Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Discussion démarrée par: Doutzen Kroes le dimanche 19 août 2018, 22:10:16

Titre: L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le dimanche 19 août 2018, 22:10:16
Ce RP est la suite du RP « Deal (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=20464.0) »

« Mes chers élèves, nous accueillons aujourd’hui en notre sein une nouvelle élève ! Alors, saluez bien fort Alix Sable ! »

Les élèves, qui s’étaient tous levés, saluèrent d’une voix forte et unanime la jeune femme. Avec son allure de garçon manqué, Alix perdait néanmoins de son caractère menaçant dans son sailor fuku sur mesure. Dans son dos, Myumi Ichtora (http://img99.xooimage.com/files/5/e/3/16-434035a.jpg), sa pulpeuse professeur de mathématiques, et accessoirement sa professeur principal, lui sourit gentiment, et, preuve de la grande familiarité dont la femme faisait preuve, posa ses mains sur les épaules d’Alix, avant de désigner du nez une place à côté de Doutzen Kroes.

« Va là-bas, trésor... »

Alix ne put que rejoindre Doutzen, qui lui sourit tendrement. Alix avait une place contre le mur, avec une fenêtre donnant sur l’une des cours du lycée. Les élèves se rassirent ensuite, et Doutzen sourit doucement à Alix, et posa sa main sur sa cuisse.

« Pas trop nerveuse, ma belle ? Tu as l’air un peu tendue... » se moqua gentiment Doutzen.

Peut-être était-ce le fait d’entamer sa première journée de cours... Ou bien était-ce le plug anal que Myumi et Doutzen lui avaient glissé ce matin, ou les ventouses sur son chibre ? Après tout, cette première journée se devait d’être mémorable, et, très moqueuse comme à son habitude, Doutzen ouvrit sa trousse, lui présentant la télécommande située à l’intérieur. Un appareil qui devait maintenant terroriser Alix, puisqu’il faisait fonctionner les ventouses, et que ces dernières émettaient des vibrations destinées à la masturber. Une terrible invention que Myumi avait utilisé sur Alix, en lui expliquant qu’il s’agit d’une technologie particulière que sa mère utilisait pour améliorer l’endurance sexuelle de ses partenaires et esclaves masculins.

Il y a de cela quelques semaines, Alix avait conclu un deal avec la famille Kroes, une mafia russe qui sévissait à Seikusu. Toutefois, le deal avait évolué après sa séance avec Doutzen Kroes. Depuis lors, Alix était devenue l’esclave sexuelle de Doutzen. Elle avait ainsi pu venir emménager dans la maison de Doutzen, un beau manoir japonais au cœur de la ville, tandis que Doutzen avait rencontré ses contacts au lycée pour inscrire Alix. Elle serait toutefois une lycéenne très particulière, car son seul et unique but serait d’être l’esclave sexuelle de Doutzen et de ses amies. Pour cela, la belle blonde avait tout prévu, et s’était adjointe l’aide de l’une des professeurs les plus perverses de tout l’établissement : Myumi Ichtora. Ayant pour mère une succube, Ichtora-sensei n’était pas une femme à négliger, mais elle avait surtout passé ces dernières semaines à enseigner à Alix les rudiments de l’enseignement : la lecture, l’algèbre, etc... Alix était obligée de se former, et passait tout son temps à faire des exercices, pour que Doutzen joue ensuite avec elle le soir.

Au bout de plusieurs semaines, le dossier scolaire avait été bouclé, et Alix pouvait donc entamer sa « rentrée »... Sans avoir d’informations certaines sur ce que Doutzen lui préparait, mais en pouvant tout de même se douter que sa première journée allait être des plus mémorables...

Et, pour le prouver, Doutzen avait sorti la télécommande, s’amusant à jouer avec, une lueur malicieuse dans le fond des yeux...
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le mardi 21 août 2018, 14:14:13
Cette rentrée ne m’inspirait pas beaucoup. Compte tenu des dernières semaines où j’avais passé mon temps à me battre avec d’abominables exercices scolaires, et à me faire tripoter par un professeur particulier… Non, décidément, lorsque je passais les grilles du lycée Mishimachin, impossible de me souvenir du nom correct, j’étais pleine d’appréhension. D’une parce que je venais juste d’apprendre à lire correctement, mais surtout à écrire, et franchement je n’étais pas du tout sûre de moi. Et à l’âge où j’étais, tout le monde savait lire et écrire depuis longtemps, non ?
Bref, c’était un peu humiliant de ramer sur ce genre de choses. Deuxièmement… Putain, mais c’est quoi cette uniforme ? Je marchais dans les couloirs propres en souliers cirés et une jupe. Une jupe ! Bordel ! Jamais je n’aurais cru devoir mettre une fichu jupe comme une pimbêche bourgeoise, et je maudissais le dingue qui avait inventé un uniforme pareil. Enfin, ma tenue n’était pas réellement ma préoccupation principale alors que j’entrai dans la classe qui allait m’accueillir toute une foutu année.

Ce qui arrive à mon troisième point : Je suis entourée de perverses. Doutzen, ma maitresse, je m’y attendais de sa part, mais elle m’avait déjà fichu dans les pattes d’un professeur perverse, cette Myumi. Celle-ci m’avait non seulement enseigné, mais s’était bien amusée à me coller un fichu plug dans mon pauvre petit cul, sans parler de cette invention diabolique à base de ventouses sur ma queue. Franchement, à m’incliner devant la classe, c’était une torture.

« Oui, M-… Senseï. » Corrigeai-je à temps en allant m’asseoir à côté de Doutzen.

Ah, la déformation du langage. Je m’assis avec un luxe de précaution, la faute à ce plug, plutôt carrément mal à l’aise à l’idée que les gens de la classe puisse comprendre ma situation. Il faut bien avouer que ces dernières semaines, et la situation dans laquelle je m’étais moi-même mise, était plutôt excitante. Mais tout de même. Si jamais j’avais une érection, là maintenant, aucune chance que la jupe la dissimule.
Autant dire que j’étais à la merci de Doutzen. Évidemment, ça stimulait inévitablement mon côté soumise, mais je n’étais pas une fichu exhibitionniste tout de même ! Déjà que Myumi scrutait mes réactions, je n’avais pas envie que pour ma première journée, tous les autres élèves apprennent que je me baladai le cul écartelé par un jouet. Quoiqu'il en soit, j’appréhendai réellement les intentions de ma maitresse, qui n’était jamais à court d’idées pour me tourmenter.

« Tendue, c’est le mot… » Murmurai-je à Doutzen, plutôt de mauvaise humeur et nerveuse.

Comme une élève classique, et comme j’en avais désormais l’habitude, je sortis mes affaires en lorgnant nerveusement sur les mains de Doutzen. Cette connerie de télécommande. Elle n’allait pas oser dès la première heure de classe… Elle en était bien capable pourtant ! Si jamais ma maitresse activait les ventouses à ce moment là, j’étais certaine de me taper un barreau pour le reste de l’heure.
Déjà que c’était vraiment limite à ce moment-là. Hé ouais, malgré ces dernières semaines, j’étais toujours aussi sensible quand on touchait à mes fesses, alors ce plug qui me malaxait, c’était ma limite. Je sentais déjà des picotements dans le bas-ventre. D’un coup, j’eus chaud. Je passais une main sur mon front, essayant de me concentrer sur le début du cours plutôt que sur cette épée de Damoclès prête à me tomber sur le coin de la figure.

« Maitresse… » Lui chuchotai-je discrètement. « S’il vous plait… Pas dès le début du cours… »
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 27 août 2018, 00:55:10
Doutzen savait qu’Alix avait un gros fantasme, quelque chose qu’elle adorait : tout ce qui avait trait à l’anal. Une sorte de faille dans sa cuirasse de garçon manqué, et qui l’amenait très souvent à perdre le contrôle... Sans compter que Doutzen aimait bien la pousser dans ses derniers retranchements. Reto Kroes, son père adoptif, avait visiblement accepté sans peine le changement d’orientation d’Alix. Il n’était désormais plus question de l’utiliser comme esclavagiste, mais bien comme amante de Doutzen. Un statut un peu particulier dans un clan qui l’était tout autant. Reto était un membre de la Mafia russe, quelqu’un qui n’hésitait pas à abattre les gêneurs ou à les torturer. Au moins avait-il l’honnêteté de ne pas prétendre agir au nom d’un quelconque code d’honneur. Doutzen avait expliqué à Alix qu’elle avait un statut très particulier. Elle était le « petit Chaperon rouge » de Reto, chargée par lui d’utiliser son corps et ses charmes pour séduire les cibles de Reto. Des adversaires, des opposants potentiels... Elle obtenait des éléments sur eux, des moyens de faire pression, et les faisait chanter. C’était pour ça que Reto la formait sexuellement, avec l’aide d’une femme russe. En un sens, rejoindre Mishima avait été pour Doutzen une véritable aubaine, car cela lui avait permis de croître, de voir son désir sexuel augmenter considérablement, ainsi que son expérience en la matière.

La jeune Alix était donc là, dans une belle jupe, et Doutzen gloussa devant sa réaction, son regard se rivant sur l’arme mortelle que la jeune femme tenait entre ses doigts : la redoutable télécommande. Son pouce glissa doucement le long du bouton, tandis qu’elle réfléchissait au meilleur moyen de l’utiliser sur le corps d’Alix.

« Hum... Je ne sais pas, j’hésite. Tu sais, tu es beaucoup moins impressionnante dans ton sailor fuku, Alix... »

Elle ressemblait à une belle jeune fille avec ses cheveux bleus. Sans le sweat à capuche et le jean troué, forcément... Doutzen, de son côté, se pinça les lèvres par malice, et, au même moment, Myumi annonça plusieurs exercices à faire en trigonométrie. Doutzen ouvrit le cahier pour découvrir l’exercice cauchemardesque (http://img110.xooimage.com/files/0/9/c/trigonometry-54f85ed.jpg). En l’état, il était absolument impossible qu’Alix, qui commençait à peine à savoir lire, et à apprendre ses tables de multiplication, le réussisse. Doutzen, de son côté, ne rencontrait pas les mêmes difficultés, car elle avait toujours été éduquée, et avait suivi les cours. De plus, elle n’était pas qu’une jolie blonde, la femme était aussi très intelligente.

En fait, cet exercice n’était qu’un prétexte idéal, non pas pour humilier Alix, mais pour la torturer. C’était vil, certes, mais Doutzen n’était pas la Maîtresse pour rien.

« On va faire très simple, ma chérie... J’utiliserai ce petit gadget sur toi à chaque fois que tu trébucheras devant un exercice. Considère ça comme un petit plus pour t’améliorer dans ta formation... »

Ou juste un prétexte idéal, mais ça, Doutzen ne comptait pas le dire ! Ce qu’Alix devait sûrement savoir, c’est que, quand Doutzen avait une idée vicieuse en tête, lui demander de ne pas le faire était précisément le meilleur moyen de l’amener à le faire. Et puis, dès le début, Doutzen avait dit à Alix qu’elle ne rejoignait pas le lycée comme une lycéenne normale. Tout ça n’était qu’une couverture, un manège. Son véritable rôle ici, c’était ce qu’elle s’était engagée à être : son esclave sexuelle.

Doutzen appuya donc sur le bouton.
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le jeudi 30 août 2018, 15:35:47
Ce cours promettait d’être une véritable traversée de l’enfer. Pourquoi avais-je signé pour cette galère ? A chaque fois que je me posais cette question, je me rappelai notre grandiose soirée où Doutzen m’avait retourné dans tous les sens, pour finalement jouer sur mes fantasmes et me faire accepter ce deal. Cela m’avait paru une bonne idée sur le coup. Là, avec ce jouet dans le derrière et ces ventouses sur la queue, l'idée me semblait beaucoup moins bonne.

Je n’allais tout de même pas commencer ma toute première année scolaire par une humiliation publique ! Quoique, à bien y réfléchir, tout était de ma faute. Parce que je l’avais accepté, et parce que quelque part… Ça m’excitait plus que de raison. Respire Alix, respire ! Le tout est d’éviter d’avoir une érection fulgurante, sans quoi cette petite robe d’écolière n’allait sûrement pas être capable de dissimuler ma trique. Quant à appeler la senseï au secours, ce n’était évidemment pas une option.

*Pense à quelque chose de pas sexy… Quelque chose, hmm… La vieille qui habite à côté de chez moi… Voilà… Ça s’est pas sexy…*

C’est avec légèrement plus de sérénité que j’ouvris mon cahier d’exercices, pour la perdre presque aussitôt. Je marquai un long d’arrêt. Etait-ce une formule magique ? Un pentacle d’invocation démoniaque ? Comment étais-je sensée comprendre un seul mot de cette horreur ? Les trois quart de ces sigles et de ces termes m’étaient inconnus. La simple lecture d’un article de journal me prenait un temps fou, avec une migraine hallucinante à la clé.

« Mais… Maitresse… Je ne peux pas faire ce… truc. »

Un complot ! Soit cela venait de Doutzen, soit c’était un coup de la senseï qui m’avait délibérément collé cet exercice sous le nez en sachant parfaitement que ce n’était pas dans mes moyens. Je trouvais que mes progrès en matière d’écriture et de lecture étaient déjà notables, mais là, on sautait carrément des étapes ! Ou alors, j’étais simplement en train de me faire avoir par ma maitresse. Encore une fois.
Pari gagné. Même pas le temps de protester que les redoutés ventouses commencèrent à vibrer sur mon pauvre sexe. C’est horrible. Les vibrations se répercutaient jusque dans le plug fiché dans mon petit cul, amplifiant encore davantage les sensations. Bien entendu, j’aurais dû m’en douter ! Mon engagement dans ce lycée n’était qu’un prétexte pour servir de petit animal de compagnie à Doutzen, et cet exercice n’était qu’une excuse de plus.

« A-atte-… AAAAAAH ! »

Surprise et incapable de me retenir, je poussai un cri à peine étouffé par ma main. Instantanément, toute la classe se tourna vers moi, et mon visage rubicond. Je serrai les jambes pour masquer juste à temps mon érection, et jetai un coup vers le visage de la senseï. Evidemment, ma réaction l’enchantait ! En attendant, je cherchai désespérément une justification pour ce cri inattendu avant que l’on se moque de moi.

« Je… Euh… Excusez-moi, je me suis… pincée avec les ciseaux. » Déclarai-je en gardant une main sur ma trousse, l’autre sur ma jupe.

Heureusement que les mensonges sont mon point fort ! Je me mordis discrètement la langue alors que cet abominable objet de torture aggravait mon érection. En serrant les cuisses, pensai-je, ça devrait aller jusqu’à la fin du cours, le tout est de ne pas jouir. Je me trémoussai sur ma chaise, essayant de conserver un air neutre malgré mes joues rougies et les murmures autour de moi. Avec ma facilité à mentir, c’était encore jouable ! Encore fallait-il que Doutzen ou sa complice n’empire pas ma situation déjà précaire.
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le samedi 08 septembre 2018, 15:32:14
Quand Alix avoua son impuissance, Doutzen esquissa un léger sourire moqueur, ses yeux se mettant à briller malicieusement. Était-ce si surprenant ? La véritable surprise aurait été, au contraire, qu’elle trouve comment réussir ce périlleux exercice de trigonométrie ! Doutzen sourit donc quand Alix confia son échec, et hocha la tête.

« C’est évident. Tu n’es pas ici pour étudier, Alix, mais pour être ma petite esclave. Tu as oublié ? C’est notre deal… Et il commence… Maintenant ! »

C’était elle qui avait souhaité un deal à temps complet, être le plus possible l’esclave de Doutzen Kroes. Elle seule. Doutzen ne faisait qu’accomplir sa volonté, et, bien sûr, elle y prenait aussi son pied. Doutzen avait très souvent été à l’inverse d’Alix, subissant des cours de formation et d’endurance sexuelles. Tout avait été fait pour qu’elle devienne une amante redoutable, et, maintenant qu’elle avait enfin l’occasion de se venger, d’inverser la vapeur, elle comptait bien la saisir ! À aucun moment, Doutzen n’avait inscrit Alix dans l’espoir qu’elle puisse y faire quelque chose de normal. Elle n’était là que pour être l’esclave sexuelle de Doutzen et de ses amies, et, à ce titre, la jeune femme avait prévu tout un programme, qui se dévoilerait au fur et à mesure. Pour l’heure, elle symbolisa la première étape de leur relation… En appuyant sur la télécommande.

