Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Lorelei Käarn le mardi 06 mars 2018, 15:09:11
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Dans un futur lointain, quelque part dans l’Empire d’Ashnard ...
Funeste était le jour et le souvenir du lien brisé. Ce fut l’un des pires moments dans la vie de Lorelei, car elle crut mourir pour de bon. Mais, il fallait croire que le destin avait encore des projets pour elle car son esprit résista à la séparation, à la brisure qui néanmoins provoqua un véritable séisme en elle. Son esprit fut ravagé par l’absence de sa maitresse, qui ne l’était plus. Son corps s’en était meurtri également, redevenant ainsi la femme qu’elle était avant, mais avec une mine bien moins radieuse. Lorelei était de nouveau elle-même ... Mais à quel prix ? La pauvre était presque comme un légume, ayant du mal à se remettre de cette blessure psychique. Mais plus les jours passaient, plus ça semblait lentement, très lentement, s’améliorer. Mais, pour combien de temps ?
L’idée de se donner la mort lui avait plusieurs fois effleuré l’esprit. Lorelei en finirait une bonne fois pour toute. Elle n’avait plus de but dans la vie, et elle était encore trop affaiblie pour tenter quoique ce soit. Retourner auprès de Nexus ? Impensable. Se réfugier à Tekhos ? Jamais elle ne serait à la hauteur de leurs standards. La demoiselle erra comme un chien sans maitre, dans la rue. Une vraie pouilleuse qui finit par trouver grâce auprès d’un aubergiste, dans une bourgade reculée dans le territoire d’Ashnard. Ce n’était pas par pitié que ce bonhomme au grand ventre l’avait accepté dans son établissement comme servante ; elle avait un visage mignon, et avec un peu plus de chair autour des dos, elle ferait selon lui une bonne fille de joie.
Ce fut la nouvelle vie de Lorelei pendant un temps. Une belle et obéissante tenancière dans une auberge, qui devait aussi accepter les avances de ses clients. C’était toujours mieux que rien ... Après tout, Lorelei était suffisamment détruite pour ne plus avoir grande estime de soi. Mais au moins ce boulot lui permettait de manger chaud, et de dormir à l’abri. C’était, à ce qu’elle pensait à ce moment, sa retraite. Mais de la même façon que le destin avait fait qu’elle n’avait pas péri du lien brisé avec son ancienne maitresse, celui-ci rappliqua de nouveau le jour où un client bien particulier s’était pointé. Il s’agissait d’une femme en apparence, bien qu’un peu jeune. Une cliente qui était, contrairement à tous les autres, respectueuses de la servante, qui pour une fois avait du plaisir à la servir. Il se dégageait d’elle une étrange impression, un charme irrésistible, un charisme qui faisait tout le temps sourire Lorelei à chaque fois qu’elle devait lui apporter quelque chose.
Il s’agissait d’une voyageuse, puisqu’elle avait même réservé une chambre pour la semaine. Tout commença à bascula quand ladite demoiselle avait décidé de réserver également la servante pour la semaine ! Lorelei avait servi d’amante tous les jours, et dès la première fois où elle et cette femme s’étaient envoyés en l’air ... Lorelei avait alors compris qu’il s’agissait en réalité d’un garçon ! Un parfait et mignon petit androgyne, qui malgré son apparence ... Faisait l’amour comme un Roi. Chaque jour, chaque nuit, il lui arrachait des orgasmes, du plaisir intense et fou ! Elle n’avait pas connu ça depuis un très long moment. La journée il était charmant et respectueux, et la nuit, il se transformait en une bête de sexe, enivrant Lorelei de son corps. La jeune femme, sans doute à cause de son traumatisme, avait alors commencé à s’attacher à lui. Et vint le dernier jour de la semaine, la dernière fois où elle allait le voir ... Et elle était décidée à ne plus le quitter.
Le soir était enfin venu. Comme à son habitude, Lorelei avait fini son service et était parti dans la chambre d’Eris – son client – afin de l’attendre. Elle fut réservée pour la semaine, cela signifiait donc qu’à par lui, elle n’avait autre client de nuit ! Et ... Quel client faisait-il. Il était beau, charmant, charismatique et ... Si bon au lit ! Son apparence féminine ne faisait que le rendre encore plus craquant aux yeux de Lorelei, qui était néanmoins très nerveuse ce soir. Car il s’agissait du dernier soir ... Et elle était triste. Mais nerveuse car elle avait réfléchi, et désirait faire une déclaration à Eris. Partir avec lui ! Elle avait conscience que cela avait de grandes chances d’échouer, mais pendant toute la semaine, elle lui avait raconté son histoire, sa misère et comment elle avait grandement souffert de son ancienne maitresse et des conséquences de cette brisure avec.
Lorelei était complètement détruite, mais Eris était parvenu à lui redonner un peu vie ... Tout reposait maintenant sur cette dernière nuit d’amour. Pour l’occasion, la demoiselle s’était vêtue simplement ; nue, avec de beaux collants blancs lui couvrant les jambes. Elle attendait patiemment sur le grand lit de la chambre, allongée sur le ventre, attendant son délicieux amant dans une posture des plus sensuels qu’il soit (http://www.angelfire.com/realm/keenfish/myimages/zrainbow.jpg). Quand la porte grinça, annonçant l’arrivée d’Eris, Lorelei tourna sa tête et jeta un petit regard par-dessus son épaule. « Je t’attendais, mon beau ... » Dit-elle d’une voix sensuelle, remuant doucement ses jambes pour inviter son amant à venir plus près.
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Voyager pour quelque chose de diplomatique était long. Aimant principalement la magie, la jeune dame Langnar aurait adoré pouvoir utiliser ses talents de magicienne pour se téléporter en quelques instants dans cette cité. Mais étant donner l'insistance de ses deux parents pour entreprendre un voyage plus traditionnel, avec un carrosse et une escorte armée de son armée personnelle pour ce long voyage, avec l'ambassadrice d'Ashnard, qui se montrait malgré l'idéologie sur l'esclavage au sein de cet empire, agréable lorsqu'il fallait parler. Un mois avait été nécessaire pour traverser la frontière de l'empire et pour entamer son chemin vers la capitale. Mais lors du voyage, une terrible tempête s'était produite, et pour une question de sécurité, avait dû dévier des routes en contournant largement de nombreuses zones.
C'est ainsi qu'elle s'était retrouvée dans ce petit village modeste, mais assez florissante pour y rester, le temps que ladite tempête se calme, a des centaines de kilomètres de là. Les conditions météorologiques dans certaines zones étaient assez violentes dans quelques territoires de l'empire et pouvaient durer longtemps. Ainsi donc, avec l'ambassadrice, qui avait décider de rester dans un manoir somptueux en raison d'une maladie, elle avait fini par trouver son refuge dans une auberge bien calme. Eris avait alors une apparence androgyne assez mignonne, qu'elle utilisait avec l'aide de sa magie, pour vouloir attirer moins l'attention sur sa personne. Les Langnar avaient des ennemis. Ainsi donc, les Scorpions Dorées, eux aussi déguisés, aidaient la population locale en se débarrassant des bandits non loin et des créatures nuisibles comme des Manticores ou des goules.
Malgré la quantité de livres conséquentes, elle s'était ennuyée assez vite. Une relecture constante n'aidait pas pour divertir l'esprit et elle trouva alors son refuge... avec une servante de l'auberge qu'elle loua pendant une semaine avec une quantité d'or conséquente. Jolie. Mais avec un terrible secret, lorsqu'ils passèrent leur première nuit ensemble...
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-Elle est triste. Elle est perdue. Elle est solitaire. Elle est abandonnée depuis longtemps. N'est-ce pas une esclave, Outsider ?
L'homme en tenue sombre était assis sur un pilier brisé qui flottait dans un espace vide. Dans le plan des Langnar. La jeune Eris avait l'air triste, et flottait spirituellement dans cet univers qui n'était pas le sien, un univers qui se démarquait de tout les autres, qui flottait dans un tout autre espace aux consignes différentes. L'Outsider (https://78.media.tumblr.com/08d7304c37f9174ded632c41f37d09c0/tumblr_oghqkm5HX11soiiuio1_400.gif) était un véritable mystère pour elle, pour tous ceux ayant vent de son mythe. Devant elle, une sorte de forme brumeuse flottait, et elle y voyait les souvenirs de Lorelei.
-Manipulée, oui, par la Reine Noire. Rien d'autre qu'une sorte de tyran parmi tant d'autres, gouvernant et possédant son propre plan. Une formidable meneuse, mais une personnalité peu avenante, pour mes standards, et puissante.
Eris se tint silencieuse, continuant d'observer les souvenirs.
-Pauvre elle... Elle s'est attachée envers moi. Je le sais.
-Elle voit en vous une ombre, Eris. Une ombre de ce qu'elle devrait fuir. Une maîtresse. Désespérée, au sein d'une mer orageuse dans la nuit, elle essaie de s'accrocher, pour ne pas sombrer. Et elle s'accroche à vous, comme l'on le ferait avec un phare, source de lumière.
-Je... Je n'ai pas envie de vouloir la garder comme esclave.
-Je ne le comprends que trop bien. Mais c'est choisir entre deux maux. La laisser sombrer de nouveau et probablement la tuer de chagrin ou l'emmener avec vous. Choisissez bien... Le moindre mal, Eris. Le moindre mal.
*
Au dernier jour, elle s'était retrouvée dans une plage, près du village, dès le matin. Il faisait assez chaud et elle avait décidé de s'offrir un long bain de soleil qui avait durer des heures et des heures, réfléchissant aux choix s'offrant envers elle. Nul besoin de savoir que Lorelei voudrait venir avec elle. Nul besoin de savoir qu'elle le désirait, et que sa nervosité rendait la décision plus difficile. Mais au fond, elle savait qu'elle le demanderait. Quand le soir vint, Eris s'était promenée un peu de long en large du village, devenu bien plus sécuritaire avec l'aide des Scorpions Dorées qui faisaient connaissance avec les gardes et gens du coin. Terranides, nains, elfes, hommes. Diverses races, et pourtant, qui s'entendait plus ou moins bien.
Entrant dans l'auberge, ignorant certains regards, elle montait dans sa chambre, la suite la plus belle de l'auberge, modeste cela dit, mais bien confortable. La vision de Lorelei sur le lit fit naître un sourire sur le visage androgyne de la belle Eris qui siffla doucement.
-Mais que vois-je là... Ma belle et unique petite princesse. Bien passée la journée ?
Elle s'approche d'elle et lui caressa tendrement l'épaule avant de l'embrasser.
-Tu m'as l'air tendue... servir toute la journée est épuisant. Laisse-moi m'occuper de toi avant.
