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Robin était pour ainsi dire menottée. Ca commençait très bien. Elle avait un petit sourire au coin des lèvres, amusée par la situation plutôt qu’alarmée.
« Qu’est-ce qui te fait sourire toi ! »
Elle observa avec un air de pitié le pauvre geôlier. Un type à la voix trop grasse, tout comme le reste de son corps. En deux mots : C’était un homme immonde. Peu importait de toute manière qu’il soit moche ou beau cela n changeait rien pour la belle brune. Qu’il contente de l’emmener en cellule, elle fera le reste. Enervé par son silence et ce petit sourire narquois, il sortit son épée et en pressa la lame, tremblant, contre la gorge à la peau fine de notre archéologue.
Rob ‘ arqua un sourcil, apparemment étonnée qu’il démontre sa virilité par ce genre de petite violence. Elle ne sourit plus, et ça convint à l’homme qui rangea son épée et la poussa par le bras pour la faire avancée dans le grand couloirs sombre où la seule lumière était l’ombre des petites torches. A chaque silhouette désignant une porte, on pouvait entendre des gémissements de peur, de douleur ou de plaintes. C’était endroit était fait pour être morbide, ambiance réussie.
« Je devrais profiter de toi la vilaine ! »
Elle l’ignora totalement mais il la força à s’immobiliser, enfin crut la forcer car si elle le décidait là et maintenant, elle lui brisait la nuque et personne pleurera sur sa pauvre carcasse. Mais être fait prisonnière était son but, ici, elle obtiendrait des connaissances précieuse car la plupart des personnes enfermées ici n’étaient pas seulement des criminels, mais également des opposants plus intellectuels à la dictature et c’étaient eux qu’elle voulaient côtoyer. Et ici, les visites étaient interdite le seule moyen d’entrer était soit d’être un gardien, un prisonnier ou un marchand d’esclave. Cette dernière catégorie faisait souvent des tours en prison pour récupérer les petites voleuses qui dérobait de la nourriture pour survivre, et récidivait jusqu’à atterrir ici.
« T’es sourde ! On cherche à te mettre la main dessus depuis tellement longtemps apparemment ! Haha, t’es bonne pour la corde chérie…au mieux, on viendra te chercher et tu seras au service du pire des tyrans, enchaînée, petite garce »
Il empoigna un de ses seins et lui donna une tape sur les fesses. Chose que cette fois-ci, elle ne put laisser passer. Bien que menottée, elle donna un puissant coup de coude dans la graisse du gardien qui eut le souffle coupé pendant quelques secondes. Il la poussa en avant, abandonnant. Ce lâche préférait les filles plus dociles et sans forces. Robin avait appris à défendre et préserver son corps, elle. Il pouvait l’insulter, elle s’en foutait royalement mais la toucher était absolument hors de question.
« Puisque c’est comme ça va croupir ! »
Il l’attrapa par le bras, bifurqua vers une porte à barreau qu’il ouvrit, détacha ses menottes et la poussa à l’intérieur. Elle se réceptionna sans mal et il fut frustré de ne pas avoir eu assez de force pour la faire tomber à terre. Alors qu’il refermait la porte, elle lui fit un petit et sensuel bye-bye de la main provocateur. Une fois seule, elle fit le tour du propriétaire et réfléchit. Il fallait attendre qu’un autre prisonniers passe ou se manifeste, ainsi, elle se libérerait et embarquerait un des intellectuels. Pour l’instant, le silence malheureux régnait ne laissant place qu’aux gémissements terribles. Dans la cellule d’à côté, on semblait violer une femme, un peu plus loin, on torturait un homme. Elle s’adossa à un mur, patiente et attendit simplement.
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Marchand d’esclave ?Eyh, il faisait partie de cette dernière catégorie, après tout il n’était que le meilleur marchand de Nexus. Ca tombait bien qu’il appartenait a cette catégorie. Normalement les criminels enfermés ici étaient sensés y croupir et ne jamais en sortir. Mais avec quelques pots de vins bien placé un marchand d’esclave pouvait récupérer de bonnes occasions. Le pot de vin était généralement cher, mais eh, ça valait mieux que de laisser un de ces crétins de geôlier se servir lui même d’une marchandise de luxe.
Pour sa part Don, était arrivé dans le quartiers des gardes et le maton corrompu de service lui montrait la liste des portraits de Wanted qu’ils détenaient comme un catalogue commercial. Don feuilleta les suspectes mais ne trouva rien de vraiment intéressant hormis un poster datant d’un moment, montrant une enfant…Nico Robin…Intéressant, où avait t’il déjà entendu ce nom ?Il regarda la légende et remarqua que le gouvernement la poursuivait pour haute trahison. Bien, une espionne…Une femme rusée, une enfant rusée, il se tourna vers le garde.
« Donne moi quelques informations sur cette Nico Robin »
-Elle t’intéresse ?Ce poster a été pris y’a 20 ans de ça, et on vient a peine de la capturer, toute chaude sortie du dehors, ses pouvoirs nous ont donné du mal, Et mon gars, c’est une espèce de…
« OK, je la prend, combien est ce que tu veux, avec le supplément habituel »
-Tu va tordre les barreaux cette fois ?Ca a pas beaucoup plus a nos supérieurs.
« Ta gueule Ronnie, je te paille assez cher pour que tu la ferme non ? »
Le dénommé Ronnie haussa les épaules et finit par lui pointer du doigt un couloir au loin
-Allez va la chercher, je rentre pas dans tes combines cette fois, pourquoi tu te casse la tête a te faire passer pour leurs amis avant ?Tu m’énerve, démerde toi mais chuis pas là pour t’aider a réaliser tes fantasmes. Tu prend ta marchandise et tu te casse. Je tiens pas a me faire engueuler par le patron encore une fois.
« Je ne l’oublierais pas Ronnie. »
Fit Don sur un ton mécontent tandis qu’il payait le geôlier et avançait dans le couloir. Il voulait se faire passer auprès de Robin pour un prisonnier et monter une évasion avec elle, mais visiblement ils n’étaient pas près a se plier a sa fantaisie. Après tout cette prison était sensée être inviolable. Don s’avança jusqu'à la cellule de Robin et l’ouvrit, il put alors voir que malgré tout il avait fait le bon choix, cette Robin était magnifique, opulente, et déjà il sentait qu’ils n’allaient pas s’ennuyer.
« Allez viens avec moi. »
Fit Don a Robin alors qu’il accrochait une chaîne de fer autour de ses menottes et la tirait par le bras en maintenant fermement sa prise pour que les pouvoirs de celles ci soient annulés. Il devait se mefier, elle était espionne, et ESPer. Il la tiendrais bien 20 minutes le temps qu’elle n’utilise pas ses pouvoirs. Evidement pour le moment Robin ignorait la disparition de ceux ci et probablement que celle ci continuerais a jouer le jeu en pensant les avoirs.
Il tira sur la corde et finit par la faire sortir de prison vers l’extérieur, là il avait une charrette ou il fit monter Robin…
Il ne restait plus qu’a repartir pour Nexus, et sans se faire prendre ou la perdre de vue
« Nico Robin c’est ça ? »
Demanda Don avec curiosité, il voulait savoir quel type de femme il avait devant lui
« Je suis Dorian Garan, pourquoi vous êtes vous fait capturer ? »
Demanda t’il innocemment
« Après tout je vous ait fait sortir d’ici alors c’est le moins que vous puissiez me dire, mais j’espère que nous aurons une bonne relation, amicale, j’aime sortir les prisonniers de leurs chaînes »
Bluffa t’il, il avait touché son bras pendant les 15 minutes qu’il avait fallu pour remonter des profondeurs d’Eternum jusqu'à l’extérieur. Puis il l’avait lâchée une fois que la comédie était finie, sans savoir qu’il faudrait 15 heures a robin pour regagner sa capacité extraordinaire
« Maintenant que nous sommes dehors je n’ai plus besoin de jouer le jeu »
Fit il alors qu’il lui enlevait ses menottes, espérant gagner sa confiance.
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Voici depuis à présent un quart d’heure qu’elle patientait. Elle avait fini par renverser sa tête en arrière pour l’appuyer contre le mur, se cambrant un peu. Alors qu’elle s’apprêtait à fermer les yeux, la porte grinça. Immédiatement, sa tête revint en position normal et ses sens furent aux aguets. Que lui voulait-on ? Et à la lumière faible de la torche, une silhouette masculine se profila.
