Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Discussion démarrée par: Compte Inactif le lundi 18 janvier 2021, 15:49:40

Titre: Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys] | Terminé
Posté par: Compte Inactif le lundi 18 janvier 2021, 15:49:40
Prenons, l'air, un peu. Suffisamment.

Pas parce que les boulots m'ont ennuyé. Non. Juste que parfois, j'm'y sens à l'étroit. J'me retrouve bien loin de l'époque où j'trouvais le monde bien trop grand. M'man me disait "alors, rapetisse-le, imagine que c'est une grande île..." et elle avait raison. Des fois, visualiser ce que l'on décide, notre mental joue sur le physique et sur nos sensations.

Quand l'esprit gagne sur le reste, on gagne sur tout le reste. J'veux y croire, en tout cas.

Que faire dehors? J'ai décidé de vadrouiller à pied, me mélangeant à la foule, les dépassant de plusieurs têtes pour certains. D'autres s'écartent, me jugent, me toisent. Mais c'est un regard que j'ai l'habitude de recevoir. Je ne leur en veux pas, juste que c'est bizarre de rester intimidant avec toutes les créatures qui grouillent dans le coin.  Mon visage reste dur, et rien va m'empêcher de respirer l'air libre de la ville. Une bonne odeur envahit mes narines, apparemment on sert à bouffer quelque part.

Des ramens rapides. Ouais, c'est bon ces trucs. J'me rapproche du stand, une demoiselle s'y trouve derrière. Elle reculera de quelques pas quand elle me verra arriver, comme tout le monde, encore.

- B'jour. Pour des ramens s'il vous plait.
- Euh, oui, oui...
- J'vous prendrais sept boites.

Elle écarquille les yeux, j'fronce les sourcils. Bah quoi? J'ai besoin de me nourrir.

- C'est possible?
- O-oui.. ! Je m'y attèle, monsieur.
- Merci beaucoup.

J'essaie d'étirer un sourire amical, mais elle ne le remarque pas. Tant pis.

La commande va être sans doute longue, alors j'pianote sur mon téléphone en lançant Light Desert Online pour commencer mon farming journalier avec mon barbare. Mon épaule contre un lampadaire, il couine légèrement sous mon poids mais rien de dangereux. Ça y est j'ai mes 25K d'xp, plusieurs minutes sont passées, un petit soupir d'ennuie me prends.

Mais pas longtemps quand j'entends un hurlement. Un regard alarmé dans les parages. Un deuxième hurlement précise sa position. Merde. Un enfant, cours dans un chantier industriel alors que sa mère lui hurle de revenir. Le gosse a peut-être, 6 ou 7 ans. Une boule de démolition piloté par une grue automatique frappe contre un ancien building presque en ruine, il frotte le sol à chaque fois qu'il fracasse la vieille pierre.

J'm'envole. Poussant de toutes mes forces les bras en avant. Frictionnant l'air, j'arrive comme un missile devant le gamin, il venait en fait récupérer une peluche ensevelie dans les gravats. Il me regarde tout content alors qu'une sphère d'acier de plusieurs tonnes fonce droit devant.

J'm'interpose, la collision sonne comme un clocher d'église alors que j'suis blottit contre le métal. Mes pieds ont creusé un sentier jusqu'au petit qui n'a pas bougé. Il rigole, pas moi. les gravas restant sur l'acier m’ont ouvert pas mal de plaies sur le torse, et le métal a ouvert mon crâne qui me déchire de douleur et m'arrache un énorme feule, rugissant de toutes mes forces. J'me retourne doucement et saisis le petit qui a failli se faire disloquer injustement. Le choc vibre encore dans mon corps mais j'parviens à rejoindre la mère de ce petit. Mes bras, encore fort, le tend dans sa direction alors qu'elle s'effondre en sanglots m'inondant de remerciements que j'accepte d'un signe de tête, le regard dur, contenant le choc difficilement supportable.

J'reprends ma marche, et sans mes ramens. La bavure. Tenant mes côtes et mon crâne, j'redresse les yeux vers une boutique dont l'enseigne me dit quelque chose. Le Renard Blanc.

Hm, Le Renard Blanc. Des rumeurs disent que l'employée offrent des faveurs... Intéressantes. Mais j'ai surtout retenu sa boutique de cristaux donnant des effets particuliers. Et si j'pouvais me régénérer plus rapidement grâce a ces cailloux ? J'ai pris un boulet de démolition dans la tronche, mon crâne a pris forcément une fracture et les gravats mélangé au métal ont déchiré mon torse et mes vêtements au passage, il faudra du temps avant de me régénérer complètement.

Allons voir.

Le pas pressé, et lourd, j'essaie de m'essuyer le sang du crâne avant d'entrer dans un grand geste de la main qui fait claquer la porte. Trop fort, j'ai pas géré pour le coup, quel idiot. Elle rebondit un peu trop vite sur moi et  en esquivant, mon dos encombrant percute une rangée de cristaux qui se fracasse au sol.

Putain, non, pas ça.

- Oh non...

Un genou a terre, j'essaie de ranger mes bêtises, en regardant de chaque côté si j'suis pas seul...

Bravo Héra, t'es pire qu'un éléphant dans une boutique de porcelaine.
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le lundi 18 janvier 2021, 20:32:38
Et hop! Petits rangements par-ci, petits rangements par là, suivit d'un dépoussiérage. Je dois quand même avouer que tenir une boutique propre et à jour, n'était pas non plus si simple que ça. Voilà quelques mois que la boutique est ouverte et malheureusement, le monde n'afflue pas vraiment. Enfin, pas pour mes cristaux en tout cas. Mais je comptais encore aussi sur le fait que mon établissement était nouveau et que j'avais besoin de mieux me faire connaitre. Et pas seulement qu'à travers mes "à côtés"...

- Et voila. Comme neuf! Une bonne chose de faite...

Je chantonne un peu, une fois le travail terminé. Oui, la boutique en serait presque trop calme en vérité, s'il n'y aurait pas ces travaux de démolition à l'extérieur. Moi qui vendais des cristaux de magie blanche que j'ai du appeler ici "ustensiles pour la pratique de la lithothérapie", histoire de donner une excuse que ça n'ait pas trop l'air d'être magique en apparence, je me sentais un peu comme sur un fil...
Repassant ensuite derrière mon comptoir, je prends l'un de ces magasines terriens que je venais d'acheter, pour le lire. Je tentais de me renseigner un peu sur les diverses manières de vivre et de faire des habitants de cette planète. En tout cas, ce monde était vraiment très riche et très intéressant. Je ne regrettais pas d'être venue ici.
Pendant ma lecture, alors que j'attendais la venue d'un client potentiel, je lâche presque mon magasine des mains, lorsque j'entends la porte de ma boutique s'ouvrir de façon très violente. Je n'avais pas encore le temps de comprendre ce qui se passait, que le bruit s'enchaine presque immédiatement par un autre. Un bruit de fracas...

- Que?... Que?...

Immédiatement, mes oreilles se dressaient très fortement sur ma tête. Les yeux écarquillés, bouche bée, je commençais déjà à trembler sur place. Le temps que je comprenne enfin, je voyais un homme genoux à terre, commencer a ramasser mes...

- Mes cristaux...

Sur l'un de mes étalages, plusieurs de mes cristaux avaient étés renversés par cet homme et se sont fracassés dans leurs chutes. Avec les essences colorées qui s'en échappaient tout autour...
Le coeur battant, je me lève immédiatement de ma chaise. Je n'avais pas encore besoin de m'approcher pour aller constater l'étendue des dégâts, que je remarquais que l'homme responsable du désastre, semblait s'être blessé à la tête. Sa blessure n'était pas très jolie à voir...
Avec beaucoup d'hésitations, je me rapproche encore, tout en maintenant une distance de sécurité. J'avais peur, mais j'étais aussi inquiète pour lui...

- Est... Est-ce que vous allez bien monsieur?...

Comme je n'osais pas m'approcher plus, je ne parvenais pas à distinguer son visage. Je ne le voyais que de dos. Aussi par réflexe, je prenais sur un autre étalage, un cristal blanc.

- Tenez... Essayez ça pour votre blessure à la tête monsieur...

Toujours en gardant une certaine distance, je l'appelle en lui tendant un cristal de soins. Je me demandais bien ce qu'il s'était produit, pour en arriver là...
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
Posté par: Compte Inactif le lundi 18 janvier 2021, 20:51:39
Une voix fluette dans mon angle mort.

J'suis pas tout seul.

J'me retourne. Elle me pose une question, je la détaille brièvement. Une petite créature, svelte, aux cheveux d'argent et des yeux azurés. J'me redresse, alors qu'elle disparaît sous mon ombre, la surplombant avec les débris dans les mains. Le regard dur, hésitant et coupable. Avant d'ouvrir la bouche, elle me tend quand même un cristal, une main fébrile, pas rassurée. Pis j'réalise qu'enfaite c'est de moi qu'elle a peur. J'pousse un soupir, j'réalise que j'y suis un peu pour quelque chose et on m'a pas éduqué pour foutre le bazar sans en payer le prix.

J'approche mon imposance dans sa direction, dans la perspective d'assumer mes responsabilités.

- J'sais pas quoi dire, je ... J'vous rembourserai.

J'tends le tas de cristaux, même s'il reste quelques éclats au sol, nécessitant d'un balai pour terminer le travail. Ma migraine tambourine mon crâne alors qu'un filet de sang coule le long de mon visage. Elle est toujours pas sereine, alors j'me dis que le mieux c'est de miser sur la transparence.

- J'vous veux aucun mal. J'ai pris un boulet de démolition dans la tronche, et il me faut du temps pour me régénérer d'un truc pareil. Et j'ai vu cette boutique.

D'un pas vers l'avant, mon pied résonne dans la pièce alors que j'ai réduit la distance, constatant de plus près que la renarde était également mignonne, mais profondément déstabilisée par mon arrivée. Une main tenant les débris, j'utilise l'autre pour redresser l'étagère et les déposer délicatement comme j'le peux, plusieurs fragments tombent quand même malgré mes tentatives de les rattraper au vol. La galère.

Le regard désormais vers ce cristal blanc, intrigué.

- Comment on l'utilise? Que j'dis d'une voix déterminée.

Parce que, ouais, j'ai entendu parler de ces cailloux, mais leurs fonctionnements, c'est une autre histoire.
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le lundi 18 janvier 2021, 20:53:32
Quand l'homme remarque enfin ma présence, il se retourne vers moi en se redressant de toute sa masse. Il me dépassait d'au moins trois tête. C'était la première fois de ma vie, que je voyais en face quelqu'un d'aussi grand. Mais par habitude et malgré qu'il m'effrayait, mon attention avait été reportée sur ses blessures. Elle n'étaient pas très jolies à voir. Aussi, je me disais que ce devait sans doute être la cause de sa précipitation en catastrophe, dans ma boutique...

- Vos... Vos blessures ont l'air assez sérieuses...

En plus du sang qui coulait sur sa tête, il semblait s'être aussi blessé au niveau de son torse massif. C'est là que cet homme géant me tend le tas de cristaux cassés et qu'il me dit avoir prit un boulet de démolition... Je cligne des yeux plusieurs fois en le regardant, toujours en lui tendant le cristal. S'il parlait bien du chantier de démolition qui était juste à côté de ma boutique, alors je me disais qu'il devait avoir une constitution extraordinaire, pour survivre à un tel choc. Aussi, j'insistais pour qu'il se soigne et tentais de le rassurer sur les dégâts qu'il avait causé. Même si j'étais encore sur la craintive...

- Prenez d'abord ce cristal pour vous soigner. Pour le remboursement on... enfin ce n'est pas vraiment le moment de parler de ça. Il faut d'abord traiter le plus important, en priorité...

L'homme me rassurait un peu sur le fait qu'il ne me souhaitait aucun mal, même si je l'avais aussi entendu me dire être étudiant. Comme mon fils, avait-il dit lui-même. Au moins, j'avais déjà bien compris d'où était partis ma "popularité croissante", auprès des jeunes gens de là bas...
Cependant avant de prendre le cristal que je souhaitais désespérément lui donner, le garçon s'en va redresser l'étagère qu'il avait fait tomber en arrivant. Mes oreilles sensibles se mettent à bouger, en entendant encore d'autres nouveaux éclat. Ouch!