Ignorant royalement sa nudité, mais l'appréciant et sachant que Lorelei savait qu'elle l'appréciait, la brune monta sur la rousse pour entreprendre de lui donner un massage avec de l'huile chaud apparut magiquement. D'abord, les épaules, puis la nuque, et enfin, le milieu du dos. De long comme en large, elle s'occupait de Lorelei ainsi pendant une trentaine de minute. De beaux préliminaires, entendant ses gémissements, ses soupirs. Ses muscles qui se décontractaient après tant d'effort durant la journée.
-Tu aimes cela, hein ?
Un petit sourire amusé vint sur son visage et elle descendit davantage, pour s'occuper de ses fesses comme il se le devait, ainsi que ses flancs, ses seins, etc. Avec sensualité et tendresse, elle s'occupait de Lorelei. Elle portait une sorte de chemise de lin fine et des shorts qui, malgré sa petite taille, cachait un énorme membre viril. Qui restait doux. Elle maîtrisait facilement ses pulsions, et était douée pour rendre les choses sensuelles..
Ainsi, elle massa ses cuisses, puis ses pieds, avant de reprendre le massage vers le dos puis le devant du corps. Au final, Eris fut sur le lit, allongée sur le dos, avec la belle Rousse installée sur elle. Ses mains sur son fessier, le pressant, elle l'embrassait langoureusement, mais chaque fois que Lorelei tentait de la déshabiller, de s'occuper de son membre, elle lui murmurait non, voulant s'occuper d'elle d'abord, voulant la traiter comme une véritable petite princesse. Ce fut ensuite Lorelei qui se trouva allongée sur le dos.
Avec une Eris jouant avec son intimité féminine avec sa langue et ses doigts, comme une véritable chirurgienne appliquée et constante. Montant en crescendo le plaisir avant de redescendre. Sa langue rentrait parfois en elle, s'occupant de son intérieur et de ses chairs humides, et ses doigts l'y aidaient, avant de retourner caresser tout ce qu'elle pouvait atteindre.
-Hmm....
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Evidemment, l’arrivé de son amant lui faisait extrêmement plaisir. La belle Lorelei, ayant retrouvé quelques couleurs, un sourire, avait attendu avec hâte sa venue. Eris était si beau, si charismatique, si … Irrésistible. Lorelei ne savait pas comment lui dire ce qu’elle avait à lui dire ce soir, mais elle savait qu’elle allait devoir le faire. Cela devenait une nécessité absolue. La peur de se voir refuser, de se voir rejeter était présente, mais le risque en valait le coup. Ainsi donc quand il entra dans la pièce et l’appela par le petit surnom qu’il avait l’habitude de dire, Lorelei sourit. Elle rougit également en sentant sa caresse et son baiser sur sa délicate épaule pâle, tournant doucement sa tête sur le côté.
« C’est épuisant, mais dès que je suis avec toi, je me sens détendue. » Lui répondit-elle, entrouvrant ses belles lèvres pour laisser échapper un soupir d’aise au moment où Eris commença à masser ses épaules. Visiblement il avait tout prévu ce soir, même l’huile de massage si Lorelei ne se trompait pas. Ses mains, son doigté, tout était si bon et délicieux. Elle sentit son corps se détendre incroyablement bien, la chaleur de l’huile et du massage lui procurant un bien fou. Lorelei se détendait, s’enivrant malgré elle de ce massage unique. Sentir les mains de son chéri parcourir ses épaules puis sa nuque, avant de descendre pour passer sur des zones plus … Intimes, c’était juste fantastique.
La tendresse, la sensualité et la douceur étaient de rigueur. Eris parvint à détendre Lorelei en moins de trente minute, rien qu’avec ses doigts de fée ! Le massage fit soupirer et transpirer la belle jeune femme d’aise et de bien-être, surtout quand il se mit à masser sa poitrine, ses hanches ou bien encore, ses fesses. « Hmm … » Soupirait-elle ponctuellement. Eris passa sur tout son corps, même ses pieds. Il n’oubliait rien chez Lorelei, et immanquablement … Après de pareilles préliminaires, les deux amants finirent par s’abandonner l’un à l’autre. Eris finit sur le dos, avec une Lorelei le chevauchant, se penchant pour l’embrasser de toutes ses forces, pour le couvrir de baisers et d’amour. Néanmoins elle trouvait le petit jeu de son amant très cocasse, à vouloir l’empêcher d’accéder à son paquet. Pourquoi donc ? Lorelei avait une très gourmande envie de ce sexe … Eris désirait sans doute jouer.
« Tu es joueur ce soir ! » Dit-elle au milieu de son extase, retournant vite fait bien fait l’embrasser. Néanmoins Eris finit par la toucher en plein cœur quand il lui avoua vouloir faire d’elle une vraie princesse ce soir, en s’occupant d’abord d’elle. « Tu m’as toute entière, mon chéri … » Finit-elle par dire quand elle se retrouva sur le dos, à avoir le visage d’Eris entre ses cuisses. Elle soupira grandement et finit par rugir de plaisir quand son amant commença son labeur, à lécher sa féminité, à l’explorer, à la stimuler comme jamais elle n’avait été stimulée. Sa langue en elle, lui arrachant de furieuses et grandioses sensations, puis ses mains qui la caressait, qui parcouraient sa peau là où elles pouvaient. « Hmm … Haaan Eris … Continues … » Murmura-t-elle d’une voix transpirant l’extase. Son corps se courbait et se mouvait au gré du plaisir que lui offrait le garçon.
Inexplicablement, l’huile présente sur tout son corps la réchauffait et lui procurait un plaisir supplémentaire. Une sensation d’extrême bien-être qui contribua assez bien à son état d’extase. « E-Eris … Haaaan ! » Gémit-elle à nouveau en se mordant la lèvre, appuyant d’une main la délicate tête de son amant pour mieux l’enfoncer contre elle. De ses doigts gracieux elle caressa sa chevelure, l’incitant à y aller encore plus franchement. « F-Fait de moi … Hmmm … Ta petite princesse ! Haa ouiii !!! » Gémit-elle encore, un sourire béat aux lèvres. A force de sentir cette langue et ces doigts se déployer ainsi, et surtout après de beaux préliminaires, le premier orgasme de Lorelei n’allait pas tarder à survenir …
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Évidemment qu'elle serait épuisée, se disait Eris. Elle n'était, qu'ici, rien qu'une femme de joie doublée d'une servante plus ou moins bonne. L'aubergiste devait bien gagner sa vie en la gardant dans son établissement comme moyen de plaisir pour les clients tout en ayant une bonne servante sous la main. Avec sa beauté, qui plus est, elle devait attirer une clientèle assez fréquente. Eris devait avoir créé des jaloux en la louant pour elle seule, mais elle avait désiré de l'avoir pour une nuit, originellement, avant de la connaître davantage, pour se décider à la garder une semaine en entier pour elle seule. Afin de la réconforter un peu dans sa peine.
La traiter en princesse était un moyen de lui dire qu'elle n'était qu'une femme comme les autres. Une personne sensible, avec des besoins, émotionnelle comme physique, et non une simple marchandise dont on pouvait user comme l'on le voulait. Elle allait faire de Lorelei sa petite princesse, et elle, serait son Roi, mais qui la traiterait en égale, comme une femme forte qui, malgré son vécu, avait besoin de support moral. Ainsi donc, elle se plongeait avec vigueur dans son travail : faire plaisir. Eris laissait sa langue faire les gestes, ses mains parcourir la peau de Lorelei sous des caresses langoureuses.
-Hmmm... !
Sa langue parcourait sans cesse son intimité, de l'extérieur comme de l'intérieur, son muscle buccal écartant ses chairs pour pouvoir frayer son chemin en l'ancienne vampire. Un nectar délicieux s'en échappa et Eris put sentir alors les muscles de celle-ci se contracter par moment comme le ferait un cœur qui bat, signe qu'elle était au bord de l'orgasme. Elle continuait, pour son bien. Pour le bien d'elle davantage que du sien. La jouissance vint et Eris se retira donc en essuyant sa bouche avant de venir embrasser Lorelei doucement, se tenant au-dessus de la rousse.
-Tu veux me faire plaisir... ?
La réponse obtenue, qui fut oui, obligea donc Eris d'enlever tout ses morceaux de tissu qu'elle portait, pour dévoiler son corps d'androgyne... Et son membre digne d'une grosse massue manier par un puissant orc de guerre. Épais, imberbe, long et lisse, respirant toutefois un peu la sueur en raison des efforts physique pour la nage et pour voyager jusqu'ici malgré la fatigue. Lorelei, qui s'était mise sur ses genoux au plancher de la chambre alors qu'Eris s'était installée sur le bord du lit, prit alors son membre pour s'en occuper avec sensualité au début. Sentant sa langue, ses lèvres, sa salive la parcourir calmement, de haut en bas, sous toutes les coutures.
-Hmm, oui, Lorelei...
Elle souffla longuement sous l'action de la bouche de la rousse. Dieu qu'elle était douée. Elle savait plaire la Langnar, et elle aimait bien cela. Sa queue était si bien emprisonnée dans cette prison de chair humide, alors qu'elle bougeait sa tête d'avant en arrière avec un rythme soutenue. Elle était entièrement bandée, et sentait que sa queue peinait pour avoir de la place dans sa bouche. C'était jouissif. Au bout d'un moment, Eris, grognant, se mit debout sur le plancher et agrippa sérieusement Lorelei avant de commencer de percuter la bouche de celle-ci avec sa grosse queue large et en chaleur. Elle lui baisait la gueule, férocement, et sa paire de couilles venait se claquer contre son menton. Pendant deux minutes, ce spectacle continua avant de finalement jouir.
Soufflant doucement, Eris relâcha Lorelei et se retira. Elle avait tout avalée, comme une gentille fille, et le 'Roi' en était tout simplement heureux ! Elle observa Lorelei avec un sourire et lui caressa le visage en demandant doucement.
-Tu veux apprendre comment dominer un peu ? Aucun besoin de jouets... ou de fouets.
Elle lui montra alors en s'installant sur le lit avec Lorelei, lui faisant signe de s'allonger sur l'autre extrémité du lit. Prenant les pieds de la belle, elle les posa ensuite sur son membre et entreprit de lui montrer des mouvements de va-et-vient. Lui montrant alors que même ainsi, elle pouvait avoir le contrôle sur un homme, tout en ayant l'air sexy et dominante en raison de ses collants et de son visage, lui indiquant quoi faire.
-N'oublie pas... De jouer avec deux endroits différents aussi... Et de presser un peu le gland avec tes ort—Aaaah...
Un soupir de plaisir s'échappa d'Eris, qui, au bout d'un moment, finit par jouir un peu. Elle apprenait vite, c'était clair. Sa semence recouvrit les longues jambes de la rousse ainsi que son collant blanc, et doucement, Eris écarta ses jambes avec un sourire de vicelarde, calmement.
