Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Tani Rei le vendredi 29 octobre 2021, 22:00:32
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Il attendait la fin des cours. Ce n’était qu’un jeu d’être en ce lieu. Il assurait simplement d’avoir les connaissances des humains et il observait ce qui pouvait se cacher parmi les autres élèves. Les odeurs trahissaient les étrangers à ce monde…les créatures. Et parmi ces étrangers, il y en a un qui méritait d’être rabaisser plus bas que terre. Un male d’une autre race. Il n’avait tout simplement pas sa place, le Neko n’acceptait pas sa présence. Mais il restait un jouait amusant dans un sens…voilà pourquoi il était toujours vivant.
La cloche sonnait. Il sortait de la classe d’un pas lent, marchant dans le couloir tout en regardant par la fenêtre les différents individus du coin. Mais rapidement, la vision de cette mocheté ne put échapper à son regard. Cette tignasse blanche reflétait un peu trop le soleil. Inévitable du regard … désagréable.
Mais un autre détail l’interpellait. Plus loin se trouvait cette fameuse kitsune qui lui avait vendu sa fille … Soudainement, c’était l’illumination. Il avait le souvenir des formes de cette kitsune sur les mains. Il se lécha alors les lèvres avant de hâter le pas. Il ne fallait surtout pas les perdre de vue.
Alors qu’il y avait encore du monde dans les environs et que le Kitsune discutait avec sa mère, Tani n’hésita pas en arrivant à son niveau à le pousser violement pour qu’il tombe au sol pour ensuite lui cracher sur le visage et de lui donner un coup de pied dans le ventre histoire de le paralyser par la douleur …
-Dégage de la crétin … J’ai à parler avec ta mère qui m’a si gentiment livré ta sœur au lit.
Il regarda alors la mère avant de sourire pendant que le fils restait au sol à cause du coup de pieds. Il se faufilait alors derrière elle avant de venir l’enlacer par derrière et d’empoigner sa poitrine à deux mains …
-Dis moi … Après m’avoir fait prendre ta fille, tu es d’accord pour y passer aussi n’est-ce pas ? Avoir filmé Sethys en train de gémir avait dû te donner envie que je m’insère en toi … Parce que la … tu ne fais que perdre ton temps avec cet incapable de fils. Regarde-le au sol … Il sait que faire de la peine à sa mère.
Il lécha alors la nuque de la maman avant de lancer un regard au kitsune au sol avec un sourire sadique. Après avoir bien masser sa poitrine, il attrapa la taille de la jeune femme pour doucement lui faire prendre le chemin de l’école en marchant à côté de son fils et en l’abandonnant dans la poussière pour la salle de classe de Tethys.
-Pas la peine de te rappeler ce qui arrivera si tu refuses … N’est-ce pas la Kitsune ?
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Ces derniers temps et malgré le nombre d'amis que j'avais, la vie au lycée n'était pas toujours facile pour Set et moi. Surtout pour moi, dont j'étais régulièrement la cible d'insultes et de moqueries. Tout ça parce que de plus en plus d'élèves savaient que ma mère vendait ses services corporels dans son magasin, parce qu'elle avait besoin d'arrondir ses fins de mois. Heureusement que je savais être patient, mais il m'arrivait parfois de remettre les choses à leurs places, quand ça allait trop loin. Malheureusement la situation s'est subitement encore dégradée, avec la récente arrivée de certains idiots, dont une surprise de taille, celle d'un frère dont j'ignorais l'existence jusqu'à ces dernières semaines encore. En plus de nous retrouver dans une situation délicate Setyhs et moi, je trouvais aussi notre mère plus souvent inquiète. Je savais que c'était principalement relié à mon frère jumeau, mais je sentais qu'il n'y avait pas que ça. D'ailleurs elle avait certaines réactions, à être dans le déni de voir certaines choses, qui m'inquiétait personnellement. Il était donc temps que nous ayons une nouvelle discussion sur le problème en général...
C'est donc après nous être téléphonés aux heures de midi, qu'elle a finit par accepter d'en discuter après avoir hésité, me disant qu'elle avait en même temps quelque chose d'important à m'annoncer. Au point de préférer fermer sa boutique et venir me chercher directement à la sortie du lycée, à la fin des cours. Elle m'a juste demandé de ne pas prévenir Setyhs, dont elle s'inquiétait plus que d'habitude, parce qu'elle avait quelque chose d'embarrassant à me dire à son sujet...
Je quitte la salle de classe lorsque la sonnerie retentit. C'est impatient, inquiet et dans l'impossibilité de me concentrer durant toute l'après-midi après notre appel, que je me retrouve aussi vite que possible dehors, mes affaires rangés en vrac dans le sac à dos. Je rejoins le trottoir d'en face où elle est déjà en train d'attendre. Comme d'habitude, je l'embrasse. Et comme d'habitude, je ne cesse d'être subjugué par ses magnifiques grands yeux bleus. Ma mère était vraiment très belle et dans le fond, je comprenais pourquoi elle était si désirable...
- Salut maman, ça va?
Elle me sourit et me caresse la tête, avant d'échanger avec la timidité que j'ai appris à lui connaitre, certaines banalités que les autres parents font probablement à leurs enfants. Puis elle s'arrête subitement de parler et elle se met alors à regarder vivement dans toutes les directions, comme si elle avait soudainement peur de quelque chose...
- Ca va maman? Qu'est-ce qu'il y a? Il y a un truc qui ne va pas?
Ma mère qui ne répond pas tout de suite, a tout juste le temps de faire un pas en arrière, alors qu'on me pousse et que je tombe au sol. Lorsque je regarde celui qui a fait ça, je reconnais aussitôt un des abrutis de ma classe. Un de ceux qui me cherchent des problèmes et qui va bientôt les trouver si ça continue. C'est alors qu'il se met à me cracher en plein sur la figure...
- Espèce de...
Je n'ai pas le temps de lui dire autre chose, qu'il m'envoie un coup de pied en plein dans le ventre. Le coup était si violent, qu'il me paralyse et me coupe le souffle. J'écarte les yeux et j'ouyre très grand la bouche, alors que je prend mon ventre avec les deux mains. Puis il m'insulte en même temps, tout en disant quelque chose que je ne comprenais pas bien, mais qui semblait personnellement s'adresser à ma soeur. Cet enfoiré allait me le payer!
- Aah... Ma... man... Aaaah...
Pendant que je gémis de douleur et que j'essaie de prévenir ma mère pour qu'elle s'enfuit, l'espèce de connard s'approche d'elle en passant à côté de moi. Il se remet alors à en rajouter en insultant encore ma soeur, tout en s'adressant à elle. La douleur m'empêchait d'arriver à bien tout comprendre et de me lever, pour que j'aille le tabasser. Mais je comprenais l'essentiel de ce qu'il disait. Ma colère redouble alors encore, lorsqu'il enchaine des mots qui viennent de sa putain de bouche à merdes, pour dire des trucs dégueulasses sur ma propre mère! Et tout ça juste sous ses yeux, avec moi qui me tenait toujours le ventre par terre... Et lorsque j'arrive au moins à me retourner dans leur direction, je vois cette enflure en train de lui lécher la nuque et surtout de lui prendre les seins. Espèce de...
- A... Arrête ça... Ah...
Je ne savais pas si ce putain de connard savait se battre, mais il avait réussit à bien me prendre par surprise. Mais surtout, que faisait ma mère dans tout ça? Je savais qu'elle était du genre à facilement avoir peur. Mais elle devait quand même bien se rendre compte qu'en me voyant par terre, qu'elle devait essayer de faire quelque chose pour moi, comme au moins crier. Alerter les idiots qui nous regardent autour. Pourquoi ne le faisait-elle pas?
- Ma... man...
Encore estomaqué et paralysé par le coup de pied de cet enfoiré, que j'allais démolir à son tour une fois que j'arriverais à récupérer, je me paralyse encore plus, lorsque je vois ma mère en train de commencer à partir doucement avec lui. Malgré qu'elle me regardait juste au moment de passer à côté de moi, on dirait qu'elle ne semblait pas chercher à faire ce qui m'aurait semblé logique... Pour nous... Pour moi... Tout juste nos regards se croisent, avec moi qui tente de l'appeler et qui la supplie du regard pour qu'elle essaie au moins de crier, qu'elle se dirige vers le lycée, la main de ce connard sur sa hanche. J'étais en état de choc en voyant ça...
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Je ne me sentais pas très bien depuis ces derniers jours, avec ce qui était arrivé. Bien sûr je savais que je n'étais pas parfaite, comme tout le monde. Que ce que j'acceptais de faire à ma boutique, avait parfois certains mauvais retours vis à vis de mes enfants, qui heureusement arrivaient à me comprendre. Mais je venais de commettre une terrible erreur. Une impensable erreur qu'aucune mère ne pourrait faire et que j'avais pourtant bien commise... Déjà que l'arrivée de mon autre fils Letyhs que je croyais mort depuis toujours, compliquait encore les problèmes, qu'un incident désastreux a finit d'enfoncer le reste! Comment ai-je pu accepter de faire une chose pareille? Comment ai-je pu accepter que ce garçon, un élève de classe de mon fils, s'en prenne à ma fille et la viole juste sous mes propres yeux?... En vérité, une partie de moi avait la réponse, mais je me refusais jusqu'alors de croire être capable d'en arriver jusque là et de pouvoir en arriver à tomber si bas. J'avais appelé ma fille sous la menace, parce que j'avais peur qu'il me fasse du mal. J'ai donc choisis de lâchement collaborer avec ce sale gamin, en lui vendant Setyhs. Ma propre chair. Ma propre fille. Et tout ça pour qu'elle aille se jeter droit dans la gueule du loup! Toute la scène et les images me reviennent bien sûr en boucle. Son arrivée dans la boutique. Ce garçon qui lui saute dessus et qui s'en va avec elle dans la pièce d'à côté, celle que j'utilise moi-même pour vendre mon propre corps aux clients... Mais peut-être que le pire dans tout ça, c'est que j'ai accepté de jouer le jeu jusqu'au bout! Sous le seul prétexte de ne pas me voir me faire du mal ou d'incendier mon magasin, j'ai en plus d'accepter qu'il la viole, de fil...
Alors que je suis derrière le comptoir à m'inquiéter et à y repenser encore et encore une fois de plus, le téléphone sonne. Je sursaute et le je réponds ensuite, le temps de me ressaisir. Puis j'entends la voix de mon fils Tetyhs, au bout du fil. Mon coeur se serre et j'avais alors peur comme à chaque fois, que sa soeur ait pu le lui en parler. Qu'il se mette évidemment en colère et qu'il me rejette. Mais je ne voulais pas! Je voulais qu'ils croient sincèrement que je n'étais pas responsable et que je...
- Je ne sais pas Tetyhs, je suis très occupée aujourd'hui. Je...
Au bout du fil, Tetyhs qui ne semble rien savoir, a l'air d'être inquiet. A t-il des doutes? Apparemment même s'il me rassure légèrement, en me disant que l'état de Setyhs pourrait être encore pire, qu'il la trouvait quand même en partie soucieuse. Il me disait ensuite ce que je savais déjà, m'annonçant qu'il avait depuis ces derniers temps, plus de soucis que d'habitude à son lycée, avec certains de ses camarades. Je savais donc à peu près de quoi il voulait parler. Tetyhs voulait que l'on en discute une fois de plus...
- D'accord. Je viendrais ce soir à la sortie, ça te va?... Je.. J'ai moi aussi quelque chose d'important à te dire. Ca concerne justement Setyhs. Mais s'il te plait, ne lui en parle pas et viens seul, d'accord? Je fermerais le magasin pour être à l'heure, ça ne me dérange pas... Très bien... Oui moi aussi je t'aime!...
Après avoir hésité, j'ai pour une fois pris mon courage à deux mains. Je savais qu'il y avait des problèmes à régler et je m'étais soudainement dis que ça allait être l'occasion de pouvoir en discuter, maintenant qu'elle se présentait. J'étais donc prête à dire à mon fils, ce que j'avais horriblement accepté de laisser faire vis à vis de sa soeur. Y compris tout ce qui allait avec. Ma collaboration à cause de la peur... Même ma participation à filmer personnellement la scène par intermittence, sous la demande du garçon qui a brutalisé ma pauvre fille.
Une fois l'heure venue, je m'habille d'un petit pull rose pour me couvrir, avec l'un de mes pantalons habituels, lorsque je ne peux pas mettre de robes. A l'extérieur, je rejoins la station de métro par laquelle mes enfants ont tant de fois déjà eu la gentillesse d'emprunter, lorsque je leur demande un coup de main. Durant le trajet, je ne cesse de penser à la réaction de Teyhs, lorsqu'il va apprendre la vérité. Depuis que nous étions enfin réunis, il n'y avait pas un seul jour qui passait, où j'avais peur qu'ils me rejettent. C'est pour ça que j'étais prête à accepter toutes leurs remarques. Des insultes, aux mots les plus blessants. Tout ce qu'ils voulaient, du moment qu'ils pouvaient me pardonner et comprendre mes véritables intentions, derrière ma lâcheté. Quitte à leur expliquer la totalité de mon histoire, en passant par les moindres petits détail de ma vie, malgré qu'ils en savaient déjà une bonne partie. Mais au moins, j'étais rassurée de savoir qu'ils m'avaient déjà compris. Et c'est donc pour ça que j'étais prête à tout leur expliquer pour de bon. Je jure de plus jamais refaire ce genre d'erreurs! Il en va de la dignité de mes enfants, mais aussi tout simplement la mienne! L'amour et la confiance que me porte mes enfants, devaient absolument passer avant tout le reste! Et c'est ce que je m'apprêtais à leur faire savoir!
Une fois arrivée, je parcours le reste du chemin à pied, jusqu'à me retrouver juste en face de l'établissement scolaire de mes enfants, que j'ai toujours trouvé impressionnant à regarder. Il paraissait si grand! Et lorsque l'heure arrive et que les élèves sortent, je vois Tetyhs qui se retrouve presque parmi le premier groupe, à être dehors. Il arrive ensuite vers moi et nous nous disons d'abord affectueusement bonjour.
- Coucou Tetyhs. Est-ce que... Est-ce que tu as quand même passé une bonne journée?...
J'ai alors tout juste assez de temps de lui poser quelques questions sur sa journée et de passer ma main dans ses beaux longs cheveux, aussi argentés que les miens, que j'aperçois soudainement la tête du garçon que je n'aurais pourtant pas cru recroiser. C'était lui! C'était le sale... l'horrible garçon de l'autre jour, qui est venu à ma boutique et qui m'a obligé à lui donner ma fille, pour qu'il passe ses instincts répugnants sur elle et je... Pendant que mon coeur se met à battre très fort dans ma poitrine, je regarde dans toutes les directions, sans savoir quoi faire... Mais il nous avait vus! Et il se rapproche de nous!
