Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Ayato Nobuchi le mardi 10 octobre 2017, 16:22:30

Titre: Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le mardi 10 octobre 2017, 16:22:30
La nuit commençais à pointer le bout de son nez, tout comme le vent qui ne cessait d'être de plus en plus frais. L'hivers était en approche et cela ne me disais rien de bon. En plus de prendre un rhume, si les nuits étaient froide, j'allais certainement claquer. La situation n'était pas top et je n'avais pas confiances aux institutions qui étaient là pour subvenir aux besoins des sans abris. Depuis quelques jours je n'arrivais pas à rester eveiller de jours, dormant dans des ruelles ou alors squattant un banc dans les parcs, avant de me faire dégager par les gens ou les autorités.  J'avais pris une mauvaise habitude, celui de vivre la nuit. L'avantage indéniable était qu'il y avait beaucoup  moins de monde et la nourriture était plus facile d'accès, du fais que la pluart des magasins étaient fermé à cette heure. 

Je ne regardais pas le ciel, sachant qu'il était dégagé et dévoilait une sublime lune blanche et bien ronde, comme une tranche de bris flottant sur un coulis de mûre noire. Cela était sans doute magnifiques pour certains, pour moi cela ne faisait que me rappeler ma dernière demeure en flamme, ce goût de sang dans la bouche.  Je me mettais à errer dans les rue, portant dessus ma tenue de lycéenne un sweet, la capuche rabaissée pour cacher un maximum mon visage, pour que l'on ne puisse pas me reconnaitre. 

Je vis une foule, prenant le paris risqué de m'y glisser. La proximité des personnes me rendais nerveux et l'appel du vol fut si tentant, que je finis ar y céder, venant à saisir un porte-feuille qui était négligement à portée de doigt. Le vol effectué, je vins à rester dans la foule un moment, avant de prendre une petite ruelle. 

Il n'y avait pas grand chose dedans, de quoi certainement me payer un ou deux bon repas. Je ne pris que la monnaie, allant chercher à déposer le porte-feuille dans une boite au lettre quelconque, afin que la personne vienne à le déposer à la police. 

Mon ventre se mit à gargouiller, j'avais faim, il me fallait trouver à manger rapidement. La dépôt du porte-feulle attendrait. Je vins à fouiller dan sles poubelles les plus proches, mettant l'objet du délit dans une des poches du sweet. 
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le mardi 10 octobre 2017, 21:16:13
Mardi 10 octobre 2017. La nuit commence à tomber. J'ai rien fait d'intéressant de la journée. Ça fait six heures que je campe devant un restau. Le mec a payé un pote pour qu'on s'assure qu'il lui arrive rien. Il a peur d'un règlement de compte, un truc comme ça. J'sais pas. Je m'en fous. Où je suis planté, ça change rien. J'avais juste un service à rendre. Surtout, un jour de pleine lune, me faut des trucs calmes. Rien qui puisse trop facilement déraper.

Fin, j'aurais presque préféré qu'il se passe quelque-chose. Mais nah, faut croire que l'uniforme dissuade. Mis un PV à une grosse qui me regardait mal. P'têtre que j'aurais dû carrément la coffrer. Mais j'étais pas assez motivé pour vraiment la faire chier. Puis je pouvais pas lâcher la garde. Heureusement, mon service est bientôt terminé. Je vois un collègue arriver pour me remplacer. Ikuto, petit, léger surpoids. Bon tireur, c'est déjà ça.

Je le salue d'un signe de main. On s'échange des banalités. Même à cette heure y'a pas mal de monde dans le quartier. Je suis garé à une centaine de mètres. Je marche pour remonter dans la bagnole.

Sauf qu'à peine j'ouvre ma portière que je surprends une fille qui se barre avec un porte-monnaie. Le mec a qui elle l'a piqué a rien vu. J'hésite une seconde. Je fais quoi ? En temps normal j'aurais peut-être laissé couler. J'en ai piqué aussi quand j'étais gosse, des morlingues. Mais la journée à attendre m'a trop frustré pour que je reste sans rien faire. Surtout, c'est la pleine lune. J'ai besoin d'action. J'ai envie de chasser.

Je claque la portière avant même d'être entré. À pas rapide, je m'enfonce dans la foule. J'attire pas trop l'attention, sinon ma proie va se mettre à courir… et avec tous ses gens, je risque de la perdre. Mais comme ça, ça va. Elle est dans le bon sens du vent. J'arrive à la pister à l'odeur. Elle sent la pluie. Le mot exact, c'est pétrichor. Des bactéries qui remontent du sol quand il flotte en fait. C'était l'instant culture. Fin bref, pas le relent d'alcool habituel des clodos. Je vois au-dessus des têtes, aussi. J'attends de voir où elle va.

Elle s'enfonce dans une ruelle déserte. Pas de témoin. Je suis pas déçu. Ça aurait eu son charme de l’interpeller devant tout le monde. Mais au moins comme ça je suis un peu plus libre. Je crois qu'elle m'a pas vu approcher. Pour un mec de ma taille, je suis assez discret, faut croire. Mais ça, ça dure pas. Je me jette sur elle. En une seconde, je suis dessus.

Je l'attrape en arrière, par la capuche. Je me dis que c'est pas une prise très sûre, parce que son sweet est un peu trop grand pour elle. Il pourrait me rester dans les mains. Pour être certain je lui fais une clé de bras. Un mouvement de pro. Elle a l'air fragile, je force pas trop. Mais si elle se débat j'aurais pas de scrupule à lui péter le poignet.

Voler c'est mal… se faire prendre, c'est bien, bien pire…

Ma voix n'est pas particulièrement agressive. Elle est même plutôt douce. Ça contraste avec le fait que je lui tords le bras dans le dos, je suppose. Si elle tourne la tête, elle peut voir que je suis en uniforme. J'ai même la casquette. Du coup, elle aura pas de doute sur ce que je suis. J'ai un air plutôt soigné. Le bon flic. Aussi, elle peut voir que je suis beaucoup, beaucoup plus grand qu'elle.

Prise en flag… quelque-chose à dire pour ta défense ?

Presque trop facile. J'aurais dû la laisser courir un peu. Je regrette.

Tu restes tranquille ? je lui propose en faisant mine de desserrer la prise.

Si elle fait semblant de se calmer, je la lâche. J'ai envie de lui laisser une chance. J'ai envie qu'elle essaie de débattre un peu. Ça se voit sur mon visage et dans mes yeux. Des yeux légèrement jaunes…
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le mardi 10 octobre 2017, 21:52:42
Je sentais une main saisir ma capuche, tentant de faire un pas en avant pour prendre mes distances, je sentis une autre main venir me faire une clé de bras, retenant un gémissement et ne faisant pas mine de m’y extirper, la personne était bien plus fort, je le sentait à la prise sur mon poignet et le fait qu’il maintient le bras dans une posture qui était légèrement douloureuse. La voix de la personne se mit à se faire entendre, c’était un homme, la personne que j’avais volé ? 