-Maintenant, on va bien s'amuser, toi et moi...
Eris se glissa vers Lorelei pour l'embrasser passionnément. Celle-ci tenta de se retourner pour offrir son cul envers la Langnar, mais Eris la retint en la plaquant sur le lit.
-Non.
Sur un ton d'autorité, mais doux, Eris posa une main sur la joue de la rousse, la regardant tendrement dans les yeux.
-Ce soir... je veux regarder dans tes yeux le plus longtemps possible.
Doucement, en l'embrassant parfois, Eris s'ajusta dans sa position...
Et pénétra la jolie jeune femme.
-Gaaah !
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La jeune femme était loin d’être insensible à la gentillesse et aux attentions de son amant. Eris était si attentionné et gentil, Lorelei ne pouvait que le remarquer. Au départ ce n’était qu’une nuit, mais au cours de laquelle Lorelei avait fini par se confier. Tout avait commencé quand, à sa surprise, son amant avait tendu l’oreille et l’avait écouté, jusqu’au bout. Il fut un bien tendre confident, et visiblement l’histoire de la jeune femme l’avait touché au point de la louer pour une semaine entière. Une intense et torride semaine durant laquelle la servante se confia encore et encore, tout en faisant intensément l’amour à ce garçon en or, qu’elle adorait de plus en plus à force de non seulement coucher avec, mais aussi, de parler simplement avec lui.
Eris avait rapidement prit une place spéciale dans le cœur meurtri de Lorelei. Attentif, patient, il avait toutes les qualités possibles, à ses yeux. Avec lui ... Elle se sentait réelle. Elle se sentait digne et sereine. Eris lui permettait de retrouver une part de cette fierté, de cette dignité qui autrefois vivait bien en elle. Jamais, ô combien jamais personne n’avait montré autant d’attention envers elle que lui. Ce soir, cet ultime soir, était décisif car Lorelei s’apprêtait à l’implorer qu’il la prenne avec lui, qu’il fasse d’elle sa servante, ou son esclave, si c’était le terme qu’il aimait employer. Mais en attendant elle était bien trop occupée à ressentir ses terribles coups de langue en elle, à gémir et sentir son corps se détendre et frissonner intensément.
Immanquablement la jeune femme finit par craquer et jouit, frappée d’un délicieux orgasme qui la laissa rêveuse. Mais qui laissa Eris la bouche inondée de mouille. Le terrible garçon se hissa au-dessus et vint gratifier Lorelei d’un savoureux baiser qu’elle partagea avec hargne et passion, enfouissant sa main dans sa chevelure ébène. « Hmmmmmm ! » Ronronnait-elle contre lui, fourrant chaudement sa langue dans sa bouche. Cependant son amant décida enfin à lui laisser l’occasion de le gâter ! Ainsi, il finit par se retirer puis se déshabilla, offrant à Lorelei la vue la plus magnifique qu’il soit ... Son corps nu, tout délicat et appétissant. Malgré son allure féminine et douce, Eris possédait un sacré membre, aussi énorme que juteux, qui faisait toujours très envie à Lorelei. Descendant du lit pour se mettre à genou au plancher, la jeune femme partit immédiatement à l’assaut en venant tendrement et passionnément lécher ce sexe, de toute sa langue.
Lorelei ne rata guère Eris ; elle lécha avidement sa queue avant de s’attaquer à ses bourses, les couvrant de sa salive pendant de longues minutes, avant de finalement gober sa matraque et se mettre à la pomper de toutes ses forces. Ses joues se creusaient tandis qu’elle avalait ce délicieux morceau, qu’elle se régalait et apaisait sa faim. Eris avait compris comment fonctionnait sa chère princesse, et finit par grogner, avant de se lever et agripper fermement sa tête pour lui forcer la gorge. Lorelei goba ce membre qui martelait sa trachée, tout en se défoulant en malaxant fermement le petit fessier d’Eris, jusqu’à ce que celui-ci jouisse en elle, et copieusement ! Gourmande, elle avala tout, jusqu’à la dernière goutte, avant de se pourlécher les lèvres. « Hmmm d-é-l-i-c-i-e-u-x ! » S’exclama-t-elle, un large sourire béat aux lèvres.
S’en suivit d’un petit jeu entre les deux, où allongés sur le lit, Eris fit en sorte que Lorelei masturbe sa queue avec ses pieds délicats, enveloppés par ses bas. La jeune femme s’appliqua corps et âme, consciente qu’ainsi, elle avait la queue d’Eris pliée à sa volonté. Elle joua de ses pieds et de ses orteils pour l’astiquer et la pousser à bout, jusqu’à ce qu’elle finisse par cracher de la délicieuse semence partout sur ses jambes, cuisses et pieds. Après cela, les deux tourtereaux s’embrassèrent furieusement, Eris se hissant à nouveau au-dessus. Lorelei avait instinctivement tenté de se retourner pour se faire bien sodomiser, mais son chéri avait décidé de la traiter en véritable princesse. Lorelei et lui ne se quittèrent ainsi plus du regard quand le garçon se mit à la besogner, allant et venant ardemment en elle. « Haaaaa E-Eris !!! » Couina ainsi une Lorelei extasiée, se sentant plus que jamais ... Aimée et estimée. « Ohh m-mon chéri je ... Hmmmmm ... Tu es si parfait ... Je ... Haaaaaan ... Je te veux !!! » Dit-elle, la voix entrecoupée par les coups de trique d’Eris et le plaisir fou que ça lui apportait.
« Je veux ... Pouvoir te regarder dans les yeux ... Hmm ... Pour t-toujours. E-Eris ... Haaaaa – Je veux ê-être tienne ! Prends-m-moi avec toi ... Je t’en prie ... Je ... T’aime ... » Dit-elle, transpirant et soupirant d’extase à chaque seconde qui passait. Mais cela ne changeait rien à son discours ; elle venait enfin de briser la glace et avouer à Eris, son chéri, son confident, ce qu’elle ressentait et désirait le plus au monde ; être sienne, et le servir pour toujours. Ses mots sortaient de son cœur, et même de ses entrailles. Lorelei sentait une grande vague d’extase s’emparer d’elle, la forçant à crisper ses doigts dans le dos d’Eris, le plaquant mieux contre elle, et resserrer ses cuisses contre ses hanches alors que tout son corps tremblait de plaisir à chaque coup de butoir, et que sa féminité s’enflammait complètement, lâchant des milliers de papillons en son bas-ventre ...
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Mouvement de hanche. Se souvenant de ses apprentissages au combat avec quelques armes au sein de son royaume lorsqu'elle avait été enfant, avec des professeurs et d'anciens soldats expérimentés. Notamment celui de la lance. Toujours garder son ennemi en vue, ne jamais le perdre des yeux, suivre ses mouvements, maintenir sa garde. Eris s'était laissée faire longuement, en traitant l'ancienne vampire comme d'une princesse, qui l'avait d'ailleurs dominée avec ses jolis gambettes avant de passer aux mouvements suivants. Qui était cette danse. Digne d'un combat avec une lame contre une autre. Mais Eris menait cette danse, car elle était au-dessus de Lorelei.
-Hmmm ! Oui ! Lorelei ! Que tu es si- Aaaah !
Les chairs intérieures de la rousse se refermaient agréablement autour de son membre viril, alors qu'elle continuait de la pilonner comme si elle était une soldate dont l'ordre avait été d'user de l'artillerie disponible pour déloger une position ennemie. Continuant de ravager son sein intérieur, Eris grognait, sous l'effort. Vinrent les propos de la rousse. Dieu que c'en était excitant... Et triste, dans un sens. Traitée comme une pauvre esclave, une fille des rues sans grande importance, elle n'était qu'un objet, en ces lieux. Mais Eris s'était promis de ramener Lorelei dans son royaume. Pour le bien de cette femme. Soudainement, elle changea la position, laissant alors Lorelei prendre la charge de mener la danse.
-Et tu m'aimerais au point de porter mon bébé ?!
Elle donna soudainement une grosse claque au cul bien dodu et ferme de la rousse, avec un sourire vicelard, de quoi l'exciter elle, mais aussi soi-même, car au fond, elle était adepte de sexe risquée. Elle suivit le rythme des mouvements de la belle rousse, sans délaisser bien sur les seins de la belle, les mordant, suçotant, mordillant, léchant. De quoi lui faire plaisir tout en pétrissant son fessier et caresser ses flancs, alors qu'elle ajustait ses coups de hanches pour mieux la faire jouir. Un grand moment pour la rousse qui profitait d'une si belle Langnar ! Androgyne comme réelle, elle était aussi belle qu'excellente. Elle changea ensuite de position de nouveau avec Lorelei, la prenant cette fois-ci par-derrière, donnant encore et encore des claques.
-Oui ! OUI ! C'EST TELLEMENT SERRÉE !
Elle tira soudainement sur les cheveux de Lorelei, prise de passion, sauvage, tout comme la rousse l'était, haletant, grondant.
-Allez, hurle mon nom ! Oui ! Tu es si endurante, Lorelei ! Si belle !
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Porter son bébé ? En voilà une bien drôle d’idée. Peut-être était-ce le feu de l’action qui avait provoqué cela, mais en tout cas, Lorelei ne s’y était pas attendu. Eris venait-il réellement de lui proposer ... De l’engrosser ? Si tel était le cas, il était évident que dans l’état actuel de la jeune femme, elle ne pouvait lui refuser cela ! Au contraire, plongée dans l’ivresse du moment, elle le désirait beaucoup. « Je t’aimerai au point de porter TOUT tes bébés ! » Lui répondit-elle, avant de venir plaquer plus fermement la tête de son précieux amant contre sa poitrine, le forçant, l’incitant d’avantage à dévorer sa poitrine maintenant qu’elle avait échangé de position avec lui.
Car en effet, Eris et Lorelei avait changé de place. Voilà donc que la jeune femme était en train de danser sur l’énorme et joyeuse queue de son amant, venant s’empaler d’elle-même dessus. Son corps débordait de frissons et d’extase, tellement Eris était un partenaire redoutable et extrêmement doué ! Jamais personne ne lui avait procuré autant de sensations ... Du moins, depuis fort bien longtemps. Lorelei se sentait si vivante, si femme entre ses mains. Pour rien au monde elle n’allait le lâcher, désormais. « Hmmm – Haaaaan !!! » Rugit-elle à nouveau, sollicitée de toute part. Sa poitrine, sa féminité, et ses fesses grâces aux gifles que lui assénait Eris.
