Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Les bas fonds => Discussion démarrée par: Snow White Queen le jeudi 20 août 2009, 15:14:39
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Les rues … Une horreur. La jeune femme eut une moue dédaigneuse. Elle détestait les rues belles et propres, avec de grands arbres et des gens. De nature agoraphobe, elle se réfugiait avec plaisir dans les rues lugubres et les culs de sacs, s’installant pour chercher de l’inspiration pour son nouveau roman. Elle commençait à être connue pour avoir réécrit les contes de manière plus noire et sanglante qu’ils ne l’étaient, et prenait plaisir à écrire. Des choses viles, sales, crues, sadiques, que l’on n’ose pas lire à voix haute … Elle eut un sourire satisfait en remarquant des ruelles, et se quitta la grande rue propre et bétonnées pour entrer dans les rues pavées et sales. Elle devait écrire, à nouveau, et cette fois elle allait donner une claque énorme en réécrivant « Raiponce », ce conte où une fille aux longs cheveux fait entrer son prince dans la tour grâce à ses cheveux. Elle sentait bien qu’elle allait chambouler des choses. Déjà son roman « Sang grillon » allait sortir sur les écrans.
Les ruelles l’appelaient. Elle eut un sourire. Avec la pluie qui allait arriver et le vent qui se levait, elle sentait que les idées fuseraient … Elle continua à marcher, se fichant bien du fait qu’elle soit perdue. Elle se laissait enivrer … Tout était parfait pour commencer à écrire. Elle s’installa dans une ruelle en cul de sac, sortant son calepin pour y griffonner quelques idées. La soirée allait être marrante …
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Se balader dans les fines ruelles sombres de cette grande mégalopole japonaise n'était pas une bonne idée pour les jeunes innocentes...La nuit tombé, de nombreuses créatures et êtres malsains rodaient à la recherche de proie ou de chair fraiche. Lorsque la lune siégeait en reine dans sa cour d'étoiles scintillantes, quand le clocher avait sonné douze fois, drogués et alcooliques, filles de joie et mendiants quittaient les ruelles. Minuit, c'était l'heure des vampires, des lycans et des sorcières en quête de sang, de chair et innocentes vierges.
Ruelles malfamées, sombres, puantes l'alcool à plein nez, aux poubelles débordantes, devenaient le terrain de chasse des créatures nocturnes. Et le vent qui se levait et qui débutait sa course, sifflotant, susurrant de douces paroles aux oreilles des passants, ne pouvait qu'annoncer le début de la pluie et de l'orage mais aussi l'arrivée de ces êtres nocturnes. D'ailleurs, des gouttes commençaient déjà à tomber, un fin crachat qui allait surement s'accentuer. Une personne censée n'oserait pénétrer dans le labyrinthe de ruelles, surtout de nuit, sous la pluie et le vent et bientôt sous le tonnerre. Mais Seffer Aelias avait bien noter qu'une jeune femme impétueuse et surement un peu trop sur d'elle, avait osé pénétrer dans son terrain de chasse...Il serait le minotaure du centre du labyrinthe, et elle, la jeune fille offert par Minos en sacrifice au minotaure.
Joyeux, fougueux et plein de vie, Aelias n'était qu'un jeune vampire, curieux et aimant jouer, il aimait jouer avec ses victimes et en faire la connaissance, pour mieux les approcher, les séduires et puis les modres. Un peu comme le grand méchant loup dans le conte de Charles Perrault, rappelez vous du loup qui approche de sa proie et entame une discussion avec la gentille chaperon rouge...
Vêtu d'un pardessus au motifs extravagants, en damier noir et blanc, il n'était pas sans rappelé celui qu'on appelait le "Gentleman des Taudis" dans la Londres victoriennes, un célèbre homme qu'on appelait aussi Jack l'éventreur, même si Seffer n'avait nullement l'intention de l'éventer. Non, non, il était un gentleman, il désirait juste boire son sang puis laisser le corps inanimée dans le cul de sac.
Elle était dans un cul de sac, elle s'était piégé elle même, ne s'offrant aucune échappatoire a moins qu'elle n'ait, comme Seffer, des pouvoirs mais il en doutait. Marchant d'un pas lents, dans la nuit, sous la pluie et les premiers coups de tonnerre, le jeune vampire observait sa proie, pour la moins étrange. Une sorte de princesse de conte de fée, même si sa peau blafarde donnait l'impression de voir une reine des glaces, il allait la réchauffer...Le vampire arriva à elle et sourit, dévoilant ses dents de vampire, mais la jeune femme était perdu dans son calepin et ne le vit pas arriver.
- Il n'est pas prudent, Mademoiselle, d'errer dans ces rues, à une heure pareille...Vous n'imaginez pas les horribles créatures qui rodent ici.
Dit il d'un ton aimable et amical. Parler avec ses proies étaient amusant et propre à presque tous les vampires, il suffisait de penser a ce fameux comte Dracula.
- Puis je vous aider ? Ou vous faire découvrir des lieux plus sordides, si c'est cela que vous chercher...
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Blanche Neige referma avec violence son calepin, un réflexe qu’elle avait pris, de peur qu’on ne lui vole ses idées. Dans ses moments là, elle se souvenait qu’une de ses amies allemandes prononçait un « Quoi qu’y a ? » d’une voix innocente. Mais Blanche Neige n’était pas de ce genre. Elle fréquentait beaucoup de ruelles, d’endroits glauques, et n’avait pas peur des gens qui y traînait. Alors, quand elle entendit la première phrase prononcée par l’homme, elle songea à un clochard un peu trop saoul et n’osa pas lever la tête, l’ignorant royalement.
Mais la seconde phrase attira son attention. Elle fronça les sourcils et leva les yeux lentement vers l’inconnu, avant de sursauter discrètement. Elle le dévisagea de son regard froid, avec ses yeux sombres qui était devenue une des caractéristiques de la jeune femme. Qui était-il ? Son instinct de conservation ( elle n’aimait pas le mot instinct féminin ) lui ordonna de rester sur ses gardes. Il y avait trop de gens étranges … Mais la proposition d’un petit tour était tentante. Elle inspira longuement, soulevant son torse au passage, comme si elle allait plonger en apnée, et eut un claquement de sa langue contre son palais avant de répondre de sa voix douce qui ne correspondait pas à son physique froid :
- Effectivement, ça m’intéresse. Si vous en connaissez des bons, dignes de ce nom, je vous suis. Sinon, je reste.
Elle avait voulue adopter un ton froid, mais ne réussissait pas tellement. Elle commençait à ressentir une légère fraîcheur sur sa peau pâle. Elle se massa vivement les bras, et jeta à nouveau un œil sur l’homme. Il faisait peur …
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La pluie commençait à tomber de plus en plus fortement mais c'était des gouttelettes grasses, qui descendaient du ciel, ne faisant que révéler encore plus la mocheté apparente des bas fonds, tandis que l'orage tonnait de plus en plus forts et que quelques éclairs avaient faits leurs apparition. La peau si blafarde de cette reine des glaces n'étaient pas sans provoquer l'étonnement chez le vampire, qui n'avait rien vu de tel auparavant, aussi quand elle ferma son calepin fermement, comme si elle avait peur que les idées s'envolent, et qu'elle le scruta avec ses yeux sombres, le suceur de sang se décida à lui donner un surnom, dans sa tête bien sur, surnom qui lui collait parfaitement : Blanche Neige. Sauf que bien évidement, la pomme, c'était elle.
La mort et la misère, le coté sordide d'une vie avait toujours fasciné les mortels, le vampire le savait parfaitement, c'était une tentation courante et un moyen fiable d'attirer une proie dans des lieux sombres et isolés, lui promettant de découvrir des lieux nouveaux et des sensations nouvelles et fortes ou juste satisfaire la curiosité. Une jeune femme censée ne pénétrait jamais dans les tortueuses ruelles des bas fonds, ou sévissait les pires criminels et violeurs, si ce n'était pour voir de plus près ses habitants et ses horreurs. l se souvenait bien de sa vie passé, lui qui avait traversé les époques, il se souvenait particulièrement bien des années passés dans l'Angleterre victorienne sur Terre. En pleine période de l'affaire Jack L'éventreur, les gens de bonne famille, en dépit du bon sens, se pressaient de se rendre dans les quartiers louches et sur les scènes de crimes comme l'East End, et surtout Whitechapel, dans le but de découvrir le frisson...et ensuite bien sur, de se vanter devant leurs amis.
La mort, les crimes et les horreurs fascinaient les gens aussi avait il volontairement placer cette proposition dans la conversation, la jeune reine des neiges avait, de suite, cesser de l'ignorer, et de mendiants, il passait à guide touristiques pour sensations fortes et morbides...
- Effectivement, ça m’intéresse. Si vous en connaissez des bons, dignes de ce nom, je vous suis. Sinon, je reste.
Désormais, il était le meneur de la danse. Bien ! Très bien ! Excellents ! Seffer lui ferait le guide de ces bas fonds, lui montrerait ce qu'elle désire voire, lieux de réunion de criminels en tout genre, lieu de crimes avec encore les cadavres, abattoirs spéciaux (humains) et tous autres lieux sordides qu'elle voudrait mais à la fin de la visite, le pourboire serait un peu particulier...Une gorgée de son sang et bien d'autres choses...N'avait elle pas compris que la plus belle chose horrible qu'elle allait voir, c'était Seffer en personne. Il lui tendit la main pour l'aider à se relever.
- Qu'est ce que je vais pouvoir vous montrer ?...Faudrais pas que vous tombiez dans les pommes, on va commencer simple, un lieu isolé et fascinant pour un amateurs de sensations morbides...
Les affaires de boucheries étaient la première fascination pour les amateurs de mort, de sang et de gore. Il fallait voir comment les gens s'étaient battus pour acheter la cuisinière de Landru, le criminel français, dans laquelle, il brulait en partie ses victimes. Seffer pensait à une vieille boucherie particulière...Ou on abattait pas les bœufs mais les humains, le propriétaire avait sombré dans la folie et mit fin aux jours de sa famille mais aussi de ses clients, personne n'avait osé approcher de l'endroit après la mort du propriétaire, les cadavres étaient toujours présents...En fait, le lieu importait peu ni l'affaire en question, c'était juste un endroit clos, en sous sol, isolé, ou personne n'entendrait la jeune femme.
- Il existe une vieille boucherie ou on abattait pas les bœufs mais des hommes. L'oeuvre d'un fou mais au combien, cette œuvre est délicieuse...Cela vous convient pour un début ? j'ai plus beau dans ma poche, mais je préfère le garder pour la fin de la visite.
Pour ne pas se découvrir, le vampire ne souriait pas, par peur, qu'elle ne remarque ses canines et que son plan soit éventée. Il tendit la main pour qu'elle la prenne.
- C'est une battisse non loin d'ici...Prenez ma main.
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Blanche Neige eut alors une moue étrange. Partagée entre la curiosité qui faisait briller ses yeux, et la prudence qui lui donnait une moue d’enfant capricieuse. En bref, un tableau étrange. Ce ne fut que l’idée qu’elle donnerait à nouveau la nausée à des gens et qu’elle apporterait la peur dans leurs chaumières avec ses contes glauques qui lui donna envie de suivre le jeune homme. Elle attrapa sa main et se releva, calant son calepin sous son bras droit, et épousseta sa robe. La robe de Blanche Neige. La parfaite réplique. Tout aurait pu être un conte de fée, si on ne regardait pas les yeux de la jeune femme. Car dans ses yeux, la noyade était violente, une morsure atroce, des algues collantes, des rochers aiguisés, une tempête turbulente … Elle toussa, pour s’éclaircir la voix.
Elle allait le suivre, oui, elle allait le suivre. Qui ne tente rien n’à rien, n’est ce pas ? Elle avait déjà eu face à elle plusieurs cas de dangers horribles, mais jamais on ne l’avait impressionnée. Et c’est pas demain la veille, songea t’elle.
- L’idée me plaît.
Elle s’était voulue toujours aussi froide.
- Montrez-moi ça, histoire qu’on soit à l’abri de …
Un grondement orageux lui coupa la parole. Elle ne termina pas sa phrase. Elle serait à l’abri, là-bas, au moins. Ce qui n’était pas trop tôt … sa robe prenait l’eau, et elle la sentait s’alourdir, tout comme elle sentait les frissons de froid envahir son épiderme.
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La curiosité, quel vilain défaut ! La dernière femme de Barbe Bleu n'avait pas compris cette notion et avide d'un savoir interdit, elle avait franchis la mauvaise porte, ce que ferais bientôt cette jeune reine des neiges. A la différence qu'il n'y aurait pas les princes et cousins de la femme de Barbe Bleu et a la différence de ce dernier, il ne finirait pas transpercer pas des lames. Son regard noir faisait penser à la mer, la pluie se voyait bien dans le reflet et le vampire ressentait un peu le mal de mer juste en plongeant son regard dans ces yeux sombres...Elle lui prit la main, acceptant de le suivre, signant comme un pacte, refermant le piège tendu par le vampire.
Sous la pluie et les coups d'éclairs, la robe de Blanche Neige se gorgeait d'eau telle une éponge tandis quelle devenait lourde et encombrante...Plus tard, elle ne le serais plus. Le prédateur nocturne l'entraina alors dans les bas fonds de la ville, par maintes ruelles ce qui n'étaient pas sans perdre encore plus la jeune femme, si elle survivait, pourrait elle encore retrouver son chemin ou vagabonderait elle sans but...Heureusement pour Seffer, elle ne semait pas de cailloux comme le petit poucet et ne perdrait pas sa chaussures en cristal comme Cendrillon, personne ne pourrait les suivre.
- Nous ne sommes plus très loin. C'est une jolie bâtisse...Si on enlève le sang dans les sols et les murs, et les quelques cadavres qui restent...Personne ne les a encore réclamer.
Seffer Aelias lui montrait, en même temps, sur le chemin, les bas fonds de la ville. Un véritable labyrinthe de rues, ruelles, cul de sac malfamée. Lieu de rendez vous des personnes les plus louches du simple alcoolique et mendiants aux démons des enfers et égorgeurs satanique. Les rues étaient souvent pavées et sales, des ordures sur le sol ou dépassant des poubelles, souvent à coté de cadavres de bouteilles de rhum et leurs propriétaires dormants dans les caniveaux. Des habitations miteuses bordaient toujours ces rues et on se demandait comment était ce possible qu'elles tiennent encore debout. Ces décors étaient familiers pour le prédateur nocturne qui en avait vu tellement dans sa vie, qu'il avait cessé de compter.
Maintenant fermement la main de la jeune femme pour pas qu'elle s'échappe, il serait bête que son diner disparaisse, ils arrivèrent à l'endroit tant désiré. Le vampire se souvenait bien de cet endroit puisque qu'en réalité, l'ancienne maison du boucher et de son carnage, était devenu sa demeure. C'était une demeure en brique rouge, salie par la crasse, la poussière et la pollution, des vitres brisés et quelques graffitis laissaient présager que la demeure était maintenant à l'abandon. Aelias entraina la jeune femme dans la cour arrière du bâtiment et lui montra une trappe dans le sol.
- C'est pas là que le boucher faisait entrer les gros morceaux de viandes pour les stocker, animales mais principalement humaines. Beaucoup de corps y sont encore...Allons y.
D'un simple coup de pied, le jeune vampire brisa la trappe et laissa alors entrevoir un escalier menant dans l'obscurité. La Reine des glaces ne pouvaient pas avoir peur d'un simple escalier mais le vampire se demandait si elle avait compris que cela était un guet appens. Une fois les marches descendus, ils arrivèrent dans une grande cave, sombre, glauque et humide, sans rayon de soleil et éclairé par le feu de quelques torches. On voyait bien encore de nombreux corps inanimée présents sur le sol, mais aussi pendus dans les airs, accrochés au plafonds par des crochets...Au centre, un fourneau, mais surtout un piédestal, un cercueil, le lit de Seffer.
- Je paris que cela vous surprends...Vous m'aviez demander un lieu inhabituel, morbide, en voila un ! La cache d'un vampire ! Y a pas mieux, non ?
Laissant la jeune femme seule quelques minutes dans la pièce, près du cercueil. Il partit en arrière et ferma la trappe, en faisant exprès que la reine des neiges entendent bien le bruit du cadenas et de la clef qui tourne dedans. Désormais, cette cave était aussi son tombeau...Home sweet home ! Murmura le vampire avant de redescendre vers Sa reine des neiges.
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Le trajet avait était long, douloureux pour ses pieds maintenus dans des chaussures à talons. Et, de plus, l’homme maintenait sa main avec violence, ce qui rendait Blanche Neige méfiante. Elle ne connaissait rien à toutes ces rues, toutes ces horreurs, tout à coup tout lui paraissait abstrait et dangereux. Malheureusement, la curiosité prenait le pas sur chacun des mouvements de la belle, et elle voulait savoir, bien qu’elle sentait une sensation affreuse naître au fin fond de ses entrailles. Elle sentait son cœur d’affoler, son ventre lui faire mal. Sa tête hurlait « Vas-t’en », mais ses pieds l’entraînaient toujours plus loin. Elle se contenta donc de le suivre, la gorge nouée désormais.