Je tourne doucement la tête pour voir un bout du vêtement, un uniforme de police, je ne pouvais pas tomber plus bas. Cela ne me donnais pas davantage l’envie fuir, je devais pour cela trouver un moyen de ne plus être saisit et trouver une méthode pour le passer et me mêler à la foule pour le semer. Il était hors de question d’être emmené au poste où il pouvait y avoir des personnes qui pourraient faire des recherches et donner des indices à mes parents.  Je savais que la vente d’arme était très lucratif et que cela permettait d’avoir des contacts influents, je devais me sortir de ce bourbier rapidement et économiser mes forces pour ne pas finir à la merci d’autrui plus tard. 

Je restais muet quant à la demande de la défense, venant simplement à hocher négativement de la tête, de toute manière la faim n’était pas un motif suffisant selon les lois.  Il vint à m’offrir une porte de sortie en me demandant si je serais coopératif, venant à hocher positivement de la tête. Il s’agissait certainement de la seule issue que j’aurais. Une fois libre de mes mouvements, je vins à me tourner vers le policier, venant à lui jeter le portefeuille à la figure, alors que mon pied gauche vint taper entre ses jambes.

Je me mis à prendre de l’élan pour essayer de sauter sur une poubelle et sur l’épaule du policier, passant de l’autre côté et me réceptionner en pliant les jambes. Mes jambes se mirent à trembler légèrement, n'étant pas habitué à ce genre d'exercice, la marche journalière ne fait pas tous. 

N’attendant pas davantage je me mis à courir, espérant que je pourrais atteindre la foule et me masque dedans. 
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le mardi 10 octobre 2017, 23:14:39
J'attrape le porte-monnaie d'un mouvement réflexe. Erreur de débutant. Je le paie tout de suite. La gamine déconne pas. Elle a pas de scrupule taper là où ça fait mal. Je souris. C'est bien. Le choc me fait plisser le nez, sans plus. Même ici, elle a à peine la force pour me faire mal. Je suis pas facile à blesser. Ça suffit pour lui donner l'occasion de filer.

J'aimerais bien lui laisser un peu plus d'avance. Histoire de lui courir après. Pour le sport. Pour le plaisir de la voir paniquer en réalisant qu'elle a aucune chance de me semer. Mais si elle rejoint l'allée principale, je serais obligé de faire ça proprement. « Vous êtes en état d'arrestation. » Mouvements codifiés, menottes. C'est plus possible maintenant. Maintenant c'est personnel.

J'attends pas, du coup. Je bondis sur la poubelle à sa suite. Gros bruit de taule. Je fais pas le même poids qu'elle. Mais je saute au moins aussi bien, pas de problème. Je me réceptionne, solide sur mes jambes. Elle est déjà plus qu'à un mètre. Je pousse sur mes appuis, je décolle encore du sol. Je retombe sur elle. Je la renverse.

La gamine est projetée face contre terre. Elle a mes cent kilos sur le dos. Juste un instant. Malgré les apparences, j'y suis encore allé doucement. Elle est probablement pas commotionnée. Peut-être une lèvre éclatée. Une côte fêlée, le nez cassé, dans le pire des cas. D'une main entre ses omoplates, je la maintiens par terre. De toute façon, un de mes genoux pousse aussi sur le bas de son dos. Ça doit pas être agréable.

Alors on aggrave son cas… Si t'avais des couilles, tu saurais que ça fait plutôt mal.

En vrai, je suis ravi. J'avais bien envie d'avoir une excuse pour m'amuser avec. Comme si j'en avais besoin d'une. Personne doit jamais passer dans le coin, de toute façon. À part pour jeter des ordures, p'têtre.

Bon, voyons ce que t'as piqué d'autre.

Un bruit métallique. J'ai sorti de ma ceinture un couteau suisse. Je déplie la grosse lame. La lune la fait briller d'un éclat argenté. Pour des raisons évidentes, ça n'est que de l'acier.

Bouge pas, sinon je pourrais te faire très très mal…

J'ai déjà oublié le porte-feuille, à vrai dire. Je passe la lame près de son cou, frôlant sa peau. Puis je descends. J'entaille le sweet. Le tissu est assez épais. Alors j'appuie fort et j'insiste. Volontairement. Pour lui faire peur, j'entaille aussi par endroit la deuxième couche de vêtement. Qu'elle sente le métal froid sur sa peau. Juste ce qu'il faut. Je suis quand même assez précis pour ne pas lui laisser de marque. Juste une sensation désagréable.

Je termine de découper jusqu'en bas de son dos. Puis j'arrache ce qui reste du sweet. Reste des lambeaux coincés sous elle. Je m'arrête. J'arrête de la maintenir sur le sol. Elle pourrait se relever, maintenant. Mais je compte pas me faire encore avoir. Cette fois je la surveille de près.

Allez, debout. Je marque une pause. Ton nom ?
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le jeudi 12 octobre 2017, 11:22:50
Je sentis le poids du policier venir me faire basculer en avant, croisant mes bras devant mon visage pour éviter une mauvaise chute, quelques bleus n’étaient pas grand-chose par rapport à une bosse, si ce n’est plus, au front. Je retiens un gémissement en sentant mes bras être un peu douloureux. Cela n’était rien, juste le choc du plaquage, sentant aussi une de ses mains se placer entre mes omoplates, venant à entraver un peu mes gestes, sans parler de ce genoux qui appuyait au-dessus de mon bassin, rendant toute tentative de me relever inévitablement douloureuse.

Je ne pris pas la peine de faire une remarque sur ses couilles, j’étais bien assez au courant qu’il s’agissait d’une partie très sensible pour les hommes, mon corps avait réagi sans réfléchir, frappant simplement entre les jambes par instinct et je pouvais comprendre qu’il était en rogne, même si je doutais qu’il soit douillet, vu qu’il n’avait pas été plié par le coup et avait pu me maîtriser aisément. Je m’attendais à ce qu’il me fouille, mais en voyant le reflet de la lame, je ne pus que tourner la tête et voir le morceau tranchant, il comptait me planter ?  Je ne voulais pas crever ainsi. Son injonction ne tombait pas dans l’oreille d’un sourd, venant à me figer, sentant le sweet se faire couper, le tissu craquant dans un bruit qui n’avait rien d’agréable.  En sentant un peu la lame, mon dos se mit immédiatement à tenter de se courber, pour se soustraire à ce petit jeu du flic.