- S'il vous plait monsieur, je... je vous demanderai juste pour l'instant de ne plus toucher à rien, sauf à ce cristal. Il faut le briser dans une de vos mains et l'essence partira ensuite directement a l'intérieur de votre corps. Oui je sais, il faut encore briser un cristal... enfin un ustensile...

Même si ce n'était pas une plaisanterie que je faisais sur la fin, cela aurait pu tout à fait en ressembler à une.
Lorsque le jeune homme aux allures de géant prend enfin le cristal et le brise ensuite, je réfléchissais au meilleur moyen de pouvoir le faire se régénérer au plus vite...

- Je ne suis pas sûr qu'un seul cristal de soin vous sera suffisant. Aussi pour obtenir des résultats plus efficaces encore, autant que j'utilise moi-même mon... mes talents directement sur votre corps. S'il vous plait, pourriez-vous me suivre dans la pièce d'à côté, pour que j'examine au mieux vos blessures? En attendant, je vais fermer momentanément la porte. Ne vous préoccupez pas de tout ce qui s'est cassé...

Tout en soufflant un peu, je partais sans attendre vers la porte d'entrée, pour y laisser le petit mot d'absence momentanée habituel. Ensuite, je devance l'imposant garçon, pour l'inviter à entrer dans la pièce d'à côté, celle que j'utilisais lorsqu'une personne me demandait une faveur sexuelle.

- Venez. Entrez par ici et installez-vous sur la petite chaise là bas, dans le fond. Et si vous le pouvez, enlevez aussi votre haut, que je puisse mieux examiner vos blessures. Si jamais vous avez étés touché de quelque manières que ce soit aux jambes, alors enlevez le bas aussi. Enfin enlevez tous les vêtements où vous pensez avoir reçu un choc. Je sais que vous avez l'air solide, mais il ne faut pas plaisanter avec ce genre de choses...

Je l'invitais a entrer dans la pièce qui disposait autre que la chaise, d'un grand lit douillet et avenant, d'un canapé et d'une table. Bien évidemment, ce mobilier servait à rendre les ébats avec mes clients, plus agréables en fonction de leurs désirs...
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
Posté par: Compte Inactif le lundi 18 janvier 2021, 20:59:12
D'accord, j'ai compris, on arrête le massacre.

L'impression de marcher sur des œufs, des œufs qui ont l'air de couter très cher. Ce que j'ressentais maintenant? De la gêne, ouais. Imaginant déjà tous les arguments qui font que j'connais pas trop de monde dans mon entourage. Mei oublie que j'suis un colosse qui pourrait jeter une voiture par accident. J'me bats tous les jours pour éviter de tomber dans ce genre de situation.

Fracasser tant de boulot sur un seul geste.

Et pourtant, j'vois pas tant de colère que ça. Tout le contraire même. Ses prunelles dégagent de la bienveillance, alors que mon regard en marbre essaie de dissocier une quelconque chose sous-jacente. Mais rien. Elle avance la manière d'utiliser le cristal, en temps normal j'aurai peut-être pouffé du nez, mais j'étais pas d'humeur là. Résigné, j'accepte mes conneries et docilement récupère l'objet avant de la briser sans contrainte dans le creux de ma main.

Une vague d'apaisement traverse mon corps, agréable et douce, j'commence à sentir des picotements sur mes plaies. J'ai comme l'impression que ce truc commence à marcher. Ouaw. Selon son expertise, ça suffirait pas. Bon, j'imagine que peu de gens viennent la consulter pour lui demander de soigner une blessure provoquée par une boule de démolition de plusieurs tonnes. Elle me propose de la suivre dans une pièce adjacente, alors que j'essaie de comprendre pourquoi elle aide l'agresseur de sa boutique. L'altruisme? La bonne volonté ? Quelque part, ça me réconforte à l'idée que le bien existe en chacun d'entre nous, et que les moments comme celui-ci est une bonne piqure de rappel.

J'accepte docilement d'un signe de tête, voulant bien faire et parce que l'écouter reste la moindre des choses après mes actes et donc la suit dans cette pièce. Mes blessures commencent à se régénérer mais mon crâne tambourine une douleur difficilement supportable. J'reste quand même assez conscient pour détailler la boutique. Chaleureuse, conviviale, les étagères sont mis en valeur et le dressage et l'installation des cristaux donnent une certaine féerie tangible. Le climat est apaisant, reposant j'dirai.

M'approchant du battant, j'baisse la tête et pivote légèrement les épaules pour y pénétrer et voir que c'est une pièce meublée. Un peu comme une chambre. D'une inclinaison de la tête lorsqu'elle revient vers moi, j'salut la déco. C'est son arrière-boutique? Ou alors peut-être que le lit c'est pour...Rah, pas de conclusions hâtives.

- C'est joli, ici. Z'avez une belle boutique.

Et j'm'en veux encore plus d'avoir foutu le merdier. Elle poursuit ses consignes pour le diagnostic et comme une infirmière me demande de me déshabiller. J'dois avouer ne pas avoir trop regardé ce que j'embarquais comme saloperies sur moi, pensant que les cristaux  et mon pouvoir de régénération allaient suffire. J'accepte silencieusement, et me déshabille correctement en retirant mes vêtements amples, troués en haut avant dévoiler mon torse qui gonfle et dégonfle en fonction de mes mouvements. De même pour le bas, et c'est le regard surpris que j'constate de grosses ecchymoses sur mes deux cuisses robustes et bombées. Un peu honteux, mon boxer est beaucoup trop court, on pourrait presque le confondre avec un slip tellement mes quadriceps empêche le tissu d'aller plus loin.

Toujours en silence que j'm'approche de la chaise, mais elle couinera très vite. D'un sursaut j'arrête le massacre et rejoins le canapé. J'y retire mes chaussures et mes chaussettes, parce que, c'est ringard d'être comme ça. Le meuble m'accueille dans un grand couinement de tissu, mais ça va. Ca tient.

Un regard concentré vers cette dame. J'avance mon bassin vers le bord du canapé, les bras verrouillés sur celui-ci, imaginant que le traitement sera pas agréable.

Mais j'préfère me dire ça que le contraire.

- J'suis prêt. Allez-y franchement, j'encaisserai.
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le lundi 18 janvier 2021, 21:03:22
Ouf! Cette fois le jeune homme prend enfin le temps de m'écouter et de suivre mes directives. Du coup, après avoir brisé le cristal que je lui avais tendu depuis son arrivée fracassante, je l'invite ensuite à se rendre dans la pièce annexe. Heureusement que j'avais l'habitude de la remettre en ordre, après chaque passage de mes clients...

Comme j'étais toujours soucieuse de son état, je ne relevais pas vraiment sa remarque. Le garçon massif qui passait plus que pour un géant à côté de moi, se déshabillait ensuite rapidement sous ma demande. Dès qu'il se retrouvait avec l'unique pièce pour couvrir son sexe, j'étais un instant perturbée. Je ne savais pas si c'était à cause de ses blessures, de tous ses bleus qu'il avait sur le corps surtout, ou bien de sa forte corpulence...

Au moment où il s'assoit sur la chaise qui était finalement beaucoup trop petite pour lui, il prend l'initiative d'aller plutôt se mettre sur le canapé. Il y retire ensuite ses chaussures avec ses chaussettes. Puis il se met en position, prêt a être ausculté par mes soins. Il s'attendait apparemment à recevoir plus de douleur que de bien-être, ce qui pouvait se comprendre...

Sans un mot, je me rapproche de ce garçon qui était vraiment autant massif que géant, pour aller consulter d'abord le haut de sa tête. Celle-ci se trouvait être limite à ma propre hauteur. Je savais que je n'étais pas très grande, mais à ce point là...
Bref je constatais d'abord ses blessures crâniennes.
Ensuite je me penche en avant, pour me retrouver juste face a lui. Je le regardais yeux dans les yeux... Je déglutis un instant sans répondre, avant de continuer la tournée de mon observation...
Arrivée à son torse, je passe une main dans mes cheveux, pour remettre une de mes longues mèches en place. Son torse était couvert d'ecchymoses...

- D'accord... Je vois...

Une dizaine de secondes après, je voyais qu'il y avait des traces qui allaient jusqu'au niveau de ses cuisses. La boule de démolition ne l'avait vraiment pas loupé. En revanche, je n'arrivais pas à voir la totalité de ses blessures, qui étaient cachées au niveau de son caleçon. Je constatais dans un léger embarras, qu'il semblait aussi avoir un sexe assez proéminent en dessous. Ou alors peut-être que...
Je secoue la tête en bougeant mes oreilles, pour ne pas me laisser perturbée par cet hors-sujet...

- Pardonnez-moi mon indiscrétion, mais qu'est-ce que vous faisiez sur ce chantier? Je comprends que vous semblez être d'une constitution exceptionnelle, mais la boule aurait quand même pu vous tuer. J'espère pouvoir arriver a soigner toutes vos blessures, sinon dans le cas contraire, j'ai peur qu'il vous faudra passer à l'hôpital...

Je me dirige ensuite vers une des armoires entreposées, pour y récupérer une lingette propre que j'humidifiais dans mon évier qui se trouvait dans un coin de la pièce. Je reviens ensuite vers le jeune homme, puis je commence à nettoyer son visage et ses blessures en douceur, évitant de préférence de toucher a sa tête. Lorsqu'il s'agissait d'entreprendre des soins, j'étais imperturbable ou presque. Et pourtant, je n'étais pas infirmière à l'origine, bien que cela m'aurait plu. Je m'y reprenais en quelques fois, avant de finalement avancer mes conclusions...

- D'accord. Je vois maintenant ce que je vais faire exactement. Plutôt que de vous donner encore d'autres cristaux, je vais directement y apposer mes mains partout sur votre corps, comme je vous l'ai suggéré juste avant. Il est possible que ce ne sera pas très agréable pour vous au début. Cependant, plus vos blessures se résorberont, moins vous sentirez la douleur. Vous finirez même au contraire, par trouver cela apaisant sur la fin. Rassurez-vous, la douleur ne vous sera pas insupportable, mais je vais devoir poser directement mes mains sur vos blessures. Par contre pour votre tête, les choses seront un peu différentes. Mais laissez-moi d'abord quelques instants...

Je me penche une nouvelle fois en avant, pour regarder le jeune homme massif, droit dans les yeux. Si j'en avais toujours encore un peu peur, j'arrivais déjà à le trouver plutôt relativement abordable et avenant pour l'instant. J'imaginais aussi que sans ses blessures, qu'il devait être particulièrement impressionnant a regarder...
Je me redresse ensuite de nouveau, tout en lui faisant un petit sourire qui se voulait être encourageant.

Sans attendre, je fermais les yeux pour commencer à faire apparaitre de la lumière blanche dans mes mains, celle qui me servait pour administrer les soins. Je savais que je devais éviter d'utiliser ici directement mes pouvoirs à la vue d'une personne, mais avais-je réellement le choix dans ce genre de situations? D'abord faiblement, puis plus intensément au fil des secondes qui devenaient ensuite des minutes entières, mes mains en devenaient presque éblouissantes. Pour les blessures sérieuses, j'envisageais une puissante décharge directe. J'espérais quand même ne pas trop lui faire mal, malgré tout...

- Très bien. Ma priorité, c'est d'abord de soigner votre tête. Aussi je vais appliquer pour cela le mode d'admission direct pour cette partie. Il s'agit tout simplement de faire décharger en une fois toute ma magie, en un point précis. Je ne vous cache pas que ça pourrait être assez douloureux. Cependant, elle se propagera ailleurs et pourra par la même occasion, guérir d'autres blessures. Si tout se passe correctement, je pourrai ensuite utiliser un mode d'admission plus lent et progressif, pour pouvoir terminer le travail...

J'avais les main qui rayonnaient d'une intense lumière blanche, juste devant ses yeux. J'étais prête à envoyer la décharge. Aussi j'attendais sa confirmation, avant de poser mes deux mains sur sa tête.

- Je vais envoyer la décharge. Si j'y ai mis assez de puissance, vous ne garderez normalement plus aucune blessure, ni douleur à la tête. Juste un bien-être, excepté au moins à la toute première seconde de lancement. Je vais donc compter jusqu'à trois... Vous êtes prêts? Un... deux... Trois!

Tout en comptant, je fermais les yeux. Arrivé à trois, je pratiquais une impulsion pour pouvoir tout envoyer d'un seul coup, au niveau de sa tête. J'y déchargeais la totalité de ma magie de soin accumulée, en une seule fois...
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
Posté par: Compte Inactif le lundi 18 janvier 2021, 21:17:24
On se prépare.

