mit à couler... Il n'y avait pas que ses plaies qui c'était rouverte... mais aussi ses parois vaginales...
-
Le massage fut visiblement efficace, et Mélinda congédia les masseuses en les remerciant. Ces dernières allaient sûrement aller s’écrouler dans leurs lits, vu qu’elles avaient été extirpées de ces derniers. Sur le lit, Mélinda contemplait sa nouvelle recrue. Ayumi. Sa passion pour les hermaphrodites avait amené la jeune fille à faire une surconsommation de sexe. Pour le coup, Mélinda ne se doutait que l’origine réelle des douleurs d’Ayumi venait de l’absence de plaisir total qu’elle avait ressenti sur la fin de ses ébats avec Kaori, mais elle le réaliserait bien vite. Juste avant que les masseuses ne se retirent, Ayumi lança :
« Oui Maîtresse... Merci beaucoup, mais... ça me brûle encore... ici... »
Confuse et gênée, Ayumi montrait du doigt son sexe. Mélinda regarda cette position en fronçant les sourcils. Ayumi vint effleurer son intimité, et frémit, son corps se tendant légèrement. Oui, ça avait effectivement l’air assez douloureux. Mélinda pencha sa tête vers cette partie de son anatomie, et vit des saignements.
« Ah, lâcha-t-elle en relevant la tête. Effectivement... »
Un massage ne servirait à rien. Son vagin avait l’air irrité. N’étant pas idiote, la vampire se doutait désormais plus ou moins de ce qui avait du se passer. Kaori était lente à démarrer, mais, une fois qu’elle était partie, elle ne se contrôlait plus. Sa pudeur naturelle s’étiolait, révélant une femme insatiable et forte. C’était cette passion qui animait Kaori qui avait fait souffrir Ayumi. Elle lui avait labouré le vagin alors que la peur avait remplacé le désir. Mélinda se releva donc, et s’approcha d’une porte dans un coin de la chambre. Elle alluma une lumière. C’était sa salle de bains personnelle, qui comprenait notamment un placard à pharmacie. Elle l’ouvrit, et farfouilla parmi plusieurs comprimés jusqu’à trouver la bonne boîte. Elle sortit deux comprimés, remplit un verre en plastique d’eau, et glissa les comprimés à l’intérieur. Ce faisant, Mélinda retourna vers la chambre, éteignant la lumière de la salle de bains, et se posa sur le rebord du lit, plaçant le verre sur la table de chevet.
« Ces comprimés atténueront un peu ta douleur, mais il n’y a pas grand-chose que je puisse faire. Il faut attendre que tes plaies cicatrisent. A moins que Kaori ne t’ait labouré l’intimité avec des pinces, ça devrait être guéri rapidement. Mais, en attendant, il faut éviter que ton sexe frotte avec quoi que ce soit qui puisse être susceptible de réveiller la douleur, que ce soit du tissu, ou même de l’eau. »
Mélinda lui fit un sourire qu’elle voulait rassurant, et tendit sa main pour caresser l’une des joues de Kaori. Comme elle comprenait cette petite... Elle-même avait connu ça, il y a bien longtemps. De cette caresse sur les joues, elle en vint à prendre Ayumi dans ses bras, et à lui faire un câlin. Un gros câlin en pressant ses bras dans son dos et en serrant, caressant ses cheveux.
« Ne t’en fais pas, Ayumi, je vais m’occuper de ça. Je vais me débrouiller pour que tu ne puisses ressentir rien d’autre que du plaisir quand on te pénètre par là, car je ne laisserai personne te faire du mal. »
Ce n’était pas une parole en l’air. Ça faisait partie du contrat. De cet accord implicite entre l’esclave et Mélinda. En échange de la servitude, Mélinda s’engageait à bien des choses. Et elle avait déjà des idées pour aider Ayumi à se sentir mieux dans les mois à venir. De ce qu’elle avait pu en voir, la soif de sexe d’Ayumi était grande, bien trop grande pour que son corps arrive à suivre la cadence... Pour le moment, du moins. Mais, fort heureusement, il existait sur Terra des substances et autres produits qui étaient éventuellement capables de résoudre ce fâcheux problème.
-
- Ah. Effectivement...
Soucieuse, la nageuse regarda sa Maîtresse se relever et se diriger vers une armoire à pharmacie, avant de revenir avec un verre d'eau et deux comprimés. Pour le coup, Ayumi ne compris pas tout de suite comment deux médicaments pourraient bien stopper ses saignements vaginal...
- Ces comprimés atténueront un peu ta douleur, mais il n’y a pas grand-chose que je puisse faire. Il faut attendre que tes plaies cicatrisent. A moins que Kaori ne t’ait labouré l’intimité avec des pinces, ça devrait être guéri rapidement. Mais, en attendant, il faut éviter que ton sexe frotte avec quoi que ce soit qui puisse être susceptible de réveiller la douleur, que ce soit du tissu, ou même de l’eau.
Soit : pas de sexe, pas de natation et, surtout, pas de vêtements. En d'autre termes, Mélinda lui demandait de rester nue sans pratiquer ses activités favorites. Ce sera dure, mais pas insurmontable. Non en fait, le plus dur sera de soutenir le regard des autres, pendant son naturisme forcé. A moins que sa nouvelle Maîtresse ne décrète une journée de nudisme pour la soutenir, Ayumi risquerait d'être mal à l'aise une bonne partie de son "repos forcé". Bien vite, la petite nageuse se retrouva dans un gros câlin affectueux.
- Ne t’en fais pas, Ayumi, je vais m’occuper de ça. Je vais me débrouiller pour que tu ne puisses ressentir rien d’autre que du plaisir quand on te pénètre par là, car je ne laisserai personne te faire du mal.
La lycéenne l'espérait de tout cœur. Si il existait en effet un produit, une crème, capable de soulager son intimité et même d'augmenter le plaisir ressentit, elle était preneuse. C'est donc dans une tendre étreinte et de douces caresses, destinées non pas à l'exciter mais à la détendre, que Ayumi finit par se rendormir...
Le lendemain, Ayumi se réveilla dans un lit vide. Malgré les comprimés prit la veille, elle ressentait toujours de la douleur entre ses jambes, seulement en touchant du bout des doigts. Rien que le fait d'imaginer se balader la vulve à l'air devant tout le monde, la faisait déjà rougir de honte... Doucement, elle sortit hors de la chambre complétement nue et arpenta le couloir, sans croiser âme qui vive, se cachant un peu à chaque angle de mur.
- Maîtresse... Kaori... ?
Mais où étaient elles toutes passées ?
-
Mélinda y réfléchit toute la nuit, après avoir bordé Ayumi, et l’aidé à s’endormir. La nageuse s’endormit heureusement assez rapidement sous les tendres caresses de sa Maîtresse. Mélinda, elle, comme à son habitude, dormit peu. Très peu, même. Voire même pas du tout. Elle resta allongée dans son confortable lit, réfléchissant. Elle avait une nouvelle esclave, et cette dernière était, sexuellement parlant, affamée. A tel point qu’elle s’en était déchirée ses parois intimes. Elle allait avoir légèrement mal demain. A chaque fois qu’elle avancerait, et que ses cuisses se frotteraient, elle en ressentirait des démangeaisons. Même si elle portait une robe très large, le tissu reviendrait sûrement irriter à nouveau son sexe. Dans ces conditions, elle allait sans doute devoir se déplacer nue...
*Il faut que j’arrive à l’intégrer... Et que Kaori se réconcilie... Elle est tellement susceptible, cette petite, qu’elle risque de bouder toute la semaine...*
Et, dans les ronflements de la nuit, dans les soupirs d’une Ayumi profondément endormie, Mélinda finit par avoir une idée. Farfelue, complètement déjantée. Une idée qu’elle analysa soigneusement, l’abandonnant pour mieux y revenir. Demain, il n’y avait pas cours. Beaucoup des lycéennes allaient donc rester au manoir, surtout que la météo avait prévu un temps maussade. Il y avait amplement de quoi s’occuper au manoir. Et Ayumi n’allait pas non plus rester dans une chambre, seule, toute la journée.
*Et puis, pourquoi pas, dans le fond ? C’est complètement délirant, mais ça peut marcher...*
Devant se remettre de ses émotions, Ayumi dormit longuement. Aux premières lueurs de l’aube, Mélinda la laissa pour aller voir Kaori. La lycéenne dormait également, mais d’un sommeil bien plus léger. Elle avait probablement eu du mal à trouver le sommeil, et Mélinda la réveilla sans trop de difficulté, et lui exposa son idée. Kaori se demanda pendant un temps si elle ne plaisantait pas, mais elle savait que sa Maîtresse ne la réveillerait pas pour plaisanter. Son plan était sérieux, et Kaori finit également par y réfléchir sérieusement... Et donna son aval. Ce fut tout ce dont Mélinda avait besoin pour passer aux choses sérieuses, et montrer à Ayumi une notion indispensable dans le manoir de Mélinda : la solidarité. Chaque esclave devait pouvoir compter sur les autres, et ne jamais les craindre. C’était d’ailleurs, de manière plus générale, l’un des fondements de l’esclavagisme. Un esclave se rapprochait toujours d’autres esclaves face à l’esclavagiste, tels les pauvres se réunissant entre eux. Ils faisaient ça par survie, par nécessité, à cause de la peur, et, chez Mélinda, c’était aussi par amour. Son entreprise était une équipe qui se devait d’être soudée, et, même si ça n’empêchait parfois pas les dissensions, les scènes et les crises de jalousie, ainsi que les inévitables commérages, ça permettait d’avoir une bonne ambiance.
Ayumi fut probablement la dernière à se réveiller, et avança dans des couloirs déserts. Les portes étaient entrouvertes, montrant des chambres vides, la lumière s’échappant depuis des fenêtres dans lesdites pièces, ou depuis des vitres au fond des couloirs. Mélinda la sentait venir, descendant lentement les escaliers en bois, s’appuyant probablement à la rambarde, vers le salon principal. C’était une grande pièce avec une cheminée énorme, des fauteuils, des lustres énormes, et de grandes fenêtres avec des rideaux rouges. La table à manger était là, ressemblant à un long rectangle avec, au fond, Mélinda. Une odeur de petit-déjeuner s’échappait de la pièce. Une odeur de chocolat chaud, de viennoiseries. Assise sur un grand fauteuil avec un gros coussin pour amortir ses fesses, Mélinda trempait un croissant dans un grand bol de chocolat chaud, et mordait dedans.
Derrière l’une des portes menant au salon, dans l’escalier en bois, Ayumi s’apprêtait à descendre quand elle dut entendre des planches en bois craquer derrière elle.
« Ayumi ? s’exclama la voix reconnaissable de Kaori. Je... Je suis désolée pour... Pour hier... »
Tout en parlant, elle s’était aventurée dans le couloir, et Ayumi pouvait ainsi voir qu’elle était toute nue. Intégralement nue, de la tête aux pieds.
« Tu... Tu me pardonnes ? » s’enquit-elle.
-
Ayumi marchait plus ou moins silencieusement, entre ses appels apeurés et ses gémissements de douleurs, dans ce manoir aussi désert... que le Sahara. Elle se demandait où avaient bien pu passer toutes les pensionnaires du bâtiment et surtout, la maîtresse des lieux. M'enfin, elles étaient bien quelque part, non ? Mais alors que la nageuse s'apprêtait à descendre les marches d'un grand escalier, une voix qu'elle connaissait très bien l'interpella juste derrière elle, précédé du craquement du parquet...
- Ayumi ? Je... Je suis désolée pour... Pour hier...
A vrai dire, Ayumi redoutait un peu se face à face, même si elle était encore de dos. Bien sûr, elle avait eu peur sur le moment et pourtant, elle connaissait Kaori en cour et savais pertinemment qu'elle ne ferais pas de mal à une mouche en temps normal. Seulement voilà, notre petite sirène est du genre craintive et avait peur de la réaction de sa camarade. Lentement, elle se retourna pour lui faire face... et ce qu'elle vit la surprit.
- Tu... Tu me pardonnes ?
Sans doute avait-elle anticipée le fait qu'elle aurait mal à son intimité pendant un moment, ou en avait-elle parlée à leur Maîtresse commune... Quoi qu'il en soit, son amie était aussi peu vêtue qu'elle, et peut être était-ce le cas de toutes les filles de cette demeure... par solidarité ? Dans tout les cas, Ayumi était touchée. Elle s'approcha de Kaori et hésita un instant, avant de lui prendre timidement la main... ce qui équivalait pour elle à un câlin-coupine.
- ... Ou... Oui...