Quand le sweet fut complètement mit en lambeau, je pus constater que ma tenue de lycéenne était encore en état, bien que des courants d’airs venaient à se mettre à circuler dans les petite taillades de mon haut.  Il demandait mon nom. Je ne pouvais pas lui donner mon vrai prénom, encore moins mon nom de famille, il pourrait certainement constater qu’il y avait un avis de recherche sur ma tête, mes parents étant certainement capable de me faire porter pour disparu afin de s’assurer de ma mort.  Vite, je devais trouver un prénom, Aya … Aya …

- Ayaki.

Cela serait sans doute suffisant pour ce flic, de toute manière, il ne pouvait que croire ma parole, vu qu’il n’y avait rien qui permettait de savoir mon identité.  Il était aux aguets, son regard semblait zyeuter le moindre fait et geste. Je n’allais pas pouvoir l’avoir une seconde fois. Je devais me sortir de ce bourbier avant que cela ne se passe mal.


Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le samedi 14 octobre 2017, 00:09:21
Je la regarde de bas en haut, en plissant les yeux. Je la sens pas trop. Je sais pas pourquoi. Y'a un truc qui va pas avec cette gamine. Je loupe quelque-chose. Mon instinct de flic me le dit. P'têtre c'est mon instinct de loup. De toute, j'arrive pas à savoir quoi. Je fronce les sourcils. Je devrais pas être nerveux comme ça. Elle est clairement pas de taille à me faire du mal un jour de pleine lune. Ces jours là, je suis invincible.

Ayaki, je répète. Pas de nom ?

J'avance la main, et je lui attrape la mâchoire d'un geste relativement lent. Fermement, je relève sa tête pour être bien sûr qu'elle me regarde dans les yeux. Je suis un peu calmé, mes yeux sont redevenus complètement noirs. Mais ça fait toujours son petit effet.

J'vais avoir besoin de ton nom pour le procès verbal.

Je l'ai sentie un peu nerveuse au moment de répondre à ma question. Sûr, je suis pas devin. Puis j'ai fait en sorte qu'elle ait peur. Donc ça veut rien dire. Mais bon. Douter de ses propos c'est un moyen de pression supplémentaire, alors pourquoi s'en priver. Du pied, je retourne ce qu'il reste du sweet. Dans les lambeaux, un peu de monnaie. Je grogne.

C'est pas comme si je pouvais te faire confiance t'façon. Tu me laisses pas le choix. Pas bouger.

Je lui lâche le visage. Je commence à fouiller en tâtant le haut de son uniforme. Une de mes mains tient toujours le couteau, lame sortie. Je fais un peu gaffe. Sans plus. J'insiste un peu sur la poitrine, pour le plaisir. En vain, hein. Pas grand-chose à signaler de ce côté là. Tant pis, je les aime bien plates aussi. Je repère vite que son vêtement a pas de poches, alors je m'arrête.

Normalement je m'en serais tenu là. Je l'aurais emmenée au poste. Puis j'aurais laissé des collègues la cuisiner jusqu'à ce qu'elle craque. Sauf qu'elle m'a tapé là où ça fait mal, sans prévenir. Sauf que j'ai pas envie de la laisser filer comme ça. Je jette un regard autour. Personne dans cette foutue ruelle. Parfait.

T'sais que c'est illégal de planquer ses papiers ? On y voit rien ici. T'es impossible à fouiller correctement. Deux solutions : 1. T'a des papiers et tu me les sors maintenant. Ou, 2. tu retires tes fringues. Tu me les files. J'atteste que tu me caches rien, et sur le rapport, j'écris juste Ayaki. Si t'es bien gentille, j'oublie même pour le coup de pied dans les couilles.

Je me recule même pas pour lui laisser de l'espace. Ça doit être assez désagréable. D'avoir un grand flic à vingt centimètres de vous, qui vous regarde en train de vous désaper. Je souris. C'est vrai qu'il fait un peu sombre. Sans plus. En tout cas, j'y vois parfaitement.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le dimanche 15 octobre 2017, 12:55:03
Je ne répondis pas quand il vint à me demander un nom, cela risquait de compliquer davantage mon cas. Donner un prénom était facile, il y en avait toujours une centaine si ce n’est plus qui portaient le même, par contre il en était tout autre quand on y joignait le nom de famille. Il était presque certains que seul la chance permettrait une correspondance, mais je pouvais rêver pour tomber sur mon sosie. Je choisi donc de me taire, frémissant en sentant la main me saisit la mâchoire, ses doigts venant prendre avec fermeté mon visage et m’obliger à le regarder, mon regard se dérobant sans cesse. Si je le regardais trop longtemps il saurait que je mentirais, je n’ai jamais été doué pour élaborer des mensonges crédibles.

Le policier était insistant pour avoir mon nom de famille. Même s’il était important pour l’amande qui se profilait à l’horizon, je ne pouvais lui donner mon vrai nom, le danger était bien trop grand pour moi. Je ne devais pas donner de nom d’une famille trop proche de la mienne, évitant aussi ceux que j’avais vu dans les différentes listes des commandes d’armes de mes parents. Que dire, un nom de famille commun, cherche dans ta petite cervelle.  Il doit en avoir un a donner. Une ampoule s’alluma dans mon crâne. 

- Sato, c’est Sato. 

Pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt. Il m’ordonnait de ne pas bouger, j’aurais pu profiter de cet instant pour tenter une nouvelle fuite, mais je sentais mes jambes incapables de tenir un autre départ en sprint, pourtant ce n’était pas l’envie qui me manquait, de plus en simple tenue de lycéenne, s’était presque un appel à me faire choper par des mecs bourré. Son couteau me paralysait, je ne pouvais clairement pas me défendre contre une telle arme, frémissant de peur en sentant le flic palper mon torse, priant pour qu’il n’aille pas plus bas.

Je plissais des yeux en entendant la proposition, resserrant la mâchoire légèrement. Comme si on me laissait le choix. Je n’avais aucun document à fournir. Heureusement, la ruelle était sombre, pour lui en tout cas, mes journées d’errance m’ayant appris à mieux voir dans l’obscurité. Le fait qu’il voit mal était certainement une bonne chose, cela me permettrais certainement de faire la seconde option sans trop de difficulté. 