On se concentre.

On y va.

Inspiration, expiration.

Son regard habité par des prunelles aux couleurs d'azur montre sa volonté de commencer par un diagnostic de ce qui m'arrive, avant de commencer le pansement. J'reste silencieux, immobile, le regard droit devant moi pour ne pas perturber son analyse. En faite, la médecine, j'pige un peu que dalle parce que, j'me remets toujours de mes blessures. Mais dans mon cas, la blessure au crâne va sans doute traîner encore un peu.

Elle se penche en avant pour avoir un oeil plus précis sur ce qu'elle voit, dévoilant des formes. Ces formes qui me font rappeler qu'elle est aussi une femme. Mes respirations sont amples et longues. J'pouvais donc la sentir, et elle sentait bon. De toute façon, le peu de nanas que j'côtoie sentent la cocotte. J'ignore pour moi. Le "mâle"? Hm, pas rassurant, j'devrais peut-être commencer à creuser la question.

Ses yeux continuent de glisser sur mon torse alors qu'elle pense à voix haute. On sait jamais si les mots nous sont destinés ou pas. Faute de pas savoir plus, j'préfère garder la mâchoire fermée. Une mèche immaculée un peu rebelle vient d'être rattrapée par sa propriétaire, ajoutant une délicatesse qui l'a défini bien. J'me demande si le renard du pensionnat c'est la même galette... Nan. Qu'il me cherche pas des noises, d'ailleurs, aux douches du dortoir, ou il ira faire un tour dans la boutique de maman pour le rafistoler, j'espère qu'il y a assez de cristaux. Mais pas de raisons, hein? Grr.

Et c'est là que le moment un peu gênant arrive. Mes cuisses se crispent toutes seules quand ses yeux arrivent dessus. J'sais pas si elle regarde mes jambes ou bien, ce qui moule entre mes jambes. Elle secoue sa tête comme pour reprendre pied. Elle trouve ça moche? Hm, certainement. L'analyse passe ensuite à l'investigation, et j'peux comprendre, pas tout le monde qui vit une histoire pareille. À moins d'être fou, mythomane ou les deux.

- Eh bien... J'étais en train de commander à bouffer quand j'ai vu ce gosse courir au milieu du chantier récupérer une peluche, sous les cris de sa mère. Un boulet de démolition mettait en ruine un bâtiment, et dans le retour du balancé, le projectile fonçait droit sur le gosse. C'était moi ou lui. Le choix était facile.

J'suis prêt à m'ouvrir autant de fois le crâne que nécessaire. Une responsabilité que j'ai choisis de prendre. Elle poursuit sur l'urgence des blessures, et j'ai pas le temps de lever la main pour la rassurer qu'elle est partie de quoi nettoyer le sang.

- Rassurez-vous, j'me régénère de mes blessures, ça peut prendre quelques minutes, ou heures selon la gravité. Et si ça peut vous rassurer également, ce genre d'incident est encore petit par rapport à ce qui m'est arrivé. Croyez-moi, aussi tenace qu'un cafard.

Percuté par un poids lourd, tombé d'un ravin de plusieurs centaines de mètres et la liste est longue. Maintenant, il fallait la fermer de nouveau et laisser les professionnels travailler. J'redresse mon dos, droit et inébranlable comme un arbre enraciné. Sa douceur est presque imperceptible tant ses attentions sont minutieuses et délicates. Ceci fait, elle expose une ultime solution.

A croire que j'les attirent toutes, ces ultimes solutions. C'est comme ça, j'présume, quand on est pas normal. Magie, main, blessure, encaisser. D'accord.

Attends, mains? Elle va me toucher. Euh....

- Très bien...

D'accord, allez le taureau, reste sage. Elle s'écarte, m'envoie un sourire réconfortant, que j'réponds d'un franc signe de la tête avec un regard déterminé. Puis, la magie commence à opérer, étant spectateur de tout ça, j'avoue être assez admiratif. C'est fou que la nature nous offre autant de pouvoirs et de possibilités. Une lumière s'en émane et j'plisse les yeux sous cette lumière aveuglante alors que les consignes sont énoncées. Ça va piquer, et c'est pas grave. Secouant la tête vivement, j'accepte par l'affirmatif ses prochaines actions, douloureuses, pas douloureuses, peu importe.

Le décompte est lancé, mes yeux sont fermé et la décharge est lancé.

Rugissement, le mien, vibrant dans la pièce comme un tigre qu'on a amputé. Le souffle fait flotter quelques mèches de la blanche  alors que la lumière s'atténue. La douleur m'a traversé comme la foudre, mais devient de plus en plus un vague souvenir quand j'sens l'absence de cette migraine ne plus marteler mes tempes. C'est fini, enfin, j'crois. Une main sur ma tête, plus rien. J'ose même pas imaginer la puissance qu'il faut pour envoyer un truc pareil alors, j'me redresse pour voir l'état de la renarde. C'est important, qu'elle aille bien, sinon ça sert à rien de me réparer.

- Tout va bien? J'ai plus mal au crâne. Merci.

Comme l'impression d'être un peu perché au cerveau, le reste, c'est plutôt agréable...
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le lundi 18 janvier 2021, 21:19:21
Pendant toute la durée où je préparais ce dont j'avais besoin, j'entendais le jeune homme répondre à mes questions. Je m'étais arrêtée une seconde de surprise, lorsqu'il avait mentionné en être arrivé là pour parvenir à sauver désespérément un enfant, d'un danger certain. Voila une bien belle action des plus héroiques.

Tout en gardant le silence, hormis pour lui poser mes questions et lui faire mes diverses remarques essentielles, j'apprenais ensuite qu'il était capable de se régénérer par lui-même. Cependant, je ne relevais pas vraiment ce "détail". Pour moi, je voyais surtout qu'il était blessé et qu'il avait besoin de soins en urgence. Et sa blessure à la tête était loin d'être bénigne...

Mon auscultation avec mon analyse des fait achevés, je lui exposais donc la meilleure solution que j'avais.
Il se mettait alors en place presque sans discuter, tandis que je préparais dans mes mains, un puissant concentré de magie de soin. Lorsque je pensais être arrivé à un stade de puissance suffisante, je posais mes mains sur sa tête, tout en le prévenant par un décompte. Et sans aucun bruit, ni quelconque flash luminescent que l'on pourrait imaginer, mes mains se mettaient à perdre d'un seul coup, l'entièreté de leur radiance. Tout passait par sa tête en une seule fois.

Comme je m'y étais préparée autant que je l'avais prévenu des effets avec leurs inévitables conséquences, il se met a crier de douleur. Son vif mouvement de tête me faisait aussitôt m'écarter mes mains et me reculer de lui... Le temps d'un instant, je pouvais voir un horrible rictus de douleur sur son visage. Son cri à la fois grave et puissant qui devenait presque inhumain, m'effrayait. En d'autres circonstances, j'aurai été complétement terrorisée...

Un instant après ce qui ressemblait être une éternité, surtout pour lui, le garçon finit par se taire. Il touchait ensuite sa tête dans un temps de réflexion, avant de se redresser ensuite de toute sa masse imposante. Puis il m'annonçait, non sans un certain soulagement évident venant de ma part, ne plus avoir du tout mal à la tête. J'étais a présent rassurée!

- Très bien! Je suis contente que ça ait fonctionné. Aussi je voudrai que vous-vous rasseyez, pour que je puisse finir de bien vérifier le reste...

J'attendais que le garçon vivace et énergique se rassoit une fois de plus à ma demande, pour que je puisse ensuite une nouvelle fois encore, observer l'état de son crâne...
Méticuleusement, je passais mes doigts dans ses cheveux. Je soupirais de pleine satisfaction, lorsque je ne constatais plus rien d'autre, que du sang séché. Toutes ses blessures semblaient bien s'être complétement résorbées. Du moins, au niveau de sa tête...

- C'est formidable! Je ne vois plus aucune blessure.

Je me recule ensuite légèrement de lui, pour aller constater l'ensemble des autres potentielles blessures encore persistantes, sur le reste de son corps. Et une nouvelle fois, j'affichais une expression de satisfaction, en constatant que la majorité des ses blessures et des ecchymoses sur son torse, avaient elles aussi disparues...

- C'est parfait! L'essence a même pu vous guérir ailleurs, en prime. Cependant... Bien que vous m'ayez dit pouvoir vous régénérer, je préférerai terminer proprement le travail...

Je n'en disais pas plus. Il était possible que le grand brun se demande pourquoi préférai-je insister à finir de le soigner, plutôt que de tout simplement en rester là, alors qu'il pouvait se régénérer par lui-même. Et à cela, j'y avais mes propres raisons... Et puis je n'aimais pas exposer les choses plus que que nécessaire, lorsque je ne les jugeais pas utiles...

Je me rapproche une nouvelle fois de ce garçon imposant et robuste, après avoir repris une lingette propre, pour finir d'essuyer le reste de sang séché.
Un instant après le nouvel essuyage, visage parfaitement propre, je pouvais enfin le voir tel quel...
Sans faire de commentaires, je plaçais mes mains sur son torse puissant. Lentement, je refais apparaitre une douce lumière blanche et je commence à le masser. Je faisais glisser et tourner lentement mes mains. Une à une, ses ecchymoses se résorbaient...

Toujours avec grande douceur, je continuais de lui administrer mon traitement. Jusqu'à ce que toutes les ecchymoses et autres blessures, finissent par disparaitre une bonne dizaine de secondes plus tard... Sauf les dernières, qui se trouvaient au niveau ses cuisses, endroit auquel je n'avais bien évidemment pas touché...

- Très bien... Est-ce que cela vous dérangerai de... de retirer votre caleçon, pour que je puisse terminer entièrement le travail?

Après un long silence durant lequel je n'avais presque plus parlé pour pouvoir terminer de le soigner, je demandais au garçon dans une légère hésitation, s'il souhaitait retirer la dernière pièce qui le mettrait ensuite entièrement à nu. Et puis après ça, je pourrai enfin vraiment dire avoir terminé le travail jusqu'au bout...
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
Posté par: Compte Inactif le lundi 18 janvier 2021, 21:21:33
J'me suis visiblement emballé pour rien, apparemment, ça va. J'sais pas qui était le plus soulagé de nous deux, mais c'est plus agréable que l'ambiance plus ou moins gênante au début. Alors qu'elle m'arrive presque au nombril quand j'suis debout, elle me demande de m'assoir de nouveau pour voir un peu l'état du chantier crânien. Dans cette position il est clair que c'est compliqué pour elle.

Ses petits doigts, fins et doux se glissent dans ma crinière et à part une sensation agréable de bien-être, pas de douleur. Elle pourrait presque m'endormir à ce stade. Son regard satisfait ainsi que ses épaules qui se relâchent, indiquent bien la bonne nouvelle. T'façon, c'est pas comme si j'risquais ma vie, mais c'est le genre de blessure qu'on aime pas trop trainer. Silencieusement, j'reste attentif à l'évolution de mes soins et c'est en gardant la même posture disciplinée que j'laisse mon corps à ses mains curatives.

Le crâne propre, elle marque une petite pause comme pour me détailler correctement ou avoir un aperçu de ce qui reste à faire, c'est troublant, mais j'pense que c'est pas contre moi, du moins j'l'espère. Ses pognes se dirigent sur mon torse râblé. Un soupir de soulagement me trahi, parce que oui, c'est très...très bon... Le soupir souffle comme une brise d'air chaud et décolle certaines mèches de mon vis-à-vis.

Mais dans toute cette lumière, mes yeux se baissent pour constater que... Que ces mains délicates et expertes éveillent en moi de sombres pulsions. Ma bouche s'ouvre inconsciemment et mon boxer déjà trop serré commençait à tirer un peu trop sur les mailles du tissu. J'sais reconnaître une femelle qui profite d'une situation quand j'en vois une. C'est surprenant que ça soit son cas, pour moi. Un sourire sournois me trahit. La partie du haut était terminée, et maintenant faut s'occuper du bas.

J'commence maintenant à remettre en question son diagnostic, même si mes cuisses sont aussi touchées. Et la question tombe. En temps normal, j'suis pas quelqu'un de très pudique, me lavant tous les jours dans les douches mixtes, j'sais suffisamment me contrôler pour ne pas importuner qui que ce soit. Mais j'suis pas convaincu à 100% que c'est ce qu'elle recherche et pour l'instant elle joue les infirmières, rien à voir avec une femelle en rut.