C'est effrayée que je recule en arrière, alors qu'il bouscule mon fils en arrivant. Lorsqu'il tombe par terre, il lui crache dessus et il lui envoie sans même prévenir, un violent coup de pied en plein dans le ventre! Et tout ça en seulement quelques secondes à peine! C'est sous le choc, que je pousse un cri complètement muet, tout en regardant Tetyhs au sol, alors que l'horrible garçon de l'autre fois commence déjà à sous-entendre des choses sensibles sur le sujet. L'adolescent avec son regard intense, celui qui s'est permis violer ma fille dans mon propre magasin, me regarde presque sadiquement, tandis qu'il passe à côté de mon fils, qui se traine toujours par terre et qui grogne sous la douleur... Alors que je déglutis ma salive et que je ressens en même temps un énorme frisson, il vient se positionner juste derrière-moi et il... empoigne vigoureusement ma poitrine, dans ses mains! Face à sa prise ferme et inattendue, je me raidis encore plus, les bras légèrement écartés et sans oser bouger.
- Que... Qu'est-ce que tu...
Pendant qu'il me caresse la poitrine avec ses mains, il continue de reparler de ce qui s'était passé l'autre jour avec ma fille Setyhs, avec des mots vulgaires qu'il met exprès en avant et sans le moindre état d'âme. Alors que je me sentais déjà incapable d'agir. Choquée de voir comment il a prit par surprise mon fils qui savait pourtant se défendre, il me demande avec la manière disgracieuse qu'avaient la plupart des jeunes de son genre, de... coucher avec lui? Il voulait que je couche avec lui, alors qu'il s'en était déjà pris à ma fille et maintenant à mon fils, qu'il vient de violemment frapper?...
- Je... Je... Je...
Complètement perdu, alors que je continuais de croire que Tetyhs n'était en rien responsable de l'incident tragique qui s'était produit avec ce garçon, il vient me lécher la nuque et continue encore de me toucher les seins. Et tout ça sous les yeux de mon fils impuissant, qui est toujours au sol et qui souffre... Et voilà que je me raidis encore plus sur moi-même, quand ce mauvais garçon aussi inconscient que pervers, retire ses mains de ma poitrine, pour ensuite me la poser sur la hanche, tout en venant de nouveau me menacer si je refusais de le suivre. Pendant que je commence à me faire entrainer, j'ai juste le temps de regarder une dernière fois Tetyhs qui semble me supplier d'essayer de faire quelque chose, alors que je fais route vers le lycée, sans opposer la moindre résistance. Qu'est-ce que je fais?... Qu'est-ce qui est en train de m'arriver, alors que j'avais promis juste avant...
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Tani ignorait tout simplement le jeune kitsune une fois qu’il était à terre. Son seul interet était maintenant la mère qui était la. Elle semblait ne pas réagir aux supplications de son fils. Une bonne nouvelle. Il allait faire d’elle ce qu’il voulait à ce rythme. Il lui laissait malgré tout le temps de pouvoir observer son fils impuissant tout comme son fils pouvait observer sa mère s’abandonner à celui qui lui mettait la misère dès qu’il le pouvait. Mais il ne laissait pas tout ça durer éternellement. Il emportait bien vite la jeune maman pour l’emmener vers le bâtiment …
- Je... Je... Je...
-Hmm ? Il me semble que tu devrais dire … Oui maitre. Je vous suis maitre. A vos ordres, maitre. As-tu compris ta place ?
Il continuait de s’éloigner du Kitsune à terre avec le sourire, main sur la taille de la mère avant de lever son autre main en l’air comme pour dire au revoir à Tethys.
-Merci pour ce magnifique cadeau mon petit. T’inquiète pas, je vais m’en occuper comme la chienne qu’elle est ! Tu devrais t’en être rendu compte maintenant.
Dit-il dit à l’intention du jeune Kitsune à terre devant d’autres élèves qui filmaient ce qui se passait à ce moment-là. C’était sur et certain que ces paroles allaient faire le tour du bâtiment sans qu’il ait besoin d’y mettre quelques efforts. Il disparut donc avec Ethys dans le bâtiment scolaire en ayant pris la direction de la salle de classe.
Le petit Tethys allait mettre un moment pour se remettre du coup qu’il avait reçu. En attendant, il poussait sans douceur Ethys à l’intérieur de la salle de classe, manquant de la faire tomber et il fermait alors la porte à clé pour ne pas être déranger. Il sourit alors et attrapa le haut du bras d’Ethys pour la tirer et presque la jeter sur le bureau qui appartenait à son fils.
-Bien … Il est maintenant temps que tu me montres la soumise que tu es … n’est-ce pas ma petite chienne ?
Il sourit sadiquement avant de préparer son téléphone et de le poser avec un bon angle prêt de la fenêtre pour ne pas avoir de contrejour en direction du bureau du Kitsune. Il revient alors vers Ethys et sans attendre une seule seconde, il passait une main entre ses cuisses, caressant longuement d’une caresse insistée sur sa chatte encore habillée … poussant le tissu de sa culotte à la pénétrer.
-Tu vas pouvoir exprimer toutes les vérités pour que je les montre à ton fils et à ta fille plus tard … Que tu aimes être traiter comme tu vas l’être. Tu ne m’aurais pas suivi sinon n’est-ce pas ? Montre leur ton côté de salope …
Il s’amusait bien … Il sourit alors, se collant un peu a elle pour que les fesses de Ethys se déforme contre le bord du bureau de son fils. Il sortait alors lentement ses griffes sous les yeux de la Kitsune pour les faire glisser le long de la peau de son cou jusqu’à son pull rose. Il commençait alors à tirer dessus jusqu’à ce qu’il se déchire sur ses griffes sous la pression … laissant gentiment le soutif et le ventre de la mère à l’aire libre …
-C’est le bureau de ton incapable de fils … Que dis tu le marquer pour que ce connard comprenne qu’il ne pourra jamais récupérer une mère modèle ? Il aura ainsi tous les jours l’image de sa mère qui s’est fait prendre comme une pute sur son territoire …
Il sourit alors sadiquement avant de lui attraper la tête en prenant ses deux joues entre ses mains et de lui tourner la tête vers le téléphone pour que son visage soit bien visible. Tani collait ensuite sa joue contre celui de la mère et il regardait le téléphone à son tour …
-Regarde ta mère … elle aime se faire des gens de ton âge … Une vraie cochonne ...
C’était très clairement à l’intention de son fils et c’était dans la boite. Il ricana alors avant de lâcher le visage d’Ethys et de finir de déchirer ce pull … Il la fixait alors en reculant légèrement et il l’observait alors de haut en bas.
-Dépêche-toi d’enlever le reste … et tu pourras sortir ce qui va te pénétrer dans moins de 2 minutes ! Et mets-y du tient pour m’inviter en toi … chienne de Kitsune ! Si tu es sage … Je te dirai peut-être le nom de ton nouveau maitre.
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Une étrange sensation de chaud et de froid commence à s'entremêler en moi. J'avais peur et surtout je voulais dire non, mais je n'y arrivais pas. Avec le monde qu'il y avait, il me suffirait pourtant de crier. Ces jeunes gens tout autour de nous qui nous regardaient sans rien faire ou qui filmaient, pourrait peut-être alors comprendre si je leur demandais de l'aide? Mais je sentais bien que j'étais sous sa prise. Sous la menace de ce garçon, qui nous fait du mal et qui s'apprête à nous en faire encore plus en me violant non pas vraiment moi, mais tout le peu de fierté qu'il me reste encore. Tout le reste de dignité que je voulais encore essayer de préserver et de me raccrocher un peu, pour essayer de défendre ce que j'avais de plus cher... Alors qu'il en profite pour me provoquer encore, je l'entends crier à mon fils, ce qu'il envisage de me faire. Ce qui me faisait peur, c'est que je savais que Tetyhs ne s'en remettrait peut-être pas! Sa confiance et l'amour qu'il me portait, tout comme sa soeur Setyhs, volerait définitivement en éclat pour moi!... Mais je ne faisais rien... Je ne disais toujours rien... Je le laissais encore une fois faire à son gré, alors qu'on nous filmait...
C'est collé aux côté de ce très dangereux garçon, que nous traversons le lycée, avec sa main qui ne cesse de me tenir la hanche. Je ne savais pas où il voulait m'emmener et je n'osais absolument pas lui demander. C'est alors que nous finissons par arriver dans une salle de classe, maintenant désertée de tous et qu'il se met à me pousser à l'intérieur, sans aucun ménagement. Je me rattrape de justesse du déséquilibre, alors qu'il referme la porte. Raidis sur place, je le vois me faire son éternel sourire provoquant et inquiétant. Ce sourire destructeur et malaisant... Et sans oser bouger, il m'attrape par le bras, avant de me jeter sur l'un des bureaux de l'un des élèves de cette salle de classe. Lorsque je me rattrape encore une fois, je l'entends déclarer ce que je ressentais être maintenant comme une sentence. Ce n'était sûrement qu'un simple jeu malsain, pour cet affreux pervers violent. Et ce ne serait normalement pour moi, qu'un moment de soumission de plus à passer. Mais le vrai problème ici, c'est ce que je sentais que c'était différent! Je savais que si je cédais maintenant, que je risquais de répéter la même impardonnable erreur que j'ai commise l'autre jour, en lui donnant ma fille... Et alors, je savais que je perdrais cette fois tout! Comme il le disait, je ne serais vraiment plus rien d'autre qu'une chienne soumise, faisant passer ses plus bas instincts et prête à se donner, au sacrifice de l'amour de mes propres enfants! Mais plus que ses menaces, ce qui me faisait vraiment peur, c'est que ce garçon, cet adolescent sous ses airs destructeurs et méchant, semblait avoir déjà compris des choses à mon sujet... C'était comme si il lisait en moi! Comment est-ce qu'il faisait?
- Je... S'il te plait... écoute, je...
Sous la confusion et incapable d'exprimer les terribles enjeux qu'il pourrait y avoir avec mes enfants, si j'acceptais de coucher avec lui après ce qu'il avait fait à ma fille et maintenant à mon fils, je le vois sortir son téléphone de sa poche. Il le pose alors prêt de l'une des fenêtres de la pièce, avant de revenir vers moi. Avec la boule au ventre et cet éternel sensation de froid et de chaud qui se mélange dans tout mon corps, il pose une main sur mon entre-jambe encore recouvert, avant d'insister longuement dessus. Pendant que ma respiration se fait plus haletante, je le sens repousser le tissu de ma culotte, après une série de caresses. N'osant toujours rien faire, je ressens ses doigts me toucher le vagin. La sensation de chaleur et de froideur que j'éprouvais depuis que j'avais quitté mon fils avec lui, s'active encore plus intensément, surtout au niveau mon sexe qu'il était en train de toucher sans ménagement. Je suis tétanisée et j'ai l'impression de me faire dénuder mon âme elle-même, quand il continue d'appuyer sur les choses les plus secrètes et les plus dérangeantes à mon sujet. Toutes celles qui se trouvent à l'intérieur de moi. Et il voulait s'amuser à les mettre au grand jour, en me filmant avec son téléphone, pour ensuite aller les diffuser sans la moindre pitié, à mes propres enfants. Et en plus d'être parfaitement ignoble et immoral de faire ça, il savait donc que si je le laissais faire, qu'il détruirait toutes les convictions que j'avais encore à coeur de croire. Surtout comme l'importance de l'amour que je porte envers mes enfants et qui devait logiquement passer avant la satisfaction personnelle de mes instincts primaires, pour ne citer que les sexuels...
- Pitié... Je t'en prie pitié! Ne...
Pendant que je commence à le supplier de na pas faire ça, d'au moins ne pas me faire aller à coucher avec celui qui a violé et humilié ma fille, puis frappé et battu mon fils dans ménagement, ma voix se coupe. Je n'arrivais qu'à exprimer des gémissements... Et avec ce sourire qui va totalement finir par se tamponner dans ma tête, il se rapproche lentement de moi. Appuyée sur l'un des bureaux des élèves, il vient me coller fortement. Je sens qu'il essaie d'exercer lentement toute sa domination sur moi... N'ayant bien sûr pas les moyens de faire le poids face à lui, ça ne l'empêche pas de ressortir lentement ses griffes par surprise, devant mon regard apeuré. Comme si je suffoquais. Comme si je me transformais lentement en statue de pierre, il pose ensuite le bout ses griffes, sur mon cou. Je ferme alors instinctivement les yeux, sans bouger, sans parler. Il n'y avait plus que le bruit de ma respiration et l'écho de mes faibles plaintes, qui sortaient dans la salle.
Ce garçon venu lui aussi d'un autre monde et qui semble comme arriver à percer mon âme, me déchire ensuite lentement le pull. Lorsque je suis en soutient gorge, je rouvre les yeux en grand, quand j'entends la suite. Il me disait que je me tenais en ce moment, sur le bureau de mon fils!... Ce garçon sadique, sans principes et sans aucune limite dans ses jeux cruels, était prêt à me prendre sur le bureau de mon fils! Son objectif était vraiment d'essayer de briser symboliquement, le précieux lien que j'avais avec mes enfants! Il était prêt à le piétiner, dans le seul but de m'emmener à croire que mes intérêts sexuels, seraient plus importants qu'eux... J'avais l'impression de retourner à la trop longue période de ma vie, où l'on m'avait brisé. Faite de moi une parfaite esclave sexuelle, entièrement docile et aux ordre de ses maitres. Et ils avaient réussis! Combien de fois je ne les avais pas remerciés de m'avoir humilié? De leur servir de... pute bonne à baiser et à remplir?...
Comme momentanément absente, je le vois m'attraper par les joues, pour me forcer à tourner la tête vers son téléphone, qui doit déjà être en train de filmer. Pendant que je regarde dans la direction de ce qui risquerait de servir à briser et à humilier toute notre petite famille pour de bon, le garçon aussi sadique s'adresse directement à Tetyhs, par l'intermédiaire de l'objectif. Il imagine comme moi je me vois, en train de me faire prendre fougueusement, par le violeur de ma fille et par celui qui persécute gratuitement mon fils. Et tout ça pendant que je couinerais et que je lui en redemanderais indéfiniment. Et ces images, il compte le lui monter. Les montrer à lui, mais aussi à ma fille et certainement à tout le lycée. Je vais alors définitivement passer pour une mère indigne, qui préfère coucher avec les élèves et qui s'amusent à piétiner moralement ses propres enfants. Mais même si je sais que je ne pourrais pas l'en empêcher, je sais au moins que mes convictions, ma foi en mes enfants et l'espoir d'un futur, autre que celui de croire n'être rien d'autre qu'un jouet sexuel indigne d'être une mère, pourrait encore avoir une chance d'être préservé. Mais à une condition seulement... Je devais encore sincèrement croire que je ne pouvais prendre du plaisir, ni éprouver et exprimer le moindre désir, envers celui qui s'est amusé à détruire mes enfants. Si je le manifestais durant la durée que durera l'acte humiliant qu'il s'apprête à me faire subir, alors il aura prouvé avoir eu raison de moi. Je serais détruite et une partie de moi ne s'en relèvera plus jamais...