« Allez viens avec moi. »
Elle eut peur de ne pas vraiment comprendre. Qui était-il ? Un gardien. Elle douta fortement cependant,mais mieux valait ne pas mettre son plan en péril et au pire, si c’était un imposteur, elle le tuerait sans plus de cérémonie. Elle observa la chaîne qu’il accrocha à ses menottes et fronça les sourcils. Depuis quand on baladait des prisonniers avec une chaîne. L’autre petit con de gardien c’était bien servi de ses mains pour la faire avancer. Elle devait avoir affaire là une génération de geôlier plus sophistiqué.
Robin fut surprise quand il tira sur la corde pour la faire sortir. Elle fronça les sourcils et n’aimait pas vraiment cette position de supériorité qu’il se donnait. Elle se fit violence pour ne pas semer un cadavre de plus sur sa route. Elle verrait bien ce que voulait celui car pour l’instant, i lla dérangeait un peu dans ses plans.
Elle se pinça la lèvre en voyant qu’ils sortaient de la prison. Elle qui avait fait des efforts pour y entrer voici qui l’amenait totalement à l’opposée et réduisant en cendres ce qu’elle avait entreprit. C’était irritant et énervant. Surtout que les gardes n’avaient rien dit ou fait. Et ce fut cette donnée qui sauva la vie du jeune homme. Ils n’avaient rien fait, donc elle était en train d’imaginer son transfert vers une autre prison.
Nico se foutait pas mal du prénom de ce dernier, et pas mal de sa vie. Elle tiqua cependant à cette phrase :
« Maintenant que nous sommes dehors je n’ai plus besoin de jouer le jeu »
Elle se massa distraitement les poignets et déclara simplement :
« Parfait. Je vois qui vous êtes. Je vois même parfaitement. »
Pour qui la prenait-il franchement ? Une pauvre conne ramasser sur le marché. Elle était une intellectuelle, et avait une culture impressionnante sur ce monde. Non, elle ne connaissait pas tout mais suffisamment pour ce dire qu’elle était tombée sur un marchand d’esclaves. Et puis même, il ne fallait pas être bête. Un type qui entrait en prison tranquille et faisait ressortir une femme aux beaux atouts. Ca ne pouvait être que ça. Sans parler du fait que le gardien l’avait trahi en déclarant à Robin qu’elle risquait fort d’être donnée en esclave à un tyran dans le meilleur des cas.
« Je vous donne donc une chance. Disparaissez de ma vue. »
Robin ne souhaitait vraiment pas se fatiguer avec ce genre de fripon. Qu’il fasse son business tranquille et la laisse en dehors de ça.
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Merci cher Ronnie, grâce a lui sa couverture avait volé en fumée, mais celà ne changeait rien, il plongea ses yeux dans les siens. La belle fugitive était rebelle et ne se laissait pas avoir facilement, son corps était magnifique et comme elle n'avait jamais été arrêtée, il présumait qu'elle était encore...Encore vierge, une belle femme mature comme ça qui ne connaissait pas encore les plaisirs de la chair...Il allait surement prendre grand plaisir a la prendre...mais en temps voulu, pour le moment il allait simplement continuer a jouer le jeu du gentil libérateur, montrer qu'elle se trompait après tout n'était pas sure, elle avait surement du faire une déduction, et Don aussi savait utiliser sa tête et son improvisation, doucement il sourit a ce rejet de Robin.
Il allait surement pouvoir en tirer quelque chose.
"Tu te trompe."
Répondit t'il a la jeune femme avec son doux sourire dont il se parait toujours pour livrer les plus atroces vérités. Il prit une inspiration et un sourire posé en ne se décarant pas de son sourire avenant. Fixant bien Robin dans les yeux...Il lança avec assurance.
"Je suis en effet marchand d'esclave, c'est vrai, mais c'est une couverture, je fais partie d'une organisation secrette cherchant a renverser le pouvoir sur Nexus...Et nous avons besoin de gens de ton espèce pour nous aider, car ta réputation te précède..."
Fit Don en passant une main dans ses cheveux avant de braquer son regard sur Robin, ne cherchant pas a braquer son corps pour ne pas flinguer sa couverture, ni provoquer chez lui d'excitation qui le trahirait
"Nico Robin, vous êtes la seule qui peut nous ramener les informations que nous voulons. Si vous voulez descendre là je ne vous en empecherais pas, mais aussi prêt de la prison, vous reviendrez croupir dans celle ci."
Fit Don dans sa charette...En fermant les yeux.
"Que choisisez vous?"
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Nico Robin était ennuyée par ce colosse aux allures de prédateurs. Il avait totalement foutu en l’air son plan, qu’elle avait mis des jours à préparer. Maintenant, elle allait devoir retourner à la prison sur une totale improvisation. On disait merci au pauvre con.
"Tu te trompe."
Voyez-vous cela, elle se trompait. Une bonne nouvelle pour lui alors, car il était toujours devant ses yeux et elle tenait vraiment bien pour ne pas lui porter préjudice. Néanmoins, un léger sourire narquois naquit sur es lèvres fines et douces alors qu’il lui sortait une histoire dont elle remettait en doute les fondements. Il ne devait pas avoir compris ce qu’elle lu avait dit. Peu importe qu’il soit marchand d’esclave ou soubrette du dictateur, elle ne souhaitait pas qu’il traîne dans ses pattes.
« Je ne choisis rien. Je retourne là-bas et sans toi. Parce que toi, tu vas retourner d’où tu viens. »
Avec habileté, elle se releva et sauta hors de la charrette. La délivrer, non mais quelle trs mauvaise idée. Robin avait perdu son rictus, un mauvais signe. Son humeur était sabotée par ce marchand d’esclave. Elle ne souhaitait justement servir personne, aucune autre cause que la sienne.
Bien évidemment, au départ, elle avait bien observé qu’il avait posé sur elle un regard de marchand pour évaluer ce qu’elle valait. Et elle n’aurait pas été étonnée de savoir que son corps de femme excitait ce type. Deplus, il devait savoir que les gens de l’espace de Nico n’aidaient pas grand monde et qu’ils étaient dangereux pour leurs alliés. De toute manière, ça ne l’intéressait pas spécialement de se la jouer vendetta. Elle comprenait juste qu’il lui faisait perdre son temps.
Sans plus se soucier de lui, elle observait le bâtiment pénitencier un peu plus loin, avant de soupirer. Elle devrait molester le gros sans doute, pour qu’ils la remettent en prison. Non, hors de question de se faire capturer à nouveau. Elle devrait plutôt entrer par effraction, et trouver elle-même les bons informateurs.
Déjà, elle repartait vers le bâtiment, totalement confiante, et prête même à affronter deux ou trois combats. Elle croyait toujours avoir son pouvoir.
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Contrairement a ce qu'elle pensait les gardes étaient devant la porte et lui reprirent les mains, avant de lui passer des menottes d'un ton sec, le garde qu'elle avait agressée lui lança avec un regard haineux.
-Attend ma jolie!Tu va regretter d'avoir laissé passer ta chance...
Don la regarda partir et se leva, bien ça allait être bientôt le moment, Ronnie raccompagnait Robin dans les cachots. La faisant marcher devant lui avec sa pique pour être sur qu'elle ne lui remettrait pas un coup de pied dans le ventre. Ronnie serrait les dents, elle allait regretter maintenant. Après tout Don venait de la prendre, il pourrait la tripoter un peu et accuser le marchand d'esclave le cas échéant...
Don ne pensait pas que Robin préfererais rester en prison plutôt que de venir avec lui...Mais il n'avait pas jeté l'éponge...Elle allait très vite regretter son affaire....Le marchand d'esclave en était sur, il se releva et la regarda partir au loin avec un sourire...Surement qu'un destin pire l'attendait.
Nico Robin et Ronnie dépassèrent sa cellule tandis qu'il la poussait, a la première question il répondrait un "T'occupe et avance" alors qu'ils descendait de plus en plus profondement dans la prison, il poussa une porte.
