Les quatre protagonistes masculins :- Titus Stately (https://www.deviantart.com/sneedham507/art/Titus-Stately-Nadez-Teenager-286410768),
- Jak Doyle (https://www.deviantart.com/sneedham507/art/Ignition-Crisis-Jak-Doyle-285496761),
- Ramon Nadez (https://www.deviantart.com/sneedham507/art/Ramon-Nadez-285638036),
- Daniel Nadez (https://www.deviantart.com/sneedham507/art/Daniel-Nadez-Soccer-Star-289171750).
Les quatre formaient une bande d’amis se connaissant étroitement depuis la maternelle, essentiellement en raison de leurs origines. Leurs parents étaient tous originaires des États-Unis, des immigrés qui s’étaient installés à Seikusu, et avaient choisi de se rapprocher. Trois familles, car Ramon et Daniel étaient frères, et les quatre jouaient depuis leur plus tendre enfance au
soccer, le football européen. Ils étaient plutôt bons là-dedans, et faisaient en conséquence partie de l’équipe du lycée de Mishima, participant à divers compétitions régionales et nationales. En devenant grands, leur objectif à tous les quatre était de rejoindre l’équipe de la ville, et d’officier au sein de la
J-League.
Autant dire que les cours les motivaient peu, et qu’ils n’étaient pas les élèves les plus brillants. Ceci dit, ils étaient assez disciplinés, sous l’autorité de Ramon Nadez, qui était le chef naturel du groupe. Après tout, son père était à la base un capitaine qui travaillait à
Seikusu Base Camp, la base militaire américaine située à côté de Seikusu. Ramon était donc un garçon autoritaire, qui protégeait son petit-frère. Plus jeune que lui d’une année, il n’était pas dans la même classe qu’eux, mais sa classe partageait avec la leur le cours de littérature, qui était tenue par une incroyable bombe sexuelle, Sato-sensei, et dont le jeune Daniel était amoureux. Des quatre, il était d’ailleurs le seul à être encore puceau. Les trois autres avaient perdu tout espoir de rester vierges quand, pour les féliciter d’avoir remporté un tournoi régional, le club de Mishima leur avait envoyé plusieurs pom-pom girls magnifiques dans le vestiaire.
«
On aurait dû s’entraîner aujourd’hui, et il fait super chaud ! protestait Titus.
-
Tu as vu tes notes ? répliqua Ramon.
Nous n’avons pas le choix, les gars ! Si on veut jouer dans l’équipe universitaire, il faut rejoindre l’université, et, si nos notes sont trop mauvaises au test Sentā, nous n’y entrerons pas ! »
Ils acquiescèrent silencieusement. Même s’ils adoraient le football, ils devaient améliorer leurs notes. Alors, ils avaient choisi de sacrifier un Samedi après-midi d’entraînement pour venir aider Sato-sensei à installer son nouveau lit. Celle-ci le leur avait demandé aux quatre, dans son bureau. Il y régnait alors une chaleur insoutenable, et Sato-sensei disposait d’un ventilateur qui, quand il tournait sur elle, écartait une partie de sa veste, révélant l’ourlet de son soutien-gorge. Quelques gouttes de sueur glissaient dessus, ce qui n’avait échappé à personne, et avaient déclenché quatre érections. Daniel, qui avait trois fois sur quatre une érection en voyant Sato-sensei, s’était d’ailleurs ensuite masturbé dans ses toilettes. Il faut bien admettre que Sato-sensei avait un décolleté plongeant assez incroyable, et qu’elle était terriblement belle.
Ramon comprenait donc l’amour que Daniel ressentait pour elle, raison pour laquelle il avait accepté d’aller installer le lit. Son petit-frère le lui aurait reproché, et, ensemble, ils formaient un duo d’attaquants assez redoutable. De fait, la bande espérait bien pouvoir rapidement installer le lit et aller ensuite à l’entraînement, alors ils portaient des maillots de sport. En entrant dans le jardin, la chaleur était toutefois tellement forte qu’ils retirèrent leurs maillots.
«
Vous êtes sûrs que c’est bien de se présenter torse nu devant Sato-sensei ? -
Nous n’avons pas des maillots anti-transpiration, Titus, répliqua Ramon.