Comme s'il avait lu dans mes pensées, je l'entends rire comme il le sait si bien faire, avant qu'il ne me lâche ensuite le visage et qu'il finisse de me déchirer entièrement le pull. Puis il recule et il me fixe, tout en m'ordonnant d'enlever le reste de mes vêtements. Lorsqu'il me dit envisager de me donner son nom en tant que nouveau maitre, je frémis de haut en bas. Je savais que si il parvenait à me retirer l'espoir, la croyance en ce qui était pour moi le plus cher et le plus précieux au monde, que je serais vraiment une esclave sexuelle indigne, jusqu'à la fin de mes jours. Et en ce garçon, que je le veuille ou non, je trouverais forcément un inévitable nouveau maitre...
- S'il te plait... Je t'ai laissé faire du mal à ma fille... Je... Je t'ai laissé frapper mon fils sans rien faire. Ne fais pas ça!... Ne leur en fais pas subir d'avantage. Je t'en prie! Mes enfants ne vont pas s'en remettre, si tu leur montre ce que tu veux que je fasse avec toi. Je... Je ne sais pas comment tu sais tout ça sur moi. Je ne sais pas ce que tu es, mais ne brise pas ce que j'ai de plus cher au monde! J'aime mes enfants et tu sais peut-être déjà que ne peux pas éprouver du plaisir, de l'envie à coucher avec celui qui leur a fait du mal! Je t'en prie! Je t'en supplie! Laisse-moi partir! Laisse-moi croire qu'il y a vraiment de la gentillesse et de l'humanité, quelque part en toi! Je ne parle pas souvent de ce que j'ai au fond de moi et du coeur à des inconnus, mais j'ai bien sentis que tu avais vu certaines choses en moi...
L'oppression, la peur de perdre l'amour de mes enfants, associée à toute joie et fierté d'être une vraie et une bonne mère digne envers ses enfants, me faisait trembler sur place. Mais quelque chose en moi, semblait me retenir de m'effondrer complètement. Etait-ce vraiment du courage ou la simple lâcheté de ma soumission? Entre l'amour et la servilité que je me connais, qui est vraiment la vérité pour moi? Ce garçon cruel et joueur qui s'amuse sur le compte des autres, ne me laissera probablement pas vraiment d'autres issues possibles, malgré que je l'implorais. Pour la première fois de ma vie, il risquerait d'être inévitablement celui qui va me forcer à devoir faire face à la vérité des plus grandes choses, auxquelles je prétends tenir. A une seule vérité qui se dévoilera, en fonction de la réelle soumission que j'éprouverais, vis à vis de l'acte cruel qu'il s'apprête à me faire subir.
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- Je... S'il te plait... écoute, je...
Il était hors de question d’écouter quoi que ce soit pour le moment. Elle devenait sa chose au fur et à mesure qu’elle le suivait sans rien dire. Elle devenait un objet enchainé … enfin c’est ce qu’il désirait. Un objet qui le servirait quand il voudra, pas autrement. Mais avant que ce soit le cas, il fallait briser tout ce qu’elle avait. Ses enfants ne devaient plus être une priorité. C’est pourquoi il commençait par sa fille et son fils le plus proche. Et comme la fille c’était déjà sur une bonne route, il fallait s’attaquer à l’autre. Et pour ça … rien de plus simple. Il fallait ébranler la mère qui l’était déjà bien assez.
- Pitié... Je t'en prie pitié! Ne...
C’est tout ce qu’elle était capable de dire alors qu’il touchait son corps et qu’il la dénudait tranquillement. Elle essayait de montrer qu’elle pouvait résister. Mais il savait pertinemment qu’elle allait craquer. Il le fallait et pour ça, il avait un plan de secours dans le pire des cas. Elle était pour le moment en soutif devant lui et il pouvait très clairement sentir la chaleur monter entre ses jambes au fur et à mesure qu’il appuyait sur son sexe malgré les vêtements.
- S'il te plait... Je t'ai laissé faire du mal à ma fille... Je... Je t'ai laissé frapper mon fils sans rien faire. Ne fais pas ça!... Ne leur en fais pas subir d'avantage. Je t'en prie! Mes enfants ne vont pas s'en remettre, si tu leur montre ce que tu veux que je fasse avec toi. Je... Je ne sais pas comment tu sais tout ça sur moi. Je ne sais pas ce que tu es, mais ne brise pas ce que j'ai de plus cher au monde! J'aime mes enfants et tu sais peut-être déjà que ne peux pas éprouver du plaisir, de l'envie à coucher avec celui qui leur a fait du mal! Je t'en prie! Je t'en supplie! Laisse-moi partir! Laisse-moi croire qu'il y a vraiment de la gentillesse et de l'humanité en toi! Je ne parle pas souvent de ce que j'ai au fond de moi et du coeur à des inconnus, mais j'ai bien sentis que tu avais vu certaines choses en moi...
Ce n’était qu’une gifle qui résonnait dans la salle de classe. Oui, Tani venait de lui faire comprendre de manière très physique qu’elle n’avait pas à l’ouvrir aussi longtemps. Son regard devenait bien plus sévère et il la fusillait avec celui-ci. Il pouvait observer la joue de la Kitsune rougir tranquillement. Elle devait avoir compris maintenant que sa joue devait la bruler.
-J’en ai rien a foutre de ce que tu éprouves. Je crois que tu n’as pas bien compris qu’entre mes mains tu n’étais que ma chose … ma pute … Mon sac à foutre ! Ton odeur dit tellement de chose sur toi … Elle me dit que tu as beaucoup mouillé quand j’ai pris ta fille … Je suis sûr que tu aurais aimé être à sa place ce jour-là. Pas parce que tu voulais lui éviter ce sort … simplement parce que tu aimes ça telle une chienne.
Il l’attrapa alors pour la retourner afin de pratiquement la jeter en avant sur le bureau de son fils. Elle était presque couchée dessus. Il défaisait alors rapidement son pantalon en le laissant tomber au sol avec son boxer et il appuya une nouvelle fois sur le dos de la Kitsune pour se retrouver poitrine sur le bureau avant de lui arracher brutalement le soutif et de légèrement la soulever soudainement en attrapant ce qu’elle portait en bas pour tirer les tissus brutalement … déchirant tout avec ses griffes. Elle avait les fesses à l’air à présent alors que ses jambes étaient encore habillées des derniers lambeaux dont il ne se préoccupait pas. C’est rapidement qu’il collait son bassin contre ses fesses, son membre déjà bien dressé et volumineux entre ses cuisses et dont la chaleur effleurait le sexe de la Kitsune…
-Il n’y a qu’une seule chose dans laquelle tu as réussi dans ta vie … c’est faire des enfants ! Pour le reste, tu ne sers à rien !
Il prit alors son membre en main en se reculant un peu, laissant son gland glisser sur les lèvres intimes de la Kitsune avant de trouver l’entrée et de soudainement s’enfoncer au fond d’elle de tout son membre, se laissant aller frapper le fond de son être ! C’était tellement bon de la pénétrer ainsi que sa main a coter de sa tête qui était sur le bureau, griffait le bois à en faire des copeaux sous ses ongles pile devant le regard de la mère ….
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Je ne finis pas tout ce que j'ai d'important et de très cher sur le coeur à lui dire, quand il m'envoie une gifle que je ne vois même pas venir. Je reçois une forte claque qui me surprend, avant de m'endolorir la joue... Alors que je le regarde apeurée, que mes yeux et que ma bouche s'écarquillent en même temps, je vois son regard se durcir. Je le trouvais si intimidant, que je me sentais obligée de baisser les yeux, pendant qu'il était en train de me crier dessus. Il utilisait des mots particulièrement blessants. Il disait que cela ne le touchait pas et que je n'étais que pour lui, que sa chose entre-autres... Un objet... Et c'est alors que je me mettais à ressentir comme de la culpabilité. Et avec ce moment gênant, je resserre maladroitement les cuisses, quand il me dit quelque chose d'effrayant, vis à vis de ma fille et de ce que je ressentais réellement... Et encore une fois, l'étrange sensation de froid et de chaud qui s'entremêlait en moi, passe de nouveau dans mon entrejambe!...
Comme je le voyais devenir très impatient, il vient me retourner sur le bureau avec sa manière très dominante, jusqu'à ce que je me retrouve couché sur le ventre, avec les pieds sur le sol. Est-ce que j'étais vraiment sur le bureau de mon fils? Avec ce qu'il avait fait avant, je me disais que c'était parfaitement possible. Mais cette idée continuait d'accentuer cette sensation de chaud et de froid inhabituelle, en moi. Qu'est-ce que ça voulait exactement dire? Maintenant que j'y repensais, c'est vrai qu'elle ne m'était pas tant que ça si étrangère... Mais ça me faisait surtout peur... Non! Je ne voulais pas! Non!... Je ne voulais pas!... Mais qu'est-ce que je ne voulais pas tout de suite, en vérité? Pourquoi est-ce que j'avais l'impression de devenir confuse?...
Sur le bureau, alors que je fais face à l'objectif de son téléphone qui est en train de filmer le sort qu'il va m'obliger à devoir subir, j'entends le garçon imperméable à tout bons sentiments, faire glisser son pantalon. Pendant qu'il m'écrase le dos et que ma poitrine encore couverte, se comprime sur le bureau froid, celui qui pourrait bien appartenir à mon fils Tetyhs, il m'arrache brutalement le soutient gorge.
J'ai juste le temps de faire un cri étouffé à cause de la peur, qu'il me soulève les pieds du sol, pour agripper ce que je porte encore en bas. J'entends les tissus craquer sans résister et un instant après, je ressens l'air passer sur les jambes et sur mon sexe... Pendant que je ressentais le poids des violents battements de mon coeur. Que la pulsion sanguine m'arrivait jusque dans les tempes, le jeune impitoyable garçon vient se coller à moi. Avec le bassin contre mes fesses et son sexe qui cogne le mien, je déglutis bruyamment...
Je reçois ensuite une nouvelle insulte très humiliante à entendre pour toute mère de famille, alors que je sens son gland qui caresse mes lèvres intimes! Cette fois, la panique commence à s'emparer de moi. Elle me prenait au ventre, non pas parce que j'avais peur de ce qu'il allait me faire, mais de moi-même. Peur de mes vraies réactions. Peur de savoir la vérité que je connaissais depuis toujours, mais qu'il m'obligeait à devoir faire face...
- Pitié!... Pitié!...
Je l'implorais d'arrêter! Je ne voulais pas faire face à ça! Non!
- Aanh!... Aaaaannnh!... Non!...
Je fais plusieurs gémissements incontrôlables tout en tremblant, quand il rentre presque aussitôt son sexe dans le mien. Je le ressentais entrer presque d'un coup, à l'intérieur de moi. Et la première pensée qui me venait, c'était que le violeur de ma fille. Celui qui l'avait fait souffrir, qui m'a fait souffrir moralement avec elle, malgré que j'ai été obligée de collaborer. Celui qui a aussi fait violence à mon fils, qui n'a rien pu faire et avec lequel j'ai maintenant été entrainé, se retrouve en moi. Et mon vagin qui vient d'accueillir son sexe, commence déjà à se faire frapper de l'intérieur! Et j'étais là... Posée sur le bureau de mon propre fils... Pénétrée comme un objet sexuel et incapable de se savoir se défendre par moi-même... Je n'ai ainsi que seul solution que de devoir subir et me faire humilier, par cet adolescent qui gémit du plaisir que mon sexe lui donne, tout en se moquant bien de mon sort. Le temps de faire les premières grimaces, je pose la tête sur le côté, tout en voyant à quelques centimètres de mon visage, ses inquiétantes mains griffues...
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- Pitié!... Pitié!...
-Continue de me supplier … montre comme tu es faible devant l’objectif !
- Aanh!... Aaaaannnh!... Non!...
Il était en elle, Tani griffait le bois du bureau de ses ongles, faisant des coupeaux à côté de la tête de Ethys sous le plaisir de la pénétrer ainsi. Elle pouvait voir que ses griffes n’étaient pas la pour rigoler et qu’elle savait que sa peau finirait en bien pire état que le bois si il se mettait à la griffer ainsi. Il soupirait alors se plaisir, se léchant les lèvres en se penchant alors vers son oreille.
-C’est vraiment tout ce dont tu es capable ? … De ne faire que des petits gémissements de clébard riquiqui ? Aller … Montre à ton incapable fils que tu es une femelle, une vraie ! Au moins s’il te voyait sourire il n’aurait pas envie de pleurer.
Il ricanait alors … c’était bien faux. Qui se réjouirait de voir une telle vidéo ? De voir que sa mère se fait prendre sur le bureau qui lui appartenait à l’école. Il plutôt que de lui laisser une chance de montrer un sourire, il attrapait la tête d’Ethys pour la plaquer contre le bureau de son fils alors qu’il commençait à bouger sans retenue, laissant le bureau et les fesses de la Kitsune subir les assauts sauvages du Neko. La Kitsune pouvait comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un être humain qui la prenait en ce moment même. Mais juste un animal qui avait besoin de se vider en elle, de marquer un territoire.
-Haaa c’est tellement bon … Je te sens te serrer chaque fois que je reviens au fond de toi… Tu es une pute qui adore en être une ! Ton corps fait tout pour tirer mon foutre en toi !
Il lui attrapait alors les cheveux pour lui tirer la tête en arrière, l’obligeant à se cambrer et montrer ses seins à la caméra et à regarder le plafond ! Ses seins pouvaient bouger aussi frénétiquement que ses coups de bassin qui faisait rougir ses fesses à chaque claquement qui résonnaient dans cette pièce vide. Sa grosse queue longeait parfaitement bien l’entièreté de ses parois vaginales avant de s’écraser au fond de son être. Il frappait le fond si fort que cela ne devait pas passer inaperçu. Il tirait même parfois encore plus fort ses cheveux pour forcer contre ses fesses et chercher à aller encore plus loin devant cette caméra …
-Ethys … Ou veux-tu mon sperme ? Répond sincèrement devant l’objectif … que HMMmm … Ton raté de fils comprenne ce qui lui manque en tant que mâle ! Et qu’il perd à jamais !
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Aucune pitié... Il n'y avait pas la moindre parcelle de gentillesse ou de compassion, chez ce garçon... Je n'avais aucune valeur à ses yeux et comme ma fille il... il nous considérait comme des jouets sexuels. Il ne nous accordait aucune estime... Il ne pensait qu'à nous prendre égoistement, peu importe le malheur qu'il laisserait derrière-lui. Tout ce qui sortait de sa bouche, était fait pour humilier tous ceux qui tombaient sous la coupe de sa domination. Et alors que je le croyais se réjouir pleinement de mon sort, en me prenant en plus sur le bureau de mon fils qu'il a violenté, il m'ordonne de gémir plus fort... Pour lui, ce n'était pas encore assez... Déjà qu'il appuyait là où ça faisait mal, il n'attendait plus que ça... Il n'attendait plus que de me voir entièrement soumise à lui. Entièrement résiliée, pour qu'il puisse en sortir victorieux et avoir raison de moi. Que mon propre fils ait aussi honte de moi. Qu'on se moque de nous et qu'on s'en prenne sans cesse à mes enfants...