Chassez le naturel, il revient au galop. Si Ayumi ne faisait pas l'amour intensément avec une futanari, elle était aussi coincée qu'une sainte. Elle lui fit néanmoins un très petit sourire, pour lui montrer qu'elle le pensait sincèrement, avant de finalement descendre les marche sans lâcher son amie futa. Lorsqu'elle entra dans le salon, elle vit enfin sa Maîtresse nue, assise tout au bout d'une table, avec un chocolat chaud et des croissants. Un peu plus loin dans une luxueuse banquette, Clara et d'autres lycéennes se déchainaient sur une console de jeu, également en tenue d'Eve. Que toutes se mettent à pratiquer une séance de naturisme pour la soutenir dans sa douleur lui fit chaud au cœur. En plus, cela n'avait pas vraiment l'air de les gêner, bien au contraire... Enfin, vi que deux des lycéennes câlinaient plus que de raison une Neko rouge pivoine et la caressait à des endroits peu orthodoxes. Ramenant son regard vers Mélinda, elle la salua.
- O... Ohayo... Maîtresse... Et merci...
Remerciement autant pour le soutient que pour les soins... Même si elle avait encore un peu mal, quelque chose lui disait tout de même que ça ne pouvait que s'arranger... et même plus...
Dehors, la pluie se mit soudainement à tomber drue et plusieurs des filles se mirent à râler contre le mauvais temps. Ayumi au contraire, soupira de bien être. La pluie avait l'avantage de l'apaiser lorsque ça n'allait pas. Après tout, c'était de l'eau... C'est dans cet état d'esprit qu'elle vint s'assoir à coté de la vampire et prit un croissant elle aussi.
-
« ... Ou... Oui... »
Ayumi semblait être ainsi, et Kaori se fit mentalement une raison. Une jeune fille extrêmement timide, extrêmement renfermée, qui ne pouvait laisser parler sa combativité et sa rage naturelle que quand elle faisait sauvagement l’amour. Cependant, Kaori ne s’y ferait pas reprendre à deux fois. La prochaine fois (car il y aurait une prochaine fois, n’en doutons pas), elle essaiera de mieux se contrôler. Elle savait qu’elle avait fait mal à Ayumi, et ça l’avait sérieusement empêché de dormir. Sa conscience la démangeait, l’attaquait comme une espèce de cancer nocif, et voir qu’Ayumi ne lui en tenait pas rigueur soulagea du coup beaucoup Kaori. La lycéenne en sourit, plus émue qu’elle ne voulait l’admettre, et conserva dans sa main pendant quelques secondes celle d’Ayumi.
« Super ! Bon, il est temps d’aller manger... »
Inutile de trop parler sentiments avec Ayumi, elle était trop timide pour se le permettre. Kaori le savait, et se sentait bien plus guillerette maintenant. Elle fut la première à descendre, ouvrant grand les portes menant au grand salon. Dans l’escalier, les arômes du petit-déjeuner s’échappaient avec délice. Le grand salon avait les rideaux rouges fermés, donnant une impression nocturne, impression amplifiée par les lustres allumés et les feux de cheminées. Une tempête menaçait dehors. Même à Seikusu, la pluie existait.
Ayumi dut donc vite comprendre le cadeau de Mélinda : lui offrir la possibilité de ne pas devoir se promener seule nue. Toutes les autres écopaient du même traitement, Mélinda y compris. Une journée naturiste, en somme, et qui permettrait à Ayumi, non seulement de panser ses blessures, mais aussi de réfléchir à son avenir. A son avenir au sein du harem, car les réflexions de Mélinda n’avaient pas porter que sur la tenue ou pas d’une journée naturiste dans son harem. Une telle décision avait été, malgré les surprises et les hésitations, plutôt bien appréciée par les esclaves de Mélinda. Elles y voyaient là une espèce de changement original à la routine. Naturellement, tous ces corps nus réveillaient sans trop de difficulté bien des libidos enfouies. De toutes, Liana était sans doute la plus heureuse, puisqu’elle enchaînait câlins sur câlins de la part des résidentes. Mélinda pouvait sentir son état d’excitation à travers son sang, et elle observait ainsi, pensivement, ses pensionnaires, lorsqu’Ayumi se posta près d’elle. Elle parla d’une voix mal assurée, gênée, mais comme si elle avait un poids hors des épaules. Il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre de quoi il s’agissait.
« O... Ohayo... Maîtresse... Et merci... »
La vampire haussa les épaules, et mordit dans un croissant trempé, avant de lui répondre :
« Il n’y a pas de quoi, Ayumi. Tu tombes bien, je voulais te parler. »
Mélinda aurait pu présenter le sujet, faire des détours, mais elle choisit d’aller droit au but, sans oublier toutefois le sens des convenances :
« Installe-toi et mange. J’espère que tu as bien dormi. »
Elle laissa ensuite un petit moment de silence planer, et glissa :
« J’ai bien réfléchi, et j’ai une proposition à te faire. Je peux t’offrir le cadeau que j’ai fait à Kaori, et même plus encore. Je peux faire de toi une hermaphrodite. Est-ce que ça te tenterait ? »
Pendant ce temps, dans un coin du salon, l’une des esclaves de Mélinda, une hermaphrodite, était en train de silencieusement pénétrer contre le mur une autre esclave, qui se tortillait et se cambrait de plaisir. Voilà qui témoignait on ne peut mieux de l’ambiance particulièrement relâchée du manoir.
-
- Il n’y a pas de quoi, Ayumi. Tu tombes bien, je voulais te parler. Installe-toi et mange. J’espère que tu as bien dormi.
Ayumi ne se fit pas prier et s'installa pour commencer à manger, trempant un croissant dans son chocolat chaud et l'amener à sa bouche. Après tout, qui peut résister à une viennoiserie chaude et à un chocolat agréablement odorant ? Tout en mastiquant avec délice, elle observa tour à tour Kaori qui s'asseyait devant elle et Mélinda assise à sa droite.
- J’ai bien réfléchi, et j’ai une proposition à te faire. Je peux t’offrir le cadeau que j’ai fait à Kaori, et même plus encore. Je peux faire de toi une hermaphrodite. Est-ce que ça te tenterait ?
Si la jeune nageuse ne répondit pas tout de suite, on pouvait néanmoins voir des étoiles s'illuminer dans ses yeux. Devenir une hermaphrodite... Comme sa Maîtresse, comme Kaori, comme la fille qui en pénétrait une autre un peu plus loin, dont les gémissements de plaisir, de plus en plus profond, commençaient à agir sur les autres pensionnaires qui se regardaient entre elles avec des lueurs d'envie dans le regard, et qui commençait aussi à faire mouiller Ayumi sous la table, sa cyprine goutant sur le sol. C'était son rêve de toujours, sur lequel la jeune fille fantasmait depuis un moment déjà. Regardant son amie, la lycéenne vit le visage de Kaori rouge d'excitation et sans doute était-elle également dans le même état.
- Haaaan.... Haaaan... Ouiiii... Baise-moi fort... Haaaaan...Plus fooooort... Haaaa... Haaaa... Haaaa...
La fille qui se faisait prendre contre le mur était déjà dans tout ses états, alors que les autres se doigtaient entre elles.
- Oui... Maîtresse... J'aimerais bien... en devenir une... Mais... ?
La question était informulée, mais il était évident qu'elle s'interrogeait sur le " même plus encore". De quoi sa Maîtresse voulait-elle parler ?
-
La proposition fit mouche. Mélinda eut un léger sourire en voyant le regard fiévreux d’Ayumi. Devenir une hermaphrodite... L’idée faisait son petit bout de chemin. La nageuse semblait envisager toutes les possibilités, et le silence ne fut plus entrecoupé que par les deux femmes en train de se faire l’amour. La vampire n’allait nullement interdire ce spectacle. Le sexe était son pilier, et, après tout, elles formaient un beau paysage, ces deux femmes. La pénétrée était une heureuse lycéenne, et l’autre l’une des esclaves endurcies du harem, une femme d’expérience, qui prenait également plutôt bien son pied. La lycéenne était plaquée contre le mur, yeux clos, soupirant et laissant son bonheur s’exprimer. Une invitation à la perversion, tout simplement. Ni plus, ni moins. On saliverait presque à les regarder, et les deux femmes à côté d’elle salivaient, d’ailleurs. Kaori leur jetait des regards nerveux et assoiffés, frottant lentement ses cuisses l’une contre l’autre, et Ayumi essayait de se contenir. Avec un sourire, Mélinda trempa à nouveau son croissant, et mordit dedans.
« Oui... Maîtresse... J'aimerais bien... en devenir une... Mais... ? »
Ayumi reprenait peu à peu contenance, et Mélinda savait entièrement ce que ce « mais » signifiait. La nageuse avait clairement entendu le « même plus encore », et sa curiosité était donc normale. Mais, pour autant, la vampire ne comptait pas lui répondre tout de suite. Un léger sourire sur les lèvres, la vampire conserva un air énigmatique, et ne répondit pas sur le coup. Autant laisser Ayumi mariner un peu et se poser des questions. S’humectant les lèvres, la vampire haussa alors le ton, s’adressant aux deux femmes qui étaient en train de se de faire tendrement l’amour.
Il se dégageait en effet de ces deux femmes un charme certain, une sensualité qui se répandait dans toute la pièce. La bouche de la prostituée, Tisha, était perdue dans le cou de l’heureuse lycéenne, Hikari. Hikari était heureuse, et ses mains, quand elles n’étaient pas écrasées contre le mur par celles de Tisha, allaient se tendre pour caresser le dos ferme et envoûtant de Tisha, glissant jusqu’à ses fesses solides pour les empoigner, les griffer, les pincer. Mélinda en aurait presque eu honte d’interrompre un tel spectacle, mais lâcha tout de même :
« Tisha ! Hikari ! Venez ici ! »
Surprises, les deux femmes s’arrêtèrent en se regardant timidement, nerveuses, mais non moins excitées et tremblantes. La cyprine coulait des jambes d’Hikari, formant une délicate cascade ondulée sur ses longues et belles jambes. La Maîtresse avait formulé un ordre direct, un ordre auquel on ne saurait déroger. Les deux femmes s’avancèrent donc lentement, traversant la pièce, sous le regard séduit des autres femmes. Certaines s’embrassaient et se caressaient volontiers, dans une délicate et chaude ambiance propice à une petite orgie. Difficile de contrôler les hormones de toute une bande de lycéennes et de prostituées.
Mélinda parla rapidement, sans vraiment laisser le temps à Hikari et à Tisha de dire quoi que ce soit :
« Allongez-vous sur la table, et... Continuez vos activités. Un tel spectacle se doit d’être aux premières loges. »
Hikari rougit furieusement, jetant des regards timides à droite et à gauche. La perspective de faire l’amour en public semblait déclencher en elle de lointains fantasmes refoulés, des désirs secrets et inavoués qui allaient se réveiller. Tisha fut la première à agir. Elle se redressa, se mettant la première debout sur la table, et fit signe à Hikari de la suivre. La lycéenne, une belle petite blonde, hésita brièvement, regardant à droite et à gauche, et regarda Mélinda, y cherchant l’assentiment et la force nécessaire pour finalement la rejoindre. Les deux femmes s’avancèrent ensuite le long de la table, avec le sexe tendu de Tisha, une queue bien rouge qu’on n’avait envie qu’une seule chose : sucer. La manière dont Tisha marchait, lentement, sensuellement, était un ode au plaisir. Elle était l’une des plus talentueuses dames de charme du harem, qui avait sa propre chambre, sa propre réputation. Elle venait au manoir en vacances. Un modèle à suivre pour bien des femmes. Faire l’amour en public ne la dérangeait pas, et elle avait une expérience sexuelle qui aurait fait pâlir une Déesse des plaisirs charnels.
Hikari s’allongea sur le ventre, sa tête à proximité de celle de Mélinda, et Tisha, avec un sourire espiègle sur les lèvres, retourna la pénétrer, son sexe étant presque sous les yeux d’Ayumi. Elle était ainsi aux premières loges pour voir ces deux corps en sueur se pénétrer lentement, fermement, avec une tendresse et un charme infinis. Elles s’embrassaient mutuellement, soupiraient, se caressaient, dans une longue étreinte. Les mains de la vampire se tendirent pour caresser les cheveux bouclés des deux femmes, et Kaori la regardait avec un air de pitié dans les yeux. Mélinda ne disant rien, la lycéenne se mordilla les lèvres, puis finit par se redresser, se penchant sur la table, et embrassa les fesses de Tisha, les pétrissant et les serrant. La femme avait une longue chevelure nouée en une délicate tresse qui lui arrivait jusqu’aux fesses.
