Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Sandji le samedi 14 juin 2008, 21:51:52
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Ah, l'école, ca faisait bien longtemps que il y était retourné. De toute façon, ca le faisait chier quand il était gosse, il aurait dû bouffer la jambe de ce connard de prof qui lui avait flanqué 2 heures de colle parce qu'il matait un livre porno sous son banc avec son pote de classe.
Aujourd'hui, si il était encore sur les bancs d'école, c'était juste pour voir ce qu'on apprenait.
Seulement, la visite d'un espèce de dingue au visage taché de sang et un bras encore sanguinolent dans la poche, ca ne passe pas inaperçu, et c'était limite si le bigleux d'en face ne l'avait remarqué.
" Hé, cul-de-bouteille, c'est quoi qu'on a aujourd'hui ? "
- Euuuuh... On revoit les arts égyptiens.
" Encore un truc de gros ringard, en fait. "
- Mais non, tu sais, les égyptiens ont...
" Ta gueule, ou j't'explose la cervelle a la sortie, compris espèce de pantouflard crevé sous ses livres de math ? "
Lors de l'appel, le professeur, une femme, remarqua que quelqu'un manquait, et qu'un nouvel arrivant assez inquiétant était présent. Levant les bras comme un idiot; Sandji commença à beugler
" Hé, moi, vous m'avez oublié ! J'suis un fantôme ou quoi ? "
- M-mais qui es tu ?
" Bah un gars d'vot' classe, ca se voit non ? "
- Et... Cette chose, dans ta poche ?
" Ca ? Une pelle, et le bras de l'autre a qui j'ai piqué la place, je voulais vous le ramener pour pas que vous croyez que je raconte des conneries. "
En entendant ça, toute la classe poussa un cri de frayeur, et l'institutrice tomba dans les pommes. Placide, Sandji se leva, vérifiant l'état de la prof.
" Pas d'problème, elle roupille. "
- Ce mec a buté Julius ! Ca craint !
" Mais non, j'ai juste pris un bras, c'est rien, ca se recouds. "
Mais là, ce fut la panique, et tous se ruèrent dehors en hurlant. Evidemment, ce remue-ménage mit en pétard Sandji.
" CONNARDS ! DITES ENCORE QUE JE SUIS DINGUE, C'EST CA ? JE SUIS DIFFERENT ALORS VOUS M'ENVOYEZ CHIER ! J'VOUS BUTERAI TOUS, C'EST CLAIR ? TOUUUUUS ! "
Prenant l'institutrice, il la traîna sur quelques mètres dans la classe, posa son pied sur sa poitrine, prit son poignet...
Et lui arracha le bras par la simple force de ses bras.
La femme évanouie se réveilla de la douleur, et constata l'absence de son bras, d'ailleurs maintenant jaillissait une fontaine de sang de son épaule, tandis que le dingue jetait derrière lui un des bras.
Il s'attaqua ensuite à la tête.
L'arrachant de ses mains, il décida ensuite de s'en arrêter là, et entreprit juste de garder la tête, en cas de fringale, embarquant sa pelle chérie.
Evidemment, tout l'établissement avait été averti du massacre et forcément qu'on viendrait l'emmerder.
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Nasira bailla dans son office et inspecta ses ongles...Ces japonais avaient décidement une santée de fer, aucun n'était encore tombé malade ou n'avait eu besoin de ses soins. Elle soupira, quel dommage...Elle qui cherchais un peu d'animation s'ennuyait a mourir...Les cours étaient presques finis et elle allait devoir quitter l'établissement et rentrer chez elle. Elle supposait qu'elle invoquerais surement un démon pour l'amuser ce soir, mais c'était lassant car au final c'était toujours les mêmes qui venaient, et elle connaissait a les connaître, même si le fait d'être prise par des tentacules lui faisait du bien au début elle commençait a être assez lassée et blazées de tout ça.
Nasira soupira...Elle commençait a devenir comme sa déesse, très, trop difficile, elle allait devoir trouver quelqu'un qui puisse lui raviver le feu originel, celui qui brulait dans sa poitrine et qui semblait s'éteindre au fur et a mesure, elle faisait l'amour trois a quatre fois par jour seulement, et toujours a l'arrachée. Ce n'était pas drôle...Elle aurait voulu tomber sur quelqu'un qui au moins, ne serait pas désespérement prévisible. Quand on avait 1000 ans d'existence on commençait a se lasser du normal
Des cris retentirent dans l'établissement et elle se leva, vit des élèves fuir dans le couloir. Bien qu'ils étaient tous visiblement paniqué aucun ne la bouscula quand elle avança dans le flot. Car après tout, elle n'était pas une sorcière pour rien. Avançant, les mains dans sa blouse blanche, la cloppe au bec, elle alla voir la raison de tout ce tumulte et trouva un jeune homme qui venait d'arracher le bras d'une institutrice d'une manière assez violente.
Nasira sourit et tira une bouffée sur sa clope. Devant Sandji venait d'apparaître une superbe femme noire d'un peu plus de 25 ans, portant une large blouse blanche, un pull orange et une juppe noire ainsi que des colants et des talons aiguilles. Ses cheveux mi longs attachés en queue de cheval tombaient sur la blouse blanche. Des lunettes se posaient sur son nez...Allons bon, surement un habitant de Terra qui s'était retrouvé là par hasard, c'était bien le genre de sa déesse.
Enfin un peu d'originalité
"Tu es perdu?"
Fit elle avant de regarder le gamin arracher la tête de la jeune femme, elle n'afficha même pas une expression de surprise. Elle n'avait pas assez de pouvoir a sacrifier pour ramener cette pauvre femme a la vie, tant pis pour elle, elle n'avait pas a être aussi stupide. Nasira esquissa un sourire et prit sa cigarette entre deux doigts
"Tu fais beaucoup de bruit pour rien, tu dois être une sorte de Dingo ou quelque chose comme ça?"
Lança Nasira, n'eprouvant pas la moindre peur a l'encontre du jeune homme.
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Mais alors que le doux dingue allait s'en aller, il se retrouva en face d'une femme - à son goût d'ailleurs - mais quelque chose en elle le perturbait...
La blouse...
Cette fameuse, putain de blouse...
En voyant ça, Sandji lâcha la tête, il resta comme pétrifié de peur face à Nasira. Tombant a genoux, il se mit a reculer, brandissant sa pelle en sa direction, totalement paniqué.
" N-non ! Vous me ramenèrez pas a la maison ! J'en veux plus ! J'en veux plus ! Je veux plus les piqûres ! Tout, mais plus ça ! Je veux plus ! Je veux plus ! "
Très vite, il se retrouva coincé contre le tableau, tableau auquel la prof a présent démembrée avait a peine écris quelques phrases pour le journal de classe, et d'un coup le fou se mit a implorer l'infirmière, comme si il implorait qu'on lui laisse la vie sauve.