- Je t'en prie... S'il-te plait... Tu me fais peur...
Même en ressentant son sexe qui me pénètre avec violence et sans discontinuité, j'exprimais plus des sortes de plaintes et des gémissements maladroits, qu'autre chose. Je trouvais que ce garçon était extrêmement dominant, pour son âge. Au point qu'il arrivait à me rappeler certains maitres que j'avais eu, dans le passé... Car ils avaient beau avoir étés mes bourreaux, toutes ces personnes ont faits de moi, celle que je suis devenue aujourd'hui... Et alors que je ressentais sa virilité plonger sans cesse dans mon sexe qui se faisait continuellement violemment presser, il se met à rire. Dans son inarrêtable cruauté, il vient me plaquer totalement la tête contre le bureau, faisant ainsi de moi l'objet sexuel le plus parfaitement soumis et prête à être souillée...
Pendant qu'il me pénètre très violemment à m'en faire presque mal. Que son sexe, que je ressentais être plus gros la moyenne des garçon de son âge, je subissais à répétition soutenue ses violents coups de bassins. A chaque fois qu'il me pénétrait jusqu'au fond, il y avait un puissant claquement qui s'entendait dans toute la salle de classe vide... Et quand je ressentais mon intimité encaisser de force sa brutalité, mon corps tressautait avec cette même violence. Je ne savais pas si j'étais déjà en train de mouiller, mais même mon clitoris devenait inévitablement sensible.
Tandis que je l'entends gémir et exprimer sa satisfaction, à me prendre ainsi sur le bureau de mon propre fils tout en m'insultant, il m'attrape par les cheveux. Saisis par son geste, ma tête est alors relevée, jusqu'à ce que je n'ai plus d'autre choix, que de devoir regarder en direction du plafond... Arrive alors soudainement une première décharge de plaisir et d'envie inattendue, depuis mon vagin!...
- Non... Non...
Une légère panique en moi, en la sentant arriver de nulle part, alors qu'il s'acharnait dans mon sexe.... Et je ressentais encore une fois, un début d'abandon, quand il me prenait encore plus fort par les cheveux. C'en était si violent, que j'en tirais la langue!
- Aaaah... Aaaanh.... Aaaanh....
Cette fois-ci, je commençais à gémir de plus en plus régulièrement et de plus en plus fortement! Et tout ça, sous l'objectif de la caméra de son téléphone, qui s'acharnait à essayer de filmer ma soumission et mon abandon pour lui. Je tire ensuite la langue encore tout aussi fort et je fais une grimace, quand ce jeune adolescent aussi dominateur, qu'irrespectueux, me demande à dire devant l'objectif, où est-ce que je voulais recevoir sa jouissance. Un coup sa sang, qui ressemble à un vertige de plaisir soudain, m'arrive comme un choc électrique dans la tête, quand il traite en plus mon fils de raté...
- Je... Je...
Comme une pauvre chose, avec laquelle on joue perversement et cruellement, je donne sans m'en rendre compte encore un peu plus de crédibilité à mon bourreau, lorsque j'essaie d'attraper vainement ses mains, qui me tiennent par les cheveux. Mais j'étais si cambrée, que je n'arrivais même pas à les toucher. Je vivais un moment d'humiliation si important, que je commençais à en perdre pieds...
- Oooh... Aaaaanh...
Avec les yeux rivés vers le plafond, j'étais en en train de m'apercevoir que gémissais de plus en plus fort. Ca n'était pas vraiment bon pour la suite...
-
- Aaaah... Aaaanh.... Aaaanh....
-Alors on craque déjà ? Que va donc penser ton fils en voyant ça arriver si rapidement ?
Un petit ricanement se faisait entendre alors qu’il continuait ses assauts dans le vagin de la Kitsune. Il ne se gênait pas de montrer devant la caméra qu’il se léchait les lèvres en commençait à entendre Ethys gémir ainsi. Mais il ne voulait pas y mettre fin tout de suite. Il voulait qu’elle craque complétement, la devant cet objectif, pour ce merveilleux moment qu’il montrera autant à sa fille qu’à son fils.
- Je... Je...
-Qu’est-ce que tu attends pour montrer le plaisir que tu prends ? Ton corps le montre bien mieux que toi … Ca glisse tout seul pour aller jusqu’au fond !
Les bras d’Ethys était tendu vers l’arriere … Une belle invitation ! Il attrapa l’un de ses bras avant de lâcher ses cheveux pour laisser sa tête partir en avant et attraper son deuxième bras. Il pouvait ainsi la tirer et donner des coups de bassin bien plus sec et sauvage, glissant bien profondément en elle, frappant le fond avec férocité tout en écrasant ses belles fesses qui amortissaient tant bien que mal l’énergie qu’il y mettait ! Il la forçait également à se cambrer encore plus afin de faire ressortir ses fesses d’avantage.
-Montres bien ta poitrine se balancer surtout ! Je veux que ton con de fils ait une belle vue sur sa cochonne de mère !
Il la tirait de plus en plus, la forçant par la suite à se redresser légèrement contre lui. Il voulait changer de position mais il n’arrivait pas s’arrêter ! Son sexe était aspiré par son vagin. Elle finit alors par se retrouver le dos coller contre son torse … Il venait lécher sa nuque en lâchant un de ses bras et il passait sa main sur cette poitrine qui bougeait si bien, empoignant fermement un de ses seins en l’écrasant entre ses doigts, si fermement qu’il y avait les traces de ses doigts quand il desserrait sa main … Avant de descendre cette main griffue jusqu’à la baisser sur son ventre. Il s’arrêta alors sur son clitoris pour le caresser sauvagement, voulant la faire gicler sur le bureau de son fils.
-Aller … salie moi le bureau de ton indigne de fils qui te laisse subir ça …
Il continuait de la maltraiter avec ses coups de bassin et ses caresses sur son clitoris, ne manquant d’ailleurs pas de le pincer de temps en temps pour plus d’intensité ! L’autre main venait alors s’emparer du cou d’Ethys pour le serrer doucement, lui laissant sentir qu’il fallait insister pour pouvoir récupérer le plein d’oxygène dans ses poumons …
-Ethys … veux tu bien dire à ton fils et ta fille ou tu veux que je me lâche ? … Ma semence ? …
-
Mon Dieu! Il était si dou... dur avec moi! Je ne comprenais toujours pas comment un garçon de son âge, pouvait avoir une telle expérience! Comment arrivait-il, à ce que je me sente tellement humiliée? Rien de chez-lui n'était tendre! Il n'était pas seulement que pervers, mais il était aussi irrespectueux envers moi... mes enfants... Mais il était aussi violent et évidemment très dominateur! Il n'arrêtait pas de me faire ressentir, ce que je valais à ses yeux! Pour lui je n'étais rien de plus qu'une pute... Et lorsqu'il se met à rire cruellement. Que son sexe glissait avec toujours plus d'amplitude dans mon vagin, j'avais de plus en plus de mal à garder le contrôle de mon corps. Et il en profitait alors tout de suite. Son seul désir était que je cède devant l'objectif, qui serait alors témoin de la pire des hontes, qu'une mère pourrait renvoyer envers ses enfants...
- Non!... Non!... Aaaaanh!
Et alors que son sexe empale complètement le mien, qu'il m'envoie sa virilité au coeur de mon intimité sensible, une je suis saisis par une nouvelle stupeur! Alors que je voulais essayer d'attraper en vain sa main, qui était en train de me tirer par les cheveux, il me saisit les deux bras, l'un après l'autre!... Le dos alors totalement cambré, il profite de l'amplitude totale que lui offre mon corps, pour me marteler le vagin, avec une incroyable dominance! Mon corps tressaute subitement encore plus et tous les coups de reins qu'il m'obligeait à recevoir, raisonnait incroyablement dans la pièce! Mais alors que je me sentais lui être totalement offerte et qu'il me prenait comme un pauvre objet sexuel, je suis sur le point de craquer, quand il me faisait bien ressentir ma position! J'en éprouvais un vertige renversant, quand je l'entendais ensuite encore traiter mon fils, tout en me rappelant la vue que je risquais de pouvoir lui donner, tout comme à ma fille...
- Oooh! Ooooh! Uuuuuh! Ooooh!
Tout en tirant de nouveau la langue, mes gémissements redoublent encore! Tout mon corps semblait comme être sur le point de céder à ce garçon! Il lui obéissait et je sentais que mon esprit lui-même, était sur le point de suivre le même chemin... Et tout en me prenant avec une fougue violente, il finit par me tirer le plus possible à lui. Lorsqu'il s'arrête, mon vagin pulse presque autant que mon coeur! Je n'osais même pas imaginer dans quel état il allait finir de me le mettre, lorsqu'il en aurait finit avec moi...
- Aaaah... Aaaah... Aaaannh...
Déjà chamboulée par un tel traitement, il vient ensuite me lécher la nuque, en même temps qu'il me relâche un bras... Tandis que mes gémissements continuent et que son sexe reste calé au plus profond du mien, il attrape ma poitrine avec autant de fermeté. Il l'écrasait si fortement dans sa main, qu'il me faisait mal. J'étais alors obligée de grimacer! Puis il y a de nouveau ses griffes qu'il me faisait encore ressentir, en me les passant sur le ventre... Jusqu'à ce qu'il m'attrape le clitoris, qui a déjà été complètement malmené!
- Ooooh! Oh mon Dieu!... Ooooh!.... Ooooh!...
N'arrivant plus du tout à me contrôler, il continue de me caresser le clitoris, tout en m'envoyant sa virilité avec fermeté. Son sexe chaud poursuit de nouveau sa route, dans les profondeurs de mon intimité brûlante et toute détrempée. Et pour me faire ressentir que je n'étais plus qu'à lui, il m'empoigne par le cou avec son autre main. Et c'est alors que, forcée de devoir fixer l'objectif, celui qui voit tout, il m'ordonne de m'adresser à mes propres enfants, en leur disant où est-ce que je voulais qu'il se lâche... C'était d'une humiliation, qui dépassait absolument tout ce que j'avais pu connaitre avant! C'était la première fois, qu'on prenait comme ça mes propres enfants en otage... Et qu'ils avaient en plus étés eux-mêmes durement malmenés, par ce même garçon qui me force à m'avilir à tout prix devant-lui... Et c'était... Oh mon Dieu! Fallait-il donc que je vienne ici, pour voir ça?... Pour que...
- Oooh... Oooh... Je... Je t'en supplie... Je... Je...
C'est sur le bord de basculer de l'autre côté, que je tente désespérément de sauver encore une toute dernière fois, les vaines apparences qui me restaient encore... Il me demandait de finir de m'avilir complètement devant l'objectif de son téléphone, qui nous filmait. Que l'humiliation soit totale pour moi et pour mes enfants... Que je laisse exprimer mes pires bassesses, alors que je savais très bien que je ne pourrais l'empêcher d'envoyer cette scène décadente et qui allait leur faire beaucoup de mal... Et qu'elle serait partagée avec tant d'autres de leurs camarades... Je devais... Non... Je devais lui dire que je ne pouvais pas faire ça... Qu'une mère ne pouvait jamais... jamais faire...
- A... Arrête... Arrête je... Je... Aaannnh.... Annnnnh Oui.... Oui.... Jouis!... Jouis dans mon sexe! Oh oui!... Jouiiiiiis!... Jouiiiis!... Oh vas-y prends-moi! Baise-moi comme une chienne devant mes enfants! Oh ouiiiii! Mmmmh! Ouiiiiii!
-
Elle pouvait se plaindre, gémir de douleur ou même supplier. Rien n’allait s’arranger pour elle. Elle n’avait pas d’autre choix que d’accepter son sort en ce moment même, d’accepter d’être prise par une personne plus jeune qu’elle et qui était en train de la soumettre comme si elle n’avait jamais eu son âge. La bestialité dont faisait preuve Tani allait écraser le peu de raison qu’elle possédait pour faire sortir de son être la partie la plus animal qui existe … Celle de la femelle qui ferme sa gueule quand il faut et qui doit satisfaire son mâle quand celui-ci le lui demande. Ce n’était ni plus ni moins qu’une rééducation pour la Kitsune qui s’était trop éloigné de ses instincts primaires.
- Oooh... Oooh... Je... Je t'en supplie... Je... Je...
Elle n’était pas loin de craquer, il le sentait. Il sentait le corps d’Ethys sous ses mains de dominateur. Elle tremblait, tout son corps réclamait quelque chose qu’elle essayait de freiner. Elle ne pouvait pas empêcher l’inévitable. Il était loin d’en avoir fini avec elle et si elle craquait maintenant, ce serait encore plus délicieux pour lui et ce qu’il pourrait partager ensuite. Montrait à Tethys qui ne fallait que d’une fois bien sauvage pour la faire chavirer telle une épave en dérive.
- A... Arrête... Arrête je... Je... Aaannnh.... Annnnnh Oui.... Oui.... Jouis!... Jouis dans mon sexe! Oh oui!... Jouiiiiiis!... Jouiiiis!... Oh vas-y prends-moi! Baise-moi comme une chienne devant mes enfants! Oh ouiiiii! Mmmmh! Ouiiiiii!
-Ah AAAAAAh ! Vous voyez, Tethys, Sethys ! Le vrai visage de votre mère est devant vous ! Regardez la bien ! Ces gênes de soumise vous ont été transmis … ne l’oubliez pas !
Il lui attrapait alors les jambes pour la soulever. Elle était à présent les jambes relevés contre elle-même, tenu simplement par ses bras et son sexe qui s’empalait au plus profond d’elle à présent très certainement. L’objectif pouvait clairement filmer un énorme sexe pénétrer et écarter des lèvres d’apparence toute douce et d’une rare finesse. Puis, il reprit alors les mouvements après une petite pause pour que l’objectif fasse bien le focus avant de faire en sorte de lâcher quelque décharge très faible au fin fond de son être chaque fois qu’il arrivait au fond avec son pouvoir… Tout ça pour mieux la faire gicler sur le bureau de son fils !
-Tu m’entends Ethys ? … Montre correctement à tout ceux qui regarderont … Ca vient … T’es prête ?
Il donnait quelques derniers coup des plus sauvage avant de finir sa course en s’empalant en elle, laissant clairement à l’objectif l’occasion de voir sa queue remplir cette chatte de manière peu commune, laissant son ventre se gonfler étrangement rapidement avant de laisser de la semence qui s’échapper de sa chatte gicler sur le bureau d’un certain concerné … Et ça n’en finissait pas !