Tout cela finit par la faire hurler à nouveau, alors que son corps céda et la fit jouir contre son délicieux amant. Le serrant complètement contre elle, écrasant sa tête au creux de sa poitrine, Lorelei fut frappée d’un énième orgasme qui lui fit révulser ses yeux. Tout son corps s’électrisa face à ce cataclysme orgasmique qui s’empara d’elle, la laissant dans une dimension surréelle, ailleurs, où seul le bonheur et l’extase existaient. Mais c’était loin d’être fini ! Juste après qu’Eris lui ait un offert un terrible et fantastique orgasme, voilà que l’androgyne se déplaça à nouveau puis, fit de nouveau plaisir à Lorelei en la sodomisant.
Ainsi, la jeune femme termina à quatre pattes, les cheveux tirés en arrière, à se faire douloureusement déflorer l’arrière-train. « HAAAA !!! » Hurla-t-elle de douleur mais aussi de plaisir, se laissant complètement aller. Tout ce dont elle désirait, plus que tout, était de se faire tringler par Eris. Que celui-ci se défoule dans son petit cul comme il était en train de le faire. « E-Eris ! HAAAAANNNN OUIII ERIIIIIS !!! » Criait-elle, comme demandé, ne retenant plus un seul instant son extase. Son cul remuait fermement à chaque coup de butoir, alors que son corps se balançait sauvagement d’avant et d’arrière, suivant le rythme puissant du jeune androgyne. Son anus se contractait contre sa queue juteuse, renforçant l’aspect serré, et forçant ainsi Eris à la pénétrer de plus en plus fort.
Qu’il la remplisse de tout son foutre, c’était tout ce dont elle désirait à cet instant ... « OUI ! HMMM HAAAAANN B-BAISE MOIII !!! » Gémissait-elle encore et encore, la tête penchée de force en arrière, suivant la belle poigne d’Eris sur sa tignasse de feu.
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Dieu que cette sensation était tout simplement agréable. Si tendre, si ferme, si délicieuse. Enculer quelqu'un était tout cela à la fois, tout en ayant ce degré de sauvagerie qui se révélerait au fil du temps. Eris avait des pensées de plus en plus lubriques. Elle grognait, elle défonçait, elle prenait Lorelei pour sienne. Dans sa luxure, elle ne voulait que Lorelei pour soi-même, mais dieu qu'elle aimerait tant la libérer. Lui donner une position de pouvoir, quand elle sortira d'ici, mais sans trop lui en accorder, politiquement parlant ou militaire. Socialement, cela dit, être concubine d'Eris Langnar avait ses avantages. Tout en la défonçant, elle eut alors une idée plus ou moins bonne. Lui donner un air d'androgyne... Mais cela se révélerait un brin plus compliqué. Dans les cordes de la Reine, mais qui prendrait toute une nuit.
-TU VEUX QUE JE TE BAISE ?! ON VA BAISER, ALORS !
Une nouvelle bordée d'énergie pure et Eris rugissait, la prenant complètement pour sienne. Heureusement qu'elle avait pu insonoriser la chambre, pour ne pas déranger les autres. Eris grogna, et de plus en plus, s'enquerra alors de sa force magique en elle pour débuter le sort.
-Je JOUIS !
Un grand sentiment de bien-être s'empara d'elle et sentit sa semence emplir son cul. Pour les derniers efforts, elle avait usé d'une partie de sa force magique en elle pour augmenter son endurance, pour endormir Lorelei, ce qui marcha. Et pour faciliter la métamorphose qui se déroulerait au beau milieu de la nuit. Elle commençait déjà d'ailleurs, avec les oreilles qui devenaient de plus en plus pointues.
Le lendemain...
Vers le milieu de la matinée, Lorelei put alors se réveiller pour constater qu'Eris n'était plus dans le lit, mais non loin de celui-ci, assis sur une chaise près d'un petit bureau, un verre de vin en main, observant la 'nouvelle' Lorelei, avec un petit sourire. Vers sa gauche, un miroir. Qui représentait tout simplement cette nouvelle version. Une sorte de demi-elfe de petite taille d'apparence androgyne... Avec un sacré membre entre ses jambes. Presque digne de celui d'Eris.
-J'ai décidé de t'emmener avec moi... Mais pas sans t'avoir accordé quelques choses. D'une part, je n'aime pas le fait que tu puisses devenir... 'mon esclave'. J'appellerais davantage cela maintenant une concubine et un serviteur, et cette apparence n'a que pour excuse celle-ci : une meilleure place en ce monde en tant qu'homme. La femme n'étant pas primairement libre dans plusieurs royaumes de l'Empire et d'ailleurs...
Eris perdit un instant un sourire, avant de continuer sur un ton plus sérieux.
-En aucun cas, tu ne seras une esclave, chez moi. Tu auras les mêmes droits que la plupart des citoyens vivant sous la tutelle de ma famille, dont malheureusement, je ne t'ai pas encore révélée qui ils sont, pour quelques raisons. Tu pourras te déplacer ou tu veux, quand tu veux, faire ce que tu veux, mais tu seras sous ma gouverne. Le comprends-tu ?
Puis un petit sourire vint illuminer son visage androgyne un instant.
-Je ne peux te dire qu'une chose : j'ai dû user un peu de magie pour te transformer pendant l'orgasme. Le reste s'est déroulé au cours de la nuit. Cette apparence te plaît ?
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Cette nuit allait marquer la vie de Lorelei d’une manière ou d’une autre. Son amant était si dévoué et si déchainé, son fessier prenait vraiment cher et il n’était pas certain que le lendemain, elle puisse s’asseoir. Mais, si elle devait être honnête avec elle-même, Lorelei adorait ça. Oh oui, elle aimait cette sensation plus que tout. Celle de se faire sodomiser à sec, celle de se faire dominer l’arrière-train. Celle de n’être qu’un petit jouet entre les mains de la personne qu’elle chérissait le plus ces temps-ci. C’était une sensation incroyablement agréable et jouissive, qui était capable de faire jouir Lorelei en moins de deux.
A force de se faire sodomiser ainsi, de sentir ses fesses brûler et claquer à chaque coup de butoir d’Eris, la jeune femme craqua. Elle céda complètement, jouissant donc à nouveau, hurlant de douleur et d’extase telle une possédée. Sa mouille coula entre ses cuisses, éclaboussant le lit de son nectar féminin alors que son anus se contracta fortement, écrasant bien en elle la queue d’Eris. Quand celui-ci juta dans son fondement, Lorelei se sentit se faire remplir rapidement ; elle sentit ses entrailles se remplir à ras-bord, encore et encore, jusqu’à même lui donner un ventre tout rond sensiblement gonflé.
Laissée ainsi, épuisée et extasiée, la jeune femme s’écroula au lit, se sentant subitement … Fatiguée. Un gros coup de barre s’empara d’elle, la laissant s’effondrer sur le lit, le fondement encore bien ouvert et laissant échapper le délicieux foutre d’Eris, lentement. Il n’y avait que lui qui parvenait à lui faire ressentir de pareils orgasmes … Et de tout cœur, elle espérait que son chéri l’accepte, qu’il la prenne sous son aile, qu’il fasse d’elle sa servante. C’était ce qu’elle désirait … Coute que coute. Ce fut ainsi au lendemain qu’elle put découvrir le prix en question. Même si, pendant son sommeil, Lorelei se sentit extrêmement bien. Dans le sens où elle n’avait pas passé une si bonne nuit depuis bien longtemps.
Elle rêva encore et encore d’Eris, parsemant ainsi sa nuit par de beaux et agréables rêves, qui lui firent beaucoup, beaucoup de bien … Mais, était-ce réellement ça qui avait provoqué son bien-être ? Au réveil, au petit matin, alors que ses paupières commencèrent doucement à se rouvrir, elle entendit la douce voix d’Eris se lever, plus loin. « Hm ? » Ronronna-t-elle, emparée d’une immense joie en entendant juste après que son amant venait de décider de l’emmener ! « C’est vrai ?! » S’exclama-t-elle en se redressant d’un coup, mais se taisant juste après, ayant entendu sa propre voix … Qui était étrangement bien différente. Elle grimaça d’incompréhension, avant qu’Eris ne prenne les devants et lui explique la situation ; Lorelei deviendra sa concubine, un serviteur. Pourquoi avait-il dit cela au masculin ? La réponse vint, et fit écarquiller largement les yeux de Lorelei.
« Q-Quoi ?! » Dit-elle, ou plutôt il, apprenant donc qu’Eris l’avait changé en garçon ! Apeuré et complètement alarmé, Lorelei sauta de son lit, nu, et se regarda en penchant sa tête ; plus aucune poitrine présente. Son torse était complètement plat. Il sentait un gros poids entre ses cuisses, trahissant de la présence d’une massive queue, et d’une large paire de testicules. Lorelei, étant de base homosexuelle, aurait très, très mal réagit à l’idée de devenir un homme, si elle – ou plutôt il – ne s’était pas ensuite jeté vers le miroir. Son regard se posa sur son reflet et … Il se vida. Alors qu’un début de colère s’était emparé de lui, son air se figea. « Eris … » Dit-il alors, comme s’il était en était de choc, les yeux rivés sur son reflet.
Lorelei voyait un mignon androgyne elfe, possédant un corps … Délicieux, à l’image d’Eris. Lorelei constata que ses hanches s’étaient un peu rétractées, que ses larges formes féminines s’étaient amincies pour devenir plus masculines, plus fermes, plus plates, mais tout en restant suffisamment féminine pour demeurer androgyne. Son visage avait complètement changé ; ses yeux devenus dorés, sa chevelure devenue noir de jais, ses oreilles pointues, et la structure même de son faciès devenu différent ; mâchoire, lèvres, menton, etc. Impossible de reconnaître Lorelei, car tout avait changé. Le jeune garçon se tût, posant finalement ses mains sur son nouveau corps, le caressant du bout de ses doigts. Il se tourna, observant son beau fessier ferme, moins rond qu’avant, mais tout autant gourmand. Finalement, il glissa ses mains vers son sexe, caressant celui-ci, allant chercher ses douces bourses, constatant fatalement que sa féminité avait été totalement remplacée. En somme … Il était devenu un garçon.
Mais pas un homme. Un garçon suffisamment féminin pour être androgyne. Le meilleur des deux mondes, à l’image de son chéri. « Eris je … Je … » Dit-il, confus, avant de clôturer subitement ses yeux et secouer sa tête. « J’ADORE !!! J-Je suis si … Ahhh tu m’as fait à ton image, j’adore ce visage, ce corps … Hmm, et cette queue … » Dit-il, en la caressant doucement. Le garçon se tourna vers Eris puis prit subitement assise sur ses genoux, plongeant son visage pour l’embrasser de toutes ses forces, forçant sa langue dans sa délicieuse petite bouche. « Hmmmmmmmm ! » Ronronna-t-il, roulant une vraie pelle à Eris pendant de longues secondes, avant d’écarter son visage. « Je n’ai jamais … Été un garçon. Mais avec toi, je suis prêt à embrasser ma nouvelle vie … Et mon nouveau corps … Je … Je suis prêt à être ton petit bout d’homme rien qu’à toi. » Dit-il, avouant à nouveau son amour, avant de prendre Eris dans ses bras, lui faisant un grand câlin.