Ce fut avec une peur panique qui s’emparait de ses membres qu’elle descendit les escaliers. « Il est pas normal, ce type, merde … », songea t’elle en manquant de glisser en dissimulant son angoisse. Ses yeux reflétaient une mer chamboulée, qui ne sait plus où elle va, avec des vagues énormes, une écume violente … « Non, il est pas normal … REMONTE ! » Mais ses jambes n’obéissaient plus à son cerveau. Elle descendit donc, et regarda autour d’elle.
Aucun son ne pu franchir ses lèvres. Aucun … elle sentit ses mains trembler en contemplant le spectacle que lui offrait cet endroit. Il l’avait eue. Elle voulut se retourner, mais les mots qu’il prononça la clouèrent sur place. Elle sentit ses mains se crisper, et serra les poings, se retournant vers l’homme pour l’abattre, mais elle ne pu que comprendre le manége infernal. Un sous sol. Un cadenas. Un vampire. Elle se mordit la lèvre inférieure, voulant calmer sa peur. Elle mit du temps avant de reformuler sa phrase.
- Laisse-moi sortir, lâcha t’elle d’un ton tremblant d’angoisse et de colère.
Elle fronça les sourcils, et serra les dents, jetant son calepin sur le sol. Son visage se crispa. Elle ressemblait à un cadavre sortit de sa tombe, avec ses vêtements trempés, ses cheveux qui lui collait au visage, son maquillage dégoulinant. Un grondement apparut subitement, faisant sursauter la jeune femme. Elle était étrange, à passer du stade femme en colère à femme apeurée. Inconstante, dirons-nous.
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La situation était un peu ironique...comme la souris se précipitant dans la cage, voyant un morceau de fromage dedans. Quelle idiote la souris ! Comme le chaperon rouge qui parle au loup, quelle stupide fille ! Ou encore la femme de Barbe Bleu...Si seulement, les femmes n'étaient pas si curieuses, si pressés de découvrir la vie, il y aurait moins de filles mordus au cou. L'atmosphère glauque de la pièce se faisait maintenant ressentir plus tandis qu'on entendait le tonnerre à l'extérieur.
Blanche Neige s'était jeté dans le piège du vampire...volontairement, il ne l'avait pas forcé, non c'était un gentleman. Dans sa curiosité, elle s'était fait prendre. Seffer lui avait fait découvrir un lieu sordide et morbide, et maintenant voila qu'elle se plaignait. Quel fille ingrate ! Elle qui désirait tant voir un lieu exceptionnelle, elle l'avait maintenant devant les yeux, et elle désirait sortir ! Cela vexait le prédateur nocturne.
- Laisse-moi sortir, lâcha t’elle d’un ton tremblant d’angoisse et de colère.
La reine des glaces n'était plus si froide que cela...D'ailleurs, elle n'avait plus vraiment l'apparence d'une princesses de contes de fées. Des yeux encore plus sombres, une peau encore plus pales et un visage crispé au maquillage dégoulinant. Elle ressemblait à un cadavre pas encore enterré, à une reine des vers...parfait ! Une reine des vers et un vampire, ca fait un joli couple pour un moment court, éphémère.
Il s'approcha d'elle et passa sa main sur ses longs cheveux, gorgés d'eau...De toute facon, elle ne pouvait pas fuir...Il avait cadenassé la trappe.
- Tu m'avais demandé un endroit exceptionnelle, le voila...N'est tu pas contente ?
Un peu fou et psychopathe sur les bords, le vampire s'approcha encore un peu plus près et regarda le plafond avec une certaine nostalgie.
- Ma cachette, le meilleur des endroits sordides, non ? Regarde ces corps, ces cadavres que tu voulais tant voir, ils sont chacun, une de mes œuvres...Il ne voulait pas approcher mon cerceuil, va le voir ! Je serais vexé sinon !
Un sourire apparut alors, un grand sourire dévoilant ses canines.
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La jeune fille retint son souffle quand il l'approcha, reculant de quelques pas. Elle était terrifiée par ce traquenard. Il l'avait eue avec une facilité déconcertante ... Elle sentit son pouls s'accelerer, la peur qui commençait à enfler en elle, ses yeux cherchant une issue probable, son souffle devenant irrégulier et violent. Les symptomes d'une infection qu'elle offrait à chacun des personnages de ses romans prenait vie en elle : l'angoisse. Elle avait peur de cet homme qui s'approchait, peur de ses yeux, peur de ses gestes, peur de ce lieu qui l'entourait et qu'elle ne connaissait pas. Elle eut un sursaut en sentant sa main dans ses cheveux, se retenant de crier. Mais pour le moment, il ne lui faisait pas de mal. " Cesse d'essayer de positiver, idiote ! " Elle inspira une fois encore violemment, et voulut capter le regard de l'inconnu.
Il parla une seconde fois, et elle se retint à nouveau d'hurler. Un cercueil, il voulait la tuer, il voulait l'egorger, lui faire du mal ... " En même temps, t'es pas lâ pour un massage, grogna sa conscience " Elle eut un frisson qui la traversa, un frisson perceptible et violent qui agita tout ses membres. Elle osa un regard vers son cercueil, pensant qu'il allait la tuer, et elle vit une chose qu'elle ne s'attendait pas à voir. A l'instant où elle aperçut les canines, elle suffoqua, reculant violemment pour qu'il ne l'approche plus, aucun son ne parvenant à sortir de ses lèvres, la peur au ventre. Elle heurta le cerceuil et tomba sur le sol en maugréant et espérant qu'il la laissât tranquille.
- Non, non ... murmura t'elle. Ce n'est pas possible ...
Elle voulut se relever, mais heurta à nouveau le sol et le cerceuil, et eut un mouvement de recul quand elle remarqua qu'elle touchait un cercueil. La peur enflait davantage en elle ...
- Ne m'approche pas , balbutia t'elle difficilement.
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Sa Reine ne désirait pas approcher du cercueil...De sa couche nuptial, dans un certain sens ou gamelle dans un autre sens. Le prédateur secoua la tête et soupira, il était pour le moins vexé, elle savait désormais sa vraie nature et pourtant, elle refusait de lui obéir, cela n'était pas une bonne idée pour la jeune femme mais au combien plaisant pour le vampire. Dans un certain sens, il comprenait pourquoi elle n'osait pas. La majorité des cadavres présents dans la pièces, tous des femmes si on y prêtait attention, étaient mortes dans ce cercueil, sous les crocs de Seffer. Aelias avait toujours été un peu trop gourmand....L'un de ces plus grands défauts.
Une maladie couvait chez Blanche Neige et les symptômes étaient clair, le docteur vampire Aelias les reconnaissaient rapidement et sans erreurs, puisqu'ils étaient en partie la cause de cette étrange, mais agréable, maladie. La jeune femme était de plus en plus pâle et se rapprocheraient bientôt du teint blafard d'un vrai cadavre comme ceux présents dans cette pièce. Elle respirait de plus en plus forts et de de façon rapide, il n'était pas difficile de faire le diagnostic. Seffer sourit de plus belle, dévoilant encore ses canines, la reine des neiges avait peur, c'était si agréable de voir quelqu'un avoir peur, elle était encore plus belle maintenant.
- Non, non ... murmura t'elle. Ce n'est pas possible ...
Mais que croyez t'elle ? Acceptez de suivre un inconnu n'était pas une bonne idée, elle avait oublié les leçons de sa génitrice, la reine avait oublié les contes de fées et leurs morales. Ne se souvenez t'elle pas du chaperon rouge...Le vampire se rapprocha, tout en émettant un petit rire tandis qu'elle reculez de plus en plus, de plus en plus proche du cercueil...Elle y allait à contrecœur mais cependant, la reine des neiges y allait...Bientôt, elle serait même dedans. Seffer approchait de la jeune femme quand celle ci tomba une première fois près de son cercueil. Feignant la délicatesse et la politesse du gentleman britannique, il demanda.
- Attention, vous allez vous faire mal...Cela ne serez pas beau à voir...Laissez moi approcher et voir si vous vous êtes faits mal, je pourrais soulager la douleur.
- Ne m'approche pas , balbutia t'elle difficilement.
Décidément, cette femme était vraiment maladroite...Elle retomba une nouvelle fois, sous l'effet de la peur. Le vampire voulait vraiment qu'elle découvre son cercueil, le lit du vampire, c'était une question de politesse, de lui montrer encore plus sordides...De lui apprendre quelque chose aussi, que la morale d'un conte de fée n'était pas veines...Les supplications de la reine des neiges étaient veines et Seffer décida qu'il était temps qu'elle découvre son lit, de gré ou de force, il s'approcha d'elle rapidement et malgré ses supplications, il l'a saisit par les cheveux.
- Regarde !
Lui dit il tout en frappant du pied le cerceuil. Le couvercle, ornée d'une croix vola au loin dans la pièce et retomba avec fracas, laissant entrevoir une étrange surprise. Le fond du cercueil était recouvert de coussins en soie rouge sans, il semblait confortable à première vue, mais dans un sens, c'était logique puisqu'il s'agissait d'un lit, même si cela serait peut être le dernier lit de la reine des neiges.
- Je ne suis pas inculte, ni pas civilisée...Je connais un minimum l'hospitalité et voila ton lit...ton dernier lit !
Le prédateur nocturne souleva alors la jeune femme au dessus du sol puis la jeta dans le cercueil, sa chute fut alors amorti par les coussins et elle se retrouva dans le cercueil. Maintenant, elle ressemblait vraiment à Blanche Neige, sauf qu'a la différence de l'original, elle ne dormait pas dans un cercueil en cristal mais un vulgaire cercueil en bois, avec des coussins...C'était déjà ça, elle aurait put avoir pire. Celui orné de piques. Mais il était déjà occupée...
- En plus, j'ai de l'éducation, je ne mange pas dans le lit pour ne pas salir.
Il marqua une pause et sourit, ses deux canines brillaient.
- Quoique...
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( Et là ... Syncope ! Arg ! x) )
Blanche Neige émit un cri digne d'une souris quand elle heurta les coussin, morte de peur. Ses membres étaient tétanisés, elle était tendue, terrifiée, crispée. Que faisait-elle là ? Qu'avait-elle encore fait ? " La conne, comme d'habitude " Elle voulut bouger, mais en fut incapable. Que se passait-il ? Elle d'habitude si prévenante, prudente, courageuse, se montrait terrifiée par un vampure ? Cette pensée la conforta un instant, elle se sentit soudain un peu plus courageuse, prête à l'avoir, mais elle savait ce qui l'attendait. Quelque chose d'horrible. Quoi que ferait le vampire, elle savait qu'elle en souffrirait. Elle se crispa à nouveau, sentant cette douleur atroce provoquée par la peur.
Un instant, elle pensa qu'être dans ce cerceuil l'aiderait. Maintenant, elle savait que ce n'était pas ça qui empêcherait cet être de lui faire du mal. " Tu parles comme une vieille sans force, remue-toi ! Te laisse pas crever comme ça ! " Elle voulut ses sortes de spasmes violents, et attrapa les bord du cercueil pour se relever, fixant le vampire et attrapant ce qui lui restait de courage pour tenter de sortir.
- Je ... ne vous laisserais pas ... me faire de mal ! osa t'elle d'une voix tremblante.
Elle voulut donc sortir, mais glissa et heurta à nouveau les doux coussins avec un cru aigu et net. Elle se massa la nuque, sentant ses vêtements trempés contre sa peau, et le froid qui venat s'allier à la peur pour tenter de l'achever. Elle tremblait de froid, maintenant, et les vêtements lourds et collants à sa peau empêchait ses mouvements. " Un cauchemar ... C'est un cauchemar ... " Elle s'agrippa au bord, pour se tourner vers le vampire, le défiant du regard, un regard terrifié, souligné d'une pointe de courage.
- Je ne suis pas ... un aliment ! Je suis ... un être humain, une femme ! continua t'elle, comme si ces arguments pouvaient la sauver.
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[ Syncope ? Toi ou Moi... = ) ]
Pauvre petite créature innocente ! Si fragile, si douce...Du moins, elle semblait si fragile dans ce vulgaire cercueil en bois sombre, recouvert de coussins rouge, incapable de réagir, de se réveiller...de s'enfuir surtout. On aurait vraiment dit Blanche Neige même si dans l'instant présent, le prince charmant n'était pas venue que pour le baiser...Seffer en aurait un, mais c'était avant tout son sang qui l'intéressait et la fin charmante, genre « vivent heureux et plein d'enfants », elle pouvait l'oublier...La reine des neiges avait perdu de son panache blanc et demeurait tétanisés, glacial, immobiles, comme les corps inanimée qui étaient présents dans cette pièce. Désirait elle les rejoindre aussi rapidement ?
- Je ... ne vous laisserais pas ... me faire de mal ! osa t'elle d'une voix tremblante.
- Mais que me fera tu, vulgaire mortelle...Surtout que je ne te veux aucun mal...Juste m'amuser.
Montrant ses dents à la reine des neiges, il désirait qu'elle tente de se relever pour qu'il puisse la remettre encore une fois dans le conteneur en bois, pour mieux montrer à sa proie qu'elle était impuissante...pour lui monter sa force surhumaine et ses autres pouvoirs. Il n'y avait aucune échappatoire pour la jeune femme si ce n'est la pitié du vampire, sentiment qui pour l'instant ne lui avait pas traversé l'esprit. Elle tenta bien de se relever mais elle tomba de nouveau, glissant et heurtant de nouveau les doux coussins, émettant aussi un cri aigu qui fit frémir de plaisir le vampire.
Seffer l'enjamba et se posa sur elle, pesant de son poids pour l'empêcher de quitter le cercueil et pour entraver un peu ses mouvements désordonné et désespéré. La regardant de haut, il pouvait cette fois la toucher et la frôler sans qu'elle recule, qu'elle s'oppose oui mais elle ne pourrait pas s'opposer à lui éternellement. Toujours sur elle, il l'a caressa de sa main gauche au niveau du visage, puis rapprocha doucement son visage du sien, lui laissant voir ses canines, son autre main était sur sa taille.
- Je ne suis pas ... un aliment ! Je suis ... un être humain, une femme ! continua t'elle, comme si ces arguments pouvaient la sauver.
Le vampire sourit et émit un petit rire.
- Mais humains et nourriture ne sont pas incompatibles...surtout pour moi.
Sa main sur sa taille referma son emprise et serra fortement la peau.
- Quand a femme...J'ai bien l'intention d'honorer ce mot avant le diner. Cette robe n'est elle pas trop lourde ?
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( Non mais elle est trés bien cette robe, non mais oh ! Arf arf ... xD )
Un cauchemar … Elle peinait à croire que c’était réel. Mais la sensation collante du tissu la rappelait à l’ordre et à la réalité. Quand il l’enjamba, elle sentit sa dernière heure arriver un peu trop rapidement à son goût. Elle l’imaginait en train de planter ses crocs dans ses veines, et de boire son sang. Pour elle, c’était clair, elle allait crever. Sa respiration était bloquée, violente, elle étouffait de peur. L’angoisse saisissait sa gorge tout comme le vampire allait le faire. Mais elle resta interdite devant la dernière réponse qui sortit des lèvres du vampire. A cet instant, sa respiration bloqua instantanément. Elle se sentait dépassée par les événements. Quand il enserra sa taille, elle revint à la réalité, le visage rouge d’une sorte de timidité et de gêne.
Elle ne pouvait guère bouger ses mains, elle le sentait. Chacun de ses membres refusait de bouger, un mouvement devenait trop difficile à faire. Elle voulut pourtant bouger, protester, mais resta immobile, les bras repliés contre sa poitrine et son cou, le regardant avec le même regard qu’à une petite fille effrayée. Elle hoqueta violemment avant de parler.
- Je ne … suis pas sûre de … bien comprendre …
Un réflexe voulut qu’elle se recroquevilla sur elle-même, qu’elle serre sa robe mouillée contre elle, comme si c’était l’unique parade contre ce vampire. La scène était étrange, elle ne s’imaginait pas se retrouver dans ce genre de situations. Elle sentit ses joues la brûler et ses ongles rentrer dans la paume de sa main jusqu’à la faire saigner, morte de peur.
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[ J'essaye juste d'être galant...De te débarrasser d'une robe si gênante. =) ]
Qu'elle n'était pas mignonne dans le cercueil...On se serait dit dans un conte de fée, vous savez le moment ou le prince charmant vient embrasser la princesse endormie. Bon, ok...Le décor n'est pas très charmeur, pas de jardin et oiseaux mais cadavres et cercueil, en plus, Blanche Neige n'est pas consentante et elle finira avec des crocs de vampire dans le cou, mais ça ressemble quand même un peu...Pour Seffer, qui n'a plus toute sa tête.
- Je ne … suis pas sûre de … bien comprendre …
Passive, ne pouvant réagir, la reine des neiges semblent pas comprendre. Pourtant, elle, Blanche Neige, lui, le Prince, elle devrais comprendre logiquement. Mais bon, cela arrive, faut dire qu'elle s'attendais pas à ce qu'il joue avec la nourriture. Elle pensait surement qu'il allais la mordre et la tuer directement, aspirer son sang puis la laisser pour morte, il le ferai, c'est certain mais il désirait avant tout, tester la nourriture...dans tous les sens du terme.