Et elle nous a dit qu’il faut se mettre à l’aise. T’as vu ce soleil de plomb ? Tu veux risquer l’insolation en déplaçant le lit ? -
De toute façon, elle a sûrement déjà vu des torses nus, vu sa réputation sulfureuse, lâcha Jak en enlevant son maillot.
Alors, je crois pas qu’on risque de la choquer. »
Daniel était le seul à parler peu, rougissant benoîtement. Torses nus, les quatre hommes s’approchèrent de la maison de la femme. Pour une prof’, Sato-sensei avait une belle demeure, et Ramon toqua à cette dernière.
«
Bonjour, Sato-sensei », glissa Ramon en s’inclinant respectueusement.
Daniel fut le seul à bafouiller légèrement, et Sato-sensei les invita à rejoindre son salon, tout en rejoignant sa cuisine pour récupérer des sodas. À chaque pas qu’elle faisait, ils pouvaient voir son délicieux cul, et, quand elle se pencha dans le frigo, Daniel, qui l’observait, déglutit doucement en voyant la minijupe remonter exagérément, dévoilant le sommet de ses cuisses, et même l’ourlet de ses fesses. Il se retourna ensuite précipitamment, et serra les jambes. Assis à côté de lui, Ramon fronça les sourcils.
«
Retiens-toi, putain ! glissa-t-il à mi-mot.
-
Je t’avais dit qu’il aurait dû se trouver une copine… Il suffit d’aller voir les pom-pom girls, Dan’, tu n’imagines pas à quel point elles savent se montrer dévouées ! »
Ramon secoua doucement la tête.
«
Daniel n’en a que pour Sato-sensei, ne cherchez pas… -
Ouais, tes mangas ne portent que sur elle, non ? »
Daniel était plutôt introverti, mais il était un bon dessinateur. Avec la puberté, les mangas qu’il dessinait ne portaient que sur Sato-sensei, dans le sens où toutes les filles qu’il dessinait lui ressemblaient.
Sato-sensei revint ensuite avec un plateau comprenant des jus de fruits, et ils la remercièrent poliment.
«
Votre lit, il est dans le vestibule, hein ? Il a l’air… Plutôt confortable. Et grand. Je comprends pourquoi vous avez demandé notre aide, Sato-sensei, et on sera ravis de vous aider. »
Tandis que Sato-sensei lui faisait face, Jak et Titu avaient une belle vue sur la croupe de leur prof’. Autant dire que la chaleur montait doucement entre eux, d’autant que les frères Nadez, de leur côté, pouvaient renifler le délicieux parfum de leur prof’. C’était le même que celui qu’ils avaient senti dans son bureau, et même Ramon, si sûr et si maître de lui, s’était senti fondre en l’inhalant.
«
On… On va pas vous prendre trop de temps, Sato-sensei, on… Euh… On doit aller à l’entraînement ensuite. »
Il n’y avait toutefois aucune urgence à s’entraîner, vu que la saison était terminée… Daniel, lui, continuait à rougir en regardant Sato-sensei, qui semblait plus belle que jamais !
Sato-sensei était… Elle était en train de les chauffer clairement ! Ramon Nadez déglutit doucement en le constatant, surtout quand Sato-sensei, tout en parlant à plusieurs reprises de leurs « muscles », alla se glisser entre Titus et Jak, frottant le bout de ses seins contre leurs joues, et offrant aux frères Nadez une vue plongeante sur sa poitrine. Daniel Nadez, le benjamin, écarquilla les yeux en voyant cette vision parfaite. Impossible de nier désormais toute l’attirance qu’il avait pour cette femme… Une attirance qui était toutefois communicative, car son grand-frère avait également une belle érection, tout comme Titus et Jak. La chaleur aidant, les jus de fruits faisaient d’autant plus facilement leur effet, surtout que Sato-sensei continuait à les titiller. Sa voix était mélodieuse, et ses mots… Il y avait tellement de sous-entendus sexuels dans ce qu’elle disait !