Derrière celle ci se trouvait une salle de torture, avec divers materiaux, des fouets, des sarcophages a pointes, des fers chauffés au rouge...Bref le stuff complet, Ronnie l'attacha a la table avec des lanières de cuir, seulement les mains, puis se recula
-S'pèce de garce, je vais te montrer qui commande maintenant
Fit il alors qu'il se débraguettait, dans le but de sortir son engin, quand deux bras puissants lui prirent le cou.
-GGhh...D...Don?!
Le marchand d'esclave avait corrompu un autre garde et avait suivi le gardien dans les sous sol a son insu, il lui lança avec un soupir
"Je te l'avais bien dit que je m'en souviendrais, Adieu."
Fit Don avant de lui briser la nuque et de le laisser s'écrouler au sol, il se tourna vers Robin.
"Bien, inutile de garder ces masques plus longtemps. Je suis bien un marchand d'esclave, et je crois que tu as besoin d'une bonne leçon pour t'apprendre une vérité que tu n'aurais du jamais oublier..."
Fit Don en s'approchant d'elle en enlevant son T-Shirt et en se débraguettant a son tour
"Tu es ma chose, je t'ai payée, tu es mon objet, et je vais prendre possession de toi[/i]
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D’accord bon, finalement il serait plus facile de se faire capturer. Elle se rendit à cette évidence alors que le gros là revenait jouir de sa victoire. Comme à son habitude elle resta impassible devant sa ridicule démonstration d’autorité. Il voulait se venger de quoi exactement ? Bon, peu importait, plus vite elle rentrerait dans cette prison et plus vite elle en ressortirait D’ailleurs, elle savait exactement quels prisonniers voir, vu qu’elle avait lu leur descriptif physique et vu leur portrait quand elle avait infiltrée les bureaux du gouvernement de Nexus.
Cependant là, ils durent être tout de même deux pour l’attacher ce qui l’amusa. Ils étaient pathétique ces pauvres gars. De toute évidence, on était reparti pour une charmante balade et elle revisita la prison. Avançant sans que l’autre eût besoin de son piquet ridicule qui n’arriverait même pas à empaler une brochette. Elle mémorisa les lieux, les couloirs et les virages pour savoir exactement par où sortir.
A défaut que Robin remarqua un changement de direction par rapport à la première fois. Il descendaient plus bas, vers les cachots. Parfait, là étaient logés les opposants politiques et quelques historiens fâcheux qui remettaient en doute le régime. Ronnie la poussa dans une salle de torture vraiment très original et toujours stoïque elle arqua un sourcil.
Une séance de torture hein ? Mais quel sadisme, elle en pleurerait presque. Elle ne s’attendait certes pas à cela. Elle ne comptait pas se faire torturer. Cependant histoire de surprendre ce pauvre type jusqu’au bout, elle joua la comédie pour mieux qu’il tombe de haut par la suite. Elle tuerait ce type rien que parce qu’il avait eu la chance de l’attacher à une table. Allongée sur la table, elle s’amusa même à prendre une posture plutôt sexy pour le faire enrager et l’exciter. Elle se tourna donc son visage vers Ronnie et l’observa dans le but d’user de son pouvoir.
« Pour qui tu m’as prise… »
Et elle se coupa d’elle-même. Son pouvoir en marchait plus. Durant un millième de seconde, elle paniqua mais regagne vite son sang froid alors que l’autre commençait à retirer son pantalon. Là, se libérer devenait urgent.
Le destin était un bien joli joueur, elle remarqua alors le marchand d’esclave entrer et s’empara de la gorge du gros. Lu plus important, elle entendit son véritable nom et le grava dans sa mémoire. Don. Mais le problème était son pouvoir. Pendant que ce Don s’occupait du garde, elle se concentra avant de pester intérieurement. Elle comprit alors qu’elle avait eu affaire à un autre Esper. Comme une bleue. Elle se décevait elle-même ne pas avoir pu percer jusqu’au bout la véritable personnalité de Don.
"Bien, inutile de garder ces masques plus longtemps. Je suis bien un marchand d'esclave, et je crois que tu as besoin d'une bonne leçon pour t'apprendre une vérité que tu n'aurais du jamais oublier..."
Robin tenta de défaire ses liens. Elle releva ses pieds pour les poser sur la table, sa petite robe noire qui ressemblait à une nuisette si on regardait les dentelles qui en bordaient les pans, tomba sur son ventre, dénudant totalement ses jambes et montrant la superbe petite culotte pourpre qu’elle portait et son porte -jarretelles de la même couleur. Un de ses pieds, chaussé d’une petite bottine noire battit dans l’air alors qu’elle trouvait plus de force pour détacher ses liens.
Tu es ma chose, je t'ai payée, tu es mon objet, et je vais prendre possession de toi
« La seule chose que tu vas prendre c’est mon talon dans tes bijoux de famille mon beau. »
Et alors qu’elle lui répliquait ça, sa main droite se libéra. Ronnie décidément avait été trop pressée et n’avait pas insisté sur les lanières. Cependant, il fit exception pour la main gauche qui refusait de se libérer. Elle se redressa sur la table, s’appuyant sur son coude gauche et s’aidant de la main droite pour défaire les lanières de la gauche. In extremis, elle réussit à se détacher, mais pas assez rapidement pour sortir de la table, il était déjà devant celle-ci. Elle lui tira la langue et prit son sein droit pour le soupeser et le malaxer avec une moue déçue avant de poser un regard explicite sur Don.
« C’est ça que tu veux mon pauvre ? T’es d’un pathétique. »
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Don ne laissa pas le temps a Robin de faire plus, il la plaqua contre la table, retournant son bras dans son dos pour l'immobiliser, la collant a lui avec sensualité, puisqu'elle n'avait pas d'autre choix que de se serrer ou de briser son bras, ce qu'elle n'apprecierais surement pas. Don lui lança alors avec un sadisme pur digne de son génie maléfique
"Je t'ai prise pour ma possession, et bientôt tu va être la première a reconnaître ce rôle."
Fit il, tandis qu'il passait son autre main autour de sa taille pour la serrer contre lui. Robin put sentir entre ses larges et oppulentes fesses la virilité de Don, visiblement préssé de faire connaissance avec Robin, Il sortit une paire de menottes et l'attacha avant de l'envoyer au sol
"Devrais je te torturer pour arriver a mes fins..."
Fit Don, a présent bien parti pour la suite des evenements, s'agenouillant près de Robin, il lui lança tout en palpant ses fesses a travers ses vetements.
"Tu es une femme sure de toi, intelligente, tu n'a pas peur de me provoquer avec ton corps...Il fallait bien que ça arrive un jour, et comme tu es si intelligente, tu va te faire le plaisir d'imaginer ce qui va se passer..."
Fit Don alors qu'il continuait son office, il palpait l'arrière train de Robin alors que son autre main vint soupeser son sein droit, lourd et rond
"C'est de ça dont tu était si fiere?"
Fit le marchand en passant dans le décolleté pour le tenir
"C'est vrai tu as de quoi...Tu es une femme intelligente, alors tu savais qu'un jour ton pouvoir finirait par se faire défaut...Tu n'aurais pas du compter sur lui..."
Lança Don en lui léchant l'oreille, agripant ses fesses d'un coup et pressant son sein, ainsi que son corps contre le carrelage froid
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Elle s’attendait de toute manière à être maîtrisée, mais Robin continuait de garder sa froideur et elle ne paniquerait pas parce qu’un homme la plaquait contre lui. C’était déjà arrivé, seulement jamais sans son consentement. Elle grimaça quand il lui tordit le bras et n’eut d’autre choix que celui de faire ami-ami avec son torse.
"Je t'ai prise pour ma possession, et bientôt tu va être la première a reconnaître ce rôle."
Elle n’apprécia pas la prétention dont il était imbus. Pas plus que son bras qui s’était emparé de sa taille pour l’étreindre un peu plus. Elle sentit clairement le membre imposant de Don s’inviter contre elle, sans pudeur aucun. S’attendit-il à ce qu’il la félicite pour cette vigueur qu’un étalon pouvait envier. Nico ne se formalisa pas des menottes, elle qui avait cru s’en débarrasser, finalement, elle devait bien les aimer.