- Cette robe est si gênante, vous seriez plus à l'aise...
Le suceur de sang maintenait la pression sur la jeune femme, il était encore près d'elle pendant qu'il disait cela, Seffer se redresse tandis que sa main passe sous la robe et caresse la cuisse de la reine des neiges, qui porte bien son nom vu la peau froide, glacial et blanche de la cuisse que caresse le jeune vampire. La seconde main se pose sur le haut de la jeune femme et d'un geste vif et puissant, Seffer Aelias arrache le haut de la jeune femme, laissant entrevoir le soutien gorge de Blanche Neige. Quel joli conte de fée, le prince vient en secours de la princesse contre la méchante robe qui menaçait de l'étouffer.
- Vous êtes déjà plus à l'aise, comme ça, non ?
-
( Crise de nerfs … x) )
La jeune princesse poussa un cri aigu et bref, sentant une autre peur monter. Non pas celle de mourir, mais celle de … elle préférait ne pas y penser. Elle voulut se débattre comme elle pouvait en sentant le contact chaud de sa main contre sa peau gelée, mais ne put que remuer les jambes comme elle pouvait - c’est-à-dire très peu - pour essayer de se dégager. La tournure des événements ne lui plaisait pas … Elle sentait arriver quelque chose qu’elle craignait énormément. Une chose atroce, pour elle. Un vampire … « C’est de la folie pure » Elle voulut tendre la main pour le bloquer, mais déjà elle sentait le tissu qui craquait, produisant un bruit violent et rapide : Son haut avait quasiment disparue.
La pudeur et la logique voulurent qu’elle porte ses mains pour se cacher le haut, refusant qu’il la voie ainsi. Ce qu’elle fit, non sans trembler, incapable d’aligner deux mots. Elle remuait de plus belle, sentant le regard du vampire la transpercer.
- Je ne … non, je …
Elle le fixa, l’air apeuré. « Auras-t’il pitié ? » Elle sentit se tendre les muscles de sa cuisse, sa caresse délivrant une onde de frisson sur sa peau. « Non, non … pas ça » Elle ne pouvait pas bouger, interdite devant ce vampire, remuant les jambes pour réfréner tout ce qu’elle risquait de ressentir.
- Vous ne pouvez pas … faire ça … répliqua-t-elle.
-
[ Ouch, Mes Tympans ! = ) ]
Blanche Neige à demi nue..Mais ou était les censeurs ? Le conte de fée tournait à bien autre chose qu'un conte, à une chose beaucoup moins féerique et avouable. Impuissante, ne pouvant s'échapper et encore moins se débattre, la reine des neiges, conscient de son nouveau rôle, émit un cri aigu mais bref, qui déchira les tympans du vampire pendant quelques secondes. Elle était désormais réduite à un rôle d'observatrice, réduite à regarder, sentir et subir les actes d'un prédateur nocturne, qui pour l'instant, ne ressentait aucune pitié, juste un désir plus ardent, grimpant de minutes en minutes.
Cette satané robe encombrante et fantaisiste était déjà mutilé, laissant la princesse sans le haut, bientôt, elle n'aurait plus rien d'une robe de princesse mais ressemblerait à celle de la souillon, celle de peau d'âne. La reine des neiges, dans une volonté d'empêcher le vampire d'aller plus loin, couvrit ses seins de ses mains, son opposition légère la rendait encore plus désirable aux yeux de Seffer Aelias.
- Je ne … non, je …
Son autre main, sur sa cuisse blanche et glacée, ne désirait que monter plus hauts...Ce qu'il fit sans attendre, la main chaude du vampire quitta la cuisse pour atteindre une partie plus intime de l'anatomie de la princesse, effleurant avec douceur sa culotte...Il commença alors quelques caresses, tout en s'assurant qu'elle ne pouvait pas s'échapper, dans l'intention de faire sortir de sa bouche de mort vivante quelques gémissements.
- Vous ne pouvez pas … faire ça … répliqua-t-elle.
Les caresses s'accélèrent un peu après ses propos. Le suceur de sang tenait à lui montrer qu'elle était impuissante et que s'opposer à lui ne faisait que le rendre encore plus violent, il aimait cette oppostion feinte, car dans un sens, Blanche Neige ne s'opposait pas à corps perdu au vampire, Blanche Neige s'offrait au bucheron si on reprenait le conte de fée, désirant connaître certaines choses interdites. De son autre main, le vampire remonta alors le bas de la robe, ce qui en restait, et l'arracha à son tour pour qu'elle se retrouve exposé à ses yeux.
- Ne vous vous sentez pas mieux ainsi ! Sans cette tenue gorgée d'eaux et si collante...
-
( Ok, j’arrête de crier x) )
Elle n’avait plus de voix. Un espoir infime venait de mourir en même temps que sa main remontait. Elle sentit ses jambes se tendre, refusant ce qu’il faisait - ou essayant, tout du moins - remuant de plus belle, tandis qu’elle ne pouvait que regarder ses vêtements partir en lambeaux, s’envoler comme des feuilles mortes. Elle serra les cuisses, espérant que sa culotte ne s’humidifie pas pour ne pas donner satisfaction à ce vampire. « Défends-toi ! » Elle ne s’en sentait pas la force . Une chaleur qu’elle reconnaissait - et qui ne lui plaisir guère en cet instant - monta dans le bas de son ventre, et elle sentit sa respiration qui bougeai, comme si un serpent était pris dans ses poumons.
La jeune femme hoquetait des noms inaudible, ses poings se serrant pour constater que sa robe ne serait bientôt plus. Elle voulut bouger, encore, se cacher, qu’il ne la regarde pas, elle et sa peau pâle, elle et sa frayeur, ses tremblements, mais elle ne pouvait pas bouger. Elle serra encore plus ses mains, décidée à ce qu’il ne la touche pas.
- Vous n’avez pas le droit … balbutia-t-elle.
Elle bougea encore un peu, en espérant que la main du vampire quitte ce qu’il était en train de faire, mais elle ne pouvait pas. « Trop peu de force … de liberté de mouvement » Elle lui lança un regard effrayé au plus haut point. Ses joues devinrent d'un rouge menaçant en sentant son bas devenir humide, et elle eut un mouvement brusque de refermement de jambes afin qu'il la laissât. Elle se mordit la lèvre inférieure, réfrennant son souffle qui la trahirait.
- Je veux ... partir ...
-
[ Ce n'est pas les cris qui arrangerons quelque chose = ) ]
L'espoir de Blanche Neige s'envolait...Un peu comme le poussin qui quittait le nid, même si dans cette instant présent, la comparaison ne tenait pas la route et c'était plutôt le poussin (Blanche Neige) qu'on écrasait au sol. Elle commençait peut être à comprendre qu'elle ne pouvait rien faire et malgré quelques opposition infimes, la Reine des Neiges avait compris qu'elle ne pouvait y échapper. Ses poings avaient beau être serrer sur sa poitrine, le bas était entièrement offert au vampire, ses joues rouges montraient le gêne occasionné par le vampire, gêne qui fit sourire de plus belle le prédateur nocturne, ravi de provoquer une telle sensation chez sa proie.
Le vampire accéléra ses caresses au bas tandis que la jeune femme espérait surement que sa culotte ne s’humidifie pas. Blanche Neige tremblait et tentait de gêner le suceur de sang, de bloquer les caresses en fermant les jambes mais rien n'y faisait, la main du prédateur nocturne continuait de caresser la morte vivante et décida, qu'il était peut être temps de la voir crier de nouveau...
- Vous n’avez pas le droit … balbutia-t-elle.
Tandis que ses bas devenait désormais humide, elle commençait à sentir du plaisir, Blanche Neige commençait à devenir moins pure. Bientôt, elle ne serait plus comme une princesse pure mais de la femme, prise et abusé par un incube. Dans le moment présent, Seffer était un peu le démon tentateur Mephistopheles et elle, une sorte de Faust de sexe feminin.
- Je veux ... partir ...
Tandis qu'elle se mordait la lèvre inférieur, Seffer écarta alors le fin tissu pour aller caresser directement la partie intime de sa proie, et obtenir de vrai gémissements...Seffer n'aimait pas ce morceau de tissu, il n'aimait pas d'intermédiaire, d'obstacle entre lui et son objectif. De sa main, il arracha alors le morceau de dentelle et le jeta dans la pièce avant de reprendre ses caresses, puis il commença à entrer...
- Partir ? Mais pourquoi, il pleut tant dehors...C'est un coup a attraper une pneumonie. N'est tu pas bien dans mon lit...Pendant que je te réchauffe.
-
Cette dentelle qui s'envolait, c'était le coup de trop. Une larme coula le long de la joue de la jeune fille, troublant son visage clair. Elle pressentait ce qui arriverait ... tout son corps le pressentait. Un présage qui lui arracherait de la bouche des bruits qu'elle voulait garder au fond d'elle, afin de ne pas faire un seul plaisir à cet être nocturne et dangereux. Elle serrait ses mains plus fort, marquant sa poitrine de ses ongles, serrant les dents pour qu'il ne lise rien en elle, qu'il ne devine rien. Elle sentit ses cuisses se tendre comme jamais, et sa peau glacée devenir brûlante. Elle poussa un long soupir, et referma sa bouche aussitôt. " Tais toi! Ne luis fais pas ce plaisir ". Elle s'efforçait d'empêcher son corps de ressentir, mais malheureusement, à l'instant où il entra doucement, elle laissa échaper d'entre ses lèvres un soupir qui se transformait en un gémissement.
Elle ne pouvait plus refermer sa bouche désormais, sa respiration brûlante qui lui brûlait les poumons l'étouffait avidement. Elle sentit une autre larme glisser sur sa peau et ses joues rouges, et elle sentit le bout de ses seins devenir dur. " Non, non ... " Elle ressera ses mains davantage, gênée.
- Je ne ... peux pas ... lâcha t'elle avant de pousser un autre soupir.
Elle sentit son ventre chauffer, tout comme l'intérieur de ses cuisses.
- Je ne ... veux pas, s'obstina t'elle.
-
La chaleur montait dans cette pièce, devenant quasiment étouffante tandis que Blanche Neige devenait de plus en plus brulante au fur et à mesure que le vampire violait son intimité de ses doigts. La Reine des Neiges se réchauffait...La calotte glaciaire, cette carapace froide avait disparu, laissant place à une femme qui commençait à ressentir du plaisir même si elle faisait tout pour le dissimuler. Les dents serrés, le visage crispé et les cuisses tendues, elle tentait de retenir le plaisir le plus longtemps possible en elle mais elle savait bien, elle ne pouvait l'ignorer, que le plaisir prendrait bientôt le dessus sur elle. Seffer avait pénétré la fleur de la princesse et accéléra un peu le mouvement, il voulait l'entendre gémir, comprendre sa défaite...
La victoire du vampire ne fut pas longue à venir et après quelques secondes, quelques secondes où les doigts du suceur de sang avait franchis et souillé l'intimité de Blanche Neige, un soupir sortit alors d'entre ses lèvres, un soupir que la mort vivante transforma rapidement en gémissement tandis que ses mains se serraient encore plus forts autour de sa poitrine.
- Je ne ... peux pas ... lâcha t'elle avant de pousser un autre soupir.
Désormais, la Reine des Neiges ne pouvait plus retenir ses gémissements, ne pouvant renfrogner son plaisir et le laissant s'échapper par cette bouche glaciale...Le vampire fit entrer ses doigts plus profondément encore tandis qu'une larme coulait sur le visage de sa princesse, pour son plus grand plaisir.
- Je ne ... veux pas, s'obstina t'elle.
La jeune femme était décidément têtu, pire qu'une mule, mais de toute façon, le prédateur nocturne savait la victoire acquise et bientôt, elle serait complètement à lui. Elle serait, pendant une courte période, sa princesse avant de rejoindre les autres corps présents dans cette salle. La seconde main du vampire, libre, se posa alors sur les mains de la jeune femme, sur sa poitrine, qu'elle tentait de protéger.
- Ne désire tu pas que je réchauffe aussi cette endroit ? Un petit massage te ferait le plus grand bien...Tu est si stressé, si nerveuse. Pourquoi ? Je ne te veux aucun mal...
Ironisa Seffer. Sa seconde main s'agrippa fortement aux deux mains de la jeune femme, qui faisaient barrière, barrage, bouclier entre le vampire et les seins. Usant de sa force de vampire, Aelias tenta d'arracher ces mains de cette poitrine, tenta d'arracher cet obstacle gênant dans sa progression vers le plaisir. Sa force était bien plus grande que celle de Blanche Neige, qui à l'instant précis, était une princesse faible et soumise, docile et presque obéissante, quelques coups arrangeraient les quelques restes d'indiscipline. La seconde main s'arrêta quelques minutes et ressortit du vagin de la Reine des Neiges...Elle vint à son tour se posait sur les mains de la jeune femme et tirant de toutes ses forces, Seffer Aelias finit pas enlever ces mains et ces bras de la poitrine, dévoilant de nouveau le soutien gorge de la femme.
- Et bien voila, ce n'est pas si terrible que cela...Si ?
Tenant fermement les mains de sa victime, le vampire plongea alors sa tête dans le soutien gorge de la jeune femme. Usant de ses canines, il abaissa un des bonnets en dentelle pour découvrir un seins pâle et massif, glacial et si beau...Ses lèvres vinrent alors se loger au niveau du téton pour l'embrasser, le lécher et faire connaitre le plaisir encore plus à Blanche Neige.
-
Oh que si, c’était terrible pour la jeune fille. C’était ce que l’on nommait à point un supplice. Devoir ainsi se retenir, ne rien montrer, être immobile sans pouvoir repousser cet être, oui, c’était un supplice. La sensation ressentie à ce moment la rongeait inexorablement ( j’adore ce mot ><‘ ) et elle ne pouvait rien y faire, non, rien … « Essaye de … Remue-toi ! » Sa conscience essayer de la maintenir, mais elle plongeait rapidement. Ainsi, à l’instant même où il plongea son visage sur sa poitrine qu’elle s’était obstinée à garder cachée, elle rejeta son visage en arrière, sentant son ventre se bloquer. Elle voulait s’obstiner, ne serait-ce que pour faire plaisir à sa conscience. Ou alors c’était ça l’instinct de conservation ? Aucune idée …
En bref, elle avait encore mal au bras de la violence avec laquelle il avait retirée ses mains de sa poitrine. Elle sentit des crispations encore plus fortes dans ses cuisses, dans son buste, dans son cou où les veine saillaient d’une manière bien visible. Elle était tendue, partagée entre ce qui montait en elle et ce qu’elle refoulait. Elle eut un autre gémissement, et rougit aussitôt après.
- Aah … non … Je …
Elle s’efforçait de parler, cela la rassurait quelque peu d’entendre sa propre voix, même pour prononcer des choses incompréhensibles … Elle eut un tressautement, dans tout le corps, tout comme son souffle irrégulier devenait violent et brûlant. Elle avait toujours cette peur en elle, peur qu’il la morde, peur qu’il .. . « Il ne s’arrêtera pas là, idiote ». Elle voulut réfréner un autre gémissement, mais il passa outre ses lèvres fermées pour venir s’envoler dans les airs. Elle avait honte d’elle.
- Ne faites pas … ça .. Supplia-t-elle une dernière fois.
-
Offerte au vampire, malgré quelques supplications et mouvements d'opposition bien anodin, Blanche Neige était a la merci de la moindre pulsion, du moindre désir de Seffer Aelias...Ces veines étaient bien visible dans son long cou blanc, le prédateur se ferait un plaisir, une fois l'amusement avec la nourriture passée, de la mordre bien profondément et aspirer sa vie. Mordant, suçotant et léchant un peu le téton, il ne pouvait que remarquer la jeune femme, qui avait rejeté sa tête en arrière pour ne pas voire, pour ne pas voir son sein être sous les lèvres d'un vampire ou bien, pour essayer de trouver une issue ou une quelconque aide divine...
Continuant son œuvre infernale, Aelias ne pouvait qu'entendre et subir les supplications et les gémissements de la Reine des Neiges, cris et sons qu'elles ne pouvaient plus retenir, même avec un grand effort...pour le plus grand plaisir du suceur de sang, qui adorait entendre crier et gémir ses victimes. Dans un certain sens, on pouvait dire qu'il s'agissait d'une preuve de la vitalité de la nourriture et de ce fait, un signe de qualité. Le vampire tenait toujours les mains de la jeune femme, quand l'idée de la voire encore plus soumise lui traversa l'esprit...Le cercueil ne suffisait pas, elle devait vraiment être dans l'incapacité de réagir.
- Aah … non … Je …
Seffer mordilla le bout du sein, tout en s'assurant qu'il ne blesserait pas le téton fragile avec ses canines de vampire, il nota aussi, a coté du cercueil, la présence d'une bobine de corde, une bonne grosse corde de marin, qu'il se servait pour les cibles récalcitrantes...Comment Blanche Neige réagirait elle si elle était dans l'incapacité totale de se défendre ? Si elle avait les poings liés ? Tenterait elle de se défaire des liens ou se conterait elle de regarder le vampire prendre du plaisir...Une question intéressante.
- Ne faites pas … ça .. Supplia-t-elle une dernière fois.