Celle-ci revint également sur leur séance d’entraînement, et les quatre jeunes hommes se regardèrent entre eux, avant que Ramon ne finisse par lui répondre :
« Ben… Euh… C’est que, euh… On ne voudrait pas vous embêter, sensei, je… Euh… Vous avez sûrement mieux à faire que vous occuper de nous quatre, et…
- On sera ravis de rester aussi longtemps que vous le désirerez ! » s’exclama alors Daniel, sortant de son mutisme.
Ramon avait une belle trique, et décida qu’il était temps de s’occuper du lit. Il se redressa brusquement, se tortillant doucement sur place, et fit signe aux gars de venir. Les trois autres se levèrent, et Sato-sensei les guida jusqu’au lit, avec cette posture sensuelle. Ramon cligna des yeux à plusieurs reprises en la voyant.
« Merde, soupira Titus, elle me fait bander, c’est un truc de dingue !
- Elle nous chauffe, putain… !
- On se calme, merde ! Vous croyez que je bande pas, moi aussi ? J’imaginais pas qu’elle puisse être aussi bonne ! »
Ils rejoignirent l’entrée. Le grand lit se tenait là, et l’escalier était au fond du couloir. Ramon déplaça rapidement ses collègues. Deux devant, deux derrière. Sato-sensei les guidait, et ils soulevèrent le lit, grognant sur place. Même à quatre, il était lourd !
« Allez, les gars ! »
Le quatuor se déplaça ensuite, soupirant longuement. Il faisait tellement chaud… Ils se mirent à suer tout en rejoignant l’escalier, et durent le pivoter sur le côté, chacun le tenant pour réussir à grimper. Le lit était très lourd, bien rembourré, et ils rejoignirent ensuite la chambre de Sato-sensei, et le posèrent ensuite. Ils allèrent ensuite chercher le matelas, et le posèrent, puis aidèrent ensuite Sato-sensei à l’installer. Il leur fallut bien une demie-heure pour tout installer, et les quatre étaient en sueur, d’autant qu’il faisait très chaud dans la chambre de la sensei.
Les quatre jeunes hommes se tenaient donc devant elle, les torses ruisselant de sueur, soupirant lourdement.
« La vache, bon sang ! Soulever ce lit sous cette chaleur…
- Bordel ! »
Ils soupiraient lourdement, l’effort physique ayant très légèrement restreint leurs érections.
« Il est installé comme vous voulez, sensei ? »
L’aphrodisiaque aidant, Titus parla alors, osant poser une question extrêmement indécente :
« Votre mari n’était pas là pour vous aider ? »
Dans leur jeune esprit, il était impossible qu’une femme aussi belle que Sato-sensei ne soit pas mariée ! En tout cas, Daniel avait toujours une féroce trique, et les trois autres commençaient déjà à sentir l’effet des aphrodisiaques remonter en eux…
Pour ne rien arranger, ils portaient des shorts de sportifs. Or, ceux du lycée Mishima étaient relativement moulants. Agréables à porter, ils n’étouffaient pas, mais… Ils moulaient. Et les quatre avaient de belles érections. Ils regardèrent Sato-sensei installer les draps, et Ramon, qui était, sexuellement parlant, le plus expérimenté, l’aida même à installer le protège-matelas, avant de rejoindre les trois autres… Pour voir Sato-sensei se pencher en avant. Sa minijupe se souleva fortement, et ils virent la lanière des jarretelles, et… Une délicieuse paire de fesses, avec des lèvres intimes proprement épilées. Les quatre jeunes hommes écarquillèrent les yeux en constatant qu’elle ne portait pas de culotte, et Daniel déglutit, serrant les poings, les joues rouges. Il était en train de vivre un rêve éveillé, et c’était pour calmer les choses que Titus, dans un ultime sursaut, avait demandé à leur professeur si elle avait un mari… Ce à quoi cette dernière répondit en affirmant qu’elle était célibataire, et ne se voyait pas s’enticher d’un mari jaloux quand elle invitait des adolescents musclés devant elle.
« Qu… Quoi ?! » s’exclama Ramon.