Sa rencontre avec le sol, elle la prit avec moins d’ironie et tenta de se redressa un peu car si elle était bien remplie de quelque c’était son orgueil féminin.
« La torture hmm ? » déclara-t-elle avec distraction prouvant qu’elle se foutait pas mal de ce genre de menace bonne à effrayer les petites filles.
Robin resta immobile alors qu’il passait une main sur ses fesses. Qu’il se fasse plaisir, ça n’ira pas plus loin, c’était une chose dont elle était sûre. Une femme intelligente certes, par rapport à lui, elle voulait bien le croire. Elle rit d’ailleurs, ce qui était très rare et dans cette position, elle trouvait le moyen de se foutre ouvertement de lui. Elle ne paniquait pas et ne paniquerait sans doute pas.
Elle observa également son sein quand il le toucha et haussa les épaules. Elle en était fière bien évidemment, et l’était encore plus en remarquant qu’il ne pouvait déjà plus le lâcher. C’était réellement les femmes qui dominaient les hommes en leur faisant perdre cette précieuse raison avec leurs atouts plus qu’appréciable. D’ailleurs, une femme comme elle pouvait savoir apprécié les soins d’un homme, mais pas un homme comme lui. Elle était vierge mais elle avait toujours choisi ses compagnons de flirts avec exigence. Elle avait un goût prononcé pour les aventuriers galériens et surtout un minimum honnêtes.
Alors qu’elle était plaquée contre le carrelage froid, touchée par le marchand, elle déclara :
« Tu compte faire quoi cow-boy ? Me prendre ici, à côté d’un cadavre et me vendre ? »
Elle avait eu tort de s’en remettre à son pouvoir seule, c’était vrai, la faille provenait de là mais elle ne s’était pas attendue à…
« Je ne m’étais pas attendue à rencontrer un Esper aussi sexy que toi qui proposerait des choses à faire rougir une prostituée. » sourit-elle.
Elle prenait ça comme une discussion de salon de thé. Ni terrifée, ni paniquée, ni énervée. Enfin, énervée un peu, agacée surtout mais elle avait le top pour cacher ses petites contrariétés de rien du tout. Robin était motivée. Tout de même, elle agita ses poignets pour trouver à se dégager des menottes assez vieilles. Elle les racla contre le carrelage rude, créant un bruit grinçant.
« Si tu permets pendant que tu apprécie la marchandise..je vais tenter de défaire mes liens. Ne me dérange pas surtout pas. »
Elle aimait user d’ironie et elle le tournait clairement en dérision. Ses doigts s’acharnaient sur les menottes et elle continua de les petites chaînes contre un bout de carrelage. Enfin, à la palce de Don, elle le détacherait car il n'y avait aucune gloire à maîtriser une femme attachée. elle le croyait tout de même avoir un peu plus d'expérience et user de ce procéder avec les petites adolescentes réticentes.
"Je suis d'ailleurs presque vexée qu'un grand gaillard comme toi m'attache comme s'il croyait que même sans mon pouvoir, je réussisse à lui échapper."
Et si en effet il craignait cela, il avait raison. car elle attendait clairement qu'il fasse une erreur comme la détacher.
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Don eut un sourire mauvais et eu tant fait de caller les bras de Robin derrière elle pour l'empecher d'aller plus loin...Il allait bientôt la faire déchanter. Ce qu'il préférait c'était les voir lutter jusqu'au moment où il allait entrer en elle puis qu'elle s'effondre de voir que rien n'avait marché. Après quoi il la conditionnerais pour être une esclave bien obéissante qui répondrait docilement a ses attentes. Il aimait voir celles qui avaient une forte volonté céder sous le poids de son "influence".
Elle avait un sacré orgueuil, mais plus orgueuilleuse elle serait, et plus la chute serait dure. Il avait d'abord cru Robin vierge, mais avec un comportement pareil il ne pouvait que constater qu'il n'était pas premier, c'était tout ce qu'elle avait réussi a lui faire croire pour le moment, car il était bien décidé a prendre possession de ce corps voluptueux a la poitrine lourde et ferme. Il en bavait presque, Robin n'était pas une gamine, elle était une vraie femme, et il se sentait d'humeur a honnorer une vraie femme...Alors qu'il la touchait elle lui demanda ce qu'il allait faire, la torturer?
"Ma torture."
Fit Don avec un sourire. Elle allait surement finir par craquer, car elle ne connaissait pas l'étendue de son sadisme
"Celà ne me dérange pas de te prendre ici et maintenant et quand je te vendrais, Nico Robin, tu me supliera de recommencer encore et encore ce que je m'apprète a faire..."
Fit il alors qu'il sortait la poitrine de Robin de son décolletait et commençait a sucer le mamelon de celle ci avant de le mordiller un peu, son autre main passa sous sa nuisette et saisit sa culotte pour la baisser et dévoiler a présent ses fesses...Hmm...Il manquait quelque chose...Elle lui fit remarquait qu'il l'attachait pour rien et Don celui ci répondit
"Tu songera a l'avenir a me considérer mieux que ça, car une prostitué ne recevra pas autant que toi maintenant...Je ne t'attache pas pour t'éviter de t'enfuir...
Il se leva soudainement et attrapa un crochet qu'il attacha aux menottes de Robin, la suspendant dans les airs. Il se mit a saisir un martinet clouté au mur, ce genre de fouets qui avaient plusieurs lanières qui écorchient légèrement la peau
"Alors, tu comptait me tenir tête?"
Fit il en fouettant ses fesses d'un coup sec
"Nous verrons combien de temps tu va tenir."
Il enchaina en fouettant a nouveau son posterieur mais sur l'autre fesse tout en tournant autour d'elle
"Tu me demandera bientôt grace..."
Il la fouetta alors sur le sein droit, puis gauche, et enfin a l'entrejambe, juste au dessous du nombril pour provoquer une excitation
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Voyons, il se voilait la face là. L’attaché pour lui faire honneur. Un peu plus et elle rougirait. De toute façon, ça l’arrangerait s’il se compte de petites prostituées parce qu’elle n’était pas du tout prête à lui accorder quoi que ce soit, surtout qu’il n’avait même pas demandé gentiment.
Elle l’observa tira un crochet avant de soupirer. Ce type avait de l’imagination. Nico claqua sa langue contre son palais, agacée alors qu’elle était hissée vers le haut, pendue par les poignets. C’était un peu douloureux pour ses biceps que se tendaient et ses épaules qui se pliaient. Elle savait qu’elle ne pourrait pas rester ainsi des heures. La belle brune fronça les sourcils, incommodée parce qu’il venait de prendre : un petit fouet à plusieurs lanières.
"Alors, tu comptais me tenir tête?"
Elle se mordit la langue quand le fouet entra en contact avec la peau de petit derrière. Il divagua. L’autre fesse connut le même sort. Il divagua à nouveau. Elle ferma les yeux quand il frappa ses seins l’un après l’autre et s’arracha presque l’intérieur de la joue quand il en vint à fouette son bas-ventre, là, il était allée trop loin. Elle ouvrit ses yeux, furieuse et tendit son jambe droite au moment où il s’apprêtait à frapper de nouveau. Le trajectoire du martinet rencontra donc la bienveillante et fine cheville de la sulfureuse archéologue. Ey d’un mouvement du pied simple fit en sorte que plusieurs lanière s’enroulent autour de sa cheville. Elle grimaça préparant sa force et son élan. Profitant de la surprise provoquée, elle tira son pied à elle, traînant Don à elle. Il tenait toujours le fouet normalement et elle avait usé de toute la force dont elle pouvait faire preuve. Il était fort et elle souffrit de cette résistance. Elle prépara son pied gauche et en élança le talon à la rencontre de la mâchoire du vendeur.
Elle entendit un bruit désagréable lorsque le talon de sa bottine frappa l’homme. Elle savait très bien que ça n’avait pas suffi à l’assommer, il ressentirait à peine une douleur, quant à lui briser la mâchoire elle n’avait pas compter dessus malgré la force mise. Mais au moins lui saurait à quoi s’en tenir. Elle plia ses coude, se soulevant et cette fois-ci recommença en frappant deux fois, des deux pieds. Une nouvelle fois à la mâchoire, puis une autre fois au torse.
« Ce n’est pas bien de réclamer ! » lui fit-elle avec une vieille morale.
