Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Ahri le mardi 16 octobre 2018, 00:02:55
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On pourrait dire, d'habitude, que la vie est quelque peu paisible à Ashnard, ou en tout cas pour moi, à la fois suffisamment isolée de la ville et assez proche pour ne pas laisser échapper les ragots. Mais ce n'étais pas le cas. Aujourd'hui, et ce depuis une bonne semaine, je creusais à même la roche de mon sous sol de nouvelles installations. Je créais en effet une salle ressemblant à un grand bain japonais, à ceci près que c'était plus grand, allant jusqu'à une cinquantaine de mètres de profondeur et que l'eau était salée et entretenue en permanence grâce à un sort au fond de la grande baignoire qui apportait régulièrement de l'eau depuis un plan aquamagique.
Pourquoi je fais tout ces efforts si ce n'est même pas pour moi, me diriez-vous? Eh bien, les rumeurs d'Ashnard parlent récemment d'une capture assez importante de semi-humain aquatique - en d'autres mots, des sirènes – et que le dressage avait touché à son terme. Il me tardait d'aller en acheter une et de tester diverses manière de bondage, le fait de ne pas avoir de jambes pour fermer correctement les liens rendait le tout très attrayant, sans compter ça pourrait faire un bon entraînement avant de trouver une lamia avec qui jouer.
Les préparations étant complètes, j'avais même créé une rampe en guise d'escalier pour aller au sous sol, afin de faciliter les déplacements pour une créature sans jambes, il ne me restait plus qu'à aller chercher mon futur jouet. Après avoir préparé un solide acompte, je me rend dans la capitale. Le point de rendez vous pour l'achat avait déjà été établi à proximité d'un entrepôt médiéval, l'endroit avait toutefois été aménagé pour accueillir correctement les nobles qui se présenteraient. Ma position au sein d'Ashnard est plutôt particulière, étant d'une puissance particulièrement élevée et ayant déjà occis deux nobles en combat singulier, je n'étais pas inconnue, et même mes petits plaisirs étaient connu au sein des esclavagistes de la région, il n'était pas improbable qu'ils m'aient gardé quelques femelles intactes pour que je puisse avoir le choix sur qui briser.
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Il y a quelques jours, j'avais eu bon espoir d'être achetée. Un homme s'était intéressé à moi. Mais suite à la discussion que nous avions eu, je n'avais pas réussi à le convaincre. Il était reparti, et moi j'étais de nouveau en cage. Cela ne m'empêchait pas de rester optimiste. Je ne pouvais pas convenir à tout le monde, c'était normal. J'allais forcément finir par attirer l'attention du maître parfait pour moi. Et jusque là, je pouvais être patiente. Les vendeurs n'étaient pas méchants avec moi, je vivais plutôt tranquillement. Enfin, je n'étais pas maltraitée. Cela était surement dus aux fait que j’était rare comme esclave donc ils ne voulaient pas abimer pour pas faire baisser le prix de la marchandise.
Une petite pensée me vint pour une amie hybride que j'avais. On avait eu l'occasion de se recroiser ici. Mais elle était déjà repartie avec une maîtresse. Elle avait eu de la chance d'être achetée aussi vite. J'espérais que, une fois sortie moi aussi, je pourrais la revoir. Nous ne nous connaissions pas tant que ça, mais je l'appréciais beaucoup. C'était une bonne amie. Les autres esclave, je ne les connaissais pas du tout. On ne prenait pas vraiment le temps de discuter aussi.
C’est alors qu'un vendeur m'emmena à un rendez-vous pour rencontrer une cliente très importante j’avais un bandeau sur les yeux et on m’a ordonné de parler seulement si on me posait une question. Une fois que le vendeur stoppa, je compris que nous étions arrivée.
“Bonjour. Voici l'esclave la plus unique que nous avons actuellement “