- Très bien.

J'me relève, retire le dernier tissu que j'portais alors que ma virilité bringuebale entre mes cuisses mais aussi devant le nez de ma petite soigneuse alors que je la surplombe de toute ma masse, malheureusement impuissant à la scène. Ca redevient gênant. Un silence s'étire, avant de me rassoir poliment, tandis que mon sexe dort paresseusement à moitié enflé sur ma cuisse. Evidemment j'essaie de faire comme si de rien était. Mais...J'suis suffisamment gêné pour le laisser transparaître. 

- Désolé, c'est peut-être un réflexe de mon corps.

Mensonge.

Comme si la renarde devenait de plus en plus désirable à mes yeux. Ca suffit, j'suis trop en appétit. J'avance mon bassin d'une nonchalance bien visible, en écartant les cuisses pour laisser mon membre se poser contre le canapé et lui laisser le champ libre à sa vision qui n'a pas l'air aussi chaste. Le musque viril de mes bourses donnaient le ton à l'avidité qui m'anime.

Ma lucidité disparait dans une frénésie bestiale, alors qu'un grognement vibre dans le torse et que ma queue décalotte doucement, tendant son frein dans sa direction.

Renard, chair fraîche, lit.

Le tableau est limpide désormais.
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le mardi 19 janvier 2021, 18:43:12
Malgré que je restais concentrée et que j'arrivais finalement à passer outre mes craintes, j'étais prise le temps d'un instant, par une étrange sensation. Une sensation d'un désagréable malaise, lorsque j'avais cru comme apercevoir... un rictus malsain se dessiner sur le coin de sa bouche?... Aussi je m'étais immédiatement convaincue avoir probablement mal interprété sa réaction, préférant mettre ça sur le compte de l'émotion ou bien d'une mauvaise analyse...
Sans avoir laissé transparaitre quoique ce soit, je me suis donc mise à poursuivre mes soins sur son torse imposant.

Travail terminé, je proposais ensuite au garçon d'aller retirer son boxer, pour que je puisse définitivement terminer de le soigner. Acceptant sans hésitations, le gaillard massif se relève une fois encore devant mes yeux... J'étais impressionnée par la différence de taille presque surréaliste qui nous séparait, comme deux parfaits opposés... Mais peut-être pas encore autant, qu'en remarquant ensuite son sexe particulièrement imposant, se dévoiler juste sous mon regard un tantinet inquiet... Surtout que celui-ci semblait comme se retrouver en demi-érection...
Gênée, je le laissais faire. Dans ma tête, je me disais probablement que mes approches et mon traitement sur son torse, l'avait sans doute quelque peu égayé. Ce pouvait malgré tout être tout à fait compréhensif dans le fond...

- Hum!... T... très bien! Je vais donc terminer de m'occuper de vous ici... ici aussi... Ne bougez-pas, ça ne durera que quelques instants. Oh et... ne vous excusez pas! Je comprends très bien. Ce sont des choses tout à fait naturelles. Ca arrive à tout le monde... Enfin à tout homme dans sa vie, je pense...

Plus embarrassée qu'autre chose de le voir en demi-érection devant moi, malgré qu'il s'excusait et se rasseyait de nouveau, je tentais de suite d'aller me reconcentrer sur mon objectif initial... Doucement, mes mains se mettaient à toucher ses dernières grosses ecchymoses visibles sur ses énormes cuisses, alors qu'il se mettait en position. Mes mains s'irradiaient une fois de plus de leur lueur blanchâtre. Sa douce chaleur se transférant de nouveau dans son corps. Et dans ce traitement que je terminais de lui prohiber, j'avais bien évidemment droit à la vue plongeante de son membre...

Mais alors que je finissais le travail, satisfaite d'en avoir enfin terminé, son sexe se mettait à durcir d'avantage encore, alors qu'il grognait en même temps! Surprise, je stoppais tout mouvements durant quelques instants...

- T... très bien je... je crois que toutes vos blessures se sont définitivement résorbées. Vous... vous pouvez vous rhabiller à présent...

Renouant avec mes frayeurs du début, je commençais déjà à reculer doucement de lui...
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
Posté par: Compte Inactif le mardi 19 janvier 2021, 20:03:15
Les caresses sur mes cuisses confirment l'issu inéluctable de cette situation. La pression est maintenant beaucoup trop haute. Si j'veux faire soupape, ca sera en souillant cette petite créature en câlinant ma verge comme un misérable jouet sexuel. Elle ne fait que me soigner pourtant, mais impossible de penser à autre chose.

- Prenez le temps qu'il vous faut...

C'est sans doute les derniers instants où tu seras capable de bouger de toute manière. Du côté de mon sexe, les veines continuent de faire gonfler allégrement mon membre de puissantes pulsations au rythme de mon palpitant. Je ne m'en cache évidemment plus. Mon visage devient indifférent mais mon torse gonfle et dégonfle plus vite. Une odeur de sueur forte et entêtante se dégage de mes pores et remplit la pièce. Seconde après seconde, je laisse prendre ma place un vulgaire et pervers primate qui ne demande qu'une chose, lui voler son corps et la posséder tant que je ne suis pas rassasié. Mes pulsions continuent de tambouriner mon bas-ventre et c'est lorsque ses mains terminent leurs job, que mon grognement devient un râle bruyant.

Une petite proie fuyarde et frileuse elle devient, alors que ses pas la trahissent avant de finalement prendre la parole. Mais sur ses dernières paroles, j'me relève de nouveau en la surplombant de tout mon être, la faisant disparaitre dans une ombre menaçante, alors que mes grognements continuent de vrombir comme un fauve s'approchant à plus petit que lui.

- T'as pas fini. Non, en faite c'est que le début.

Une main puissante la saisit à la gorge avant de la soulever maintenant à deux bon mètres de haut face à moi. Mon bras continue de monter plus haut encore, et c'est son sexe qui finit face à moi alors que je l'entend chercher de l'oxygène. De l'autre main, elle va déchirer le tissu de ses vêtements comme un paquet cadeau sans difficulté pour mieux l'envoyer choir dans le lit. Il restait alors les sous-vêtements. Mon bras vient s'enraciner comme un arbre puissant sur le buste pour mieux l'immobiliser en y mettant légèrement mon poids pour éviter de l'écraser alors que l'autre se débarrasse des derniers obstacles qui l'empêchent d'être complètement nue. Ca y est, t'es à poils.

- Tu comptais t'échapper ? Trop tard.

Son corps frileux sous mes doigts, j'me branle allégrement pour bander un maximum avant de l'approcher contre ses lèvres en frottant ma proéminence contre celles-ci en souillant son ventre d'un filet de pré-sperme bouillant qui s'écrase lourdement dans un clapotement visqueux. Mes genoux s'enfoncent dans le matelas tandis je lui écarte les cuisses pour mieux crocher ses hanches avant de percuter son antre sans prévenir. Mon gland bute sur le bord, dans une friction bruyante et humide. Du bout du gland j'sentais la chaleur de ce trou que j'vais colmater. Mais malgré les lèvres qui s'écartent, j'rappe contre son clitoris et ça m'emmerde.

- Un petit trou qu'il va falloir mouler à ma taille.

Un grognement bourdonne dans ses oreilles alors que j'réitère l'opération. Mon madrier bute de nouveau, et dans un coup de bassin plus fort, j'sens enfin son sexe se distendre, en écartant sa fente dans un bruit inquiétant, baignant dans les giclure de sa mouille. Doucement, mais surement... J'me prépare à chambarder et déformer son casier à spermes dans un empalement qui embroche et déforme ses parois traduisant une bosse dans le bas ventre, déchirant les portes de son utérus. Libération alors qu'un autre filet de pré-foutre bouillonne à l'intérieur, étranglant mon frein par cette étroitesse si serrée...

- Ah putain, enfin, j'y suis.

En position de l'union du tigre, elle est piégée dans un carcan de chair où elle se trouve allongée sur le dos, ses jambes bloquées dans le creux de mes coudes alors que je la surplombe, mes hanches arrivent comme un mur en béton qui s'écrase contre son bassin pour mieux creuser sa chair humide et commencer des vas-et-viens. Un grognement de plaisir s'échappe contre ma volonté alors que j'la sens s'enfoncer comme un vérin hydraulique dans son cylindre. J'impose ma masse à ses muscles intimes qui se soumettent à la seule force de mon bassin.

- Cries, couines, hurle de douleur, personne viendra te sortir de là tant que j'ai pas fini de te ruiner.

Que j'annonce enfin les débuts de festivités avec une voix grave et cruelle.
Titre: Re : Rumeurs Cristallines [PV Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le mardi 26 janvier 2021, 21:53:37
Un frisson me parcourt le dos, lorsque le garçon se relève lourdement de sa masse inquiétante. Je n'aurai pas le temps de reculer d'avantage, que sa main m'attrape la gorge! Ma bouche et mes yeux s'écartent avec horreur! Puis il me soulève avec une facilité déconcertante... Prise de terreur, de panique, j'attrape par réflexe sa main qui me bloquait la gorge, pour essayer de me dégager. En vain! Me mettant à respirer soudainement de plus en pus fort, craignant de me faire étrangler, alors que je commençais déjà à ressentir de la gêne, je me sens encore soulevée. Tétanisée d'effroi, comme prise au piège par un individu pervers qui semblait s'être joué de moi depuis le début, il m'arrache une partie de mes vêtements. Avec le bruit de déchirement qui s'accompagne, il me libère le temps d'un instant et me jette sur mon lit. En état de choc, avec mes pensées qui se bouleversent dans ma tête, j'étais incapable de fuir. Trop préoccupée à récupérer l'oxygène déjà manquant...

- Touss!... Touss!... Arrê... Arrêtez!... Touss!... Touss!...

A quatre pattes, cherchant à recentrer mon regard qui partait dans tous les sens, je suppliais le garçon d'arrêter. D'essayer de trouver avec lui, un autre compromis plus raisonnable, en échange...
Mais il vient directement me bloquer le haut du corps, avec son bras presque aussi épais que mon propre buste. M'empêchant de bouger, il se saisit de mes sous-vêtements pour terminer son horrible travail. Le bruits que ces derniers faisaient, me donnait envie de pleurer. Ce sale type allait me violer! Il allait me prendre sans aucun état d'âme, après tout ce que je venais de faire pour lui avant! Il avait abusé de ma confiance et je n'avais pratiquement rien vu venir... Comme d'habitude...

- Je vous en supplie... Arrêtez! Je vous en supplie monsieur! On peut trouver un autre compromis! Je...

Tétanisée, je supplie le garçon. Je le suppliais de cesser, même si je savais que ça ne servirait à rien. Mais dans ma tête tout ce que j'espérais, c'était un semblant de pitié. Juste un peu de compassion et de reconnaissance, en retour de ce que j'avais fais pour lui. Rien de plus...
Pendant qu'il me tenait de ses horribles mains, toujours immobilisée, entièrement offerte à un sale type qui allait faire de moi sa chose, je le sentais approcher le bout de son sexe énorme, au niveau de mes lèvres intimes. Au niveau de l'entrée de mon vagin!
Ma respiration se saccade, alors qu'il tente de m'imposer de prendre son sexe en moi. J'étais effrayée, car je le savais beaucoup trop gros pour moi. Je n'avais pas morphologie suffisante que pour accueillir un tel membre comme le siens en moi. Il allait me déchirer! Il allait me détruire l'intérieur!

- Non arrêtez! Ca ne rentrera pas! Je suis trop étroite pour vous! Je vous en prie stop! Stooooop!

Prise d'un début de nausée, ressentant mes pensée devenir de plus en plus confuses, il me faisait m'écarter mes cuisses, pour mieux arriver à s'imposer. Tenter un passage en force, à l'intérieur de mon étroit vagin. Ses mains agrippées fermement à mes hanches, comme si je ne représentais qu'une simple poupée, incapable d'arriver à me défendre seule comme d'habitude, je posais alors mon front contre le matelas. Mon coeur pulsait autant que le sang remontait dans ma tête et dans mes veines. Je ne voulais pas! Non! non!....

- Nooooonnnn!!! Nooooonnn!!!