-
C'était maintenant trop tard! J'avais cru que je pouvais au moins essayer de résister à en arriver là et de sauver encore quelques apparences... Mais je n'ai pas pu... C'était déjà beaucoup trop pour moi et en moi-même, je le savais déjà à l'avance... Mais le pire, c'était que je ne pouvais absolument plus rien réfréner! Et juste au moment où je cède à ce garçon, il prend alors immédiatement un malin plaisir à se moquer de mes enfants, pour leur témoigner la situation humiliante que je leur offre, moi, leur propre mère! Mais comme il l'avait déjà parfaitement compris, j'étais incapable de résister! Il lisait en moi comme dans un livre ouvert, ce qui compliquait encore plus les choses! Alors peu importe quelles pouvaient maintenant être les conséquences de tout ça, car je prenais juste un immense plaisir à être dominée, par un tel garçon aussi fougueux et sauvage tel que lui! Et encore une fois, comme à l'époque où je n'étais qu'une esclave sexuelle, ma seule préoccupation n'était maintenant plus que d'arriver à pleinement le satisfaire! J'étais en train de satisfaire avec désir, le tortionnaire de mes propres enfants! Et le pire, c'est que je n'en avais même plus honte du tout! Maintenant que je lui cédais, que je m'étais engagé dans la voie la plus honteuse et inimaginable qui soit possible d'emprunter pour une mère, aller dans son sens était devenu pour moi la jouissance ultime!
Et alors que je prends mon pied devant l'objectif du garçon, témoin de toute la scène qui se déroule, il me bascule sur le bureau, la table où est normalement sensé travailler mon fils, durant ses heures de cours... Tout en me laissant fiévreusement manipuler comme sa chose qui lui appartient, je regarde intensément son sexe viril en gémissant, alors qu'il retourne s'enfoncer dans mon vagin en feu!
- Oui!... Oui! Oui!... Oh oui vas-y! Vas-y!...
Une fois bien mis en position pour la fin, je déglutis alors, prête à faire jouir ce garçon. Et pendant que je l'encourage aveuglement à poursuivre le moment intensément humiliant qu'il me fait subir à moi et ainsi qu'à mes enfants qui assisteront à toute la scène, j'en éprouve alors une immense joie, dès qu'il recommence à me prendre. Je pouvais maintenant voir son beau sexe, qui me prenait avec férocité. Je le sentais en moi! Il me prenait avec force et je faisais tout pour le ressentir sur toute sa longueur! Et c'est ensuite encore avec grande excitation, que je réponds positivement à son ordre, quand il me demande de continuer de montrer au grand jour, celle que je suis vraiment au fond de moi!
- Ouiiii! Oui vas-y! Remplis-moi comme tu as remplit ma fille! Je te veux! Oh mon Dieu j'aime tellement ça!
Tout en gémissant et en laissant exprimer la pauvre chose servile et lâche que je suis, je ressens son engin qui continue de me cogner de long et en large, le sexe détrempé. A chaque fois qu'il arrivait au fond, j'en ressentais une puissante impulsion fébrile! C'était renversant! C'était... fantastique! J'avais en plus la vue de son magnifique sexe, qui me prenait de manière très virile, avec les jambes on ne pouvait plus écartées et tenues dans ses mains! Et c'est alors qu'il finit par se lâcher en moi! J'en profite pour me laisser aller en même temps que lui et crier au violeur de ma fille et à celui qui a frappé mon fils, comme je voulais qu'il me remplisse!
- Oui! Oui viens! Oh mon Dieu, j'ai le ventre qui se gonfle! Oh mon Dieu!...
C'est en m'appuyant sur la table comme je le peux, que je bascule alors la tête en arrière, tout en me libérant. Je prenais un plaisir intense et sincèrement partagé, à me faire remplir l'intimité de la sorte, par un tel garçon! Ma fébrilité fiévreuse et mes couinement suffisaient déjà à eux seuls, pour exprimer à la caméra qui nous filmait, comment j'aimais le traitement décadent que je subissais! Et le pire, c'est que savoir ce qu'avait déjà fait ce garçon à mes enfants, m'excitait encore plus! J'étais en train de me complaire délibérément dans ma propre humiliation et ma lâcheté, sans en avoir maintenant honte une seule seconde! Et j'aurais beau sans doute passer pour une folle ou recevoir tous les noms d'oiseaux possibles, j'en ressentais un immense bonheur! Tout comme avec ma fille qu'il a violé et que j'ai dus filmer, à chaque fois qu'il me l'avait ordonné! Je pouvais maintenant voir avec joie mon ventre gonfler, à chaque seconde où je l'encourageais à se vider en moi! Après ma fille, c'était maintenant à mon tour! Et sur ce même délai, la pression dans mon bas-ventre se faisait de plus en plus forte! Le liquide chaud et gluant était en train de se répandre de plus en plus à l'intérieur de mon intimité, qui semble avoir bien du mal à suivre. Au point que j'en ressens déjà une partie, qui coule sur le bureau! Je ne savais pas qui était ce garçon avec ses griffes et surtout pour avoir en plus autant de sperme à faire partager à toutes celles qu'il conquiert, mais je me sentais maintenant heureuse de lui appartenir à mon tour et d'être celle qui reçoit maintenant sa semence!
-
- Ouiiii! Oui vas-y! Remplis-moi comme tu as remplit ma fille! Je te veux! Oh mon Dieu j'aime tellement ça!
C’est un sourire sadique qui se dessinait sur le visage du Neko. L’objectif venait d’enregistrer ses belles paroles, l’expression de son visage et sa vraie nature qui faisait surface. Il pourra envoyer ça à ses deux enfants ! C’est sans aucun problème qu’il s’emparera du téléphone de cette cochonne pour mener à bien son petit plan. Cette famille n’avait pas à vivre dans la normalité, en tout cas pas avec deux cas désespérer comme une misérable mère et une idiote de fille.
- Oui! Oui viens! Oh mon Dieu, j'ai le ventre qui se gonfle! Oh mon Dieu!...
-C’est bien ! Continue de recevoir ! T’es monde vide couille maintenant !
Il ricanait un peu alors que sa jouissance arrivait à son terme, laissant le plaisir à Ethys de sentir son sperme épais l’envahir comme il se doit ! Mais il ne fallait pas s’arrêter en si bon chemin. Il se retira alors et la laissa tomber sur le côté sur le bureau de son fils avant de se diriger vers le téléphone pour arrêter l’enregistrement. Il revenait alors vers le bureau pour fouiller les affaires de cette mère afin de lui piquer son téléphone pour trouver son numéro et lui transférer cette vidéo. Il s’en fichait de faire un montage pour le moment. Il devait écraser la bonne conscience de son fils à présent. En plus, était-elle en état de faire quoi que ce soit après avoir jouit comme elle l’avait fait sur ce bureau ?
-Parfait … Je vais pouvoir envoyer cet enregistrement avec ton numéro maintenant … C’est encore mieux si ça vient de toi n’est-ce pas ?
Il cherchait alors le numéro de son fils pour ensuite lui envoyer l’extrait. Une fois qu’il avait la notification qu’il avait reçu la video, il sourit sadiquement avant de venir enfoncer le téléphone dans la chatte d’Ethys. Si le téléphone recevait des messages de son fils, elle n’allait pas simplement l’entendre mais parfaitement bien le sentir. Son fils lui fera du bien sans s’en douter. Il regardait alors Ethys et mit son doigt devant sa bouche …
-Interdiction de l’enlever avant le prochain acte…compris ?
Il ricana alors avant, remontant son pantalon afin de pouvoir bouger librement une fois en dehors de la classe. Mais il ne laissait pas le temps à Ethys de bien se rhabiller qu’il attrapait ses cheveux pour la tirer en dehors de salle pour aller en direction des dortoirs. La Kitsune devait avoir tout le mal du monde pour le suivre en étant à moitié déshabillée. Il arrivait alors à sa chambre et il l’ouvrait avant de littéralement jeter Ethys à l’intérieur … puis de fermer la porte derrière lui avant de la repousser vers le lit qui n’était pas loin. Les chambres d’étudiant n’étaient jamais très grandes.
-Ton fils va surement te chercher maintenant … Que dirais tu de lui préparer un accueil digne de toi, une vraie salope? On commence notre affaire et … tu pourras l’inviter à venir regarder en vrai ce qu’il en est ? Que ce qu’il a vu est … vrai ! Retire moi ce téléphone et … dis moi le nombre de notification reçu déjà … sans les lire !
-
Je laisse tranquillement le garçon terminer de prendre son plaisir avec moi. Je profite encore de ces derniers instants, pour ressentir la propagation de sa semence bien épaisse et chaude, se déployer dans mon vagin. J'ai ensuite encore un sursaut, lorsque je l'entends m'insulter et ricaner. Lorsqu'il a terminé, il se retire de moi et je glisse rapidement sur le côté. Alors que je ressens mon vagin convulser, en même temps que son sperme juvénile qui continue de s'extraire entre mes cuisses à cause de la chute, j'halète. J'étais épuisée non pas physiquement, car j'avais l'habitude d'endurer ce genre de choses, mais j'étais encore sous le coup de l'émotion, à cause de l'intense pression psychologique qu'il a exercé sur moi.
Pendant quelques instants, alors que je regarde au sol dans un état second, le garçon fait quelque chose derrière mon dos. Jusqu'à ce qu'il me dise, qu'il était sur le point d'envoyer cette vidéo de nous deux à mon fils, en utilisant mon propre téléphone... Mais au lieu de m'indigner, d'essayer au moins de le supplier de ne pas faire ça, je le laisse entièrement faire à sa guise, sans broncher. Et lorsqu'il a envoyé la vidéo, il revient vers moi et il m'enfonce mon téléphone portable, dans mon vagin englué par sa semence. Lorsque je couine en ressentant l'engin métallique qui pénètre mes chaires intimes, il me regarde et il me met un doigt sur la bouche, tout en m'interdisant de le retirer jusqu'au... prochain acte! Oh mon Dieu! Ce ne serait donc pas le seul? Comme avec ma fille, il m'en réservait encore d'autres, à moi aussi?...
Alors que je ressens une satisfaction malsaine, je lui disais oui de la tête. Puis en réponse aux conséquences de mes actes, qui m'ont emmené à en être arrivée là, je l'entends rire avant de le voir remonter son pantalon. Lorsque je me redresse pour essayer de remettre en place mes vêtements déchirés, le jeune étudiant ne me laisse pas le temps et m'attrape par les cheveux. Je me retrouve à marcher maladroitement la tête courbée vers l'avant, jusqu'à être entrainée dans un autre endroit, qui ressemblait bien à sa chambre personnelle. Il me jette alors à l'intérieur comme une pauvre chose et lorsqu'il ferme ensuite la porte derrière nous, il me pousse sans plus de ménagements, sur son lit! Effrayée en même temps par celui qui me domine. Par celui qui m'écrase comme une moins que rien avec autant de facilités, le jeune brun me dit quelque chose qui me coupe momentanément la respiration. Je n'étais pas certaine de ses intentions, mais il semblait vouloir faire venir mon fils ici? Est-ce qu'il voulait qu'il... Comme si je n'étais plus que devenue pendant un instant, un jouet sexuel creux, incapable d'avoir une âme pour moi, mon téléphone vibre par deux fois entre mes cuisses! Et l'effet qui allait avec, ne se faisait pas vraiment attendre non plus...
- Je... Je crois que c'est lui...
Encore toute chamboulée par la façon dont il me traite, je retire péniblement le téléphone de mon vagin en silence. Tout en tremblant, incapable de cacher mon regard apeuré, je lui tends l'appareil englué, obéissant encore à ses ordres, sans broncher...
-
Elle était maintenant sur le lit, avec ce téléphone qui semblait sonner aussi péniblement que les plaintes sourdes de son fils. Il savait très bien qui c’était à l’autre bout qui essayait de joindre sa mère qui venait de lui envoyer une vidéo de sa prise dans cette classe et au-dessus de son bureau. Nul besoin de préciser.
- Je... Je crois que c'est lui...
-Il va falloir … lui réserver une petite surprise rien qu’a son intention, qu’en penses-tu ?
Il ricana alors avant de prendre le téléphone et de couper l’appel pour qu’il arrête de vibrer, avant de venir de se déshabiller devant elle pour se retrouver tout nu, lui laissant alors le plaisir de pouvoir observer quelques secondes le corps de celui qui la viole. Il finit par monter sur le lit avant de d’aller derrière elle en la redressant simplement sur les genoux, s’emparant alors de sa poitrine qu’il masse et marque certainement de ses doigts tant il profite fermement des formes de cette Kitsune.
-La présence de ton fils va être requise … Il te verra sous ton plus beau jour.
Murmurait-il a son oreille avant de lui faire sentir sa queue bien dure contre ses fesses, glissant alors facilement celle-ci entre ses cuisses pour revenir frotter les lèvres intime de Ethys avec, lui laissant clairement apercevoir qu’il allait la reprendre sans retenue … Et c’est alors qu’il se permit de s’enfoncer en elle fermement, revenant faire bouchon pour tout ce qui se trouve encore en elle …
-Il y a encore des choses inutiles sur toi maintenant …
Sans attendre, il déchirait avec aisance les vêtements de la Kitsune à l’aide de ses griffes avant de faire un geste vif pour jeter les déchets un peu plus loin sur le sol, laissant que quelques lamelles de tissu sur sa peau qui témoignait de ce qui venait de lui arriver. Il attrapait alors le téléphone tout en commençant des va et vient rapide, fouettant déjà ses fesses de son bassin. Elle était face à la porte …
-Tu vas appeler ton fils … lui dire de venir ici ! Quand ce sera fait ... Prépare avec le téléphone un enregistrement vidéo et pointe la camera vers la porte. Je veux que tu enregistres sa tête quand il te verra prendre ton pied. Je m’assurerai qu’il ne nous dérangera pas … compris ?
Il ricanait alors sadiquement, se léchant bruyamment les lèvres à son oreille avant de la lui mordiller.
-Tu vas pouvoir lui expliquer clairement ... qu'il n'y a pas mieux en ce bas monde de ce que tu es en train de vivre ...
-
Alors que je me prépare déjà pour la suite avec docilité, j'ai une petite sensation d'étouffement, lorsque je l'entends rire devant moi, en imaginant ce qu'il préparait. Ca semblait être particulièrement cruel et amoral et pourtant... Le garçon coupe alors l'appel qu'était en train de m'envoyer mon fils et c'est alors qu'il se déshabille devant moi!... Oh mon dieu! Mon corps n'attend pas pour réagir de lui-même, à cette vue!... Je le voyais retirer un à un tous ses vêtements, qui tombaient au sol! Et bien sûr, je ne pouvais m'empêcher de regarder son engin viril, qui pointait vers moi!