Le problème restait sa position, Don se remettrait vite de ses coups et elle savait que les conséquences pourraient être fâcheuse. Elle se laissa à nouveau suspendre, un peu fatiguée par cette effort mais endurer, elle savait faire. Maintenant, il fallait s’en remettre au destin. Peut-être qu’une idée lui viendrait plus tard, elle comptait dessus en tout cas.
Elle souffla, après cet effort et le foudroya du regard; Elle en avait vu des hommes grands et forts mais lui, c’était un véritable colosse et si elle avait eu son pouvoir, elle aurait au moins invoqué quelques quatre vingt dix bras pour lui briser les os.
« Si tu veux me prendre, tu devras avoir mon consentement. Et c’est bien dommage parce que vu comme t’es partie t’es loin de l’avoir. Et tu l’auras jamais. T'es pas mon genre de mec.»
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Don avait senti que Robin tirait sur le martinet et au lieu de lacher prise ou de tenir, il tira sur celle ci, ammenant la jambe de Robin contre lui alors qu'elle lui assenait un coup de pied, coup de pied vu l'élan minimal et la proximité du gros dur qui passa pratiquement inaperçu pour lui malgré qu'il fut asséné en pleine machoire. Don se massa le cou un moment, tout en tenant la jambe de Robin entre ses mains puis contre toute a tente se mit a remonter celle ci en la léchant d'une langue rapeuse avec un délice presque gerbatoire.
"Eh bien, on perd patience Nico Robin?"
Fit Don alors qu'il levait les yeux vers la jeune fille, comme elle n'avait pas de culotte, il avait une grande vue sur l'endroit principal de son corps, mais il y reviendrais plus tard. Don se contenta de remonter la jambe en la parcourant de caresses et de léchouilles qui, il en était sur, la revolterait au plus au point...Arrivé a porté il saisit l'autre jambe et remonta vers sa poitrine, et donc vers sa tête
"Oh?Mais pourtant tu ne m'aime pas, et pourtant je vais te prendre, et personne ne viendra t'aider pour te sortir de là. Et crois moi, je te ferais regretter cher ton impertinence..."
Fit il alors qu'il léchait les seins enormes de Robin, bien placé entre ceux ci, il se mit a mordre son mamelon droit tout en tenant ses jambes...
"...Et bientôt tu me suppliera pour être ton maître..."
Fit il alors que, pendant que ses bras retenaient les jambes, ses mains passaient sur ses fesses et tiraient la robe de Robin a l'arrière, avant d'arracher celle ci, la laissant nue en collant suspendue au crochet, il se mit a la parcourir de caresses plus prononcées avec toujours ce même sourire plein de délice.
"Mh...Quel corps tu as...Une femme mûre...Tu es décidement bien trop belle pour être prise par un gardien de prison..."
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Robin grimaça quand il reprit bien vite le dessus, savourant sa jambe. Elle tenta de s’extirper de l’influence de cette dernière sur sa peau. Elle détestait perdre ce genre de contrôle et enrageait littéralement qu’il puisse faire courir sa langue sur sa cuisse sans prendre le risque d’avoir la nuque brisée dans la seconde. Elle était totalement blessée dans son orgueil féminin.
Il tenait cependant trop fermement sa cuisse pour qu’elle puisse la dégager. Elle grimaça quand il remonta vers sa poitrine, déblatérant son discours tout à fait hors de propos pour Nico qui n’accepterait jamais, même dans la 999ème dimension qu’une telle chose se produise.
« Arrête ça, tu n’auras rien. »
Elle se fatiguait pour rien, mais elle le dirait autant de fois qu’elle aurait un petit souffle de vie. Elle était déjà assez en colère comme ça de s’être laissée prendre au piège comme une débutante. La brune jura quand il arracha sa nuisette qui avait coûté cher.
« Tu vas me la repayer ! » s’indigna-t-elle.
Elle releva son regard vers le plafond, et plia une nouvelle fois les bras pour se hisser un peu plus haut et tenter de passer ses jambes autour du cou de ce colosse mais rien à faire, il était trop grand et avait une prise trop ferme. Elle se laissa retomber, suspendue, et soupira.
« Je suis même trop belle pour toi, mais ça on en parle pas, on est d’accord pour le dire. »
Elle s’humecta les lèvres, consciente que de toute manière des caresses restaient des caresses et que son corps finirait par y répondre, elle souhaitait juste retard l’échéance. Gagner un peu de temps, car si elle redoutait une chose c’était celle de se faire dépuceler par un type pareil. Ca n’arrivera pas, et ça ne pouvait pas arriver, elle en était convaincue et ne pensait pas tomber de haut ainsi.
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Mmmh...Se massant le visage entre les deux seins de Robin il goutait a une extase qu'il ne connaitrait jamais avec les petites lycéennes...Prendre possession du corps d'une femme bien formée comme Robin était un plaisir et il atteignait le paradis par ce simple contact, les mains de Don courraient sur les fesses de la jeune femme, les palpant, les aggripant tandis que sa bouche s'occupait se sa poitrine...
Hm, après ça il allait pouvoir monter au ciel et mourir en paix...Il se sentait transporté au contact de Robin...
"Mh. Au contraire je crois que je vais tout avoir. Et je ne te laisse pas le choix."
Il mordilla le sein de Robin avant de mordre et de tirer sur lui, bien sur que bientôt elle ploierais sous ses caresses. C'était son destin...Il ne savait même pas par ou commencer dans ce corps...Il abaissa le crocher pour se retrouver au niveau de Robin et approcha sa virilité de celle ci, tenant ses jambes de chaque coté, son sexe appuyant sur le sien.
"Personne n'est trop belle pour moi, je te conseille de commencer a me supplier, parce que je me souviendrais de tout quand tu sera docile."
Il la laissa parler pendant deux bonnes minutes tout en flattant son sexe, puis soudain, au beau milieu d'une phrase, sans crier gare il s'introduit en elle de toutes ses forces
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Nico soupira quand il décida de pousser le traitement offert à sa généreuse poitrine. Déjà, elle rougissait un peu contre son gré à cause de la chaleur qui se dégageait de ce genre de gestes. Elle n’avait pas honte de succomber aux caresses d’un homme mais lui, elle le détestait ce n’était absolument pas pareil. Coucher avec lui n’était pas une horreur en soi, si elle se forçait bon mais l’idée d’être traitée comme un objet la répugnait simplement.
Elle paniqua à peine quand il la fit descendre à elle, se servant tranquillement. Il n’eut même pas besoin de tenir ses jambes plus longtemps vu qu’elle les entoura par réflexe autour de sa taille. Rob savait qu’elle ne pourrait pas échapper à sa, elle avait partie un round, le nouveau commençait et elle allait tout faire pour prendre du plaisir sur ce coup là, en dépit du sien.
« Tu te trompe…han… »
Le han caractérisé par le sexe vigoureux de son ennemi qui demandait son intimité.
La belle sourit en coin alors qu’il s’introduit violemment en elle. Se cambrant sous ce bourrage soudain, elle laissa échapper un petit rugissement d’une voix grave et profonde tout en réfugiant son visage contre son bras, haletante. Son sourire s’élargit alors qu’elle s’habituait avec douleur et difficulté à la présence de Don en elle. Elle posa son regard sur lui et l’embrassa farouchement avant de déclarer :
« C’est toi qui risque de m’en redemander, »
Nouveau terrain de jeu. Robin devait s’adapter, pour l’instant et bien qu’elle était horriblement brisée du fait d’avoir perdu sa virginité de manière aussi simple, elle se promettait vengeance, et la vengeance était pour elle un simple jeu. Elle ferma les yeux avant de mordre la lèvre de Don très furtivement. Elle plia ses bras et se hissa à nouveau, remontant son bassin de cette seule traction qui lui demandait un gros effort, elle délogea le membre impressionnant du marchand de son étroit vagin avant de resserrer sa prise autour de sa taille avec ses jambes. Ceci fait, elle se laisser retomber, et s’empala sur le sexe en râlant de douleur et de plaisir. Ca commençait à venir, le problème était qu’elle ne mouillait pas assez.