Le vampire souleva la tête et quitta, quelques instants, le soutien gorge de la jeune femme...La regardant dans les yeux, il relâcha les mains de Blanche Neige et se saisit de la bobine de corde, non loin, il prit fermement la main gauche de la jeune femme, quitte à lui faire mal...entendre souffrir la princesse ne pouvait que le rendre encore plus violent...Seffer fit le tour de la main gauche de Blanche Neige avec la corde de marin, serrant fort pour qu'elle souffre un peu...Puis apercevant un crochet sur le coté du cercueil, il attacha la corde et donc la main avec, au crochet...Il lui laissait encore une main libre pour qu'elle puisse se détendre tandis que l'autre, par le biais d'une corde, était attaché dans son dos, a un crochet sur le coté du cercueil, rendant un de ses bras inutiles...Un moyen pour le vampire d'aller plus loin, poussant le sadisme un peu plus loin à chaque minute.
- Pas quoi ?
Murmura le vampire tandis que sa tête plongeait de nouveau, tel un rapace, sur le sein de la jeune femme reprenant son travail. Il mordillait désormais le bout du sein, devenu dur...tandis que l'autre main retourna dans ses bas, et que les doigts entraient de nouveau dans son intimité, il en entra un de plus dans le vagin de Blanche Neige et commença à établir un va et viens redoutable tandis qu'il s'amusait avec le sein gauche.
- Vous voyez que nourriture et femme est compatible...Un met de choix pour un vampire.
-
Un jeu diabolique, digne de cet être obscur. Elle n’avait pas tout de suite réagie à ce que ferait le vampire, se contentant de subir, dépassée par les événements. Mais au moment où il agrippa son poignet et qu’elle sentit le contact rude de la corde contre sa peau, elle voulut riposter et crier, mais ne put qu’ouvrir la bouche en balbutiant des syllabes incompréhensibles. Elle sentit la douleur attraper son épaule et tout son bras, et la peur attaquer son esprit. « Merde … » Un mot simple qui résumait tout. Un mot qui voulait tout dire, oui. Elle n’avait plus qu’une main, crispée, tremblante, et restait à la merci du Vampire.
Bloquée .. Ce mot résonna dans sa tête tandis qu’elle sentait son corps qui remuait sous l’effet du plaisir qu’elle voulait garder en elle, et sa peau qui se hérissait, parcourut par un frisson et une chaleur immense. Ça montait en elle, ça la dévorait … Elle ne savait plus quoi faire. Les soupirs s’accentuaient, la respiration soulevait violemment son buste, les gémissements à demi-étouffé sortaient à intervalles irrégulières. « Riposte, ne te laisse pas faire ! » Elle ferma les yeux, retenant des larmes. Perdu … Elle voulait contenir en elle le plaisir et tout ce qui ensuivrait, et rentra férocement ses ongles dans la paume de sa main, produisant une douleur atroce, dans l’espoir que son esprit ne s’occupe plus que de cette douleur et pas de cette sensation qui la submergeait.
- Aah … Aïe ….
Elle sentait le sang couler dans sa paume, les yeux fermés. Elle se mordit la langue. Toujours riposter, ne jamais abandonner … C’était possible, même au prix d’une douleur. Elle ne voulait pas lui donner ce qu’il attendait d’elle.
-
Le jeu diabolique continuait de plus belle et, une main attachée, Blanche Neige ressemblait maintenant à la biche de Walt Disney, mais surtout à un gibier agonisant se débattant en vain en attendant la fin...Murmurant des mots à peine audible et compréhensibles, se perdant dans le vocabulaire et la grammaire, crispée, tremblante comme une feuille, elle était à la merci du vampire. Pauvre amatrice de faits divers et de lieux sordides, ce qu'elle avait voulu voir, elle l'expérimentait maintenant. La seule opposition véritable que pouvait offrir la Reine des Neiges était dès plus sommaires...Tentant de retenir le plaisir en elle et d'empêcher les gémissements de sortir de ses lèvres, qui devenait alors une prison pulpeuse. Même si quelques longs soupirs parvenaient à s'échapper de ce carcan.
- Aah … Aïe ….
Mordillant et s'amusant avec son sein, le saisissant à pleine main et le massant pour le rendre encore plus ferme qu'un matériau de construction, Seffer jetait des coups d'œil rapide au visage, rejeté en arrière de Blanche Neige, les yeux fermés et quelques larmes grasses dévalaient la peau blafarde de la Reine des Neiges. Le visage entre les seins, il ne cessait pas pour autant de violer l'intimité de la jeune femme sans prendre en compte aucune de ces supplications.
Le prédateur nocturne stoppa alors son œuvre et ses doigts ressortirent du vagin brulant de Blanche Neige, son visage glissa alors lentement vers ses cuisses, qu'il embrassa au passage, puis écartant une cuisse, à la peau froide, tandis que son autre main restait poser sur un sein, le malaxant, le caressant et jouant avec, Aelias plongea discrètement et rapidement entre les jambes de la Reine des Neige, pour aller à la rencontre de son intimité...
Il commença alors à lécher en douceur, glissant sa langue sur le vagin de la princesse, pour mieux lui donner du plaisir et la pousser à ne plus retenir en elle, le désir, le plaisir et à se laisser aller...
- Hmm...Quel met de choix...
Murmura t'il. Le Vampire y mettait toute son énergie, voulant l'entendre, l'entendre encore une fois crier ou gémir, geindre ou pleurer. Elle faisait déjà couler son propre sang, déjà, elle souffrait...mais cela n'était pas encore assez pour le suceur de sang, qui alors enfonça doucement sa langue en elle, enfonçant et forçant la jolie fente.
-
Blanche neige eut un nouveau tressautement quand elle sentit le visage du vampire glisser le long de son corps. Elle aurait voulue lui dire d’arrêter, parce qu’elle souffrait de ce plaisir violent, mais il était impossible pour elle de cesser ce manège. Une chaleur foudroyante s’emparait de chaque parcelle de son corps avec violence, attaquant le moindre de ses muscles pour réduire à néant son espoir et sa force. Elle aurait voulue que ça main libre repousse le vampire, mais ses doigts ne voulaient plus bouger maintenant – à cause de la douleur provoquée par les ongles enfoncés dans sa peau. Elle sentit son corps se soulever violemment et n’osa que jeter un petit regard pour voir ce qu’il faisait, bien qu’elle se doutait de tout …
- Aaah … non … Pas ça …
Elle eut un autre soupir, sentant son corps remuer sous l’effet du plaisir, laissant des gémissements délicieux sortir de sa bouche. « t’as pas le droit d’aimer ça ! » Elle ignora sa conscience, et griffa le fond du cercueil avec ses ongles, en proie à une émotion intense. Tout montait brusquement en elle, violemment, et elle refusait l’idée de prendre un plaisir immense qu’elle nommait atroce. Elle inspira violemment, griffant violemment le coussin, réfrénant comme elle pouvait l’inévitable. S’il continuait comme ça, elle savait qu’elle ne tarderait pas à venir, et ça, elle ne le digérait pas.
-
La langue du vampire continuait de glisser sur la partie intime de Blanche Neige, entrant, enfonçant la fente sans douceur, en ressortant et en rentrant de nouveau...Aelias imposait un rythme infernal et pourtant si délicieux à sa proie, à sa princesse, qui semblait prendre du plaisir, ne le cachant qu'a peine. Elle tressautait, son corps était pris de nombreux petits tremblements, convulsions, le bassin se relevait et s'abaisser tandis que la Reine des Neiges n'osait pas le repousser avec la main libre qui lui restait. Il lui jeta un coup d'œil rapide avant de se remettre à son œuvre et de reprendre de plus belle, le va et viens de sa langue dans son vagin. Seffer comprenait, il comprenait son plaisir, elle le regardait et commençait à aimer cela, tout en comprenant que c'était mal...Le démon tentateur réussissait sa tache, Mephistopheles corrompait Faust petit à petit. Progressivement, Aelias corrompait sa proie par l'intermédiaire de sa langue...
- Aaah … non … Pas ça …
Seffer Aelias accéléra encore le mouvement de sa langue dans le vagin de Blanche Neige, devenue brulante. Continuant de lécher la jeune femme pendant un long moment, le vampire ne pouvait qu'entendre les longs gémissements de plaisir de la jeune, ces délicieux sons remplissaient la pièce, faisant même que la pluie deviennent silencieuses et que les crépitement des torches ne soient plus audibles pour le suceur de sang, seul importait les gémissements de plaisir de la princesse des neiges. Son corps aimait cela, elle ne pouvait l'ignorer ni mentir...Son corps était en train de remuer sous l'effet du plaisir, tentant de façon veine de renfrogner son plaisir.
- Détends toi...Détends toi.
Murmura le vampire, désirant voir sa partenaire et proie connaître encore plus l'effet du plaisir. Léchant, mordant, glissant sa langue sur le vagin de la jeune femme, son autre main pinça le bout du téton d'un des seins de Blanche Neige. Aelias savait, il savait qu'elle ne tarderais pas à venir. Il n'avait qu'a écouter le corps de la princesse, elle avait beau dire non, son corps sensuel disait oui...
-
C’était une douleur horrible. Comme un être entravé qui veut s’échapper, partir, mais qui ne peut pas. Elle n’acceptait pas ce qu’il lui arrivait. C’était comme irréel, impossible à comprendre, impossible à vivre. Elle était partagée entre l’envie de rester et celle de fuir. C’était abominable. Tous ses muscles criaient, les saccades l’agitaient, elle avait mal, mal … Mal de vivre cette scéne. C’était horrible. Elle sentit soudain une autre douleur vive l’attraper, mais une douleur atrocement délicieuse. Un feu venait de naître dans son ventre. Mais pas n’importe quel feu. Un feu qu’elle aimait au point de le haïr en cet instant.
- Aaah ! Non …
Ce fut un soupir extrême, brûlant, une crispation, une respiration qui s’arrête, votre cœur qui cesse de battre un instant, et un serpent qui coule en vous. Elle savait qu’elle était en train de venir, mais s’en fichait royalement en cet instant. Elle ne balbutiai plus rien, elle en était incapable, elle était tordue de plaisir et de douleur. Pas de repos pour son corps. Elle fut secouée un instant, puis son corps fin retomba d’une manière lourde sur le coussin, tandis que des larmes de honte coulaient sur ses joues rouges. Elle n’osait plus le regarder, plus bouger, plus rien faire, assaillit par la détresse. " Honte sur toi ... " Elle plissa les yeux, se sentant pleurer. Qu'avait-elle fait ?
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Elle ne tarderais pas à venir et usant de sa langue, de la meilleure façon qu'il pouvait, glissant sur la partie intime de Blanche Neige et pénétrant son intimité, le vampire faisait se tendre et se détendre le corps de sa proie tandis qu'il pinçait, avec son autre main et sans ménagement, le téton d'un des seins de la Reine des Neiges. Seffer était à la hauteur de son rôle de démon tentateur, les gémissements de la jeune femme résonnaient dans cette cave, dans la tanière du vampire, tandis qu'a l'extérieur l'orage tonnait de plus belle, empêchant quiconque d'entendre la jouissance, non consentante, de la princesse.
- Aaah ! Non …
La dame blanche venait enfin...La langue d'Aelias fit une nouvelle entrée dans le corps morbide de Blanche Neige, celle ci émit de nouveau un gémissements ente plaisir et douleur. Ne laissant aucun repos sur son corps, Seffer Aelias faisait tout pour donner un plaisir interdit à la jeune femme. Après tout, Blanche Neige n'avait elle pas mordu dans une pomme offerte par une sorcière ? Son corps se tendit, secouée pendant quelques instants, elle venait...Le corps retomba alors brutalement et d'une manière lourde, au fond du cercueil, sur le coussin. Le suceur de sang retira alors sa langue et sortit d'entre les jambes de la jeune femme, la regardant avec un plaisir sadique tandis que des larmes coulaient sur les joues.
- Allons, allons, ne pleurez pas...Vous êtes une grande fille et ce n'est pas si terrible que cela.
Il se rapprocha du visage de la jeune femme, observant les larmes qui dévalaient son visage comme une chute d'eau et le maquillage qui dégoulinait lentement. Elle lui rappelait un dessin à l'encre de chine sur un papyrus, jetait dans l'eau, l'encre partait doucement...Le superflu disparaissait, laissant uniquement l'essentiel. Avec un des ses doigts, il essaya d'essuyer les larmes avant de descendre vers la bouche de la jeune femme, cette bouche qui avait tant laissé échapper de soupirs. Aelias embrassa alors Blanche Neige comme le prince charmant le fait dans le conte, a la différence, que dans le conte, elle était consentante... et il n'avait pas une de ses mains sur les seins de la princesse.
- Voila ! Ca va mieux ? Fini le gros chagrin...pour qu'on puisse continuer.
Il embrassa alors de nouveau la jeune femme et saisissant la main libre de la jeune femme, celle qui saignait, il la posa sur son pantalon, au niveau de son entre jambe pour qu'elle comprenne ce qui allait suivre...
-
( Toi, un prince charmant ? x) )
La jeune fille sentit son ventre qui lui faisait mal pour deux raisons encore : la peur et ce qu’elle venait de faire. Elle ne prêta guère attention à lui au début, dans ses pensées, un gros paquet sur le cœur, puis elle sentit sa main sur sa joue et sursauta vivement, prête à frapper. Il se contenta d’abord de caresser sa joue pour que les larmes partent – tout en sachant qu’elles reviendraient – et la jeune fille ne pu s’empêcher d’avoir chaud au cœur. Puis il l’embrassa, et elle se voulut un mouvement recul. Mais elle était clouée au coussin, et ne pouvait donc pas l’éviter. Elle voulait tourner la tête, trouvant encore que ce baiser était d’une douceur froide et glacée.
Quand il agrippa sa main, celle qui saignait, elle ressentit une vive douleur et grimaça. Elle se souvint qu’elle s’était infligée elle-même cette blessure, et quand elle entendit ses propos et qu’il dirigea sa main, elle resta interdite, limite choquée. Elle retira avec une violence rare sa main, serrant le poing et le repliant contre elle, en le suppliant du regard.
- Non … Pas ça, s’il vous plaît … Laissez-moi partir …
Elle sentit de nouveau la peur qui entrait en elle, et serra le poing, ses yeux reflétant une peur violente.
- Je vous en supplie …
-
[ Oui, Oui, moi...J'y ressemble, non ? = ) ]
Coincée au fond du cercueil, la tête clouée contre le coussin de soie rouge sang, Blanche Neige ne pouvait échapper aux baisers de son prince charmant...si pouvait, oser, appeler un être de la nuit, un prince charmant. L'embrassant ardemment, le vampire ne pouvait que constater la froideur des lèvres de sa victime, aussi froide qu'un cadavre, mais cela en soit ne dérangeait pas le vampire, qui avait pris l'habitude, parfois, d'embrasser les cadavres présents dans la pièce. Seffer Aelias embrassait la Reine des Neiges, arrêtant son baiser puis reprenant, échangeant différents baisers, longs, courts, intenses, rapides, il ne lui laissait pas le temps de se remettre, et elle ne semblait pas être totalement contre ces embrassades. Cependant, la réaction qui suivit ne l'étonna guère et ne fit qu'accroitre le désir du vampire...Le désir d'abuser de la princesse.
Blanche Neige sembla outrée, gênée par le fait que le vampire avait osé lui prendre sa main et la déposer sur son pantalon, au niveau de son entre jambe...Le visage crispé et interdit, elle retira alors violemment sa main. A quoi pouvait elle s'attendre d'autre ? Seffer Aelias avait déjà violer son intimité a plus de trois reprises...Ses seins, sa bouche et même son vagin? Croyait elle vraiment qu'il allait s'arrêter là ? Non, cela ne se fait pas, ce serait un manque de politesse majeur...Le prédateur désirait honorer sa proie dans tous les sens du terme.
- Non … Pas ça, s’il vous plaît … Laissez-moi partir …
- Partir ? Mais la pluie et le tonnerre ne sont pas encore arrêté...et pourquoi je vous laisserez partir ? Vous savez, je me suis attaché à vous, Blanche Neige.
- Je vous en supplie …
- Continuez de supplier, je vous pries. Vous ne faites qu'accélérer l'inévitable.
Le vampire cessa alors de l'embrasser et de la caresser, vu qu'elle refusait de le caresser et faire autre chose...il trouverait une manière plus brutale. Se redressant, se relevant, il contourna le cercueil et se posa, à genoux, juste au niveau du visage de la princesse. Aelias rapprocha alors directement son bassin, son entre jambe, du visage de Blanche Neige, qui semblait toujours si interdite. Reprenant avec force la main de sa Reine des Neiges, il la reposa sur le pantalon. Le suceur de sang laissait une possibilité à la jeune femme de se rattraper, si elle ne le faisait pas, il s'arrangerait pour qu'elle le fasse même si en usant de la force.
- Baissez moi le pantalon...S'il vous plait.