Je n’avais pas le choix et je vins à lui tourner le dos, pour retirer mes vêtements restant en sous vêtement et tendant la tenue de lycéenne pour qu’il puisse l’inspecter, frissonnant sous le petit courant d’air frai qui passait sur mon corps, je sentais mes poils se redresser sur mon avant-bras droit. Je ne disais rien, endurant la morsure toujours plus insistante du froid, attendant que le policer finisse de vérifier. J’espérais qu’il allait être rapide, il serait bête qu’en plus d’être bredouille j’attrape une maladie. Comme je me montrais coopératif, je souhaitais qu’il passe l’éponge sur le coup de pied, cela réduirait la peine, certainement, je n’avais pas trop étudié la loi.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le dimanche 15 octobre 2017, 16:56:52
Je la regarde sans me cacher. Elle a l'intelligence de se mettre de dos. Dommage. Jolies fesses, quand même. Je fais mine de tâter les vêtements qu'elle me donne. Juste pour garder la crédibilité. Je sais très bien que y'a la place pour rien dans ce genre de fringue.

Mouais. Bon, les meufs elles cachent toujours des trucs dans leur soutif. S'tu crois que j'ai pas été au lycée.

Je laisse tomber son uniforme sur le sol. Je passe les mains sur sa poitrine. Sans rien voir, je recommence à la tâter. J'insiste. Je passe les doigts sous le tissu. J'appuie un peu sur les tétons du bout des index. Je sais que je suis en zone rouge. C'pas grave. L'interdit me fait saliver. Toujours RAS. Pour la poitrine, je veux dire. Vidamment, y'a rien de planqué là non-plus. Mais c'est pire que ce que je pensais. Le soutif a l'air rembourré. Déjà que c'était pas gros de base.

On est d'accord que t'es une meuf, hein ? Tss…

Je retire mes mains de son soutien-gorge. Puis je caresse ses cheveux. Corbeau, longs, plutôt beaux. J'aime bien. Je masse doucement son cuir chevelu comme on caresse un chat.

Bon. Ça va pas ton histoire, Ayaki Sato. Uniforme du lycée, mais tu fouilles les poubelles et tu piques des portefeuilles. Et pas un téléphone. Pas un seul truc de pouffiasse sur toi. Un nom sûrement bidon. T'es ni une charclo, ni une gamine normale. T'es en fugue ? Tu cherches à fuir quelqu'un ? Ou quelque-chose ? J'me trompe ?

Puis je fléchis un peu les genoux. Je mets ma bouche au niveau de son oreille. Elle est toujours dos à moi.

T'es mignonne. J'peux te protéger, t'sais. Y'a pas grand monde qu'oserait me taper dessus. Puis j'ai pas mal de contacts. J'suis un caïd dans le quartier… La condition c'est de m'obéir sans discuter. Si je te dis « suce-moi », tu me suces. Tout de suite.

Je laisse planer une seconde le malaise. Ma main est toujours dans ses cheveux. Puis j'éclate de rire. Ouais, bon. Pas vraiment le genre de rire qui détend l'ambiance. Je la sens frisonner un peu. C'est pas cool de ma part de la laisser comme ça par cette température.

Fais un peu froid, ouais ? On pas tarder ? Qu'est-ce que tu préfères, « Ayaki Sato » ? Commissariat, pour vol, et on cherche ton vrai nom, tes parents – tuteurs, si t'en as ? Ça va leur faire plaisir j'sens. Ou on fait ce que j'ai dit. Tu viens chez-moi, je te file à bouffer, des fringues. Tu squattes aussi longtemps que tu veux. Terminé la vie de clodo. Une nouvelle vie pour toi.

Je marque une pause, avant de reprendre avec un ton anormalement doux. Je lâche ses cheveux pour caresser directement son visage. Ses lèvres. J'introduis un doigt entre. Je frôle ses dents.

J'te cache pas que dans tous les cas tu vas sucer ma bite. Dans cette rue, à poil, ou chez-moi au chaud. Tu choisis.

Le métal froid touche encore son poignet. Mais cette fois c'est pas une lame. Je viens de refermer une menotte sur elle. La seconde est attachée à mon bras à moi.

Aussi, dans tous les cas, tu rentres avec moi.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le dimanche 15 octobre 2017, 23:57:26
Je ne pouvais pas tellement contredire la connaissance des flics sur les nanas et le faire de cacher des trucs dans le soutif. Cela n’avait effleuré l’esprit et finalement je crois que j’ai bien fait de ne rien planquer à cet endroit. J’eus un sursaut en sentant la main puissante venir tâter mon torse, frémissant en sentant mes tétons se faire appuyer, étant durcit la froid de l’air. J’eus un frisson en entendant la question sur le fait que j’étais bien une femme. Répondre non serait irrémédiablement une mauvaise réponse, juste une intuition concernant cette personne.

La main musclée se posait sur ma chevelure, semblant aimer mes cheveux. Je tâchais de conserver au mieux une apparence convenable, un savon par-ci, un fond de shampoings par là. Je ne pouvais laisser ce corps devenir hideux, sans doute une séquelle de ma survie, je ne pouvais laisser ce corps devenir viril.  J’eus la boule au ventre quand le flic vint à dire que mon histoire clochait. Il se mettait à déduire des choses et cela me faisais peur qu’il arrive à connaître les raisons de ma fugue. Son souffle sur mon oreille me fit rougir, tout comme  ce qu’il disait. 

Il me prenait bien pour une nana, je ne pouvais plus revenir en arrière. Une protection, c’est ce que je souhaitais certainement le plus au monde en ce moment même, mais je ne pouvais pas non plus me livrer à cet homme, la suite de sa phrases était clair comme de l’eau de roche. Si j’acceptais sa protection je serais son jouet et sans doute mort quand il découvrira qu’il s’est trompé de sexe. Devais-je accepter ? Une protection même si ce n’est que pour une heure est mieux que rien, mais cela pourrait aussi aggraver ma situation, qui dit que mes parents ne vont pas finir par le questionner un jour et les aider à remonter vers moi, s’il n’est pas une personne engagé par mes parents. Non cela m’étonnerais fortement, sinon il ne jouerait pas autant avec moi.

Il se remit à faire un faux choix. Pour lui cela paraissait sans importance, mais pour moi le commissariat était hors de question, s’il cherchait il  retrouverait ma trace et s’il contactait mes parents, j’étais sûr de ne pas revoir la lumière du jour et de finir six pieds sous terre. Le second choix était d’être sa poupée, une nouvelle vie. Cela me faisait rire intérieurement, on ne pouvait pas faire un trait sur son passé, j’avais appris cela en survivant par deux fois. Il reparlait de le sucer, disant que la différence serait le lieu, ce qui me faisait rougir, avant d’avoir un sursaut en entendant le cliquetis des menottes et observait mon poignet. J’étais cuit, plus aucun moyen de fuir. Je devais choisir, si choix il y avait. 