Alors que je crie. Que je hurle dans une lourde plainte, prête à pleurer, je sens son gland qui glisse et qui râpe contre mes lèvres. Mais cela ne l'empêche pas de se moquer de moi. Il était manifestement prêt à me déchirer, sans même se préoccuper de la souffrance que j'allais ressentir! Ce garçon était vraiment ignoble! Tout ce qu'il voulait de moi, c'était pouvoir me violer pour ensuite me jeter, après m'avoir détruite un peu plus! Encore une fois, ça recommençait...

- Je vous en prie...

Je commençais à pleurer. J'avais des larmes naissantes au bord des yeux. Je ne me sentais n'être plus qu'une pauvre chose une fois de plus soumise, qui allait être souillée de l'intérieur dans une violence inouie...
Sans me prévenir, il me retourne alors et me met de dos. Je pouvais alors voir de nouveau avec horreur, son sexe monstrueux qu'il voulait désespérément m'imposer en moi... A mes chaires intimes qui ne tiendraient pas le choc, alors qu'il grognait encore...
Mes larmes continuaient à s'intensifier. Je sanglotais de peur et de terreur. Mais il ne semblait avoir aucune once de pitié pour moi. Il n'y avait que vice et monstruosité, dans le corps de ce garçon.

- Ca ne rentrera pas! Non!...

Humiliée, résiliée, figée de terreur et de dégout, je le voyais impuissante revenir à la charge en moi. Sans aucun scrupule, alors qu'il donnait un coup de bassin beaucoup plus violent et ferme que le premier, il réussit à entrer en partie en moi. Le bruit que fait alors mon sexe qui se distend, me fait alors avoir un début de douleur. Ce type allait me déchirer complétement l'utérus, s'il continuait! Il possédait un sexe hors normes! Hors de toutes les dimensions que j'avais déjà eu affaire par le passé!

- Haaaaaaaaaa!!!... Haaaaaa!!!...

Sans aucune pitié pour moi, son sexe continue de s'enfoncer dans le mien. Incapable de bouger, les bras écartés sur le lit telle une poupée désarticulée que j'étais de tous les côtés, je le sentais terminer son horrible travail. il était en train de m'ouvrir l'utérus! Vers la fin, j'en pleurais de douleur! Mon visage était déformé d'horreur. J'avais comme l'impression qu'il allait me tuer! Que je ne pourrai plus jamais remarcher de ma vie, après ça...
Cuisses écartées de force, je l'entendais avec dégout, se satisfaire être parvenu entrer en moi. Mais ça ne l'empêchait pas de continuer de forcer quand même. D'essayer de s'acharner à vouloir me déformer le sexe le plus possible! De malmener à tout prix mon vagin, alors que je voyais une horrible bosse qui s'était formée! Je devais mettre la main devant la bouche plusieurs fois, à cause la nausée qui me montait. Je n'osais même pas affronter son regard de bête sauvage! Le dégout en moi coulait jusque dans mes entrailles! Jusque dans mes boyaux qu'il parvenait à me tordre douloureusement, à cause de la pression qui me parvenait jusque dans mon ventre...

Au moment il commence ensuite ses vas et viens en moi, j'étais forcée de devoir expirer bruyamment. Mon corps entier, suivait le rythme qu'il m'imposait. J'expirais de l'air avec une expression déformée, à chaque fois qu'il s'enfonçait dans mon sexe déjà brûlant de douleur. Je le voyais bouger avec violence, en rythme saccadé! Il s'amusait à aller et venir avec son horrible sexe dans mes entrailles! Je n'allais jamais tenir le choc!
Et non content de me violer, de vouloir faire avec moi ses petites affaires, cet horrible individu pervers se moquait de moi. Il se moquait de mes ressentis. Il se moquait de toute ma souffrance...
Titre: Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]
Posté par: Compte Inactif le jeudi 28 janvier 2021, 18:36:20
Dans mes râles bruyants alors que mon corps pistonne ce nouvel orifice qui câline ma queue dans un concerto obscène de bruits traduisant les effluves de pre-semence embraser son antre, ses plaintes sont à peine perceptibles. En faite, j'en ai rien à cirer, mieux que ça, j'vais même rendre ça plus confortable.

Poignardant d'un nouveau coup de rein sa vulve de manière impitoyable, j'reste bien rangé au fond avant de lui saisir la crinière pour mieux lui envoyer une gifle qui lui désaxe la tête  de côté, éclaboussant ses pathétiques larmes sur le matelas bientôt souillé de mes marques. Marquant la moitié de son visage, avec une force dosée pour éviter de lui dévisser entièrement la tête. Sinon, comment continuer à la remplir de foutre après ça ? Grognant comme un gorille en plein coït bestial, le souffle brulant de mon haleine vient décoller ses cheveux, les traits de mon visage déformés par la rage et l'instinct, tandis que j'approche mon visage du sien.

- Ferme ta gueule. Personne viendra te chercher, t'entends ? Personne.

Mes doigts viennent encore entourer sa gorge, compressant suffisamment pour que l'air passe sans qu'elle puisse parler.

- J'vais pouvoir recommencer sans entendre ta pathétique voix. Sans que tu puisses y faire quelque chose.

Sans prévenir mon bassin revient s'écraser contre le sien, un effondrement de muscles qui vient broyer sa cavité vaginale en déformant son abdomen, l'autre main s'assurant que ses cuisses sont bien écartées pour m'offrir son orifice dans un bombardement incessant de mes ardeurs en elle. 

- Regardes, tu vois que ça rentre. Ca rentre bien même...

Agitant son corps contre mon pilon de chair, j'sens déjà mon gland pulser, montant la pression sur cet étau bien étroit. Ses lèvres agrippent ma queue quand elle ressort, avant de s'écarter déraisonnablement quand elle rentre. Mais ses suffocations continuent de m'emmerder même en l'étranglant.

- Pas moyen de fermer ta gueule, hein.

J'sors mon mandrin dans un appel d'air odieux, laissant un trou béant à l'intérieur avant de chevaucher son tronc pour mettre en cage son crâne entre mes phalanges, pour mieux lui imposer mon gland poisseux écarter ses mâchoires. Sa bouche s'ouvre, encore et encore, dans des couinements étouffés, ses mèches se faufilant entre mes doigts, tout comme ses larmes humidifiant ma peau. Mes lourdes burnes étalent leur sueur sur son buste, patinant sur sa peau mais s'arrêtant à mi-course. Car malgré le fait que je lui cogne déjà le fond de sa gorge dans des déglutitions au seuil du vomissement, je n'entre qu'à moitié à l'intérieur. Tant pis, ça fera l'affaire.

- Allez, parle pendant que j'te baise la bouche. Je t'écoutes.

Impossible. Mes coups de reins reprennent leurs courses, engluant sa cavité buccale presser mon frein de force, m'arrachant des souffles d'extases. Le diamètre bien trop gros pour elle, sa langue est écrasé contre le long de mon membre et m'offre un massage délicieux. Lui tapotant le haut de la tête dans un geste humiliant, je lui gratifie d'un sourire carnassier, regardant son visage se faire attaquer par la chaleur de mon corps, son odeur, et le pal qui lui martèle gorge indéfiniment.

- J'sais reconnaître une suceuse quand j'en vois une. On va voir si t'avales, maintenant.

J'accélère le rythme, maintenant dans la perspective de faire ce que je voulais faire depuis le début. Déverser ma frustration dans un déluge de foutre. Ca va être long, et extrêmement...Agréable.
Titre: Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le dimanche 31 janvier 2021, 22:22:52
Dans l'incapacité de pouvoir bouger et agir, je voyais mon corps se faire culbuter en rythme violents, à chaque fois qu'il me cognait l'intimité. Plus il s'acharnait à aller et venir en moi, plus j'avais mal! En réponse, je gémissais de douleur et de terreur en continu, comme une pauvre chose tyrannisée. Pourtant à chaque instant, j'espérais qu'il s'arrête. Qu'il éprouve pour moi un semblant de pitié face une telle cruauté. Et s'arrêter, il le fera. Mais pas pour se préoccuper un seul instant de mon état mental ou physique...

Alors que je continue de ressentir son énorme sexe qui reste plongé tout au fond du mien, ce monstre m'attrape par les cheveux et m'envoie une très violente gifle qui me coupe aussitôt la respiration. Grimaçant d'une douleur supplémentaire au niveau de ma joue qu'il n'avait pas loupée, l'effrayant garçon approche son visage inquiétant du mien.

- Arrêtez.... Arrêtez s'il vous plait...

Tout en tremblant d'effroi et en pleurant de manière plaintive, il se remet alors à m'étrangler exactement comme tout à l'heure. Son énorme main agrippe une fois de plus ma gorge avec une incroyable facilité, alors que j'écarquille de nouveau avec frayeur, mes yeux trempés de larmes. Tentant de me dégager de sa prise par réflexe, j'ouvre la bouche en émettant des sons étouffés. A chaque instant, j'avais l'impression qu'il allait me tuer. Que même morte, ce malade serait encore capable de venir violer mon corps devenu cadavre...

- Uuuuur!... Uuuuuh!...

Prise par de violents vertiges, cet horrible pervers incapable de contrôler ses pulsions primaires, recommence alors à me prendre violemment. Une fois de plus, je ressens son énorme verge aller et venir en moi, déchirant mes entrailles que cette brute sauvage semblait s'amuser d'essayer d'ouvrir toujours plus! Et à chaque fois que son bassin claquait contre moi, une douleur équivalente à la force qui se répercutait dans mes chaires, se renvoyaient aussitôt dans ma tête. J'entendais également tous les bruits que faisait mon sexe qu'il n'arrêtait pas cogner, alors que j'avais comme la sensation de me consumer de l'intérieur... Mais je ne pouvais rien faire. J'étais entièrement soumise et prisonnière entre ses griffes...

- Guuuuh...

Tout en étouffant, je l'entends se féliciter être arrivé à entrer en moi, alors que je grimaçais en permanence d'horreur et de douleur. J'avais l'impression que tout mon corps n'était devenu plus qu'un bout de viande fait de chair et de sang, au service d'un bourreau qui laissait exprimer tous ses vices sur moi...

A moitié dans les vapes, je ressens comme un instant de libération soudaine, lorsqu'il ressort son énorme engin de moi. De mon vagin brûlant de douleur, qui ne devait plus ressembler à grand chose... Le temps d'un instant, incapable de parvenir à fixer ma vue sur un point précis, il m'impose alors sa verge dans la bouche, qu'il me force a écarter. Un instant après, alors qu'il continue de m'agripper fermement les cheveux comme une chose, ce sadique reprend ses coups de bassins. S'ensuit de nouveaux gémissements étouffés et bruyants, durant lesquels je continue une fois de plus de subir presque en silence. La nausée était devenue si insupportable, que j'étais au bord de vomir. A chaque instant, je risquais de finir complétement étouffée...

Mais cela ne l'empêche pas de continuer de se nourrir de ma souffrance, comme le ferait un vampire qui sucerait le sang de sa victime. Continuant de se moquer de moi, alors que j'étais toujours allongée sur le dos, forcée de devoir prendre son sexe dans ma cavité buccale, il me regarde avec toute sa cruauté qui lui allait si bien. Puis dans un autre geste particulièrement humiliant, il se met à tapoter ma tête, tout en souriant cruellement. Visage gorgé de larmes, alors que je ne cessais d'être terrifié par cet homme, il recommence encore à me prendre la bouche...
Titre: Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]
Posté par: Compte Inactif le samedi 06 février 2021, 01:30:31
- Ah, ça y est, tu l'as ferme bien ta bouche maintenant. Hm, j'sens bien ta langue en plus.

Un chibre puant et pourtant le plus heureux du monde à ramoner sa gorge vulgairement pour le simple plaisir d'engluer sa gueule d'un pre-foutre collant au palais de son saisissant parfum acre et piquant, voyant bien ses larmes de dégouts perler sur ses joues. Mais qu'importe, moi mon plaisir il est entier, voyant son gosier se déformer sous mes ardeurs. Mes énormes burnes continuant de coller et se décoller contre sa petite poitrine maintenant moite et sale par leurs passages.

Profitant de son visage étourdie par mes coups de reins, j'profite alors de cette fenêtre pour quitter à contre cœur sa bouche dans un claquement de lèvres vulgaire pour cause son diamètre démesuré pour ses mâchoires afin de retrouver le trou béant que j'ai laissé dans sa vulve. Déformant le lit de mes lourds genoux s'enfoncer dans le matelas, mon bassin arrive encore avec fracas comme un étalon souffrant d'une longue abstinence pour l'embrocher de nouveau, son corps entre mes mains, l'agitant de haut en bas pour la pistonner plus fort. Ses parois câlinent ma queue d'un bien-être si intense que j'en soupir d'aise, en voulant toujours plus.