-
( Trop x) A bas le prince charmant, vive les méchants ! )
La gorge de Blanche Neige se noua violemment. Quelque chose d’infiniment douloureux, cette sensation de gêne, de honte, de peur, l’enveloppa alors qu’il prenait sa main. Elle ferma les yeux, crispant son visage comme s’il allait la frapper, et entendit son ordre raffiné. Elle ouvrit avec précaution ses paupières closes, relevant les yeux, un sentiment de terreur sur son visage. Elle avait encore le goût de ses lèvres sur les siennes. « Ne pense pas à ça, traînée ! » Elle déglutit avec difficulté, et sentit qu’elle allait craquer. Devenir folle. C’était une suite d’événements tragiques. Elle avait encore une douleur énorme à la main, suite à sa mutilation pendant qu’elle se retenait de ressentir.
« Et là, tu fais quoi ? » Elle resta un moment interdite. Ne sachant pas quoi faire. Sa main attachée lui faisait un mal de chien. Elle ne savait plus rien … tout s’était comme évaporé dans son esprit. Elle serra le poing. « Quoi que tu fasses, il continuera » Elle se mordit la langue. « Peut-être sera-t-il moins violent si je le fais ? » . Elle sentit la peur agripper ses tripes, et replia avec la même violence sa main, le défiant du regard.
- Jamais, articula t’elle en sentant monter un gramme de courage.
-
[ Suis Trop charmant...Ok, attend un peu. = ) ]
- Jamais, articula t’elle en sentant monter un gramme de courage.
Et dire que le vampire avait désirer être serviable, aimable et gentil...En tant que prince charmant, il lui semblait normal que sa gentille princesse et captive accepte, même sans véritable plaisir, de lui donner un peu de réconfort et d'amour. Surtout après tout ce qu'il avait fait pour elle...mais cette dernière, la souillon, refusait catégoriquement. Elle avait le mérite de s'opposer enfin véritablement à lui mais plus pour très longtemps...comme la maison de paille dans les Trois Petits Cochons, il allait la souffler et la faire s'écrouler. Tant pis...pour elle ! Gentil prince, qui lui avait offert son toit et un peu de chaleur et d'expériences interdites, allait devenir plus méchants, plus pervers et plus violents encore, proche du chat rayé d'Alice au Pays des Merveilles et d'un capitaine Hook, encore plus sadique...
Ne laissant pas le temps à la jeune femme de recommencer à avoir de l'espoir et du courage, il décida de tuer ce sentiments encore naissants d'une manière bien radicale. Il défit la boucle de sa ceinture devant la jeune femme et la retira, la ceinture en cuir qui retenait le pantalon tenait dans ses mains, Aelias la noua alors autour du cou de Blanche Neige, qui désormais ce trouver orné d'un magnifique collier...d'animaux domestique.
- Vous êtes encore plus belle maintenant...
L'être surnaturel abaissa alors son pantalon, dévoilant ses bas, un boxer traditionnel masculin noir...fallait pas s'attendre à un bas affriolant quand même ! Et tenant par les cheveux de la jeune femme, il abaissa le boxer, lui dévoilant brutalement, comme une voile, un rideau qui tombait, son membre génital debout et droit...avec pour seule intention qu'elle le nettoie. Rapprochant le membre du visage de sa princesse, il passa rapidement sa main libre sur la bouche de la jeune femme, entre ouvra la bouche puis la referma.
- Maintenant, vous n'avez plus trop le choix, Ma Reine. Je peut être doux et vous laisser faire...Un peu. Ou le faire moi...Et la, ce sera radicalement différents.
-
[ Ah ah ! ;) ]
La jeune femme eut un tressautement en sentant le contact de la ceinture contre son cou. Un instant, prise de panique, elle remua comme un poisson hors de l’eau, apeurée à l’idée qu’il ne l’étrangle, ne réalisant pas qu’il ne ferait jamais ça. La panique et l’angoisse se mélangeaient en elle, avec une violence rare. Elle savait ce qui lui tomberait dessus, elle sentait les événements arriver rapidement. Et il la plaça face au mur, face au fait accompli. L’être nocturne l’effrayait, et ce qu’il lui demandait de faire la faisait trembler de tout son long. « De toute façon, que tu le veuilles ou non, il le fera … » Elle soupira, essayant d’évacuer son stress, et leva les yeux vers lui. « T’es foutue ma belle… » Elle savait ce qui l’attendait. Elle devait souffrir le moins possible, espérant secrètement qu’il la laissât partir par la suite.
Elle tendit sa main blessée vers le membre du vampire, levant son visage, le portant à ses lèvres. Elle avait les joues en feu, la peur au ventre … ses membres tremblaient, et c’est d’une main tremblante qu’elle effleura son sexe avant d’y déposer quelques baisers timides. Il fallut attendre encore un peu pour que sa langue sorte de la bouche pour venir caresser le sexe tendu, laissant sa main continuer de le toucher du bout des doigts. Elle était dirigée par la peur, et y allait lentement, avec précaution et douceur, faisant attention à ses gestes, effrayée par ce qu’elle subirait si elle faisait une bêtise. Les coups de langues se firent plus violents, accélérant le rythme, sans pour autant faire entrer le membre dans sa bouche. Elle avait peur, peur de lui, peur de ce qu’elle faisait …
-
Le collier de cuir ne faisait que montrer le nouveau statut de la jeune femme...Désormais domptée et soumise à son nouveau maître, elle ne bronchait quasiment plus, comprenant ce qui pouvait arriver si elle ne faisait pas correctement son devoir. C'est doucement et à tâtons, hésitants encore un peu, mais dans un désir d'éviter les coups, qu'elle saisit d'une main blessé et tremblante, le membre dur et droit du vampire.
- Vous voyez, ce ne demande pas un effort surhumain... Quels chichis, vous faites, vous les femmes...
Ce n'était que sous la menace qu'elle avait accepté et cela se voyait bien. Commençant son travail, Blanche Neige déposait des baisers dociles sur le pénis du suceur de sang, masturbant le membre avec la main et l'excitant, le caressant doucement par de petits coups de langues, sans pour autant, jamais insérer le membre dans sa bouche...ce qui n'était pas sans provoquer une frustration chez Seffer Aelias. Elle agissait encore avec une certaine peur et timidité mais déjà, elle sembler aimer son œuvre...Les coups de langues se firent plus violents et plus longs, accélérant le rythme et provoquant un plaisir fou au vampire qui leva les yeux vers le ciel pendant quelques secondes.
- Hmm...
Pour autant, elle n'était pas encore totalement offerte et disciplinée. Le vampire voulait lui faire payer cette petit insurrection, manque de discipline qui s'était passé, quelques instants auparavant alors qu'elle refusait d'abaisser le pantalon de Seffer. Interrompant la fellation, Aelias la saisit par les cheveux et enfonça violemment son membre dans la bouche de Blanche Neige, débutant un va et viens infernal dans la bouche offerte de sa proie.
-
Le choc fut violent, dur. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il agrippe aussi fort sa tête, aussi violemment. Elle se retrouvait ballottée, secouée, voulant se défaire de cette étreinte mais ne pouvant pas tellement en fait -_-‘ . Sa main libre et sanglante agrippa le poignet du vampire, le serrant de toutes ses forces afin qu’il cessât ce qu’il faisait. Elle sentait les mouvements violents, et le membre qui claquait contre le fond de sa gorge et l’intérieur de sa bouche, frôlant sa langue avec une force rare. Elle sentit une douleur atroce agripper sa mâchoire, et ne lâcha pas le poignet de l’être de la nuit et de la peur. Elle avait mal, tout cela allait si vite … Sa voix intérieure ne disait plus rien, elle aussi dépassée par les événements. Voulant bien faire, Blanche Neige agita sa langue dans sa bouche, taquinant son membre pendant que les vas et viens continuaient, et elle le sentait se crisper.
Tout comme elle sentait qu’elle recommençait à s’humidifier en bas. Ce qui la paralysait. Elle priait pour que le vampire n’aperçoive pas cette faiblesse, qu’il ne voie pas l’état dans lequel elle était. Elle agrippait toujours son poignet, comme si c’était sa dernière chance, et sa langue commençait à fatiguer à force de s’agiter ainsi. Elle ne pouvait plus parler, plus rien rien, ne plus réagir … « T’es foutue ma belle … » . Cette phrase résonna en elle, comme un avertissement, une menace ultime. Elle se crispa davantage.
-
Tenu fermement par les cheveux, Blanche Neige ne pouvait qu'endurer les allers et retours du sexe du vampire dans sa bouche, heurtant à chaque fois le fond de sa gorge et menaçant presque de l'étouffer...si elle avait accepté dès le début, si elle avait pris le membre directement et l'avais inséré dans sa fine bouche, elle n'en serait pas là ! Si seulement, elle avait obéit sans broncher...Son petit sursaut de courage et d'espoir aller lui couter cher. Elle avait beau s'agiter, le membre dur continuait son voyage dans la bouche offerte de la jeune femme, désormais les vas et viens étaient conjugués aux coups de langue de la Reine des Neiges, titillant, caressants, excitant le vampire.
Levant les yeux au ciel, Seffer savait qu'avec de telle va et viens, il ne tarderai pas à venir...Il y pensait mais alors qu'il regardait derrière lui, il remarqua le vagin de la jeune femme et se dit qu'il ne pouvait pas se lâcher dans sa gorge, Seffer lui avait jurer de l'honorer dans tous les sens du terme et il n'allait pas se gêner d'honorer cette promesse.
Le suceur de sang arrêta son membre dans la bouche de la jeune femme, tentant de le faire entrer le plus profondément possible dans la gorge de Blanche Neige, quitte à l'étouffer...puis, il sortit rapidement son sexe dur, brillant et recouvert de salive tout en repoussant violemment la tête de sa princesse, qui alla alors heurter le coussin rouge sang.
- Ceci n'était que l'apéritif, ne croyez pas que c'est terminer.
Que croyait elle ? que le vampire aller se contenter de ses seins, de son vagin sans pénétration de d'une simple entrée et sortie de son membre dur dans une bouche offerte ? Non, cela n'était que le début, l'apéritif sur le menu de Seffer. Le vampire se releva et contourna de nouveau le cercueil, laissant à la jeune femme, le soin de se remettre de cette expérience buccale...Se retrouvant a l'endroit de toute à l'heure, il écarta avec violence les cuisses pour remarquer que son vagin était humide...Un sourire au lèvres, petit sourire cynique et narquois, il regarda dans les yeux sa proie.
- Je vois que tu as apprécié...On va pouvoir passer au plat suivant.
Écartant les cuisses blanches et froides de son repas et amusement, le prédateur nocturne approcha son membre dure, et encore couvert de la salive, du vagin de la jeune femme...Frottant son membre le long de la fente en douceur, puis appuyant son sexe doucement contre le vagin, entrant ensuite avec douceur, défonçant délicatement la porte de son vagin...Le vampire la pénétrait alors. Tenant fermement les cuisses de Blanche Neige, il donna alors un coup puissant de butoir, le membre entra alors sans peine, enfonçant la fente...tout cela, dans l'optique, d'obtenir un cri de jouissance de la part de la Reine des Neiges.
-
Le heurt de sa tête contre l’oreiller la ramena à la réalité, à ce qu’elle venait de faire et ce qui arriverait par la suite. Elle cligna des yeux, perdue, ne comprenant pas immédiatement les propos du vampire. Elle avait mal à la mâchoire, une douleur qui la tirait violemment. Elle voulut porter la main à son visage pour masser le pourtour de sa bouche, mais elle le vit bouger, et son sang se glaça. « Non, nooon ! » Elle le savait, mais ne l’acceptait pas totalement, cette suite logique des événements. Elle se contenta de tendre la main vers lui, les doigts crispés, en espérant qu’il cesse, balbutiant quelques « non » inutiles.
Mais trop tard pour elle … Trop tard pour la suite. Elle laissa échapper un cri, celui de quelqu’un qui vient de se prendre un mauvais coup dans le ventre, et sentit les larmes gagner ses yeux. Il fallait qu’elle le repousse, c’était une certitude. « Tu ne peux pas, idiote ! » Elle se crispa à nouveau, au rythme qu’il donnait à son corps, qui se chauffait de plus en plus. Elle sentait tout grimper, puis redescendre, faire des zigzag en elle. Elle sentait le plaisir qui entrer et qui la taquinait.
- Mmh … aah ... noon …
Des mots inaudibles, qui se perdaient au milieu de ses soupirs et gémissements.
-
La dominant, la regardant de haut tout en maintenant une pression sur ses cuisses avec ses mains, pour empêcher toutes fuites éventuelles, le vampire établissait un va et viens, un rythme rapide, faits de puissants coup de hanches...Enfonçant son sexe profondément dans le vagin de Blanche Neige, le vampire sentait montait le plaisir dans ses veines, une sensation de bien être qui l'enivrait et monter dans ses veines, une sensation première qui serait bientôt rejoint par le gout frais du sang de sa proie...Il pénétrait avec violence sa partenaire et casse croute future tandis que ses gémissements et ses petits cris remplissaient cette antre, rendant inaudibles tout les autres bruits existants, y compris les quelques protestations et supplications de la Reine des Neiges.
- Mmh … aah ... noon …
Accélérant le mouvement, de plus en plus fort et de plus en plus rapide, le vampire jouait avec sa nourriture...Enfonçant toujours et toujours son pénis de plus en plus profondément dans le corps de la jeune femme, tandis que l'être des ténèbres respirait maintenant sous forme de saccade, révélatrices du plaisir qu'il prenait à chaque coup de butoir...Tandis qu'il pénétrait Blanche Neige, une de ses mains quitta les cuisses, Seffer Aelias se pencha et cette main alla se figer sur le téton d'un des seins de sa proie, reprenant le travail passé : caressant, malaxant, massant et pinçant ce tétons pour mieux entendre la jeune femme jouir.
- Hmm...Quelle entrée ! Digne des meilleurs restaurants...
Et si il l'a gardait plus longtemps ? Elle n'était pas déplaisante et pourrait être une sorte de garde manger...au lieu de simplement la mordre après l'acte et de la laisser pour morte, il pourrait la conserver vivante et la mordre, aspirer son sang, chaque jour jusqu'à ce qu'elle n'ai plus une goutte de ce nectar, de cette ambroisie pour vampire, dans les veines. Aelias verrait cela plus tard...pour le moment, il était occupé à arracher des cris de jouissances, des soupirs et des gémissements à Blanche Neige.
- Dommage que le service fut si lent.
La pénétration continuait de plus belle, associé aux gémissements de la jeune femme...Seffer avait bien l'intention de profiter de sa proie le plus longtemps possibles, quitte à faire toutes les positions possibles et imaginable...Il tenait ses paroles et voulait montrer à Blanche Neige au combien les bas fonds de Terra n'était pas fréquentable et sordide, même si il devait pour cela, abuser d'elle dans tous les sens du terme.
-
Secouée ainsi, la jeune fille sentait que tout était perdu. Sa dignité, sa (stupide) fierté, remplacées par la honte et le plaisir. Et la honte du plaisir. Elle avait des gémissements de plus en plus longs, sa gorge était brûlante à cause de son souffle accéléré, de sa voix qui lâchait. Elle ne contrôlait plus rien : aucun mot, aucun geste. Sa main s’agrippa au tissu, le tachant de sang. Son front ruisselait de perles de sueurs, et l’envie, le plaisir montait en elle. Elle ne pouvait plus se réfréner. Elle se perdait. Dans ses cris, dans ses mouvements qui l’entravait, dans son corps qui se soulevait à chaque coups. Elle sentit se crisper en elle un élément nouveau. Un autre plaisir. Etrange … un plaisir qui lui rongea le cœur, les muscles, qui faisait bouillonner son sang. Un plaisir qu’elle ne connaissait pas la submergeait.
Elle sentit ses cuisses devenir brûlantes, son corps qui réclamait, sa voix qui montait, ses yeux qui ne cherchait plus d’issue. Elle avait l’impression qu’on lui chatouillait le cœur. Elle rejeta sa tête en arrière, violemment, comme possédée, sentant irrésistiblement un plaisir qui venait et repartait, qui montait, descendait, qui jouait avec elle. Son corps bougeait par saccades plus violentes, sa respiration se coupait puis reprenait … elle ne se sentait plus la même. Elle le sentait … un nouveau plaisir dans ses veines. Elle allait venir …
-
Les mains fermement agrippées aux cuisses blafardes de Blanche Neige, le vampire continuait son œuvre, accélérant ses coups de hanches, accompagnant son membre , le plus profondément possible dans le sexe de la jeune femme, dans l'intention de la faire crier de plaisir...Cette princesse d'un conte de fée pervers ne semblait plus si pure, si distinguée que cela. Auparavant, empourprée dans une sorte de dignité, elle refusait les actes du prédateur nocturne...maintenant, elle en redemandait à chaque fois, ponctuant la pénétration, son viol, de gémissements et soupirs de plaisir.
Le corps glacée de la Reine des Neiges devenait de plus en plus brulant, sa froideur passé avait laissé place à une chaleur intense que Seffer Aelias pouvait ressentir...S'offrant au vampire, elle venait...et allait bientôt atteindre un stade, un état critique...de plaisir, qu'elle tentait pourtant de refouler. Le suceur de sang prenait un malin plaisir à plonger cette jeune femme dans le plaisir charnel et le péché de la luxure...comme Mephistopheles avait entrainé Faust dans les péchés les plus sombres, le détournant du bon chemin.