- Chez vous.

Je vins  saisir mon poignet le serrant pour cacher des tremblements de peur. 

- Ne dîtes à personne que vous m’hébergez, personne.

Je ne pouvais spas lui faire confiance, mais au moins aurais-je tenté tout pour qu’il soit averti, rien ne disait que mes parents soient tendre avec lui s’ils venaient à engager une personne pour le tuer. Il avait beau être un flic assez détestable, je ne pouvais me résoudre à ce qu’il risque sa peau inutilement.

Finalement la vie continuait de m’en faire baver, je devais certainement avoir été un seigneur du Mal dans une autre vie, ce n’était pas possible autrement d’avoir une vie aussi merdique. 
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le lundi 16 octobre 2017, 01:06:55
Je souris. Presque aussi facile à attraper qu'à manipuler. Parfait. Je vais bien m'amuser avec celle-là. Puis quand j'en aurais marre, je pourrais la refiler à un pote. Mais elle est jolie, fraîche. J'pense pas m'en lasser tout de suite.

Bon choix ma puce. Même si j'aurais adorer te prendre cette ruelle pourrie.

En vrai, pas trop. J'aurais pu le faire. Ça aurait juste été risqué. En tant que flic, j'peux justifier de la désaper, de la menotter, même de lui taper dessus. Mais même pour moi, c'est galère d'inventer un truc pour expliquer que je lui rentre dedans comme ça. Pour peu qu'un mec se pointe. S'il est pas sensible à l'intimidation, j'suis obligé de le buter. La galère.

Allez, tu te rhabilles, on se tire.

Je la laisse reprendre son uniforme. Je l'ai laissé tomber dans une flaque d'eau, alors il est à moitié trempé. Pas de bol. Je ramasse le passeport aussi. On sait jamais. Au cas où je devrais faire un rapport. Mais pas de collègue pénible dans le coin. Et les gens ferment leur gueule aussi. Même ceux qui me connaissent. Surtout ceux qui me connaissent. De toute façon à cette heure les rues commencent à se vider, ça y est. Sur les deux-cent mètres qui nous séparent de ma caisse, on est tranquille.

J'ouvre la portière, côté conducteur. Je la pousse à l'intérieur. Jusqu'à ce qu'elle soit sur le siège passager. Là, j'entre à mon tour, puis je ferme. Enfin, je défais les menottes qui nous lient.

On commence à se faire confiance, ouais ? Du coup, si on te demande, et que je suis pas là, t'es ma cousine Ayaki. Tu viens de Tokyo. Parce que tes parents sont des sales cons : tu fais la bonne chez-moi le temps de te payer des études. T'as un domaine qui te branche, un truc que t'as étudié ? … Si on te demande, et que je suis là, tu fermes juste ta gueule.

La mise au point faite, je démarre le moteur. Je mets la radio. Du rap US bien vénère. Je lui demandes pas si elle aime. Ça y connaît rien à la musique, les meufs. On a qu'un kilomètre avant d'arriver chez-moi. Un appart en bordure du quartier. Sur place, il fait nuit noire, ça y est. Juste des lueurs rouges. En bas de l'immeuble, y'a trois lascards qui fument de l'herbe. Un gros chien. Des ados. Rien à foutre.

Woah, elle est bonne ta nouvelle meuf Masa !
Elle est un peu jeune pour toi naan ? Tu veux pas nous la filer ?
Pas touche. C'est la famille.
Ouais ouaaais, c'est ça.
Allez dégage.

Je fais mine de le frapper. Il se décale direct en ricanant. J'aime bien ces gosses là. Ils font pas trop les malins. Ils respectent. Le respect, c'est important.

Je fais monter mon invitée. Je garde tout juste un œil dessus. Elle irait pas loin de toute façon. La cage d'escalier sent la pisse de chat. Les murs sont gris-beige sale, la peinture bleue sur les portes s'écaille. Y'a des tags un peu partout. Je suis au deuxième, pas d'ascenseur. J'ouvre la porte de mon appart. Celle qui ressemble à toutes les autres. Sauf que y'a deux-trois impacts de balles dedans. Comme ça au moins, ça se voit que je déconne pas.

J'allume la lumière. À l'intérieur c'est un peu mieux tenu. C'est même pas mal grand. T'arrive sur une petite pièce qui sert à enlever ses chaussures et tout. Devant y'a un placard mais il est fermé. Puis sur le côté, direct, un salon pas mal avec un canapé, un meuble télé, un appareil de muscu. Un peu poussiéreux, mais ça passe. La télé est un grand écran plat pas dégueux. Cadeau d'un pote.  

Je retire ma veste, ma ceinture avec mon arme. Je balance tout en vrac sur un porte-manteau. La gamine doit être contente, ici le radiateur chauffe bien. Avec ses fringues trouées et trempées elle doit apprécier. Je referme derrière elle. Je garde les clés dans la poche de mon pantalon.

Bah, meuf. Fais comme chez-toi. Parce que c'est chez-toi maintenant.

Je dis ça comme « c'est là que t'habite », pas comme « c'est toi qui fais la loi ici », hein. Mais je pense qu'elle a compris ça. Je lui montre du doigt le canapé.

Vas te mettre là-bas, je reviens. Mets c'que tu veux à la télé. Salope pas mon cuir par contre, enlève tes fringues.

Y'a une télécommande pas loin. Avec des chaînes américaines, le gros confort. Moi je traverse le salon, je vais dans la cuisine. Le canapé tourne le dos à la cuisine, donc on peut pas voir ce que je fais, à moins de se tourner.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le lundi 16 octobre 2017, 22:28:41
Je retenais une grimace en l’entendant parler d’un de ses fantasmes. Il n’avait heureusement pas envie de la faire, me demandant de me rhabiller, c’est vrai, le haut fut un peu plus compliqué, du fait que j’avais des menottes. Le contact du tissu humide ne me dérangeais pas plus que cela j’avais vécu des jours sous la pluie, alors porter un vêtement qui n’étais pas sec n’était pas une épreuve insupportable pour moi.  Il me vit passer par le côté conducteur, devant me contorsionner un peu pour arriver à la place du mort.

Je pus finir de me vêtir quand les menottes furent retirées, massant un peu le poignet, n’aimant pas l’idée de garder une potentielle marque de cette entrave des plus méprisables. Il continuait de prendre les rênes en me dictant une identité à prendre, une cousine … l’idée n’était pas mauvaise en soi. Faire en sorte de dire que mes parents était des salopards n’étaient pas une chose difficiles, tout comme aller voir si l’herbe était verte ailleurs.  Il me demandait si j’avais un domaine en tête. Je pris un peu de temps à répondre, se demandant s’il allait rire. 