« décidément, tu ne m’excite pas assez » railla-t-elle
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Don se foutait bien de ce que Robin pouvait dire, le fait est qu'elle ne pouvait plus le nier, il était entré en elle, il la prenait, il la possédait et pour l'instant il menait la danse...D'ailleurs pourquoi pour l'instant?Il allait mener la danse pour toujours...Pour toujours a présent car Robin lui appartiendrais bientôt, il mettrait peut être un moment a lui laver le cerveau, mais il y arriverait. Généralement il faisait plus d'effet parce qu'il s'attaquait a des cibles vierges, et le choc traumatique les convertissait bien plus vite....Une seconde...
Cette coulée carractéristique, cette couleur...Robin saignait...Ce qui voulait dire que...
"Tu était vierge?"
Il éclata de rire alors qu'il s'aggripait a son posterieur, plantant ses ongles dans son fessier généreux pour accellerer les pulsions en elle. Agrandissant les parois de son intimité il lança a la jolie brune alors qu'il léchait un de ses seins
"T'es vraiment une garce. Tu ne peux plus nier que j'ai raison maintenant...Ressent donc ce plaisir...Le meilleur que tu pourra ressentir de ta vie..."
Il s'enfonçait en elle de plus en plus profondement avec des râle d'effort...C'était bon, Robin était une femme tout ce qu'il y avait de bien formée et en plus de ça elle était vierge...
"Merci de t'être gardée pour moi..."
Don se retira soudainement de Robin...Etait ce fini?Le marchand d'esclave eut un sourire
"Et comme ça je t'excite assez?"
Sans aucune préparation préalable il entra dans son arrière train, se forçant le passage comme une brute avant d'éclater de rire puis de prendre le martinet avec un grand sourire
"Perd pas la main"
Fit Don en introduisant le manche dans l'orrifice avant
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Elle se tut immédiatement lorsqu’elle sentit son propre sang filer lentement sur sa cuisse intérieure. Elle pâlit soudainement.
"Tu était vierge?"
Et il se mit à rire. Pourquoi riait-il ? Nico n’avait plus du tout envie de jouer, était totalement choquée et un vent de panique menaça de s’emparer du peu de self-control qui lui était resté. La belle brune déchantait rapidement avant de comprendre un peu plus la réalité. Le marchand entrait en elle sans plus de cérémonie. C’était étroit, oui, elle le sentait bien et c’était peut-être ça le problème. Elle tourna la tête alors qu’il forçait une énième pénétration en elle et colla sa bouche à son bras, à présent douloureux à force d’être tendu et elle mordit sa proche chair de douleur et de désarroi .
Son corps était secoué à chaque coup que donnait le colosse et se poitrine s’écrasait contre son torse par la même occasion. Elle n’était pas une garce, ou du moins pas pour lui. Mais elle lâcha la peau de son bras, rouge de la marque de ses dents, pour lâcher un cri étranglé alors qu’il arrivait plus profondément en elle, butant sans relâche dans son intime abusée par sa verge démesurée. Une intimité qui d’ailleurs jouait le jeu et se contractait avec délice autour du membre qui s’était invité en elle.
"Merci de t'être gardée pour moi..."
« Connard… »souffla-t-elle entre deux gémissement, le visage crispé.
Elle tremblait d’ailleurs un peu et finit par ne plus sentir ses bras, uniquement la lame de chair qui la poignardait plus bas. Elle ne put souffler que quand il se retira d’elle, et crut son calvaire finit. Ses joues étaient rouges de douleur et de chaleur, et elle saignait toujours un peu. Ses cheveux bruns, trempés de sueur se plaquaient à son visage, et quelques mèches barraient sa vue, occultant pour moitié cette dernière. Peu importait, elle voyait déjà flou. Des larmes ? De rage et d’impuissance oui. Elles s’échouèrent au sol.
"Et comme ça je t'excite assez?"
Pour toute réponse, il eut son cri de douleur, strident et puissant. Robin se cambra violemment et ses pleurs redoublèrent, à présent alimentés par de véritables larmes de douleur. Un mince filet de salive coula à la commissure de ses lèvres. Elle n’en pouvait déjà plus, peu habituée à une telle domination et l’avenir ne pouvait que se noircir un peu plus.
Elle rugit de nouveau quand il fit pénétrer l’objet dans son vagin avec toujours autant de délicatesse bien évidemment. Elle avait l’impression d’être rabaissée à un simple objet que l’on bourrait, car pour bourrer Don le faisait. Robin tentait vainement de se défendre, mais la douleur la brisait.
« Je… »
Elle cria une nouvelle fois de douleur alors qu’elle sentait la verge étrangère la défoncer un peu plus fort.
« T’en… pr..»
Nouveau cri. Elle était essoufflée, et sa respiration saccadée n’arrivait plus à suffire aux battements violents de son cœur. Elle finissait presque par y crorie qu'elle était une garce soumise à la volonté de ce pourri et ca la rendait malade.
-
Don accellerait les coups de bassins et lui rentrait de plus en plus dans le derrière, sans se soucier de Robin qui se mettait a souffrir, et a l'insulter...Au moment où elle le traita de connard, Don la remercia en lui mordant le sein, il avait l'impression d'avoir plongé ses dents dans un gros steack bien juteux et qu'il se sentait incapable de le retirer...Robin avait un des plus gros bonnets qu'il ait connu jusque là, sauf dans les Terranides vaches, et il prenait beaucoup de plaisir avec eux, ainsi qu'a savourer la croupe exquise de Nico Robin, plongeant de plus en plus profondement entre ses fesses.
"Connard?Hm, oui, un connard qui obtient ce qu'il veut. Où elle est ta fiertée là?Maintenant que tu n'es rien de plus qu'une femme que je prend ici même dans une prison et que tu ne peux rien faire pour changer ça?"
Il la décrocha, laissant Robin tomber au sol, il lui enleva le martinet de son intimité avant de le caller là où était son sexe il y a quelques secondes de ça et de rentrer a nouveau en Robin...Et de l'asseoir sur ses genoux...Elle le supplia alors. Don lui demanda
"Tu as comprit ta place femme?Tu as compris que moi, je suis ton maître?"
Fit il avant d'entrer a nouveau en elle et de la prendre en la serrant contre lui, ses seins ballotants contre son torse musclé, Don lui lança
"Ose me dire que tu n'aime pas ça...Ose me dire que tu te dresse contre ta nature...Tu es très intelligente, tu dois comprendre ta place maintenant, allez je t'écoute, qu'est ce qu'on dit a son maître?"
Fit Don avec un air concillant, en léchant le cou de l'archéologue
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Il était clair qu’elle ne pouvait RIEN y faire, et c’était infernale de se savoir dans cet état d’incapacité. Elle serra les dents, tentant de supporter la douleur. Elle ne put qu’être soulagée le temps de quelques secondes de répit quand il la détacha. Ses bras, elle n’en avait plus le contrôle, elle ne les sentait plus. Elle avait trop forcé, et lui également. Ils auraient eu la même utilité que s’ils avaient été brisés.
La rencontre avec le sol fut douloureux, et elle comprit également qu’elle ne pourrait plus marcher droit avant au moins quelques jours. Nico était déchirée de l’intérieur et profondément blessée - y compris dans son amour-propre et son orgueil. Cet enfoiré l’avait brisé, et il avait adoré ça. Elle gémit un peu de souffrance quand il retira le martiner dans un bruit de succion avant de l’enfoncer dans son joli derrière. Il n’avait donc aucun scrupule à lui ôter tout répit. La belle brune tenta vainement quelques actes de résistance mais son corps bougea à peine, trop abusé pour répondre à quelques injonction de défense.
« Non… » souffla-t-elle alors qu’il glissait de nouveau en elle.
Elle se sentait tellement étroite, et si impuissante. Ses larmes n’avaient même pas eu le temps de sécher sur ses joues. D’ailleurs elle en avait épuisé le stock et ne marchait plus que par de violent sanglots secs qui secouait son corps. Robin se laissa soulevant comme une plume pour être assise à califourchon sur son violeur.
"Tu as comprit ta place femme?Tu as compris que moi, je suis ton maître?"
Elle ne comprenait qu’une seule chose : elle avait mal. Ses bras restaient ballants le long de son corps alors qu’il s’enfonçait de nouveau en elle, sans préalable. Elle détestait quand il faisait ça. C’était vraiment de la baise pour de la baise, elle n’éprouvait aucun plaisir, et n’y voyait aucune distraction. Et si son corps s’amusait à mouiller un peu, c’était son problème.