Mélinda tourna alors sa tête vers la brave Ayumi, et lâcha :
« Je peux appliquer sur tes zones érogènes un produit aphrodisiaque qui accoisera le plaisir que tu y ressentiras, à tel point que tu ne seras plus jamais capable de souffrir comme tu le fais en ce moment. Le simple fait de pénétrer quelque chose dans ton vagin, que tu sois excitée ou non, te procurera un plaisir immense. Même uriner te procurera un bonheur intense. Voilà mes cadeaux, Ayumi, la perspective de faire de toi une femme sexuelle parfaite qui pourra sans problème rattraper ses années de retard dans ce domaine. »
L’offre était plutôt tentante, selon Mélinda. Elle roulait rarement ses propres protégées.
-
Il était difficile pour Ayumi de rester concentrée sur la conversation avec la maîtresse, avec les hurlements et les soupirs de plaisir au fond de la pièce. La nageuse se sentait mouiller délicatement sur sa chaise, alors qu'en face d'elle, Kaori se caressait doucement en haletant. La situation dégénérais lentement, car si la nageuse était excitée, elle ne pouvait pas se toucher l'intimité sous peine d'en souffrir... Et son calvaire ne faisait que commencer...
- Tisha ! Hikari ! Venez ici !
Les deux jeunes filles qui se faisaient mutuellement plaisir sous les regards des autres finirent par venir près de la table, légèrement gênées et leurs corps en sueurs. Le membre tendu de l'ainée luisait de mouille.
- Allongez-vous sur la table, et... Continuez vos activités. Un tel spectacle se doit d’être aux premières loges.
Si Hikari était un peu gênée, plus excitée, Ayumi elle, ne savait plus où poser les yeux. La lycéenne et la prostituée continuèrent avec joie leurs ébats sur la table, pendant que le reste des filles se laissaient de plus en plus aller, certaine s'embrassant fiévreusement en se caressant, d'autres déjà en 69 ou en ciseaux. Cette journée "naturiste" devenait d'avantage une "orgie journalière" qu'autre chose. Mélinda se pencha sur la lycéenne pour l'embrasser tendrement, pendant que, n'y tenant plus, Kaori se jeta pratiquement sur les fesses de la jeune femme pour y déposer de nombreux suçons. Le sexe dur comme le roc de la dénommée Tisha glissait sans peine dans cette antre humide, le nectar d'Hikari cascadant sur la surface du bois sombre. Les halètements et les soupirs de plaisir emplissaient sensuellement la pièce et la nageuse fini par rouler ses tétons entre ses doigts, les tirants et massant sa poitrine en salivant doucement sur celle-ci, les yeux dans le vague. Mais après plusieurs minutes, sa Maîtresse fini par lui répondre.
- Je peux appliquer sur tes zones érogènes un produit aphrodisiaque qui accoisera le plaisir que tu y ressentiras, à tel point que tu ne seras plus jamais capable de souffrir comme tu le fais en ce moment. Le simple fait de pénétrer quelque chose dans ton vagin, que tu sois excitée ou non, te procurera un plaisir immense. Même uriner te procurera un bonheur intense. Voilà mes cadeaux, Ayumi, la perspective de faire de toi une femme sexuelle parfaite qui pourra sans problème rattraper ses années de retard dans ce domaine.
Soit devenir une véritable petite esclave pour sa Maîtresse et ses copines. Et en prime, elle ne pourra plus jamais avoir mal et elle aurait même droit à un pénis. Elle s'imaginait déjà hurler de plaisir sous les coups de reins de Kaori, pendant qu'elle avait droit au vit de Tisha dans son petit puits secret et celui de sa Maîtresse dans la gorge. Ayumi imagina un orgasme commun et les litres de semence en elle et sur elles, et en eu un geyser de cyprine sur sa chaise au moment où elle tirait sur ses deux tétons en même temps. Reprenant son souffle, elle regarda fiévreusement Mélinda, la langue pendante hors de sa bouche et pleine de salive.
- Haaaaa.... Haaaaa.... Haaaaa.... Je veux.... Haaaaa.... Haaaaa.... Maîtresse.... Haaaaa.... Haaaaa.... Je veux devenir.... Haaaaa.... Haaaaa.... Une vraie petite.... Haaaaa.... Haaaaa.... Salope.... Haaaaa.... Haaaaa.... Infatigable et.... Haaaaa.... Haaaaa.... Sensible.... Haaaaa.... Haaaaa.... Haaaaa.... Aussi vite que.... Haaaaa.... Haaaaa.... Possible.... Haaaaa.... Haaaaa....
Adieu la timide et bonjour la nympho. L'ambiance de ce salon avait eu raison de ses barrières mentales. Ayumi n'avait plus qu'une idée en tête : Avoir ce long sexe masculin pour pouvoir jouir des litres et des litres de sperme tout en se faisant prendre en même temps. De ce fait, mieux valait le greffer au dessus de son vagin plutôt qu'à l'intérieur, comme son amie et la vampire. Avisant Kaori, la nageuse vit que la matraque de celle-ci était sortie et se ballançait doucement. Après avoir entendue la réponse de Mélinda, elle se précipita sous la table et ressortit la tête de l'autre coté pour embrasser le sexe de son amie.
- Kaori.... Haaaaa.... Haaaaa.... Laisse moi gouter.... Haaaaa.... Haaaaa.... A ta bite.... Haaaaa.... Haaaaa....
Et sans un mot de plus, elle prit le barreau de chair en bouche, le léchant et le suçant comme une grosse sucette à la vanille, s'amusant à faire le tour du gland avec sa langue avec une gourmandise non feinte. Elle laissait s'échapper de doux gémissements de plaisir en laissant la salive couler sur ses seins, la cyprine coulant à flot entre ses cuisses...
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La journée naturiste dérivait lentement. C’était inévitable, et ça ne gênait pas énormément Mélinda. Ses petites protégées s’amusaient, et Ayumi ne pouvait rester de marbre. Ses barrières cédaient progressivement, et son sang se mit une nouvelle fois à bouillonner dans ses veines. Furieux et excité, il se lâcha, et Ayumi la timide laissa place à Ayumi la perverse. Elle se touchait les seins, ne pouvant pas se caresser intimement sans se faire mal. Avec un léger sourire amusé, Mélinda se dit qu’elle devait souffrir. Elle baignait dans une douce scène de sexe, et, visiblement, la perspective de bénéficier d’un sexe masculin, et de voir ses zones érogènes amplifiées ne la laissait pas de marbre, comme elle le prouva en ayant un orgasme. En haletant, elle lui parla alors, confirmant ses désirs de devenir une véritable « salope », et ce dans les plus brefs délais. Méinda la rassura alors :
« Je vais prendre rendez-vous. Avec un peu de chance, dès demain, tu deviendras, comme Kaori, une hermaphrodite. »
Il lui suffisait juste d’aller informer sa secrétaire. Cette dernière se chargerait d’aller voir les alchimistes ashnardiens. Comme il s’agissait d’une simple opération, il ne serait pas trop difficile de trouver un spécialiste. Il n’était pas la peine d’aller jusqu’à Tekhos, comme Mélinda comptait le faire pour Theorem. Ce dernier devait être en train de se reposer, avec sa cagoule sur la tête. Il y avait, entre la Terre et Terra, un léger décalage horaire. Mélinda vit ensuite Ayumi disparaître sous la table, afin de se mettre du côté de Kaori, et elle les laissa faire, continuant à manger ses croissants. Bien que ce spectacle l’émoustillait, la vampire savait se contrôler. Elle ne dirigerait pas un harem, autrement.
Ayumi ressortit près de Kaori, et alla prendre son sexe en bouche. Surprise, Kaori se détourna de Tisha et d’Hikari, qui étaient de toute façon déjà très occupées entre elles, et se laissa tomber sur le sol. Kaori se retira de la table, finissant debout devant Ayumi. Le membre de Kaori était dur et solide, car elle était très excitée. Elle tendit ses mains, et empoigna la tête de la Sirène. Au-delà du simple plaisir sexuel, la lycéenne était heureuse de voir que son amie ne lui en voulait pas pour ses débordements nocturnes. C’était surtout ça qui renforçait son érection, et qui l’amenait à pilonner à son tour la bouche de cette belle créature, enfonçant sa queue bien loin dans sa bouche, afin de lui offrir quelques réconfortantes gorges profondes.
« Là... Là, oui, haaa, hummm... Suce, suce, suce, petite pute !! » s’exclamait Kaori.
Mélinda termina son croissant, et se redressa. Elle offrit un dernier baiser à Hikari, qui en était à son troisième orgasme, sans que Tisha ne se soit encore lâchée en elle. Faire l’amour avec l’une des dames de charme du harem était un exercice difficile et épuisant. Hikari allait pouvoir dormir toute la journée quand Tisha en aurait fini avec elle. La table craquait lentement sous leurs ébats, et Hikari gémissait faiblement. Mélinda s’avança vers Kaori et Ayumi. A genoux, Ayumi la suçait avec passion et avec une frénésie honorables. Mélinda se serait bien permise de s’amuser avec elles, mais il fallait rester professionnel. Au lieu de ça, elle se glissa dans le dos de Kaori, et caressa ses hanches, avec lenteur et douceur, tout en allant lui baiser le cou.
« Haaaa... Haaa, Maî... Maîtresse, haaan... »
Mélinda alla lécher sa joue, sentant ses motivations s’effondrer. Après tout... Oui, elle pouvait bien s’accorder cinq minutes. Elle glissa ses mains, et les posa sur les seins de Kaori, les pressant lentement, tirant sur les tétons. Kaori gémissait, et Mélinda tapait contre les fesses de son esclave avec son bassin.
« Ne jouis pas, Kaori... Laisse Ayumi profiter de sa sucette aussi longtemps que possible...
- Haaaaaaa... Haaaaannn, oui, ouiiii, Maî...
- Je veux que tu sois bien chaude, Kaori, bien excitée, que ton sang soit... Juteux...
- Haaaaaaa... »
Mélinda alla embrasser sa nuque, léchant sa peau, et alla poser une main sur ses fesses, la serrant. Mélinda était aussi excitée par ce qui avait lieu autour d’elle, et elle ferma lentement les yeux, serrant les dents... Avant que son sexe ne pointe. Son pénis sortit de son vagin, et tapa contre le cul de Kaori, qui en gémit. Avec un sourire, Mélinda alla enfoncer l’un de ses doigts dans le fondement de son esclave, remuant son doigt, avant de se mettre sur le côté. Ses crocs étaient sortis, ses canines pointant entre ses lèvres. Kaori en trembla sur place, comprenant que Mélinda allait lui mordre le cou, et elle alla l’embrasser, fiévreuse. Pendant ce temps, l’autre main de Mélinda, soit celle qui n’était pas en train de jouer dans ses fesses, alla caresser l’estomac de son esclave.
La vampire retourna ensuite dans son dos, et la pénétra par l’arrière, tout en plantant ses canines dans le cou de Kaori. Elle se mit alors à boire, tout simplement.
-
Avoir la bite bien dure d'une fille en bouche, une amie qui plus est, rendait Ayumi très heureuse. Se retrouvant à genoux devant elle, la nageuse s'évertua à sucer cette belle queue avec gourmandise, faisant passer sa petite langue partout, autant sur le gland gonflé de plaisir que le long du phallus. Elle n'en oublia pas de glisser un doigt dans l'espace inoccupé de son vagin afin de caresser ses douces parois intimes. Excitée, Kaori commença à lui baiser la bouche jusqu'à la prendre en gorge profonde, jusqu'à la glotte. Les yeux de la lycéenne se révulsèrent alors, tant le plaisir était grand.
- Là... Là, oui, haaa, hummm... Suce, suce, suce, petite pute !!
- Hmmmmmm !!!!
Bien qu'étouffés par son sexe, ses doux gémissements étaient parfaitement audibles. Tantôt elle suçait le membre avec avidité et gourmandise, tantôt elle était excessivement lente et sensuelle. A un moment, la vampire vint même se joindre à leurs ébats, ses mains venant frôler celles de Ayumi en caressant légèrement ses hanches.
- Haaaa... Haaa, Maî... Maîtresse, haaan...
Le doigt dans la chatte de son amie devint plus rapide et la pénétra plus profondément. Elle pouvait sentir celui de la Maîtresse dans le cul de celle-ci et s'amusa à le caresser à travers les parois vaginales. Ayumi repris ses gorge profonde aussi loin que possible, jusqu'à se retrouver le nez contre le bas ventre, pour sortir sa langue et léchouiller la vulve de son amie, en même temps que déglutir pour exercer des compressions sur le gland.
- Ne jouis pas, Kaori... Laisse Ayumi profiter de sa sucette aussi longtemps que possible...
- Haaaaaaa... Haaaaannn, oui, ouiiii, Maî...
- Huummmm... Huummmm...
- Je veux que tu sois bien chaude, Kaori, bien excitée, que ton sang soit... Juteux...
- Haaaaaaa...