" S-s'il vous plaît ! Je serai sage, c'est promis, je ferai plus de bêtises, mais je veux pas qu'on recommence ! Je vous en prie ! "
Il releva la tête, osant a peine regarder les pieds de la femme, son visage était profondément marqué par une peur terrible, sûrement provoqué par un traumatisme profond et lointain.
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Nasira soupira. Elle lança un regard par la fenètre et voyait déjà les élèves se précipiter a l'exterieur. Surement qu'a ce moment là dans le secrétaria, on devait appeller la police...Quelle bande de géneurs...Ils allaient lui gacher son plaisir si ils continuaient ainsi. La jeune femme se tourna et observa une prise au mur qui devait servir a brancher l'appareil a diapos...Elle marmonna quelques mots a peine audibles et y plaça les deux doigts. Le courant electrique jaillit mais ne sembla pas lui provoquer le moindre dégat, en revanche sa cigarette fut consumée instantanément et tomba en cendres sur le sol.
Il y eut immédiatement une coupure de courrant dans tout le lycée, elle se tourna ensuite vers la fenètre et Sandji put voir que ses yeux n'étaient plus que des globes blancs. Elle tendit son index et et lança une phrase terrible dans une langue qui échappait au tueur. Un immense écran electrique se dressa alors comme un dome autour du lycée, bloquant les sorties et brouillant les portables.
Plus de courant, et pas de mouchards, plus moyen de contacter le monde exterieur.
Bien elle allait avoir la paix. Sandji remarqua alors la blouse et s'en fut, Nasira eut un petit rire. Elle était vraiment amusée maintenant. Ce garçon était tout ce qu'il y avait d'imprevisible, autant entrer dans son jeu et essayer de voir comment il allait réagir par la suite. Elle le regarda avec ses yeux blancs dont les pupilles se mirent a reparaître petit a petit
"Mhh?Voyez vous ça, on a été un méchant garçon?"
Nasira avait un avantage certain sur Sandji grâce a cette blouse, elle allait pouvoir le maitriser et surement empecher plus de meurtres d'être commis, hein?Hein?
Elle plongea une main dans sa poche et en sortit une cigarette et son briquet, elle s'en alluma une nouvelle et souffla le nuage de fumée , puis rangea les accessoires dans sa poche avant de faire glisser la dite blouse de son épaule et l'envoyer au malade. Elle lui lança
"Tu n'as plus a avoir peur maintenant, parce que l'homme en blanc, c'est toi."
Fit Nasira avec un sourire. Elle posa une main sur sa hanche et lui lança avec un ton joueur. Elle sortit une cigarette et la lui tendit
"Tu en veux?"
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Totalement pétrifié rien qu'en voyant le bas de la blouse, Sandji n'osait même plus relever la tête. L'espèce de bête féroce qui le caractérisait s'était changé en pauvre animal soumis, et cela pour certaines raisons.
Sandji releva la tête d'un coup lorsqu'il entendit Nasira s'addresser a lui, et en fut frappé d'encore plus de panique, ses cheveux s'en dressèrent presque sur sa tête.
"Mhh?Voyez vous ça, on a été un méchant garçon?"
" N-NON ! J'AI PAS ÉTÉ MÉCHANT ! JE SUIS SAGE ! JE SUIS SAGE ! JE VEUX PAS ÊTRE ENCORE PUNI ! JE VEUX PAS ! "
La voyant s'approcher de lui, impuissant, il ne fit que fermer les yeux en pleurant, implorant d'avoir la vie sauve tout bas.
Mais d'un coup, il sentit quelque chose se mettre sur ses épaules.
La blouse.
Il l'avait sur lui.
Prit d'un réflexe paniqué, il envoya la blouse sur un banc, gueulant comme un forcené. Reprenant un peu son calme, il fixait la blouse inerte de ses pupilles rétractées au maximum.
Une fois un peu calmé, il regarda la cigarette de Nasira, curieux.
" Pour moi ? "
Il prit la cigarette du bout, entre son index et son pouce...
Et la goba.
La cigarette ne dura pas 3 seconde avant qu'un bruit de déglutition affirme que le tabac était bien arrivé au fond de l'estomac de Sandji, Sandji qui avait une expression de béatitude sur le visage.
Affichant un sourire de débile, le fou se releva, et alla mettre ses mains autour des hanches de Nasira, pressant sa tête contre sa poitrine.
" Mer-ciiiii... "
Il fut pris d'un petit hoquet.
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Elle caressa la tête de Sandji affectueusement comme on caresse la tête d'un bon gros chien chien...Il était mignon quand il voulait le petit forcené, on aurait pas pensé qu'il venait de démembrer une institutrice innocente en le voyant. Nasira eut un sourire quand il avala la cigarette...Si ça lui faisait plaisir, après tout elle était bien placée pour savoir qu'il y avait enormement d'utilité possible avec un objet...Il suffisait d'avoir un peu d'imagination non?Et de l'imagination elle savait que Sandji en avait a en revendre, en revendre était le mot parfait, car il en avait tellement qu'il démembrait des gens, alors revendre un peu de son imagination ne lui ferait surement pas de mal. Elle entendit hoqueter le forcené et elle eut a nouveau un petit rire moqueur. Décidement elle voulait de l'originalité elle était servie.
Malgré la force de l'homme, malgré sa barbarrie, malgré qu'il se serre contre elle maternellement et qu'il était a moitié couvert de sang, Nasira ne s'inquiétait pas le moins du monde. Elle avait l'assurance de la personne qui savait que quoi qu'il lui arrivait, elle pouvait oblitérer Sandji avec quelques mots ou quelques gestes bien placés. Elle était une experte dans les arts médicaux, elle savait exactement quelle partie du corps presser pour produire un effet particulier, ses potions et ses onguents fait a base de plantes qui n'existaient plus que chez elle lui permettaient des effets assez hallucinants sur ses sujets, et si malgré ça elle n'arrivait pas a obtenir l'effet voulu, ses formules lui permettaient de l'atteindre.
Elle n'était pas la grande prétresse d'Aphrodite pour rien. Elle lança un regard attendri a Sandji, de la même façon qu'on regarde un petit chiot japper affectueusement contre soi
"Et qu'est ce que tu va faire maintenant, Dingo?"
Lui lança t'elle, en guise de surnom, comme si elle assistait a un spectacle, elle voulait voir la suite des aventures du fou.
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Visiblement, le fou retourné aux allures de gamin inoffensif semblait bien se plaire la tête enfoncée contre la poitrine de l'infirmière, seulement cela fut de courte durée lorsqu'elle lui demanda quoi faire.
" Euh... "
Un gargouillement sonore s'échappa de son ventre, qui visiblement n'avait pas eu assez avec la cigarette.
Un nouveau sourire stupide se dessina sur le visage du blond, et il exprima, tout content:
" Manger ! "
Libérant Nasira de son étreinte, il se rua sur le cadavre de l'institutrice, et s'empressa d'arracher un nouveau bras, sauf que cette fois le sang coula simplement, au moins une bonne partie recouvrant le sol.