- Un domaine artistique. 

Ce qui passais à la radio était agressif, je n’aimais pas du tout, mais je n’avais aucun droit de me plaindre, ne sachant pas trop comment il le prendrait et encore moins si cela le pousserais à revenir sur sa proposition. Le voyage se passait sans encombre, finissant devant un immeuble avec des personnes que je sentais comme peu fréquentable. Le chien fut le premier à me repérer, suivis des trois personnes. L’un d’eux se mit à parler au flic, rougissant en entendant le fait que j’étais sa nouvelle copine. Je vins quand même à les saluer poliment quand le dénommé Masa vint à dire que j’étais de la famille.
Cela se voyait que les jeunes n’avaient pas peur, mais qu’ils n’allaient pas lui chercher des noises. Le fait d’avoir dit que j’étais de la famille allait certainement m’être utile s’ils venaient à me causer des soucis.  Je me laissais guider par le flic, jusqu’à chez lui, l’odeur de l’immeuble ne me dérangeait pas tellement. Les impacts de balles étaient visibles, il fallait être aveugle pour ne pas les voir et cela en disait long sur le flic.

Une fois à l’intérieur je vins à avoir un léger tournis, la salle était chauffée et sec, ce qui tranchait quand même pas mal avec l’extérieur. Il était certain que les vêtements auraient tôt fait de sécher. Il me dit de faire comme chez moi, cette remarque ne fut pas accueilli avec un sourire, quand on sait que chez moi on chercherait certainement à m’empoisonner, ce n’est pas le genre de commentaire que je prenais avec une mine joyeuse.  Il se mit à pointer le canapé en disant de retirer mes fringues.

Je me mis en sous-vêtement, il s’agissait du seul ensemble sec, me posant sur le canapé et venant à rougir en sentant le cuir être tout de même assez souple, n’étant habitué qu’à un sol dure et bien rigide.  Je vins à saisir la télécommande, venant à zapper entre les chaînes, mais ne trouvant pas une qui puisse réellement me plaire, finissant par simplement éteindre la télévision. Même s’il avait donné l’autorisation, je ne désirais pas être un poids pour lui, cela lui laisserait une trop belle opportunité de profiter plus de la situation. 


Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le mardi 17 octobre 2017, 00:57:46
Je ressors de la cuisine trois minutes plus tard. Je vois qu'elle a éteint la télé. Je hausse les épaules. Comme elle veut. Je comprends qu'elle soit pas d'humeur. J'évite un carton de bières qui traîne. J'en choppe une au passage. Je vais vers le sofa.

Attrape.

Je lance une bouillotte. Noire, toute simple. Récupérée dans un stock militaire. Chaude, ça devrait lui faire du bien. J'suis pas un monstre. Je sais un peu m'occuper des filles. J'enjambe le canapé sans effort. Je m'assois à côté d'elle. Je pose sur ses genoux une assiette avec des boulettes de riz. Chaudes aussi, genre à réchauffer au micro-onde. Pas le repas de chef. Bien mieux que les poubelles quand même.

Y'a un match de la NBA j'crois.

Je prends la télécommande, je zappe sur une chaîne de sport qui diffuse le basket américain. Le commentaire est d'origine, sous-titré en japonais seulement. Je regarde distrait, en attrapant une boulette dans l'assiette. Je décapsule ma bière avec les dents. Une gorgée. Je m'étale bien dans le sofa. Je la laisse manger tranquille un temps.

Bon, tu me parles de tes histoires ? Pourquoi je devrais pas dire que t'es avec moi ? T'as un tueur à tes trousses ou quoi ?

Je dis pas ça sérieusement. Mais je rigole pas non-plus. J'ai mieux à faire. Mes doigts sont partis frotter doucement contre son dos. J'ai des mains assez grandes, avec des ongles longs. Pas trop abîmées pour quelqu'un dans mon genre. Quelques cicatrices. Pas non-plus une peau de fragile. Je lui masse les épaules, les omoplates, sans forcer. Puis, je descends. Entre le pouce et le majeur, je dégrafe son soutien-gorge. Je le laisse tomber sur elle. Je me presse pas.

Raconte moi ta vie. T'as déjà eu un mec ? Tu t'es déjà touchée ? T'as déjà taillé une pipe ?

Désinvolte. Je fais semblant de pas trop m'intéresser à elle. De regarder le match. En vrai, je teste comment elle réagit. Elle fonctionne pas mal à la menace. Mais c'est bien d'avoir d'autres leviers. La carotte et le bâton. Ma main continue à la caresser. Je descends le long de sa colonne vertébrale. Suivant la même ligne, je rentre deux doigts sous l'élastique de sa culotte. J'effleure son coccyx. Je glisse un peu entre ses fesses.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le vendredi 20 octobre 2017, 06:05:21
Je ne pouvais pas m’arrêter de cogiter sur la situation. Avais-je bien fait ? Sur cette question la réponse était facile, mais sur celle de l’avoir comme protecteur, la solution paraissait beaucoup plus vague, d’autant que je ne pouvais envisager sa réaction quand il allait découvrir que j’étais un homme et non une femme.   Un sursaut parcourait mon corps quand la bouillotte chaude vint à atterrir sur mes jambes froides. Je le vis passer par-dessus le canapé, venant à poser ma bouillotte près de mon entrejambe, avant de faire de la place pour l’assiette de boulette de riz. Cela pouvait paraître bien maigre pour une personne de la stature de Masa, mais pour moi il s’agissait d’un vrai repas comme je n’en avais pas eu depuis longtemps. 
J’en saisis, sentant la chaleur du riz remonter le long de mes doigts, alors que l’aliment venait tranquillement vers ma bouche, prenant de toute petites bouchées, résistant à la tentation de mettre la boulette toute entière dans ma bouche. J’aurais eu l’air d’un hamster avec les joues gonflée sous cet appel à engloutir le repas. Je n’en fis rien, continuant de manger petit à petit, savourant le riz qui fondait dans ma bouche.
L’homme mettait une chaine et je ne captais que quelques mots en anglais, heureusement le sous-titrage me permettais de suivre un peu. Je n’avais pas beaucoup d’attrait à l’actualité et les truc de groupes, d’un autre côté quand on a morflé comme moi, qui pourrais m’en vouloir d’avoir si peu d’intérêt.