Lorsque le sexe imposant de Mélinda pénétra la rondelle de Kaori, Ayumi put le sentir à travers les parois intimes et envoya un second doit rejoindre le premier, autant pour caresser le vagin de son amie que la belle queue de sa Maîtresse. Ses déglutissions et léchouilles s'intensifièrent en même temps que ses vas et viens et, après quelques minutes, la nageuse pu enfin recevoir sa récompense. Elle se reçut en effet de grands jets de semences dans la gorge et sur son visage, veillant à être bien recouverte de foutre chaud et gluant, avant de retourner sucer son amie avec cette même intensité, comme si de rein était. Le sexe de celle-ci était même encore meilleur, avec ce petit gout agréable de sperme... Elle continua encore un moment ainsi, avant de le retirer d'entre ses lèvres pour le lécher de nouveau en longueur.
- Haaaa.... Kao....ri.... Haaaaaaa..... J'aime t-t-a.... Haaaaa.... Ta belle b-bite..... Haaaaaa.... Bien chauuuuuude.... Haaaaaann !!!!
Durant tout ce temps, une belle mare de jus intime s'était étalé sous la table, en provenance directe de son doux coquillage. Par ailleurs une tentacule de mouille avec un gland transparent au bout se forma pour pénétrer son intimité sans douleurs... la faisant haleter plus profondément encore.
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La scène était assez torride. Mélinda n’allait pas pouvoir admettre des journées naturistes tout le temps, vu que ces journées finissaient en orgie collective. Ce n’était pas déplaisant, bien sûr, mais il fallait savoir, comme le disait le proverbe, raison garder. Le harem organisait parfois des orgies, mais ici, c’était une séance gratuite. Au moins, ça aiderait les esclaves à se détendre, et Ayumi ne pourrait que se sentir mieux, vu qu’elle était responsable de tout ceci. Cette dernière avait laissé son côté nymphomane parler à nouveau, alors qu’elle suçait la queue de Kaori avec une vigueur très encourageante. Remuant la tête, Mélinda pouvait la voir. Elle appuyait l’une de ses mains sur les seins de sa partenaire, et l’autre sur la tête d’Ayumi, la caressant lentement. Cette dernière lui faisait une fellation pleine de passion, ayant également glissé ses doigts dans le vagin de Kaori. Le sang de Kaori était furieux, et Mélinda buvait son sang avec délectation. Kaori essaya bien de se retenir, serrant les dents, mais c’était... Ah, c’était trop dur ! Elle soupira longuement, et s’abandonna violemment dans la bouche d’Ayumi.
Kaori ferma les yeux, hurlant à chaque giclée, son sperme explosant dans la bouche de son amie, remplissant ses lèvres, sa gorge, ses joues. Mélinda lui attrapa la queue, et la masturba violemment, afin qu’elle jouisse encore plus. Kaori se laissa faire, son sperme ruisselant sur les joues et la tête de la nageuse, coulant sur sa peau nue. Elle semblait heureuse, très heureuse, et Mélinda soupira de plaisir, continuant à boire le sang de Kaori, tout en continuant à tenir la tête trempée de la nageuse. Elle retourna toutefois d’elle-même sucer la queue de la femme. Souriant lentement, Mélinda finit par retirer ses crocs du cou de Kaori, et commença vraiment à s’occuper de ses fesses, les pilonnant avec plaisir.
« Hum... Ton... Ah, j’adore ton petit cul, Kaori !
- Maî... Maîtreeeeeesseeeee, haaaan !
- Vous... Vous êtes... Hurmpff... Deux... Deux belles sa-salopes ! »
Kaori confirma lentement, yeux clos, sa tête penchant en arrière. Mélinda mouillait également, et jouit dans le cul de Kaori, épuisant la pauvre lycéenne. Elle avait des hanches endurantes, et c’était tant mieux, car elle était l’une des lycéennes les plus productives du manoir. Elle passerait indéniablement sa vie au harem, tant Kaori aimait le sexe. Elle imaginait déjà Ayumi et Kaori se faire l’amour pendant des heures. Laquelle s’effondrerait la première ? Question difficile... Ayumi semblait toutefois encore plus nympho’ et perverse que Kaori. Les deux se complétaient bien.
Utilisant sa magie, Ayumi transforma sa cyprine et celle de Kaori en un tentacule, l’enfonçant dans son intimité C’était un choix curieux qui confirmait l’imagination débordante de cette nageuse dans tout ce qui concerne le sexe. Mélinda se retira des fesses de Kaori, et se rapprocha de la nageuse, tirant sur ses cheveux.
« Haaa, haaaan... gémissait Kaori. C’est tellement bon, putain ! »
Mélinda sourit, et fit signe à Kaori de s’allonger sur le sol, tandis qu’elle alla se placer derrière Ayumi, attrapant ses fesses.
« Hum... Il me semble que ton postérieur, lui, n’est pas irrité comme ton vagin... »
Elle laissa à Ayumi le soin de comprendre ce qu’elle voulait, tout en préparant le terrain, mouillant ses doigts pour les glisser lentement dans sa fente, humidifiant l’ensemble, tout en caressant également son membre, bien que ce dernier était déjà assez lubrifié.
-
Sentir la main de sa Maîtresse caresser sa tête et le sexe de sa meilleur amie dans la bouche, sa nouvelle amante même, rendait en effet Ayumi très heureuse, mouillant avec abondance, alors qu'elle pilonnait le vagin de celle-ci avec un tentacule de mouille, qui grossissait au fur et à mesure que le plaisir grimpait.
- Haaa, haaaan... C’est tellement bon, putain !
La vampire fini par se retirer des fesses de Kaori pour se placer derrière la nageuse, glissant ses doigts humides dans son petit puits secret, arrachant un doux gémissement à la jeune fille qui sentit un délicieux frisson de bien être traverser son corps.
- Hum... Il me semble que ton postérieur, lui, n’est pas irrité comme ton vagin...
- Naaaan.... Maîtreeeeese... Il est même..... Haaaaannn... Impatient de se faire..... Huuuuuuu... Défoncer....
Ayumi se mit en 69 au dessus de Kaori, afin d'avoir son membre en face et le visage de Kaori devant sa fente toute mouillée. Elle fit glisser de nouveau sa langue sur la longueur de ce délicieux barreau de chair et repris ses petites attentions buccales, tout en remuant des hanches au dessus de la tête de son amie et sur le sexe de sa Maîtresse. Mais elle se cambra brutalement en lâchant un grand cris de plaisir lorsque la matraque entra brutalement dans son anneau rectal... et lorsque la langue agile de Kaori pénétra son intimité avec douceur.
- HAAAAAAA !!!! HAAAAAAAAAAA!!! HAAAAAAAAAA !!! MAÎTREEEEEEEESSSSSSEEE !!!! HAAAAAAAA !!! HAAAAAAAAAAAAAAA!!! KAAAAOOOORRIIIIIII !!!! HAAAAAAAAAAAA !!! HAAAAAAAAAAAAA !!! ENCOOOOOOOOOREEEEEE !!!! HAAAAAAAAAAN !!! HAAAAAAAAAAAAAAAN !!!
La bouche grande ouverte, la langue pendante et salivant avec abondance sur le sexe de Kaori, qu'elle prenait parfois en bouche lorsqu'elle ne la branlait pas, Ayumi était entrée dans sa phase chienne en chaleur. Ce qui était certain, c'est que son excitation était communicative sur le reste des esclave, qui intensifièrent soudainement leurs activités en multipliant les orgasmes et les éjaculations, pour les futanari. Le sol se retrouva bien vite maculé de fluides sexuels divers et variés, ainsi que les meubles et murs. Cependant, aucunes des filles présentes ne semblait prêtes à rendre les armes.
-
« Naaaan.... Maîtreeeeese... Il est même..... Haaaaannn... Impatient de se faire..... Huuuuuuu... Défoncer.... »
Mélinda ne put que sourire. Que cette humaine était excitante ! Oh oui, le doute ne serait plus permis, elle serait assurément l’une de ses filles les plus rentables. Infatigable et inépuisable, son seul bémol était son refus des moindres violences physiques, ce sur quoi Mélinda doutait d’arriver à la faire changer d’avis. Nonobstant ce détail, elle était déjà sûre qu’Ayumi serait l’une des hermaphrodites les plus productives du harem, et qu’elle servirait beaucoup. La moitié d’Ashnard lui passerait probablement dessus. Elle se mit en position, agissant rapidement, instinctivement, naturellement, la vampire lui laissant quand même le temps de se positionner. Elle se retrouva ainsi à hauteur de la queue de Kaori, qui était aux anges, la tête de Kaori léchant timidement l’intimité d’Akira. Kaori était excitée, mais elle ne voulait pas faire mal à la brave Ayumi, ayant bien compris que cette dernière, face au sexe, entrait dans un état second.
Hésitant un peu, Mélinda finit par se positionner. Elle attrapa Akira par les fesses, soulevant du coup un peu cette dernière, plaquant mieux sa tête contre le membre tendu de Kaori, et entama sa sodomie. Elle glissa son membre dans son petit puits, un long frisson remontant le long de tout son corps. Défoncer. Ayumi avait choisi le bon mot. Mélinda s’agrippa à ses cuisses, et commença à remuer son membre. Ayumi ne tarda pas à s’égosiller comme une espèce de cinglée, attirant les regards des spectatrices. Les cris d’Ayumi semblèrent doper les filles, et l’ensemble devint rapidement une orgie bordélique ponctuée de cris, d’orgasmes, de gémissements.
Kaori avait relevé les mains, les posant délicatement sur les fesses de sa partenaire, ne voulant pas gêner sa Maîtresse, qui, également excitée par cette ambiance, donna, à son tour, des coups de butoir dans ses fesses, faisant remuer le corps d’Ayumi.
« Haaaaa... HAAAAAAA, ouuuuiiii !!
- Hnnnnnnnnnn...
- Oh PUTAIN, nooonnn... HAAAAA !! »
Une véritable cacophonie. Mélinda se déchargea dans les fesses d’Ayumi, et, tout en laissant son membre en elle, baignant dans son sperme, tel un serpent affamé, elle se permit un petit tour d’horizon. Là, une fille était prise en sandwich entre deux femmes, les membrées s’attaquant aux autres. Les hermaphrodites étaient en infériorité numérique, et devaient donc redoubler d’effort pour satisfaire toutes ces femmes. Sur le tapis, une autre dame de charme du harem baisait voracement Shii... Diable ! Si même Shii se laissait aller, c’est que c’était du sérieux ! Mélinda en était légèrement incrédule.
*Le pire, c’est que je ne les ai même pas drogués... Hum... Est-ce que j’aurais fait de toutes mes filles des perverses sexuelles en puissance ? Quel mauvais exemple je suis !* songea-t-elle avec amusement.
Elle reporta son attention sur Ayumi, qui suçait la queue de Kaori, cette dernière soupirant, avant d’être branlée énergiquement, et de jouir, son sexe crachant le sperme en l’air, telle une espèce de petit geyser. Mélinda retourna enfoncer son membre dans le joli petit cul d’Ayumi, donnant un coup sec.
« Hum... J’es... J’espère que tu es fière de toi, Ayumi ! Tu... Ha... Regarde ce que tu as fait, petite salope ! Peut-être... Peut-être que je devrais te tenir au cou par une laisse et te forcer à lécher toutes ces tâches qui sont en train de maculer mon salon, hmmmm ? »
-
- HAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNN !!!!
Ayumi eu un violent orgasme lorsque Mélinda jouit dans son fondement, envoyant de longues giclées qui remontèrent dans son ventre. C'était une véritable marre de mouille qui grossissait sous leurs corps et, pour son plus grand bonheur, sa Maîtresse restait bien au fond d'elle. La nageuse sentit que Kaori était sur le point de jouir de nouveau, elle aussi, et elle retira le sexe de son amie d'entre ses lèvres et la branla énergiquement tout en léchant le gland gonflé de plaisir. Lorsqu'elle atteignit l'orgasme a son tour, Ayumi prit bien soin de diriger les giclées de sperme vers leur propriétaire, observant la joie de celle-ci de se faire arroser le visage, la poitrine et le ventre, par son propre foutre. Sa jouissance fit honneur aux futanari et Kaori se retrouva bien vite aussi collante que gluante. Plaçant un sein de chaque coté de sa matraque encore palpitante, elle fit glisser sensuellement la queue entre ses seins en la reprenant en bouche... et lâcha un grand gémissement de plaisir en sentant sa Maîtresse s'activer de nouveau en elle.
- Hum... J’es... J’espère que tu es fière de toi, Ayumi ! Tu... Ha... Regarde ce que tu as fait, petite salope ! Peut-être... Peut-être que je devrais te tenir au cou par une laisse et te forcer à lécher toutes ces tâches qui sont en train de maculer mon salon, hmmmm ?