A l'aide de son genoux et d'un peu de sa force décuplée, le fou brisa en deux le bras au niveau du coude, et l'arracha en deux, séparant l'avant bras du reste.
Gardant l'avant bras pour lui, il arriva près de Nasira, quasiment totalement couvert de sang, et lui tendit l'avant bras, après avoir quasiment totalement arraché un muscle a l'autre bout, muscle qu'il mâchait avec plaisir, couvrant ses vêtement visiblement très luxueux de sang. Même si il était dingue, il était a noter que ce pauvre gosse aimait porter des fringues de riche.
" C'est pour toi. Mange ! "
Fit-il en agitant la main ensenglantée de la défunte institutrice sous le nez de Nasira.
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Décidement il n'en manquait pas une. On lui avait fait beaucoup d'invitations a diner depuis qu'elle était devenue infirmière, des professeurs avides dont elle lisait les intentions comme dans de l'eau de rôche, mais il fallait avouer que c'était la meilleur proposition qu'on lui ait faite jusque là...Nasira eut un sourire felin. Décidement Sandji était bon pour la dérider. Non qu'elle eut des rides, mais après un bon moment sans rire, elle trouvait celà plaisant de retrouver cette sensation. Femme qui rit a moitiée dans ton lit disait le proverbe. Elle ne se serait pas étonnée que Sandji l'applique de manière propre et coupe une femme en deux pour en abuser de la seconde partie. Elle regarda la main et fronça un peu de son nez ravissant avant de donner un coup du dos de la main a celle ci, l'envoyant par terre.
"Quel gachis, tu sais qu'en mangeant cette femme tu es en train de passer a coté du meilleur?Elle était encore jeune, elle aurait pu servir encore un bon moment."
Elle sortit un mouchoir et s'essuya le sang sur le dos de sa main avant de prendre un autre mouchoir, de tissus cette fois et de prendre ses lunettes, s'assit sur un bureau, croisa ses jambes qui auraient fait tourner la tête a bien des hommes, et se mit a les essuyer consciencieusement. Elle se fichait de savoir que peut être elle allait vexer Sandji en ne mangeant pas son bras. L'anthropophagie ne la dérangeait pas plus que ça, mais elle n'aimait pas la viande crue, pas ce genre de viande là en fait. Si il s'enervait contre elle ça l'occuperait un peu, sinon elle trouverait bien un moyen de s'amuser.
"Comment veux tu jouer un peu avec les autres si tu t'amuse a les tuer?Tu crois vraiment qu'on va te confier de nouveaux jouets indéfiniments?Quand tu les cassera tous, tu n'aura plus rien pour te nourir ni pour jouer, et personne ne voudra te préter son bras ou sa jambe pour que tu remplisse ton ventre."
Elle remit ses lunettes sur son nez et souffla un nuage de fumée depuis sa cigarette
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Effectivement, le dingue parut très contrarié lorsqu'elle refusa de manger le bras. Fronçant les sourcil, il goba encore une partie du bras avant de vitupérer
" Comment ça, t'aime pas ? Je te le donne gentiment, et t'en veux pas ? "
La fermeture d'esprit de Nasira lui avait assez déplu, et pour prouver qu'elle avait tort, Sandji alla près du corps encore démembré, fâché.
" Bien sûr que si, ca sers encore ! Elle a que deux bras et une tête en moins, c'est pas grave ! Tiens, si j'veux baiser, j'peux encore, tu vois que ca sers encore ! "
Il venait de finir de manger les chairs, et du bras il restait un simple os fracassé couvert de sang, qu'il jeta contre un mur. Il regardait a présent Nasira dans les yeux, d'un air contrarié.
" J'y peux rien si j'aime bien quand c'est tout rouge comme les fraises. "
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Nasira eut a nouveau ce sourire Sybillin qui voulait exprimer tant de choses et qui mettait en boule ceux qui essayaient de comprendre ce qu'elle tramait. Peut être que le simple fait de la voir sourire ainsi avec condescendance allait enerver Sandji, ou pas. Elle s'en fichait en fait. Elle appuya ses bras sur la table et leva la tête en l'air pour lacher un long jet de fumée qui partit vers le haut de la classe. Elle lança a Sandji
"Si tu pense ça alors c'est que tu es bien bête mon petit Dingo. Tu ne vois pas que même si tu baise ce tronc il ne ressentira rien?Tu pourrais la baiser par le trou que tu viens de faire a la tête ça serait pareil. Et puis, tu perd un compagnon a qui parler, et apparement tu adore ça non?"
Nasira eut soudain un sourire cruel et lança a Sandji avec défi
"Si tu ne me crois pas va dehors et ramène moi une fille, je te montrerais comment faire a ma manière."
Elle laissa le forcené reflechir a ce qu'elle venait de dire, il n'était pas exclu qu'il n'aie pas écouté et tente de l'attaquer, ou mieux, qu'il n'aille pas prendre la peine d'aller chercher une fille dehors...Nasira sourit, qu'il la surprenne, elle n'attendais que ça.
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Effectivement, Nasira avait vu juste en parlant de ça, c'était un point sensible chez Sandji.
Tout fou qu'il était, son monde n'était rien si il n'y avait personne. Car si il n'avait personne a tuer, a violer, a qui parler, que deviendrait-il ? C'était le vide total, le néant, la fin de la raison pour laquelle il continuait d'exister.
Il aurait voulu répliquer, mais il ne fit qu'une moue boudeuse.
" J'aime pas quand elle crient, ca fait mal aux oreilles. Et quand je les baîllonnent, elle se débattent, j'en ai marre de tout le temps les attacher. "
C'est là qu'elle le mit au défi de trouver une fille, dehors. Dehors ? Mais qui voudrait le suivre ? Quoique, il n'était même pas obligé d'aller dehors.
Esquissant un sourire sadique, il s'approcha de Nasira, avant de prendre le poignet de Nasira, avec douceur.
" T'as vu, j'ai trouvé une fille. "
Il sourit d'un air fier, comme si il venait de réussir une épreuve.
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Nasira eut un petit rire et sourit a Sandji avec interêt. Oui, il avait trouvé une fille. Certes. Elle, mais...Allait t'il pouvoir aimer ce qu'il allait voir?Nasira le regarda dans ses yeux et les yeux de l'infirmière semblèrent devenir deux petits points flamboyants dans ses yeux tandis qu'elle lui lançait
"Ah mais..."
Sa langue sembla serpenter sur ses lèvres comme celle d'un serpent, alors qu'elle lui lançait avec une voix changeante
"Qui te dis que je suis...Une fille?"
Alors qu'elle disait ça son visage se deforma horriblement et des dents gigantesques et pointues poussèrent, grosses commes des bananes et qui lacérèrent le bras de Sandji avant de le dépecer, lui arrachant littéralement les entrailles a coup de dents.