Evidemment, il ne fallut guère longtemps pour que son sexe s’éveilla, et commença à bander dur, voire très dur. « Donnes-moi un nouveau nom, mon amour. Si je dois vivre un nouveau départ, je veux le faire bien. Nouveau corps, nouvelle vie … Nouveau nom ? » Dit-il avec un petit clin d’œil malicieux, déposant un vif baiser sur ses lèvres, et frottant doucement son sexe contre la bosse qu’avait Eris entre ses cuisses … Ce qui ne fit que renforcer sa trique.
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Le changement avait été conséquent et radical. Eris s'en voulait un peu, en voyant l'expression de surprise sur le visage de Lorelei, en l'ayant transformée ainsi. Mais elle avait voulu lui donner une chance, elle qui avait été utilisée comme une vulgaire pute de bas-étage par de nombreux clients et par l'aubergiste du coin. Elle ne pouvait punir celui-ci comme elle le voulait, car elle n'était plus dans son royaume, mais autrement, elle l'aurait punie par une peine suivante : emprisonnement dans une cage pendant deux semaines sans bouger, sans manger, avec tout simplement de quoi boire pour survivre chaque jour. Elle était radicale. Elle se le devait.
Elle vit un début de rage sur le visage de la femme maintenant homme, qui se mua ensuite pour un tout autre sentiment, alors que Lorelei s'observait sous tous les angles possibles pour observer son cœur. Eris ne se priva pas d'ailleurs d'observer aussi ce beau petit corps de cet elfe, maintenant. La soudaine réaction de celui-ci la surprit un instant, avant de reprendre contenance avec un sourire rassuré, quoi qu'au fond, elle ressentait de l'appréhension. Un brusque changement, ainsi, pouvait se révéler assez catastrophique, mais elle se rassurait que tant que Lorelei l'écouterait, tout irait bien. Elle lui rendit le baiser fou qu'il lui donna, calmement, et maîtrisait encore ses propres pulsions, qui avaient été calmés hier soir.
-Je n'ai aucunement le droit de te donner un nouveau nom, Lorelei, finit par dire Eris calmement, mais sans se départir de son sourire charmeur. C'est ta vie, je n'ai qu'intervenu comme il le fallait pour t'en aider. Tu choisiras ton nouveau nom, et tu seras alors cette personne. Mais je me dis parfois que c'est le passé qui fait de nous ce que l'on est aujourd'hui. Alors... garderas-tu ton nom ou en trouveras-tu un autre ? De cela, seul toi peux le décider.
Sentant le frottement, Eris ne fit qu'émettre un petit ricanement amusé avant de se relever.
-Vu que tu as l'air excité, je vais donc te proposer quelque chose : de passer tes envies naissantes sur une prostituée de l'auberge. Après tout, tu n'as jamais goûter au con d'une femme en étant un homme. Viens. Et habille-toi un peu.
Ceci fait, Eris emmena alors Lorelei en promenades pour ladite prostituée dans l'auberge, marchant devant quelques chambres ouvertes et s'écartant du passage de quelques nouveaux arrivants. La jeune femme cachée dans le corps d'androgyne magiquement créé lui montra alors une sorte de grande alcôve de luxe dans cette petite auberge du coin, et avec elle, une femme d'une grande beauté en son sein qui servait, en compagnies d'autres personnes de sexe féminins de diverses races. Elle avait des cheveux bruns, une robe rouge s'ouvrant en V sur ses cuisses bien galbées, une belle poitrine et qui possédait vraisemblablement un beau cul. (https://i.pinimg.com/originals/98/05/97/9805973789be4ecff21e0ef6f6148278.jpg)
-Regarde-la comme elle est belle... Murmura Eris aux oreilles de Lorelei. Vas-y. Essaie de l'amener dans son lit. Tu verras à quel point c'est tout simplement magnifique d'avoir une queue bien fourrée.
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Lorelei était effectivement très excité. Ce corps, c’était comme un véritable volcan en éruption. La sensation d’avoir une queue était très particulière, mais gorgeait Lorelei d’une espèce de hargne, de fougue irrépressible, qu’il mourrait d’envie d’assouvir. S’il se doutait qu’il allait mettre du temps à ne plus regretter sa féminité d’antan – car après tout, Lorelei appréciait grandement le corps d’une femme – il savait aussi qu’il allait s’adapter assez vite. L’elfe était donc surexcité, et jamais il n’avait eu autant d’énergie ! Il avait embrassé Eris de toutes ses forces, plongeant longuement et tendrement sa langue dans sa bouche, jusqu’à épuisement des souffles.
Mais finalement, son amant, son chéri, lui expliqua la suite du programme. Eris refusait de lui donner un nouveau nom, estimant qu’il avait déjà assez intervenu dans sa vie suite à ce changement radical de corps, et de sexe. Néanmoins, Lorelei éprouvait le besoin de changer de nom. Peut-être pas de suite, mais la nécessité était là. Lorelei était destinée à devenir un reliquat du passé, une image d’une personne qui n’existait plus. Car ce qu’il était devenu, ou ce qu’il s’apprêtait à devenir, était différent. Il fallait se tourner vers l’avenir. Mais il se plia à la volonté d’Eris et acquiesça, décidant donc qu’il allait devoir trouver lui-même sa nouvelle identité. « Très bien, mon amour. » Lui dit-il, embrassant une dernière fois ses irrésistibles lèvres.
Le garçon se releva debout puis, comme demandé, partit se changer. Eris venait de lui faire une proposition des plus alléchantes, celle d’aller voir une prostituée de l’auberge ! Il lui avait assuré que coucher avec une femme en étant un homme était assez différent de ce qu’il avait pu connaitre. C’était donc dans l’inconnu que l’elfe sortit de la chambre, habillé légèrement, accompagné de son amant. Celui-ci le guida vers une alcôve, où séjournait une femme. Une femme à la beauté saisissante, au corps et aux courbes des plus délicieuses. Lorelei ne se souvenait pas d’elle, et pourtant, elle travaillait ici depuis un certain temps. Toujours était-il que l’androgyne cligna plusieurs fois des yeux puis, hocha de la tête. « D’accord … Je vais essayer. » Dit-il à Eris, avant de s’avancer.
Ainsi, il arriva à hauteur de la somptueuse dame, puis lui fit un sourire charmeur. « Bonjour madame. Pardonnez ma subite intrusion mais … Je ne pouvais rester de marbre face à un tel charme. Vous … N’y verrez aucun inconvénient si, un modeste et mignon client – comme moi – désire s’entretenir plus personnellement, avec vous ? » Dit-il, avec un sourire charmeur, la voix étonnamment calme. (Wow, c’est si différent …) Pensa-t-il pour lui-même, surpris de sa propre capacité à rester calme, malgré tout ce qui venait de se passer. C’était comme si au fond, il avait toujours été comme ça. C’était troublant, un peu déroutant, mais il passa vite à autre chose quand la femme accepta avec un sourire très sulfureux. Ainsi, le nouveau couple s’installa dans la chambre de Lorelei, avant que celui-ci n’installe confortablement la femme sur son lit.
« J’ai un invité avec moi. Mais rassurez-vous, il est tout aussi … Craquant. » Dit-il, faisant donc allusion à Eris, ici présent. Lorelei ne se gênait pas de la reluquer, d’admirer ses généreuses cuisses, ses hanches et ses fesses bien fournies. Il admira aussi le haut, son buste et aussi son visage, qui était singulier et très charmant. Lorelei se mordit la lèvre puis, s’installa à califourchon sur les jambes de la femme, avant de masser doucement ses épaules. Puis un sourire taquin s’éprit de ses lèvres, et il la repoussa doucement à la renverse, l’allongeant sur le lit. Il bondit sur elle, fougueux, puis l’embrassa tendrement sur les lèvres, goutant à sa douceur et sa saveur. « Hmmm … » Ronronna-t-il, clôturant ses yeux, mais sentant son entrejambe durcir encore plus, devenant extrêmement rigide et épaisse.
Et tout ceci, sous les yeux d’Eris …
-
Eris sourit en voyant la prostituée et l'éclat de confusion dans le visage androgyne du beau Lorelei, en apercevant ce beau bijou de chair et de luxure qui plaisait aux hommes rien qu'avec sa simple présence et son plus beau regard aguicheur et qui entichait bien des hommes et probablement des femmes de ce village. Elle n'était qu'une simple prostituée récemment envoyée depuis sa ville, une femme qui ne voulait que vivre de son emploi dans un lieu plus tranquille et moins chaud que la ville de Ghibli. Ainsi donc, Eris, en ayant pensée à elle, et pour dédommager plus ou moins l'aubergiste, avait user d'un portail magique pour la faire venir ici et la faire discuter avec celui-ci.
-M'entretenir personnellement avec vous ? Je ne dis pas non, mon cher, répondit-elle avec l'habituelle sourire sulfureuse qu'elle pouvait user, tandis qu'elle s'éloignait en compagnie des deux androgynes, après avoir fini de servir les hommes qui demandaient leur alcool tant adoré.
Suivant ensuite dans la chambre, s'installant sur le lit comme on la montra. Et en regardant l'androgyne puis Eris, elle sourit, sachant ce que cela voulait dire. La prostituée savait qu'Eris ne ferait qu'observer ce beau spectacle, pour savoir comment Lorelei se débrouillerait au lit et surtout comment son corps réagirait en fonction de la situation. Pour l'instant, Lorelei semblait bien posséder de bonnes fonctions motrices, une conscience un brin plus accentuée sur la sexualité, mais rien de bien méchant. Alors, sous cette nouvelle personne qu'était Lorelei, la prostituée lui rendit un baiser chaud et passionnée, alors qu'elle lui caressait son dos, en silence, tandis qu'Eris s'était versé une coupe de vin non loin, observant le spectacle en le buvant.
Inversant ensuite les places, Lorelei fut allongé sur le lit, alors que la prostituée prenait soin de lui en le couvrant de baiser chauds et passionnés. D'abord au cou, puis au visage, sur sa bouche, avant de lentement descendre, de plus en plus... Et en un clin d'œil, elle avait déshabillé l'androgyne pour qu'il soit nu. Prenant le membre de Lorelei depuis sa base, elle entreprit alors de le masturber en douceur, pour bien l'habituer, mais en voyant les sensations faire son effet sur le visage de l'elfe, qui se contorsionnait parfois en grimaces de plaisir vu la sensibilité de son membre, elle se dit qu'elle n'aurait aucun souci pour cette partie. Sans perdre de temps, elle passait sa langue de haut vers le bas, sur le membre de Lorelei, caressant parfois sa belle paire de couilles épaisse et qui contenait le saint nectar de la luxure.