Il secoua lentement la tête, sentant la chaleur lui monter à la tête. Sato-sensei en profita alors pour déboutonner son chemisier, et les regards des quatre adolescents se rivèrent sur cette position. Même si Ramon, Titus et Jak avaient déjà couché avec bon nombre de pom-pom girls, ils n’avaient encore jamais eu la chance de se taper une prof’, et… Le fait est que Sato-sensei était un fantasme ambulant. Alors, quand elle défit ses vêtements, fit tomber sa chemise, et sa minijupe, ils l’observèrent… Incapables de parler. Comme si une beauté sacrée venait de leur tomber dessus, comme s’ils étaient des dévots priant depuis des années leur idole avant de finalement la voir devant eux. Ils l’observaient, incapables de savoir où poser leurs yeux.
Partout, des courbes. Partout, un corps parfait, aux formes alléchantes, à la peau tendre et ferme. Elle portait un élégant corset en dentelle sous ses seins, mettant ainsi en valeur sa monstrueuse poitrine, sans parler du reste de son corps, de ses jambes interminables que Daniel s’imaginait déjà lécher longuement, et de son sexe, à l’air libre. Sato-sensei avait bien des sous-vêtements, mais ils ne couvraient absolument rien de ce qu’ils étaient supposés couvrir, mettant au contraire ses magnifiques et somptueuses formes en valeur.
Et, tout en se déshabillant, elle leur expliqua qu’elle avait prévu de les inviter ça pour s’envoyer en l’air avec eux, et qu’elle aurait pu le faire avant s’ils avaient eu de meilleures notes.
*L’histoire est donc vraie… Elle couche avec ses meilleurs élèves !*
Des quatre, Daniel était le plus intelligent. Il aurait pu lui faire l’amour il y a des mois, car il était en bonne position pour être le premier de la classe, mais avait dû sacrifier un après-midi de révisions pour l’entraînement, car ils étaient alors en pleine compétition. Il n’avait ainsi pu réviser, et avait fini deuxième. Et là, Sato-sensei lui offrait une seconde chance. Parlant de sa voix de velours, elle leur indiqua que leur entraînement allait devoir attendre, car, cet après-midi, ils allaient… Coucher avec elle.
« Oh, euh…
- Sensei, vous…
- Putain… ! »
Sato-sensei s’agenouilla ensuite devant Daniel, et attrapa doucement sa main, pendant que les quatre vinrent l’entourer. La main de Daniel se crispa sur le sein de la femme, et il déglutit, avant de relever l’autre main, et s’attaqua au second sein de la femme.
« Ils… Ils sont si doux, Ma… Madame… Et… Si gros… » réussit-il à dire.
Son sexe ne lui avait jamais fait aussi mal, semblant être sur le point d’exploser. Ramon, qui se tenait à sa droite, serrait la main, et finit par la poser sur la tête de Sato-sensei, caressant nerveusement ses cheveux.
« Il faut que je vous dise, Madame… Daniel… Il a genre un coup de foudre sur vous… La première fois qu’il vous a vu, il est tombé amoureux. Il s’est même pas tapé les pom-pom girls lors du tournoi, et… Il révisait à fond pour être le premier élève de votre classe, mais il a dû sacrifier ses révisions pour s’entraîner.
- Ra… Ramon… »
Ramon sourit doucement, avant de conclure :
« Bien sûr qu’on veut vous baiser, sensei, et… J’ai toujours du mal à y croire, mais… Daniel, lui, il est resté puceau juste pour vous. »
Ce qui n’était pas le cas des trois autres compères, et ça, Sato-sensei allait bientôt le réaliser par elle-même !
Étant le capitaine de l’équipe de football, Ramon connaissait une partie des secrets du lycée Mishima. Il savait par exemple que le lycée mettait à disposition des pilules roses très particulières, qui renforçaient la libido des hommes. Il les faisait avaler à son équipe avant les séances avec les pom-pom girls. Cette pilule était une véritable hormone de plaisir, renforçant leurs érections, et leur permettant de jouir sans véritablement débander, ou, en tout cas, de conserver une grande frustration après l’orgasme, phénomène nécessaire pour conserver l’érectilité de leur membre. Ramon, toutefois, ne connaissait pas encore toutes les activités occultes du lycée. Il ignorait par exemple que certaines de ces pilules, appliquées sur des femmes, permettaient de les doter d’un phallus, même s’il avait entendu parler de curieuses rumeurs transsexuelles au sein du lycée.