Puis rien.
Sandji tenait toujours le poignet de Nasira qui lui souriait.
Tout ça n'avait été qu'une illusion, elle voulait voir si ça avait fait effet sur le fou et comment il allait réagir avec la plus grande curiositée
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Encore souriant, il parut presque étonné lorsqu'elle voulut installer le doute. Même, il avait cru un moment s'être trompé de cible.
Mais lorsqu'il vut la transformation du visage de Nasira, il parut moins joyeux, on aurait dit un type qui voyait une scène ignoble dans un film d'horreur, a moitié amusé et dégoûté...
Mais lorsque le monstre qui avait cédé la place a Nasira commençait a lui perforer les bras, il n'eut même pas le temps de faire quoi que ce soit, même pas expirer un souffle, il voyait ses membres se détacher de son corps, et du sang, son sang voler dans tous les sens.
Une fois revenu dans le "monde réel", il regarda Nasira, étonné. Il tenait toujours son poignet dans sa main, et il n'y avait du sang que sur ses vêtement et sur son visage, il n'avait pas mal, il avait bien tout ses membre. Il leva la tête vers elle et...
Sourit.
Un grand sourire niais parcourait son visage, comme émerveillé de cette vision, et eut un ton impressioné
" Waouh, j'ai vu un truc trop génial, tu me croirais pas si j'te l'disais ! "
Il regardait a présent la sorcière avec un air admirateur, son air d'imbécile heureux gravé sur le visage. L'illusion qu'il avait eue avait fait tellement d'effet qu'il en avait une fameuse érection. Ne cherchez pas à comprendre, vous en deviendriez fou vous aussi.
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Comme prévu, Sandji avait aimé ce qu'il venait de voir. Elle voulait voir si il était aussi atteint qu'elle le pensait, mais c'était le cas visiblement, Nasira eut un sourire et se leva, elle fit un petit tour dans le poignet de Sandji et sa main s'en défit sans effort, elle alla de l'autre coté de la classe et ramassa la blouse-fallait pas laisser trainer, le sol était sale après c'était a elle de laver-Elle se retourna vers Sandji et revint s'asseoir.
"Hmm, a vrai dire je crois que je sais ce que tu as vu."
Elle baissa son regard sur son pantalon et etouffa un petit rire amusé. Oui, il bandait, après avoir eu cette vision d'horreur et de mort il avait eu une errection. Nasira éclata de rire pour la première fois depuis bien longtemps puis d'un seul coup s'arrêta et replaça ses yeux noirs comme le néant sur Sandji.
Bien, il était assez bizarre pour lui plaire. Elle ôta sa chaussure a talon haut et posa le gros orteil sur la deformation dans le pantalon de Sandji
"On dirait que tu as très envie de vérifier ce dont je te parlais tout a l'heure."
Elle prit la protubérance a travers le tissu entre deux de ses doigts de pieds et entrepris de le caresser
"Mais si tu veux me prendre."
Elle remit alors sur son dos la blouse d'infirmière et l'enfila avant d'avoir un sourire
"Il va falloir que tu me prenne avec ça."
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C'était trop cruel. Pourquoi Nasira était-elle ainsi avec le pauvre Sandji ? Pourquoi ?
Pourtant ca l'avait amusé, même sans les bonbons il avait l'effet.
Mais non, cette sale blouse était là, cette foutue blouse blanche qu'il haïssait tant...
Regardant la blouse, il regardait à présent Nasira avec horreur et peur. Il avait peur, très peur, il n'avait jamais autant eu peur. Il détestait voir ces blouses blanches, c'était mauvais, vilain, horrible, la plus immonde chose au monde. Pourquoi ça ? Alors qu'il était si content ?
Non, Sandji était un homme, un vrai, il devait faire plaisir à Nasira, parce qu'elle lui avait fait plaisir. Sandji regardait les pieds de Nasira, très troublé.
" Je peut fermer les yeux, pour te prendre ? "
Sandji se trouvait génial. Mais oui, si il fermait les yeux, il verrait rien, et sûrement pas de blouse blanche ! Même si il préférait voir le joli visage de Nasira...
" J'aime beaucoup ta tête, mais la blouse blanche me fait trop peur. Je peux fermer les yeux ? "
Il regardait Nasira d'un air implorant la pitié. Il voulait lui faire plaisir, mais la blouse le repoussait trop.
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Nasira eut un sourire cruel. Il n'avait pas voulu jouer le rôle du docteur, alors autant garder celui de l'infirmière. Elle pouvait voir sans problème pourquoi le personnel médical n'avait pas eu la main leste envers Sandji...Le pauvre. Un si bel esprit, tant d'originalité...Tout ça était gaché par ces gens qui l'empechaient de s'exprimer. Mais plus que tout elle voulait voir cet homme se frustrer, c'était un de ses grands plaisirs dans sa loooooongue vie.
"Non, si tu ferme les yeux je te promet que quand tu les rouvrira, ça ne sera plus moi."
Nasira le regarda avec conviction. Peut être qu'elle bluffait, peut être pas...Qui sait, il avait envie de jouer?Elle lui caressa la joue avec une main tandis que son orteil écrasait le bout de son gland
"Ne soit pas timide mon petit Dingo...Tu sais, ces blouses limitent ta créativité...Tu crois pas qu'il y a tellement de femmes en blanc que tu pourrais prendre si tu ne te limitait pas a ces détails hmmm?"
Fit elle avec douceur avant de répondre d'une voix sulfureuse
"Je ne te fais pas envie?"
Lança Nasira en se léchant les babines
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Pourquoi tant de méchanceté envers le pauvre Sandji ? Il avait été un gentil garçon. Pourquoi cette blouse ? Cette blouse qui l'empêchait de s'amuser ?
C'était trop à gérer pour Sandji, qui en souffrait trop. Il fut pris de hoquet, son rythme cardiaque s'accélérait, et il s'écrasa la tête entre ses mains, serrant les dents.
" Je veux pas fermer les yeux, mais j'ai trop peur... Trop peur... Ils vont me piquer... Me faire mal... Je ne peux pas toucher la blouse... Ils vont me faire mal... "
Le fou était trop concentré sur la blouse. Mais Nasira lui donnait envie, tellement envie, il l'aimait beaucoup, presque autant que sa maman, mais différement, plus fort encore, il la voulait tout pour lui. Non, il ne pouvait pas la rendre triste, si il ne le ferait pas, Nasira ne l'aimerait plus, et Sandji voulait être aimé, c'était un gentil garçon, et on aime les gentils garçons.
Et si il imaginait Nasira sans la blouse ? Ca pourrait marcher.
" Si, je te veut, je te veut ! "
La voir l'exciter comme ça le rendait encore plus fou. Il en avait envie, très envie, son érection dure comme le roc en était la preuve. Il la voulait, tout pour lui, la garder et l'aimer...