Les ventouses s’activèrent alors, diffusant des ondes, tandis que le plug anal se mit à vibrer, remuant dans le cul de la jeune femme, tournoyant sur place, comme une toupie furieuse qui continuerait à tourner tout en se cognant aux parois. Las, Alix avait encore besoin d’entraînement, car, dès que les appareils se mirent en place, elle se mit à hurler, amenant les regards à se tourner vers elle. Myumi interrompit même son cours, et, toute penaude, Alix avoua s’être pincée avec les ciseaux.

« Oh… Ma pauvre chérie ! » s’exclama Myumi.

Elle se rapprocha de nous rapidement. Ichtora-sensei était toujours assez proche de ses élèves, tranchant fortement avec le caractère solennel et très formalisé de l’institution scolaire japonaise, qui était encore très verticale. Elle nous rejoignit, et attrapa la main d’Alix, pour constater, bien rapidement, que ses doigts étaient parfaits. Néanmoins, Ichtora-sensei, qui était dans le coup, y vit l’occasion d’offrir à Doutzen l’occasion de tourmenter un peu davantage Alix :

« Ça a l’air de rien, mais il ne faut pas jouer avec ça. Kroes-san, puisque tu es la déléguée de classe, conduis Sable-san à l’infirmerie, d’accord ?
 -  Oui, sensei ! »

Doutzen se leva donc, et incita Alix à la rejoindre. Les deux filles sortirent donc, et Doutzen marcha devant, sans toutefois prendre la direction de l’infirmerie. Ses pas étaient légers, tandis qu’elle regardait à droite et à gauche, restant volontairement silencieuse. Dans ce genre de situations, il était préférable de laisser l’imagination d’Alix prendre le dessus, qu’elle envisage ce qui pourrait lui arriver, ce à quoi Doutzen pouvait songer en ce moment. Puisqu’il était évident que le séjour à l’infirmerie était du pipeau, c’était donc nécessairement que la belle blonde avait un autre projet.

La jeune femme s’arrêta à un moment, au milieu du couloir, et se retourna vers Alix.

« Bon, alors… Je croyais qu’Ichtora-sensei t’avait entraîné mieux que ça… Si tu te mets à hurler à chaque fois, tu ne risques pas d’être une très bonne esclave, tu sais ! »

N’importe qui pouvait ouvrir une porte et les surprendre. Pour autant, Doutzen poursuivit, en regardant la jupe d’Alix, puis se baissa brusquement, et tira sur cette dernière, libérant sa trique.

« Hmmm… Tu as de la chance d’avoir une Maîtresse gentille, Alix… Vraiment beaucoup de chance ! »

Elle caressa alors ce membre avec sa main, puis alla le prendre ensuite en bouche, venant pomper son dard, là, au beau milieu du couloir…

C’était à se demander si Doutzen avait la moindre pudeur !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le lundi 17 septembre 2018, 15:11:38
L’erreur fatale ! Je n’étais pas encore complètement rôdée aux perversités de Doutzen, et voilà que ça me valait déjà d’être mise dans une situation compromettante dès le premier jour. La première heure même, bordel ! Mais avais-je vraiment eu la moindre chance dès le début ? J’avais signé ce deal, et même si je regrettai parfois, j’étais quand même bien coincée entre cette perverse blonde et cette Myumi. Bon, honnêtement, une part de moi le réclamait aussi, je dois bien le dire.

L’excuse des ciseaux se retournait évidemment contre moi, j’aurais dû m’en douter, et c’est très mal à l’aise que je quittai la salle, masquant de justesse une érection naissante. Putain de jupe d’écolière. Ce tissu se soulevait au moindre courant d’air, alors évidemment que masquer une trique là-dessous, n’était pas une mince affaire lorsque je suivis Doutzen hors de la classe. Marcher avec ces vibrations dans mon pauvre petit cul était un vrai supplice, et j’accueillis la fraicheur du couloir avec un vrai soulagement.

*Putain ce silence me stresse… Mais si j’dis un truc, ça va me revenir dans la figure… Ou dans l’cul, c’est plus probable.*

Doutzen ne disait rien ! Pourquoi elle ne disait rien ?! C’était horrible ce silence, comme si les couloirs du lycée résonnaient des bzz bzz produits par les ventouses sur mon barreau. Un cataclysme allait me tomber sur le coin du nez, j’en étais fondamentalement convaincu, et ce de plus en plus en réalisant que nous n’allions même pas à l’infirmerie. Qu’allait-elle me demander de faire ? Ou plutôt qu’allait-elle me faire ? Je fixai le dos de ma maitresse quand celle-ci s’arrêta brusquement, faisant bondir mon cœur dans ma poitrine.

« Bah j’suis désolée, hein, c’est mon premier jour !... Heum, maitresse… » M’écriai-je en répliquant.

Décidément, j’avais vraiment beaucoup de mal à m’habituer à ce nouveau langage, cette manière de parler avec révérence à cette peste blonde. Dire que je l’avais enculé bien fort, pensai-je, j’aurais peut-être mieux fait de m’y tenir ce jour-là. En attendant, une goutte de sueur dévala mon dos en me rendant compte que nous étions en train de discuter de soumission sexuelle au beau milieu du couloir.

« Mais je… Hé ! » La voilà qui tire ma robe et ma culotte, faisant surgir mon sexe raide. « Mais merde… J’veux dire, maitresse, pas ici ! Y’a des gens qui vont finir par arr…Aaah… Ah. »

Pas facile d’argumenter quand la main chaude et douce de ma maitresse se met à astiquer ma queue sans tenir compter de mes protestations. Pas que ce traitement de faveur soit désagréable, surtout lorsque Doutzen se mit à me sucer sans crier gare, mais je n’avais aucune fibre exhibitionniste. Et nous étions en plein du couloir ! Dans le lycée ! Bordel ! Si jamais quelqu’un se pointa, on nous verrait, moi la jupe et culotte baissée avec un plug dans le cul, en train de me faire pomper par une autre lycéenne.

« Maitresse… Aaah… S’il vous plait… Quelqu’un va arriver… »

Tu parles. Des protestions entrecoupées de gémissements lubriques, ça n’était pas très crédible, sans parler que ma queue dégoulinait déjà de plaisir face aux lèvres expérimentées de Doutzen. De toute façon, quand elle avait une idée en tête ma maitresse, autant hurler dans un tonneau, ça ne changeait rien. Quoiqu’il en soit, je plaquai ma main sur ma bouche, histoire de ne pas échapper un couinement plus fort que les autres, au risque d’aggraver notre situation.
Avec du bol, personne n’allait se pointer. Enfin, la chance et moi... L’angoisse de se faire surprendre m’empêchait de jouir sur l’instant, mais avec l’excitation croissante de cette situation, et les vibrations dans mon derrière, ce n’était qu’une question de seconde.

Et pourtant, je ne saurais dire s’il s’agissait de mon imagination, j’eus la nette impression d’entendre des pas venir dans notre direction. Non pitié, pensai-je, pas ça dès le premier jour…
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 24 septembre 2018, 01:22:47
Alix avait sans aucun doute dû entendre parler des lycées et, plus généralement, des établissements scolaires lors de son arrivée sur Terre. Avait-elle aussi entendu parler de la réputation sulfureuse du lycée ? Il suffisait d’aller sur Internet, de taper « lycée mishima » sur Google, pour voir une série d’articles, de blogs, de reportages... Le lycée avait déjà fait l’objet de plusieurs poursuites judiciaires, et il y avait même une association locale, d’origine chrétienne, qui militait pour la fermeture du lycée, affirmant que certains professeurs étaient d’anciens psychopathes américains qui utilisaient des drogues végétales pour asservir leurs élèves. D’autres histoires plus rocambolesques parlaient même de tentacules végétaux qui avaient une fois recouvert tout le lycée ! Que ce soit vrai ou non, la vérité était que le lycée Mishima ressemblait davantage à une couverture dissimulant des activités sexuelles intenses. Outre les élèves normalement inscrits, il y avait aussi toute une liste d’élèves particuliers. Mélinda Warren, ou plus récemment encore, une certaine Desmina, sans parler de certains professeurs n’ayant aucun cours sur le planning officiel... Doutzen elle-même ignorait les secrets profonds du lycée Mishima. Ce qu’elle savait, en revanche, c’est qu’elle aimait la queue d’Alix, et qu’elle s’amusait de son émoi.

Agenouillée devant elle, Doutzen prenait son dard. Elle avait senti très rapidement sa belle érection quand elle avait abaissé sa jupe. Alix avait beau être gênée, la jeune femme rebelle ne pouvait pas lutter contre les pulsions remuant en elle. Alix allait y prendre goût, et elle allait vite comprendre qu’au lycée, l’exhibitionnisme était une chose très particulière.

« Hmmm... »

Doutzen soupirait doucement, amusée par son trouble, et releva les yeux, croisant le regard de la jeune femme, qui s’appuya contre le mur. De l’autre côté de ce mur, il y avait une salle, une salle où des élèves travaillaient, comme dans n’importe quelle salle... Doutzen gémit encore, tandis que des bruits de talons claquèrent dans l’air. ERn tournant la tête, Alix vit ainsi une femme remonter le couloir... Et leur sourit.

Youko Serimiya (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1729435) portait une belle paire de lunettes, mais avait surtout troqué son uniforme scolaire pour une étonnante robe noire moulante en latex, avec des collants et des gants longs. Elle les observa brusquement en clignant des yeux, et sourit alors. Même vue de devant (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1729438), Youko restait somptueuse, et était, au lycée, une élève assez intelligente, une grosse tête qui avait d’excellentes notes... Et qui aimait visiblement se promener dsans les couloirs sur son temps libre.

« Que... Qu’est-ce que vous faites là... ?! »

Youko s’appuya contre la porte de la salle de cours, et se pinça les lèvres. Alix put alors voir, en regardant bien, des traces de mouille s’échapper de sa jupe, tombant sur le sol. Elle portait, sous sa tenue, une belle culotte noire avec des vibromasseurs qui s’enfonçaient dans sa chatte et dans son fondement.

« Bon sang... D-Doutz’-chan... ? »

Youko se pinça les lèvres, en étant à quelques mètres des deux filles. Doutzen la connaissait plutôt bien, puisque Youko était, comme elle, une déléguée de classe. Doutzen libéra alors la queue d’Alix de ses lèvres, et la masturba pendant quelques secondes.

« Youko... Je te présente mon esclave, Alix-chan... Comme tu vois, je m’occupe de l’entraîner. Et toi, tu t’amuses bien ?
 -  Hmmm... Ouais, haaaa... Je... Je dois porter cette culotte toute la journée, haaaa... »

La scène était tout simplement surréaliste. Doutzen avait après tout prévu Alix...

Le lycée Mishima n’avait rien à voir avec les lycées ordinaires !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le mardi 25 septembre 2018, 18:46:56
Etait-ce le bruit de talons claquant sur le sol, ou bien simplement les battements affolés de mon cœur qui résonnaient à mes oreilles ? J’étais bien en peine de faire la différence avec la panique qui me gagnait. Un affolement franchement déplacé quand, avec le deal signé avec Doutzen, j’étais certaine que ce genre de situation très gênante allait m’arriver tôt ou tard. Finalement, c’était tôt. Que ma maitresse ait entendu ou non le bruit de pas, cela ça n’avait même pas l’air de la gêner !
Adossée au mur, la queue bien dressée et actuellement dans la bouche de Doutzen, je ne savais pas ce qui allait céder en premier : l’orgasme, ou bien l’arrêt cardiaque. Mes pommettes devaient afficher un rouge écrevisse à l’idée qu’inévitablement, quelqu’un allait, une élève ou un professeur, nous tomber dessus en pleine acte lubrique. C’était déchirant. Ce sentiment d’angoisse auquel s’ajoutait une excitation irrépressible, impossible à refouler tant parce que ma maitresse savait sucer, mais aussi du fait du gros plug fourrageant mon derrière.

« Oh bordel, maitresse… Y’a quelqu’un… »

Et paf, ça devait arriver ! Dans un hoquet de surprise, je vois une silhouette féminine descendre le couloir à notre rencontre, tandis que ma maitresse, mon sexe dans sa bouche, ne s’en préoccupait nullement. Mais merde, elle n’allait même pas tourner la tête ! Et j’eus beau regarder en tout sens, aucune échappatoire, aucune justification n’était possible, jusqu’au moment où l’inconnue s’arrêta net devant le spectacle que nous offrions.
Elancée, très belle, avec une somptueuse chevelure brune (ma préférence), je crus d’abord à un professeur car au lieu de l’uniforme habituelle, elle portait une robe noire très moulante, et passablement étrange. Suspecte même, ça me rappelait la tenue de ma maitresse la fameuse nuit où… Et étais-je en train d’halluciner, ou bien était-ce de la mouille qui s’écoulait paisiblement le long de ses cuisses ? Un instant estomaquée par la rencontre, la demoiselle était superbe après tout, je restai bouche bée, ses questions traversant ma cervelle sans déclencher de réponse.

« Euh… Je… » La présentation rapide de Doutzen me força hors de mon apathie. « Salut… »

Réponse aussi bête que pouvait l’être mon air. En même temps, ma maitresse était justement en train d’astiquer mon sexe raidi d’une main vigoureuse, et il m’était très difficile de maintenir une attention soutenue. Et voilà qu’on nous observait ! L’inconnue s’appuyait sur le mur, et nous regardait avec un air intriguant, à la fois intéressée et excitée.
Quant à moi !... Moi j’avais bien du mal à détacher mes yeux de ses jambes luisantes, alors que des gouttes transparentes y courraient. L’imagination est le pire des stimulants. A la simple idée qu’il s’agissait de mouille, et qu’elle puisse cacher je ne sais quoi sous sa robe, je sentis mon sexe se tendre d’un coup. Dans un petit cri de surprise, plus discret que celui en classe, j’eus un orgasme soudain, éjaculant copieusement sur la main de Doutzen contre ma propre volonté.

« Aaah… Oooh… Mai… Oups… ! Aaah… »

D’épais filets de sperme continuaient à s’écouler depuis mon sexe sur le ravissant poignet de ma maitresse, et je sentis des spasmes menacer de faire céder mes jambes. Sans l’aide du mur, je me serai laissé tomber à terre, la langue pendante, comme la dernière des esclaves. Franchement, cet orgasme m’avait prise par surprise mais qu’y pouvais-je ? Entre Doutzen, le plug dans mon derrière, et cette inconnue en train de nous observer, c’était trop pour moi !

« J’suis désolée maitresse… Pas vu venir… » Concluais-je dans un souffle.
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 01 octobre 2018, 01:07:29
Pauvre Alix ! Elle avait débarqué ici, dans ce lycée, sans la moindre préparation préalable. Alix était maintenant vaincue, soumise à Doutzen, qui continuait à la masturber, sous le regard amusé de Youko. Celle-ci souriait lentement, observant la scène. Alix n’arrivait plus à se retenir, bandant bien dur, ce qui amusa sa jeune Maîtresse. Était-ce la présence de Youko qui l’excitait à ce point ? Doutzen commençait à bien connaître la queue de sa jeune partenaire, à tel point qu’elle sentit que cette dernière approcha de l’orgasme. Bien sûr, elle aurait pu se retenir, faire prolonger le plaisir, mais, maintenant que Youko était là, qu’elle avait du public, Doutzen ne pouvait pas s’arrêter en si bon chemin ! Alix se mit donc à jouir, éclaboussant la main de Doutzen, le sperme remontant sur le poignet de Doutzen. Des projections de sperme filèrent en l’air, éclaboussant le ventre d’Alix, remontant en l’air. Souyriant doucement, Doutz’ retira sa main, laissant Alix reprendre ses esprits, tandis que Youko souriait doucement, observant le duo avec amusement.

« Désolée ? Tu es souvent désolée, Alix... Mais je crois surtout que la présence de notre invitée t’a mise dans tous tes états... »

Doutzen sourit à nouveau, malicieusement, et se redressa lentement, tandis que Youko se rapprochait une nouvelle fois du duo. La main gantée de la belle lycéenne caressa le visage d’Alix, puis descendit ensuite sur son ventre, recueillant quelques dépôts de sperme le long de ses doigts. Elle alla ensuite les avaler doucement, puis se pencha encore, et embrassa brusquement Alix, collant ses lèvres contre les siennes pendant quelques secondes.