Une nouvelle sensation de peur, entremêlée avec une excitation bien réelle me prend jusqu'au fond des entrailles, lorsque je le vois glisser derrière-moi, avec son corps encore si jeune et sans la moindre imperfection! Je me laisse faire et il me redresse ensuite sur les genoux, avant de s'emparer de ma poitrine, avec ses mains gracieuses. Lorsqu'il commence à les palper avec fermeté, je n'arrive pas à retenir des gémissements! Le contact de ses douces mains, qui étaient en train de me toucher mes globes de chairs qu'il palpait avec fermeté, me procurait des sensation très agréables!
- Oh!... Oui!... Oooh!...
Tandis que je suis en train d'ouvrir la bouche et que mes paupières se referment lentement, par ce plaisir auquel je continue de céder, il me murmure au creux de l'oreille, encore son horrible projet qu'il avait en tête. Mais je trouvais la situation si agréable et si peu commune, malgré tout ce que j'avais pu endurer par le passé, que cela m'était presque égal! Et ça ne m'aiderait pas à penser autrement, en ressentant en plus son sexe, qui me touche les fesses!
- Aaanh!... Annnh! Annnnnh!...
J'émets une plainte violente, lorsque je ressens sa verge encore si dure, qui glisse ensuite entre mes cuisses! Et je gémis encore plus fort, dès qu'il se permet sans attendre, de l'enfoncer encore en moi!
- Aaaanh! Aaaaaanh!...
Tout en me laissant totalement faire par le bourreau de mes enfants, il termine de me déchirer les vêtements qu'il avait déjà mit en partie en morceau, avec ses griffes! Et je continue de lui manifester mon désir, qui se faisait de plus en plus ardent et interdit en même temps, lorsqu'il recommence ses vas et vient dans mon sexe détrempé! Sa délicieuse verge qui était parfaitement calée en moi, était une nouvelle fois en train de me parcourir l'intimité! Et le pire, c'est que savoir qui était ce garçon vis à vis de mes enfants, faisait encore accroitre mon désir pour lui, de manière particulièrement malsaine! Je n'imaginais pas encore jusqu'à maintenant, à quel point je pouvais trouver délicieux de tomber si bas, alors que mes enfants étaient tout de même devenus chacun à leurs manières, directement ses victimes... Et pourtant, je continue vainement de croire qu'il puisse encore exister quelque part en moi, une limite à tout ça. Une limite que ce garçon arrive pourtant à repousser avec facilité et rapidement de plus en plus loin... Mais dans ce cas, était-elle imaginaire? N'avais-je donc vraiment aucune fierté en moi quelque part, pour accepter de me soumettre de façon si indigne à ce garçon, comme je suis en train de le faire maintenant? Ou encore comme je l'avais fait l'autre jour, quand il a violé ma fille? Les enjeux étaient certes différents de maintenant, mais...
Mon coeur et mon souffle s'accélèrent, lorsqu'il m'ordonne alors d'appeler mon fils, pour lui dire de venir ici! Il voulait que je sois en train de filmer cette scène particulièrement humiliante, au moment où il entrerait dans la chambre, pour enregistrer sa réaction! Et face à cet acte horrible et dégradant, j'en ressentais encore une décharge de plaisir!... Et lorsqu'il se met encore à rire cruellement, je suis prise par un léger frisson, quand je l'entends se lécher les lèvres, au creux de mon oreille! Mais quand ce garçon que l'on pourrait catégoriser de violent, de cruel, de mauvais, de sadique, de violeur ou de n'importe quoi d'autre encore, me tend le téléphone, c'est pour compter sur moi pour participer activement à son nouveau coup... Un acte particulièrement dégradant et totalement insupportable pour n'importe qui, qui verrait sa propre mère se retrouver dans une telle situation, avec quelqu'un qui leur fait en plus volontairement du mal...
- Je...
Pendant que je tremble et que mon sexe se fait culbuter par sa virilité de jeune mâle particulièrement dominateur, je n'attend pas plus longtemps pour composer le numéro de téléphone de mon fils. Lorsqu'il répond au bout de seulement deux sonneries, j'halète en même temps que je lui dis où est-ce que je suis!
- Tetyhs?... C'est moi je... Viens vite! Il m'a emmené dans sa chambre! Il... Vite dépêche-toi, je t'en prie!... Tu.. Tu sais où elle est?...
Lorsque j'entends Tetyhs au bout du fil, qui semble être autant affolé qu'en colère, je raccroche le téléphone, au moment où il me dit savoir où était son camarade, qui était en train de me prendre en ce moment même...
- Oh mon dieu! Non!... Ca va être dangereux!... J'ai peur!... Je t'en prie arrête ça maintenant, pendant qu'il est encore temps de le faire!...
Alors que je pensais la situation vraiment dangereuse et inacceptable, car ça allait sûrement en plus mal tourner, je ne faisais surtout que réaliser encore un peu plus mes propres idioties, juste après les avoir commises! Mais avec l'adrénaline qui monte de plus en plus vite, je me sentais encore m'abandonner à cet adolescent!... C'était si bon!... C'était tellement bon de se faire dominer si cruellement, par quelqu'un qui ne respecte rien, ni personne! Par quelqu'un qui me piétine et qui écrase mes propres enfants! Et cette honte, était en train de faire de plus en plus mon bonheur personnel!
Et comme si je cherchais ouvertement à enfoncer encore moi-même le clou, pendant que le garçon s'acharne dans mon intimité brûlante et comprimée par sa première éjaculation intense, j'ai un sourire de béatitude. Je ressentais mon corps qui gigotait et qui se faisait entrainer par sa fougue juvénile et virile! Et comme si il possédait mon âme, alors que j'active le bouton pour filmer, je commence d'abord par stupidement braquer le téléphone vers moi, avec le garçon en arrière plan en train de me prendre, avant de le descendre très vite vers mon vagin brûlant, qu'il culbute fermement!... Et je sursaute ensuite, lorsque j'entends seulement une ou deux minutes après mon appel, la porte de la chambre valser, alors que je me prenais au jeu et que je gémissais!
- Oui! Oui!... Comme ça!... Ouiii!... Ouiii!...
Le corps tremblant, je dois faire un gros effort pour relever l'objectif et filmer Tetyhs, qui nous regarde alors d'un air vraiment choqué! Je comprends maintenant surtout jusqu'à quel point, je suis vraiment la pire des salopes! Je n'ai aucun autre mot pour désigner un tel geste si humiliant, blessant et qui trahit toute la confiance qu'il me portait, jusqu'à cet instant... Mais c'était trop tard...
-
J'ai mal! Ce connard m'a balancé un sacré coup dans le ventre, que j'ai pas vu venir! Il m'a fallu un moment, pour arriver à m'en remettre! Et pendant que j'étais par terre, ça a laissé suffisamment de temps à cette pourriture, pour faire du mal à ma mère! Je lui avais pourtant bien fait comprendre, qu'elle n'avait juste qu'à crier! Si elle aurait fait ça, quelqu'un d'un minimum intelligent serait intervenu, pour l'aider! Je n'en ai vraiment pas cru mes yeux, quand je l'ai vu partir avec ce cinglé, sans chercher à résister! Elle est partit presque en m'ignorant, avec ce connard qui avait sa putain de main sur sa hanche!... Et dire qu'on devait parler de la situation, cet abrutit à tout flanqué en l'air!
- Connard!... Tu vas me le payer! Je vais te faire bouffer tes dents!...
J'avais beau être par terre en train de me tenir le ventre, ça n'a pas empêché un groupe d'imbéciles de venir me filmer! Il y en avait même un, qui m'avait reconnu et qui commençait à se moquer encore de moi! Cette fois la situation allait vraiment beaucoup trop loin et ce mec, ce dégénéré de Tani qui est partit avec ma mère vers le lycée, risquerait de rapidement accélérer gravement les choses dans le mauvais sens, si je ne faisais rien! J'avais beau être souvent patient et calme, cette fois je devais réagir immédiatement! Il tenait ma mère entre ses sales pattes et si je ne le fracassais pas au plus vite pour faire de lui un exemple, non seulement il pourrait lui faire toutes les saloperies qu'il voudrait, mais en plus il détruirait complètement la réputation que j'ai du mal à faire tenir! Je serais la risée du lycée après ça! Je passerais pour celui qui n'aura pas été capable de défendre sa propre mère, qui s'est faite...
- Fait chier!...
Je pleure de rage, pendant un temps qui dure beaucoup trop longtemps, avant que je réussisse à me relever évidemment tout seul... Pas un de ces connards, n'est venu m'aider! Je n'ai eu le droit qu'à être filmé et à recevoir de plus en plus de moqueries! Cet endroit est franchement répugnant par moment! Chez-moi on apprend à aider les autres et pas à les enfoncer plus bas que terre! J'aurais pu utiliser mes pouvoirs face à l'urgence, mais c'était trop risqué... Surtout quand je suis sous le coup de trop grosses émotions comme maintenant, je n'arrive d'ailleurs même pas à m'en servir de toutes façons...
- Tu ne perds rien pour attendre! Ose la toucher et je te détruis!
Le front transpirant, j'entends encore des guignoles qui se moquent de moi, pendant que je vais essayer d'appeler sur son téléphone qui ne répond pas, alors que je retourne en direction du bahut à toutes vitesses, avec les mains sur le ventre. Ca allait un peu mieux, mais la douleur allait encore rester pendant un moment! Et quand je regarde ma montre, je vois qu'il s'est déjà écoulé beaucoup trop de temps, pour que ce connard de Tani n'ait pas eu le temps de l'agresser ou d'abuser peut-être d'elle!... L'autre problème était aussi de savoir où je devais exactement chercher... Alors que je questionnais au passage avec énervement, plusieurs abrutis qui ne semblaient pas savoir, le petit jeu de cache-cache va finalement s'arrêter plus vite que prévu, lorsque je reçois un message vidéo, en provenance du téléphone de maman. Lorsque je m'empresse de l'ouvrir, je suis prit de stupeur, quand je la vois en train de se faire baiser par...
- Non!... C'est pas vrai! Pas ça! Non!...
Choqué par ce que je découvre, je coupe net la vidéo et je blêmis... Je ne pouvais pas croire ce que j'avais vu... Ma mère ne m'aurait jamais envoyé ça d'elle-même et en plus elle couinait!... Je recompose encore une fois son numéro pour rien et je me laisse tomber par terre, prêt à pleurer et à hurler, quand je n'obtiens toujours pas de réponses, alors que j'arrive dans la salle de cours, qu'il m'a semblé reconnaitre sur la vidéo. Pendant plusieurs minutes, je suis incapable de réagir. Je suis déconnecté et je culpabilise de plus en plus, en me disant que c'est parce que je n'ai pas réussi à la protéger... Ce connard l'avait embarqué et je n'avais pas pu l'aider... Mais par chance, je reçois un appel de sa part. Et lorsque je décroche en état de panique, je l'entends me supplier de venir la chercher, dans la chambre de cet abrutit! C'était maintenant là bas, qu'il la séquestrait! Je vais le...
- Maman?... Je... Oui j'arrive! C'est bon je sais où elle est! Tiens b...
La conversation très écourtée, je me relève avec un relent d'espoir, avant de me précipiter vers la partie des dortoirs. J'emprunte ensuite à un pas de course fulgurant, la cage d'escalier et lorsque je me retrouve devant la porte de cet enfoiré que je vais éclater, j'enfonce la porte en même temps que je tire sur la poignée. Alors qu'elle s'ouvre brutalement et qu'elle n'était apparemment pas verrouillée, j'ai les yeux et la bouche qui s'ouvrent tout en grand, en voyant maman qui est en train de gémir, avec ce connard qui est derrière elle, en train de la pénétrer...
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- Oh mon dieu! Non!... Ca va être dangereux!... J'ai peur!... Je t'en prie arrête ça maintenant, pendant qu'il est encore temps de le faire!...
-Tss … Tu meurs d’envie de voir la tête de ton fils te voir ainsi, tu meurs d’envie de le voir se décomposer devant toi … Tu meurs d’envie qu’il te voit entre les mains d’un gars qu’il ne peut pas piffer.
Tani ricanait alors qu’il la prenait et profitait de son corps dénudé. Il pressait sa poitrine entre ses doigts alors qu’elle commençait à filmer. Il lui massait le corps au passage de ses mains dominatrice et qui la réduisait en simple jouet sexuelle servant juste à satisfaire son envie de toucher des formes. Elle ne servait qu’à ça ! Et la porte finit par s’ouvrir pour laisser le spectacle à ce fameux Kitsune male et faible.
- Oui! Oui!... Comme ça!... Ouiii!... Ouiii!...
-Tu entends ça Tethys ? Je sais prendre soin de ta mère bien mieux que toi ! Tu n’es plus utile à son bonheur comme tu peux l’entendre.
Il ricanait encore tout en regardant Tethys dans les yeux avec la plus grande des malices … qui se transformait gentiment en un regard de conquérant. Il léchait alors la nuque de Ethys tout en regardant le fils et soudainement, il lui balançait un éclair noir bien féroce et assez puissant pour neutraliser un éléphant qui chargeait. Il allait le paralyser pour qu’il reste au sol impuissant devant ce qui se passait devant lui, le réduisant en petit toutou qui était tombé dans le piège de l’appel de sa mère. Sa mère était une complice à présent … allait-il comprendre une chose aussi simple ?
-Filme le bien en train de manger le sol pendant qu’il exprime son impuissance … Eternises tout ça, tout le monde doit le voir ainsi … tu n’es pas d’accord ma petite Kitsune ? … Il ressemble tellement à un petit chien à dresser … tu as manqué à ton devoir de mère depuis longtemps.
Il griffait légèrement le ventre d’Ethys en passant sa main dessus devant son fils, continuant de ricaner le poison qu’il était en train de dire de manière bien auditable à l’oreille bien tendue de Ethys. Il descendait même sa main sur le clitoris de la Kitsune pour le titiller en même temps qu’il accélérait les mouvements de ses va et vient pours qu’elle exprime encore plus son bonheur devant son fils…
-Et si tu lui disais en face … que tu l’abandonnais pour te livrer à moi avec ta fille hmmm ? J’en ai pas fini avec elle non plus …
-
Plus j'entendais Tani parler et essayer de m'humilier, plus je devenais excitée! Tout ce qui sortait de sa bouche sur moi, était en fait une profonde vérité! Bien que ses mots soient horribles à entendre, c'est aussi parce qu'ils sont vrais, que ça me faisait en même temps chavirer! Mes tétons durcissent et vibrent comme mon clitoris, lorsque je l'entends ricaner sadiquement, après avoir dit ces choses terribles, vis à vis de mon fils... Je savais que c'était monstrueux, mais j'étais tellement excitée, que j'acceptais encore plus facilement cette vérité! Et je me nourrissais de plus en plus de toute cette honte, pour en faire ressortir de la jouissance! Oui, c'était probablement inacceptable de la part d'une mère, mais je pouvais de moins en moins lui résister!... Et ses mains qui palpaient mes seins, étaient tellement délicieuses! Mes tétons régissaient encore plus, face à leur contact! A chaque fois qu'il les touchait. Qu'il jouait avec mes petits bouts de chairs, que je lui offrais généreusement, je gémissais longuement et sensuellement.