-Hmm...
La prostituée avait une voix chaude et une intonation vocale qui incitait aux choses les plus indécentes. Avec ce membre en bouche, elle prouvait son efficacité en faisant un excellent rythme de mouvement, lui procurant un plaisir inoubliable pour une première fois, sa langue travaillant sur les contours et le gland de sa lance de chair. Exécutant aussi parfois des gorges profondes, serrant bien sa gorge autour de ce membre, avant de reprendre ses va-et-vient. Se retirant après un bon moment, pour doucement embrasser le jeune homme.
-Laissez-moi vous montrer comment je danse...
S'installant sur le beau brun en califourchon, la prostituée releva ses hanches et sa robe, guidant avec une main la lance de chair vers son entrée féminine, avant de lentement s'empaler sur l'androgyne dans un long soupir empli de plaisir, murmurant tout simplement un langoureux 'oui...'. Bien installée, la brune entreprit ensuite de lentement faire des mouvements de rotation, donnant de nouvelles sensations en l'elfe, de plaisir, qui parcourait tout son corps. Posant ensuite ses mains sur la poitrine de Lorelei, avant de commencer par s'empaler sur ce membre.
-Ah ! Oui !
Un rythme lent et langoureux, au début. Pour pouvoir faire durer le plaisir. Embrassant souvent l'elfe, avant de lentement augmenter la cadence. Le lit émettait des grincements sous le poids et les actions combinés des deux jeunes gens, la prostituée gémissant assez fort pour que l'on puisse entendre hors de la chambre, mais pas assez pour que cela soit un hurlement. La prostituée aidait Lorelei pour bien bouger ses hanches, lui montrant comment bien bouger son membre en elle, agissant comme une professeur.
-Oui ! Oui ! Encore !
Elle apprenait vite, en tout cas...
-
Autrefois, Lorelei possédait aussi un membre. Mais non seulement le souvenir de cette époque était bien effacé, n’en restant que d’infimes images éparses, mais aussi, ce n’était pas la même chose. Là, Lorelei était devenue un garçon, un vrai ... Il n’avait pratiquement plus rien de féminin si ce n’était une allure androgyne. Sur tous les autres aspects, Eris avait fait de lui un beau et mignon garçon. Lorelei découvrait donc un tout nouvel univers et un tout nouveau corps, en compagnie d’une charmante dame qui semblait décidée à lui faire aimer tout cela. Nul doute que passé l’effet des premières heures, Lorelei allait sérieusement se remettre en question, et relativiser sur ce qu’il était devenu, sur sa nouvelle vie, et corps.
En attendant, il gémit et couina de plaisir alors que la belle femme commença à masturber son membre. Une queue bien rigide, dure et lourde, qui se rigidifiait encore plus face aux attentions qui lui étaient offertes. « Hmm. » Ronronna-t-il, regarda d’un œil sulfureux son amante. Il hoqueta à plusieurs reprises, surtout face à ses baisers dans son cou, sur son visage et ses lèvres. Cette femme savait y faire, et cela se sentait. Lorelei était d’ores et déjà en train de bander très férocement, gagné par cette sensation de puissance, de virilité qu’il découvrait ! C’était si agréable, si bon, si ... Parfait. Son esprit était en train de s’accommoder à sa nouvelle condition, et peut-être que bientôt, il trouverait qu’être un androgyne serait mieux qu’être une fille de joie.
La courtisane commença donc à le masturber plus férocement, puis entreprit finalement de pomper son sexe. « Haaan ! » Couina-t-il subitement, son visage se déformant sous le plaisir perçu. Il posa une main dans la chevelure de la femme, l’incitant à mieux le sucer, à mieux gober son membre. C’était si bon, Lorelei croyait à un rêve. Pourtant les sensations étaient réelles, et foutrement bonnes. Son sexe brûlait, plus il se faisait pomper, plus il sentait cette brûlure s’intensifier. Après une bonne séance fellation, il eut le loisir de sentir son amante le chevaucher ... Et là, il découvrit un plaisir jusque là oublié. Celui de pénétrer une femme ! « HMMM ! » Rugit-il, un sourire vicieux et extasié aux lèvres alors qu’il commença à pénétrer la fille de joie.
Celle-ci se mit à danser sur sa queue, à remuer sur place, à aller et venir tout en laissant Lorelei le loisir de bouger ses hanches. L’elfe agrippa les hanches de la dame pour s’en servir d’appui, puis sentit la hargne et le désir s’emparer de lui. L’androgyne fit basculer la femme sur le côté, se retrouvant donc au-dessus, puis agrippa ses chevilles. Il les écarta l’une de l’autre, afin d’avoir un clair accès à sa douce féminité. « Je crois que je vais adorer ça ... » Dit-il, un air malicieux dans ses yeux. Puis, l’elfe suréleva le bassin de son amante puis la pénétra à nouveau. Lorelei était donc en posture dominante, maintenant les cuisses de la femme écartées pendant qu’il allait remuer son bassin pour marteler son antre intime. Lorelei commença sa besogne, sentant sa queue chauffer et lui procurer toutes sortes de merveilleuses sensations, qui ne firent que le rendre encore plus hargneux. « Hmm – Hmmm – Haaaa ! » Couinait-il inlassablement, alors que son bassin allait et venait de plus en plus rapidement et puissamment ! Ses coups de trique se faisaient très forts et secs, faisant trembler et remuer le délicieux corps de la femme à chaque fois.
Le rodéo emporta Lorelei dans un monde de pur délice, de pure extase. Son esprit s’envola, embrassant complètement sa nouvelle condition. Embrassant complètement le fait qu’il était devenu un garçon ! « Oui ! OUIII !!! » Rugit-il après de nombreuses et longues minutes à besogner la femme. Sa queue surchauffa puis se mit enfin à cracher d’impressionnantes salves de foutre. Lorelei fut frappé d’un bel orgasme, alors qu’il plaqua son bassin pour enfoncer au maximum sa queue. Il juta encore et encore, balançant des quantités importantes de foutre. Il fut tétanisé, foudroyé sur place alors que tout son corps était électrisé, aliéné par le plaisir. Jouir ainsi, éjaculer, lui donnait une très forte sensation de libération qu’il n’avait jamais connu auparavant. Et le moins que l’on pouvait dire ... Etait qu’il adorait ça.
-
Le lit grinçait sous le poids des deux amants qui se faisaient l'amour sous les yeux de la Reine de Ghibli, qui observait le spectacle en faisant tourner un verre de vin. Quel beau spectacle qu'était-ce là, de voir un petit oisillon découvrir les joies de posséder une belle femme et de la pénétrer avec un membre juteux, épais, chaud et vibrant de vie ! La prostituée se tortillait gracieusement sur son membre. Mais les choses prirent une tournure bien plus drastique. Comme elle l'avait prévue, Eris vit Lorelei inverser la position et prendre une allure de dominante.
-AH OUI ! OUI ! OUI !
Chaque coup de reins était puissant et secs, comme elle le faisait, faisant trembler le lit de bien des parts, le déplaçant de centimètres par centimètres en faisant grincer le plancher de bois. Sa queue la labourait en profondeur, observant son nouvel ami la prendre comme si c'était qu'une simple chienne. Il n'en fallut pas longtemps pour qu'elle finisse par jouir dans un grand cri de plaisir. La prostituée se laissa ensuite tomber sur le lit, haletante, et Eris ne fit que sourire.
-Bien... Bien. Je vois que tu apprends bien vite et que tu t'adaptes bien avec ton corps. Cependant, je crois qu'une leçon supplémentaire ne te ferait pas de mal.
Eris claqua plusieurs fois des doigts et de la porte émana alors deux servantes de l'auberge, particulièrement charmante et jolies, qui gloussèrent en rejoignant Lorelei sur le lit. Disant un ' à bientôt ' à la nouvelle androgyne.
*
Plusieurs heures avaient passé depuis la transformation de Lorelei, et Eris était en train de boire une bière glacée sur une terrasse donnant une vue sur une plage non loin, propriété de l'auberge. Elle avait l'esprit clair, réfléchissant, avant de finalement tourner son regard vers son nouvel ami qui avait fini avec les servantes, après quelques heures de sexe.
-Alors, comment c'était ?
-
L’idée de devenir un homme, ou du moins de l’être, avait toujours rebuté Lorelei. Elle, qui était une femme au plus profond d’elle-même, qui n’avait toujours juré que par le beau sexe ! Jamais elle n’aurait un jour imaginé que pourtant, elle deviendrait un garçon, même si ce n’était pas au point auquel on pouvait penser. Eris avait fait attention à conserver l’allure féminine si chère aux yeux de son amie lors de sa transformation en garçon et le résultat était saisissant, même pour l’intéressée. Après avoir fait l’amour à une très belle fille de joie, Lorelei se sentait incroyablement bien. Jamais elle ne s’était sentie ainsi, pour dire.
Il trouvait qu’il venait de prendre un plaisir encore jamais atteint. Être un beau et mignon androgyne avait finalement ses avantages ... Le meilleur des deux mondes, en quelque sortes, avec un penchant pour le sexe masculin. L’elfe androgyne reprenait son souffle alors qu’il constatait, un sourire béat aux lèvres, ce qu’il venait de faire ; provoquer un orgasme chez une femme en tant qu’homme. Le plus troublant fut tout naturellement qu’il avait adoré ça. Lorelei avait adoré procurer du plaisir ainsi, de cette façon et avait adoré le plaisir perçu par son nouveau corps. Au final, il sentait qu’il était en train de s’accommoder bien rapidement à sa nouvelle condition.
Eris ne lui laissa guère de temps pour réfléchir davantage en lui envoyant deux nouvelles filles, qui vinrent le rejoindre sur le lit. « Hmm mes chéries, Lore’ va bien s’occuper de vous ... Aller, à quatre pattes ! » S’exclama-t-il, donnant une petite mais belle gifle aux fesses de ses deux nouvelles amantes. Le trio partit ainsi pour de longues et nombreuses minutes de sexe intense, avec un Lorelei au top de sa forme. L’androgyne fourra à tour de rôle ses deux délicieuses amantes, leur offrant orgasme sur orgasme à mesure que son corps se couvrait de sueur et que ses muscles s’échauffèrent. Plus ça allait, plus le foutre coulait à flot et les deux demoiselles n’étaient d’ailleurs pas à l’abri qu’à force, l’elfe ait pu en engrosser une ... C’étaient les risques du métier, après tout. Néanmoins son souffle était coupé et à la toute fin, il se dégagea lentement de l’emprise des deux femmes qui s’étaient affalées sur le lit, épuisées.