« Je..n’ai..ni…dieu…ni…maître… »
Elle gémit et força sa main fine et blanche à se rendre vers son fessier. Après plusieurs tentatives rendues très difficile par les pénétrations, elle échoua dans l’enterprise de retirer le martiner de son entrée interdite.
« D’acc…. »
Elle était intelligente oui. Mais avant tout, elle vivait un véritable calvaire.
« D’accord…han…je..ferai…Ce…que tu..voudras…mais…laisse-moi… »
Mentait-elle ? Sûrement. Sans dieu, ni maître. C’était une philosophie, certes anarchique, mais sur laquelle, elle ne reviendrait pas. Qu’il la défonce tant qu’il voudra, elle n’acceptera jamais de se détacher de sa liberté.
-
Mais Robin allait devoir se plier. Parce que tant qu'il resterais la moindre étincelle de rebellion dans ses yeux tant qu'il ne serait pas sur d'avoir une esclave docile et obéissante, il ne la lacherais pas d'une semelle. Et ce ne serait surement pas seulement lui. Elle serait prise autant qu'il le faudrait jusqu'a ce qu'elle lui leche les pieds. C'était pour ça que Don adorait les femmes indépendantes, c'était pour les voir craquer, être brisée entres ses poings et sous la puissance de ses prises. C'était pour ça qu'il se battait pour avoir celles ci avant tout le monde. Un autre marchand d'esclave n'aurait jamais réussi ce tour de force sans blesser et torturer sa prise. Les coups de martinets que Nico avait reçu disparaîtraient surement d'ici quelques jours...Mais jusque là il aurait le dessus sur elle...Et qu'importe les injonctions de la femme, elle aurait beau hurler il continuerais autant qu'il le faudrait pour qu'elle soit docile. Une femme d'experience de son gabarit avec des attributs pareils se vendrait sans problème et il sentait déjà autant sa prise sur Robin que celle qu'il aurait sur son argent...
"Si."
Répondit t'il quand elle lança non. Implacable. Car il ne lui laisserait aucune échapatoire, aucune chance de sortie après ça. Elle se soumettrait ou elle finirait avec toutes les autres insoumises :violées en series pour donner naissances a des filles qui se vendraient a sa place. C'était bien simple...Le choix ne lui appartenait plus. et avec le contact physique qu'il prolongeait avec elle depuis près d'une demi heure non stop, elle ne récupérerais pas ses pouvoirs avant un moment...Elle souffrait, elle souffrait le martyr, il le voyait bien, et a Don d'en sourire encore plus, il lui saisit le menton et lui lécha la joue avec une lenteur toute démoniaque de sa langue rapeuse avant de jouer avec le lobe de son oreille...Il enchaina avec douceur
"Je ne crois pas t'avoir entendu assez couiner, tu n'es pas de mon avis?"
Il retourna Robin et se remit a la prendre en levrette sur le coup, s'enfonçant de plus en plus. Don lança avec un sourire rempli d'ironie
"C'est ainsi que tu parle peut être au futur père de ton enfant?"
Fit Don en éclatant de rire alors qu'il arrivait a s'enfoncer de mieux en mieux, il saisit le martinet et se mit a le retirer et l'enfoncer dans le trou ou il était pour stimuler Robin
"Je te le redemande une dernière fois :Qui es ton maître?Et qu'est ce que tu désire?"
La réponse était réthorique. Il fallait qu'elle s'adresse sur un meilleur ton au maître de ses jours et qu'elle désire plus que tout qu'il achève sa besogne, et peut être même qu'il la mette enceinte...mais il voyait qu'elle ressentait du plaisir.
"Mais peut être que tu veux que j'arrête maintenant?"
Fit Don en restant en elle, mais arrêtant tout mouvement de bassin soudainement
-
Robin soupira fortement, en l’entendant. Elle désespérait de pouvoir se sortir de là et pourtant, il faudrait. Elle tenta d’extirper son visage à la langue avide du marchand, mais n’y arriva malheureusement pas , forcée de sentir cette texture rêche et humide se promener sur sa peau délicate. Elle ne voulait pas être vendues, elle ne souhaitait pas être à la solde d’un homme, c’était même hors de question.
« N… »
Elle aurait souhaité pouvoir lâcher ce Non, encore une fois mais elle était épuisée de par les séries de va et vients brutaux et prolongés qu’il maintenait à un rythme inhumain. Robin se laissa donc retourner, entravée par sa souffrance, incapable de la moindre réplique ou résistance. Sa poitrine rencontra le sol froid et rugueux, quel piètre confort. Cambrée au maximum, mais souple, elle se tenait sur ses avant bras pour ne pas s’étaler par terre comme une loque. De cette façon, Don avait un angle beaucoup plus plongeant pour arriver jusqu’au bout de son être. Et à chaque coup de reins, sa poitrine râpait désagréablement le sol, sa croupe relevée et tenue par le colosse.
Elle serra les dents et trouva la force d’ouvrir les yeux pour observer les divers instruments de torture, accrochés au mur alors qu’elle gémissait à chaque coup dans son intimité. Elle imaginait milles et uns traitements douloureux à ce cher Don. Des fantasmes aussi sanglants que macabres. Néanmoins, le désir de vengeance disparut bien vite à l’allusion d’une possible grossesse chez Nico. Elle écarquilla les yeux et se mordit la lèvre en lâchant un cri de désarroi et de colère, où était mêlé un peu de plaisir. Cette concession la rendit furieuse envers elle-même, appréciée d’être prise comme une chienne, c’était impossible. Elle cria une nouvelle fois alors que le martinet s’enfonçait pour ressortir et s’enfoncer à nouveau.
Mais quand ce calvaire finira-t-il ? Sa vision se brouillait et elle dut fermer les yeux une nouvelle fois.
Elle devait le supplier plus concrètement et lui prouver le plaisir, ou du moins le peu de plaisir, qu’elle prenait à être prise ainsi. Ce type ne manquait pas d’espoir et d’extravagance mais quand il s’arrêta brusquement, son visage se figea dans une mimique d’intense plaisir. Elle le sentait en lui, profondément. Elle arrivait à ressentir les échos des pulsions de la verges contre ses parois humides de sang et de mouille. C’était une sensation orgasmique et elle fut d’ailleurs terrassée par un orgasme quelques secondes plus tard, alors que son intimité avait enserré le membre en faisant sa possession le temps de joui.
Nico s’effondra alors, épuiser, ses avant bras n’arrivaient plus à la tenir mais sa croupe était restée relevée, la cambrant beaucoup plus. Elle sourit dans une grimace de douleur avant de souffler et de contorsionner son cou pour apercevoir son bourreau :
«fais de moi ce que tu veux...mais je ne serai...ni…soumise…ni…brisée… »
Elle serra les poings et la machoire.
-
S'arrêter de bouger avait fait jouir Robin. Un mouvement que le marchand d'esclave aurait pu attendre mais qui le vexa, ça en plus de la provocation évidente de l'espionne amenèrent le fait que Don la gifla avant de saisir son minois entre ses mains, lui écrasant les joues de sa poigne et de la regarder dans les yeux en fronçant les sourcils
"Qui t'a donné la permission de jouir avant moi, esclave?"
Fit il alors qu'il saisissait dans sa poche une trique, parfaitement, ces objets dont on se servait pour fouetter les chevaux et qu'il lui assenait avec deux coup cinglants sur ses mamelons, y mettant cette fois véritablement de sa force, il saisit un des lourds seins de Robin et se mit a le presser comme si il s'attendait a ce que du lait en sorte avant de lancer avec sadisme et autorité.
"Que je fasse ce que je veux de toi sans te soumettre ni te briser?Mais ma pauvre, je n'ai jamais dit que je te soumettrais et te briserais. Je vais te sauver..."
Fit il alors qu'il donnait un coup de trique sur ses fesses d'un seul coup
"Et tu as interêt a te laisser sauver. Je t'ai acheté, tu es mon objet, ma possession...Et si tu ne le comprend pas tu va très vite le comprendre..."