- Haaaaaan !!! HAAAAAAAAN !!! Oui... Maîtresse..... HAAAAAAAAN !!! Laissez moi g-gouter.... HAAAAAAAAA !!! Au sperme des co... CopiiiIIIIIIIINEEEEEEE !!!! HAAAAAAAAAAN !!!!! Kao....ri.... Huuuuuuuu.... Tu v-veux gou....ter.... HAAAAAAAAN !!! T-Toi aussiiiiiiIIIIIIIIIIIIIII ?!!! Hmmmmmmmmm !!!!
Sans attendre la réponse, Ayumi s'en retourna à sa petite gourmandise, léchant et suçant la bite de son amie, recouverte de foutre chaud. Il ne lui fallut pas longtemps avant de sentir la jouissance entre ses lèvres et son estomac se remplir un peu plus. Durant les heures qui suivirent, elle put – avec sa Maîtresse et Kaori – essayer de nombreuses positions différentes. Pendant un moment, elles sucèrent toutes les deux le barreau de chair de Mélinda, jusqu'à être aspergées. Un autre moment, Ayumi se faisait prendre le derrière par Kaori, pendant que la vampire retournait entre les fesses de cette dernière. Autours, les autres filles n'étaient pas prêtes de tomber de fatigue et le salon lui-même devint totalement méconnaissable, les murs et le sol étant complétements blanc. Une forte odeur de sperme et de fornication régnait ici et cela était suffisant pour raviver l'excitation des nombreuses esclaves. Les filles aussi étaient méconnaissables, étant toutes plus ou moins couverte de semences, tout comme Mélinda.
- Maîtresse.... Encore.... Haaaaaaannn.... Baiseeeez moiiiii encoooOOOOOORRRREEEEE !!!!
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Un ancestral proverbe voulait que le réconfort suive l’effort. Mais il semblait ici y avoir une exception, car l’effort viendrait après le réconfort, quand il faudrait nettoyer tout ça... Oui, les filles, déjà excitées par le fait de se côtoyer dans une nudité absolue, laissèrent finalement le désir parler, se faisant l’amour avec tendresse, formant des petits groupes ici et là, qui se mélangeaient, s’agrandissaient, se réduisaient. Mélinda, Kaori et Ayumi formaient un trio assez endiablé, Ayumi au centre. La nymphomane prouvait encore une fois ses capacités de résistance hors du commun, et Mélinda espérait ne pas s’emporter à nouveau, et ne pas la blesser, comme ça avait été le cas hier. Cependant, comment résister à de tels cris de désir ? Ayumi fut donc baisée un peu partout, mais en redemandait toujours plus.
« - Maîtresse.... Encore.... Haaaaaaannn.... Baiseeeez moiiiii encoooOOOOOORRRREEEEE !!!! »
On aurait presque dit une espèce de zombie, vu la manière dont elle hurlait. Mélinda avait des tâches un peu partout, même dans ses précieux cheveux, et constata que la plupart des lycéennes étaient en train de perdre pied face aux hermaphrodites entraînées de la vampire. Elle n’arrivait plus à tenir la route, tout simplement. On leur en demandait bien trop pour qu’elles arrivent à résister. Elles étaient crevées, éreintées, et, pourtant, Ayumi continuait à en redemander.
*C’est aussi excitant qu’effrayant...*
Il se dégageait de la pièce une espèce d’atmosphère sexuelle et gore. Mélinda secoua lentement la tête, et fit la moue, puis fit signe à ses hermaphrodites de s’approcher. Lentement, les femmes abandonnèrent les lycéennes éreintées, et s’avancèrent rapidement, se mettant en cercle autour d’Ayumi, entourant cette dernière de belles jambes, de corps élancés, superbes, et de membres masculins qui pointaient vers elle. Totalement encerclée, Ayumi était à leur merci, et était à califourchon sur le corps trempé de Kaori. Mélinda s’aventura au milieu de ce cercle de femmes. Ayumi pouvait sans doute reconnaître l’une de ses professeurs, à savoir Elly Connor, puisque cette dernière était l’une des filles de Mélinda.
S’avançant près d’Ayumi, elle se glissa dans son dos, et posa ses mains sur ses joues, les femmes commençant à se masturber.
« Regarde bien, Ayumi, et n’en perds pas une miette... Je suis sûre que, même dans tes rêves les plus fous, tu n’aurais pu concevoir ça... Toutes ces femmes... Rien que pour toi... Mais tu n’es pas au bout de tes surprises... Les sexes que j’offre à mes protégées ont bien des fonctions, et seule une femme digne de ce nom peut vraiment les utiliser sans s’épuiser trop rapidement... »
Elle fit signe à l’une des femmes, qui ferma lentement les yeux, serra les dents, et fit grossir la taille de son sexe. L’organe acquit une taille démesurée, formant une espèce de pont de chair, des veines pulpeuses courant à sa surface. Mélinda sentit le sexe de son hermaphrodite devenir un véritable puits sanguin. Impossible de rester dans cet état trop longtemps pour une simple humaine, la demande en sang était bien trop forte, et une queue aussi longue posait aussi d’autres problèmes... C’était un spectacle à la fois grotesque et grossier, digne d’une espèce de monstre de foire, mais la vampire savait que ça conviendrait à Ayumi.
C’était là les modifications génétiques tekhanes, mélange de génétique et de magie. En soi, les Terriens savaient déjà greffer des sexes masculins à des femmes. Il existait même des hermaphrodites naturelles, des individus présentant des caractéristiques des deux sexes. Les Tekhanes n’avaient fait que faire ce que la civilisation faisait depuis des millénaires, avec un succès tout relatif : copier la Nature pour l’améliorer. Pour les Tekhanes, l’améliorer signifiait se débarrasser des mâles, et leur connaissance de la magie permettait ce genre de bizarreries génétiques. Le sexe de sa protégée acquit une taille énorme, et vint se placer dans la bouche d’Ayumi, telle une grosse sucette.
S’écartant, Mélinda fit signe aux femmes, et ces dernières se masturbèrent plus intensivement. Elles soupirèrent entre elles, frottant leurs membres durcis, et chacune finit par se décharger sur Ayumi, pas simultanément, mais dans un intervalle de temps assez court malgré tout. Elles se déchargèrent toutes, mais ce fut de véritables giclées qui filèrent à chaque fois, inondant le corps de la brave femme. Sa peau devenait de plus en plus blanche, et Mélinda continua, ne donnant qu’un simple mot, mais qui était amplement suffisant :
« Encore. »
Les hermaphrodites sourirent, et celle qui avait sa queue dans la bouche d’Ayumi rétracta lentement son sexe, tandis que les autres filles, par intervalles, grossissaient le leur, le ramenant ensuite à une taille plus acceptable, se contentant simplement de le frotter contre la peau humide de la femme. Un second bukkake eut lieu, et la femme qui faisait à Ayumi une fellation jouit puissamment dans sa bouche, dans le fond de sa gorge. Le coupe n fut tel qu’Ayumi en recula, et s’étala sur le sol, glissant sur une flaque de sperme et de cyprine. La dernière giclée avait probablement du l’étouffer à moitié, et Mélinda s’approcha d’elle. Ses filles étaient très épuisées, couvertes de sueur, leurs poitrines se soulevant et s’abaissant lourdement, mais elles étaient toujours debout.
« Tu as eu ta dose, Ayumi ? Ou tu en veux encore ? »
-
En cet instant précis, Ayumi était sans doute la lycéenne la plus heureuse au monde. Non, elle n'était pas encore zombifiée au sexe, seulement droguée au plaisir. Elle venait tout de même de passer près de six heures à se faire remplir d'un peu partout, un record pour elle... et peut être bien dans ce manoir. Son ventre était tellement remplis qu'il donnait à la nageuse une apparence de jeune femme enceinte de plusieurs mois. Tient, d'ailleurs ça débordait un peu de son anus. Entre temps, le sexe dur de Kaori avait pu entrer dans son vagin, la semence et la cyprine lubrifiant tellement son intimité, que ça glissait tout seul sans causer d'irritations.
Cinq minutes plus tard, sa Maîtresse expulsa de nouveau son nectar dans ses entrailles, avant de se retirer pour donner un ordre bref. Lorsque Ayumi releva la tête, elle se cru au paradis et accéléra le mouvement sur la queue de son amie, excitée par la vue de toutes ses hermaphrodites. Elles se masturbèrent sous ses yeux et Mélinda arriva par derrière.
- Regarde bien, Ayumi, et n’en perds pas une miette... Je suis sûre que, même dans tes rêves les plus fous, tu n’aurais pu concevoir ça... Toutes ces femmes... Rien que pour toi... Mais tu n’es pas au bout de tes surprises... Les sexes que j’offre à mes protégées ont bien des fonctions, et seule une femme digne de ce nom peut vraiment les utiliser sans s’épuiser trop rapidement...
Et la surprise fut de taille, sans mauvais jeu de mots. Le membre d'une des futa, déjà imposant, prit une taille impressionnante, avant de finir entre les lèvres de la nageuse qui sentit le débit de sa mouille augmenter proportionnellement. Lors de la jouissance collective de toutes les futa, Kaori comprise, Ayumi sentit son plaisir exploser et un geyser de cyprine inonda le corps de son amie. Elle était à présente recouverte d'une couche plus ou moins blanc transparent, gluant et bien chaud. De plus, son expression facial évoquait un "ahegao (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=423748)", soit les yeux révulsés, le regard éteint, la bouche grande ouverte et la langue pendante, laissant couler un filet de salive et – à l'heure actuelle – de sperme. C'était les limites du plaisir. Au-delà, c'était ce que l'on nommait l'état "d'esprit brisé". Ayumi était donc au bord de la rupture psychologique. Pourtant, la vampire n'en prit pas compte et lâcha...
- Encore.
Tour à tour, les femmes firent entrer leurs membres démesurés dans la bouche de la nageuse, pendant que les autres se frottèrent sur elle. De son coté, Kaori agrippa les hanches de Ayumi et remua intensément des hanches en elle.
- Haaaaaaaaaan.... Haaaaaaaaaaaaaan.... Hmmmmmmmm... Hmmmmmmmmmmm... Haaaaaaaaaaaa... Huuuuuuuuuuuu.... Hmmmmmmmmm... Haaaaaaaaaaaaaaaa.... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRGGLLLLMMPPPHH !!!!!!!!
Elle fut de nouveau aspergée de semence sur le corps et en elle, atteignit de nouveau l'orgasme en sentant son amie se décharger dans son utérus, avant de tombée en arrière sous la puissance des jets, son visage figée en ahegao et haletant furieusement, n'ayant plus vraiment conscience de ce qui l'entourait. Elle donnait vraiment l'impression d'être complétement brisée, ne répondant même pas lorsque sa Maîtresse lui demanda si elle avait eu sa dose. Mais vu comment elle débordait de partout, c'était sans doute le cas... Oui, lors de son dernier cris de jouissance, elle avait recrachées d'important flots de sperme de son estomac. A présent, Ayumi ressemblait à une poupée gonflable, le regard complétement éteint mais toujours en vie. Il lui faudrait un moment avant de reprendre ses esprit et, vu son état, ne réagirait même pas si les futa continueraient à utiliser son corps...
Les autres filles étaient en sueurs et prises de fatigue extrême. Pour autant, elles étaient toujours conscientes, même si elles n'avait sans doute pas ressenties le même plaisir que la nageuse...
-
Là, Ayumi avait son compte. Étalée sur le sol, la brave semblait ailleurs. Elle venait de redéfinir la notion de « 7ème Ciel » avec cette explosion de sexe. Mélinda se pencha vers elle, et promena brièvement sa main sur le visage de la Sirène, la débarbouillant un peu. Elle était sonnée, mais toujours vivante. Elle était pleine, et son ventre avait, pour le coup grossi. Kaori était également éreintée, respirant bruyamment, comme les autres filles de Mélinda. On dirait qu’elles venaient de ressortir d’un marathon endiablé, et se remettaient lentement de leurs émotions. La vampire fit signe aux hermaphrodites de se détendre.
« Ayumi est hors course, Mesdames. Mais c’était une belle performance... »
Une très belle performance, même. Ayumi était toutefois à bout de course, et son sang, au moment culminant, avait atteint des pics. Si Mélinda ne s’était pas nourrie sur le cou de Kaori, il était probable qu’elle se serait attaquée à l’une de ses hermaphrodites. La vampire se tourna vers ses protégées, qui émergeaient, ou s’endormaient, et claqua dans ses mains.
« Vous dormirez plus tard, mes feignantes ! Je vous offre une heure pour prendre un bain, et ensuite, vous nettoierez tout ce bordel ! »
Les filles soupirèrent, mais Mélinda ne plaisantait pas, et se contenta, pour sa part, d’aérer la pièce en ouvrant les grandes fenêtres. L’air frais allait ainsi lutter contre cette odeur de renfermé. La vampire se retourna ensuite vers Ayumi, aidant Kaori à se relever.