Et je finis de m'offrir à ce petit conquérant, qui arrive même à me dénuder de l'intérieur, quand mon fils Tetyhs arrive. J'étais en train de couiner fortement, lorsqu'il est entré dans la chambre. Dans la chambre de ce petit homme. Et dès que j'ai vu sa réaction, même si je tremblais d'excitation, je n'ai encore une fois pas pu m'empêcher d'obéir à son petit camarade de cours. J'ai alors bien fixé mon fils avec l'objectif de son téléphone, pendant qu'il me regardait avec un air à la fois inattendu et particulièrement choqué, de me voir dans une telle situation... Et lorsqu'il me regarde ainsi, prise par ce garçon, mon vagin s'embrase encore plus! Et pour en rajouter encore davantage sur cette honte, qui nous rabaisse chacun totalement ici, à mon fils et à moi, son ennemi le ridiculise, avec des propos blessants.
Pendant qu'il ricanait, je n'arrivais pas à m'empêcher de continuer de filmer ses réactions. Pire, puisque j'osais encore filmer un instant mon sexe excité et parfaitement calé sur celui de son petit camarade, alors que mon fils semblait avoir du mal à réagir en voyant ça. Mais l'adolescent très fougueux et provocateur. Ce même garçon, qui avait frappé mon fils tout à l'heure sans aucun ménagement, me lèche la nuque. Je prends alors soudainement peur, lorsque je vois Tetyhs réagir. Mais tout va tellement vite qu'il a tout juste eu le temps de bouger, qu'il se prend quelque chose qui me tétanise encore un peu plus sur place! Quelque chose qui ressemble à ce que j'avais vaguement vu l'autre jour, quand le garçon a violé ma fille sous mes yeux et qui sort maintenant de sa main. Cette chose noire et qui semble bien être de la foudre, se propage vers Tetyhs, qui se retrouve aussitôt par terre... Il se met à trembler et à se secouer sous mon regard apeuré, tout en serrant les dents! Il avait toujours les yeux parfaitement fixés vers nous, mais grands ouverts...
- Qu'est-ce que...
Avant que je puisse parler pour exprimer mes craintes, le garçon définitivement cruel, m'ordonne de continuer de filmer la scène, pendant que Tetyhs nous regardait avec une certaine impuissance. Il m'ordonnait mot pour mot que moi, sa propre mère, éternise cet instant avec son téléphone toujours entre mes mains, dans le seul but de détruire sa réputation, pour que probablement tous ses camarades voient ce qui se passe en ce moment... Mais surtout, qu'ils voient celui qui semble ne cesser de lui chercher des problèmes, en train de le soumettre et de me soumettre en même temps, en me prenant comme une vulgaire chose. Et il continue d'appuyer là où ça fait bien mal, en remettant ensuite en cause son éducation...
- Je...
Je continuais toujours de filmer Tetyhs qui convulsait légèrement au sol, mais je tremblais en même temps de peur. La seule chose qui me rassurait, c'était de le voir seulement immobilisé. Il ne voulait donc que simplement profiter de sa vulnérabilité et immortaliser à jamais cet instant, qui restait malgré tout insoutenable à voir... Puis il griffe ensuite mon ventre et l'adolescent vicieux et pervers, qui semble avoir tout prévu, rit encore de façon malaisante, lorsqu'il ressent sa victoire et sa supériorité, sur celle de mon fils... J'ai alors comme un instant de lucidité qui ne durera pas plus que quelques secondes, durant lequel je savais que je pouvais encore tenter de sauver les dernières apparences, si le voulais encore... Avant que je sente sa main glisser vers mon sexe, pénétré par son pénis, qui l'accueillait triomphalement et chaleureusement...
- Annnnh... Aaaanh...
Ce jeune petit brun des plus irrespectueux et cruel jusqu'au dernier degré, attrape ensuite mon clitoris qui était déjà bien durcit. Mon entrejambe tremblait et je gémissais encore, rien qu'avec ce contact en plus!... Mais je ne peux plus rien faire d'autre que de lui céder encore une fois et de probablement toucher le fond pour de bon, lorsque je me laisse aller au plaisir qu'il me procure! Ce plaisir que j'éprouvais était tellement sale, à cause de cette nouvelle situation inédite, que j'en perdais une fois encore la tête!
- Oui... Oui! Oui! Ouiiiiiii! Annnnnh! Annnnh! Encore! Ouiii!
Mon corps et mon esprit s'abandonnent entièrement à lui, alors que son engin me martèle le vagin! Son magnifique sexe viril, raide et bien odorant, était en train de me cogner avec fermeté! A chaque fois qu'il touchait le fond, mon corps se secouait! Mes seins rebondissaient! Tout de moi bougeait en rythme, selon ses désirs! Mon corps bougeait exactement de la même manière, que lorsque je l'ai vu pénétrer ma fille avec sa fougue! Et je trouvais ça tellement excitant, que je mettais bel et bien de côté tout le peu de raison et de dignité qu'il me restait, pour me laisser aller et couiner, pendant que Tetyhs nous regardait! Je reprenais de la vigueur, pour le filmer sous les ordres de son persécuteur! Tandis que j'exprime mon bonheur à me faire prendre aussi salement, je suis encore prise par un autre relent fiévreux, lorsqu'il m'invite à dire à mon propre fils, de l'abandonner pour lui. De le choisir à sa place. De collaborer définitivement corps et âme avec lui et de lui livrer au passage ma fille, dans ma propre déchéance! Mettre en morceau nos liens et toute mon infime dignité, si tant est j'en ai encore quelque part...
- Ouiii!... Oh oui!!! Oh!!! Je le veux! Je veux que tu me prennes encore!... Prends-moi avec ma fille! C'est toi que je veux!... Oh c'est tellement bon ce qui se passe!... Oh mon dieu!!!
C'est éprise dans la folie de mes désirs flamboyants, que je décide sans hésiter de participer et de collaborer ouvertement à toutes les exigences de ce garçon, peut-être encore plus démoniaque, que n'importe quel démon lui-même! Je ne pensais maintenant plus qu'à lui! Alors je hurlais que je le voulais! Qu'il pouvait nous prendre comme ça lui chantait, ma fille et moi! Et quant à mon fils que je filme, j'étais tout simplement heureuse qu'il soit là, pour assister à sa victoire écrasante sur lui! Mais aussi sur nous! Sur moi et ma fille, qu'il aura maintenant piétinée jusqu'au bout et qui ne feront plus que ramper à ses pieds! Oui! Je n'avais plus aucun doute, ni de honte, pour même reconnaitre ce que je préférais! Je préférais plus de dix mille fois le traitement viril et outrageux de ce garçon et la satisfaction sexuelle qu'il me procurait, à l'amour que je porte vis à vis de mes enfants! Peu importe quels étaient ses actes et ce qu'il seront ensuite! Je...
- Oh mon dieu!... Fais de moi ta chose, avec ma fille! Humilie-moi devant mon fils! Humilie-nous autant que tu le voudras! C'est tellement bon de se faire prendre, par un si beau, si fort et si jeune garçon que toi! C'est les personnes comme toi, qui me rendent folle!...
Prise dans la folie du bonheur le plus malsain qu'il soit, je le supplie de faire de moi et de ma fille, ses choses et donc ses... putes! Et cette sensation de déchéance et d'abandon pour lui m'était si agréable, que j'en jouis! Et quand je jouis, je fixe l'objectif sur mon sexe brulant et totalement détrempé! Ma jouissance aspire fortement le beau sexe raide du garçon, au plus profond du mien! J'écarte les cuisses et je prends volontairement une pose, particulièrement obscène! Je voulais que Tetyhs voit tout! Qu'il voit quelle mère inacceptable j'étais en vérité! Je me retrouve ainsi comme avant, soumise et fière d'être un vulgaire objet sexuel asservi, pour des personnes sadiques comme ce garçon derrière-moi, en train de me prendre!
- Annnnnh! Ouiiii! Annnnh! Annnnh!...
Je couine avec plaisir comme une salope sans la moindre honte, pendant que j'essaye en même temps de capter l'attention de mon fils! C'était tellement ignoble comme situation et ce qu'il devait psychologiquement endurer à cet instant, que ça m'envoyait définitivement au septième ciel!
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Au moment où j'entre dans la chambre de ce connard de Tani que j'étais prêt à fracasser sans retenue, je me fige instantanément sur place, lorsque je vois ça! Devant mes yeux, il y avait ma mère qui était en train de se faire baiser, par cette enflure! Il était derrière-elle, pendant qu'elle couinait comme une... Pendant que je suis paralysé par l'émotion tellement inattendue, j'entends les provocation de l'autre abrutit! Mais je me sentais encore plus perdu, lorsque je voyais maman en train de me filmer!... C'était une plaisanterie?... Non! Elle ne pouvait pas accepter de faire une chose pareille! Pas à son propre fils, qu'elle aimait!... Pas à moi!... Pas avec tous ses mots doux et si gentils qu'elle m'a tant dit, en si peu de temps, depuis nos joyeuses retrouvailles...
- Espèce de c...
C'est au moment où je le vois me narguer et qu'il lui lèche la nuque, alors qu'il avait sa putain de bite dans son sexe, que je me reprends. La colère en moi explose! Mais j'ai eu à peine le temps de m'en rendre compte, que quelque chose de noir et de particulièrement douloureux, me percute! En un éclair, probablement le mot juste, cette chose qui me touche, me foudroie sur place et elle me plaque instantanément par terre! Comme tout à l'heure, je suis encore une fois au sol et je n'arrive plus à bouger... Mais bien que je ressentais de la douleur, j'étais surtout pris dans la paralysie! Je ne pouvais non seulement plus bouger, mais de ma position à moitié allongé, je pouvais encore parfaitement continuer d'entendre et de voir la scène atroce du viol de ma mère, devant-moi! Je l'entendais profiter de la situation, face à laquelle je ne m'étais encore une fois pas préparé, pour qu'il se permette ensuite de bien enfoncer, juste là où ça faisait mal! Il ordonnait à maman, qu'il baisait tranquillement comme une salope sous mes yeux, de continuer de me filmer! Ce sale porc avec son expression victorieuse, voulait vraiment tout faire pour ruiner aussi bien ma fierté, que le reste de mes jours dans cet établissement!
- (Connard)!
Mais j'avais beau être dans une colère noire, je ne pouvais pas parler! Je ne pouvais plus rien faire! Mon dieu, qu'est-ce qu'il m'arrive?... Et alors que cette pourriture s'amuse, il touche ma mère, avant de la défoncer encore plus! Et intérieurement, je me casse encore une fois la figure par terre, comme la pire des choses qui puisse exister dans cette vie, quand je vois maman qui se met encore à couiner, quand ce sale connard abuse d'elle! Mais en quelques instants, c'est mon coeur qui manque vraiment d'éclater en morceaux, quand elle est en train de gémir encore plus fort. De gémir comme une... comme une pute... Non!... Maman! Tu ne peux pas accepter de faire ça... Pas avec lui en plus... Pas comme ça...
Une douleur bien plus forte que celle que j'éprouve physiquement, m'envahit les entrailles! Moi qui croyait jusqu'au bout, qu'elle n'était rien d'autre qu'une victime abusée, me montre soudainement une image impensable et inhumaine d'elle, que je ne connaissais pas... J'avais envie de pleurer, quand je la voyais s'abandonner et de prendre son pied avec cet enfoiré devant moi! Comment pouvait-elle en arriver à ça, alors qu'elle savait que c'était ce connard, qui m'avait frappé tout à l'heure?...
- (Maman)...
Mais je ne pouvais pas encore complètement croire à ce qui arrivait, juste sous mes yeux... Seulement mon sang ne fait ensuite plus qu'un tour et la vive douleur intérieure s'approfondit encore plus, lorsque j'entends l'impossible sortir de sa bouche! Maman gémissait toujours comme une pute dépravée, en le désirant! Elle désirait ardemment ce fils de pute de Tani et elle était prête à se livrer à lui, avec Setyhs?... Non!... Elle devait délirer! Ca ne peut être que ça! Ce connard l'a droguée!...
- (Enfoiré)!...
Et j'ai ensuite envie de pleurer et de recracher toutes mes tripes qui restent tendues avec ce qu'il m'arrive, quand elle en rajoute encore! Elle lui demande en le suppliant, de l'humilier devant-moi! De faire pareil avec Set! Elle le trouvait fort et... J'avais juste envie de vomir! Et comme si ça ne suffisait jamais de recevoir l'un après l'autre, tous ces coups de poignards dans le dos et dans le coeur qui me faisaient tellement mal, elle écarte vulgairement les cuisses, tout en continuant de me filmer... C'est pas ma mère ça! C'est une sale... Tout de moi fondait de l'intérieur, en voyant ça! En entendant ses mots tellement cruels et irrationnels! Je savais que ma mère n'avait jamais eu une vie très facile. Qu'elle était obligée de vendre son corps en extra, aux clients à son magasin... Que ça incluait malheureusement des élèves d'ici aussi, qui n'hésitaient pas à venir la voir et à la traiter parfois exprès de pute, juste pour me faire chier... Qu'ils essayaient ensuite de me montrer toutes ces vidéos dégueulasses, qu'ils avaient fièrement faits ou reçus sur elles, dans la seule intention de se moquer de moi! Mais jamais à un seul moment, je n'ai pu imaginer qu'elle puisse se comporter, comme elle le fait maintenant! Non... Tani lui a forcément fait quelque chose avant! Ce n'était pas elle!
Avec dégout et horreur, je la vois ensuite jouir devant moi. Elle prenait son pied, tout en veillant à parfaitement filmer toute la souffrance encore invisible, que je pouvais ressentir à chaque seconde, en encaissant toutes ces horreurs, qu'un fils ne devrait jamais voir! Mais bien que j'étais désespéré et que j'avais mal, je gardais encore un espoir qu'il la contrôlait, avec des putains de drogues! J'allais de toutes façons le savoir très vite! Mais encore une fois, je devais trouver le moyen de me reprendre et de vite réagir, avant que cette ordure ait le temps d'envoyer tout ça aux autres! S'il y parvenait... Si on le voyait en train de la baiser, avec moi au sol à ne rien pouvoir faire que de regarder tout ça, ce serait la fin pour moi ici... Et peut-être même pour Setyhs...
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- Oh mon dieu!... Fais de moi ta chose, avec ma fille! Humilie-moi devant mon fils! Humilie-nous autant que tu le voudras! C'est tellement bon de se faire prendre par quelqu'un de fort comme toi! C'est les gens comme toi qui me rendent folle!...