Sa petite poitrine secouant contre mes violences, l'idée me prend de vouloir la faire pointé et de la meilleure manière. Les pinçant avec force, je les étirent par les extrémité de ses bourgeons, en faisant le yoyo, tandis que mes à-coups donnent de l'élan pour agrandir l'écartèlement, durant de longue secondes. Rougit, mais bien dressés, j'prend un malin plaisir à les titiller de l'index pour augmenter leur sensibilité.

Elle mouille malgré elle, et un sourire moqueur déforme de nouveau mes traits.

- Qu'est-ce tu mouilles, finalement, t'adores ça hein...? HEIN ?

Mon corps vient s'écraser contre le sien, mes canines se plantant contre son épaule tandis que mes hanches prennent une plus grande amplitude pour la clouer au lit dans des ondes de chocs fracassant. Le lit couine dangereusement, entendant le bois craquer au fur et à mesure, mais il tiendra le coup. Ma morsure lui arrache un cri de douleur aussitôt coupé par une autre gifle, la sonnant toujours un peu plus. Finalement ma bouche libère son souffle chaud à son oreille animale, en y traînant une langue vicieuse et perverse pour prendre la parole.

- Prépares-toi, parce que j'vais te baiser longuement. Peut-être filmer pour me rappeler de ce moment.

Arrivant proche de l'orgasme, l'idée commence à se dessiner concrètement dans ma tête...
Titre: Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le mardi 23 février 2021, 20:11:54
Alors qu'il continue de me prendre la bouche avec violence et que je manque plusieurs fois de m'étouffer, il finit par s'arrêter. Mais la consolation allait être une fois encore de bien courte durée, puisque mon violeur profite du changement de position, pour retourner m'attraper avec brutalité, mon vagin qu'il a déjà si violemment déformé juste avant. Au point que mon sexe l'accueille cette fois-ci entièrement et sans la moindre petite résistance, avec ses horribles grosses mains qui m'attrapent en même temps le bassin. Comme un animal en rute, il me prenait comme si j'étais sa truie. Prise par un état second, le regard légèrement égaré, je me mets à gémir grossièrement et bruyamment, à chaque fois que je ressens son énorme sexe aller et venir douloureusement au fond de mes entrailles. Et que je le veuille ou non, j'étais en train de mouiller. Contre mon gré, je commençais à prendre du plaisir et du bien-être, à me faire sauvagement ravager par ce détraqué.

Et à chaque fois que son gros sexe touchait le fond ma paroi vaginale, j'entendais le lit craquer. Mon corps, mes gémissements bruyants et saccadés et même le support, étaient en train de se caler en rythme avec lui. Tout de moi et de ce qui nous entourait, semblait comme lui obéir. Même mon vagin qui brulait malgré la douleur, continuait d'émettre lui aussi toute une série de bruits. Ma poitrine qui gigote tout autant que le reste, ne sera pas plus épargnée. Elle se retrouve elle aussi attaquée et plus expressément, mes tétons qu'il pince sans ménagements...

- Ah!... Arrêtez!... Arrêtez! Ah!... Ahan!... Ah!...

Les bras ballants le long du corps, encore une fois au service des sévices d'un monstre déguisé sous l'apparence d'un jeune garçon, je me retrouve en l'état de jouet sexuel. De poupée sexuelle, incapable de pouvoir faire autre chose que de couiner douloureusement et plaintivement, selon ses envies. Regard désespéré, le corps brulant et raide jusqu'aux extrémités, je l'entends encore se moquer de moi. Son corps s'écrase d'avantage contre moi, puis il plante ses dents dans mon épaule. Avec mon vagin qui semble encore comme continuer de lutter pour ne pas se retrouver complétement déchiré, il accélère encore la cadence. M'arrive alors au même instant, une violente douleur au niveau de l'épaule, qui m'arrache un nouveau cri. Mais à peine j'ouvre la bouche, que je reçois immédiatement une seconde gifle en retour...

Bouche ouverte, le regard encore plus dans le vide avec un vertige nauséeux, l'horrible garçon à la cruauté sans limites me faisait savoir qu'il compterait bien abuser de moi pendant encore un long moment... Et pour ne pas oublier cet instant d'humilité, il allait me filmer pour garder entre nous, une trace de mon viol avec toute la souffrance qu'il me forçait à devoir subir. Malgré mon dégout, je commençais pourtant à prendre mon pied. Au point que je me mets pour la première fois à sourire et à l'encourager de continuer...

- Oh oui! Oh continue j'aime ça! Oh c'est bon!...

Pendant que je lui souris dans une forme de béatitude, je prenais de plus en plus de plaisir à subir, à le sentir en moi et à me faire violer. La situation devenait doucement malsaine et elle était bien loin de m'être étrangère...
Titre: Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]
Posté par: Compte Inactif le vendredi 19 mars 2021, 18:55:26
L'autoroute du plaisir à fond la caisse, violant toutes les lois conventionnelles, son intimité, son intégrité, sa personne, son esprit. Le martèlement continue et sculpte à ma manière un plaisir immense extirper une jouissance imminente et sans doute explosive. Ignorant d'abord ses supplications, j'me surprends à l'écouter, et maintenant détailler son visage fendre un sourire embué par le plaisir et ses mots qui apportent une nouvelle excitation qui ne va pas m'aider dans la retenue de l'orgasme. Trois doigts entourent son cou délicat avant de ranger profondément ma queue en elle, fermant les yeux et écouter ses gémissements de plaisir...

- Je savais que derrière cette petite renarde se cachait une grosse chienne...

Un viol qui devient un coït consentant, jubilant avec un plaisir malsain les instincts de la renarde les plus bas prendre le contrôle de son corps pour mieux m'accueillir. Le tableau devenait magnifique. Et j'avais envie d'enregistrer ce moment pour un long moment. Mes coups de pillons arrêtent progressivement de ramoner son antre, pour lui accorder un répit pour son utérus et ses entrailles pour prendre un pas de recul et apercevoir que mon pantalon a laissé glisser mon téléphone. Un sourire bien vicieux, tandis que mon gland hurle l'envie de jouir, écarlate, le long du sexe maculé de fluides et strié de veines gonflées, cette frémissante envie qui veut dégueuler tout ce qu'il a pour la remplir comme il se doit.

- Fais un joli sourire à la caméra.

Le flash allume la pièce, la peau opalescente, ses mèches donnent presque des reflets nacrés à l'image, et elle paraît encore plus humiliée à l'écran. Préparant ma bave dans mon palais, la salve du crachat arrive salement entre ses jambes pour être sûr que la prochaine pénétration soit sûre. Le téléphone s'approche, le bras pointé vers elle, un grand angle qui prend tout son corps.

- Allez, écarte les jambes, je vais bientôt jouir. N'oublie pas de parler, des gens vont te regarder après tout.

J'me dis que diffuser ça pourrait être une idée plus qu'alléchante. Alors autant profiter de l'occasion. Ma main libre s'accroche à sa hanche, et mon sexe retrouve la chaleur ruisselante de sa vulve avec ma légendaire indélicatesse qui lui tabasse le bassin, et reprend une barbare cavalcade qui la secoue de haut en bas.

- Est-ce qu'elle aime ça ? Est-ce qu'elle en veut ? Etre baisé, encore ? J'en ai bien l'impression, non ? Qu'est-ce qu'elle en dit, la petite chienne ? Le monde te regarde.

Malgré la maîtrise de la situation, je perds peu à peu le contrôle de mon corps, le téléphone tremble un peu, mes respirations deviennent bruyantes et sens enfin venir la cascade de spermes écarter mon urètre pour se déverser comme une marmite de liquide brûlant.

- RAAAAAH !

Tout mes muscles se crispent, alors que mes bourses se rétractent, pompées en masse par un mandrin pulsant aux rythme de mon cœur battant, les jets de foutre qui assiègent ses ovaires et même enfler le bas-ventre.

- T'es qu'une sale outre qu'il faut remplir. Qu'est-ce que c'est bon.

Je continue quand même de la baiser alors que mon sexe se noie dans toute cette semence. Continuer à bourrer tout ce ceci comme s'il était possible de tout faire entrer alors que ça déborde en permanence. Un trou béant, pourtant. Malgré cette éjaculation abondante, il en demeure que ma hampe est toujours d'attaque. Tant mieux pour moi, tant pis pour elle. Et profiter de ses orifices encore si serrés. Un seul me vient à l'esprit. Glissant de haut en bas la caméra pour avoir tous les éléments en vidéo de ce carnage, je recule pour lui laisser le luxe de bouger à mes attentes.

- Je sens que ton cul est un peu jaloux de pas avoir le même traitement. Montre-moi ce joli petit orifice qui attend mon passage.

Le zoom se fait, un rire gronde dans mon torse, comme un enfant amusé de son nouveau jouet. 

Un délicieux jouet.
Titre: Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le mercredi 31 mars 2021, 18:06:01
Encore une fois, je dévoilais le côté sombre de ma personnalité. Celui dont j'avais intérieurement honte, mais que j'aimais sournoisement. J'avais peur et j'étais devenue entièrement soumise à tous ses caprices. Et plus j'étais humiliée et rabaissée, plus j'aimais ça! Intérieurement, j'aimais me sentir n'être plus qu'un simple objet sexuel et vulnérable. A cause des multiples viols et des souffrances que j'ai dus encaisser par le passé, je suis devenue inévitablement une esclave sexuelle prête à obéir au doigt et à l'oeil. Ils ont créé de moi l'image qu'ils voulaient, qu'ils attendaient. Avec le temps, je n'étais devenue plus qu'une pauvre chose qui se complaisait à être humiliée sans la moindre dignité. Je préfère maintenant être lâche et donner du plaisir aux hommes les plus immondes qui me veulent, que de défendre mes convictions et les valeurs qui me sont les plus chères. Oui celle que je suis habituellement, déteste ce que je suis en partie devenue à cause de ces monstres... Mais en vérité, j'aime ça! Et maintenant, je me retrouve avec mon autre moi que je cache honteusement au quotidien...

- Oh oui! Encore continue! Je t'en prie continue...

Pendant que je lui parle, que je lui exprime mes profonds désirs d'aimer être violée, je couine. Je gémis en souriant, à chaque fois que je le sens s'enfoncer virilement en moi. Et cette prise sur mon cou avec sa grosse main, me faisait d'avantage encore aimer ça. J'étais dominé par un homme qui savait parfaitement comment je devais être traitée! Au point que je ne cache pas ma déception, lorsqu'il finit par ralentir la cadence pour sortir de moi, alors que je mouille comme une fontaine. Un instant après, je me souvenais que le garçon voulait garder une trace de son passage en moi. Une trace de mon viol, dont ce terme ne voulait plus vraiment dire grand chose pour moi à présent...

Allongée sur le lit comme une chose sexuelle, je souris à la caméra de son téléphone, dès qu'il me demande de le faire. Il se met ensuite à cracher entre mes jambes, là où mon sexe ouvert à tous les hommes de son genre, s'est retrouvé agréablement dilaté par son beau membre viril. Mon agréable violeur me filme ensuite en entier, alors que je me redresse. Prêt à jouir pour finir de remplir l'esclave soumise et toute docile que je suis, il m'ordonne d'écarter les cuisses, ce que je fais. Je me mets ensuite à vibrer violemment, lorsqu'il me demande de parler. Que ce qu'il va filmer de moi, sera vu par de nombreuses personnes. Dans mon esprit, j'avais maintenant hâte que tous ces inconnus assistent à mon viol et à ma souffrance.

- Oui vas-y! Viens vite finir de me prendre! Qu'est-ce que c'est bon d'être violée par un homme tellement viril et puissant comme toi! Je peux enfin être moi-même!

Une fois de plus je souris et je ris, dès que mon violeur revient m'attraper et me remettre sans ménagement sa puissante virilité dans mon entre-jambe fortement dilaté. Avec grand plaisir, je me refais prendre violemment. Je me fais ainsi chevaucher par un de ces hommes aux moeurs peu recommandables, qui m'envoie inévitablement au septième ciel!

- Oui c'est si bon! Baise-moi comme un animal! Prends-moi comme une chienne s'il te plait! Car je n'ai jamais été rien d'autre que ça! Hahaha...