« Qu’est-ce... Qu’est-ce qu’on fait avec elle ? »
La vampire réfléchit brièvement, posant un doigt sur ses lèvres, les tapotant, avant d’avoir une idée. Elle suggéra qu’elle vienne prendre un bain avec elle. Ce serait plus simple, et elle devait parler à Ayumi. Mélinda tenait à ce que le salon soit propre pour ce soir, soit qu’on passe l’aspirateur er la serpillière en profondeur, qu’il n’y ait plus une seule tâche, et que tout soit rangé. Autrement, il y aurait des corvées nocturnes, et les filles se dépêchèrent donc, poussant des cris en filant vers les salles de bains. Mélinda, de son côté, alla chercher une grosse serviette, et posa Ayumi dessus, de manière à ce qu’elle ne salisse que la serviette avec sa seconde peau de sperme et de cyprine. Elle la souleva sans difficulté, et se rendit dans sa salle de bains personnelle, avec une baignoire immense. Elle tenait d’ailleurs plus d’un bassin que d’une baignoire.
Mélinda posa Ayumi par terre, et caressa lentement ses cheveux, avant de l’embrasser sur le front. Difficile de croire qu’elle avait rechigné à s’emparer de cette femme. Elle lui serait très précieuse à l’avenir. Oh oui, la vampire lui prédisait un grand et vaste avenir dans son harem. Elle était une sorte de Docteur Jekyll et de Mister Hyde. Son côté Jekyll était une jeune fille renfermée, douce et timide, et le côté Hyde était une véritable nympho’, complètement droguée au sexe, et presque inépuisable. Avec les petits traitements de Mélinda, et avec son expérience, Ayumi pouvait devenir l’une des plus talentueuses filles de plaisir de son harem.
« Là... Ne t’en fais pas, Ayumi, repose-toi... »
Elle caressa son ventre en souriant lentement.
« C’est une chance que le taux d’infécondité des hermaphrodites soit très élevé. Si ça n’avait pas été le cas, tu aurais dans le ventre de quoi enfanter tout un village... »
Mélinda savait que, même si Ayumi ne pouvait lui répondre, elle l’entendait. Et c’était amplement suffisant. Se relevant, la vampire commença à faire couler l’eau du bassin, veillant à ce qu’elle ne soit pas trop bouillante. Tout comme Ayumi, elle était nue, et elle espérait que l’eau ne ferait pas trop mal à son intimité. Elle en doutait toutefois, dans la mesure où cette dernière s’était pénétrée avec un tentacule de sperme. Dans le cas contraire, elle allait devoir prendre une douche. La salle de bains en comprenait également une, mais l’eau, au moins, la réveillerait.
« Tu m’as convaincu, Ayumi... Nous te grefferons un sexe masculin aussi rapidement que possible. Il faudra, en revanche, que tu me dises si tu veux être une Futanari, soit avec un sexe masculin qui sortira du corps, ou une simple hermaphrodite, c’est-à-dire pouvant le rétracter... Bien sûr, tu as le temps d’y réfléchir, mais je te préviens juste, ma belle. Les deux sont possibles. »
Il était temps d’envisager le futur d’Ayumi, son avenir au sein du harem. Car c’est un avenir prometteur qui se dessinait.
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Ayumi était en effet dans l'incapacité de communiquer avec le monde extérieure. Son expression figée dans un ahegao, son regard restait vitreux et sa respiration se calma progressivement. De son point de vue, tout n'était que sons et brume. Mais de toutes les voix, celle de Mélinda était la plus claire.
- Là... Ne t’en fais pas, Ayumi, repose-toi...
Pour sûr qu'elle allait se reposer. Après la séance de débauche qu'elle venait de passer, elle n'allait pas en redemander avant minimum 24h.
- C’est une chance que le taux d’infécondité des hermaphrodites soit très élevé. Si ça n’avait pas été le cas, tu aurais dans le ventre de quoi enfanter tout un village...
Là aussi, elle avait réaliser l'un de ses meilleur fantasme : être prise dans une orgie d'hermaphrodites. Certes, il y avait des filles normales autours, mais une dizaine de futa, en plus de sa Maîtresse et Kaori, pour elle toute seule, c'était quelque chose... Bientôt, elle entendit de l'eau couler, ce qui l'amena à penser qu'elles étaient dans une salle de bain... son élément.
- Tu m’as convaincu, Ayumi... Nous te grefferons un sexe masculin aussi rapidement que possible. Il faudra, en revanche, que tu me dises si tu veux être une Futanari, soit avec un sexe masculin qui sortira du corps, ou une simple hermaphrodite, c’est-à-dire pouvant le rétracter... Bien sûr, tu as le temps d’y réfléchir, mais je te préviens juste, ma belle. Les deux sont possibles.
C'est cette prise de décision qui l'aida à reprendre ses esprits. Son chois était fait depuis des années. Pouvoir se servir d'un sexe masculin, tout en laissant l'accès libre pour son vagin. Son regard redevenant expressif et bougeant légèrement les doigts, elle fini par ouvrir la bouche, parlant toutefois avec une voix éraillée.
- Une... Futanari... Maîtresse...
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Dans l'heure qui suivit, Ayumi fut d'abords vidée de tout le sperme qu'elle avait en elle, histoire de ne pas tout rependre dans la baignoire. Une fois vidée au maximum du possible, elle put enfin entrer dans cette eau salvatrice. Si elle était en effet trop chaude pour une humaine, la nageuse avait la capacité de modifier la température autour de son corps. Ainsi, elle restait bouillante pour Mélinda et un peu chaude pour Ayumi. Si l'eau lui faisait du bien, c'était une autre histoire concernant le sperme qui restait collé sur elle et dans ses cheveux. Il y en avait trop pour le retirer, tout simplement. Même la douche fut inefficace. Il fallut donc utiliser un jet plus puissant pour la nettoyer. Mais peu importe la puissance du jet, l'eau ne pourra jamais lui causer le moindre mal. Si pour le moment, elle ne pouvait pas encore se changer en sirène, on pouvait au moins la comparer à une sorte de slime à forme humaine, capable de contrôler cet élément aqueux à volonté, sans jamais en souffrir.
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Nettoyer Ayumi fut pour Mélinda un réel défi. Mine de rien, tout ce sperme sur son corps collait bien, mais c’était surtout les éclats dans ses cheveux qui posaient problème. Plusieurs hermaphrodites avaient en effet directement joui dans son cuir chevelu, et le sperme s’était collé à ses cheveux, formant des espèces de croûtes. Ses cheveux étaient sales, rigides, et lui caresser sa longue et belle chevelure était quelque peu difficile. Après le bain, puis une longue douche, Mélinda avait hésité, avant de voir que, dans le salon, les filles nettoyaient certaines filles endormies... Avec du Kärcher. Une idée de Clara, indéniablement. Après une brève hésitation Ayumi eut donc droit à un coup de Kärcher, puis à des jets d’eau. Comme elle était inerte, Mélinda utilisa des chaînes pour la suspendre par les bras au milieu de l’une des granges situées dans le jardin, et, avec l’aide de deux lycéennes, fit passer les jets d’eau sur tout le corps de la femme.
Sonnée ou non, ceci eut pour effet de la sortir un peu de sa léthargie. Lorsqu’elle rouvrit faiblement les yeux, Mélinda s’approcha d’elle, trempant ses pieds dans l’eau, tandis que, dans le dos d’Ayumi, une fille utilisait une énorme brosse pour happer les tâches blanchâtres dans sa chevelure, tirant sur sa tête. Les mains de la vampire glissèrent sur les hanches d’Ayumi, et elle se mit à l’embrasser dans le cou et sur la joue.
« Je ferais de toi une Futanari, Ayumi... Et je vais même t’offrir un autre cadeau... »
Elle releva lentement la tête, et embrassa l’adolescente sur les lèvres, avant de reprendre, et de poursuivre :
« Vois-tu, j’ai depuis quelques jours un produit spécial... Sans entrer dans les détails techniques, il est fait à partir du sang d’une succube, et ce produit est une sorte... D’aphrodisiaque intensif particulier. Appliqué sur certaines zones du corps, il excite et amplifie les sensations, le système nerveux... En d’autres termes, si on applique ce produit sur les zones érogènes du corps, ces dernières sont stimulées... Je vais te faire don de ce cadeau, Ayumi, et je vais l’appliquer sur plusieurs parties de ton corps... »
Elle toucha les lèvres de la femme, les caressant.
« Ici, pour commencer... Grâce à ce produit, tout ce que tu mangeras te semblera bon... Tu pourrais même boire l’urine, et, tout en étant psychologiquement repoussé par le goût, physiquement l’apprécier. Le simple fait de t’embrasser suffira à t’exciter, et tu seras bien plus douée pour faire des baisers efficaces. »
Les doigts de Mélinda glissèrent de la bouche pour caresser l’un des seins d’Ayumi, pinçant délicatement l’un des tétons.
« Sur chacun de tes tétons aussi... Tu adoreras qu’on les suce, que des sexes se promènent dessus, et qu’on les pince... »
Et elle continua l’exploration du corps d’Ayumi, caressant désormais les contours de son intimité, glissant ses doigts à quelques centimètres de ses lèvres vaginales.
« Dans ton sexe, aussi... Ainsi que sur le petit bout de chair qui dépassera du dessus sous peu... Tu mouilleras tellement quand on t’enfoncera quelque chose là-dedans que tes parois intérieures ne pourront théoriquement plus jamais s’enflammer, comme ce fut le cas avec Kaori... Et, pour ce qui est de ta verge, le simple fait de la caresser, de l’exciter, suffira à déclencher une érection. Et... »
Mélinda termina son exposé en touchant les fesses d’Ayumi, les caressant lentement, les empoignant et les malaxant, avant de glisser un doigt dans la raie noirâtre au milieu de son postérieur, glissant dessus.
« ...Dans ton cul aussi... Tu adoreras les sodomies, et la douleur qui résultera d’une pénétration anale te fera hurler comme une nymphomane qui ne demande qu’à être baisée. »
En ayant fini, Mélinda s’écarta un peu, et conclut :
« Je t’offre la possibilité de devenir une femme ne vivant principalement que pour le sexe, Ayumi. De pouvoir faire l’amour pendant des heures et des heures, jusqu’à ce que tout ton corps n’en puisse plus, ou que ton esprit décroche... Qu’en dis-tu ? »
-
Plus que le puissant jet d'eau projeter sur son corps, ce fut surtout le fait de sentir qu'on lui tirait les cheveux et d'être suspendue en l'air par les bras, qui fini par la réveiller. Heureusement, sa Maîtresse vint rapidement la rassurer avec un tendre baisé sur les lèvres, avant de lui parler.
- Je ferais de toi une Futanari, Ayumi... Et je vais même t’offrir un autre cadeau... Vois-tu, j’ai depuis quelques jours un produit spécial... Sans entrer dans les détails techniques, il est fait à partir du sang d’une succube, et ce produit est une sorte... D’aphrodisiaque intensif particulier. Appliqué sur certaines zones du corps, il excite et amplifie les sensations, le système nerveux... En d’autres termes, si on applique ce produit sur les zones érogènes du corps, ces dernières sont stimulées... Je vais te faire don de ce cadeau, Ayumi, et je vais l’appliquer sur plusieurs parties de ton corps...
Il s'agissait sans doute de ce même produit dont elle lui avait parlée le matin même, dans les termes du "et même plus encore". Mélinda débuta donc son bref exposé en lui indiquant les différents endroits où elle comptait mettre son produit, sans oublier de lui décrire les effets. Le simple fait de connaître les futures sensations de son corps, la faisait déjà mouiller à l'avance, un mince filet de cyprine s'écoulant le long de sa cuisse. Pour autant, la personnalité nymphomane de Ayumi avait pris congé pour les quelques heures à venir. Ce fut donc une lycéenne timide qui se tortilla sous les caresses, non sans éprouver autant de plaisir que de gêne.
- Je t’offre la possibilité de devenir une femme ne vivant principalement que pour le sexe, Ayumi. De pouvoir faire l’amour pendant des heures et des heures, jusqu’à ce que tout ton corps n’en puisse plus, ou que ton esprit décroche... Qu’en dis-tu ?
Bien sûr qu'elle le souhaitait, comme toutes les futanari. Pour autant, elle n'oubliait pas ses autres rêves. Devenir une championne de natation – et donc , poursuivre ses entrainements et autres compétitions – ainsi que la possibilité de pouvoir se changer véritablement en sirène, réalisable uniquement par magie. Aussi, se fut en haletant doucement, que la lycéenne lui répondit.