D'un coup, le fou se jeta sur elle, et la prit dans ses bras, ses yeux étaient presque exorbités, il serrait les dents tant sa souffrance mentale était grande. Il touchait la blouse, ca allait faire mal, mais il voulait prendre Nasira.
" Je veut te prendre ! Je veut te prendre ! Je vais avoir très mal, mais je t'aime trop, je te veut ! "
Il pressa encore un petit peu sa tête blonde contre la poitrine de l'infirmière, pleurant presque.
" Sandji touche la blouse, il est méchant, méchant... "
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Nasira caressa la tête de Sandji qui venait de faire un gros effort mental pour surmonter la blouse. La sorcière sourit. Ce n'était pas pour rien qu'elle faisait ça...Elle avait de grands projets pour Sandji...De grand projets...Cet homme était une boule de potentialité trop grande pour l'inhiber avec des défauts aussi crétins. Elle lui lança avec tendresse
"Mais, n'as tu jamais pensé que les gens voulaient que tu sois méchant avec eux?Les gens en blancs te disaient que tu était méchant, mais je suis bien une femme en blanc, et pourtant j'aime quand tu es comme ça..."
Nasira eut un sourire et lança avec la délicatesse d'une mère a Sandji
"Tu sais quoi?Tu devrais baiser une de ces femmes en blanc, ça te ferait du bien, moi a part bien sur."
Pauvre pion, il n'était bon qu'a se faire manipuler, et avec ça, il allait surement satisfaire, ou frustrer beaucoup de femmes. Tant mieux...Plus il y aurait acte, et plus sa déesse regagnerais de force.
Oh, et elle s'éclaterais surement bien aussi.
"Hmm?Si tu me satisfait je te récompenserais."
Lança Nasira avec un oeil jaugeur, est ce que Sandji en serait capable?
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Sandji, serré contre le corps de Nasira, voyait encore brouillé par les larmes qui coulaient le long de ses joues. Sandji souffrait de devoir toucher cette blouse, cette blouse interdite qui faisait tellement mal si on la touchait...
Seulement les paroles de Nasira lui firent relever la tête. Oui, Nasira était une femme en blouse blanche, et Nasira lui avait demandé de la toucher, de la prendre, de ne pas avoir peur de la blouse blanche. Elle avait raison alors ? Bien sûr qu'elle avait raison, Nasira avait toujours raison.
[Nasira]: " Tu sais quoi? Tu devrais baiser une de ces femmes en blanc, ça te ferait du bien, moi a part bien sûr. "
Sandji la regarda dans les yeux, étonné. Elle lui avait parlé si gentiment, en lui caressant la tête, alors que d'habitude les gens en blanc le frappaient ou le piquaient. Mais elle non, elle faisait comme sa maman.
Elle était tellement gentille avec Sandji, c'était ça. Nasira était sa nouvelle maman.
" Oui maman, je vais le faire, je vais trouver une femme en blanc et la baiser, et tu sera contente ? Hein ? "
Il la regardait a présent avec une lueur dans le fond des yeux. Comme si un nouvel avenir s'offrait à lui...
" Oui, je veux te faire plaisir ! Qu'est ce que je dois faire ? Dis, et Sandji le fera ! "
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Nasira le regarda avec tendresse...Sandji était un véritable pion qu'elle pouvait manipuler a sa guise, il avait le cerveau d'un petit enfant qui en quelque seconde avec de l'affection et un peu de fermetée l'avait déjà assimilée a sa mère. Nasira lui tapota la tête et lui lança avec un large sourire ambigu
"Rien ne me ravirais plus, dingo."
Fit elle. Dans les jours qui allaient suivre une femme du personnel médical allait avoir de serieux problèmes, et bientôt ça serait toute la branche surement, elle voyait déjà en Sandji un fou insatiable, et elle allait être vite fixée.
A présent Sandji la regardait avec une lueur d'espoir et de joie au fond des yeux, elle n'avais surement jamais vu quelqu'un de plus sincère l'emettre, quand il lui demanda comment elle pourrait lui faire plaisir elle reflechit et lança
"C'est quelque chose que toi seul peu deviner."
Fit elle avec toujours ce sourire Sybillin, honnètement...Nasira pensait que même un fou comme Sandji trouverais, vu la manière dont elle l'avait aguiché ce n'était pas sorcier
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Effectivement, embobiner Sandji avait été un jeu d'enfant pour l'infirmière, sans mauvais jeu de mot.
Il venait de se voir transformé en jouet pour le bon plaisir de Nasira, et bientôt deviendrait une vraie machine à ses commandes. De toute façon, on ne refuse rien à sa mère bien-aimée.
Le regardant avec un air béat et niais, les yeux du fou ne cessaient de fixer le si beau visage de la personne qu'il appellait "maman".
Resserant un peu plus ses bras avec douceur, on sentait une vraie sincérité dans l'amour qu'il proclamait pour cette femme qu'il venait de connaître à peine.
" D'accord, maman. "
Il enleva un de ses bras du dos de sa "mère", et le fit descendre au niveau des fesses, pour ramener le doigt sur l'entrejambe de l'infirmière, et appuyer légèrement dessus avec son index.
" Là ? "
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Nasira eut un sourire de triomphe. Enfin Sandji commençait a agir un peu dans la direction prévue au départ, c'était comme un nouvel appareil, elle devait faire quelques essais pour pouvoir le faire marcher dans la bonne direction. Mais généralement, comme pour tout, elle apprenait vite, elle n'était pas devenue grande prétresse d'Aphrodite pour rien, c'était pour ce genre de capacitées qu'elle était rapidement montée dans les échelons. Elle passa une main dans les cheveux de Sandji.
Maman.
Elle n'avait été qu'une seule fois mère, sous ordre de sa propre déesse. Elle avait enfanté, et élevé avec les autres prétresse un fils sensé devenir le nouvel appollon de Terra. Mais il avait fini par fuir, et Nasira avait connu quelque chose de très agréable, un inceste. Elle avait fait mine d'avoir été forcée, mais en réalitée elle avait attendu ce moment depuis très longtemps. Il aurait suffit d'une simple pensée a Nasira pour anihiler Don et le neutraliser si elle n'en avait vraiment pas envie. Le problème étant qu'elle ne se souvenait pas d'un seul moment de sa vie où elle n'en eut jamais envie et elle avait une mémoire très exacte.
Il la toucha enfin et elle se contenta de lui caresser la tête et de lancer a Sandji
"Il est temps que je te parle de la psychologie féminine dingo."
Fit Nasira tandis qu'elle croisait les bras sur sa poitrine et annonçait
"Les filles n'aiment pas les contacts doux, elles n'aiment pas qu'un homme fasse preuve d'affection, elles aiment qu'un homme soit fort, violent, brusque, evidement, ces pauvres petites sottes n'ont aucune idée de ce qu'est la véritable violence."
