Que l’on soit timide ou pas, il fallait reconnaître qu’il y avait quelque chose de très excitant à entendre une femme nous dire ainsi qu’elle adorait notre queue. Ça l’était encore plus venant de la part d’une poupée comme celle-ci, dotée de seins comme si peu en étaient dotées. De véritables pares-chocs bien ronds et lourds, devant peser chacun au moins quelques kilos…
Pour un type comme moi, qui raffolait et fantasmait depuis toujours sur pareils nichons, c’était là le traquenard parfait.
Obnubilé par ces deux gigantesques obus, j’oubliais presque que je faisais là appel aux services d’une prostituée pour la toute première fois de ma vie, et rares étaient les inquiétudes qui m’habitaient encore… Comme la pute qu’elle était, je m’attendais presque à l’entendre vouer un véritable culte à ma bite, à l’entendre me dire tout un tas de choses salaces pour m’inciter à la baiser plus et plus encore, de sorte à me soutirer le maximum de blé… et à vrai dire, je commençais même à espérer qu’elle le fasse.
Vous n’avez certainement pas idée de comment il peut être difficile de trouver une femme prête, ou capable de tout, lorsque l’on est outillé comme je le suis. Le faire étant déjà parfois compliqué, alors tenter quelques fantaisies… je ne vous en parle pas.
Alors se dire que peut-être que, si j’y mets le montant nécessaire, cette véritable bombe fera tout ce que je veux de mon sexe… je serais presque tenté de dire que c’est une aubaine !
La matant en cachant au mieux ma honte, j’observe bouche-bée son déhanché, lorsqu’elle vient à se débarrasser de ses bas pour me laisser reluquer le petit string qui marque son énorme cul.
« Ok… waw. »
L’instant dure trop peu longtemps. À peine ai-je l’impression d’avoir eu le temps de mater comme il faut que la belle inconnue revient aussitôt à la charge. J’écarte bien les jambes, qu’elle reprenne une place confortable, et replace un temps ma tête au creux de ses seins.
Mais après avoir vu un truc pareil… je ne peux m’en empêcher. Glissant mes gros doigts sur ses belles fesses nues, je m’y agrippe bien en sentant qu’elle installe entre elles mon gros chibre, et me courbe un peu vers l’avant pour voir ça. Putain… son cul est si gros que refermer ses fesses sur un mandrin large d’une bonne dizaine de centimètres ne lui est même pas difficile. De telles mensurations… c’est hors compet !
« Ha-haaaan… oooh… »
Dans un profond soupir d’extase, je retombe vers l’arrière pour m’installer confortablement au creux du canapé lorsque je sens ses mains serrer ses deux grosses fesses pour bien les refermer autour de mon sexe. Doucement elle ondule, monte puis descend… son cul me serre si bien que j’ai déjà la sensation d’être en elle. Difficile d’hésiter à l’idée de la baiser après un truc pareil… Elle m’en donne tellement envie.
Comme un affamé, mes lèvres se scellent au large mamelon qu’elle me tend et presse tout contre ma bouche. Je tords, mordille et suce goulûment tout ce qu’il m’est donné sans rechigner… gourmand. Mes mains viennent prendre la place des siennes sur son postérieur et je le presse, tandis qu’elle n’a de cesse de se limer la raie.
D’un doigt bien trop aventureux, j’écarte la ficelle de son dessous et entreprends de continuer, au creux de sa raie nue. Je lime lentement, tapote de mes doigts pour faire claquer son cul puis… sans même que je n’y prête vraiment attention, voilà que je la fait sauter sur mes genoux, enfonçant par à-coups ces quarante centimètres de viande entre ses fesses.
« MMH MmmMmmMmmmmMmmMmMMMMMh… »
Hésitant toutefois encore à l’idée d’aller trop loin, je gardais pour moi ma folle envie d’aller l’enculer à quatre pattes sur le carrelage de la cuisine. L queue mille fois trop raide… j’osais toutefois ouvrir les hostilités d’une toute autre façon.
« Haa… haaa… est-ce que… est-ce que je peux te demander une bonne fellation ? Sans… capote… s’il n’y a pas un supplément hors de prix pour ça. »
À dire vrai, même le triple XL me mettait mal à l’aise… alors supplément ou pas, il faudra bien se faire une raison.