- Je le veux... haaann... Maîtresse... M-mais.... haaaann.... Je v-veux pas oublier m-mes... haaaaann.... Mes autres rê.....ves.... haaaan....
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Le lendemain, Ayumi était assez nerveuse – entendez par là : encore plus que d'habitude – et se tordait un peu les mains. En effet, elle se trouvait dans une des salles du manoir où elle n'avait encore jamais mis les pieds, celle où se trouvait un des nombreux portail pour Terra. Ce sera son tout premier voyage vers un tout autre monde, qui lui était encore inconnu. De même, la lycéenne ne portait pas ses vêtements habituels mais plutôt une sorte de robe un peu particulière, ce qui accentuait encore plus sa gêne.
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Diable ! Mélinda eut un sourire quand Ayumi lui parla, en gémissant à moitié. La perspective d’être une Futanari, et d’avoir ses zones érogènes amplifiées, semblaient considérablement exciter la belle lycéenne. Mélinda lui fit un clin d’œil, et la laissa, puis s’occupa ensuite de préparer la greffe d’un sexe masculin sur le corps d’Ayumi. Comme ce serait au sein d’Ashnard, Mélinda n’aurait absolument aucune difficulté à en trouver un pour une opération dès le lendemain. Il lui faudrait ensuite se renseigner auprès de Slotwenna pour offrir à Ayumi le plus grand ses rêves : devenir une sirène. Ce ne serait pas impossible, mais ça prendrait un peu plus de temps. Mais ce serait l’occasion de voir la demeure de Slotwenna, après tout... Car une telle opération aurait forcément lieu chez elle. L’endroit ne pourrait que plaire à Ayumi. Elle ne lui dirait rien pour le moment. Autant lui laisser la surprise... Mélinda sortit donc, et s’occupa des préparations.
Accessoirement, elle veilla aussi à envoyer un courrier auprès d’un club aquatique d’Ashnard. L’Empire avait des thermes, des bassins, et des piscines. Que ce soit pour le loisir ou pour le nettoyage, chacun allait quotidiennement aux thermes, car la plupart des gens n’avaient pas les moyens de s’offrir des baignoires à domicile. Il arrivait même parfois à Mélinda de se rendre aux thermes. Les bains publics étaient assez animés. Et Ashnard organisait parfois des Jeux Impériaux, où la natation avait une grande importance... Il existait également quantité de compétitions internationales. Le sport occupait une bonne place sur Terra aussi, et, si Ayumi ne pourrait plus, en tant que Futanari, participer à des compétitions sur Terre, sur Terra, elle pouvait devenir une légende vivante, si elle s’entraînait bien.
Le lendemain, Mélinda avait obtenu un rendez-vous dans un cabinet ashnardien, et Ayumi l’attendait. Comme il s’agissait d’un rendez-vous officiel, Mélinda avait donné à Ayumi une belle robe à enfiler. C’était une belle robe bleue turquoise (http://www.sparklingstrawberry.com/product_images/t/860/4090-a__04082_zoom.jpg), qui était fendue à l’arrière (http://www.sparklingstrawberry.com/product_images/d/848/4090-b__48404_zoom.jpg). Une superbe robe. Mélinda avait profité du fait de bénéficier d’Ayumi pour lui refaire toute sa garde-robe, et avait rempli son armoire de nombreuses robes affriolantes. La pauvre Ayumi devait être follement gênée. Elle se tenait sur l’un des fauteuils dans la grande salle circulaire sombre. La peinture était rouge sombre, avec, au centre, le Portail menant à Ashnard. Mélinda pénétra dans la pièce, et sourit en voyant la belle Ayumi. Elle avait également opté pour une autre robe. Une robe longue n’était pas forcément la bienvenue en ce moment à Ashnard, car il faisait chaud, et il y avait des tempêtes de sables. Mieux valait donc quelque chose de court. Elle avait donc opté pour une robe blanche courte (http://www.sparklingstrawberry.com/product_images/c/892/4070-g__56882_zoom.jpg), qui laissait son dos nu (http://www.sparklingstrawberry.com/product_images/h/244/4070-h__90920_zoom.jpg).
« Ah, Ayumi ! Tue s prête à te trouver une nouvelle vie ? Nous avons rendez-vous chez le docteur dans une petite heure. Rassure-toi, cette opération est assez courante, et sans aucun danger. Mais, comme il peut y avoir un peu d’attente, j’en profiterai pour te parler de ton avenir... Et de l’accomplissement de tes rêves. »
Ce serait l’occasion de le faire, car Mélinda avait dans son harem un catalogue qui plairait certainement à Ayumi. Elle s’avança vers la jeune femme, et la prit par les mains, la soulevant, et l’embrassa sur les lèvres. Son intimité devait maintenant aller mieux, comme le manoir. Tout avait été nettoyé, et était propre et sec. Elle fit un clin d’œil à la brave lycéenne, puis la prit par la main, et s’avança vers le Portail. Il ressemblait à une espèce de vortex liquide, la technologie et la magie permettant, non pas de désactiver le Portail, mais de pouvoir donner à certains Portails cet éclairage particulier.
« Tu es prête, mon ange? Rassure-toi, c’est indolore. »
Mélinda entra dans le Portail, et atterrit alors dans une pièce assez similaire à celle qu’elles venaient de quitter. C’était le harem, et il faisait un peu plus chaud. Liana la neko (http://img81.xooimage.com/files/2/2/3/liana-363035f.jpg) les attendait, remuant la queue.
« Maîtresse Mélinda, nyuuu !! »
La petite Terranide fila se frotter contre la jambe de la Maîtresse, qui caressa ses cheveux avec un léger sourire. Mélinda fit signe à Ayumi de la caresser également, et Liana en profita pour sauter sur le corps d’Ayumi, et lécha la joue de cette dernière, se frottant contre sa robe.
« Rrrrrr-rrrr... Vous êtes… Nouvelle fille de Mélinda ? Pour jouer avec moi, et me câliner ? J’aime beaucoup les câlins ! »
Mélinda sourit, et décida d’aller aux choses sérieuses.
« Liana, je te suggère d’aller conduire Ayumi au hall. Nous avons une visite à faire, et je vais aller chercher de quoi lire...
- B-Bien, Maîtresse… »
Liana hocha la tête, puis lâcha Ayumi, et lui fit signe de la suivre. Mélinda l’embrassa une nouvelle fois sur les lèvres.
« A tout à l’heure, ma beauté... »
-
DEUX JOURS PLUS TARD . . .
Ayumi se réveillait doucement, reprenant conscience au rythme des sons de la ville en contre bas. Elle se sentait plutôt... bien... Bien et détendue... Elle n'avait pas ressentie ça depuis bien longtemps. Mais après quelques minutes de bien être, elle fini par ouvrir les yeux, et découvrir la pièce où elle dormais. C'était une chambre d'hôpital "à l'ancienne", constitué d'un lit en bois et au drap blanc immaculé, ainsi que d'une armoire et d'un sanitaire dans un coin. Ses souvenirs commençaient à refaire surface à sa mémoire...
Ayumi était dans un hôpital Ashnardien, sur Terra, et était venue ici pour se faire opérer et obtenir ainsi un membre masculin. Dans le même temps, elle découvrit de nouvelle sensations... Sa langue avait l'air plus sensible que d'habitude et sa bouche produisait comme un surplus de salive... Une salive douce et chaude, aussi sucré que de la cyprine... Sa poitrine et ses mains étaient également plus sensibles que d'ordinaire et le simple fait de bouger la faisait mouiller... Par ailleurs, ses lèvres intimes palpitaient sous l'excitation grandissante et son jus intime coulait comme si elle avait un orgasme, sauf que ce n'était pas le cas... Sa Maîtresse était-elle venue appliquer son mystérieux produit pendant son long sommeille ? En tout cas, on pouvait dire qu'il était efficace.
C'est ainsi qu'elle put découvrir son membre masculin, surtout vu le chapiteau qui semblait se former avec le drap. En retirant ce dernier, la lycéenne découvrit une épaisse queue, de belle taille, et qui palpitait doucement sou l'excitation. Se souvenant des futanari dans le manoir, Ayumi se concentra pour le faire s'allonger un peu plus... et celui-ci s'étira jusqu'à ce que son gland puisse se glisser entre ses lèvres sans efforts. Le faisant glisser entre ses seins, la nageuse partit alors dans une intense et sensuelle auto-fellation, pinçant ses tétons par la même occasion. Elle avait à peine commencée que son drap était déjà trempé... et l'orgasme était encore très loin... Ses gémissements sonores allaient sans doute attirer du monde... Peut être même que sa Maîtresse attendais son réveil derrière la porte.
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L’opération se déroula très bien. On installa Ayumi sur une table d’opération avec divers instruments chirurgicaux. Le médecin qui allait s’occuper d’elle était un ancien Tekhan qui avait été chirurgien esthétique, avant d’être renvoyé de l’hôpital dans lequel il officiait, parce que des femmes se plaignaient d’être opérées par des hommes. Il était parti à Ashnard, et avait ouvert un cabinet. C’est lui qui se chargea de l’opération sur Ayumi, à l’aide d’assistants et d’infirmières. L’opération durerait plusieurs heures, consistant, non seulement à lui doter un pénis, mais aussi à utiliser un produit pour amplifier certaines zones érogènes de son corps : son sexe, sa bouche, et ses seins. Mélinda resta dans l’hôpital pendant toute la durée de l’opération, jusqu’à ce qu’on lui annonce qu’elle s’était bien déroulée. Elle avait pu voir la jeune esclave endormie faire inconsciemment l’amour avec une infirmière, afin de voir si son sexe masculin fonctionnait bien. Le résultat avait été très positif, et Ayumi était depuis lors en observation, son corps se reposant des opérations, ce qui prenait bien une bonne journée.
Il fallut deux jours à Ayumi pour se remettre. Elle, dormait dans l’une des chambres de l’hôpital, une petite pièce en bois. L’hôpital ressemblait à une petite maison près de la capitale impériale. Un désert n’étant pas très favorable pour cette maison de repos, elle se tenait dans une proche forêt, hors du désert. Le grand manoir n’était pas qu’un simple hôpital, mais aussi une maison de repos. Elle se reposait dans une confortable chambre en bois, avec une fenêtre, un lit, et un bureau. L’endroit n’était qu’à trois heures à cheval de la capitale impériale, de l’autre côté des montagnes délimitant le désert ashnardien. Mélinda se trouvait là quand Ayumi se réveilla. A vrai dire, elle allait lui rendre une petite visite. Comme quoi, le hasard faisait parfois bien les choses.
Quand Mélinda ouvrit la porte, ce fut pour rester interdite de surprise pendant quelques secondes. Devant ses yeux, un spectacle curieux se passait, inattendu et surprenant. Ayumi était non seulement réveillée, mais visiblement en manque de sexe. Elle avait retiré sa couverture, et allongé de manière démesurée son sexe masculin... Pour se faire une fellation. Un long bâton de chair filait entre les seins d’Ayumi, et s’enfonçait dans sa bouche. Croisant les bras, la vampire eut un léger sourire, et referma la porte derrière elle, avant de s’approcher d’Ayumi, et de s’asseoir sur une chaise en face d’elle.
« Ma brave et énergique Ayumi... Là, ne t’arrête pas pour moi, continue donc à te faire plaisir... C’est bon, hein ? Évidemment que ça l’est... »
L’une des mains de Mélinda glissa le long du sexe démesurément long d’Ayumi, ses doigts le griffant lentement. Elle remonta ensuite sa main, et caressa l’une des joues de la petite ESPer.
« L’opération a été un succès, comme tu peux le constater... Et je pense ne pas me tromper en disant que ce sexe te plaît... »
Elle lui sourit, et l’embrassa sur le front.
« Tâche de ne pas en abuser... Faire grossir son sexe ainsi est énormément épuisant. »
Mélinda le savait. Sous l’excitation sexuelle, le sexe recevait beaucoup de sang, alors, plus il grossissait, plus la demande en sang était énorme. Si on insistait trop, on pouvait tomber dans le coma, car le sang qui était drainé dans ce sexe ne l’était plus dans le reste du corps. Croisant les bras, la vampire regarda par la fenêtre, alors qu’Ayumi continuait à sucer sa queue.
« Tu vivras au harem, dorénavant. Je t’ai inscrite à des compétitions aquatiques, alors, tandis que tu t’amuseras à exercer ce nouveau sexe sur quantité de clientes, je veillerais aussi à ce que tu t’entraînes... Sûrement en compagnie de Ligie, ma sirène. Elle sera ravie d’avoir une femme à former. »
-
Trop absorbée par son plaisir grandissant, mouillant tellement son drap au point de se demander si c'était vraiment son excitation qui la faisait jouir ainsi et non pas son pouvoir, bref, Ayumi était tellement concentrée sur son membre masculin, qu'elle ne vit pas tout de suite sa Maîtresse à ses cotés. Mais lorsqu'elle lui parla avec douceur, griffant légèrement sa perche, le plaisir monta bien de plusieurs crans.