Cessant les vas et viens de son membre dans le vagin de sa princesse, il décida qu'il était temps de donner un peu plus de liberté a sa proie, dans un sens assez relatif...Défaisant les liens, la corde qui maintenait attaché une des mains de Blanche Neige, le vampire posa un de ces doigts sur la bouche de la jeune femme.
- Bien entendu, il est inutile de tenter de s'échapper, vous n'iriez pas bien loin de toute façon...
Il retourna alors violemment sa maitresse, les seins durs et le ventre venant heurter le fond du cercueil, couvert de coussin en soie rouge sang, dans l'intention de la prendre par derrière comme un animal domestique...animal qu'elle était devenue. Saisissant ses cheveux, il lui relevait la tête, et donc dans une position de levrette, le vampire enfonça, de nouveau son membre dur dans le vagin de Blanche Neige. Le rythme reprit alors et commença à s'accélérer, c'était un peu comme le plat de résistance pour Seffer Aelias.
-
Elle resta interdite en sentant qu’il s’arrêtait et qu’il enlevait ses liens. Que faisait-il ? Elle poussa un cri violent et aigu en heurtant le fond sur cercueil, sentant le tissu contre son ventre. Que faisait-il ? Cette question hantait ses pensées. Allait-il refermer le cercueil ? La laissant dans le noir complet ? Elle eut peur un instant (claustrophobe, que voulez-vous) et sentit tout à coup violemment le membre la traverser à nouveau. Elle tourna la tête vers lui, la bouche ouverte, pour lui dire de ne pas faire ça, mais les mots moururent entre ses lèvres. Elle sentit à nouveau qu’on lui tirait les cheveux, et cria de douleur.
- Non … non …
Le rythme s’accélérait, elle ne tiendrait plus longtemps. Elle sentit ses cuisses se tendre, son dos se raidir, et laissant échapper un cri, agité de tremblements incessants. Le déshonneur, la honte, la perte de sa dignité … elle baissa sa tête, non sans cesser de réagir par soupirs et gémissements aux actes du vampire, sentant toujours cette chaleur en elle, qui montait, violente puis douce, rapide puis lente, et sentit que tout doucement, son cœur serrait atteint, et qu’elle viendrait.
Et c’était ça le plus déshonorant pour elle. Elle ne pouvait plus lui résister …
-
Il l'avait retournée violemment, sans qu'elle puisse rien faire pour s'y opposer...Blanche Neige était traité comme une anodine poupée de chiffon, docile, obéissante et qu'on pouvait malmener à volonté...Plaquée contre le sol, les pointes durs des seins de sa proie étaient littéralement écrasées sur les oreillers de soie qui tapissaient le fond du cercueil tandis qu'elle subissait la pénétration, les vas et viens d'un appendice dur et rageur dans un vagin offert. Seffer Aelias, debout, la prenant par derrière et la traitant comme un vulgaire gibier de chasse, qu'on allait bientôt achever, avait saisit le fessier à la peau blanche et rebondit de sa princesse. Le prédateur nocturne écarta alors ces fesses fermes, pour mieux contempler son membre en action.
- Non … non …
Non ? Ne comprenait elle pas que cela ne servait à rien...Ces supplications vaines poussaient même le vampire à accélérer l'entrée et la sortie de son sexe dans la jeune femme, la traversant de part en part et lui arrachant des gémissements. Dans le contexte actuel, dire non, s'opposer a l'être des ténèbres, était un peu comme le gibier, le faisan abattu, qui se débattait dans son propre sang...C'est à dire, inutile.
Ce gibier et objet de plaisir s'agitait dans tous les sens, ses jambes se tendaient et son corps criait encore...encore, encore plus de coups tandis que Seffer, à l'écoute des demandes du corps de sa Reine des Neiges, accélérait le rythme des vas et viens, arrachant de petits cris aigus à la princesse. La honte...Le plaisir coupable avait poussé sa captive à baissé la tête, la repliant en direction du coussin, comme pour oublier la présence de son dominateur, un signe de la réussite du vampire...
- On voit ici que de jeunes enfants, Surtout de jeunes filles, Belles, bien faites et gentilles...
La morale d'un conte très adaptée à la situation de la jeune femme : Le Petit Chaperon Rouge de Perrault...qui signifiait littéralement, il est pas bien de parler à des inconnus...surtout si ils sont charmeurs, revenait à l'esprit du prédateur nocturne, qui par générosité et sadisme, la dictait à sa proie, lui donnant ainsi une petite leçon.
- La morale d'un conte qui vous correspond...Mais la fin est dès plus intéressante : Je dis le loup, car tous les loups ne sont pas de la même sorte : Il en est d’une humeur accorte...Qui, privés, complaisants et doux, suivent les jeunes demoiselles jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles....
Et il conclut par un puissant coup de son sexe dans le vagin de la jeune femme.
- Mais, hélas ! qui ne sait que ces loups doucereux, de tous les loups sont les plus dangereux ! Quel beau conte, non ?
-
La jeune femme essayait de se maintenir dans un état qu'elle nommait vivant. Balottée ainsi, elle se sentait perdue. Elle étouffait. Un nuage brûlant s'était formé autour d'eux, un nuage qui la prenait à la gorge, qui l'embrassait violemment, qui la traitait comme une trainée. Elle écoutait les paroles avec attention, sentant sa fin venir, les larmes aux yeux. Il n'y avait plus l'angoisse de jouir, mais l'angoisse de mourir qui se mélangeait à cet acte qu'elle jugeait atroce. Ce qui lui donnait une saveur particuliérement amer. Elle griffait le coussins, le crevant, le visage crispé. Elle finirait comme ces cadavres ... Elle eut un autre cri, sentant son ventre qui se serrait davantage. La douleur ... la honte ... Elle eut un autre cri, la chaleur la déchirant de toutes parts, remuant avec violence sous les mouvements de bassin du vampire.
Réduite à l'état de jouet. " Jouer avec la nourriture ". Un nouveau cri. Elle sentait son sang bouillir dans ses veines, et une chaleur étrange qui naissait entre ses cuisses. Une douleur ... une douceur ... Un autre cri, plus fort cette fois, plus violent, tandis que son visage se rejettait en arriére, les yeux fermés avec une force inouïe.
- Quel conte atroce, répondit-elle crispée, en étouffant un autre gémissement.
Une respiration violente secoua son buste, et elle sentit comme une griffure l'attraper. Elle venait, mais pas comme précédemment. Elle venait encore plus violemment, poussant un cri qui se prolongea de longues secondes tandis que coulait entre ses cuisses le fruit de cet acte. Ses seins lui faisaient mal. Sa peau lui brûlait, elle aurait aimée l'enlever. Elle avait si honte d'elle, de sa voix, de cet instant, de ce qui s'échappait d'elle.
Il l'avait vaincue ...
-
La victoire était enfin acquise...Sombrant dans le plaisir charnel et cupide, rongée par la honte tandis que ces seins majestueux étaient écrasés contre le sol du cercueil, Blanche Neige, princesse pure et prude, tombait en disgrâce. Dans ce conte de fée, la princesse des neiges étaient vaincus par la méchante sorcière, l'offrant au bucheron comme modeste récompense...Dans ce conte de fée, le chaperon rouge était abusé par le loup avant d'être dévoré tandis que la belle au bois dormant, ne se réveillait jamais et qu'Alice était abusé par la reine de cœur et le lapin blanc.
- Quel conte atroce, répondit-elle crispée, en étouffant un autre gémissement.
Atroce ? Horrible ? Non...Juste une mise en garde contre les inconnus, contre ces loups courtois et aimables mais dont l'apparence est trompeuse. Une morale si simpliste mais souvent ignorée par les jeunes et jolies jeune femme en manque de sensations fortes...ou simplement ignorantes et dénuées de bon sens.
Seffer Aelias s'abaissa et vint lover son corps contre celui de sa Reine des Neiges, ressentant ainsi la peau brulante de sa partenaire. Il embrassa alors doucement la nuque de la jeune femme tout en continuant ses coups de hanche, tandis qu'une main tenait les fesses fermes de Blanche Neige et que l'autre passa en dessous du corps et pinça le bout d'un tétons de la proie. Les coups s'amplifièrent alors...Le vampire, la bouche près de l'oreille de sa proie, lui murmura alors.
- C'est juste un conte réaliste...A quoi vous attendiez vous en me rencontrant ? A une visite de courtoisie...
Réduite à l'état de "jouet", de "poupée de chiffon", la princesse subissait tandis que le suceur de sang constatait l'apparition de symptômes, montrant que le plaisir atteignait des paroxysmes, atteignait son apogée...Les jambes de son gibier se tendaient soudainement, sa respiration violente s'accélérait sous les coups de hanches du vampire...Un vas et viens qui alla de plus en plus rapidement, ardemment et sans pitié.
Venant enfin...poussant un cri aigu et strident, plus violemment qu'auparavant, et qui se prolongea plus longtemps, pendant quelques secondes, Blanche Neige avouait sa défaite a son bourreau et conquérant. Aelias ne pouvait ignorer le doux liquide chaud, qui coulait entre les cuisses de sa partenaire, mais continuant ses coups de buttoir, il vint à son tour...Lâchant et fécondant la Reine des Neiges de sa semence, aussi blanche que la neige...
Le membre toujours ardemment planté dans sa proie, le prédateur nocturne continuait alors ses coups de hanche, donnant toutes ses dernières forces, puisant dans sa réserve d'énergie tandis qu'il dégainait ses canines, les plantant dans la gorge de la jeune femme, encore secoué par la pénétration et le jus blanc du vampire.
- C'est l'heure du diner...
Dit il alors qu'il aspirait de grande gorgée de ce nectar sanguin, de cet ambroisie des vampire, par petite gorgée.
-
La jeune femme sentit ses veines se tendre dans son cou. Elle eut un cri de terreur en sentant ses canines aspirer son sang. Elle eut un mouvement de panique, son instinct de conservation la ranimait, elle qui était ... plutôt shootée quelques instants plus tôt. Ses yeux s'ouvrirent violemment, tandis qu'elle levait une de ses mains pour la lever vers les cheveux du Vampire dans le but de le forcer à quitter son cou. Son coeur battait vite, et elle tentait de réveiller son corps engourdi par les récents événements. Elle voulait parler, elle voulait hurler, mais concentrait sa force sur la pression de la main contre le visage de l'être nocturne.
Elle sentait sa respiration qui paniquait, sentant sa vie qui la quittait par l'intermédiaire de ce sang qui coulait dans la bouche du vampire. Elle avait peur comme jamais, peur de mourir. Une peur terrible.
- Lâchez-moi ... sinon ...
Elle ne trouva pas les mots, sachant qu'elle était en position de faiblesse. Malgré tout, elle espérait secrétement qu'il la lâche et la laissât partir. Elle ne voulait pas mourir. Pas maintenant. pas a l'apogée de sa vie, à deux doigts de sortir un bouquin qui pourrait enfin la rendre célébre. Elle se mordit la lèvre inférieure, laissant des larmes salées couler sur ses joues, le suppliant du regard. Elle ne cessait d'appuyer sur la tête du vampire, toujours plus fortement.
- Je ne veux pas mourir ... supplia t'elle.
-
Le Vampire avait obtenu tout ce qu'il voulait...
Dans cette sorte de crypte, dans cette tanière, il avait piégé une vulgaire mortelle...Avait arraché sa robe bleu azur, jouait avec sa poitrine dur, léchant et malaxant le bout des seins, enfonçait, sans crainte et sans douceur, l'intimité de la jeune femme avec sa langue et ses doigts avant de goutter à un plaisir buccale particulier, que les humains appelaient «fellation». Dans une parodie de conte de fée détournée ou il était le héros et ou le méchant était victorieux, Aelias avait fini par abuser de Blanche Neige et la faire se plier sous les coups de son sexe dur et rageur.
Mais avouons une chose, tout ceci n'était que des accessoires, plaisirs superflus dont le vampire pouvait se passer aisément. Par contre, le sang, lui, n'était pas accessoire mais un besoin vitale qu'on ne pouvait ignorer. Une drogue, dont la dose quotidienne, lui garantissait la vie mais aussi une existence au dessus du simple mortel. N'ayant besoin qu'une infime dose, une petite rasade de sang pour couvrir le manque...Il était allé bien plus loin par péché de gourmandise.
- Lâchez-moi ... sinon ...
Continuant de la mordre, Aelias lui soutirait encore de ce délicieux nectar, lui aspirant la vie progressivement, la vidant de son énergie vitale pour mieux s'en approprier. La main de la Reine des Neiges vint se poser sur sa tête, tentant par tous les moyens et avec une force retrouvée, de repousser l'être des ténèbres. Le suppliant du regard, Blanche Neige se débattait de toutes ses forces, usant de sa main pour tenter de se dégager de l'emprise, de la morsure du prédateur nocturne.
- Je ne veux pas mourir ... supplia t'elle.
Le sexe toujours enfoncer dans le vagin de la jeune femme, baignant dans le jus blanc et fécondant cette glaciale femme, Seffer ressortit ses dents...L'épargner ? Pourquoi ? Il replanta alors ses dents de plus belle dans la gorge de sa proie, replanta ses crocs encore plus forts, pour lui faire plus mal et après avoir avalé une gorgée de sang, Aelias stoppa de mordre, sortant ses canines sans douceur de cette fine gorge, une filée de sang dévalant lentement le corps de la jeune femme...
- Vous épargnez, pourquoi ? Vous pourriez me dénoncer aux autorités ? Un vampire aux buchers ! Je pourrais aussi user de vous, encore et encore...comme un garde manger, une reserve de sang frais...
Le vampire saisit alors la princesse par ses cheveux, tirant de plus belle pour lui arracher un petit cri tandis que son membre ressortait de l'intimité, souillée, de cette femme.
- Pourquoi ? Je pourrais aussi vous garder comme une sorte de reproductrice, de femme-porteuse...Donnez moi une raison valable de vous épargner ?
-
La jeune femme leva les yeux vers lui. Elle sentait son cou qui lui faisait mal, atrocement mal. Elle posa sa main dessus, empêchant le sang de couler, vacillante. Elle avait une chance. Une seule chance ... Et il lui proposait des solutions qui la faisait trembler. Devenir une femme reproductrice ? Non merci. Son "esclave" ? Encore moins ! Rester ici ne la tentait pas, et elle savait qu'elle n'avait pas choix. Mourir, ou souffrir. Mais dans tout les cas, morfler. Elle n'avait pas tellement le choix. Elle avait mal au ventre, à la tête, aux muscles, et se sentait épuisée. Elle lui jeta un regard, de ses yeux trempés de larmes.
Elle faisait pitié. Avec ses larmes. Avec son maquillage étalé sur son visage et son cou. Avec ses cheveux décoiffés. Avec sa pudeur et sa honte. Elle posa son visage entre ses mains, pour pleurer. Silencieusement. Puis plus violemment, son corps se soulevant de soubresauts. Elle n'y pouvait plus rien. Elle resta à pleurer pendant un moment, repliée sur elle même. Puis se retourna vers le vampire.
Elle souleva ses cheveux, lui présentant la blessure ouverte, la trace de ses crocs, le sang qui coulait.
- Dans ce cas, tuez-moi.
Un ton froid, détruit. Une attitude torturée. " Merde ..."
( Ouais, bon, je veux pas faire mourir mon perso en vérité , hein xD )
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[ Je m'en doutais...Vais te laisser une échappatoire. = ) ]
- Dans ce cas, tuez-moi.
Le gibier s'était assez débattu dans son propre sang et demandait, désormais, qu'on l'achève...Quel gâchis ! se disait le vampire. Tuer sa proie n'était, en soit, pas gênant pour le vampire, habitué à ce genre de basse œuvre. En règle générale, les chasses finissaient toujours de cette façon, une cible mordue devenait trop dangereuse pour être laisser libre. Si la proie s'échappait, le suceur de sang encourait le risque de se faire traquer par les aventuriers du coin, et devait donc abandonner sa douce et confortable tanière. Gentleman et Prince Charmant, Aelias s'était toujours fait un devoir de fournir une alternative a la mort à ses captives...Être une sorte d'épouse, de vampire à son tour et lui demeurait fidèle jusqu'à la mort...Ou une réserve de sang frais, ou bien encore une reproductrice, pour la future descendance du vampire...Mais aucune avaient osé accepter cette proposition et maintenant, elles pendaient au bout de crochet. Seffer soupira, il s'était pourtant bien attaché à Blanche Neige, si fragile et pourtant si délicieuse, mais bon, puisqu'elle ne voulait pas se donner à lui définitivement, il s'assurerait qu'elle n'appartienne à personne, a jamais...
- Dommage, vous me plaisiez bien...
La chaleur était étouffante dans cette crypte, le vampire se dirigea vers un mur ou se trouvait une légère trappe, un conduit d'évacuation ou plutôt de ventilation, située au pied du mur, servant auparavant pour les eaux usées...assez grande pour qu'une personne puisse passer par là, c'était comme cela que le vampire était entrer, la première fois, dans cette antre et avait tuer le propriétaire légale...Un petit courant d'air entra alors dans la pièce, pour rafraichir l'endroit et redonner l'atmosphère glaciale de la pièce, réchauffée par ce petit diner.
- Vous auriez put faire une belle comtesse vampire...