Youko faisait preuve d’une renversante familiarité, et elle avait sur elle un parfum des plus agréables, une odeur délectable qui devait ravir les narines de la jeune femme hermaphrodite.

« Ton esclave est plutôt timide, c’est son premier jour ici ?
 -  Tout à fait. Il faut bien commencer un jour, non ?
 -  Oui... Je suppose que oui. »

Un nouveau sourire pervers éclaira les lèvres de Youko. Cette jeune fille avait vraiment tout de la petite élève intellectuelle parfaite, avec les lunettes, le visage ovale, et une allure de sainteté s’affichant sur la figure. Qui aurait pu croire que, sous ses airs, Youko se baladait dans les méandres du lycée Mishima avec tout un assortiment moulant en latex ? Youko était pourtant là, s’amusant au contact du corps d’Alix. Mine de rien, les hermaphrodites avaient une certaine côte au sein du lycée, et sa main gantée caressait à son tour le sexe de la jeune femme.

Si proche d’elle, Alix pouvait entendre les soupirs de Youko. La jeune femme se pinçait parfois les lèvres, quand le gode vibrant lui arrachait des frémissements de plaisir.

« Et... Le lycée te plaît, hmmm... ? J’espère que tu comptes la partager, celle-là, tu lui as dit qu’elle rejoignait une grande communauté, n’est-ce pas ?
 -  Oh, mais bien sûr... Et puis, ma petite Alix aime beaucoup rencontrer de nouvelles personnes. N’est-ce pas, Alix ? »

Youko sourit encore doucement, toujours avec ce faux air de sainteté sur le visage... Et sa main serra un peu fort le sexe de la belle Alix, tandis qu’elle retournait une nouvelle fois l’embrasser.
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le vendredi 05 octobre 2018, 00:18:10
Etait-ce la réalité ? Le début en fanfare de cette première journée dépassait de loin mes pires rêves pervers, et j’avais presque l’impression de me retrouver à l’intérieur d’un roman. Ou plutôt d’un manga hentai, ou même ces fan fictions où des simples lycéennes se faisaient prendre dans tous les sens par des dominatrices. Ce n’était pas loin d’être exactement ma situation en l’occurrence. Le cœur battant la chamade, empourprée contre le mur frais, je venais de jouir brusquement sous la main implacable de Doutzen ! En plein lycée ! Avec une autre élève en train de nous observer !
Si ce n’était les vibrations du jouet dans mon derrière, je me serai volontiers pincé le bras pour vérifier que non, je ne rêvais pas. Un hoquet me traversa quand la nouvelle venue, dont la proximité m’enivra de son parfum, fit courir son doigt le long de mon ventre avant de m’embrasser sans la moindre retenue. La protestation aurait sans doute dû venir de moi. Mais mes derniers lambeaux de dignité fondirent comme neige au soleil, remplacé par l’indolence et à l’excitation de l’esclave que j’étais devenu après avoir signé ce fameux deal.

« C’est pas ça… J’suis pas timide mais… Le truc dans mon cul, c’t’un supplice… Mais euh, oui… J’aime rencontrer des gens et-… » Pas le temps de terminer qu’elle m’embrasse déjà.

Youko était si désirable, avec cette robe moulante, et ce parfum de mouille, de luxure qui émanait d’elle lorsque ses lèvres se plissaient. Mon imagination m’avertit qu’elle devait probablement cacher quelque chose sous ma jupe, et je ressentis une excitation nouvelle durcir mon sexe, encouragé par la main de la jeune femme.

« Tu l’as déjà équipé de ce côté ?... Hmm… Montre-moi ça ma belle. » Prononça-t-elle avec une sensualité désarmante.

Comment résister à une telle invitation ? Surtout émanant d’une beauté dont le visage innocent jurait avec ce ton délibérément pervers. Je me retourne délicatement, exposant forcément mes fesses où se trouvaient planté le jouet de Doutzen, vibrant toujours joyeusement. Avec un gloussement, Youko vint caresser mon postérieur d’une main, tandis que l’autre revenait saisir ma trique déjà bien raide à nouveau. Manœuvre qui déclenchait un frisson incontrôlable de ma part, et un sursaut au niveau de la queue.

« Oh, mais c’est qu’elle aime qu’on lui touche le derrière. » Dit-elle en souriant à Doutzen. « Hmm… Je connais beaucoup de monde à qui ça va plaire ça. »

Exposée ainsi, à me faire tripoter, je sentis le rouge me monter aux joues en me sentant traitée comme une simple marchandise. Humiliée. Et à ma grande honte, ça m’excitait énormément. A l’instant même, mon cœur s’affolait dans l’attente que Youko retire ce jouet et se décide à me doigter les fesses de ses doigts délicats. Peine perdue, elle se contenta de les malaxer, appuyant de temps en temps sur le plug pour m’arracher un couinement, qui ne manquait pas de l’amuser.

« Hmm… Elle n’attend que ça de se faire prendre le cul... » Elle s’écarte un peu et délaisse mes fesses en se tournant vers Doutzen. « Tu l’as bien choisie, elle me plait bien… »

Je l’aurais deviné. Un coup d’œil par-dessous mon épaule, et j’aperçois les jambes de Youko, ses délicieuses cuisses exposées sous sa jupe, perler d’abondants ruisselets brillants de cyprine. Une véritable tentatrice. Mais comme je suis sensée obéir à ma maitresse, je reste ainsi, les fesses exposées, et les mains appuyées sur le mur, en attendant les nouvelles instructions. Autant m’y faire, je n’avais plus le moindre contrôle sur mon avenir !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 08 octobre 2018, 01:10:27
Doutzen sourit doucement en s’écartant du duo. Elle laissa Youko palper le corps de Doutzen, après l’avoir embrassé à plusieurs reprises. Youko était terriblement douée de ses lèvres, c’était un fait indéniable. Chacun de ses baisers était un régal, et Doutzen était bien placée pour le savoir, y goûtant régulièrement. Elle alla ensuite palper le postérieur d’Alix, qui rougit furieusement, tout en retrouvant sa naturelle trique. Bras croisés, Doutz’ observait cela avec le sourire. Comme à son habitude, Alix se montrait largement à la hauteur de ses espérances. Pendant les quelques semaines de formation, Ichtora-senseï avait pu confirmer qu’Alix était très endurante. C’était toutefois un trait commun à la plupart des Seikusiens. Quelque chose qu’on pouvait sentir dans l’air, comme le chantait si bien Phil Collins. Quoi qu’il en soit, Youko termina en se postant à côté de la belle blonde, tandis qu’Alix se tenait contre le mur, son joli cul bien visible, attendant les instructions.

« Oui, la sodomie est son point faible. Sinon, c’est un vrai garçon manqué ! Mais il suffit d’approcher quelque chose de son fondement, et elle s’écroule sur place ! »

Youko gloussa doucement, avant de se rapprocher à nouveau d’Alix, et caressa sa croupe, écrasant son corps contre le sien. Elle coinçait ainsi Alix entre elle et le mur, tout en titillant à nouveau le plug anal. Doutzen se déplaça à son tour, jusqu’à se mettre à côté des deux femmes.

« Tu sais que Youko appartient au même club que le mien, Alix ? C’est une déléguée de classe, comme moi...
 -  Les délégués doivent savoir à quoi ce lycée correspond vraiment, Alix... Outre les réunions ordinaires du conseil, nous organisons aussi des rencontres plus officieuses, des séances qui ne font l’objet d’aucun procès-verbal... »

Tout en disant cela, Youko embrassa la femme dans le creux du cou, mordillant sa chair. Cette information amenait du coup à se demander jusqu’à quel point cette rencontre était vraiment fortuite. Mais qui avait pu prévenir Youko ? Doutzen ? Ou peut-être bien Myumi... En tout cas, Alix était prisonnière entre les deux femmes, et, tandis que Youko continuait à jouer avec son cul, Doutzen retourna masturber la femme avec sa main, celle-ci se serrant sur le chibre de la femme. Youko venait toutefois l’aider, ses doigts gantés glissant également sur la queue d’Alix, ou soupesant ses testicules, les caressant tendrement.

Elle mordilla encore son cou, avant de lécher sa peau, remontant jusqu’à son oreille, gloussant doucement contre elle :

« Tu sais... Moi aussi, j’ai un gode dans le cul, mais aussi un dans ma chatte... Hmmm... Alors, tu vois, je sais le bonheur que ça fait. Ce soir, Alix, nous allons bien nous amuser sur toi. Tâche de ne pas trop t’épuiser aujourd’hui, parce qu’il va te falloir de l’énergie pour nos jeux ! »

Et elle termina en donnant une petite gifle sur le fessier d’Alix. Youko leur sourit ensuite, et s’éloigna, ses talons résonnant encore sur les pavés du couloir pendant quelques instants. Doutzen, elle, souriait encore, observant sa partenaire.

« Bon... Il va falloir qu’on retourne en cours, ma belle. Je vais devoir dire à Ichtora-sensei, à la fin du cours, que notre petite chienne a toujours une grosse trique d’enfer, afin qu’elle y remédie... »

Pour Alix, cette journée promettait d’être très sportive !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le samedi 13 octobre 2018, 14:20:16
Le couloir avait beau être complètement déserté, mise à part les deux perverses en ma compagnie, je vivais dans la hantise d’entendre de nouveaux pas résonner sur le dallage. Bon, certes, ce sentiment d’insécurité alimentait de beaucoup mon excitation, mais tout de même, j’en ressentais aussi de la honte. C’était plus fort que moi ! Un réflexe naturel en somme, bien que j’essayais de me persuader qu’il s’agissait de mon nouveau rôle, conclu par ce deal et la moindre réaction de rébellion ou de crainte ne ferait que stimuler l’imagination de Doutzen.

*Oui bon… On le saura que j’aime me faire prendre le cul, pas besoin d’en rajouter...* Soupirai-je en entendant ma maitresse en rajoutant une couche aux dires de Youko.

Qu’est-ce qui me provoquait ça, d’ailleurs ? Aussi loin que mes souvenirs puissent remonter, j’avais toujours un fantasme là-dessus, et me faire toucher les fesses par des doigts étrangers provoquaient des frissons incontrôlables dans mon dos. Tout à fait ce qui se produisit quand Youko me plaqua subitement contre le mur. Un couinement malencontreux m’échappa lorsque mon sexe raide entra en contact avec la surface fraiche, et que la perverse en profita pour agiter le plug anal.

« A-Aah ?... Je suis vraiment… Aah… ravis de l’apprendre… vraiment… »

L’ironie passait singulièrement mal lors deux superbes femmes étaient occupées à me malmener, non sans tailler le bout de gras entre elles. Car franchement, leur histoires de délégués… Cela me passait largement au-dessus de la tête, d’autant que dans ma situation, je n’y prêtai guère attention, trop occupée à gémir et me tortiller. Les lèvres de Youko me mettaient au supplice, et je me sentais complètement prisonnière, un étau délicieux pourtant, ce qui m’excitait davantage à grands renforts de bouffée de chaleur, de couinements et de tortillements des hanches.

*Quoi ?... Non ! Elle me laisse comme ça ?! Putain… Mais !...*

Pourtant, c’était bien vrai ! Une gifle sur les fesses en guise d’adieu, et voilà la demoiselle en tenue de cuir moulante qui s’éloigne, me laissant complètement sur ma fin. Ça n’était pas juste ! Dégueulasse même ! Je me tourne  vers ma maitresse avec un air à moitié frustré, à moitié désespéré, et l’érection qui pointe entre mes jambes en dit long sur mon état. Au souvenir de la senseï autoritaire, mon estomac fait un nœud et je me penche pour ramasser jupe et culotte.

« Mais maitresse… J’vais jamais pouvoir retourner en cours comme ça. Tout le monde va le voir, et j’vois pas comment je pourrais planquer ça… »

Le problème crevait les yeux. Remettre mes fringues étaient une chose, mais avec la trique que je me payais, la jupette d’écolière se déformait d’une sacré bosse. Pire qu’une bosse, un vrai tremplin horizontal qui n’allait pas passer inaperçu. Comment pourrais-je retourner dans cette salle pleine ? Il faudrait être aveugle pour passer outre mon apparence, et l’idée de m’exhiber ainsi était proprement insupportable.

« Ou alors faut me laisser cinq minutes seule… Enfin les jouets n’aident pas non plus… » Bougonnai-je en attendant le verdict.

Me calmer après que ces deux femmes m’aient chauffer, avec en prime, un plug coincé dans le derrière ? Mission impossible.
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 22 octobre 2018, 01:04:13
Youko n’avait fait qu’un simple teasing, et il était difficile de croire qu’elle était venue là purement par hasard. Elle partit donc au bon moment... Sauf pour Alix. La jeune hermaphrodite resta avec une solide érection, une belle trique qui remontait sur elle. En manque, Alix se retourna alors vers Doutzen, et plaida sa cause, exposant qu’elle avait mal au sexe, et qu’elle ne pouvait pas retourner en cours dans ces conditions. Doutzen la regarda silencieusement, et sourit malicieusement.

« Oui, je vois ça... Pourtant, tu as déjà joui, non ? Tu voudrais jouir une deuxième fois ? Tu es vraiment une grosse gourmande, Alix ! » feignit de s’offusquer Doutzen.

Elle la provoquait, bien sûr, et sourit encore, puis s’écarta un peu, et s’adossa contre le mur, face à elle. Le temps continuait à se réduire, et elle avait bien noté combien Alix avait peur d’être surprise. C’était une raison de plus de la titiller, de la provoquer. Doutzen remarqua sa montre en hésitant un peu.

« Nous disposons encore de cinq minutes avant la sortie des classes. Alors, tu as intérêt à te dépêcher. Je t’ai déjà sucé, et, vu comment tu jutes, si je te masturbe, tu vas en foutre partout. »

Autrement dit, il fallait qu’Alix répande son foutre dans un endroit où personne n’y trouverait à redire. Doutzen écarta donc les cuisses, tout en se déshabillant. Il y avait bien longtemps que la jeune femme avait perdu sa pudeur, ce qu’elle témoignait en ce moment. Elle retira donc sa culotte, ainsi que son uniforme, ce qui lui prit quelques secondes, et, nue, se redressa devant Alix. Elle en avait même profité pour enlever ses chaussettes, sachant très bien que la vue de son corps nu devrait encore exciter son jeune esclave.

En réalité, Doutzen était très heureuse de l’appétit sexuel important d’Alix. Plus celle-ci serait gourmande, et plus Doutzen serait ravie ! La finalité était après tout d’en faire une grande perverse, une nymphomane en puissance qui exaucerait les vœux les plus pervers de la jeune femme. Du doigt, elle fit signe à Alix de venir, le sexe dressé vers elle.

« Allez, ma chérie ! Viens besogner ta Maîtresse, allez ! »
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le mardi 30 octobre 2018, 17:54:16
Bien entendu, tout était encore de ma faute ! Moi ? Une grosse gourmande ? Je sais que cela faisait naturellement parti du jeu de domination, mais tout de même, l’injustice était parfois difficile à encaisser. Surtout pour moi, et ma grande gueule. Je maugréais en croisant les bras, essayant de maintenir un air digne malgré la grosse érection redressant ma jupe d’écolière.

*J’suis sûre que l’autre était de mèche…*

L’arrivée opportune de Youko, et ses gestes délibérés pour m’aguicher, cela ne pouvait être une coïncidence ! J’étais certaine que, d’une manière ou d’une autre, ma maitresse avait fait coïncider notre sortie aux toilettes avec le passage de cette bombe en robe moulante. Quoiqu’il en soit, nous étions encore dans ce fichu couloir silencieux, et mon palpitant battait toujours follement à l’idée qu’on puisse encore nous surprendre.
Hors, si l’on imaginait qu’entre mes ronchonnements et cette angoisse, cela suffirait à faire choir mon sexe, bernique ! Ça aurait pu être le cas si Doutzen ne m’avait pas collé son foutu plug vibrant, en train de faire joyeusement « bzz-bzz » dans mon pauvre petit cul.

« Bah si on retirait le bazar dans mon cul, peut-être que ça pourrait… » Commençai-je avant que les mots ne meurent dans ma bouche.