« Reposez-vous bien mes jolies ... » Dit-il doucement, s’extirpant lentement du lit. Il s’étira puis s’observa une dernière fois dans le miroir, adorant plus que jamais le corps que lui avait façonné son maitre. Sa queue, même au repos, était d’une belle taille et sa fine silhouette androgyne le rendait irrésistible. Il regarda à droite et à gauche pour remarquer que Eris n’était plus là. Un regard par le balcon de sa chambre et il put constater qu’il était plus loin, sur une terrasse donnant sur la mer, appartenant à l’auberge. Enfilant une tunique très fine, légèrement transparente, Lorelei quitta la chambre et rejoignit pieds nus son maitre sur la terrasse, plus loin. « C’était ... Hmm, parfait. » Répondit-il, s’approchant d’Eris. « Jamais je n’ai ressenti ça, c’est ... Hmm, c’est si bon ! Je ... Je crois que ... » Dit-il, peinant à trouver ses mots pour décrire ce qu’il ressentait tellement c’était unique et fantastique.
« Je crois que j’aime davantage le mignon garçon que je suis que la femme que je fus ... Mais, il me reste tant à découvrir sur ce nouveau corps, je me dis que peut-être ça ne sera pas aussi bon que je le pensais. Mais ... Tant que je suis avec toi ... Alors ça sera forcément meilleur qu’avant ! » Dit-il, avant de venir près d’Eris pour venir le câliner. L’androgyne offrit un grand et doux câlin au garçon, avant de venir déposer ses lèvres sur les siennes, cherchant un baiser très affectif. « Maintenant que tu m’as façonné à ton image, tu es mon maître, Eris. Je te servirai jusqu’à la fin et ... Je ferai bien plus que ça, d’ailleurs. Je t’aimerai pour toujours ... » Finit-il par avouer, un délicat sourire aux lèvres.
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Le changement avait définitivement marqué Lorelei dans son mental. Et son physique aussi d'ailleurs, les transmutations organiques semblaient bien passer, sans aucun encombre dans le corps. Eris avait été témoin de diverses personnes ayant été mutés plus ou moins selon le niveau de magie du mage. Les Sorceleurs étaient un bon exemple de ce genre de pratique. Bien qu'ils aient de nombreuses aptitudes physiques et mentaux pour ceux ayant survécu, il y avait alors là quelques autres destins bien plus sombres. La mort, par exemple, ou bien rester dans un état végétatif pour l'éternité, ou pire, en sortir avec des séquelles physiques horribles, ainsi que mentaux, comme un comportement plus violent et psychopathe que la plupart des Sorceleurs en général. Mais Eris, bien que jeune, était encore une excellente magicienne, un véritable prodige.
Elle avait visiblement pu changer le corps de Lorelei sans séquelle. Mais elle n'était pas sans blessure, puisque laissée en solitaire par ce qui avait été... sa déesse ou quelque chose dans le genre. Tant d'orgueil et de pouvoirs en une seule personne pouvait corrompre plus d'un, et de manière rapide, ou lentement, mais dangereusement. Mais Eris était une dirigeante qui se devait de montrer l'exemple. De fait, depuis l'enfance, elle avait été soumise en diverses épreuves. Comme vivre en solitaire pendant un long moment en dehors des cités et avec ses propres moyens, afin de pouvoir mieux apprécier ce qu'elle avait, ou bien avait été souvent dans des situations qui demandaient une réflexion, et non agir sur un vulgaire moment de sentimentalisme.
-Comme je te l'ai dit Lorelei, jamais avec moi, tu ne seras un esclave, ni un simple objet de passion que je peux utiliser pour passer le temps, répondit Eris en laissant le vent jouer dans ses cheveux. Mais soit. Si tu veux me servir, quand on arrivera... dans mon royaume, je te ferais suivre quelques leçons importantes.
Eris, dans son corps d'androgyne, lui fit un beau sourire avant de boire un trait de sa bière glacée et qu'un homme vint lui apporter un petit plateau de nourriture. De quoi commencer bien la journée, et Eris, d'un geste de la main, invita Lorelei de se servir. Il y avait ici divers aliments, comme des fruits, un peu de viande, du fromage, quelques huîtres fraiches et délicieuses, puis entreprit alors de déguster le fromage calmement.
-La notion de maniement de l'épée, par exemple, ou bien l'utilisation de certains domaines de magie. Un peu comme enchanter ton arme, ou, dans certains cas... La magie rose.
Les derniers mots flottèrent un instant dans le silence, avant qu'Eris ne continue, toujours avec ce sourire.
-Car après tout, je suis sûre que tu auras de nombreuses conquêtes.
Les yeux de la princesse vagabondèrent un instant sur le visage de 'l'elfe' devant elle, avant de continuer.
-Dis-moi... Cela te dirait de me suivre jusqu’au royaume où je dois m'y rendre ? Affaires diplomatiques. Je crois que tu ferais une excellente... Dame de compagnie.
Sourire joueur, alors qu'elle avalait ensuite sa nourriture.
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Le souhait de Lorelei de devenir la propriété d’Eris était réelle. Cependant elle sentait et voyait bien que l’androgyne était réticent à l’idée de faire d’elle – désormais lui – son esclave. Il venait de lui confirmer à nouveau cette volonté de ne pas en faire un esclave mais, d’un autre côté, il ne pouvait pas nier le souhait de Lorelei. Celui de le servir, d’être à ses côtés, etc. Et ce fut ainsi qu’il proposa quelque chose de très intéressant ; quand ils arriveraient dans son royaume, à Eris, ce dernier ferait alors suivre quelques entrainements à Lorelei afin que celui-ci devienne son serviteur.
Une grande joie s’éprit alors de l’elfe androgyne qui avait grandement envie de sauter au cou d’Eris pour le câliner, tellement il était heureux d’apprendre cela. Mais il se retint, préférant se contenir et rester un minimum sérieux. Lorelei apprenait encore à maitriser son nouveau corps et sa nouvelle personnalité, qu’il découvrait d’heure en heure. Eris commença donc à expliquer la nature des entrainements qu’il désirait lui faire suivre et tout naturellement, Lorelei était intéressé. Le maniement de l’épée par exemple, allait être facile puisque l’elfe avait un passé de guerrier, de fine lame !
En revanche l’apprentissage de la magie rose allait être une découverte, quelque chose de totalement inédit. Il en trépignait d’impatience ! Surtout vu les sous-entendus d’Eris au sujet des nombreuses conquêtes qu’il allait faire ... Lorelei en avait eu un aperçut juste avant, avec les courtisanes. C’était que visiblement, il faisait craquer bien des cœurs ! Être un mignon androgyne ça avait donc bien des avantages auprès de la gente féminine. Paradoxalement il ne se sentait pas encore prêt pour la gente masculine ... Ce côté-là n’avait en réalité pas changé.
Revenant à la discussion courante, il fut très heureux d’entendre la proposition d’Eris visant à le faire visiter le royaume dans lequel Eris désirait se rendre. Le but de son voyage, en réalité. Hochant vivement la tête, Lorelei accepta donc volontiers l’offre. « Comment pourrai-je refuser ? Être ta dame de compagnie ... Hm, ça va être excitant ! » Finit-il par dire, souriant à Eris.
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Le visage d’Eris s’étira alors en un fin sourire en voyant celui de Lorelei devenir ravie en se sachant enfin entre les mains de quelqu’un. Eris ne pouvait se permettre de la laisser toute seule. Quand bien même elle partirait hors de ces lieux avec cette apparence, rien ne dit qu’elle ne retomberait pas dans ce cercle vicieux, celui de vouloir posséder une quelconque utilité afin de ne pas mourir de faim, de froid ou de solitude. De chagrin. Le cœur de la reine de Ghibli était un peu trop grand, parfois. Et elle en payait le prix. Pour autant, cela ne voulait pas dire que cela n’en valait plus la peine.
-Tant mieux, si devenir ma dame de compagnie te plaît. On part dès demain !
*
Deux semaines avaient passés depuis le recrutement de Lore dans le monde d’Eris Langnar, non fait que de luxure, mais aussi de politiques et d’intrigues. Intrigues qu’Eris aimait gagner en envoyant Lorelei faire sa dame de compagnie aux différentes servantes d’un certain domaine important. Les affaires diplomatiques signifiait souvent devoir avoir une main de fer sur certains lieux ou certaines personnes afin de ne pas leur laisser développer des idées qui ne plairaient pas forcément aux alliées ou membres de la maison Langnar. Le domaine en question était non loin d’un joli lac en plein creux d’une vallée, riche comme Crésus en raison d’une mine de fer abondante non loin, constamment en activité en raison d’un emploi du temps chargé et des travailleurs motivés.
-Hmm...
Eris se réveillait alors d’un profond sommeil presque réparateur. Presque, puisqu’elle avait un peu trop bu lors d’un festival qui se prolongeait encore pour une bonne semaine, célébrant l’arrivée de l’été. En parlant de célébration, Eris se releva prestement, s’habilla le plus sobrement possible, même si son apparence androgyne la rendait toujours sexy, et sortit alors de sa chambre. Un plancher au carrelage d’échiquier blanc et noir, ses pieds nus atteignant le sol silencieusement, marchant sans rien dire dans divers couloirs avant d’atteindre une porte qu’elle ouvrit. Porte qui donnait sur un lit assez grand.
Lit qui était occupé par une servante nue aux seins généreux et aux courbes alléchantes, ainsi qu’une petite elfe sexy qui s’occupait allégrement du cul de la servante qui ne voulait pas gémir, mais respirait profondément et de manière audible. Eris ne fit qu’observer, accotée contre l’encadrement de la porte, avant que la servante ne jouisse dans un petit cri de plaisir. Laissant ensuite son corps faiblement retomber sur le matelas. Lorelei se retira de la servante, sortit de son lit, toujours nue, le membre mou ballottant entre ses petites cuisses, s’approchant d’Eris.
-Salut, mon joli.
Eris eut un sourire et apposa un joli baiser sur la bouche de l’androgyne, avant de se retirer, mais non sans avoir savouré l’alcool sur ses lèvres.
-Alors, on a trop bu aussi ?
La main de la Langnar rencontra le cul de Lorelei, claquant celui-ci.
-Comment va la séduction de la femme du seigneur ?
-
La vie de Lorelei était en train de subir un grand, très grand changement. La principale intéressée, devenue principal intéressé au masculin, était loin, très loin de se douter de l’ampleur réelle de la chose. Être devenu ce qu’il était dorénavant n’était que le début ; sa transition, son changement de vie n’était pas encore complet. En vérité, il ne serait jamais réellement terminé ... Cependant, viendrait tout de même un moment où il pourrait enfin redonner un sens véritable au mot moi. L’elfe androgyne ne se doutait donc pas de la réelle nature de sa transformation.