Fit elle en lui montrant la prof démembrée puis, elle lui prit le visage entre ses mains
"Il faut donc que tu te comporte en gentlemen, donne leur toute la violence qu'elle veulent, mais ne les mange jamais, c'est compris?Les filles sont très compliquées, quand elles disent non c'est l'inverse qu'elles pensent, et plus elles te diront qu'elles ne le veulent pas, plus tu devra le faire."
Elle caressa la joue de Sandji et lui sussura
"Tu n'aimerais pas qu'elles ne t'aiment pas non?Ni décevoir tes amies...Tu as tout compris?"
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Dans sa tête, si le fou aurait même si que Nasira aurait déjà eu un enfant, il n'aurait jamais fait des rapprochement et aurait considéré ce type comme "son frère". C'était lui qui décidait qui était de sa famille, à qui il obéissait. Et c'était Nasira la chanceuse habilitée à choisir la direction que prendrait le fou, et le hasard fit que le mauvais instrument avait été attribué à la mauvaise personne.
Et cette combinaison allait faire beaucoup, beaucoup de dégâts.
Le fou regardait sa mère lui établir ses règles de la psychologie féminine avec la plus grande attention, il gobait chacune des phrase de l'infirmière comme on donne à manger à un oisillon. Son visage gardait toujours cet air niais d'enfant, un éternel sourire béat sur ses lèvres.
" D'accord, Sandji va faire comme ça, et tout le monde aimera Sandji ! Sandji ne décevra personne, c'est promis ! "
Seulement, pour bien vérifier que l'on a appris la théorie, il faut la mettre en pratique. Poussant Nasira, il la fit basculer contre une table, lui prenant les jambes, et en quelques seconde il se retrouvait avec les jambes de l'infirmière sur ses épaules, comme si il allait soudainement la violer.
" Comme ça, hein ? C'est bien comme ça ? "
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Nasira se fichait pas mal de Sandji, a moins qu'il lui procure un tripple orgasme sur l'heure elle ne le verrait jamais plus en lui qu'un outil. Sandji allait devoir être sacrément doué pour arriver a ce niveau là, mais Nasira ne s'inquiétait pas, si tout se passait comme prévu il arriverais au moins a lui en fournir un, après tout elle n'attendait pas un miracle, un homme capable de lui faire ressentir des choses qu'elle n'avait plus ressenti depuis mille ans avec aucun mortel, il n'était pas encore né. Ou du moins si il était elle le voulait pour elle seule.
Sandji la renversa en arrière et elle lui lança un sourire sarcastique que le fou prendrais surement pour une marque d'affection profonde. Nasira lui lança alors avec un ton légèrement contestataire.
"Non, c'est très mauvais, ce n'est pas bien du tout."
Et maintenant nous allons bien voir si il a compris ce qu'elle lui disait...Si il avait compris il n'hésiterais pas a aller plus loin, car après tout n'avait t'elle pas dit que quand les filles niaient c'était qu'elles aimaient ça? Si il revenait en arrière et la prenait au mot...C'est qu'il n'était pas encore prêt.
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Il était parfois surprenant de constater à quels point certaines personnes pouvaient faire preuve d'une intelligence insoupçonnée, même chez les débiles comme Sandji.
Il avait parfaitement assimilé les directives de celle qu'il prenait pour sa mère, et donc appliquait les conseils à la lettre. Ne le laissant pas berner par ses paroles négatives, le fou ne fit que sourire. Il était dans le bon chemin, il étais donc un gentil garçon.
" Sandji est un gentil garçon. "
Sous-vêtements ou pas, Sandji avait bien dans l'intention d'aller au bout de ses actes. D'ailleurs force étais de constater qu'il ne désirait que ça, au vu de la bosse que faisait son caleçon, aisément visible grâce à la braguette négligemment ouverte de Sandji. Il n'eut pas bien de difficulté à sortir l'instrument, et, dans un sourire confiant, commencer une pénétration pas vraiment douce.
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Pas de fioritures, tout de suite un passage a l'acte. Sandji ne se contentait pas d'essayer de la satisfaire ou quoi que ce soit, il répondait a son propre désir, chose que Nasira avait toujours encouragé, car il en fallait beaucoup pour la satisfaire, et elle ne reconnaissait pas un mâle se parrant de doux atours pour pouvoir mieux la prendre et qui en fait n'arriverait a rien de plus qu'a l'enerver. Il n'y avait pas dans la prise de Sandji le désir brulant de la contenter coute que coute, il n'y avait que le désir de se contenter, bien sur, celui de faire plaisir a cette "mère" comme il l'appellait si bien, mais Sandji avait compris que c'était une permission qu'elle lui donnait et qu'il ne prendrait rien chez elle de force qu'elle ne voulut pas qu'il prenne.
Nasira sourit en se sentant pénétrée par la virilité de Sandji, elle se rapprocha de lui et caressa son visage avec ses doigts qui semblèrent pendant quelques instants être de véritables griffes prêtes d'un simple geste a lacérer le visage de Sandji sans aucun remord. Le fou allait bientôt avoir l'impression se trouver aux prises avec une véritable panthère noire...
Nasira eut un sourire lubrique et descendit sa main le long de sa gorge, arrivant jusqu'au col du vetement du fou qu'elle déchira doucement tandis qu'elle massait son torse
"Oui...Bon garçon..."
Fit elle tandis qu'elle lui pinçait un teton entre l'index et le pouce.
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Il étais vrai que dans son esprit, il n'y avait aucun encombrement moral type comme la plupart des êtres humains ont, c'est à dire: faire l'amour est faire plaisir à l'autre. Non, Sandji lui appliquait la base du pourquoi cet acte existe: l'accouplement pur et simple, animal, sans aucune émotion ou du moins la seule envie de se soulager d'une faim insatiable chez l'homme nommée "sexe", malgré que l'acte en soi n'était que l'acte permettant l'accouplement et donc la prolongation et la survie de l'espèce humaine.
C'était d'ailleurs pour quoi les humains existaient: vivre et perdurer, mais avec son intelligence, l'humain as perdu cette notion et c'est encombré de choses futiles et matérielles dans la vie, comme "l'amour", "l'argent" ou encore la "popularité". Ces choses tellement insignifiante dans le cycle de vie. Ces choses dont Sandji, lui, ne souffrait pas, en contrepartie d'avoir perdu la raison pour en acquérir une autre. Dans un certain sens, Sandji était un être pur. Un être qui n'avait aucun besoin matériel dans la vie, a part ce à quoi l'homme as besoin: baiser, manger, dormir. C'est tout.
Quelle soit douce ou brutale, l'attitude de Nasira était le cadet des soucis de Sandji, qui lui ne prenait aucun ménagement à donner de violent coup de reins et accentuer son plaisir charnel, qui bien entendu croissait de seconde en seconde, son membre de chair s'enfoncant et ressortant rapidement, son bassin claquant contre celle qu'il avait surnommé mère. D'ailleurs, afin de pouvoir y mettre toute la force dont il était capable pour augmenter cette frénésie jouissante, il prit Nasira aux épaules, et recommenca de plus belle, encore plus fort, éméttant de petit gémissement aigus, les yeux éxorbités, sa bouche grimaçante d'un sourire satisfait.