Seffer Aelias prit le calepin sur le sol et arracha quelques pages avant de le jeter sur le corps de sa captive. Se rapprochant de Blanche Neige, nue et un filet de sang dévalant lentement son corps souillée...Il la saisit par les cheveux et la souleva, la mettant a genoux pour mieux lui voler un dernier baiser. Le temps était venue de l'achever...Il sourit, ses canines brillaient dans l'obscurité de la pièce.
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http://www.youtube.com/watchv=qXAauaKghwo&feature=PlayList&p=B71AA5001EB1EB6B&index=35
Mourir ainsi ... Lamentable. Mourir tuée, vidée de son sang. Mourir ... Cette idée sonnait dans sa tête. Ouais, elle allait crever. Elle ne s'y faisait pas. Elle ne pouvait pas s'y faire, en fait. L'idée de disparaitre ainsi, de ne plus faire partie de la surface de la terre. Elle se souvint de Georges Sand qui clamait qu'elle voulait mourir par curiosité. Il était vrai que, en tentant de positiver, elle saurait enfin ce qu'il se passerait après la mort. Mais elle ne pourrait pas faire partager sa découverte. Quelle tristesse ... " Non, ne dis pas ça ! Tu ne veux pas mourir ! " hurlait sa conscience. Elle releva lentement son visage, subissant le baiser du vampire. Et sentit un courant froid sur sa peau.
Un échappatoire. Elle revenait à la raison.
Elle resta les yeux écarquillés, sentant la bouche du vampire qui s'approchait de sa veine. Elle ne pouvait pas bouger. Elle avait une envie de partir, mais une envie plus forte de rester. " T'es conne ! Pars ! " Quelle était cette envie ? Elle sentait ses muscles trembler à nouveau. Elle devait réagir, faire un choix. Elle tendit sa main pour aggripper la tête de l'être nocturne, et murmura à son oreilles quelques mots étranges.
- J'accepte ta proposition.
Elle appuya sur la tête du vampire afin qu'il plante ses dents dans sa peau. Comtesse ... ce mot sonnait si bien. Ce mot lui irait bien.
( U.U Tu ne t'y attendais pas, hein ? )
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[ ... C'est sur, Je m'attendais à tout sauf cela... :o ]
Quel retournement de situation !! Le vampire avait abusé d'elle pendant la première moitié de la nuit. La violant sans cesse, sans interruption et dénuée de douceur, tandis qu'elle clamait pitié et faisait couler, dévaler le long de son corps nue, toutes les larmes de son corps...Aussi la surprise fut de taille mais dans un certain sens, explicable. L'occasion de s'échapper s'était présenté à elle et Blanche Neige l'avait écarté d'un geste...par quelques paroles magiques, parvenues aux oreilles de Seffer, d'une voix douce et mélodieuse.
- J'accepte ta proposition.
La princesse avait rejeté, ignorer son opposition passé, oublier le viol qui s'était produit il y a peu et même ces précédentes paroles : Dans ce cas, tuez-moi. Pourquoi avait elle changer d'avis ? Par peur de la mort peut être, tant de mortels tentent de vaincre la grande faucheuse et d'éviter de rejoindre les vers et les cloportes. En acceptant d'être vampire, elle gagnait l'immortalité...Elle gagnait aussi une forme de noblesse, devenant une comtesse vampire et épouse-reproductrice de Seffer Aelias. Avait elle pris gouts a l'acte passé, aux plaisirs charnels et cupides ? Ou encore, avait elle, désormais, des sentiments pour son bourreau ?
Les yeux écarquillés, agrippant le vampire violemment, d'une force retrouvée et sortie du plus profonds de son être, elle planta alors, volontairement, les canines du suceur de sang dans son cou...Les canines enfonçant la chair blafarde et commençant alors l'aspiration du délicieux nectar. Entourant sa princesse et future épouse de ses bras, Seffer aspirait la dose nécessaire de sang, permettant à la jeune femme de ressentir cette sensation si douce et étrange d'approcher de la mort !
Être un vampire, c'était être un mort vivant ! Le vampire qui mordait dans l'intention de transformer son partenaire en démon nocturne n'avait pas le choix...Il devait mordre et aspirer le sang jusqu'à une limite, faire que sa proie atteigne un état proche de la mort. Sentant la vie quittait le corps, le partenaire tombait alors, plongeant progressivement dans l'au dela...Mais avant qu'elle ne tombe, qu'elle ne sonne à la porte de Saint Pierre, le vampire faisait alors revenir sa proie dans le monde des vivants avec une sorte de pouvoirs surnaturels, pouvoirs contenus dans les crocs...Ce baiser du vampire était alors une sorte de rites nécromantiques, redonner la vie à une personne à la limite de l'au dela et qui avait, à moitié franchis la séparation entre vie et mort...
Seffer n'en était pas encore là...Il mordait sa partenaire pour en faire son épouse et sa reproductrice. Ce baiser de la mort était en soit, une forme d'accouplement. Le vampire aspirait alors, de plus en plus de sang, dans le but que sa victime atteigne ce stade critique, et approche de la mort en sombrant dans un demi-coma...Aelias entourait sa proie de ses bras fermes pour pas qu'elle ne s'échappe mais une des mains eut envie d'aller ailleurs...Tandis que Blanche Neige sombrait petit à petit dans le coma, Seffer agrippa fortement un seins nus de la jeune femme et sous l'emprise du désir, recommença à caresser cet obus.
- Laissez vous sombrer, happer par la mort...Ne craignez pas l'au delà...Laissez vous emporter, couler et donner moi votre confiance, je vous ferai alors renaitre...
-
La jeune femme laissa une main aller contre le dos du vampire, serrant sa peau tandis qu’il goûtait son sang. Une sensation atrocement douce … Elle tremblait de tout son être. Elle lui faisait confiance, une certaine confiance, celle de la maintenir en vie. Car, effectivement, il pouvait très bien la tuer, lui faisant croire qu’elle deviendrait vampire alors qu’il la viderait son sang et laisserait son cadavre parmi les autres. Ainsi, une main appuyée au sol, l’autre agrippant avec violence la peau de l’être nocturne, elle subissait douloureusement. Elle sentait son sang partir, une douleur et un picotement revenir. Son être s’engourdissait. Une fatigue la prenait, arrachant sa force. Elle se laissait tomber entre les bras de son agresseur, amorphe.
" Pourquoi t'as fait ça ? hurlait sa conscience. Ne suis jamais ton instinct ! Et ecoute moi quand je te parle ! Cet homme est ton agresseur !"
Agresseur ? Elle ne pourrait plus le nommer comme cela désormais. Elle ne pouvait plus se permettre de nommer ce vampire « agresseur », c‘était inimaginable. Elle souffla encore une fois, happant l’air comme un poisson hors de l’eau, cherchant la vie qui la quittait tandis qu’elle sombrait dans le coma. Elle laissa choir sa main qui agressait littéralement le pauvre dos du vampire, n’ayant plus aucune force. C’était redoutable … Elle avait l’impression qu’on happait son cœur. Qu’on le frappait mais qu’on le caressait en même temps. Elle souffrait délicieusement … Un dernier râle surgit du fond de sa gorge avant que ses muscles ne cessent de trembler, que ses paupières se fermèrent doucement sur ses yeux vides, que sa peau adopte une blancheur atroce.
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Le Baiser du vampire...Comme les substances et autres drogues humaines, comme ce jeu futile du foulard, que pratiquait les enfants humains, inconscients du danger, pour sentir la mort, faisait approcher la partenaire de l'autre monde. Mais à la différence de ces pratiques idiotes, Seffer plongeait sa proie dans l'au delà, la tuant, la jetant dans les bras froids de la grande faucheuse avant, de l'arracher aux saints et aux archanges. La transformant en mort vivant et l'arrachant aux saints, Aelias damnait sa proie car un vampire était avant un tout un démon, un être qui ne pouvait rien espérer de la mort, ni pardon ni rédemption, juste la damnation éternelle...
Lovée dans les bras du vampire, l'agrippant et le forçant à prendre, à chaque instant, une gorgée de sang plus grande et à aspirer sa vie de plus en plus fortement...Blanche Neige commençait à vaciller, se préparant à mourir une première fois pour mieux renaitre.
Le suceur de sang sentait le corps de sa proie se refroidir, bientôt, elle atteindrait la température d'un cadavre, fraichement enterré, la température normale d'un vampire vivant. Sa peau se gelait et quand le cœur commença à être en manque de sang, Blanche Neige s'agita, secouée de quelques convulsions tandis que Seffer maintenait sa morsure et continuait de caresser la jeune femme au niveau du sein, malaxant et pinçant le bout du téton pour qu'elle ne sente pas la douleur.
La princesse s'agita alors de plus en plus, ouvrant et refermant la bouche, happant désespérément de l'air comme un poisson hors de l'eau, qui s'apprêtait à mourir...Au paroxysme de la douleur, son corps se courba, les muscles se raidirent et un dernier râle rageur surgit de la bouche de Blanche Neige, comme un ultime cri envers le ciel...puis les muscles se stoppèrent et cessèrent de se tendre, le corps de Blanche Neige retomba violemment dans les bras du vampire et la main, qui était agrippé au cou de Seffer, devenue inerte, s'écrasa sur le sol.
- La mort...
Seffer Aelias allongea le cadavre inanimée et nue de sa proie, le corps bien posé contre le fond du cercueil en bois, la tête posait contre l'oreille en soie rouge sang. Le prédateur de sang s'allongea à coté de Blanche Neige, l'embrassant délicatement au niveau du cou avant de replanter ses canines dans le cou de sa partenaire, insufflant une forme de chaleur, de magie qui remplissait doucement les veines, circulant dans le nectar rouge pour refaire battre le corps...Aelias prit une couverture et couvrit la jeune femme avant de reprendre sa morsure revigorante. Blanche Neige ressortirait juste de la mort...Elle aurait surement froid, prise de compulsion. Ce fut le cas de Seffer quand il fut mordu pour la première fois...
- Renait, maintenant...
-
http://www.youtube.com/watch?v=Jq45cR5cgAA
[ Pour le plaisir ]
La sensation de mourir ... Indescriptible. Une froideur qui vous attrape, qui ne veut plus vous lâcher, s'insinuant en vous, emplissant vos organes, vos muscles d'une délicatesse inquiétante. Elle l'avait sentie. Elle avait sentie son corps s'éteindre. L'espace d'un instant, elle n'avait rien fait d'autre que penser, penser qu'elle était en train de mourir, regrettant sa décision. Puis elle s'était envolée, elle avait disparue. Elle n'avait rien ressentit. Sinon l'impression de marcher, d'attendre une porte, et au moment de pousser cette porte, cette sensation de main qui vous attrapent et vous entraînent. Les mots du vampire résonnaient dans son esprit.
Elle n'était pas morte.
Elle n'osait cependant pas ouvrir les yeux. Elle sentait ses mains devenues froides qui étaient comme du coton. Elle était de nouveau vivante. Mais pas de la manière qu'elle attendait. Elle recommença à respirer doucement, à bouger ses doigts. Elle était revenue à la vie ... Même si elle savait que ça ne serait pas la vie qu'elle avait vécue jusque là. Elle se décida enfin à ouvrir les yeux, doucement, comme de peur que ses paupiéres ne se brisent. Elle agrippa la couette d'une main, la serrant contre elle, tremblante de froid. Elle osa regarder le vampire.
Elle avait un regard de peur. Pas peur de lui, non. Plutôt l'angoisse d'une nouvelle vie qu'elle ne connaissait pas. Elle se blottit contre lui, un réflexe de l'enfant qui va contre sa mère parce qu'elle a eu peur d'une araignée dans son assiette. Elle avait peur de ne rien comprendre, de ne pas savoir se débrouiller dans cette nouvelle vie.
- Tu m'apprendras, dis ?
[ A devenir vampire, evidemment U.U ]
-
[ Merci pour la musique...Ca inspire. ]
La nostalgie s'empara de l'esprit du vampire...C'était dans les années 1620, le Mayflower venait de débarquer des puritains aux États Unis, le roi d'Angleterre était en rage tandis que Seffer, vagabond et docker passait son temps à boire dans les bars et autres tavernes d'un petit village. C'était par ennui...qu'une jeune femme élégante l'avait mordu sans pitié, puis abandonnait dans son nouvel état, dans un état pitoyable...Orphelin, il avait appris seul à chasser, à trouver des cachettes et bien d'autres choses. En "mari" exemplaire, Aelias ne se comportait pas de la même manière avec sa Blanche Neige. Comme un prince charmant, il l'avait allongé dans son propre lit, un grand cercueil en bois, avait posé sa douce tête sur un coussin en soie rouge et l'avait même couverte d'une couverture chaude et finement brodée, avant de s'allonger à ses cotés.
Avec sa morsure, Seffer avait redonné vie à la jeune femme...Surveillant le moindre mouvement de sa proie, de sa nouvelle comtesse, il pouvait sentir qu'elle revenait. Encore comateuse, il écarta les lèvres de sa princesse avec ses doigts, pour voir des canines, canines douces, élégantes et gracieuses, fines et brillantes, qui poussaient petit à petit dans sa bouche...La transformation était en route. Seffer Aelias vint voler un baiser à la captive puis posa quelques baisers sur le bout des seins de la jeune femme, dans l'intention de la stimuler.
Le cœur de Blanche Neige se remit à battre délicatement et doucement, avant de reprendre un rythme normal. La peau extrêmement blafarde montrait la réussite du processus...Seffer s'allongea, de nouveau, a coté de sa partenaire, regardant ces paupières encore fermées. Elle ouvrit les yeux et agrippa la couette, contemplant Seffer et se lovant profondément contre lui. Seffer Aelias savait qu'elle avait peur, elle découvrait ce monde. La transformation récente faisait que son corps était encore un peu faible, princesse revenait juste du monde des morts.
- Tu m'apprendras, dis ?
Seffer Aelias plongea délicatement un de ces doigts dans la bouche de la jeune femme, écartant doucement les lèvres, il vint toucher, caresser avec douceur les canines naissantes de la jeune femme puis embrassa sa comtesse.
- Bien entendu...Tu est encore un peu faible, c'est normal, ne faits pas trop d'efforts... Il te faut une dose de sang...Ta première morsure. Me ferais tu l'honneur, mon épouse, de me prendre un peu de sang...Je ne crains rien de ta morsure.
Seffer lui montra son cou, un cou à la peau blanche blafarde avec les veines qui ressortaient. Le vampire était excité...après sa première morsure, ils partiraient peut être à la chasse, il devait bien avoir une petite humaine pour leurs servir de repas commun, qui trainait dans les bas fonds.
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[ Vive la musique Russe :D ]
La jeune femme sentit un frisson la parcourir. Le mordre ... Elle trembla. Elle ne savait pas mordre, elle ne savait pas comment faire ... Mais il lui avait promis de lui apprendre. Elle eut un petit sourire, et leva les yeux vers le vampire. Elle le fixa un moment, puis son regard se détourna vers son cou. Elle allait boire le sang de son " époux ". Son premier repas. Elle sentit son coeur frèmir d'excitation à cette idée. L'idée de boire du sang. Jamais le sang n'était devenue une obsession comme maintenant, comme à cet instant où elle sentait monter en elle l'envie de le mordre. Une véritable frénésie alimentaire ... Elle glissa ses mains dans le dos du vampire, l'embrassant doucement, comme pour se réveiller, vérifier que tout ceci n'était pas du domaine des songes. Mais non, c'était réel ... Et bien réel. le contact de sa peau, les battements de son coeur agités par l'envie de mordre ...
Le baiser dura un instant.
Elle laissa sa bouche glisser lentement vers son cou, calant une de ses mains dans le dos et l'autre au niveau de la nuque du vampire, et se posa lentement sur une veine. Ses crocs sortirent, neufs, brillants, et elle les planta doucement, réfrénant son envie furieuse, dans la veine. Elle sentit le liquide rouge couler dans sa bouche, se répandant sur ses dents, sa langue, coulant le long de sa gorge, l'envahissant. C'était exaltant ... Sans aucune retenue, soulevée par l'excitation et la faim, elle commença à boire violemment, s'agrippant au vampire, toujours plus affamé, sentant ses forces revenir.
Sa soif du sang était terrible, elle adorait cette idée de se nourrir ainsi à la gorge d'une personne. Bientôt, ce serait la vie des autres qu'elle absorberait. Et cette idée l'affamait davantage.
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La peur...peur de mordre, de ne pas savoir s'y prendre, de rater sa morsure ou encore d'être déçu par le gout du sang, ce nectar d'ambroisie pour démon nocturne vampirique. Seffer connaissait tous ses sentiments, savant ce que la jeune femme ressentait...puisqu'il avait lui même connu ce petit dilemme auparavant. Cependant, une grande différence existait entre Aelias et Blanche Neige. Seffer n'avait eut personne pour l'encourager et il avait appris à mordre sur la fille du forgeron, non consentante...Alors que dans l'instant présent, la princesse pouvait s'entrainer sur son mari. Aelias n'était qu'un apéritif, un entrainement, une fois qu'elle saurait bien mordre, elle passerait à la pratique et s'entrainerait alors sur des mortels, non consentants en règle générale.