Ramon hocha la tête quand Sato-senseï leur ordonna de sortir, le temps qu’elle s’occupe personnellement de son petit-frère. Évidemment, les mâles qu’ils étaient en furent très frustrés, même Ramon, qui avait une trique phénoménale. Ils avait que la prof’ l’avait drogué, mais il ne lui en tenait pas rigueur. De fait, lui avait sorti de sa poche le flacon comprenant les fameuses pilules roses.
« C’est entendu, Madame… L’équipe avant tout. »
Sa main caressa les cheveux de Daniel. Plus jeune que lui, son frère était aussi un peu moins musclé, plus chétif. Il le regarde en déglutissant doucement, et Ramon lui sourit, avant de lui présenter la pilule, qu’il pose sur la table de chevet. Sato-senseï devait sûrement déjà savoir de quoi il s’agissait.
« Allez, les mecs !
- Profite bien, Daniel !
- Vous savez pas ce que vous risqué, Madame, j’ai jamais été autant excite de ma vie, alors, si vous me faites encore patienter, je vais sévèrement vous baiser !
- Arrête de te la raconter, Titus, tu jouis toujours le premier ! »
Ramon disposait sur eux d’une grande autorité naturelle. Il avait toujours été le « premier » du groupe, pas dans le sens où il était le plus intelligent, mais clairement le plus castagneur, et le plus protecteur. Après tout, quatre gaijins au Japon… Ils avaient souvent été victimes de xénophobie de la part de certains Japonais pure souche. C’était Ramon qui leur cassait la figure. Son père le rabrouait souvent pour ça, mais, dans le fond, il comprenait tout à fait. Après tout, son père, qui était un Latino-Américain, avait également dû à maintes reprises se battre contre les xénophobes ambiants, notamment en sortant de certains bars le soir.
De fait, Ramon avait une attitude très bienveillante envers son petit-frère, et Jak et Titus le respectaient beaucoup. Il était donc naturellement leur chef. Il sourit donc à son frère, puis sortit finalement. Le trio descendit les marches, et rejoignit le salon.
« Désapez-vous, les mecs, inutile de salir vos shorts ! »
C’est ainsi que les trois finirent nus devant l’énorme télévision de la femme. Leur prof’ avait un équipement de pointe, une forte sono, et ils trouvèrent rapidement une collection de DVD privés, avec des étiquettes. Titus mit la main sur un DVD particulier, et le brandit aux autres.
« Hey ! Regardez celui-là, c’est…
- Woow… Okay, on met celui-là ! » fit Ramon en voyant le nom sur l’étiquette.
Jak alluma l’appareil, et l’image apparut rapidement. Elle avait été filmée dans leur salle de cours, et Sato-senseï se faisait tringler par une autre prof’, à la réputation tout aussi sulfureuse que la sienne, confirmant au passage les théories sur les pilules d’hermaphrodisme… Myumi Ichtora (http://img99.xooimage.com/files/5/e/3/16-434035a.jpg) ! La superbe rouquine à la longue chevelure d’amazone prenait Sato-senseï en levrette contre le bureau, giflant cette dernière. D’autres caméras installées permettaient de changer le point de vue, notamment en zoomant sur le corps magnifique de Sato-senseï, tringlé d’avant en arrière, ses seins frottant sur le bureau, la femme hurlant longuement, tandis qu’Ichtora-senseï n’hésitait pas à la gifler.
Autant dire que les mains allaient beaucoup agir pendant la durée de ce film, même si les garçons pouvaient se montrer très pervers, car ils s’emparèrent de leurs bouteilles d’eau, et nichèrent la pointe de leurs sexes dans l’ouverture, après en avoir préalablement vidé le contenu. C’était le fantasme de Titus, qui aimait jouir dans les bouteilles, et les offrir ensuite aux pom-pom girls.