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Un véritable animal qui se déchainait a présent, n'hésitant pas a aller plus fort et plus vite pour la contenter. Nasira ferma les yeux quelques secondes. Sandji ne rencontrait pas vraiment de résistance de sa part, signe qu'elle était surement habituée a ce genre de traitement depuis longtemps, mais retrouver un mâle primaire, un de cette époque a présent oubliée par l'humanitée ravivait en elle une flamme éteinte depuis trop longtemps. Sandji était un être pur, de force pure, car elle était sure que n'importe quelle petite pucelle en chaleur serait en train de crier a la mort en ce moment.
Elle ressentit l'alchimie se refaire, le courrant traverser a nouveau son bassin, la douleur faire place a un plaisir que les siècles d'experiences avaient bridé. Un plaisir certes du a la force brute, mais plaisir quand même.
Nasira poussa un gémissement de plaisir et porta la main a un de ses seins et le malaxa doucement. Il commençait a pousser des petits gémissements qui ressemblaient aux cris d'exitation d'un chihuahua en chaleur...Non...Il fallait qu'elle corrige ce comportement
"Dingo, mon chou. Quand tu prend une fille, comporte toi comme tu le veux, si tu vois qu'elle a peur, fais lui peur, si tu vois qu'elle se bloque fait la réagir. Mais évite de t'abandonner a quelque chose d'aussi ridicule. Même moi j'ai envie de rire là..."
Fit Nasira, continuant a lui parler avec sarcasme même dans cette situation où elle se trouvait a la mercie de Sandji, les jambes grandes écartées sur la table
"Allez, continue, tu es en bonne voie."
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Encore une fois, sa maman ne lui voulait que du bien. Elle savait lui apprendre tout un tas de choses que lui même n'aurait même pas cru apprendre un jour. Comme maintenant, par exemple.
Il s'était arrêté de gémir (ou plutôt de couiner, dans ce cas) sans pour autant arrêter son bassin, étant déjà capable de savoir écouter et assimiler les informations tout en baisant était une prouesse chez Sandji.
Attentionnée, maternelle, intelligente, c'était trois mots que Sandji avait dans la tête pour qualifier Nasira, qui avait su lui offrir une lampe dans la sombre chambre de son esprit perdu. Maintenant, grâce à elle, il avait un nouveau but, au lieu de simplement vivre sans objectif.
Il secoua la tête de haut en bas, souriant d'un air purement niais. Sandji était vraiment quelqu'un d'étrange, comment un être qui se comporte tel un gamin pouvait encore faire ce genre de choses, surtout pour ce qu'il projettait de faire juste après avoir passé le test avec sa "maman".
Mais avec elle, comment réagir ? Elle n'avait pas peur, elle ne bloquait pas, elle ne se lamentait pas, elle ne faisait que le guider et en vouloir toujours et encore plus. Une femme parfaite pour Sandji, à vrai dire. C'était cette attitude qui le rendait encore plus joyeux et hargneux, redoublant d'effort, même de violence, lors du labour de ce que certains appelleraient sa "maîtresse", au vu de son statut dominant. Les jambes de Nasira dans ses mains, il les plaquait contre lui, alors que le bruit du claquement de son bassin contre le bas-ventre de Nasira se faisait encore plus rapide, plus fort.
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C'était bien. Généralement Nasira ne pouvais s'empecher de procurer a ses proies un petit quelque chose en plus pour la rendre plus efficace. Et là peut être que Sandji méritait un petit cadeau non?Quelque chose pour le rendre meilleur...Car Nasira était une eternelle insatisfaite et ne pouvais pas faire grand chose de plus pour se procurer plus de plaisir. Le plaisir que lui donnait Sandji en ce moment était supérieur a l'élève moyen qu'elle capturait ou le professeur qu'elle soudoyait en général. Mais ça n'était toujours pas assez pour une mortelle, enfin plus si mortelle que ça, qui avait gouté aux plaisirs divins. Et Sandji pouvait surement devenir bien meilleur que ça...Voyons voir.
Oui elle avait trouvé.
Se mordant un peu la lèvre pendant que Sandji était concentré sur sa besogne elle se rapprocha de lui, se relevant sans mal pour coller sa poitrine contre le torse de Sandji et ce qu'il avait pris a la base pour des gemissements étranges se revelèrent a portée être de l'étrange babil. Après quoi ses lèvres remontèrent jusqu'a celles de Sandji et elle l'embrassa gouluement, le sang qu'elle avait produit quand elle s'était mordue celle ci alla dans la bouche de son amant.
A ce moment là des connaissances innées dont le fou n'avait jamais espéré comprendre l'existence se transmirent a son cerveau, des positions, du savoir lui permettant comment transmettre le plus de plaisir a sa partenaire ou bien comment au contraire se transmettre le plus ainsi que de nombreuses connaissance a propos du sexe et de ses dérivés se transmirent au fou. Qui gagnait immédiatement l'équivalent subsconscient d'un sexologue diplomé. Après arriverais t'il a l'utiliser de lui même?Son inconscient gérerais la chose.
Nasira trouvait ça bien plus drôle ainsi, ses yeux étaient devenus deux boules blanches sous l'effet de la magie.
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Ce qui devait peut-être faire partie du fait que Sandji était peut-être satisfaisant, c'était qu'il se fichait éperdument de l'état de sa partenaire. La seule valeur qui l'intéressait, après son propre plaisir, n'étais juste que l'estime de l'autre, un peu contradictoire.
Sandji n'avait pas vu sa maman se mordre la lèvre, ni même voir le sang couler. Heureusement, car cela l'aurait probablement perturbé. La tête en arrière brièvement, il se tordait le cou en respirant fort, aussi fort que ses coups de reins pouvaient l'être, eux typiquement bestiaux.
Le baiser de Nasira, en lui même, ne dérangea pas plus que ça le fou. Mais ce fut un goût qui lui fit faire une grimace profondément surprise, voire choquée. Du sang... Un goût qu'il connaissait trop bien. Et peu de gens lui avaient fait goûter ce goût, a part les morts.
Mais ce goût, bien que n'étant pas différent, le lui semblait bel et bien. Ce sang n'était pas normal, le goût, la texture, ce n'était pas la même chose, il était différent. Il le savait, Nasira n'était pas comme les autres, ce n'était pas pour rien qu'il l'avait élue pour mère.
Aucune sensation ne lui parvint, aucun sentiment, a part le fait de trouver ce goût nouveau. Mais bizarrement lui vint une idée, et il prit les épaules de Nasira, la retournant brutalement poitrine contre la table, plaquer ses mains sur le bassin de celle-ci et y aller encore plus fort, les claquement sonores résonnant dans la salle, sous les fortes respirations de Sandji qui transpirait de ses efforts.