Prise de soubresauts, je supplie mon nouveau maitre en tirant la langue, de venir me donner la récompense que j'attends. Je voulais que ce mâle viril et particulièrement dominant, vienne me remplir de sa belle semence épaisse. Et avec mes supplications, je continue de ressentir ses assauts musclés dans ma chatte ravagée. Ses forts coups de bassins qui terminent de me mettre définitivement au pas, comme on met au pas une prostituée que je suis déjà, finissent par le faire jouir. Il se met alors à crier et à prendre son pied. Et pendant toute la durée où il me remplit l'orifice, je l'encourage à se décharger en moi, pour lui faire prendre toute la jouissance dont il a besoin.

- Oui!... Oui! Vas-y mon bel étalon! Crache ta semence de mâle dominant en moi! Remplis-moi!

Je regarde régulièrement la caméra, lorsqu'il éjacule en moi. Je prends un plaisir immense à montrer que d'être servile, est bel et bien mon péché mignon. Qu'il n'existe au fond de moi, qu'une pauvre chose soumise et prête à obéir à tous ceux qui veulent venir me prendre et me violer sans aucun scrupule. Et lorsqu'il finit de se déverser agréablement en moi, mon bel étalon me gratifie d'un autre nom qui me fait glousser sans la moindre honte...

Alors que je ressens son sperme épais affluer dans mon sexe jusqu'à ras-bord, il continue encore de me prendre un instant. Et lorsqu'il a entièrement terminé d'éjaculer en moi, il se retire en étant satisfait. Quand son beau membre quitte ma pauvre vulve qu'il a si bien prise, je peux enfin assister avec plaisir au résultat. Et il ne me déçoit pas. Je me mets encore une fois à glousser, alternant entre regarder l'étendue de son ravage dans mes entrailles et la caméra. Mon vagin brûlant par le désir et par la douleur de m'être faite en partie déchirer, laissait maintenant entrevoir un flot important du jus gras et épais de mon violeur. Parmi ce foutre délicieux se trouvait aussi un peu de mon propre sang, qui se mélangeait avec toute ma cyprine.

- Oh mon Dieu! Tu ne m'as vraiment pas loupée...

Toujours enivrée par ce qui était en train de se produire, mon violeur que je vois maintenant en tant que nouveau maitre à servir, me demande d'écarter les fesses. Ce que je fais de suite et sans attendre, pendant que je continue de ressentir son sperme ressortir délicieusement de mon sexe que cet individu a déchiré.

- Oh vas-y! Prends-moi les fesses comme tu m'as prise par devant, s'il te plait. Je ferai n'importe quoi pour continuer d'être toute à toi!

Avec ma servilité poussée à son maximum, je retrouvais à présent la joie d'être humiliée. J'avais hâte de continuer d'être rabaissé! Peu m'importais le malaise que je ressentirais après, une fois que tout sera terminé...
Titre: Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]
Posté par: Compte Inactif le jeudi 15 avril 2021, 13:09:58
Je pose alors le téléphone sur la table d'en face, caméra pointée sur nous.

- Je compte tout te prendre, ne t'en fais pas.

Le plaisir jubilatoire gagne encore un cran dans cette débauche malsaine et pourtant si excitante. Ronronnant comme un fauve  satisfait mais encore insatiable, tout en regardant cette pauvre renarde en rut perdre complètement la raison. Comme si j'avais cassé le jouet, et qu'il fonctionnait désormais différemment. Le réseau de veines entourant mon chibre sont encore bien gonflés, dégoulinant l'essence de nos plaisirs respectifs.

Elle a échangé ses plaintes pour des louanges, des cris apeurés par des gémissements en demande, je m'approche pour lui foutre la deuxième fournée dans son p'tit cul avec l'engouement de voir jusqu'où sa cervelle de perverse ira. Rien qu'à la voir écarter ses fesses pour me montrer le chemin, j'me branle nerveusement en passant une langue sur mes lèvres. Me satisfaire de ses étoiles dans les yeux et ce postérieur gracieusement offert. D'un geste autoritaire je retire sa main comme pour lui interdire de toucher ce que j'convoite comme s'il était mien, du moins, pour aujourd'hui. Posant les genoux au sol pour être à niveau, ma langue dérape sur son œillet, en empoignant sa queue dorsale pour mieux l'enrouler autour de mon poing pour le tenir immobile.

- Oh, oui... Une chienne délicieuse...

Puis, dans un vacarme produit par les lattes du lit, toute ma masse se retrouve sur le flanc derrière elle. Mon biceps passe en dessous de sa tête pour lui offrir un coussin musclé, pour mieux attraper sa poitrine que je pince, et malaxe comme une viande bonne qu'à ça. Mon souffle ardent sur son oreille, puis son visage, j'me mets à lécher continuellement sa joue pour la goûter, alors que j'ondule le bassin pour frotter mon sexe contre son cul, le maculant de pré-foutre jusqu'à ce que mon gland bute dessus. Tenant sa hanche fermement d'une main, j'avance comme une presse hydraulique pour commencer cette perforation entre les chairs sur des bruits odieux.  ​

- Ouh, c'est serré...

J'écarte ses chairs, difficilement, et pas trop vite pour éviter un déchirement qui ne ferait que me retirer ce plaisir, cherchant ses entrailles centimètres après centimètres. Ma queue enserré en elle seulement du premier quart, je m'amuse à faire de mini vas et viens pour faire profiter mon gland qui prend son pied à se faire étrangler pour mieux embraser l'intérieur de mon coulis transparent, bouillant et gras tandis que son visage se retrouve noyé dans ma salive que ma langue continue de produire. Mes mouvements deviennent nerveux, emporté de nouveau par un plaisir aveuglant.

- Tiens, prends ma queue, comme tu le souhaitais. Han !

D'un coup plus fort, mon membre se range entier dans ce nouveau casier à spermes que je ravage aussitôt par des coups de reins plus voraces. Augmentant l'amplitude, pour ouvrir comme une énorme bouche béante son cul qui devient mon nouveau jouet. Chaud, aussi ruisselant, le plaisir infini de sentir ses fesses câliner ma queue et rebondir contre mon bassin. L'écraser, la brutaliser si fort pour lui couper le souffle et agiter son corps tout entière.

- Je vais te casser en deux. Que j'gronde d'une voix puissante.

Maintenant bien installé en elle, lubrifié à outrance, je peux lâcher sa hanche pour aller plonger deux doigts massifs dans sa chatte, poignardé ainsi des deux côtés dans une double pénétration violente et impitoyable.

- La brave petite pute aux grandes oreilles, elle aime ça ? Oh oui elle aime ça ! Elle te rends cinglé ma queue, espèce de tarée...

Clapotement visqueux, ma queue veineuse faisait un véritable bruit de marteau contre son postérieur, ramoné férocement sans me soucier des dégâts que j'cause, autant que ma main qui malmène son vagin en y foutant un troisième doigt pour l'écarter davantage et ainsi défoncer tous ses orifices.

Sauf sa bouche, mais j'y viendrais.
Titre: Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le vendredi 16 avril 2021, 18:52:53
Mon bel étalon viril pose le téléphone sur la table, tout en pointant la caméra vers nous. Je pince des lèvres et je passe ma langue dessus, en même temps que je le regarde aussi docilement que lubriquement. Très impatiente de le recevoir dans mon derrière, avec son gros membre qui ne perd à aucun moment de sa superbe, je le vois se masturber pendant qu'il me regarde avec une envie aussi forte que la mienne. Lorsqu'il retire ma main sur mon postérieur avec sa dominance écrasante que j'aime de plus en plus, je lui souris tout en couinant doucement. Je couine ensuite un peu plus fort, dès qu'il commence à me lubrifier l'anus avec sa langue, pendant qu'il m'attrape mes deux queues kitsunes. Il me gratifie encore une fois de l'un de mes noms préférés, celui de "chienne", avant de passer ensuite derrière moi. Le beau garçon qui n'arrête pas de me maltraiter moralement et sexuellement, m'attrape la poitrine et la prend dans ses grosses mains perverses. Sans avoir besoin de forcer, je redouble de gémissements torrides lorsqu'il me lèche la joue et que son sexe viril commence à frotter mon derrière. Heureuse d'être devenue momentanément la propriété d'un individu qui n'hésite pas un seul instant à se montrer cruel et odieux avec moi, il commence à rentrer son gros pénis entre mes petites fesses.

- Aaah... Aie! Hahaha! Aie! Oh c'est bon!

Prise entre l'excitation et la douleur, il me force à recevoir sa puissante virilité qu'il fait entrer petit à petit dans mon pauvre rectum. Lorsque mon violeur qui m'attrape comme sa femelle soumise arrive jusqu'à une certaine distance, il continue de me sodomiser en exécutant des vas et viens. Je me mets à gémir en suivant de force la cadence, pendant qu'il me lèche encore la joue et que je me retrouve dans une position qui lui permet de me prendre facilement et agréablement. Comme tout à l'heure, je pense à regarder régulièrement la petite caméra de son téléphone qui nous fixe, tout en couinant toujours plus fort. Je crie lorsqu'il fait entrer sournoisement sa verge dans mon derrière, par un violent coup bien placé. Pression et forte douleur s'entremêlent avec l'éternel plaisir qui ne me quittera maintenant plus, alors qu'il ne me laisse aucun répit pour directement passer à la vitesse supérieure.

- Aie! Doucement s'il te plait je... tu me fais mal je... Oh oui!

Essayant mollement de lui dire d'y aller plus doucement, mon corps convulse à chaque fois que je reçois de sa part un puissant coup de bassin qui cogne et qui claque contre mes fesses. La douleur finit par s'estomper rapidement pendant qu'il me dilate le rectum, tout en m'imposant une sodomie virile et puissante. Je regarde ensuite une nouvelle fois lubriquement la caméra tout en suçant goulument un de mes doigts, comme s'il s'agissait d'un nouveau pénis.

- Oh! Oh mon dieu c'est tellement bon de se faire violer! Oh mon dieu!

Je tressaute complétement pendant que je parle et que je me laisse aller à mes pulsions obscènes et malsaines. Ma voix s'entre-coupe à cause de l'excitation et de l'ardeur que le garçon met à me sodomiser brutalement sans la moindre retenue. Fascinée d'imaginer tout un tas de personnes qui puissent assister à mon propre viol, je couine encore bien fort lorsque mon nouveau maitre me cale ses gros doigts dans mon vagin en feu et qui continue de recracher encore de sa belle semence visqueuse. Je crie presque comme une hystérique en manque de retrouver ces instants pervers bien trop longtemps refoulés, lorsqu'il me traite de pute et de tarée.

- Oui! Encore! Insulte-moi encore! Vas-y! Rabaisse-moi encore mon bel étalon!

Comme "une pute et une tarée", j'encourage avec force mon violeur à continuer de m'insulter et de ne pas s'arrêter de me prendre par derrière! Je trouvais cette sodomie parfaite! Elle me faisait cette sensation de bien et de mal en même temps, sans jamais que je ne cesse de me sentir me faire humilier. Et j'aimais encore plus cet acte sexuel barbare et dégradant, en sachant qu'il y aurait certainement beaucoup de personnes qui viendraient nous regarder. Quel beau spectacle décadent et rabaissant je donnais de moi! Je vivais un instant mémorable!
Titre: Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]
Posté par: Compte Inactif le dimanche 02 mai 2021, 14:30:31
La cavalcade suit un rythme effréné alors que le temps s'égrène, lui remuant les entrailles avec la vigueur d'un Minotaure sous stimulant. Savourant chaque câlin que ses petites fesses font sur ma queue maculée de son liquide gluant. Les martèlements violents contre son derrière, infatigables, laissent maintenant des rougeurs écarlates sur sa peau, ses cuisses, tout comme son téton en qui en plus de pointer devient également fatigué d'être malmené sans répit. Pour une torture orgasmique.

A l'intérieur, je peux sentir la chaleur de son rectum soumettre sa compression autour de ma verge pour mieux l'étrangler, le tenir en étau pour lui extirper plus vite sa semence. Je lève mon genou contre l'intérieur du sien pour relever sa jambe, afin d'ouvrir davantage son vagin qui subit des claques cinglantes, les doigts raclant ses parois, ajoutant même le pouce pour rouler sur son clitoris durci par l'excitation, ils la baise comme si deux autres hommes venaient insérer leur pénis en elle avec la percussion d'un bélier puissant. Son corps n'est qu'une grosse balle de chair tambourinée de chaque côté, un tennis odieusement pervers et violent.