Comme quoi, Sato-senseï n’était pas au bout de ses surprises avec eux…
Pendant ce temps, dans la chambre, Daniel se retrouva face à la femme, avec une superbe trique. Sa queue ne lui avait jamais fait autant de mal. C’était son frère qui lui avait appris à se masturber. Depuis toujours, Daniel vivait dans l’ombre de Ramon. Le fait est qu’ils dormaient encore dans la même chambre, et Daniel avait souvent rejoint Ramon dans son lit, quand il faisait des cauchemars. Plus chétif que lui, Daniel avait toujours vécu près de lui. Là, seul face à Sato-senseï, il déglutissait, repensant à ce que son frère lui avait dit sur la masturbation et sur l’érection. C’était d’ailleurs son grand-frère qui le masturbait au début, pour lui montrer. Rien de particulièrement choquant pour eux, puisqu’ils avaient pris leurs bains ensemble, et qu’ils s’amusaient à comparer la taille de leurs sexes.
Il se retrouva donc nu, et déglutit en voyant Sato-senseï se mettre à genoux devant lui.
« Ma… Ma… Maîtresse… » glissa-t-il tout naturellement, les joues cramoisies.
Indéniablement, Daniel l’aimait. Il n’avait pourtant pas envie de la garder juste pour lui, mais il avait eu un véritable coup de foudre en la voyant. Loin d’être un éjaculateur précoce, il avait véritablement accepté ses penchants sexuels avec elle. Ramon s’amusait à le masturber en lui parlant de la senseï, en l’imaginant dans des dessous sexy, lui mettant sous le nez les dessins qu’il faisait d’elle. Et elle se trouvait là, face à lui… Diable, il avait pu toucher ses seins, et elle lui dit qu’elle allait le sucer, qu’il allait jouir en elle, et…
Daniel dut fermer les yeux, serrant ses mains sur le lit. Sa queue était furieusement dressée, et, heureusement, la table de chevet était à côté, avec la fameuse pilule rose. Il vit alors le visage de la senseî s’approcher de son sexe, et sa langue fila dessus, sensuellement, glissant de ses testicules vers son gland, lui arrachant des soupirs supplémentaires.
*Putain, je peux pas jouir si vite, merde !!*
Bon Dieu, ce que sa trique le démangeait ! Ramon lui avait dit de se contrôler par le rythme cardiaque, et, d’ailleurs, ils s’amusaient souvent à faire des exercices en ce sens. Daniel arrivait à tenir, mais il fallait bien reconnaître que, entre la main de Ramon, et la langue merveilleuse de sa Maîtresse, le choix était vite fait. Il était en tout cas sûr d’une chose : ce qu’il voulait, c’était être l’esclave de Sato-senseï. Il ne cherchait pas à être son petit-ami, ou à se marier avec elle, mais… Ce qui le faisait bander, c’était de la voir en dominatrice, d’être son esclave. Oui, c’était bien là le grand fantasme de Daniel, servir cette femme.
Elle prit alors son membre en bouche, et lui serra sa main sur la pilule rose, ferma les yeux, et gémit lentement en se pinçant les lèvres.
« Maî… MAÎTRESSE !! » hurla-t-il.
En moins d’une minute, sa queue, qui semblait sur le point d’exploser, cracha des chapelets de foutre dans la bouche de la femme. Sato-senseï eut donc à peine le temps de poser ses lèvres sur son sexe que l’homme se répandit en elle, jouissant généreusement. Il se relâcha comme jamais il ne l’avait fait auparavant, sentant une immense vague de bonheur le traverser, puis se détendit progressivement, ses muscles se relâchant sur place.
« Oh, Maîtresse… » répéta-t-il.
Le jeune homme déglutit ensuite. Sa queue avait bien débandé, alors il se dépêcha d’avaler la pilule rose. Son membre était toujours niché en elle, recouvert de semence, mais, dès que la pilule rose fila en lui, Daniel gémit en fermant les yeux. Sa queue se mit à enfler alors, se durcissant rapidement, et un soupir traversa ses lèvres. La main de Daniel se posa alors sur les magnifiques cheveux soyeux de la prof’, et il la regarda alors. Venant de jouir, il put lui parler plus clairement :
« Maîtresse, vous êtes tellement magnifique… »
S’il avait encore eu des doutes avant, ceux-ci étaient définitivement éclipsés.
Il l’aimait profondément, comme il n’avait jamais aimé quelqu’un d’autre.