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Eh bien c'était déjà tout de suite mieux, elle avait raison de récompenser Sandji pour son travail, on pouvait dire qu'il le faisait avec beaucoup d'enthousiasme, ce que peu avaient réussi a faire jusque là. Et autant elle maudissait les gens qui étaient trop mauvais pour lui donner du plaisir, autant elle récompenser ceux qui étaient assez bon pour la faire monter aux rideaux, chacun son truc. Elle se mit a gémir de plus en plus fort, a présent elle le savait Sandji avait une demi conscience de ce qu'il faisait et il sentait qu'il se ferait plus de bien ainsi, adorable bambin. Nasira le laissa accroitre ses mouvements de bassins
"C'est...Bien."
Fit elle entre deux souffles. Elle commençait vraiment a le sentir venir, ce n'était pas de la jouissance folle, elle était pratiquement impossible a provoquer chez elle, mais jouissance quand même, et elle la sentait venir lentement mais surement
"Continue comme ça mon petit Dingo et aucune fille ne te résistera."
Soudainement Nasira accompagna les mouvements de bassin de Sandji, augmentant d'un seul coup le plaisir déjà exponentiel et elle se sentit rougir tandis qu'elle halletait a présent.
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Si on pouvait parler de conscience. Dans l'état où Sandji se trouvait, c'était presque si il n'était pas qu'un corps qui ne faisait que vivre par pur instinct, sans âme ni couleurs. Mais tant qu'on pouvait faire hurler la sujette, que demander de mieux ? Lui, rien d'autre, il y trouvait son compte.
Le problème dans tout ce joli tableau était que Sandji était beaucoup moins conditionné que Nasira dans ce sujet. D'autant elle commençait seulement à prendre son plaisir que Sandji le sentait monter dangereusement. Et de toute façon, il s'en foutait de savoir si Nasira jouirait avant ou pas, il n'avait même pas conscience de ce genre de choses. Pour lui, jouir était aussi simple et même stupide que de manger ou dormir, ce n'était que quelque chose d'agréable et utile, il n'y avait strictement aucun lien au niveau de la morale dans le fait-même de copuler. Il avait la même pensée que les animaux: s'accoupler est aussi normal que tout le reste, il ne s'encombrait pas de règles comme "amour" pour le faire. Quand il avait envie, il le faisait, point-barre.
Justement, le moment était déjà arrivé. Ecarquillant les yeux, il se mis à aller encore plus fort, s'éprouvant dans les derniers instants, s'aggrippant aux épaules de Nasira alors qu'il se collait à son dos, et dans un soulagement qu'il exprima, il se mit à éjaculer par giclées fournies, alors qu'il ralentissait la cadence mais ne s'arrêtait pas, remplissant doucement le bas-ventre de Nasira, et d'un sourire satisfait se redressa, pour continuer de la tenir aux hanches, et continuer son action.
-
Eh bien eh bien, elle avait espéré que Sandji durerais moins longtemps a vrai dire, mais il semblerait que ça n'avait pas été plus longtemps qu'elle esperait. Il fallait dire que peu de gens arrivaient a consenter Nasira et encore moins peuvent se vanter d'avoir été qualifiés de bon amants (Peu encore en vie actuellement en tout cas.) L'infirmière se cambra un peu en sentant le fou la remplir et sourit. C'était toujours mieux que rien. Elle savait que Sandji se foutait de savoir qu'elle n'avait pas joui, mais ça n'était pas grâve, il était allé plus loin que la plupart des mortels alors qu'il n'avait qu'une experience rudimentaire de la chose. Souriante, Nasira posa ses mains sur les hanches de Sandji également et remonta le long de son torse pour l'attirer précipitament contre elle, le faisant chutter sur le bureau
"Mon petit Dingo...Si jamais tu te sent pris d'un doute sur la marche a suivre, si jamais tu as besoin d'un coup de main un jour passe me voir...Evite de venir quémander du sexe en revanche, trouve tes propres victimes, mon tout petit, et reviens me voir quand tu t'en sentira digne. Je te ferais connaitre des plaisirs au delà de toute raison..."
Fit elle en mordillant l'oreille du fou avant de la mordre avec force, ses dents devenues comme des crocs et ses bras qui entourraient le coup du jeune homme des griffes.
"En attendant soit un gentil garçon, mon tout petit."
Lança Nasira avec délice avant de se relever sans mal et de sortir de la salle de classe, ne se souciant guère de sa tenue
-Hj-Je crois que j'ai rien a ajouter :) tu peux souffler maintenant! :D-Hj-
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C'était le genre de moment calme et serein dans sa vie tourmentée en permanence. Pour une des rares fois, un simple sourire traversait son visage, charmant, et qu'il regardait d'un air serein le ventre de Nasira en haletant un peu, reprenant son souffle après ces exercices physiques.
Il se retira doucement après s'être fait mordre l'oreille. Du rouge avait apparu sur la trace de la morsure, un peu de sang coulait. Mais, alors qu'il restait dans le même état, sans même refermer sa braguette, il l'avait écoutée sans mot dire et d'un coup s'écria:
" Et quand Sandji aura fini de jouer avec tous les jouets ? Maman lui en donnera d'autres ? Sandji devra venir voir Maman ? "
Il y avait un ton un peu paniqué dans sa voix.
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Nasira se contenta de répondre sans daigner se retourner en prenant un certain délice a prononcer chaque mot
« Mon chéri, je jugerais moi même si tu es digne de remettre un pied devant moi. Alors soit sage, obéis a ta mère, et le temps venu ce sera moi qui viendrais te chercher »
Acheva Nasira, sans une once de considération pour ce qu’elle avait crée. Cette indifférence pousserais Sandji a se défoncer au travail et a se surpasser…Et a ce moment là…La sorcière porta les mains a ses lèvres…Mh…Le goût du plaisir charnel…Depuis si longtemps oublié…
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Non, bien sûr, il n'avait pas à s'inquiéter, Maman veillait sur lui. Maman avait toujours été là pour lui. Alors pourquoi changerais-elle ? Sandji as toujours été gentil...
Un sourire démoniaque s'imprégna sur son visage, enthousiasmé par cette mission donnée par Maman elle-même, Sandji comptait bien ne pas faillir au devoir.
Reprenant sa pelle, il passa une main dans ses cheveux, avant d'éclater de rire, son bon rire dément qui lui allait si bien. Il s'approcha de la sortie de la classe, avant de faire un signe de la main vers sa main, souriant de toute ses dents rappellant un piège à loup.
" Au revoir maman ! Sandji va aller jouer ! "
Et il partit en courant dans les couloirs, son rire démoniaque et sadique résonnait encore dans les couloirs d'une école qui venait encore de subir la folie meurtrière de Sandji.