-Tu l’entends Tethys ? ihihih … Dis toi que tu es sorti de son ventre … Oui, c’est bien ta mère qui crie comme une délurée son plaisir devant toi … Tu es toi aussi, certainement né d’un abus sur ta mère … J’aurai honte à ta place, tu n’es qu’un enfant … indésiré !
C’est un sourire sadique qui s’affichait alors sur le visage de Tani avant qu’il ne vienne mordiller l’oreille de Ethys afin de lui dire de manière bien audible pour que le jeune Kitsune puisse également entendre la question qu’il allait lui poser …
-N’ai-je pas raison … Ethys ? Dis lui donc la vérité …
Il ne s’arretait malgré tout pas ses mouvements, la prenant toujours aussi sauvagement pour que les seins de la mère se balancent en rythme devant son fils alors que l’un de ses seins était agrippé par Tani, le massant et abusant de ses formes pour son bon plaisir. Pour une mère, elle était encore pas mal foutue … Sa fille avait hérité de très bon gène de sa génitrice au moins. Elle avait réussi quelque chose … Oh cela ne ferait-il pas une autre chose à mettre en lumière ?
-La seule chose dont ta mère peut être fière de ses enfants … c’est sa fille qui a un excellent corps à tripoter et à salir … mmmh, comme tu as pu l’entendre … ta sœur est déjà à mes pieds. Vu la lenteur dont tu fais preuve, tu ne sembles pas tenir à ta famille … ahahah … Regarde Ethys … Ce n’est qu’un chien a abandonné…Le feras tu pour de bon? Ça me ferait tellement plaisir …
Un Neko qui était en train de prendre cette Kitsune ? Non en ce moment même il ressemblait bien plus a un démon qui faisait bien prendre conscience au fils qu’il n’était rien face à une bonne baise…que sa mère tournait sa veste pour du plaisir ! Que sa sœur était dans le même panier…qu’il était maintenant seul face au danger de ce monde. Mais il fallait attirer l’attention du Kitsune sur cette queue qui était en train de prendre sa mère car … il n’allait pas tarder à la remplir et il fallait qu’elle filme ça et que lui ait bien le regard sur sa mère qui s’extasiait de ce moment …
-Regarde la bien prendre son pieds Tethys … Je vais à nouveau lui donner ce qu’elle veut !
Et c’est sans plus attendre qu’il jouissait au fond de cette mère, d’une quantité de sperme anormal qui démontrait parfaitement que la Kitsune ne pourrait pas tout garder en elle … cela débordait même sur ses cuisses avant qu’il n’ait pu faire une grimace devant ce qu’il voyait…Il écartait bien les jambe de sa mère tout en la penchant en arrière pour que la vue soit magnifique pour Tethys… Il était aux premières loges…Et cela ne s’arrêtait pas … il jouissait dans sa mère encore et encore … cela ne semblait pas avoir de limite…
-
- Oui!!!... Oui!!!... Oh oui!!!... Oooooh!!!... Encore!!!... Ooooooh!!!...
Cette fois je jouis sans m'arrêter! Le pénis du jeune garçon qui est en moi, me faisait maintenant un bien incroyable! Mais ce qui me rend encore plus folle que tout, c'est l'avilissement que je ressentais! Et avec Tetyhs qui était en train de nous regarder, évidemment impuissant, alors que je dois faire un grand effort pour arriver à filmer toutes ses réactions, amplifiait encore mon plaisir. Pendant que ma chatte détrempée explose, je fais tout pour bien alterner entre la prise de vue sur mon fils, avec mon vagin ruisselant qui est attrapé violemment par le garçon derrière-moi. Il fallait... Je le devais... Mes plus bas instincts me dictaient de lui obéir et j'étais tout simplement heureuse d'être totalement sous son emprise! Je retrouvais enfin des sensations similaires à celles d'avant, quand j'étais encore une esclave sexuelle bonne à prendre et à jeter ensuite. Un jouet manipulés par tous ces types malsains et vicieux. Sauf que là, il y avait mon fils au milieu et il était en train de se faire horriblement humilier! Mais c'était incroyablement bon! Je me sentais comme privilégiée! Et en plus, le mauvais garçon continue de l'enfoncer, avec des mots insoutenables à entendre pour lui et pour une mère qui aurait normalement été constituée. Puis il me mordille l'oreille comme sa chose pendant que je couine à répétition, en me demandant bien fort si tout ce qu'il disait était vrai. Seulement c'était vraiment la vérité! Je pouvais enfin être entièrement moi, sans tabous. Sans aucun mensonges. Juste avec mon désir à la fois terriblement avilissant et monstrueusement égoiste.
- Oui!!! Ouiiii!!! Je suis ton jouet! Regarde Tetyhs! Regarde-le en train de me dominer! De me prendre tellement fort! C'est aussi lui qui a violé ta soeur Setyhs! Mais moi... J'aime ça! J'aime sa fougue! J'aime ce qu'il est train de faire! Ouiiiiii!!!
Pendant que je frémis et que je me laisse complètement aller, le jeune brun bien pervers et bien sadique, continue de me prendre le vagin avec fougue! Mon corps et mes seins ballotaient en rythme constant, juste devant les yeux de mon fils qui ne pouvait plus rien faire d'autre, que d'accepter la dure réalité des choses. Son ami, ou plutôt son ennemi qui était un conquérant et moi, celle qui me faisait conquérir avec joie par lui, m'attrape fermement une sein au passage. Mon corps était totalement brûlant! J'étais en ébullition et je profitais tout simplement de la fin de ma jouissance, pour filmer sa queue de jeune garçon, en train de tout simplement me prendre comme un animal. Même la caméra tremblait à chaque impact, à chaque fois que son pénis s'enfonçait vigoureusement en moi. C'était particulièrement violent et délicieux en même temps!
- Ouuuuuui!!! Ouuuuuu!!! Oooui!!! Regarde Tetyhs! Regarde ma chatte en train de se faire prendre, par le violeur de ta soeur! Allez regarde! Tu sais que toi aussi, tu es né du premier viol que j'ai subis! Tu sais que c'est vrai tout ça!
Me déchainer dans des propos particulièrement odieux mais tellement vrais à la fois, me rendaient encore plus heureuse et fébrile! J'avais conscience que ça faisait souffrir mon fils, mais j'aimais tellement lui faire tout ça maintenant! Et puis je ne savais faire que ça, de toutes manières. Je n'ai jamais su rien faire d'autre que d'être lâche et compter sur les autres pour m'aider ou pour me faire dominer par les plus fort! Alors pendant que je ressens une nouvelle excitation malsaine, qui passe à travers mon corps et mon sexe, pour ce beau garçon qui nous humilie comme jamais, je souris de satisfaction. J'étais contente d'avoir put dire tout ça à mon fils. De finalement juste pouvoir réaliser probablement l'acte le plus décadent et le plus monstrueux, qu'une mère indigne peut faire à ses enfants! Mais ce n'était pas encore terminé, car le garçon qui se montrait sans pitié avec moi et avec lui qui heureusement n'arrivait plus à bouger, continue de le rabaisser. Et dès qu'il finit, en me demandant si ce n'était plus qu'un chien abandonné, je tire la langue comme la vraie chienne que je suis aussi, tout en souriant et en haletant, le téléphone momentanément tourné vers moi, exprès pour que tous ceux qui verront cette scène, en profitent jusqu'au bout!
- Oui! Tu as raison! Ce n'est qu'un petit chien abandonné! Et moi je suis sa grosse chienne de mère, qui l'a aujourd'hui abandonnée exprès juste pour que tu me prennes! Regardez! Regardez tous quelle mère décadente et dépravée je suis! Oooh!!! Annnnh!!! Oui!!!
Hystérique, mais parfaitement consciente de chaque mot que je dis, je prends encore plaisir à me laisser aller encore dans un nouveau niveau de bassesse et de dépravation. Me faire rabaisser et rabaisser en même temps mon fils, était un jeu particulièrement vicieux et décadent, mais qui me plaisait énormément! Autant que si je goutais à la meilleure chose du monde. Sauf que cette meilleure chose, elle est maintenant juste là! Et maintenant que j'ai réussis à satisfaire le garçon, qui n'arrête pas d'abuser sauvagement de mon corps. Qui n'est rien d'autre qu'un objet sexuel bon à servir de défouloir, je suis prise d'une fébrilité soudaine qui passe par mes oreilles et ma queue kitsune, avant de rejoindre mon sexe, dès qu'il lui annonce qu'il va enfin encore jouir dans ma chatte! J'ai alors une excitation tellement folle, rien qu'à l'idée de savoir que mon fils allait voir la belle grosse verge de son "ami", cracher bien à l'intérieur de mon sexe détrempé! J'en suis si excitée, que je prends l'initiative d'écarter le plus possible les cuisse, rien que pour accueillir ce grand moment tant attendu.
- Oui! Oui! Vas-y! Oui! Vas-y, remplis-moi devant lui! Je le veux! Je te veux en moi!
C'est en criant encore comme une hystérique et une dépravée, que je dirige l'objectif de son téléphone encore en plein sur ma chatte qui dégouline et qui porte de plus en plus l'odeur de son beau sexe masculin et viril. Et pendant que je fais tout pour avoir la meilleure prise de vue possible, je ressens son sperme épais et bien chaud se libérer enfin de sa vigueur juvénile, pour se propager à l'intérieur de moi. Je me contracte avec lui et alors que je ne suis vraiment plus que sienne, le liquide conséquent de ce jeune beau mâle en pleine fougue de l'âge, finit par rapidement ressortir de mon sexe qui est en train de se fait engluer. Je n'arrêtais plus de crier et de l'encourager de me remplir jusqu'au bout. J'en éprouve une joie immense à le satisfaire à cet instant où on voit bien sur l'écran, tout son sperme qui en train de m'inonder et de rapidement ressortir. Il en avait tellement, que mon bas-ventre se remettait encore à se presser, à cause qu'il gonflait en même temps. Je jappe et je couine, quand il me penche ensuite en arrière, pour que la prise soit définitivement parfaite! Cette fois, la vue qu'avait mon fils de voir sa propre mère indigne transformée en vulgaire déchet à foutre, me faisait encore jouir!
- Aaanh! Annnnh! Annnh!!! Plus fort! Encore! Annnnh!!! Vas-y petit homme!!! Annnnh!!!
Même en jouissant comme une délurée, je faisais très attention à ce que l'objectif filme bien tout ce que le jeune brun, le persécuteur de mon fils et celui qui me prend comme sa prostituée devant lui, continuait de me mettre dans mon sexe de véritable prostituée! J'étais heureuse et je ne regrettais maintenant plus rien du tout! Avec lui, je savais que j'avais juste choisis le camp gagnant!
-
Quel plaisir de se décharger dans cette mère devant son fils, qu’il puisse bien voir tout ce qu’il versait en elle pendant qu’elle s’en extasiait très clairement, abandonnant tout le reste, tout ce qui faisait d’elle une personne entière. Elle acceptait d’elle-même de devenir un objet qui lui appartenait. Et ça lui plaisir, elle pouvait très certainement sentir ce plaisir au fond de son trou en plus de sentir cette semence l’envahir sans aucune pitié !
Une fois bien remplie … il la laissait alors tomber sur le côté ce qui faisait qu’il se retirait d’elle, la laissant complètement moite suite à sa jouissance … mais elle ne devait pas oublier de filmer. Tani, victorieux se levait alors du lit, le sexe dégoulinant de sperme et de cyprine d’Ethys en se dirigeant vers son fils au sol … laissant même quelques giclures lui arriver sur le visage à ce pauvre petit Kitsune. Une humiliation de plus pour ce bonhomme qui tentait de se défouler ou se défendre … difficile à dire mais bien facile à éviter pour lui mettre quelques coups de pieds dans la figure afin de l’assommer un peu … en le gardant bien conscient. Il l’attrapa donc par les cheveux et lui souleva la tête du sol par ceux-ci …
-Par quoi es-tu aveuglé mon petit ? … Tu vis avec elle depuis bien plus longtemps que moi et tu n’as jamais réussir à lire ce qu’elle est au plus profond d’elle … Il suffisait d’y implanter sa clé et regarde, POUF … la meilleure des salopes se trouve sous tes yeux … Ta mère … une mère qui a abandonné son rôle pour n’être que mon putin d’objet ! Regarde, c’est devant toi ! C’est pas un rêve …
Tani se releva après avoir lourdement lâcher la tête du petit Kitsune qui s’écrasait au sol pour aller chercher un feutre indélébile … avant de relever une nouvelle fois son visage en laissant un mini courant électrique se prolonger dans ses cheveux pour le garder paralysé … Il se servait simplement de son visage comme planche à dessin. Il écrivait qu’il venait d’avoir été abandonné par sa prostitué de mère sur son front. Il dessinait ensuite une bite sur sa joue … avec une flèche qui menait vers sa bouche. Tout ceci était surement filmé et comme l’encre allait être tenace même si l’eau coulait dessus, en pleine rue, tout le monde verra ce magnifique message … Bien sur … il ne savait pas lui.
-Tu me vois obligé de te rappeler ta place … comme j’ai rappelé celle de ta pauvre pondeuse de mère. Allez viens par la … Et toi film ! Surtout ne manque pas une seule miette !
Un ordre pour la mère maintenant ! Il se leva sans lâcher les cheveux du petit Kitsune et il le tira au sol par les cheveux, l’emmenant vers les toilettes. Il levait alors la cuvette des chiottes … pas très propre et il n’hésita pas une seule seconde à lui mettre la tête devant … qu’il prenne bien conscience de ce qui allait arriver …
-Voilà ta place mon chère ami …
Tani lui attrapait alors les couilles et le souleva alors par les couilles pour qu’il balance la tête la première dans la flotte avant de tirer la chasse d’eau pour le laisser manque d’air le temps que le réservoir se vide. Il relâcha alors son bassin en lâchant sa prise sur ses couilles, laissant le corps du Kitsune s’écraser au sol. Un large sourire sur le visage, il laissait le Kitsune dans la douleur dans cette position.
-Toutes tes petites histoires de famille, ton passé … POUF, c’est parti dans les canalisations ! Tu renais ! Soit reconnaissant ! Tu renais à l’image d’une merde, et vivra comme une merde ! J’ai trop hâte de voir ton évolution !
Il soupira ensuite avant de le fixer au sol …
-Mais bon … Quand y a une tache sur le sol, faut nettoyer …
Il allait ensuite chercher un sac poubelle pour glisser le Kitsune à l’intérieur et de fermer bien habillement le sac, ayant tout de même la gentillesse de faire quelques trous pour laisser l’oxygène entrer. Il tendait alors le sac à Ethys et il clignait des yeux de manière bien innocente.
-Tu veux bien jeter ce sac à ordure dans la benne ? Elle doit se trouver sous la fenêtre … la 3 eme en sortant dans le couloir … Tu seras récompensée à ton retour bien sûr ! Et film la chute !