La voilà qui se déshabillait maintenant ! Je secouai machinalement la tête, comme une vague négation, l’air de dire que non, décidément, ça n’allait pas résoudre mon érection de faire ça. Doutzen était là, nue comme au première jour, et la simple vue de ses formes suaves me tiraillait déjà douloureusement le sexe.

« Mais… Bon, ok. »

A quoi bon protester, n’est-ce pas ? D’ailleurs, qui serait assez stupide pour protester quand Doutzen, superbe blonde au visage angélique, et au corps tout aussi parfait, demandait à être baisé ? Pas moi en tout cas. Après avoir tout de même jeté un coup d’œil à droite puis à gauche, je m’avançai avec un brin d’hésitation vers mon allumeuse de maitresse. La situation avait beau m’emplir de crainte, je n’allais pas me dégonfler, et même mettre à profit cette occasion.
Le moment était parfait pour démontrer mes talents d’esclave. Eh bien quoi, même en étant esclave, on peut avoir sa fierté ! Mon endurance avait été bien entrainé ces derniers temps, mais je n’étais pas trop mal non plus au niveau de la force physique. Bien assez pour soulever ma maitresse. C’est ainsi que je posais les mains sur ses fesses, la hissant contre moi en la plaquant contre le mur, ce qui lui permettait d’enrouler ses jambes autour de ma taille.

« J’me suis améliorée, maitresse, z’allez voir. » Lui confiai-je tout en remuant le bassin pour orienter mon sexe vers sa féminité.

D’une lente et douce poussée, ma verge écarta ses lèvres intimes, s’y glissant moelleusement tandis que je plaquai la belle Doutzen entre moi et le mur. Je pouvais aisément la porter maintenant, et lui faire l’amour tout à notre aise ! J’étais tellement fière, une fierté d’esclave hé, que j’en oubliais l’espace public où nous étions. Bref, j’agrippai son jolie postérieur et, avec de profonds coups de reins, je commençai tout simplement à la prendre contre le mur.
Les sensations mélangées, la chaleur de l’entrecuisse de Doutzen, et cette moitié de sodomie avec le jouet, tout cela était littéralement paradisiaque. Je devais vraiment faire une tête bizarre, la bouche entrouverte en une expression béate, accompagnée de gémissements incontrôlés. Au rythme effréné de mes coups de reins, le problème d’érection allait être vite réglé…
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 05 novembre 2018, 00:42:30
C’était l’illustration de tout le côté paradoxal de leur relation. D’un côté, une belle blonde, et, de l’autre, une femme hermaphrodite musclée. Physiquement, la force était avec Alix, qui pouvait en effet soulever Doutzen, et la forcer sans aucun problème. Pourtant, des deux, c’était bien Doutzen qui dirigeait. Alix était son esclave, et voir Doutzen nue ne faisait que rappeler ces différences. Sans être une femme bodybuildée avec des muscles outranciers,  Alix n’en restait pas moins une femme charpentée, très belle, mais avec de beaux muscles, ce qu’elle ne tarda d’ailleurs pas à démontrer. Se rapprochant de Doutzen, elle la souleva sans ménagement, et posa ses mains sur le cul de la belle blondinette. Doutz’ s’en pinça les lèvres, et serra ses jambes autour de sa taille, posant sa main sur ses cheveux, en appui, avant de lui sourire tendrement.

« Allez, Alix… Viens me baiser, ma chérie ! »

Il aurait été impensable de résister. Doutzen était une femme magnifique, une beauté fatale, un corps de mannequin de luxe, et la queue d’Alix s’enfonça d’un coup en elle. Doutzen écarquilla les yeux à ce contact. Tout son corps se mit à frémir, et elle gémit alors, rougissant sur place, son corps venant se crisper sur celui d’Alix, ses ongles se plantant pendant quelques secondes dans ses cheveux, tandis que la femme, avec une bonne assise, commença à donner des coups de reins. Alix s’aidait du mur pour accompagner ses solides mouvements dans le corps de la femme.

Doutzen n’était tout de même pas si cruelle ! Elle n’allait quand même pas la laisser retourner en classe comme ça, avec son érection ! Après tout, Doutzen retournait les choses, car elle avait très largement contribué à la perversion d’Alix, à encourager cette situation actuelle.

« Alix, hmmm… Ouuui, haaa… »

Gémissant doucement, Doutzen sentait les coups de reins de la femme s’accroître, et alla l’embrasser, profitant d’une seconde d’inattention de sa concubine pour lui voler un long baiser. Sa langue fonça rapidement dans sa bouche, et elle se mit à remuer doucement, accompagnant avec son bassin les mouvements d’Alix. Sentir sa délicieuse queue en elle… Ah ! C’était un bonheur immense ! De plus, après la visite de Youko, Alix était bien chaude, bien excitée, ce qui rendit ses coups de reins encore plus jouissifs, et encore plus solides !

« Hmmm… Encore, haaa… Encore !! A-Alix, hmmm… !! »
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le samedi 10 novembre 2018, 15:04:12
En l’espace de quelques semaines, je réalisais désormais pleinement combien Doutzen avait opéré un changement en moi. Jamais auparavant, je n’aurais même imaginé être en train de baiser sauvagement au beau milieu du couloir d’un lycée terrestre, en tenue d’écolière, avec un plug vibrant dans mon fessier. L’Alix de Nexus possédait une vie sexuelle très peu épanouie, une Alix qui n’avait plus rien à voir avec celle actuelle.
En oubliant momentanément le lieu public, je maintenais Doutzen contre le mur en saisissant son fessier à pleines mains, et en profitait pour enfoncer férocement mon sexe en elle. Et j’en étais excitée comme jamais ! Peut-être était-ce dû à l’intervention de Youko, peut-être était-ce parce qu’il s’agissait de ma maitresse, cette blondinette à la plastique parfaite ou peut-être un peu de tout…  Au fond, c’était sans doute autre chose… Quelque chose de plus pervers.

« J’aurais… Aaah… une récompense après, maitresse ?... » Soufflai-je entre deux coups de reins.

Qu’est-ce qu’il me prenait au fond ? J’étais en ce moment même, en train de faire l’amour à ma somptueuse maitresse et pourtant, la simple idée qu’il puisse y avoir une récompense derrière redoublait mon ardeur. Derrière au sens littéral… Ah, Ichtora-senseï, c’est votre faute ! Ma queue gonflée remuait furieusement à l’intérieur de Doutzen, et je ne m’arrêtai que l’espace de quelques secondes pour reprendre mon souffle.
Une vraie folle furieuse. Moi-même, je ne comprenais pas réellement d’où provenait cette énergie soudaine, et je n’osai pas non plus m’avouer à moi-même qu’il s’agissait de la promesse d’une, possible, récompense. A croire que le dressage infligé par ces deux perverses avait opéré. Quoiqu’il en soit, le baiser dont me gratifia Doutzen, se jouant de ma langue, acheva de m’échauffer plus que nécessaire. Je tiraillai les lèvres de la magnifique blonde, poussant et jouant de sa langue avant d’échapper un couinement étouffé.

Eh oui, encore ! De longues coulées de liquide chaud se déversèrent dans l’intimité de ma maitresse, se mélangeant à la mouille abondante entre nos cuisses, et les pulsations de l’orgasme secouèrent mon bassin de longs instants. Je léchai le menton de Doutzen, les yeux fermés, comme si cela devait me permettre de garder mon aplomb, même si j’y mettais toute ma volonté pour ne pas la lâcher et rompre le contact de nos sexes. Et puis, le choc passé, sur une impulsion…

« J’vais vous montrer, maitresse, comme j’peux être la meilleure esclave… » Lui chuchotai-je en la reposant délicatement sur le sol, me détachant d’elle par la même occasion.

Mes mains descendirent le long du corps de Doutzen, suivant la courbe de son corps nu, et j’embrassai sur le chemin, là ses seins, ici son ventre… Puis mes lèvres s’arrêtèrent devant sa féminité ruisselante d’un mélange de mouille et de sperme. Je levai les yeux un instant pour croiser son regard, et aussitôt, je me mis à lécher cet endroit intime, souillée par nos deux plaisirs. Ma langue se délectait de cette humidité avec des bruits lubriques, et rapidement, mes lèvres devinrent luisantes tandis que je dégustais ma maitresse avec appétit. Et tant pis s’il se présentait quelqu’un désormais !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le mardi 13 novembre 2018, 01:26:39
Elles continuaient à s’envoyer en l’air dans le couloir, Doutzen se faisant prendre contre le mur. Alix continuait à la prendre, complètement lâchée. Quelle magnifique transformation ! Doutzen pouvait se féliciter d’avoir su transformer cette jeune femme rebelle en une belle perverse, une fille qui n’éprouvait maintenant plus aucune gêne à faire l’amour dans un lieu public. Ceci étant dit, Mishima restait un lieu très particulier, et leur rencontre avec Youko n’avait, visiblement, fait que renforcer les ardeurs d’Alix. Doutzen n’allait toutefois pas s’en plaindre, car elle adorait ça. Elle se faisait joyeusement prendre contre le mur, et gémissait longuement, ornant le mur de sa sueur.

« Haaaa… !! Hmmmm, A-Alix, hmmm… !! »

Doutzen gémissait longuement, se tortillant sur place. Si Alix aimait la sodomie, c’était aussi un trait commun avec Doutzen. Le membre tendu de sa partenaire s’enfonçait dans son con, lui arrachant de nouveaux soupirs. Sa salive se mélangeait à celle d’Alix tandis qu’elles échangeaient des baisers. Il fallait bien admettre que ce mur était bien moins confortable qu’un lit, et elle se tortillait dessus, tandis que les minutes continuaient à défiler, chaque minute passée les rapprochant de l’heure de la sonnerie. Doutzen gémit à nouveau, heurtant le mur, et sentit encore Alix s’appuyer contre elle.

Elle esquissa un nouveau soupir, gémissant de nouveau, et sentit Alix continuer à s’enfoncer en elle. Elle avait bien entendu sa jeune esclave lui demander si elle aurait droit à une récompense, mais… Et bien, Doutz’ n’était tout simplement pas en état de lui répondre ! Elle se faisait après tout bourrer la chatte, mais… Doutzen avait souvent répété à Alix qu’elle était une Maîtresse gentille, qui n’hésitait pas à récompenser ses esclaves pour leur fidélité, pour leur énergie… Et il fallait bien admettre que, en ce moment, Alix était très énergique ! Elle la besognait joyeusement, enfonçant sa queue jusqu’à la garde dans son sexe.

« Tu… Tu vas me briser le dos, hmmm… »

La Maîtresse et l’esclave s’unissaient l’une à l’autre, ne faisant plus qu’un dans un même élan, un élan de sexe et de passion. Elle gémissait donc longuement, serrant ses doigts sur les cheveux d’Alix. Leurs baisers étaient mordants, une excellente manière d’étouffer les soupirs de Doutzen… Jusqu’à ce qu’elle sente Alix se relâcher en elle. La belle hermaphrodite s’abandonna énergiquement en elle, balançant des filaments de foutre dans son corps, se répandant goulûment.

« Ohhh… Alix, hmmm... »

La sensation d’être remplie, d’avoir du sperme débordant dans sa chatte… Ah, Doutz’ adorait ça ! Elle sourit ensuite en reposant pied à terre… Mais Alix n’avait toujours pas fini ! Elle se dépêcha en effet de s’agenouiller devant elle, et lécha son sexe. Doutzen gémit encore, sentant la langue vorace d’Alix glisser sur ses cuisses, avalant les fluides intimes qui en sortaient, un mélange de cyprine et de sperme. Elle avalait sans difficulté, continuant à gémir, et la main de Doutzen ne tarda pas à l’accompagner, serrant les cheveux bleuâtres de sa partenaire, qui continuait à s’y attaquer avec appétit.

Doutzen gémissait donc, se tortillant sur place, s’appuyant contre le mur, ses joues encore légèrement rouges sous l’effet du plaisir qui croissait en elle.

Et la sonnerie retentit alors.



Quelques instants après, la porte de la classe s’ouvrit, libérant une flopée d’élèves. Personne ne sembla s’attarder sur les quelques traces ornant le mur, et il y eut un brouhaha de bruits de pas, de paroles échangées, de mots rapides, le concert diffus et habituel d’un lycée.

Près de la porte de la classe, une autre porte avait été utilisée, donnant sur un local technique, où, au milieu de balais, de serpillières, et d’outils ménagers, Alix finissant son cunnilingus. Doutzen gémissait doucement, la tête appuyée contre un placard, mouillant encore, offrant à Alix une délicieuse salve, leurs affaires traînant sur le sol. Ils avaient réussi in extremis à s’abriter ici, emmenant avec eux leurs vêtements.

« Là, oui… Bois bien, Alix, tu auras droit à ta récompense auprès d’Ichtora-senseï… Mais je crois que nous allons manquer aussi le prochain cours. Hmmm… Tu me paieras ça ce soir, haaaa… Me faire manquer des cours, c’est la preuve que tu es une vilaine esclave, Alix ! »

C’était aussi ça, la dure vie d’esclave… Quoi qu’il se passe, on avait toujours tort !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le dimanche 18 novembre 2018, 18:15:15
La sonnerie résonna bruyamment dans le couloir encore temporairement vide, mais malgré cela, je ne l’entendis qu’à peine. Surprenant à quel point ma honte et la hantise d’être surprise s’étaient évaporées à l’appel de la luxure. La faute à Doutzen bien entendu. Faute partagée par Ichtora-senseï, les deux pestes n’ayant pas lésiné d’efforts pour m’habituer à un tel comportement, et je dois bien avouer que cela avait parfaitement fonctionné.
Au point que tout ce qui m’importait à l’instant, fut de lécher copieusement l’onctueux sexe de ma maitresse qui gémissait contre le mur. Si celle-ci ne m’avait pas agrippé par l’épaule pour m’entrainer dans cet étroit placard à balai, il serait fort à parier que je serai sûrement encore en train de la lécher au milieu des élèves du lycée. Doutzen avait réussi l’exploit de balancer nos affaires en un rien de temps quand, en bonne élève, je palliais au plus pressé, c’est-à-dire m’agenouiller entre ses cuisses.

« Oui, maitresse… C’est ma faute tout l’temps. J’vais me rattraper. »

A genoux entre les jambes ruisselantes de ma maitresse, je m’appliquai à léger l’abondant mélange de cyprine et les restes de spermes qui en découlaient. Au moins, je lui faisais de l’effet ! Doutzen mouillait tant et si bien, que je devais avaler à intervalles réguliers ce jus lubriques, avant de retourner à l’assaut. Ma langue gigotait entre ses lèvres intimes sans répit, embrassant son clitoris, encouragée par ses gémissements suaves.
En vérité, je me moquais pas mal du cours suivant. Merde, Doutzen m’avait inscrite dans ce lycée pour être son esclave sexuelle personnelle, un fait que je commençais tout juste à intégrer, alors à quoi bon résister ? Je serai sans doute mise devant un autre exercice incompréhensible, que je pourrais à peine lire, avant de récolter une punition supplémentaire.

« J’aurais fait une récompense si j’vous fais jouir, maitresse ? » Tentai-je entre deux lampées.

Réclamer sans arrêt une gratification n’était sans doute pas la meilleure manière de l’avoir, mais tant pis, ce fut plus fort que moi ! Je faisais de mon mieux pour cajoler ma maitresse, et c’était déjà suffisamment difficile de résister à une nouvelle érection. Mes mains glissèrent derrière les cuisses de Doutzen, remontant sur son fessier, en prenant possession, lentement mais sûrement.
Même si ma maitresse aimait à me reprocher d’être une mauvaise esclave, je commençai moi-aussi à comprendre ses désirs, et ses petites faiblesses. Le potentiel pour la satisfaire était une affaire de connaissances ! Sans cesser une seule seconde mon cunnilingus, mes doigts se faufilèrent le long de son ravissant fessier pour venir doigter son fondement que je savais évidemment sensible. Elle me l’avait suffisamment suggéré, après tout !

« Je serai une bonne esclave maitresse, la meilleure. D’ailleurs, j’ai commencé à noter tout ce que vous aimiez… »
*… Et c’est plus facile à apprendre que les maths.* Ajoutai-je pour moi-même.