- Ma brave et énergique Ayumi... Là, ne t’arrête pas pour moi, continue donc à te faire plaisir... C’est bon, hein ? Évidemment que ça l’est... L’opération a été un succès, comme tu peux le constater... Continua t-elle en caressant sa joue. Et je pense ne pas me tromper en disant que ce sexe te plaît...
Pour sur qu'il lui plaisait. D'ailleurs, la nouvelle Futa se déchainait tellement sur son membre qu'elle atteignit ce qui allait dorénavant devenir ses orgasmes normaux. De véritables flots de sperme furent éjecté dans son gosier, l'amenant de nouveau à un ahegao. La semence sortant en bien trop grande quantité, elle dut le retirer pour arroser son corps de foutre chaud, épais et gluants, ainsi que les murs, le plafond et même sa Maîtresse y eu droit, se retrouvant bientôt avec le nectar blanc de son esclave sur les vêtements. En même temps, il s'agissait de son premier orgasme masculin, en état de conscience. Autrement dit, elle ne maîtrisait pas très bien la chose. Quant à la quantité éjectée, elle était principalement due à sa sensibilité érogène accrue. Il devait bien y avoir – au bas mot – une quinzaine de litres étalées dans la pièce.
- HIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!
Le sexe de Ayumi se rétracta à son maximum, soit une vingtaine de centimètres, mi-mou. En parallèle, le sol de la chambre était légèrement inondé de 5cm3 de mouille, un véritable geyser étant sortit de son vagin. Indifférente à la situation surréaliste, Mélinda se tourna de nouveau vers sa protégée.
- Tu vivras au harem, dorénavant. Je t’ai inscrite à des compétitions aquatiques, alors, tandis que tu t’amuseras à exercer ce nouveau sexe sur quantité de clientes, je veillerais aussi à ce que tu t’entraînes... Sûrement en compagnie de Ligie, ma sirène. Elle sera ravie d’avoir une femme à former.
Cela était sans doute préférable de l'envoyer dans un harem spécialisé, plutôt que de la laisser au manoirs, pour peu qu'il faille nettoyer de fond en comble la chambre à chaque nuit. Dans son état actuel, dormir dans une pièce et dans ses propres fluides sexuels ne la dérangerais sans doute pas. Les clientes devront aimer les situations extrêmes et les scène de débauches sales, parce que Ayumi allait sans doute se retrouver dans ce domaine en particulier, elle qui appréciais les bukake. La mention d'une sirène lui permis néanmoins de refaire surface.
- Une.. sirène ? Pour... Pour de vrai ?
Il s'agissait là de la seconde information pour la rendre heureuse.
- Et... Je pourrais encore voir... mes copines... Maîtresse ?
Bien que ce n'était pas clairement exprimé, Ayumi parlait de ses camarades du lycée, particulièrement Kaori, avec qui elle aimerais bien faire l'amour sans douleur cette fois-ci.
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Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’Ayumi était en train de crever les plafonds. Elle eut une jouissance surréaliste, envoyant son jus intime un peu partout. Médusée, Mélinda se retrouva même éclaboussée, et cligna des yeux à plusieurs reprises, interloquée. Avait-elle pu s’attendre à une telle abondance ? Il y avait de grosses flaques sur le sol, et cette jouissance avait eu pour effet d’anesthésier Ayumi, qui regardait Mélinda avec des yeux rêveurs, évasifs. Croisant lentement les bras, la vampire ne dit rien, penchant la tête sur le côté, voyant son long sexe se rétracter, pour avoir une position un peu plus normale, un peu moins infernale. Une forte odeur de sueur et de sexe baignait dans cette chambre.
« Une.. sirène ? Pour... Pour de vrai ? » demanda Ayumi.
Mélinda lui sourit, révélant ses belles dents, ce qui était une manière de le confirmer. Pourquoi donc les gens pensaient qu’elle mentait tout le temps ? A dire vrai, Mélinda disait plus souvent la vérité que le mensonge. La mention de Ligie, sa belle sirène, ramena Ayumi à la réalité, qui commençait à réfléchir. Avant que Mélinda ne puisse clairement lui répondre, elle lui posa ainsi une seconde question :
« Et... Je pourrais encore voir... mes copines... Maîtresse ? »
La vampire s’assit à côté d’Ayumi, sur une partie du lit qui n’était pas encore trop atteint par les flaques de semence. Elle embrassa Ayumi sur les lèvres, goûtant à la semence de cette dernière, un bref et tendre baiser, puis se releva, observant le sexe de la jeune fille. Elle aurait pu tout de suite lui répondre, mais cette scène, à dire vrai, l’excitait particulièrement. En son for intérieur, elle décida donc d’opter pour un petit jeu. Se redressant, elle approcha sa main du sexe d’Ayumi, et caressa sa verge, remuant ses doigts le long de son membre, le pressant et le serrant, sentant ce dernier remuer entre ses doigts. Avec son autre main, elle joua avec le lacet noir retenant sa robe, au niveau de ses seins, et répondit totalement à côté de la plaque :
« Tu as sali ma robe, vilaine petite catin... En théorie, je devrais te punir, mais, étant magnanime, je vais t’offrir une seconde chance... »
Que voulait-elle dire par là ? La vampire continua à jouer avec le lacet, et le défit. La robe glissa alors sur le sol, la révélant dans sa quasi-nudité. Elle délaissa le sexe d’Ayumi, et se débarrassa de sa culotte, finissant aussi nue qu’Ayumi pouvait l’être, et grimpa sur le lit, ses jambes de part et d’autre du corps de son esclave. Ses deux mains revinrent alors masturber la queue de la nageuse.
« Fais-moi jouir, ma petite salope, et je consentirai à te laisser voir tes copines, et à les baiser sauvagement. »
Et Mélinda, après avoir dit ça, alla s’empaler sur le membre d’Ayumi.
« Haaa... Vas-y, fais-moi sentir ta queue, ma chérie... »
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Si Ayumi avait demandée si le fait de s'entrainer avec une Sirène était pour de vrai, ce n'était pas parce que la belle hermaphrodite ne la croyait pas, mais parce qu'elle avait du mal à y croire, la nuance était subtile. Pour la japonaise, un nouveau rêve allait bientôt se réaliser. Mais plutôt que de répondre à ses questions, la vampire opta plutôt pour jouer avec son nouveau sexe, le caressant et le dorlotant sous les gémissements de plaisir de Ayumi.
- Tu as sali ma robe, vilaine petite catin... En théorie, je devrais te punir, mais, étant magnanime, je vais t’offrir une seconde chance...
Peu de temps après, Mélinda se retrouva nue eu sur le corps de la belle esclave, continuant de masturber celle-ci. Ayumi se retrouva bientôt plongée dans un monde de luxure – de nouveau – et se laissa totalement faire, jusqu'à sentir sa nouvelle queue pénétrer l'antre humide de sa Maîtresse. Peu habituée à de telles sensations et cela étant sa toute première pénétration, Ayumi jouis rapidement dans son utérus, mais pas une aussi grosse quantité que peu de temps auparavant. Et puis, sa maîtresse lui avait ordonnée de la faire jouir, donc elle la prendrait autant de temps que nécessaire, peu importe le nombre d'orgasmes qu'elle aurait.
- Oui... Maîtresse... Haaa... Haaaaaa.... Haaaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaaaa !!!!
Salivant copieusement sur sa poitrine, Ayumi prit puissamment sa Maîtresse en la tenant par ses hanches, envoyant son membre aussi profondément que possible, jusqu'à taper contre son utérus. La nageuse était littéralement folle de plaisir et eu de nombreux orgasmes dans le corps de Mélinda, gonflant progressivement son ventre. A mesure que le temps passait, son sexe masculin continua de grandir, prenant bientôt tout l'espace disponible, que ce soit en longueur ou en épaisseur. Mais suite à un énième orgasme, son sexe fini par passer le col de l'utérus pour se retrouver directement dans celui-ci, le gland nageant dans la semence accumulée.
- Maî... Maîtresse... C-c'est tele... ment... bo...on... Haaa...aaa...aaaaa.... !!!!
-
Si Mélinda avait généralement, dans une relation sexuelle, un rôle actif, ce n’était pas pour autant qu’elle refusait l’inverse. Au contraire, il était parfois très intéressant et très instructif de se borner à un rôle passif, d’être la pénétrée. C’est précisément cette philosophie que la vampire suivait en ce moment. Elle était montée sur Ayumi uniquement pour inciter cette dernière à agir, et sentit rapidement la nageuse jouir... Encore. Il fallait croire qu’Ayumi dissimulait des merveilles d’endurance, car elle était infatigable. La Sirène de Mishima jouit ainsi dans le corps de Mélinda, avant de la retourner, et d’avoir le rôle actif. Mélinda se retrouva sous Ayumi, et cette dernière fit craquer le lit, pénétrant vigoureusement sa Maîtresse, la faisant soupirer et trembler. Ses mains moites serraient le corps de la femme contre le sien, tandis qu’elle avait enroulé ses jambes autour de son bassin, afin de mieux apprécier cette intense pénétration. Le sexe de la femme la défonçait, et Mélinda se sentait remplie, une sensation qu’elle adorait tout particulièrement quand elle laissait aux autres l’immense honneur de pouvoir se perdre dans son intimité. Cette sensation de déchirement était onctueuse, un mélange savoureux de douleur et de plaisir.
« Hummm... Haaaaaa-aaaaaaaaaaaahhhh... » soupirait Mélinda, poussant de légers cris.
Ses ongles grossissaient instinctivement sous l’effet de la douleur, devenant des griffes qui « caressèrent » légèrement la peau d’Ayumi. Mélinda savait que la jeune femme n’appréciait pas du tout la douleur, mais elle avait bien du mal à se retenir. En sueur, le corps rouge, Mélinda sentait Ayumi enchaîner les orgasmes, ces derniers opérant l’effet inverse. Au lieu de réduire la taille de sa queue, le fait de jouir semblait l’augmenter. Un résultat que seule la magie et la technologie pouvaient faire. Sous son corps, Mélinda se laissait dominer, retrouvant des sensations généralement rares chez elle, habituée à la domination. Elle sentait la femme la bourrer, entendait le lit craquer, et se sentait écrasée. Certes, Ayumi n’était pas très imposante, mais c’était toujours ça de pris. Elle s’enfonçait en elle, la remplissant, et Mélinda multipliait ses cris.
Naturellement, la vampire eut assez facilement un orgasme, mais il ne fut que le premier d’une belle série. Ayumi était une femme qui semblait instinctivement très douée pour le sexe. Certes, tous les humains étaient, par défaut, attirés vers le sexe, mais certains s’en débrouillaient mieux que d’autres. L’éveil à la sexualité d’Ayumi avait été l’un des plus explosifs jamais vus par Mélinda, lui donnant l’impression délectable d’avoir créé une sorte de monstre sexuel. Mélinda continuait à la laisser jouer en elle, et finit par l’embrasser, gémissant de plaisir, sentant la queue d’Ayumi se glisser toujours plus profondément. Le baiser fut assez bref, en raison de l’état d’excitation prononcée des deux femmes.
« Maî... Maîtresse... C-c'est tele... ment... bo...on... Haaa...aaa...aaaaa.... !!!! » soupirait Ayumi.
Ça, elle n’allait pas essayer de prétendre le contraire ! C’était même délicieux, tout ce foutre qui s’enfonçait en elle ! Elle posa ses mains sur les fesses d’Ayumi, et l’embrassa dans la nuque.
« O-oui, acquiesça-t-elle. Tu... Tu honores a-avec ferté ce-ce privilège... Que... Que je t’ai do-donné... »
Mélinda avait inversé les rôles, et, à chaque fois, ses esclaves hermaphrodites essayaient de se surpasser. Il fallait croire que pénétrer Mélinda était pour elle un plaisir secret et inavoué, un fantasme puissant. L’état d’excitation avancée de Mélinda conduisit cette dernière à vouloir opter pour ce qu’elle aimait aussi énormément faire... Ou subir. La sodomie. Elle remua ainsi lentement sur le lit, jusqu’à retourner Ayumi, et se dressa au-dessus d’elle, sentant le sperme de cette dernière, mélangée à sa cyprine, glisser le long de sa queue. Mélinda se retira dans un soupir, et, avec un sourire à l’attention d’Ayumi, se posa sur un tapis se situant sur le sol, à quatre pattes, bombant ses fesses vers l’arrière.
« Viens, Ayumi... Viens, et défonce-moi par l’arrière... »
Son ton légèrement suppliant ne laissait aucun doute sur l’état dans lequel elle était.