Les première questions se mirent à pleuvoir, alors que j’avais tout juste finit la première boulette, mon estomac venant à grogner devant cette nourriture saine et différente de ce que j’avais d’habitude, venant à me donner une attitude timide, sans que je puisse y faire grand-chose, avoir un gargouilli me paraissait déplacé chez lui.  Je n’avais pas répondu à ses questions, ne sachant pas trop comment m’y prendre. Dire la vérité serait s’exposer et s’il n’avait aucun contact avec mes parents, cela le mettrait certainement en danger. Mais ne rien dire avait ses conséquences, cela ferait que s’il découvrait la vérité, il me prendrait pour un menteur, alors qu’en disant la vérité, il comprendrait … certainement. 

J’eus un autre sursaut en sentant ses doigts me masser. Au début j’étais tendu comme un arc, puis je vins à me détendre, laissant ses doigts expérimenter venir dénouer toute ses boules de stress, il devait sans doute être étonné de voir un corps avec autant de raideur.  Cela me faisait un bien fou, avoir quelqu’un pour me masser n’était pas si mal,  je fus surpris en sentant le soutien-gorge tomber, rabattant un peu mes cheveux sur mon buste, les caresses continuaient de descendre, venant à glisser sous mon dernier vêtement, ne cessant de me faire rougir, j’étais embarrassé par la situation, il allait finir par découvrir tout et je ne savais pas trop comment m’y prendre … peut-être répondre à ses réponses ferait une bonne diversion. 

- Si des personnes importantes sont averties de ma présence, mes parents voudront me tuer, pour récupérer l’investissement qu’ils ont mis sur ma tête. Mes parents ont des contacts assez influents, étant des vendeurs d’armes.  J’ai toujours été célibataire et je n’y connais pas grand-chose. Ma condition actuelle n’est pas voulue, mais c’est la seule qui me permet de survivre pour l’instant. 

 
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le vendredi 20 octobre 2017, 08:23:03
Je l'écoute, mine de rien. Son histoire manque de détails. Elle est un peu trop compliquée pour être vraie. Est-ce qu'elle essaie de bidonner pour me faire peur ? En même temps, j'ai l'air de la stresser pas mal. Je sais même pas si elle est en état de m'inventer des bobards. Je sais pas trop quoi en penser. Puis j'ai d'autres trucs en tête pour le moment. Alors j'fais semblant de la croire. Genre un peu, sans plus. Le mec qui veut pas se prendre la tête avec des conneries.

Vendeurs d'armes ? C'est pour ça qu'ils m'ont livré une 'tite bombe.

Mon ton sérieux contraste avec la platitude du calembour. Mais bon, ma spécialité c'est pas les blagues. Ma main continue à descendre entre ses fesses. Je mets toute ma main sous le tissu. Mon majeur passe dans son sillon. Je l'utilise pour frotter son anus. Je la vois rougir. Je la sens frisonner. Ça m'excite. Ma deuxième main attrape son menton. Je tourne sans trop forcer, mais ferme, son visage vers moi. La force à me regarder dans les yeux. Encore.

Faut pas déjà te mettre dans cet état là. Qu'est-ce que ça va être, quand t'auras ma queue dans ta petite chatte ? À moins que tu la préfères ailleurs ? Qu'est-ce que t'en dis ? Tu préfères par là ?

J'appuie un peu sur son petit trou. Histoire de bien lui faire comprendre de quoi je parle. Elle est toute serrée. J'insiste. Je force un peu contre muscle. Finalement, la première phalange écarte un peu son anneau et rentre. Je plie un peu mon doigt. Pour qu'elle le sente bien. Impossible de la prendre comme ça. À moins de vouloir lui faire très, très mal. De toute façon son vagin me fait envie. Avec la position, je peux juste pas l'atteindre par l'arrière. Du coup je retire ma main.

Je me penche sur elle. Puis je pose mes lèvres sur les siennes. Ma langue essaie aussitôt de pénétrer dans sa bouche. Je lui roule un patin, sans gêne. Je lui mords la lèvre inférieure. J'ai envie de la mordre vraiment. Mais les conséquences seraient chiantes pour tout le monde. Surtout direct en pleine lune. Alors je m'arrête juste avant de lui ouvrir la peau. Juste avant que son sang coule. Ma main lui tient la tête. Pour être sûr qu'elle bouge pas. Je recommence à faire jouer ma langue contre la sienne.

Enfin, après une demi-minute, je me recule. Un gros filet de salive coule d'entre nos bouches. D'un doigt, j'essuie ce qui coule de ses lèvres. Geste presque tendre.

C'est le moment où tu me suces la bite, ouais ?

La bosse de mon pantalon de flic fait déjà un peu peur. Elle menace de faire céder les trois boutons pressions qui le tiennent fermé. Pourtant je bande encore même pas complètement. Je plaque ma main sur sa poitrine. C'est vraiment le degré zéro du relief. Bah.

Comme t'as été sage, je peux te lécher avant. Tu seras plus chaude après ? Allez, fais ton choix, bouge.

Je doute que ça la décoince. Mais autant lui laisser prendre l'initiative. Pis, j'adore faire jouir les filles. Je me sens puissant, après. Le sentiment du travail bien fait. Je la lâche, je me cale en arrière dans le sofa. J'écarte bien les jambes, pour mettre en valeur ma demi-érection. J'attends de voir ce qu'elle fait.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le vendredi 20 octobre 2017, 21:37:23
Je n’eus qu’un léger sourire devant la remarque de la « tite bombe », je n’étais pas aussi belle que d’autres femmes, ça j’en avais conscience. En vérité je ne savais pas trop comment me placer en terme de beauté, peut-être ne me complimentait-il que parce qu’il  avait une nana chez lui. Je sentais son doigts continuer de se balader et il saisit mon visage, n’offrant pas de résistance pour la bonne et unique raison que cela risquait de me faire mal au cou, le massage qu’il avait fait était bien efficace, mon corps se sentant moins tendu, moins raide. Il continuait de parler, venant à annoncer le fait de me prendre, ce qui crispait légèrement ma mâchoire, il allait très bientôt venir à découvrir la vérité, mais il m’offrait aussi une autre option, restant rouge en sentant ma rondelle se faire presser, je contracte par réflexe, sentant le doigt continuer à essayer de forcer le passage, sentant la phalange passer et bouger, me faisant pousser un petit gémissement. Je ne pouvais nier que la sensation était étrange, sentant les muscles encercler la phalange, poussant un autre gémissement en sentant le doigt sortir, laissant une sensation bizarre.  