Hors de question de sortir de ce placard sans avoir porté ma maitresse à l’orgasme ! Je doigtai tendrement son postérieur, m’efforçant de dévorer énergiquement son sexe à pleine langue. Cette fois, Doutzen aurait bien du mal à me qualifier de piètre esclave quand je me donnais autant de mal !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 26 novembre 2018, 00:47:48
Sa faute tout le temps... Pauvre Alix ! Mais, somme toute, c’était là le lot quotidien des esclaves. L’esclave avait par principe tort, car le Maître, ou la Maîtresse, ne pouvait évidemment se tromper... Et, même quand il se trompait, c’était encore de la faute de l’esclave, qui aurait dû lui signaler cette erreur ! La condition d’esclave était par nature injuste, mais, en l’état, ce n’était sûrement pas Alix qui s’en plaindrait. La jeune femme assumait au contraire de plus en plus facilement son rôle, surtout quand elle réalisait combien ce lycée était pervers, et combien Mishima, sous ses apparences de lycée ordinaire, dissimulait des situations perverses et osées. Après tout, il n’y avait qu’ici qu’elles avaient pu, tout en faisant l’amour dans un couloir, être abordées par une camarade portant une robe noire moulante en latex. Dieu sait ce qui pouvait encore attendre Alix...

Mais, pour l’heure, l’esclave continuait à lécher l’intimité de Doutzen. Celle-ci serrait ses mains sur les cheveux bleus de son esclave, gémissant doucement, et parfois plus fortement, surtout quand Alix glissa un doigt dans son fessier, alternant ses coups de langues de quelques propos bien sentis, qui ne manquaient pas de faire réagir Doutzen.

« Aaah... Ne sois pas si... Si présomptueuse, Alix-chan... Les esclaves arrogantes ne méritent pas de récompenses ! »

En vrai, Doutzen adorait cette situation. Elle avait sa propre esclave ! Qui aurait cru que cette idée puisse un jour la faire à ce point fantasmer ? Après tout, à l’origine, elle avait été une esclave forcée, vendue à la Mafia russe. Reto Kroes avait fait d’elle une esclave sexuelle, dont le but était d’être son « Petit Chaperon rouge », d’offrir son corps à des hommes âgés et pervers afin de pouvoir les piéger ensuite. Une sorte de redoutable prostituée-espionne, qui avait peu à peu accepté sa situation. Le lycée Mishima, où le sexe était si libre, l’avait fortement aidé en ce sens, car elle avait rencontré bon nombre d’élèves aussi pervers qu’elle, ainsi que des membres du corps enseignant. Initialement, Doutzen avait choisi d’être déléguée de classe pour être insoupçonnable, mais cette élection n’avait fait que la précipiter dans les méandres du stupre, en l’amenant à rejoindre des clubs dont Alix allait bientôt pouvoir saisir la teneur.

Quoi qu’il en soit, pour en revenir à la situation actuelle, Alix avait effectivement bien saisi que sa Maîtresse était, comme elle, une grande sodomite. Paradoxalement, la sodomie avait été l’élément le plus difficile à aimer pour elle. Reto l’avait longuement sodomisé, jusqu’à ce que le corps de Doutzen, bon gré mal gré, finisse par accepter la sodomie, et elle en tirait effectivement, depuis lors, un grand plaisir. Ce mélange exquis de douleur et de plaisir... Quand le doigt d’Alix se glissa en elle, Doutzen se pinça les lèvres, et ses doigts se crispèrent plus fortement sur les cheveux de sa partenaire. Elle gémit à nouveau, la respiration lourde.

« Hmmm... A-Alix, haaaa... ! »

De fait, si les élèves dans le couloir n’étaient pas si bruyants, ils auraient sans aucun doute pu entendre les soupirs et les gémissements de Doutzen ! Celle-ci avait beau tenter de se retenir, le plaisir qui déferlait en elle était tout simplement trop fort pour qu’elle arrive à le retenir. Elle le laissait donc s’exprimer, jaillir de son corps, que ce soit sous forme liquide, par la cyprine s’égouttant de plus en plus abondamment de ses cuisses, ou sous forme orale, par ses soupirs. Son bassin remuait doucement d’avant en arrière, accompagnant les mouvements buccaux et digitaux d’Alix. Léchant son sexe et titillant son fondement en même temps, Alix était en tout cas en train de lui prouver qu’elle était très douée en la matière. Sa formation était bel et bien un succès !

La jeune Doutzen en était toute ravie, et elle continuait à se dandiner sur place, gémissant à nouveau. Sa tête heurta le mur, tandis que le plaisir continuait à déferler en elle, de plus en plus vif, de plus en plus fort.

« Hmmm... A-Alix ! »

Doutzen sentit l’orgasme la traverser, et ses doigts se crispèrent sur ses cheveux. Elle s’abandonna au plaisir suprême, contre sa jeune esclave, et ce avec un plaisir sincère et immense, sa mouille déferlant contre la bouche de sa belle partenaire.

« Là... Lààààà... »

Oh, oh, que c’était bon ! S’abandonnant au plaisir, Doutzen en ferma les yeux, une vague d’allégresse venant s’emparer de son corps après ce délicieux orgasme.
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le vendredi 30 novembre 2018, 18:52:35
Récompense ou punition. Je commençai honnêtement à me demander laquelle de ces deux options serait ma favorite et si, au fond, l’une ou l’autre changeait grand-chose. C’est vrai quoi, tu parles d’un dilemme ! A choisir entre une récompense lubrique, ou une punition sexuelle, mon cœur balance, même je dois avouer que les punitions me tentaient davantage jusqu’à présent. Exactement le genre de pensée d’une petite pute soumise, pensai-je en cajolant la chatte de ma maitresse du bout de la langue.
Ah, la punition ! Ça y est, l’esprit se met encore une fois à délirer, et je vois d’ici le tableau… Doutzen me liant sur une grande table, faisant venir d’autres déléguées de classes armées de faux chibres, relevant ma jupe, retirant le plug… Oups, des picotements se manifestent entre mes jambes, et je suis obligée de chasser ses pensées hautement lubriques avant de ruiner tout le travail précédent ! Ma maitresse s’était sacrifiée, si l’on peut dire, pour briser mon érection précédente, ce n’était pas le moment d’en avoir une autre…

*Quoique, à ce rythme…*

La mouille de ma maitresse s’écoulait en abondance sur ma langue, et sans l’épuisement de mes deux orgasmes précédents, nul doute qu’un beau barreau serait de retour. L’orgasme de Doutzen était un impératif ! Sans quoi, une autre érection me vaudrait une punition, et… Oh, minute. Mon esprit marqua un moment de silence. Argh ! Si seulement ce plug arrêtait de vibrer ne serait-ce qu’un instant… Alix, concentre-toi sur une seule tâche à la fois, m’intimais-je.
Doutzen gémissait comme jamais, et il faut bien avouer que j’en ressentais une certaine fierté. Ma langue serpentait entre ses lèvres intimes, je la repliai, courbait, avant de suçoter les endroits sensibles comme me l’avait bien appris la senseï. En tout cas, mon intuition était effectivement la bonne. L’index qui gigotait à présent entre les belles fesses de ma maitresse lui déclenchait à chaque mouvement un nouveau couinement onctueux.

« Mmuah… C’est que j’commence à bien vous connaitre, maitresse ! » Glissai-je entre deux coups de langue avant de repartir à l’assaut.

Au moins, était-ce là une forme de récompense que de satisfaire sa maitresse. L’orgasme de Doutzen fit dégouliner un flot de cyprine que je m’empressai de savourer avec de lubriques bruits spongieux. Je léchai encore son intimité, lentement, tendrement, caressant ses jambes fuselées et remuant l’index dans son fondement. De quoi l’accompagner au paradis ! C’est qu’on est une esclave consciencieuse ou on ne l’est pas, après tout.
Quant aux cours, ils m’étaient complètement sortis de la tête. Depuis combien de temps étions-nous sorties ? J’embrassai les cuisses encore frémissantes de plaisir de ma maitresse, léchant encore son intimité de temps à autre, appréciant les ondes de chaleur que l’orgasme lui procurait. J’étais bien ici, à genoux entre les jambes de Doutzen, plus aucune envie de sortir ! Et histoire d’enfoncer le clou de l’arrogance, je levai les yeux vers la lycéenne, lui adressant un sourire insolent.

« J’suis sûre que j’suis la meilleure des esclaves, j’peux vous faire jouir en un clin d’œil, maitresse ! »

Récompense ou punition ? L’un dans l’autre, si je ne parvenais pas à avoir ma récompense, j’aurais bien une punition ! Mais n’était-ce pas exactement ce que je recherchais… Cette fois, le dilemme revenait à Doutzen !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 03 décembre 2018, 01:12:43
Doutzen n’allait pas pouvoir tenir éternellement ! Elle se souvenait encore avec amusement du moment où elle avait rencontré Alix, et où cette femme avait tenté de la contrôler, de la dominer. De fait, les deux femmes s’étaient battues, mais, finalement, les pulsions profondes d’Alix avaient eu raison d’elle. Et maintenant, elle était là, agenouillée devant elle, amenant doucement Doutzen vers un nouvel orgasme. Et Doutzen, qui commençait à bien connaître Alix, était sûre que l’érection de cette dernière, qu’elle peinait pour l’heure à palper, devait être en train de repartir. Alix était ainsi, et ces quelques premières semaines de formation avaient permis de réaliser combien elle était gourmande ! Doutzen, en réalité, était sincèrement très excitée à l’idée d’avoir sa propre esclave ! C’était un indéniable premier pas pour cette jeune femme, une victoire qui traduisait sa perversion, toujours de plus en plus grande. Et celle-ci n’allait pas s’arranger !

« Oh, Alix... »

Venant la narguer, Alix lui répéta qu’elle commençait à bien la connaître. Se pinçant les lèvres, Doutzen gémissait en effet sur place, mouillant contre les délicieuses lèvres de son esclave, qui se faisait un malin plaisir de la sodomiser avec son doigt, égayant dans l’esprit pervers de la Maîtresse quantité de fantasmes. Elle comptait bel et bien punir Alix, mais... Le fait est que Doutzen, si elle était la Maîtresse d’Alix, était aussi l’esclave d’autres personnes. Elle avait donc aussi bien en elle des pulsions de dominatrice que de pure masochiste, et, en ce moment, ces pulsions étaient en train de s’exprimer. Doutzen soupirait donc de plaisir, se tortillant sur place, sentant le corps d’Alix se crisper encore contre le sien.

Puis le plaisir suprême finit par arriver. Un magnifique orgasme traversa la jeune femme de part en part. Ses doigts se serrèrent fortement sur les cheveux d’Alix, et elle s’abandonna contre ses lèvres, la mouille affluant sur son visage, dégoulinant ensuite sur son menton. Doutz’ s’abandonna joyeusement, succombant au plaisir suprême, et conserva ensuite sur ses lèvres un sourire évasif. L’orgasme... Une situation qui était toujours autant plaisante ! Une véritable libération qui laissait son corps frissonnant et extatique.

Et, devant elle, Alix la nargua encore. Doutzen la regarda silencieusement, puis sourit alors.

« Oh, tu crois ça ? »

Reprenant son souffle, Doutzen récupéra sa montre, et enclencha un chronomètre, tout en lui parlant :

« Nous allons mettre tes dires à l’épreuve, petite salope arrogante... Je vais te chronométrer. Un timer de cinq minutes pendant lequel tu vas fourrer ta bite dans mon cul... »

Car, comme Doutzen le soupçonnait, la verge d’Alix avait bien grossi. Elle pouvait la sentir en avançant son pied, caressant sa verge avec la pointe de sa chaussure. Elle avait entre-temps préparé le chronomètre, puis se retourna alors, et s’agenouilla, avant de se mettre à quatre pattes, en délicieuse position de levrette.

« Dès que je sentirai ta queue en moi, j’enclenche le chronomètre. Si je ne jouis pas au bout de ces cinq minutes, je te punirai très fortement. »

Quel dilemme ! Doutzen savait qu’Alix adorait se faire punir par elle... Elle allait donc devoir choisir quoi faire, sachant que, dans tous les cas, elle se devait d’obéir à sa Maîtresse, qui lui présentait son magnifique cul, dans l’attente de sa belle verge !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le mercredi 05 décembre 2018, 22:18:47
Les souvenirs lubriques de notre deal ne cessaient de parasiter mes pensées tandis que, agenouillée entre les cuisses de ma maitresse, je lapais consciencieusement la mouille de son dernier orgasme. Ah, cette fameuse soirée pas si lointaine ! L’inoubliable nuit où elle m’avait mis à quatre pattes, sodomisée, tenue en laisse et même fait aboyer, accomplissant là mes pires fantasmes de soumise… D’un côté c’était légèrement différent, mais de l’autre, cet intermède dans le placard à balais du lycée me rappelait furieusement cet épisode en bien des aspects…

*Merde… J’suis encore en train de délirer sur une punition…*

Hors, avec cette folle imagination, venait l’inévitable raideur croissante entre mes cuisses. A vrai dire, je ne m’étonnai même plus de mes propres pensées lubriques, comme si l’idée de n’être plus qu’une esclave sexuelle en attente des pires perversité de sa maitresse, devenait parfaitement normal. Les mains posées sur les genoux, je hochai la tête vers Doutzen pour appuyer mon affirmation précédente.
Oh que oui, je pouvais la faire jouir, j’en étais convaincue ! Mais d’un côté, pareil culot n’allait pas rester sans réponse, et je savais que ma maitresse ne manquerait pas de me le faire payer. Pari gagné puisque, pendant que je demeurais immobile et à genoux comme une parfaite petite soumise, Doutzen concocta son prochain défi en récupérant sa montre. A croire que les épreuves en temps limité étaient décidément ses favorites !

« Oui, maitresse, je-… Aaahen… » Commençai-je avant d’être sournoisement coupé par une pression sur le sexe.

Les consignes étaient données, l’épreuve était claire, et si la perversité de la situation n’avait pas suffit à me provoquer une belle érection, les fesses exposées de ma maitresse le firent. Je tendis les mains pour venir caresser le somptueux postérieur de Doutzen, la queue tendue à m’en faire mal, quasiment dans un état second. Minute, Alix ! Une seconde de plus, et je perdais complètement de vue ma première intention.
Mon idée de base était en effet de me faire punir, et dans ce cas, devais-je réellement obéir aveuglément ? Ou bien provoquer ma maitresse pour me faire punir fortement, selon ses propres mots ? Tu parles d’un dilemme ! Mais ces fesses… Je me mordillai les lèvres, puis finalement, après une longue hésitation, je commençai à embrasser son postérieur, glissant ma langue lentement le long de son fondement, la léchant avec une langueur toute provocatrice.

« Mmmhaaah… » La traduction de ce gémissement baveux était claire : Je vais désobéir, et bien en profiter !

Le choix était simple. Soit je devenais la plus obéissante des esclaves en suivant les consignes à la lettre, soit… Je me comportai très mal pour obtenir une punition tant désirée. Mais dans un sens, avais-je réellement le choix ? Ma petite expérience m’avait justement apprise que Doutzen prenait un malin plaisir à retourner mes dires contre moi, et au final, n’aurais-je pas obligatoirement tort en demeurant obéissante ?
Mes options demeuraient plutôt limitées, sinon inexistantes… Confortée dans mon plan, je léchai pendant plusieurs longues minutes le joli cul de Doutzen, en sachant pertinemment qu’elle n’avait pas encore enclenché le chronomètre. Les règles étaient les règles après tout ! La simple pensée que j’encourrai une forte punition m’excitait, et c’est avec une très belle érection que je me redressai finalement derrière ma maitresse après l’avoir copieusement léchée.

*Finalement, j’crois que j’préfère être la plus vilaine des esclaves, c’est plus amusant…*

Doutzen était tout comme moi, une grande amatrice de sodomie, et ma conscience me soufflait que la narguer de ce côté-là risquait de me causer de sacrés ennuis par la suite. Peine perdue pour ma conscience, j’étais bien décidée à pousser le vice, et commençai à frotter mon sexe entre les fesses de ma maitresse… Et rien de plus ! Pendant plusieurs minutes la narguai-je ainsi, glissant ma verge bien durcie le long de sa raie, effleurant son petit trou en faisant mine de la pénétrer, mais sans rien faire.
Une véritable torture, du moins, l’espérai-je ! A ce rythme, Doutzen n’aurait jamais son compte de sodomie, et j’étais la première à m’en douter. Au bout d’un temps exagérément long, je poussai légèrement, faisant entrer juste le gland dans son fondement… A peine quelques secondes avant de le retirer dans le but de la chauffer, et pire, de la frustrer !