Mes bras l'entourent toujours, la prise d'un ours viril qui peut la briser en mille morceaux, respirant toujours plus fort à son rythme, mon torse vibre contre son dos pour faire rouler mes grognements, qui prennent des décibels à mesure que je m'approche de la jouissance, imminente.

Elle est devenue complètement folle. De moi, de ma queue, de mes violences. Un viol qui se transforme en coït animal. Hurlant sa soumission au moindres de mes gestes, comme si elle n'était qu'un instrument docile à tous mes plaisirs. Et je compte bien en profiter aussi. Un jeu de rôles vraiment pervers, mais amusant. Comment ne pas jubiler de plaisir quand sa soumise hurle le sien pour me demander de recommencer ?

- Mais oui pétasse, je vais continuer à te rabaisser. Même si tu es déjà plus bas que terre. Tout le monde va voir que tu n'es juste qu'une traînée qu'on peut froisser indéfiniment, une salope complètement timbrée folle de la bite de son agresseur.

Grondant comme un fauve, mes coups de reins s'accélèrent alors que je sens l'orgasme monter, encore, une ultime fois, m'empêchant de parler davantage, simplement poussé par la seule action singulière et primitive et lui défoncer le cul, afin d'assouvir le désir brûlant de jouir de nouveau.

- Han, han...GRAAH, putain, OUI ! Tu le veux mon sperme ? Supplies-moi, catin !

Quatre coups de reins féroces et bien plus violents lui matraquent les hanches et déforment son fessier avant d'y rester au fond pour lui hurler mon dernier orgasme. Mon corps entier se rétracte alors qu'elle est contre moi, le dos, le visage ruisselant de sueur contre sa crinière où ses grandes oreilles subissent une douche de salive à l'expiration de mon feule bestial. Après plusieurs bruits qui trahissent les jets de spermes brulants dans le couloir de son postérieur pour y incinérer tout sur son passage, le surplus va très vite dégueuler pour souiller nos jambes et mes bourses, collées contre le dos de ma main qui enfonce ses doigts dans le fond de sa chatte depuis le début de l'orgasme. Perforé ainsi de part en part.

Mon frein continue de bruler et cracher son fluide épais, et après un énième coup de rein qui résonne dans un clapotement visqueux et outrageusement abondant, je me retire, une longue lame saturée par mon sperme dans une éclaboussure odieuse tout comme mes doigts noyés de cyprine, pour m'allonger sur le dos. Ca y est, je suis vide.

- Bon sang... C'est incroyable de te baiser.

Le torse gonfle et dégonfle irrégulièrement, alors qu'elle est laissée lamentablement sur le côté, le corps relâché par mon étreinte musclée, comme une poupée de chiffon que j'aurai froissé. J'entends le téléphone vibrer, annonçant que la batterie arrive dans ses réserves. Je me redresse doucement, pour la surplomber de toute ma masse, et lui tapoter d'un geste humiliant le crâne, avec ma queue toute molle, crachant ponctuellement son venin sur son visage.

- Gentil chien-chien, j'ai fini. Que je finis par dire, magnanime.

Tirant ses queux vers moi, je lui assène une gifle douloureuse pour remercier à ma façon ce cul tendu amoureusement, qui continue de vomir et essayer de contracter son anus comme il peut. Avant de ricaner dans ma barbe pendant que je remet mes vêtements, et m'assurer que la vidéo est bien enregistré.

- Héhé, c'est dans la boite. Fais très attention, ma petite pute, je risque de repasser... C'est même certain.

Et sur ces mots, je la laisse sans lui laisser un geste de gratitude et enfin quitter son établissement. Je m'envole, pendant de longues minutes alors que mes yeux reprennent leur couleur d'origine. Mon sourire carnassier disparait, et mon corps se relâche. Arrivant en haut d'un building, il faisait déjà nuit... Mon corps tremble, il me remercie d'être aussi apaisé. Mais mon esprit... Mon esprit est bouffé par la culpabilité.

- Qu'est-ce que j'ai fait...

C'est horrible. Et c'est tout le temps ce calvaire qui m'anime. A force, j'ai construit un espèce de déni qui me sert lamentablement d'armure quand ces moments arrivent. Il n'y a rien qui m'empêche de continuer, même pas ma morale, même pas ma motivation, je perds le contrôle et c'est un trou noir jusqu'à ce que le mal soit fait. C'est terriblement, mais incroyablement bon. Comme un espèce de contrat, mon âme que j'aurai vendu au diable simplement pour savourer ce moment.

Un odieux moment de répit avant de recommencer, malgré moi.

Titre: Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]
Posté par: Etyhs Inoru le samedi 08 mai 2021, 21:13:38
Pendant que je me fais prendre comme l'esclave sexuelle que j'ai docilement appris à devenir avec le temps, je couine et je souris lorsque je l'entends continuer de me rabaisser sans aucune pitié. "Esclave sexuelle", "trainée", "pute", "salope", "chienne", je retrouve avec lui toute la liste de mots habituels que j'avais l'habitude d'être gratifiée, y compris encore aujourd'hui. Mais en me faisant humilier à la hauteur de mes attentes, comme à l'époque. C'était tellement bon d'être autant rabaissée, que j'en arrivais presque à jouir. Mais je voulais encore attendre un peu. Je voulais surtout jouir au moment où je toucherais complétement le fond. Si possible ce fameux moment où il serait en train de me souiller encore une fois.

- Oh c'est parfait! C'est tellement merveilleux! Avec toi je suis enfin libérée! Merci!

Tout en remerciant mon violeur de m'insulter de manière dégradante et de continuer de me prendre comme une "chienne", je me mets couiner aussi fortement que je peux. A chaque fois que sa belle queue vient lourdement s'enfoncer dans mon pauvre petit derrière. Et pendant que je suis en train de commencer à tirer la langue et à lever les yeux en l'air tellement son traitement me rendait folle, mon violeur m'ordonne de le supplier de recevoir sa semence. Je ne perds donc pas une seconde pour lui obéir encore, alors que la caméra de son téléphone continue toujours de nous filmer.

- Oh oui! Oui! Je veux ton sperme! Viens me remplir encore une fois avec ta semence, mon bel étalon viril! Remplis-moi les fesses comme une catin! Vas-y! Souille-moi s'il te plait! Souille-moi et maltraite-moi jusqu'au bout! Je t'en prie!

Dans mes supplication obscènes et dégradantes de vouloir le voir absolument terminer de me violer en beauté, je tire la langue pendant que mon beau mâle viril vient me prendre encore plus violemment. Je ressens sa queue qui me laboure l'intérieur avec rare sauvagerie et je ressens les puissants claquement qui viennent coquinement me cogner les fesses. C'était douloureux car il y allait particulièrement fort! Mais c'était tellement bon en même temps! Pour moi, c'était ça être une vraie esclave sexuelle. J'étais le jouet qui appartenait aux hommes les plus odieux! Une pauvre femme doublée d'une lâcheté affligeante, qui n'a pas honte de mettre de côté sa dignité pour se mettre sexuellement au service des plus forts avec plaisir.

- Oh! Ooooh! Ah!

Ses derniers coups de reins sont si violents, que je ne peux plus rien faire d'autre que de soupirer de façon étouffée. Je couine malgré tout avec autant d'ardeur, que je reçois avec violence son bel engin tout au fond de mes fesses. J'étais rouge. Mon corps était brûlant et je ressentais avec délice ses doigts qui pénétraient ma chatte, elle-même précédemment souillée par ses fluides de mâle dominant. Mais surtout plus rien ne semblait maintenant avoir d'importance entre nous deux, que de le savoir arriver à ses fins. A se décharger et à se soulager de moi et de mon pauvre corps éternellement au services des hommes de son genre. Et lorsqu'il est prêt à jouir et que mon clitoris semble lui aussi être sur le point de céder comme le sont mes tétons sous l'agression continuelle, j'entends un délicieux bruit visqueux. Un bruit annonciateur de sa nouvelle jouissance, qui s'entremêle avec mes propres fluides et celle sa semence qui continuent à couler de l'autre côté, depuis cette position qui met en valeur toute ma soumission face à sa domination.

Il n'en faut alors pas d'avantage, pour que ce pervers monstrueux arrive enfin à ses fins à force de me sodomiser virilement et continuellement. Pendant qu'il se contracte, il vient m'engorger l'intérieur de mes fesses qui est probablement au moins aussi dilaté que l'épaisseur de sa propre verge. Je l'encourage évidemment encore une fois, histoire de lui donner les meilleurs sensations possibles, pendant qu'il jouit et termine de m'humilier.

- Oh oui! Vas-y remplis-moi! Remplis-moi comme truie! Oh mon Dieu je sens ta semence! Oh mon Dieu!...

Comme en état d'extase et de choc en même temps, j'entends plusieurs fois d'autres clapotements pendant qu'il me remplit par de puissants jets chauds et gras. Avec la jambe bien relevée, je reste ainsi entièrement immobile durant toute la durée où il se termine en moi. Les yeux écartés, la bouche grande ouverte, je respire bruyamment tout en regardant son téléphone avec mon air le plus soumis. Avec presque la même expression que celle d'un animal en détresse. Toute cette situation qui perce à jour ma servilité, suffit enfin à me faire jouir aussi. J'ai alors seulement continué de couiner d'extase, à chaque fois que le garçon venait se contracter en moi.

Alors que mon bas-ventre me tiraille à cause de la sodomie brutale et de ses fluides que je viens tout juste de recevoir encore, il se retire de de mes fesses dans un nouveau clapotement visqueux. Mon violeur qui en avait probablement terminé avec moi, s'allonge à côté tout complimentant mes performances. Encore dans un état second, mon corps et mes lèvres tremblent d'un plaisir à la fois malsain et silencieux, tandis que je ressens sa semence qui commence déjà à ressortir en masse abondante de mon derrière. Epuisée d'avoir été si violemment prise, je le vois se relever. Il me tapote la tête avec satisfaction, tout en me collant sa verge contre mon visage qui avait déjà rapetissé. D'abord surprise de le voir attraper mes deux queues kistunes, je gémis et je glousse une dernière fois, lorsqu'il vient claquer mes fesses noyées dans sa semence.

- Hihi! Merci! Merci beaucoup de m'avoir violé!

Encore enivrée par ce qui représente pour moi le vrai bonheur, le garçon qui m'a plus que prise pour son esclave sexuelle se rhabille et il récupère ses affaires. Il me laisse alors là tout en se moquant de mon sort une dernière fois. Je suis malgré moi parcourue d'un frisson de plaisir, mais aussi de crainte, lorsque je l'entends me dire qu'il pourrait revenir. Le corps déjà lourd, prise par des douleurs qui vont certainement s'accentuer d'ici peu, je le vois sortir de la pièce et j'entends la porte de la boutique claquer.

Quelques instants après, comme si je venais d'être piétinée par un éléphant, je me redresse avec difficulté et je pars venir constater l'ampleur des dégâts, à travers un miroir qui se trouve dans la pièce. J'étais visiblement rouge. J'avais déjà des bleus et j'étais plus ou moins tuméfiée à certains endroits. Quant à mon vagin et à mon entre-jambe qui laissait très visiblement transparaître toute l'étendue de son passage odieux, j'avais subitement l'air de la femme qui s'était faite sauvagement agressée et violée. J'avais aussi comme l'air d'être épuisée et anéantie. J'affichais visiblement dans le miroir, celle que j'étais réellement dans l'âme. J'avais retrouvé l'image que l'on m'avait si souvent donnée, lorsque je me faisais presque chaque jour humilier dans tous les sens du terme, par cette famille sordide quand je vivais encore tout récemment sur ma planète. Mais maintenant que l'acte sexuel était terminé, je commençais déjà à ressentir le douloureux poids du contre-coup. Je me disais que je vivais encore aujourd'hui pour pouvoir ressembler tristement à ça. A cette chose misérable et décadente. A une simple chose sexuelle hors de toute pensée et de toute conscience. Et dans tout ça, je n'avais même pas pensé une seule fois à mes enfants. Et quand bien même, je n'aurai certainement rien fais pour essayer de l'arrêter. De m'arrêter tout simplement de passer pour une... prostituée masochiste.

Prise d'un dégoût qui ressurgit habituellement une fois ce genre d'actes barbares terminé, je me mets à sangloter. Je suis vraiment une mère indigne et je ne vaux pas mieux que mon propre violeur.