Seffer Aelias se laissa faire...Un grand plaisir pour lui, d'offrir son sang, son premier repas à sa maitresse et épouse. Frémissant d'excitation et ne pouvant contenir plus longtemps cette soif, Blanche Neige embrassa son mari, tandis qu'une de ses mains se logea sur son dos et l'autre sur sa nuque, pour l'empêcher de trop bouger...Elle apprenait vite ! Le vampire se laissa aller entre les bras de sa comtesse, éprouvant du plaisir et une sensation de chaleur à chaque gorgée de sang que sa maitresse aspirait. Gourmande, friande de cette nouvelle nourriture, le sang coulait dans la gorge de Blanche Neige, Seffer se laissant mordre, écarta les longs cheveux bruns de sa princesse, pour mieux la voir en action et voir sa gorge aussi. A son tour, il dévoila ses canines et abaissant la tête, il enfonça ses crocs dans le cou de la princesse. Seffer Aelias but alors à son tour ce délicieux nectar...Les deux époux s'offrant mutuellement de la nourriture.
- Délicieux...Continue !
Cette étape était essentiel dans son apprentissage, la prochaine étape serait sa première chasse...
[ Gourmande ! ]
-
[ je sais, je sais x) On me le reproche trop souvent ... ]
La jeune femme eut un picottement quand elle sentit qu'il s'attaquait à sa nuque. Un picottement étrange ... Non pas douloureux, comme lors de la morsure qu'ils l'avait transformée en vampire, mais plutôt doux et chaud. Une sensation étrange l'envahit subitement, et elle enfonça plus profondément ses canines dans le cou de son mari, cherchant toujours plus loin le doux arôme de ce nectar. Elle mordait férocement, la faim étant sa seule motivation, sa seule envie, la seule chose qui lui importait désormais. Elle avait si faim, si soif, son coeur battant la chamade, reçevant les effluves du sang. Elle tourna légérement la tête, sentant son cou se tendre tandis qu'il lui infligeait le même traitement.
C'était si bon, si délicieux, comme une drogue en quelque sorte. Quelque chose de violent, un nectar délicieux ... C'était indescriptible. Elle ressentit soudain une gêne à boire ainsi au cou du vampire, et se calma aussitôt, malgré que la faim lui tiraillait le ventre. Elle avait faim de sang vivant, de sang innocent. Elle lâcha - un peu à regret - sa bouche du cou de son époux, les contours de la bouche et les lèvres barbouillées d'éclats d'émoglobine, et laissa sa tête se reposer sur l'épaule de Seffer Aelias, fixant les deux trous qu'elle avait formée.
Une vampire. Elle était devenue une vampire.
Une de ses mains caressa tendrement la nuque du vampire, tandis qu'elle se reposait un peu de cette première leçon et de son appétit violent.
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La première morsure...Son rôle n'était pas, surtout pas, de rassasier la faim et l'envie de sang d'une vampire naissante. Comment pouvait t'elle satisfaire son envie irrépressible de ce nectar sanguin en buvant du sang froid d'un mort vivant ? Elle ne pouvait pas...Blanche Neige expérimentait juste sa morsure, apprenant à mordre, à planter ces crocs dans la gorge d'une proie même, si dans une vraie chasse, la proie ne resterait pas là sans rien faire...Seffer le savait parfaitement, il connaissait le désir...Le désir de chasser, trouver sa première proie innocente et une idée lui passait alors dans l'esprit. La première proie...Dans le cas d'Aelias, c'était juste une fille de forgeron, blonde et au sang pas très goutu mais parfaits pour un début. Il cessa alors de mordre sa proie et tandis que sa princesse le mordait encore, il posa un baiser sur ces cheveux bruns.
La démone lâcha alors aussi, stoppant sa morsure et dévoilant au suceur de sang, un visage aux lèvres barbouillées de sang, posant la tête sur l'épaule du vampire. Se reposant un peu de sa première leçon en matière de morsure, elle était lovée contre son ancien bourreau...Seffer caressa les cheveux longs de la jeune vampire puis avec un pan de la couverture, il essuya le sang encore présent autour du sang.
- Et si on partait chasser, tous les deux ?
[ On le voit bien que t'est une gourmande ! Une chasse à deux, ca te dit comme première leçon de chasse ? Si, bien sur, tu accepte de partager ta première proie...]
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[ Tu parles que ça m'tente ! ;D J'viens de voir (enfin ) Kill Bill ]
Blanche Neige leva les yeux vers le vampire. Une partie de chasse ... Elle sentit son coeur s'emballer à nouveau, excitée par cette idée. Elle avait l'impression de sentir le contact des veines de sa future victime contre ses lèvres, se sentir le stress qui venait, qui montait, qui embrasait chaque muscles. C'était une idée formidable ! Elle eut un sourire énorme, comme une petite fille à qui l'on donne un jouet, un nouveau jouet que tout le monde trouve amusant, mais que peut de personnes ont. Une joie immense la submergeait. Elle frissonna un moment, puis baissa les yeux vers le filet de sang qui coulait le long de son cou pour venir mourir sur sa poitrine. C'était étrange ... Jamais elle n'avait vu autant de sang de sa vie.
Elle se mordit la lèvre inférieure.
- C'est la meilleure idée que j'ai jamais entendue, répondit-elle en souriant.
Elle le fixa un moment, étonnée par lui, par elle même. Elle avait l'impression ( encore ! ) que tout ceci n'était pas réel. C'était bizarre ... " Et pourtant, c'est bien réel " songea t'elle en se pinçant elle même.
- Par contre ... Je me vois mal de battre ... dans cette tenue, souffla t'elle avec un autre sourire.
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Pour une vampire naissante, elle était déjà impatiente...Prête à mordre et à en découdre, à chasser et planter ces crocs dans la gorge d'un ou d'une innocente. Blanche Neige était impatiente, impatiente de traquer, sentir, pister une proie mais surtout de dominer, attribue caractéristique d'un suceur de sang, mais aussi de goutter à du vrai sang, frais et surtout vivants...C'était une enfant, impatiente de tester un nouveau jouet mais dans cette chasse, le jouet serait un mortel non consentant, qu'elle dominerais, écraserait et mordrais...Un peu comme les poupées de chiffons qu'on moleste à volonté...Un peu comme Seffer l'avait traitée avant qu'elle ne devienne sienne.
Emmitouflée dans la couverture, la princesse le regarda...Cette idée lui plaisait et cela se voyait dans ces yeux et son sourire...Aelias aussi était ravi par cette idée, une chasse à deux serait dès plus amusante...sauf pour la proie, piégé par deux être, entre deux corps. Blanche Neige, qui auparavant craignez le sang, désirait désormais le voir couler à flots dans sa propre gorge...
- C'est la meilleure idée que j'ai jamais entendue, répondit-elle en souriant.
Puis, quelques instants plus tard, elle ajouta.
- Par contre ... Je me vois mal de battre ... dans cette tenue, souffla t'elle avec un autre sourire.
En effet...Le vampire avait mis en lambeaux sa douce et jolie robe de princesse. Seffer écarta la couverture pour contempler son oeuvre, sa princesse nue puis sortit du cerceuil, enfilant son boxer et son pantalon et se dirigea vers une armoire...qu'il ouvrit, pleine de vêtements féminins...
- Je demeure un peu fétichiste, ma comtesse...Je garde les vêtements de mes proies, choisis, tout ce qui est à moi est désormais à toi...Il y a de tout, de la simple robe à la tenue de cuir...tout est pour toi, ma princesse...
[ Tu crées le post dans le coin du chalant...ou je le fait ? Faut bien qu'on se trouve une proie...assez naive et docile. :) Kill Bill ? Le 1 ou le 2 ? ]
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[ J'vais le lancer, tkt pas .. Le 1, pour commencer ::) ]
La jeune fille laissa apparaitre un sourire en voyant les vêtements. Parce que, même vampire, une femme qui voit des vêtements reste une femme qui voit des vêtements, et qui adopte une réaction joyeuse à l'idée de pouvoir disposer d'une pleine armoire de vêtements. Elle remua ses jambes, vérifiant que tout allait bien à ce niveau. Elle se sentait toujours engourdie ... Elle attrapa rapidement le couverture pour la garder contre elle, conservant un minimum de pudeur ( tout de même, elle sort d'une bonne famille U.U ) pour s'approcher du trésor. Ses yeux brillérent à nouveau. Elle avait envie de tout essayer ...
" De toute façon, j'aurais bien le temps de les essayer "
Elle commença sa fouille, hésitant entre telles et telles robes, pratique ou pas pratique ... Elle opta pour une robe noire et blanche qui semblait dater de sous Napoléon, nouée par un ruban sous la poitrine. C'était pratique, au moins ... Elle se tourna vers le vampire.
- Pourras-tu essayer de ne pas déchirer ses merveilles ? taquina t'elle en souriant toujours, dévoilant ses deux crocs tout neufs.
Elle referma l'armoire et chaussa ses ... chaussures ( U.U Je suis la meilleure ) avec délicatesse. Mine de rien, ça faisait du bien de porter à nouveau des vêtements quand la peau était gelée ...
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[ Oki...Tarantino, indémodable...]
Le vampire était amusé par la pudeur de la jeune femme, approchant de l'armoire en serrant la couverture contre elle. Seffer Aelias avait violé son intimité et explorer chaque parcelle de son corps offert...pourtant, même après l'acte, elle conservait une forme du pudeur et de dignité. Ou était ce simplement pour s'amuser et refaire monter le désir chez le vampire ?
Qu'allait t'elle choisir parmi toutes ces reliques ? Fétichiste mais aussi nostalgique, Aelias conservait ces vêtements par souvenirs, mémoires de ses proies, de ses victimes et des époques qu'il avait traversé...Bien sur, il ne souvenait plus de toutes ses victimes, mais, il gardait, en mémoire, les plus importantes, n'hésitant pas à aller, de temps en temps, caresser les vêtements pour se souvenir...Blanche Neige avait fini par opter par une robe noire et blanche qui semblait dater de sous Napoléon, nouée par un ruban sous la poitrine. Seffer Aelias se souvenait de cette robe et de sa proie mais elle n'avait jamais été aussi magnifique que sur le corps de sa nouvelle propriétaire. L'ancienne proie disparaissait de la mémoire du suceur de sang...laissant sa comtesse à la place.
- Pourras-tu essayer de ne pas déchirer ses merveilles ? taquina t'elle en souriant toujours, dévoilant ses deux crocs tout neufs.
Seffer toucha rapidement la robe, douce au toucher et légère. Il émit un petit grognement...
- Je ne te promet rien...mais j'essaierais.
Le vampire s'approcha de la trappe et cassa le cadenas, ouvrant la trappe en bois, il put voir que la nuit était encore profonde, que les ténèbres étaient toujours présents tandis que l'orage et la pluie avait cessé pour l'instant...
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[ Et Inglorious Basterds bientôt ;D ]
L'odeur " du dehors " envahit rapidement les lieux. L'odeur de l'air frais après la pluie et l'orage qui avaient dû être violent lui arracha un sourire. C'était une des odeurs qu'elle préférait, aprés celle de la pluie qui tombe sur le bitume qui a chauffé toute la journée au soleil, l'été. Elle sentit une petite fraîcheur l'envahir, et jeta un rapide coup d'oeil. La nuit était arrivée, apaisante. Elle n'aimait pas tellement la nuit, les ombres se confondant et la peur s'installant, mais là, il faudrait s'y faire. Se faire à l'idée qu'elle passerait beaucoup de temps dehors. Elle se frotta les mains en souriant, claquant sa langue contre son palais.
Du sang.
Du sang.
Du sang.
Ces mots résonnaient dans son esprit affamé. Elle plaignait d'avance la victime sur laquelle elle tomberait. Parce qu'elle ne lui laisserait aucune chance. Elle ne put s'empêcher de penser que, depuis qu'elle était devenue vampire, sa conscience était partie bien loin ...
- J'ai hâte, claque t'elle doucement en regardant la nuit.
La nuit fraiche, la lune qui resplendissait ... " Il faut être humain pour ne pas contempler la lune, la nuit " songea t'elle. C'était son nouveau royaume, sa nouvelle vie. Celle de la nuit. Avec la lune comme compagne.
[ Muchuu et Kurp se présentent pour le rôle de la victime, j'ai lancé le sujet dans le Coin du Chalant ]
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[ Fait déjà partie de ma liste "Films à ne pas rater". =) ]
Après avoir ouvert la trappe, brisait le cadenas et le laisser en fragments sur le sol de la crypte, Aelias retourna en arrière, il lui fallait un haut...Un minimum de décence s'imposait, surtout pour la future proie. Seffer partit à son tour en direction de l'armoire, en dessous des vêtements féminins, se trouvait quelques habits pour homme...disposés en vrac. Dans l'intention de rester près de l'allure de sa comtesse, le vampire opta pour une tenue assez sombre, victorienne, lui permettant de passer inaperçus, dans l'ombre des ruelles, un léger haut blanc en tissu fin, qu'il recouvra d'une veste-redingotte noire très sombre, un pendentif en forme de croix autour du cou et un foulard rouge sang aussi, autour de sa gorge blanche.
Blanche Neige regardait impatiemment l'extérieure, pressait de partir à la chasse...Pire qu'une enfant, elle venait d'apprendre à mordre qu'elle désirait déjà mettre en pratique cet apprentissage. Dans un sens, Seffer la comprenait...lui aussi désirait sortir et quittait cette crypte étroite, lui aussi désirer s'amuser. Il approcha de sa comtesse et passa sa main dans ces cheveux longs bruns.
- J'ai hâte, claque t'elle doucement en regardant la nuit.
- Patience...Patience, tu seras bientôt rassassié...Me permets du de récupérer ma ceinture, non pas qu'elle ne te fait pas un joli collier mais il me le faudrait...pour que mon pantalon tienne.
Dit il en caressant le collier improvisée de la jeune femme dont Aelias s'était servi pour dompter et dominer son ancienne proie.
[ J'ai vu pour le chalant...Je te laisse décider, tous les deux me conviennent...C'est ta première chasse,, donc choisis la proie que tu veux mordre. ;D ]
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[ U.U J'avais oublié ce collier si special ... Quand j'etais p'tite, j'mettais mes ceintures en guise de collier x) Je pense que je vais prendre Muchuu ... on lance un autre RP ou on le fait à la suite de celui-là ? ]
La jeune femme eut un petit sourire, et aussitôt détacha avec délicatesse la ceinture autour de son cou, quittant son contact rugueux contre son cou. Elle avait une petite marque rouge tout autour comme si elle avait voulue se pendre, et qu'on l'avait sauvée au dernier moment en faisant d'elle une vampire. Elle remarquait maintenant à quel point ce mot sonnait bien. Il inspirait la peur, le respect, les légendes ... Elle restait sûre que Twilight n'avait pas sa place dans le monde des vampires. Mais ce film servait tout de même : les jeunes filles, voulant approcher les vampires, se promenaient dans les ruelles. Un self service en somme ...
Elle ôta donc cette ceinture, et se retourna vers Aelias, un sourire sur les lèvres. Elle passa ses mains autour de la taille du vampire, lui mettant la ceinture avec toujours autant de délicatesse ( désolé, mais j'adore mettre leurs ceinture aux gens U.U ), sans rien ajouter d'autre pour le moment, faisant glisser la ceinture avec douceur autour de sa taille. Elle avait faim, elle allait bien. Trés bien même ...
- Je serais patiente, dans ce cas, ajouta t'elle.
En l'espace d'une heure, elle venait de perdre son statut d'écrivain, son humanité, sa dignité et ce que les gens s'acharnent à appeler son honneur. Mais elle s'en moquait. Elle ne voulait que mordre et vivre sa vie de vampire. Se montrer digne du statut qu'elle possédait désormais.
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Le vampire laissa Blanche Neige faire...Ôtant le doux collier de cuir et le passant autour de la taille du jeune suceur de sang. Seffer la regardait avec malice tandis qu'elle le ceinturait avec délicatesse, faisant glisser la ceinture doucement autour du pantalon et finissant par attacher la boucle, représentant une tête de mort. Aelias se doutait qu'elle ne pouvait plus attendre...tand de jeunes proies innocentes parcouraient ces ruelles, comme Blanche Neige auparavant, elles recherchaient les sensations fortes, à connaitre des êtres anormaux ou bien s'étaient perdus dans ces ruelles sombres et tortueuse.
- Je serais patiente, dans ce cas, ajouta t'elle.
Seffer Aelias finissait de nouer les boutons de sa veste noire, arrangeant le col et laissant, en partie, le foulard rouge sang dépasser...Le tout pour se donner une allure de dandy, d'homme élégants et gracieux...Un gentleman en bref, si on excepte les dents de vampire et sa manie de brutaliser et arracher les habits de ses proies...Aelias regarda dehors rapidement, la nuit était belle et profonde tandis que la lune brillait de milles et un éclats. C'était l'heure...Il vola un baiser à sa comtesse puis il passa la trappe en tendant une main à Blanche Neige, pour l'aider à sortir de cette crypte.
- Que la chasse commence...Tu auras le beau role, après tout, c'est ta première chasse...
[ Oki d'Oki...Vaudrais mieux créer un post pour éviter toute confusion. Let's Go !! ]