« J’y arrive pas maitresse… J’ai une crampe en bas du dos… » Dis-je soudainement d’un air faussement désolé pour accompagner ma piètre excuse.

Pire insolence…
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le mardi 11 décembre 2018, 01:00:40
C’était le paradoxe du soumis. Jusqu’à quel point obéir, et jusqu’à quel point désobéir ? D’un côté, le soumis devait obéir, mais, de l’autre, le soumis étant masochiste, il devait aussi désobéir pour recevoir une punition à la hauteur de la désobéissance. C’était ce qui faisait le sel d’une relation sadomasochiste, et Doutzen le comprenait très bien. Elle comprit donc qu’Alix, en jouant avec elle, en faisant traîner les choses, cherchait une excuse pour se faire punir... Et elle frustra donc volontiers sa Maîtresse, frottant sa queue, allant même jusqu’à feindre de la pénétrer... Avant de s’arrêter. Alix gloussa alors en indiquant avoir « une crampe en bas du dos »... Doutzen grogna alors en se retournant vers elle.

« Je vois... Tu as envie de faire ta rebelle, hein, petite pute ? »

Elle lui refusait sa sodomie ! Doutzen se redressa donc. Elles étaient nues, mais Doutzen avait accès à son uniforme. Elle récupéra alors divers instruments situés dans ses poches, à savoir un collier, une laisse, et... Un cockring. Ce petit anneau noir se posait à la base de la verge d’Alix pour empêcher cette dernière de jouir. Doutzen lui ordonna de se mettre à quatre pattes, et en profita pour lui mettre son cockring, et l’attacha ensuite avec son collier.

Tout en se rhabillant ensuite, Doutzen la provoqua, enfilant ses collants, sa culotte, son soutien-gorge, puis son uniforme.

« Tu vas me payer cette humiliation, vilaine esclave, oh ça oui, tu vas me le payer ! Je vais te faire regretter ton insolence, sale chienne, tu vas voir ! »

Doutzen pouvait volontiers se montrer autoritaire quand elle le voulait, et Alix allait bientôt en avoir la confirmation. Habillée, elle sortit ainsi en tirant Alix derrière elle, et rejoignit le couloir. La nudité d’Alix ne gênait nullement Doutzen, qui reprit sa marche sans crainte, et ne se dirigea pas vers la classe de Myumi. Après tout, aux grands maux les grands remèdes, et, au vu de l’insubordination manifeste d’Alix, Doutzen était bien décidée à passer avec elle à un degré supérieur !

Elle s’aventura ainsi dans les méandres du couloir, laissant sa petite esclave rebelle avec une belle trique, jusqu’à rejoindre les escaliers, et rejoignit le rez-de-chaussée, là où on trouvait, outre quelques classes, des salles de stockage, et dédiées à l’évènementiel. Elle se dirigea dans un couloir assez sombre, longeant les locaux réservés aux associations du lycée. Fort heureusement, il n’y avait personne à cette heure, et Doutzen s’approcha ensuite d’une porte close. Elle la déverrouilla, et tira encore sur la laisse, invitant Alix à entrer.

« Voilà... La pièce de ta punition ! »

C’était une grande pièce sombre. Doutzen alluma quelques lampes, ce qui permit d’éclairer divers instruments dédiés au sadomasochisme : des chevalets, des cordes, des croix de Saint-André, des cagoules, des trônes sexuels... Un sacré assortiment ! Difficile de croire qu’un tel équipement pouvait se trouver dans un lycée sans admettre que la formation sexuelle était l’un des objectifs secrets du lycée Mishima. Doutzen referma ensuite la porte, et la verrouilla à clef, puis reporta son attention sur Alix... Et commença par la pousser avec le pied. Alix tomba ainsi sur le dos, et Doutzen retira ses sandales rapidement, puis écrasa la verge de la femme contre son pied, plaquant sa queue sur son ventre, et appuya fort pendant quelques secondes.

« Tu vas voir, je vais te dresser, moi, sale pute ! »
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le jeudi 13 décembre 2018, 18:28:36
Là, vraiment Alix, tu y es sans doute allée un peu fort. Ce fut exactement ma pensée lorsque Doutzen se redressa d’un air furibond. Refuser sa sodomie tant souhaitée par ma maitresse était déjà très punissable, mais rajouter une moquerie délibérée avec ça… Moi et ma grande gueule décidément. Certes, cette punition était amplement méritée, en plus d’être ce que je recherchai, mais je savais combien la lycéenne pouvait se montrer particulièrement stricte et peut-être même un peu violente.
Cette fois, mon cul allait prendre cher ! J’étais désormais divisée entre l’excitation de la découverte, de la surprise, et la crainte d’une douleur bien trop forte à mon goût. Après tout, mes premiers débuts dans le sadomasochiste n’avaient pas été un franc succès, et ils ne m’avaient même pas du tout laissé un souvenir mémorable. Je me replaçai à genoux, attendant sagement que Doutzen termine de fouiller ses affaires, dévorée par la curiosité et un début d’excitation.

*Qu’est-ce qu’elle va me sortir ? Ferme ta gueule, Alix, c’est pas le moment d’en rajouter…*

Un cockring, et une laisse ? Je ronronnai presque quand ma maitresse me les enfila comme une parfaite petite chienne à ses pieds. Ouf, honnêtement, je m’étais imaginée bien pire et je me mis à quatre pattes avec un certain soulagement. Ce dernier fut de courte durée par contre, vu que ma maitresse se rhabilla en m’insultant copieusement et me traina en-dehors du placard. En public ! Mon cœur s’emballa au moment où nous franchîmes la porte, mais à mon grand soulagement, le couloir était désert, et il n’y avait donc personne pour admirer mes fesses nues.
La marche à quatre pattes est plus compliquée que l’on se l’imagine, surtout quand on se balade avec un plug anal, un cockring, une énorme érection, et qu’on nous oblige à descendre des escaliers. Mais Doutzen, qui était habillée elle, n’en démordait pas et tirait sur ma laisse dès que je faisais mine de ralentir un peu la cadence. Nous longeâmes des pièces inconnues, j’étais nouvelle ici de toute manière, jusqu’à s’arrêter devant une porte similaire que ma maitresse déverrouilla aussitôt.

« Ah… Oh… » Dis-je bêtement en découvrant une véritable antre du masochisme.

Très honnêtement, je n’avais aucune idée de l’usage de la moitié de ces trucs. Bien évidemment, je pouvais supposer que l’on s’attachait ici et là, qu’on flagellait avec ci ou ça mais…

« Ça sert à qu-… Ouhap ! »

Doutzen m’avait propulsé sur le cul sans crier gare. Le plug s’enfonça à nouveau dans mon postérieur, ce jouet qu’on ne m’avait pas retiré depuis des lustres, et m’arracha un couinement subite. Le regard à la fois pervers et furieux de ma maitresse m’informa que, décidément, j’allais passer un bien mauvais moment. Ou bien un délicieux moment à me faire torturer par ma somptueuse maitresse, tout ça restait à voir !

« Ahan… Oui… Han maitresse… »

C’était difficile d’articuler quand un pied, franchement sexy, vous écrasait sournoisement le pénis. Hors, je dois bien avouer que cette situation m’excitait terriblement. Etant plaquée dos contre le sol, le moindre mouvement de Doutzen remuait davantage le plug fiché dans mon fondement, et faisait remonter de délicieuses sensations dans tout mon corps. Si bien que je me retrouvais à gesticuler moi-même sur le sol, en gémissant de plaisir, soumise au pied de ma maitresse.

« Hmm… Qu’est-ce que vous allez me faire… faire à votre pute, maitresse ? » Parvins-je à articuler en admirant la jambe fuselée de Doutzen martyriser mon érection.

Je remuai le bassin sur le sol comme un asticot, finissant par utiliser malgré moi le pied de Doutzen pour me masturber, en frottant mon sexe contre ce dernier. Quelle image devais-je donner ! Je me faisais brutaliser, plaquée et écrasée au sol, un jouet dans le cul et un anneau autour du sexe, mais pourtant, j’étais incroyablement excitée… C’était plus fort que moi !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 17 décembre 2018, 00:44:11
Doutzen se retrouvait face à ce même paradoxe qui agitait les soumis. Comment les punir vraiment ? Ce n’était pas en les humiliant ou en les battant qu’on y arrivait, car c’était très précisément ce qu’ils attendaient ! Et là, en maltraitant la queue d’Alix avec son pied, Doutzen savait que la jeune femme appréciait. Fort heureusement, Doutzen n’avait pas encore dit son dernier mot ! Car, face aux soumis de cette nature, qui étaient très masochistes, il fallait jouer sur la frustration ! Et, là-dessus, Doutzen avait justement des instruments à sa disposition.

Tout en ayant sa queue écrasée, Alix continua d’ailleurs à la provoquer, ce qui amena Doutzen à appuyer davantage avec son talon.

« Mais tu continues encore à me narguer, Alix !! »

Elle serra encore, puis relâcha alors la pression, laissant la queue d’Alix se redresser. Sans rien dire, Doutzen se rapprocha d’une table, et la rapprocha, puis récupéra divers instruments dans un placard : des cordes, un bandeau noir, des pinces, et une ceinture abritant une série de godes de taille et de forme différents qui pendouillaient à cette dernière. Avec sa main, elle tira sur la laisse d’Alix, lui ordonnant de se coucher sur la table. Particulière, celle-ci abritait en effet plusieurs sangles.

Doutzen avait un ton sévère, et désigna la table :

« Allez, dessus ! Couche-toi dessus sur le dos, sale pute ! »

Une fois qu’Alix se fut exécutée, Doutzen l’attacha à hauteur des poignets et des chevilles. Ses poignets se retrouvèrent ligotées sous la table, et ses chevilles le long des pieds de la table, qui comprenaient des sangles. Quant à sa tête, Doutzen l’attacha avec son collier à une sangle au milieu de la table. Ainsi ligotée, la jeune femme était sans défense. Doutzen appliqua ensuite sur son visage le bandeau, bloquant sa vue, et attrapa ensuite les cordes.

« Rassure-toi, j’ai des notions en la matière. Au Japon, le shibari est un véritable art, et, au lycée, il existe des cours particuliers pour nous apprendre ça. Tu vas voir... »

Elle avait glissé cela sur un ton doux, inhabituellement et dangereusement doux. Lentement, elle attacha la femme, tout en enfonçant dans sa bouche un nouveau gode. Elle utilisa les cordes pour retenir le tout en elle, et termina son œuvre en pinçant ses tétons avec ses pinces à linge. De la même manière, elle retira également le plug anal d’Alix pour un plus gros.

Le spectacle final était saisissant (http://img110.xooimage.com/files/9/1/5/bondage-5580569.png).

Doutzen sourit lentement en l’observant, puis attrapa un appareil photo situé dans la pièce, et photographia la jeune femme, puis attrapa la télécommande contrôlant les vibromasseurs.

« Bon, j’ai pris beaucoup de retard, alors... Je vais venir te revoir pour la récréation, dans une bonne demi-heure. D’ici là, tu seras sans doute devenue plus sage. »

Impossible pour Alix de contester, et Doutzen appuya sur le bouton, enclenchant les vibromasseurs. Elle la laissa ensuite sur la table, à souffrir en silence, avec sa queue tendue, et qui ne pouvait pas jouir. Une frustration intense, tandis que, avec les sangles et les cordes, Doutzen avait totalement immobilisé Alix sur la table. C’était une punition bien méritée, et Doutzen referma la porte à clef derrière elle, avant de filer.
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le jeudi 20 décembre 2018, 19:13:15
Le rôle de peste rebelle me collait à la peau. Même dans cette posture indécente, à me faire malaxer le sexe par la plante de pied de ma maitresse, il m’était impossible de réfréner mes provocations. J’ondulai au sol, cherchant à frotter le bout de ma verge contre ses orteils chauds, ce qui créait de délicieuses sensations en plus de narguer Doutzen. Quelque part, j’étais véritablement curieuse de voir jusqu’à quel point était-il possible de la pousser.

« Mais non… maitresse… » Répondis-je innocemment.

Non, à peine ! Doutzen répliqua en pressant fermement mon érection, me faisant échapper malgré moi un léger ronronnement, avant de m’abandonner là pour farfouiller dans un placard. Qu’est-ce qu’elle comptait préparer au juste ? Je me retrouvais dévorée de curiosité à son égard, cherchant véritablement à savoir si elle  allait se montrer à la hauteur de mes espérances.
Car ce n’était ni plus ni moins qu’un mind game ! J’éprouvai comme une fierté bizarre d’être considérée comme une esclave difficile à mater, et il me fallait absolument découvrir si Doutzen était celle qu’il me fallait. Allait-elle enfin réussir à me clouer le bec ? Ou bien allait-elle lâcher l’affaire rapidement ? C’était tout l’intérêt de cette surenchère de provocations, et je la vis revenir vers moi, les bras chargés d’accessoires tous plus lubriques les uns que les autres.

« Oui maitresse ! » Répondis-je avec enthousiasme en m’allongeant sur la table conformément à ses ordres.

Honnêtement, tout cela prenait une tournure qui m’excitait plus que de raison. Doutzen se mit à littéralement me saucissonner à la table à l’aide d’un jeu de sangles, si bien que mon pauvre cœur commença à s’emballer. Être ainsi sans défense avait une saveur incomparable de luxure, et je brûlai de connaitre la suite sulfureuse. D’ailleurs mes pensées s’emballèrent déjà, l’imaginant me prendre ici et maintenant, enchainer les tortures autour de mon sexe déjà si malmené…

« Le quoi ? J’crois que j’ai pas encore ce cours-là, par contre j’veux bi- Hmpf !... »

Un gode me coupa la parole. Aveuglée par un bandeau doux, je sentis des cordes venir emprisonner mes seins, entourer mon ventre, maintenir mes jambes complètement écartées… Doutzen ajouta des pinces sur ma poitrine, ce qui déclencha chez moi un petit couinement douloureux, aussitôt suivi d’un soupir de plaisir quand elle enfonça un nouveau plug entre mes fesses.
Des bouffées de chaleur s’emparèrent de moi, et je sentis la pointe de mon sexe perler d’excitation. Finalement, ma maitresse était peut-être bien plus à la hauteur que je ne l’aurais imaginé… J’essayai de remuer mollement contre la table, une bien vaine tentative quand les cordes me retenaient alors que je n’avais même pas la moindre d’envie de m’y soustraire.

« Humpf ?! » Et qu’est-ce que c’était que ce bruit ? Doutzen prenait des photos ?!

Difficile de protester plus clairement avec la bouche occupée, et le démarrage des vibromasseurs m’arracha de toute manière, un cri étouffé. Hors, la voilà qui me laissait là ! J’entendis vraiment la porte s’ouvrir puis se verrouiller, me laissant dans le silence presque complet si ce n’est le léger bruit des jouets. Ce coup là, je ne l’avais pas vu venir…! Je tentai de gesticuler légèrement, mais les cordages étaient trop serrés, et cela ne faisait qu’enfoncer davantage le plug entre mes fesses.
Je poussai un profond soupir, me forçant à demeurer calme. Bon, Alix, ce n’est jamais qu’une demi-heure, il suffit de serrer un peu les dents jusqu’au retour de Doutzen… Si les trente premières secondes furent effectivement supportables, ce ne fut pas le cas des vingt-neuf minutes et trente dernières secondes ! Les vibrations remontaient le long de mon sexe, complètement verrouillé par l’anneau à sa base, et le moindre sursaut faisait remuer le gode à l’intérieur de mon cul.

*J’y arriverai pas… J’vais devenir dingue, c’est pas possible… Pourquoi j’ai pas fermé ma gueule, bordel de bordel…*

Une véritable torture. Mon corps remuait parfois de lui-même comme pour échapper aux stimulations, empirant encore davantage la situation, et je me retrouvai rapidement en sueur à baver sur le gode dans ma bouche. Depuis combien de temps était-je ici ? Une éternité ! Quoique je fasse, quelque chose me touchait, me caressait, me pinçait, si bien qu’au bout d’un moment, même ma respiration exacerbait l’insupportable plaisir…
Ce serait sans doute agréable si, à mon grand désespoir, Doutzen ne m’avait pas collé ce cockring ! Je n’avais même plus aucune notion du temps, peut-être quelques secondes s’étaient écoulées, peut-être une dizaine de minutes, comment le savoir ? Mon esprit hurlait qu’on le délivre de cette punition, bien méritée pourtant, qu’on me détache, qu’on m’encule, qu’on me fasse jouir ! Peu importe, tant que ça s’arrêtait, sans quoi j’allais devenir complètement cintrée.