Il la retourna sur le sol et alors qu'elle tournait le dos elle entendit des crépitements...Il la maintint au sol un moment et quelques secondes plus tard une douleur cuisante naissait sur le posterieur de Robin. Don venait de sortir son fer rouge et de la marquer comme une vache. A présent l'emblème du marchand d'esclave apparaissait sur sa chair brulante. Don sourit...
"A présent tu es ma chienne. Et si je veux que tu porte mon enfant je te prendrais autant de fois qu'il le faudra."
Aussitôt il joignit le geste a la parole avant de l'allonger sur le dos et d'entrer en elle avant de recommencer les vas et vien, mais cette fois a la différence que le tatouage que Don venait de faire a Robin se frottait contre le dallage, brulant les fesses de celles ci par son frotement
-
Alors qu’elle se croyait tirer d’affaire, et laisser pour morte ici, une gifle brutale la réveilla de son agonie. Elle écarquilla un peu les yeux quand il agrippa son visage pour lui reprocher le fait d’avoir joui avant lui. Elle ne s’était pas gênée et tant mieux, il devait en prendre la responsabilité et puis…esclave?! Elle était pourtant persuadée qu’il avait renoncé à faire d’elle, une esclave, posséder son corps ne lui avait pas suffit?
Elle voulut s’échapper quand il sortit l’arme de sa poche mais elle était trop effondrée pour espère faire le moindre pas, de plus, elle était à moitié à erre, allongée en évidente position de faiblesse. Elle n’eut même pas la force de crier quand il la battit et elle se contenta de laisser couler deux larmes de douleur avant de gémir comme un animal torturé quand il s’empara violemment de son sein. Elle avait preur de prendre l’habitude de ce genre de traitement.
Au coup sur son derrière, elle se cambra figeant son visage dans une grimace de douleur.
Et dire ce que n’était rien face à l’horreur qu’elle ressentit quand une fois plaquée au sol, il la marqua sauvagement. Nico suait et tentait vainement de se débattre dans la douleur hurlait à travers son corps, elle crut un instant perdre ses forces et s’évanouir mais rien de ceci ne se fit. Elle voyait trop flou et ne distinguait même plus la voix de son bourreau, qui paraissait lointaine à ses oreilles.
Robin s’était surprise à préférer endurer la mort plutôt que cette torture.
Elle ferma les yeux quand il la retourna comme sa chose et crut s’étouffer quand il entra de nouveau en elle. Elle ne voulait pas…ça piquait, ça faisait mal et elle avait l’impression qu’on lui arrachait la chair à chaque coups de reins.
« Stop! S’il te plaît! » supplia-t-elle, vaincue par la douleur.
Elle souffla du mieux qu’elle put, les yeux gonflés de larmes :
« S’il…te plaît… »
Sa voix n’était plus qu’un murmure et elle se croyait perdre conscience une nouvelle fois mais non, la douleur la réveillait alors qu’elle le sentait buter en elle la prenant pour une simple chienne ce qu’elle devait bien être à ce moment là, d’ailleurs.
-
-Hj-Je vais être vraiment hard sur la fin, warning ::) -Hj-
Don éclata de rire aux supplications de Robin...Il la possédait entièrement, corps et âme, et si ça n'était pas le cas ça ne serait qu'une question de temps avant que ça soit le cas...Il entrait en elle et sortait avec bien plus de vitesse...Accelerant le rythme car il se sentait venir de plus en plus...Il sentait bientôt que la fin serait proche...Il avait brisé l'égo de cette femme arrogante et s'en réjouissait avec d'autant plus de joie qu'elle était intelligente et libérée, mais également inexpérimentée et qu'il allait pouvoir affliger Robin du traumas conséquent qui suivait la plupart de ses relations avec une joie sans précédent...
Le corps de cette femme était un rêve, aux formes prononcées et larges...et il complementa cette pensée en assenant un coup de croc aux seins de Robin, déjà parcouru de petites marques de dents rouges.... Il attrapa la jambe de celle ci et la fit un peu pivoter pour s'aider de l'appui qu'il y puisait pour pénétrer d'avantage en elle. Alors qu'il était dur de progresser dans son corps il était a présent extremement aisé de s'enfoncer en elle. C'était du a l'excellent travail qu'il avait fourni pour aggrandir l'entrée...
"S'il te plait?!Tu me fais une requête maintenant?Adorable petite chose!Je vais arrêter ne t'en fais pas!"
Fit il alors qu'il accellerait le mouvement de plus en plus...Il allait bientôt en venir au fait, Don se crispait de plus en plus, enfonçant ses ongles dans les jambes de Robin...
"Une fois que je t'aurais imprégnée!"
Et d'un coup sec il vint, poussant un râle libérateur et relachant l'essence de son plaisir dans l'entrejambe de Robin, attendant de bien vider celle ci, dans le but que tout rentre bien...Don finit par se dégager de la jeune femme et de la laisser choir au sol...Il se releva, entrepris de se rhabiller et fouilla dans ses affaires pour sortir un collier de cuir ressemblant a celui d'un chien qu'il passa au cou de Robin. Le reliant a une chaine.
"Allez, il est temps de partir...Tu connais le chemin."
Fit il alors qu'il rabaissait la jeune femme a terre, la forçant a marcher a quatre pattes, tandis qu'il tenait la laisse et la faisait avancer. Robin avait toujours le martinet dans son second orrifice, les lanières de celui ci frollant ses jambes...Don la fit avancer et sortir, prenant un fouet, il lui assena un coup violent sur les fesses.
"Je veux t'entendre aboyer. Allez."
Fit il alors qu'ils passaient devant les cellules des détenus qui se mirent a hurler comme des fous...Certains s'astiquant même aux barreaux et jouissant, leur semence retombant sur elle alors qu'il la faisait aller jusqu'a la sortie.
"Je n'entend rien..."
Lança Don avec sadique...Ce mouvement final finirait surement de réduire la volonté de Robin en miettes et la punirais pour sa résistance...
-Hj-Je te laisse poster et on a fini-Hj-
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Robin garda le silence, totalement choquée, les larmes de ses yeux se remirent à couler de plus belle et elle se mordait la lèvre alors qu'il continuait à lui faire encaisser ses coups de reins dépourvus de toute forme d'humanité. Elle tenta même de penser au plaisir même l'humiliation même que prodiguait cet acte lui arracha toute tentative pour en profiter. Elle serra davantage les poing, espérant qu'il cesse ce qu'il fit d'ailleurs mais après avoir déversé en elle tout ce qu'il portait depuis leur rencontre. Elle avait d'ailleurs gémi sous le dernier coup pour sentir le liquide arrosée copieusement son utérus. La pauvre grinça des dents, c'était l'humialition de trop. Elle ne se doutait pas que le pire allait venir.
Se retirant, il la laissa tomber au sol, totalement terrassée par ces derniers moments passés à la merci du marchand d'esclave. Elle reprenait doucement son souffle et la douleur à sa fesse gauche la fit grimacer. Elle n'était pas en état de fuir et son court répit ne servit à rien puisqu'elle sentit Don lui passa un collier autour du cou. Surprise, elle écarquilla les yeux et se figea tandis qu'il lui demandait de sortir. Forcée à se mettre à quatre pattes, elle comprit avec une sourde terreur où il voulait en venir et fut réticente. A chaque mouvement, une autre douleur dans son derrière lui rappela que le martinet était toujours là. Elle gémit légèrement alors qu'il l'obligeait à sortir marchant à quatre patte, comme une chienne.
Elle n'avait de toute manière pas le choix.
Elle se cambra quand il la frappa aux fesses et ne put accéder à sa requête. Aboyer serait lui ferait plaisir, et puis, elle n'aimait pas cette situation humiliante. Cette traversée devant les prisonniers qui criaient des choses immondes et se permettaient de jouir sur elle, manqua de la faire vomir. Son dos était imprégné de sperme, mais son visage également, tout son corps y était passé et à présent, elle touchait le fond. Elle détourna un peu le regard, déjà baissé, quand il lui assura n'entendre rien. Cet enfoiré savait en plus qu'elle ne pouvait plus lui résister, elle était prise au piège et ses larmes revinrent brutalement. Elle vomit même vers la sortie, avant de continuer à se laisser traîner à quatre patte.