Mais cela ne lui importait que peu ! Tant qu’il pouvait servir Eris, l’aimer et à présent être sa dame de compagnie, il était l’être le plus heureux de Terra. Eris lui avait proposé une nouvelle vie, et il avait accepté avec grand plaisir. Tout commença donc ce jour-là, où ils se mirent en route vers le royaume où devait se rendre Eris à la base. Des jours s’écoulèrent avant qu’ils n’atteignent leur destination. Mais, ce furent bien deux semaines complètes qui passèrent depuis le début de cette histoire ! Car en effet, une fois arrivé sur place ... La Langnar et sa dame de compagnie ne chômèrent guère.
En effet, les festivités furent très sportives. Lorelei devint l’arme fatale d’Eris en matière de séduction des autres parties ... En d’autres termes, son rôle fut de coucher avec le plus de servantes que possible ! Le domaine de cette noble famille était vaste, grand et abritait énormément de monde. Il s’agissait là d’une véritable fourmilière, cribler de servantes. Lorelei eut donc le rôle d’en satisfaire le maximum. Autant dire que, par conséquent, ce fut une semaine extrêmement éprouvante physiquement. Faire l’amour autant de fois, à autant de femmes, jamais Lorelei n’aurait pu concevoir la difficulté d’une telle tâche.
Mais heureusement, c’était aussi difficile qu’agréable ! L’androgyne avait adoré chaque moment, chaque coup de trique, chaque cri. Plus il faisait l’amour et plus il désirait le faire davantage. Sa soif de sexe semblait s’accroitre à chaque fois. Même auparavant, dans son ancienne vie, il ne faisait pas autant l’amour par semaine. Mais là, le garçon était tout simplement devenu une véritable machine à orgasme. Qui pouvait estimer la quantité de foutre qu’il avait déversé, au cours de ces derniers jours ? Néanmoins, ce fut à la fin de la deuxième semaine où il se réveilla dans les bras d’une autre servante, où la situation commença à changer de nouveau.
Un réveil comme il les adorait, d’abord ; lui et la femme se livrèrent à une chaude et charnelle étreinte matinale, où il pilonna joyeusement la femme, la fit couiner et gémir de pure extase à force de la pénétrer tendrement. Jusqu’au moment où les deux tourtereaux jouirent de concert. Lorelei juta à nouveau et bien copieusement, fourrant cette délicieuse femme de sa crème que toutes ici commençaient à connaitre. « Hmmm ... » Ronronna-t-il, se vidant bien les bourses avant de se retirer doucement, enlaçant une dernière fois son amante pour lui offrir un délicat baiser sur les lèvres. Il sauta ensuite du lit et rejoignit Eris, qui venait de débarquer dans sa chambre.
Lorelei n’avait plus d’érection entre les cuisses mais cela ne l’empêcha guère de ressentir beaucoup de plaisir à voir son maître tant adoré. Eris et Lorelei s’embrassèrent tendrement, avant que le premier assène une malicieuse claque au fessier de l’elfe qui rougit et gloussa. « Ça avance ! À ce rythme, j’aurai bientôt fini de faire connaissance avec toutes ses servantes avant de le faire avec elle. » Répondit-il avec un charmant sourire. Cependant, le timbre de sa voix était un peu différent. Plus léger, plus détendu, plus ... Serein, en quelques sortes. Une sorte de légèreté ressortait de sa voix. « Tu pourrai penser que c’est épuisant mais ... Je ne me suis jamais senti aussi BIEN ! *Gloussement* J’ai encore un petit peu de mal à reconnaitre que je suis un garçon – bien que mignon grâce à toi – mais bon sang, j’adore tout ce que je suis capable de faire avec ce corps, désormais ! » Déclara-t-il, toujours sur ce ton léger.
Ce n’était pas anodin, cette voix, cette intonation. Lorelei était auparavant tracasser par ce qu’il était devenu, par le fait qu’il n’était plus une femme mais un garçon, etc. Mais maintenant ... Il le sentait. Il adorait ça. Il aimait beaucoup son corps, sa voix, son sexe ... Bien plus que son corps d’avant. Cela aurait dû l’inquiéter mais, rien de cela. Il ne ressentait que bien-être ! Lorelei finit par laisser passer un silence, avant d’esquisser un malicieux sourire. L’androgyne enlaça Eris et colla son corps contre le sien. Visage proche du sien, il piqua à nouveau les lèvres de son maître, plongeant lentement sa langue dans sa bouche pendant de longues secondes voire minutes.
Cependant après ce baiser, l’elfe commença à plier des jambes et, tout en embrassant le corps de son sublime maître sur tout le long, son visage finit immanquablement à hauteur de son entrejambe. « Mais je ne t’oublie pas, mon cœur ... » Dit-il, approchant son visage, finissant par déposer un très généreux baiser sur le tissu couvrant le membre d’Eris. Ses petites mains espiègles commencèrent à tirer le tissu pour révéler le beau morceau se cachant derrière, tandis que son regard était levé, rivé dans celui d’Eris à la recherche d’une moindre réaction. « Si je te dis que j’ai très, très envie que tu me détruises le cul ... Que tu me laisse à la limite de la conscience, avec la rondelle bien ouverte et bordée de foutre ? Accepterais-tu de ... m’aider ? » Finit-il par déclarer, tirant toujours lentement le tissu et parsemant la bosse de multiples baisers et coups de langue.
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L’endroit qu’était cette chambre respirait totalement le sexe, par la sueur et le foutre qui y régnait. Un véritable petit champ de bataille, ou divers meubles et vêtements étaient saccagés par une quelconque force de la nature instoppable dans sa soif d’apaisement de sa libido. Force de la nature étant sa petite esclave qui, de temps en temps, profitait pour avoir du bon temps. Beaucoup de bon temps. En vérité, telle avait été la mission de Lorelei, de se lier intimement au personnel, et dieu qu’elle savait s’y faire. Eris avait été la spectatrice de ce genre de mission plus d’une fois au moyen d’un miroir magique, observant comment Lorelei se débrouillait. Comment vivait-elle, et surtout, comment pensait-elle.
-Hmm, évidemment que tu adores baiser des catins, surtout avec un corps aussi mignon !
Le sourire d’Eris s’agrandit quand Lorelei l’attira dans ses bras, et elle lui rendit son baiser. Chaud. Tout comme l’était son corps, empreint de sueur, son membre frottant contre ses cuisses par inadvertance. Lui rendant un baiser doux et tendre pendant une bonne minute, avant que le contact ne se brise, un petit filet de salive liant leurs bouches ensemble. Mais celle-ci, lentement et sensuellement, finit par se mettre au sol sur ses genoux pour bien approcher son visage de l’entrejambe d’Eris, caché par un bout de tissu, ce qui n’arrêta pas cependant Lorelei dans sa course pour exciter Eris.
-Je me montrerais très... Coopérative.
Eris eut un sourire, alors qu’elle entreprit de baisser avec douceur son morceau de tissu, lentement, dévoilant alors un mandrin d’une taille respectable que Lorelei s’empressa évidemment de s’occuper. Au début, de simples baisers, rapides mais doux, sensuel, avant de laisser la petite langue travailler. Allant de partout, sur les côtés tout comme sur la longueur, entreprenant de bien rendre heureuse la petite Eris, qui poussait des soupirs, tenant bien en main la tête de Lorelei.
-Ah... Oui...
Et alors, Lorelei prit davantage en bouche le membre d’Eris, et alors, la princesse du désert débuta des mouvements de hanches.
-Comme ça...
-
Bien entendu, Eris n’allait pas refuser une telle offre ! Lorelei prenait vraiment goût à sa nouvelle vie, à son nouveau corps et cela se voyait. Peut-être même un peu trop ... Le changement était très visible. Voilà qu’après ces deux semaines le garçon ne faisait plus du tout mention de sa féminité d’autrefois et se complaisait parfaitement dans ce qu’il était devenu. Mieux, plus les jours passaient et plus ses pensées semblaient de moins en moins torturées, de moins en moins lourdes. Tout devenait de plus en plus léger et facile, en quelques sortes.
Par exemple, s’agenouiller et venir généreusement pomper le dard de son maitre était quelque chose de très facile à faire, désormais ! Il n’avait plus aucune objection, plus aucune barrière ni retenue ! Lorelei était à genoux, la bouche pleine par la délicieuse trique d’Eris. L’elfe androgyne avait fermé ses yeux et creusait pleinement ses joues alors qu’il pompait tendrement ce sexe, cette queue si délicieuse et pleine. Sa bouche s’était refermée et voilà que le grand d’Eris tapait contre le fond de sa gorge à répétition, cherchant à s’y enfoncer hargneusement.
Heureusement que Lorelei finit par avoir réellement faim, car il commença à prodiguer de longues et savoureuses gorges profondes tout en ronronnant et griffant le délicieux cul de son maitre. « Hmmm ... » Gémit-il, encore et encore, sa tête basculant en avant et en arrière de plus en plus rapidement. L’elfe était devenu un virtuose de la fellation à force d’en faire au cours de ces dernières semaines. Eris pouvait très facilement le sentir. Lorelei continuait donc son labeur, suçant ce dard avec insistance et force, bien décidé à le faire cracher son précieux jus !
Car à force de tailler des pipes, Lorelei avait bu beaucoup de semence. Surtout au cours de ces dernières semaines ... Et cela avait fini par lui provoquer une addiction. Le foutre était donc un élément principal de son alimentation, et si autrefois elle aurait trouvé ça très dégradant et humiliant, ce n’était clairement pas le cas à présent ; Lorelei adorait ça ! Dès qu’il avait l’occasion de pouvoir pomper son maitre et se repaitre de sa semence, il n’hésitait nullement. Ce fut pour cette raison qu’il y met tout son savoir-faire pour le faire juter rapidement. Ainsi, quand Eris décida enfin de se vider les bourses directement dans sa gorge, l’androgyne fut si extasié que non seulement il parvint sans mal à boire toute la quantité de foutre déversée en lui mais aussi, il se mit également à jouir.
Frappé d’un orgasme, le garçon sentit sa queue tressauter avant qu’il n’éjacula copieusement sur place, tartinant le sol de son propre sperme, finissant d’achever son orgasme à la main en se masturbant. Un beau petit spectacle devant Eris, dont la queue fut encore bien pompée puis lécher de toutes parts afin de la nettoyer. « Haaaan Eris, c’était si bon, si délicieux ! » Dit-il, sortant l’onctueuse queue de son maitre sa bouche. Cependant ce n’était pas fini ! En effet, l’androgyne se retourna puis se mit à quatre pattes, bombant bien son fessier et sa rondelle, qui commençait à faire des clins d’œil à Eris. « Aller, viens te défouler par ici ... Viens péter ma petite rondelle ! » Finit-il par quémander, penchant sa tête sur le côté pour observer Eris par-dessus son épaule.