« Humm !!! » Hurlai-je derrière mon bâillon, au bord des larmes, et la verge prête à exploser.

La porte ! Je l’avais entendu, quelqu’un était rentré ! Je gémissais pitoyablement, la peau trempée de sueur, un filet de bave s’échappant de mes lèvres, et le sexe dégoulinant de désir. Était-ce Doutzen, ou quelqu’un d’autre ? A ce stade, je n’en avais plus rien à cirer, plus aucune honte, pourvu que l’on me délivre de cette punition ! En particulier les vibromasseurs, je ne pouvais plus supporter ces stimulations sur la queue, et qui se répercutaient ensuite le long des cordes.

Mon corps était littéralement en feu. Je couinai pathétiquement, en espérant que l’on comprenne le message : Je ferai n’importe quoi pourvu que l’on me fasse jouir !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 24 décembre 2018, 00:49:32
Doutzen profita de sa demi-heure pour retrouver son calme. Elle récupéra ses affaires, et en profita ensuite pour appeler quelques membres du club qu’Alix verrait ce soir. Pendant ce temps, elle avait lancé une application avec son téléphone portable qui la connectait à la webcam qu’elle avait allumé dans la pièce, ce qui avait au passage déclenché une notification pour chaque membre du club. Chaque membre pourrait ainsi lancer l’application, et voir qu’une esclave était en train de souffrir dans leur salle d’entraînement. Le conseil des élèves disposait de son propre club, et d’un budget suffisamment conséquent, ce qui avait permis aux femmes travaillant dans le club d’avoir des équipements de ce genre. Des équipements redoutables qu’Alix était en train de découvrir. Cette demi-heure promettait d’être la plus longue de sa vie !

*Mais elle l’a bien cherché, après tout... Il ne fallait pas me provoquer !*

Doutzen profita de ce cours pour contacter d’autres amies, et ne s’intéressa pas une seule seconde à ce dernier. À la fin du cours, elle retrouva donc deux autres membres du conseil d’élèves : Youko (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1729435), qu’Alix avait déjà eu l’occasion de croiser, et Shidaru (https://orig00.deviantart.net/847b/f/2018/024/9/0/hotaru_shidare_by_dandonfuga-dc11wm2.jpg), une autre élève assez intelligente, mais au tempérament sulfureux, et qui aimait bien provoquer les autres. Ensemble, le trio se rendit dans le local, et Doutzen referma la porte derrière elles.

En les entendant, Alix se mit à gémir, se tortillant sur place. Les filles gloussèrent en tournant autour d’elle, et la main de Shidaru ne tarda pas à caresser son sexe bien tendu.

« Tu lui as mis un cockring ?
 -  C’est une punition !
 -  Oui, et ça a l’air de bien marcher... Regarde comme elle frétille sur place. Si on pouvait la laisser parler, je suis sûre qu’elle implorerait qu’on lui retire cet anneau, et qu’on la fasse jouir. »

Elles s’amusèrent encore, Youko caressant les cordes, complimentant Doutzen sur la qualité de son cordage. Le shibariétait un art délicat, très difficile, et elles s’entraînaient habituellement sur des mannequins. Doutzen avait appris auprès d’autres femmes, précisément comme Youko, et la jeune femme était donc fière des progrès accomplis. L’art de la corde était un art délicat, il fallait faire les bons nœuds, à des endroits précis, afin de pouvoir immobiliser sa proie, sans pour autant lui faire trop mal. À la base, le shibari était avant tout une forme de torture, car, en contorsionnant le corps dans des positions inattendues, on pouvait infliger de grandes souffrances musculaires. L’évolution aidant, le shibari était depuis un art érotique, et les maîtres de cette discipline recevaient souvent des clients voulant juste s’encorder pendant des heures.

Youko caressa ensuite le visage d’Alix, glissant ses doigts sur son bandeau. Elles continuaient à l’observer depuis quelques minutes, et Shidaru se concentra sur sa queue, léchant goulûment ce membre épais, se délectant des couinements d’Alix. Doutzen se déplaça alors, et se rapprocha de l’oreille d’Alix :

« Écoute-moi très attentivement, Alix... Si tu veux jouir, tu vas devoir faire une dernière chose pour moi... »

Pendant qu’elle parlait, Youko s’affairait, et amenait une bonbonne d’eau abritant un liquide plus doré. Si Alix pensait avoir fait le tour de la perversion des filles qui l’entouraient, elle allait vite déchanter ! Youko attacha à la bonbonne un tuyau relié à un masque, et, quand le gode fut retiré de la bouche d’Alix, on se dépêcha de lui mettre le masque.

« Tu es vraiment une vilaine esclave, Alix, et nous allons t’humilier plus bas que terre. Pour les esclaves comme toi, nous avons une belle bonbonne, que nous remplissons régulièrement. Elle contient... De l’urine ! »

Et, pendant que Doutzen le lui expliquait, le cockring fut retiré, ainsi que le bandeau obstruant sa vision, ce qui lui permettrait, en tournant la tête, de voir ses trois tortionnaires.

« Tu vas jouir en buvant notre pisse, Alix ! Et nous arrêterons la bonbonne quand tu auras joui sur nous trois !
 -  Moi d’abord ! »

Youko était la seule à ne pas porter de sailor fuku, ayant encore sa ravissante robe noire moulante en latex. Et, tandis que Shidaru grimpait sur Alix, et approchait ses lèvres intimes pour s’empaler sur elle, Doutzen appuya sur un bouton... Et le liquide doré s’écoula de la bonbonne pour rentrer dans la bouche d’Alix...

...Et Shidaru s’empala alors sur elle !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le samedi 29 décembre 2018, 02:19:13
La délivrance, enfin ! Cette demi heure fut sans aucun doute la pire de ma courte existence, attachée, pénétrée, bâillonnée et contrainte à prendre ainsi un plaisir intense, et ce sans la moindre possibilité de me soulager, la faute à ce maudit cockring. Au moins, étais-je rassurée sur la redoutable créativité de Doutzen dans le domaine de la perversité. Le doute n’était plus permis, elle était véritablement la maitresse qu’il me fallait, et pire encore, la dominatrice que je commençai vraiment à craindre. Après cette rude leçon, je me sentais clairement la volonté d’un doux agneau.
Plusieurs paires de talons brisèrent le désespérant silence qui m’entourait, trois nouvelles voix se firent entendre dont celle de ma maitresse, que j’accueillis avec des gémissements et des gesticulations de soulagement. Traduction : J’ai compris, bordel ! Délivrez-moi ! Tout aurait été si simple alors, mais évidemment, ça ne l’était jamais avec Doutzen. Celle-ci était accompagnée de Youko dont je reconnus la voix après notre rencontre précédente, et une autre, inconnue.

*Oui c’est un foutu cockring ! Enlevez-moi ça pitié ! J’vais devenir-… Oh non pas ça…*

Comme si la torture actuelle n’était pas suffisante, voilà qu’une main délicate se mit à caresser doucement mon sexe, déjà maintenu au bord de l’explosion. Je hurlai plaintivement, désespérément, mais le sex-toy enfoncé dans ma bouche m’empêcha d’exprimer clairement des supplications… Quoique, avec mon corps qui se cambrait, sautillait et tressautait à chaque fois que l’on me touchait, mon état d’esprit était plus qu’évident à ce stade.
Doutzen vint me susurrer soudainement ces consignes à l’oreille. J’étais alors très occupée à hurler derrière le bâillon, à couiner lamentablement, alors qu’une langue chaude et avide titillait ma queue gonflée. Laquelle de ces trois perverses faisait ça ?! Je n’en avais aucune idée, et de toute manière, ça n’avait plus beaucoup d’importance puisque ma maitresse m’exposa soudainement le supplice lubrique qui m’attendait.

*Non ! Pas la pisse, c’est crade !* Hurlai-je dans ma tête, craquant complètement.

Mais c’était peine perdue, car on retira le gode de ma bouche pour y sceller l’horrible masque et, maigre soulagement, ces trois pestes retirèrent cette saleté de cockring et le bandeau aveuglant. J’eus au moins l’occasion de découvrir la troisième perverse de l’équipe. Magnifique d’ailleurs, avec un soupçon de provocation dans le regard qui ne me laissait pas indifférente, mais… En l’occurrence, j’étais davantage paniquée par le châtiment dégoûtant qui allait s’abattre sur moi dans un instant.
Je serrai les lèvres en sentant le liquide chaud se déverser dans le masque. Hors de question d’ouvrir la bouche, je ne pouvais pas, ça ne devait pas se produire ! Cette simple idée me levait l’estomac. Le dégoût ressenti me fit momentanément oublier ce qui se passait à l’autre bout de mon corps, jusqu’à Shidaru s’empale sans prévenir sur mon sexe libéré de son anneau. Une vive sensation de chaleur entoura cette partie de mon anatomie, serrée dans cette antre délicate qui…

Me fit jouir instantanément.

 J’échappai un malheureux couinement qui m’obligea à desserrer légèrement les lèvres, permettant à un soupçon d’urine de s’infiltrer dans ma bouche, mais je me forçai à la refermer aussitôt. Sous la pression, le masque commençait à déborder sur le côté, complètement saturé de liquide jaune.

« Mais !... C’est pas vrai qu’elle a déjà juté ! » S’écrira Shidaru, frustrée, en se redressant pour regarder ma queue pulser de belles quantités de foutre sur son entrejambe.
« Oh, elle devait vraiment se retenir avec tout ça. Eh bien, à mon tour alors ! » Gloussa Youko.

Shidaru n’avait pas l’air ravi de ma performance. Une généreuse quantité de sperme s’étalait sur ses lèvres intimes, ainsi qu’une bonne quantité dans le creux de ses cuisses nues, coulant même sur ses collants d’écolière. J’avais littéralement explosé à l’instant où mon gland avait touché sa féminité chaude, ce qui n’avait rien d’étonnant après toute cette frustration emmagasinée !

« C’est injuste ! Et regardez, elle refuse encore sa punition ! » Shidaru pointait les filets d’urine débordant du masque. « Tu vas me nettoyer ça ET me faire plaisir, sale chienne ! »

Cela aurait dû m’inquiéter. Mais à ce stade, j’étais bien trop concentrée à sceller ma bouche pour éviter de goûter à cet atroce liquide, plutôt que de me pencher sur les invectives de la jeune femme. Et d’ailleurs, tout s’enchaina très vite. A ma grande surprise, la belle Shidaru coupa la bonbonne d’urine pendant que Youko s’affairait à je ne sais quoi, et on me retira le masque de la bouche.
Le soulagement !... L’espace de quelques secondes. Je vis à nouveau Shidaru m’escalader pour se placer à cheval au-dessus de ma tête, un sourire sadique aux lèvres. Dans cette posture, j’avais une parfaite vue sur son entrejambe nue, et surtout, complètement dégoulinantes de sperme épais.

« Tu vas vu ce que tu as fait ?! » Shidaru en profita pour me gifler sèchement. « Tu vas me lécher tout ça comme une bonne salope. »

Qu’étais-je sensée répondre à cela ? Je n’eus même pas l’occasion de formuler la moindre argumentation, puisque Shidaru s’assit littéralement sur ma figure. Ma bouche entra en contact avec ses lèvres intimes, chaudes, douces et surtout souillée de foutre. Comme un réflexe de soumise, malgré l’humiliation, je me mis à les lécher, glissant tendrement ma langue dans son intimité, ce qui ne manquait pas de collecter mouille et… Le reste.

« Hmm… Parfait. » Shiradu m’attrapa les cheveux, et colla davantage son bassin contre mon visage. « C’est qu’elle a l’air d’aimer son propre sperme, vous avez vu ? Tu as vraiment trouvé une perle. »
« Je ne suis pas certaine que ce soit une bonne punition, dans ce cas. » Observa Youko, que j’avais perdu de vue à ce stade.

Je m’occupais de nettoyer l’intimité de Shidaru, la léchant consciencieusement en lui arrachant des gémissements, tandis qu’une main caressait délicatement mon sexe en train de se raidir à nouveau. Youko allait probablement s’empaler sur moi à son tour, se servir de mon corps comme un jouet.
Tout ce que j’avais sous les yeux, c’était le sexe de la lycéenne et son ventre frémissant qui disparaissait sous l’uniforme, tandis que ma langue se promenait à l’intérieur d’elle. Et honnêtement, c’était bien moins pire que la bonbonne…
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 04 janvier 2019, 00:43:34
Alix était une esclave rebelle, très masochiste, mais Doutzen se dit qu’elle avait peut-être trouvé sa limite en la voyant fermer ses lèvres, refusant catégoriquement le liquide doré. Une humiliation encore trop forte pour elle… C’était aussi la preuve que Doutzen n’était pas une Maîtresse cruelle. Elle cherchait juste la limite d’Alix, et, maintenant qu’elle venait de la trouver, elle avait un moyen de pression ! Elle compatit un peu pour Shidaru… Juste un peu ! La jeune femme était en souffrance, elle se tortillait nerveusement sur place, à tel point qu’Alix jouit presque instantanément, ce qui ne manqua pas de frustrer Shidaru. Doutzen, de son côté, laissa ses deux amies s’affairer avec la jeune femme. Shidaru ne tarda pas à retirer le masque et la bonbonne, et présenta à la place son sexe, avant de s’asseoir sur le visage d’Alix, qui dut la lécher. Silencieuse, Alix émergeait encore de sa demi-heure de frustration, tandis que Youko observait la scène.

La jeune femme avait une culotte très spéciale à retirer (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1729438), et s’affairait donc, prenant aussi son temps, pendant que Doutzen, elle, réfléchissait soigneusement à la suite. Elle avait encore une nouvelle idée pour punir Alix, et se déplaça vers elle, pendant que Youko se mettait également en position. La belle brune avait grimpé sur les hanches d’Alix, s’appuyant sur ses cuisses, et frottait doucement ses lèvres intimes contre son sexe.

« Tu me fais honte, Alix… Jouir ainsi vite, comme une petite pucelle… J’ai promis à mes copines une esclave talentueuse et formée, et, au lieu de ça, je tombe sur une éjaculatrice précoce !
 -  Ouais, je ne sais pas si on va maintenir la réunion de ce soir… Nous sommes des déléguées de classe, nous, des femmes de haut standing ! »

Doutzen s’était penchée derrière Shidoru. Toutes ces femmes avaient déjà fait l’amour ensemble, et elles étaient autant des amies que des amantes. Le sexe était omniprésent à Mishima, dissimulé dans les soubassements, derrière les portes fermées des réunions de club. Il n’était pas affiché à l’entrée, mais le sexe s’emparait rapidement de chaque élève, et ceux glissant entre les mailles du filet étaient rares, très rares… Et relevaient davantage d’accident de parcours qu’autre chose.

Tandis que Youko continuait à se tortiller au-dessus de la queue de la belle Alix, Doutzen poursuivit ses instructions :

« Youko va s’empaler sur toi, et je vais chronométrer… Si tu jouis en moins de deux minutes, tu passeras toute la matinée rivée sur cette table, jusqu’au déjeuner… Au moins ! »

Ce qui était assurément une perspective horrible et insoutenable ! Mais, après avoir passé une demi-heure attachée là-dessus, Alix devait se douter que Doutzen était tout à fait capable de mettre sa menace à exécution.

« Hmmm-hmmm… Je vais commencer, ma belle…
 -  Et après, ce sera à moi… Et tu auras intérêt à faire oublier ta prestation minable ! »

Shidaru méritait bien ça. Elle n’avait même pas pu en profiter !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le vendredi 11 janvier 2019, 18:29:17
Le pire moment était passé… Du moins le croyais-je, et l’espérai-je bêtement. Mon débarquement dans ce lycée de la perversion était très récent, à peine quelques jours, et j’étais bien en peine d’imaginer l’ampleur de la débauche qui y régnait. Ces trois pestes notamment, avec leurs uniformes d’écolières présentables, leurs sourires innocents, se déchainaient sur ma pauvre personne. Et après le coup de l’abominable bonbonne d’urine, je craignais vraiment la suite des idées de Doutzen…

*Pucelle, mon cul ! C’est ça de m’avoir attachée pendant trois heures comme ça !* Hurlai-je mentalement.

La mention d’une réunion en fin de soirée m’inquiéta davantage que la situation présente. Qu’est-ce que ces folles prévoyaient ? J’étais partagée entre une légère inquiétude, et une profonde excitation renforcée par la position dans lequel je me trouvais actuellement. L’intimité de Shidaru me clouait le bec, là où une délicieuse mouille commençait à dégouliner sur le bout de ma langue, et je sentais en même temps quelque chose de doux et de chaud se frotter contre mon sexe.
Ces vicieuses profitaient de mon corps sans retenue ! Shidaru était en train de remuer sa croupe sur mon visage, le trempant d’un mélange de cyprine et de sperme, et je sentais un fort durcissement entre mes jambes à cause des caresses de sa collègue. Youko devait forcément se trémousser sur ma queue, ce qui m’excitait plus que de raison, probablement parce que je ne pouvais pas la voir dans cette position !
La vue m’était interdite, bouchée comme elle était par le bas ventre de Shidaru qui m’obligeait à la lécher, mais mon imagination faisait le reste, et je sentis une nouvelle érection se manifester. Exactement ce qu’attendait Doutzen pour me mettre sur le grill à nouveau.

« Mmmh ! » Gémis-je en entendant ses consignes.

Ma langue était coincée dans le minou de la lycéenne, mais grossièrement traduit cela donnait sans doute quelque chose comme ceci : « Non ! Pas encore ! J’veux pas rester là seule ! J’serai sage ! ». Clairement, la perspective de passer encore plus de temps attachée et incapable de faire cesser le plaisir des sex-toys vibrants dans mon cul, ce n’était même pas envisageable !
Nullement le temps de m’appesantir là-dessus, Youko me prévint de la suite, et je me concentrai sur ma tâche présente pour oublier les sulfureuses sensations. Lécher et cajoler le sexe de Shidaru trompa quelques temps mon imagination, mais il m’était totalement impossible de faire fi de la délicieuse sensation de chaleur, de douceur qui entourait étroitement mon sexe durci.

« Ahmm… Au moins, elle a un beau membre qui n’est pas décevant… » Précisa Youko, là derrière, ce qui fit glousser Shidaru.

« Faudrait déjà qu’elle tienne le coup plus de trente secondes. Aller, lèche mieux que ça, petite trainée ! »

Difficile de dire si ce fut le terme de trainée, ou la gifle que Shidaru m’asséna, mais je poussais un couinement pathétique qui la fit glousser d’autant plus. Je commençai à avoir une nette préférence pour Shidaru la provocatrice, peut-être était-ce simplement le ton cinglant, ou bien parce que j’avais une vue plongeante sur son corps nu en train d’onduler sur mon visage.
Quoiqu’il en soit, j’appréciai vraiment la manière dont la lycéenne me traitait, si bien que je redoublai d’effort pour lui faire plaisir, en oubliant quasiment Youko et tout le reste. Avec le temps, le plug entre mes fesses faisait presque partie de mon corps, au point qu’il m’était presque sortie de la tête, et je trouvai une sorte de réconfort agréable à être attachée ainsi à leur merci.

*J’vais faire mieux que deux minutes, z’allez voir…*

Ma langue visitait furieusement l’entrejambe de Shidaru, remuant lubriquement entre ses lèvres intimes, collectant l’onctueuse cyprine tout en revenant cajoler son clitoris de temps à autre. Des manœuvres qui n’étaient pas dépourvues de succès puisque je l’entendais gémir, et onduler sur mes lèvres, tandis que le goût de sa mouille se propageait dans ma bouche. Cela présentait également l’avantage de me faire presque oublier Youko empalée sur mon sexe rigide, ce qui me préservait d’un orgasme précoce cette fois-ci. Doutzen allait être fière de moi !
Désormais, une volonté farouche de me montrer à la hauteur m’habitait, d’être une parfaite esclave endurante qui pouvait faire plaisir à Shidaru, ma mai-… Doutzen. Oups. Ce n’était pas le moment de m’oublier en les confondant. Quoiqu’à ce stade, je me considérai comme la soumise de toute ces perverses infarles. En tout cas, je ronronnai d’aise en léchant l’intimité de la lycéenne, appréciant tout particulièrement d’être ainsi dans sa posture inférieure.

Pendant ce temps, les minutes s’écoulaient au rythme des mouvements de Youko sur mon sexe, des gémissements de Shidaru… Et moi je tenais le coup, fidèlement aux injections de ma maitresse !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 14 janvier 2019, 00:47:03
Doutzen devait tout de même sauver son honneur face à ses amies ! Que diraient-elles, si elle leur offrait pour ce soir une esclave qui se transformait en éjaculatrice précoce ? Certes, une femme hermaphrodite attirait toujours des points bonus, mais, quand même... Doutzen se devait d’être à la hauteur ! les délégués de classe de Mishima étaient des élèves particuliers, des élèves qui connaissaient les subtilités de Mishima, qui connaissaient son véritable visage et toute la dimension sexuelle inhérente au lycée. Qu’ils soient de sexe masculin ou féminin, les délégués étaient des amants redoutables, qui appréciaient les esclaves. Entre eux, c’était une sorte de jeu, de concours. Après tout, la moitié des professeurs du lycée asservissaient certains de leurs élèves, et les délégués s’amusaient donc à soumettre certains élèves. Doutzen était donc impatiente de leur présenter Alix. Certes, la jeune femme n’était pas, à la base, une élève, mais elle avait été inscrite, de sorte que sa situation était régularisée. Doutzen l’avait présenté en avant-première à Shidoru et à Youko, et les deux femmes étaient conquises.

Youko, qui avait l’habitude de porter des vibromasseurs en elle, soupirait de plaisir en sentant la trique d’Alix. Une verge naturelle était tout de même préférable à une verge synthétique ! Et la queue d’Alix durcissait et gonflait en elle, membre veineux et assoiffé qui venait progressivement la remplir, déformant son sexe, remontant jusqu’à taper contre son col de l’utérus. Soupirant et gémissant longuement, Youko fermait régulièrement les yeux en dansant sur son corps.

« Haaaaannn, ouuuiii, hmmm...
 -  Hmmmm, elle lèche b-bien, haaaa... Ta petite chienne, hmmm... »

Doutzen était finalement la seule qui ne pouvait pas en profiter, mais elle comptait bien se rattraper dans le courant de la journée, notamment ce midi. Alix était bien décidée à tenir, et dépassa allègrement les deux minutes. Youko mouillait de plus en plus sur sa verge, tout comme Shidaru, qui recouvrait de sa mouille le visage de la jeune femme. Alix était en ce moment en situation de bonheur, ainsi prise par ses deux amantes. Aucune des deux n’avait envie d’en terminer, et elles continuaient donc leurs efforts, sans relâche, faisant remuer la table.

Au bout de plusieurs minutes supplémentaires, Youko se mit finalement à jouir, et répandit sa mouille sur la queue d’Alix, qui put également jouir avec grand plaisir en elle. Shidaru, impatiente, remplaça alors Youko, et Doutzen se glissa derrière Alix, s’assurant qu’elle ne pourrait toujours pas voir.

« Je préfère que tu imagines le corps de Shidaru, ma petite esclave... Comme ça, aujourd’hui, tu te demanderas toujours en voyant mes amies qui s’est empalée sur toi avec tant d’énergie ! »

Ce n’était pas grand-chose, mais c’était une petite facétie que Doutzen appréciait. Youko, de son côté, avait laissé Shidaru la remplacer, et caressa rapidement le corps d’Alix, glissant ses doigts gantés sur ses seins. Elle pinça ses tétons, remplaçant les pinces à linge par ses doigts. Elle pinça ainsi chaque téton, tandis que Doutzen, s’avançant sur le corps d’Alix, alla l’embrasser, plaquant sa bouche sur la sienne, coinçant ainsi son corps.

En tout, elles allaient passer toute la pause ici, à s’envoyer en l’air avec la belle esclave, qui allait devoir jouir une troisième fois !

« Ouiii, là, c’est  bien mieux, hmmm... Clairement mieux, haaaaa... !! »

Là, Shidaru était convaincue, pour le plus grand plaisir de Doutzen !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Alix Sable le lundi 21 janvier 2019, 23:46:06
Deux minutes ! Après une bonne demi heure de supplice sur cette maudite table, deux minutes ne représentaient clairement plus grand-chose à ce stade. Bien malgré elle, Shidaru m’avait en quelque sorte soulagé de toute cette frustration accumulée précédemment, et je me sentais beaucoup plus d’attaque. Avec la queue certes, un peu plus douloureuse d’être si rapidement sollicitée, mais tout de même suffisamment remise pour satisfaire aux exigences de mes tortionnaires.
L’esclave exemplaire quoi ! La cyprine de Shidaru emplissait ma bouche, inondant ma langue de son goût délicieux et chaud, si bien que j’en oubliais presque la seconde de ces pestes en train de s’agiter sur mon sexe. L’une comme l’autre semblaient particulièrement apprécier mon corps, si j’en jugeai par les gémissements onctueux et les petits cris de plaisir emplissant la pièce.

Combien de temps cela continua ainsi ? J’en perdis le fil, tout occupé à satisfaire la provocatrice Shidaru dont les ardeurs étaient plus ou moins domptées par ma langue agile. Hé, je ne me débrouillais pas si mal, à faire serpenter ma langue entre ses lèvres intimes inondées !

« Mmhann ! » Gémis-je, à demi étouffée par le sexe sur ma bouche, alors que Youko se cambrait sous un orgasme.

Difficile de résister aux frémissements de la lycéenne sur ma verge, ses ondulations, l’onctuosité de sa mouille qui recouvrit mon bas ventre sous l’orgasme. Un petit cri étouffé plus tard, une légère cambrure de mon dos, et me voilà en train de jouir à mon tour ! Pour la deuxième fois d’affilé ! Et même pas une minute de repos pour moi, alors que Shidaru retire son entrecuisse de ma bouche luisante de cyprine pour remplacer sa perverse de collègue.

« M-maitresse, je… »

Bien entendu, je n’avais plus voix au chapitre. Doutzen me masqua la vue en venant lier ses lèvres aux miennes, en un baiser profond et vaguement humide, mais je n’avais pas besoin de voir pour comprendre ce que Shidaru projetait. Celle-ci grimpa au-dessus de mes jambes, agrippant fermement mon sexe encore raide, dégoulinant de mouille et de sperme, avant de s’empaler dessus sans cérémonie.
A la fois chaud, doux, et tout de même légèrement douloureux, je fis de mon mieux pour ne pas gémir sous cette seconde stimulation rapide. On n’avait même pas le temps de respirer avec des perverses comme ça ! Shidaru se mit en mouvement, empalée joyeusement sur mon sexe tendu qui semblait tout à fait lui plaire, si j’en jugeai par ses gémissements et sa danse fiévreuse. Quant à moi, je ne voyais rien, ce qui était bien dommage malgré les baisers de ma maitresse.

« B-bien m-mieux… Aaah…Hmm-mm… Cette… petite ch-chienne m’a… tellement… Aah… »

Étonnamment, le temps semblait passer bien plus vite cette fois-ci, même si j’aurais été incapable de compter exactement les minutes. Doutzen me masquait la vue, cajolant mes lèvres, alors qu’une main inconnue s’amuser à stimuler mon corps nue. Youko probablement. Celle-ci s’amusait à me pincer, me faire sursauter en touchant ça et là, et j’eus l’impression que mon sexe était si excité, si raide, qu’il allait enfler au point d’éclater.
Shidaru se mit à jouir bien plus vite que je ne l’aurais cru. C’est avec une certaine fierté de soumise que je l’entendais gémir, puis étouffer à grand peine un grand cri de jouissance, ses cuisses tremblantes s’agitant contre mes hanches. Youko gloussa entre deux caresses sur mon ventre.

*Et moi ?...* Songeai-je brièvement.

Le constat était clair. Shidaru se retira dans un bruit humide en haletant, mais moi je n’avais pas joui ! Mon sexe était toujours bien tendu, détrempé mais non soulagé, ce qui n’avait rien d’étonnant après explosé déjà deux fois. C’en était plutôt douloureux. Des mains vinrent caresser tendrement mon membre tendu, de simples petits attouchements qui n’allaient pourtant pas suffire.

« Wow… C’est une meilleure chienne que je pensais dit donc… » Soupira Shidaru. « Ça serait du gâchis de laisser ce gros truc bien dur comme ça… »

« Il faudrait au moins terminer le travail, la pauvre. » Sourit innocemment Youko.

Je ne pouvais qu’être d’accord ! Maitresse ne pouvait pas m’abandonner comme ça, pas maintenant, pas encore !
Titre: Re : L'École du Sexe [Alix Sable]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 04 février 2019, 01:28:16
Ensemble, les trois femmes dominaient totalement la pauvre Alix... Mais était-elle vraiment à plaindre ? Entourée de trois créatures pareilles, elle vivait ce qui, pour beaucoup, s’apparentait à un fantasme éveillée... Du moins, si on faisait abstraction des liens retenant le corps d’Alix, et des longues minutes de frustration avec la queue à l’air. Doutzen embrassait longuement Alix, mordillant ses lèvres, tandis que, contre le corps d’Alix, Youko caressait son corps. Ses mains gantées palpèrent ses seins, pinçant les tétons, et elle se pencha vers les seins, allant les lécher, et même les mordiller. Elle pinça les tétons avec ses dents, les mordillant, tandis que Shidaru continuait à danser. La jeune femme se pinçait les lèvres, rougissant en mouillant fort. Elle haletait de plaisir, continuant à danser sur place. Ah, la délicieuse queue de cette femme ! Et, maintenant qu’Alix avait eu l’occasion de jouir, elle faisait preuve de bien plus d’endurance, ce qui était tout de même très agréable.

« Oooh, là, ouiii, une belle bi-Bite bien dure, hmmm... »

Doutzen avait déjà eu l’occasion de constater l’endurance sexuelle d’Alix, qu’elle entraînait depuis plusieurs semaines. ELle était une esclave très douée, qui appréciait beaucoup les sodomies. Là, elle profitait pleinement du corps de Shidaru, qui continuait à danser sur elle. Youko, de son côté, continuait à la câliner, jusqu’à ce que Shidaru ne jouisse... Et, provocante à souhait, elle se retira alors de la queue trempée d’Alix, laissant ainsi la jeune femme dans l’embarras. Alix sentit ensuite les trois femmes s’écarter, se dressant autour d’elle.

La belle Alix cligna des yeux en les regardant, implorant leur clémence pour la faire jouir. Les deux filles commentèrent d’ailleurs à ce sujet, mais le choix définitif revenait à Doutzen, qui se déplaça lentement. Elle se tripotait lentement les lèvres, comme si elle faisait mine de réfléchir.

« J’hésite, Alix a été très vilaine tout à l’heure, elle a contesté mon autorité... Je ne sais pas si elle mérite un autre orgasme...
 -  Elle a l’air si gentille, pourtant...
 -  Je trouve plutôt qu’elle ressemble à une petite rebelle. »

Difficile de savoir ce que les femmes allaient faire d’elle. Doutzen semblait en l’état tout à fait capable de laisser la jeune femme ici, souffrant avec sa trique endolorie, sans que personne ne vienne la soulager de sa soif. Oui, c’était une hypothèse aussi redoutable qu’envisageable... Mais, en réalité, même Doutzen n’était pas aussi cruelle. Elle se rapprocha alors de la femme, et posa sa main sur son menton, rehaussant sa tête, la forçant ainsi à croiser son regard.

« Tu vas me sodomiser, petite pute, comme je te l’avais demandé tout à l’heure ! Et, si tu refuses... Inutile de te dire ce que tu vas risquer, non ? »

Doutzen rajouta ensuite :

« Tu sais qu’à cause de ton impertinence, j’ai dû me fourrer un plug anal dans les fesses ? Alors, tu as intérêt à te surpasser si tu ne veux pas que nous t’attachions encore sur la table ! »

Indéniablement, la menace était très sérieuse ! Doutzen entreprit alors de libérer la jeune femme, lui rendant ainsi l’usage de ses membres, tout en se déplaçant, et lui tourna le dos. Écartant les jambes, Doutzen alla s’appuyer contre le rebord d’un mur, et tourna la tête, attendant qu’Alix vienne remplir son office...