J’eus un sursaut en me faisant embrasser, j’avais les yeux grands ouverts, l’assaut m’avait surpris et aussi c’était mon premier baiser. Si on m’avait dit que cela serait un homme, flic en plus, qui me le déroberait, je ne l’aurais pas cru. Cela ne rendait que la situation encore plus compliqué, frémissant en sentant les dents prendre possession de ma lèvre du bas. Sa langue cherchait à jouer avec la mienne. Si au début j’essaie dérober, je finis par céder. Il finit enfin par reculer, venant à sentir la petite pression sur mes lèvres alors qu’il essuyait, ce qui contrastait avec la fougue de son baiser. Je ne savais plus trop quoi penser de cette personne qui pouvait sembler aussi bien violent que doux.  S’en suivit une phrase qui avait autant de finesse qu’un éléphant dans un magasin de  porcelaine.  Je baissais le regard pour voir la bosse, écarquillant à nouveau les yeux en n’osant imaginer la bête qui se cachait sous cette prison de tissus.

J’avais l’horrible sensation que plus le temps passais, plus je m’empêtrais dans une toile où le nommé Masa était l’araignée qui attendait le bon moment pour me dévorer.  Je n’aimais pas ça, pas du tout, mais je n’avais pas le choix, je devais assumer du mieux que je pouvais. Il n’aidait dans la situation, en me demandant à cet instant si avec un peu de poitrine il serait plus aimable quand il découvrirait le poteau rose.  

Je vins à hocher négativement de la tête.

- Cela ne sera pas la peine.

Je ne pouvais pas partir d’ici, ne pouvant qu’essayer de retarder toujours plus loin le dénouement de cette situation.

Je mis l’assiette sur l’accoudoir de mon côté, ayant fini de manger depuis un petit moment.  Je réfléchissais, pendant ce geste comment me présenter. Je n’avais pas beaucoup de choix, je me mis à genoux, sur le sol, venant à me diriger par de petit mouvement entre les jambes de Masa, lui faisant face, mais étant dans une posture clairement inférieur. Je ne pouvais pas trop me lever et avançait exprès mon buste pour masquer la vision de mon entre-jambe, en priant pour qu’il n’ai rien vu.

Je vins à défaire les boutons et sortir le membre, qui était, selon moi, énorme. Je ne savais pas trop comment m’y prendre, venant à débuter par une simple masturbation, faisant bouger ma main gauche de haut en bas, essayant d’avoir un mouvement souple.  Je ne savais pas trop comment m’y prendre à vrai dire, partant sur des suppositions et venant à avaler ma salive avant de faire glisser mes lèvres sur le gland, essayant de le sucer, je devais paraître pathétique devant mon inexpérience.

La posture était un peu spéciale, mon dos se courbant légèrement et mettant en évidence mon fessier.  Je faisais de mon mieux, même s'il était certain qu'il allait faire en sorte que je sois meilleur. Cela étant dérangeant, mais je ne pouvais que m'embourber davantage, jusqu'à savoir si Masa allait me sortir la tête de l'eau ou m'y plonger.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le samedi 21 octobre 2017, 02:14:51
Je la regarde se mettre en position. Elle a pas l'air de trop savoir y faire. Maladroite. Mignonne. Ça a l'air d'être vraiment sa première fois. Ça m'excite pas mal. Je bande encore un peu plus. Assez pour que mon sexe ressorte bien de mon pantalon quand elle le déboutonne. Y'a pas grand-chose dont je suis fier dans cette vie. Mais pour ça, j'ai tiré le gros lot. Le cas de le dire. Ça tape dans les vingt-huit centimètres. La largeur qui va avec. Peau brune, quelques veines qui palpitent bien dessous. Un peu de pré-sperme qui dégouline sur le dessus. Prépuce un peu court qui laisse apparaître direct un gros gland rouge. Ouais, c'est un monstre.

Un monstre dont elle essaie de s'occuper. Toute son éducation est à refaire. Ses doigts font ce qu'ils peuvent. Elle doit galérer à l'attraper en entier. J'lui en veux pas trop. Y'en a pas beaucoup qui y arrivent. Je la laisse me masturber à son rythme. Je continue à regarder la télé, comme si je m'en foutais. Je reprends même ma bière. Autre gorgée. Finalement, elle se décide à mettre la bouche. Courageuse. Après une journée de service, j'ai une odeur de mâle… mais les jours de pleine lune, c'est pire. Je sens la bête. D'aussi près, ça doit empester.

Mais tant pis, elle a qu'à continuer. Faut qu'elle comprenne que si elle s'y prend comme ça, je vais pas jouir. Ou alors dans longtemps. Pas désagréable pour autant. Alors je lui laisse le temps de se démener. D'essayer de gober mon gland. J'attends qu'elle se fatigue. Je fais aucun commentaire. Des fois, je grogne un peu. Pour la forme. Je zappe sur les infos de 23h. Discours d'un ministre, en japonais. Parle du nucléaire. Je m'en fous. J'écoute pas trop de toute façon. Je suis quand même concentré.

– Qu'est-ce t'en pense du risque nucléaire toi ? C'est dangereux mais y'a pas le choix, hein ? Nan, je déconne, je m'en tape de ton avis. Continue à me pomper.

Je lui passe la main dans les cheveux pour la rediriger vers mon sexe. Je la rapproche de moi. Je lui tiens la tête, sans trop la pousser. Je la laisse galérer. Encore deux bonnes minutes à faire de son mieux, pendant que le politicien parle. Blah blah blah. Tous les mêmes. Tous des fiottes. Au bout d'un moment, son travail fonctionne quand même. Mon sexe durcit enfin complètement sous ses doigts. C'est là qu'elle doit commencer à vraiment flipper. Je lui fais signe d'arrêter.

– On passe aux choses sérieuses un peu ?

Je lui attrape le poignet. Je place son membre à la verticale entre mes jambes. À peu près au niveau de l'aine. De mon autre main, je soulève ma queue qui a tendance à fléchir un peu sous son propre poids. Elle est aussi longue que son bras, du poing fermé au coude. Par endroit, elle est aussi plus large. Faut dire que c'est une crevette cette gamine. Elle doit mesurer quoi, un mètre cinquante ?

– Tu t'es déjà rentré tout l'avant-bras ? Je ricane. Ça va être une expérience intéressante. On va voir jusqu'où je la mets en forçant un peu, déjà.

Je lâche son bras. Mes deux mains attrapent ses oreilles. Puis elles descendent sur sa nuque. Entre-temps, mon sexe que je tiens plus est redescendu de quelques degrés. L'angle est parfait. Je ramène sa tête vers moi. J'empale sa bouche sur ma bite. Elle a pas d'autre choix que d'ouvrir grand. Je m'enfonce. Elle a à peine avalé mon gland en entier que déjà ça coince. Pas de problème, je pousse encore avec mes mains. Ça finit toujours par passer. J'évite d'aller trop profond dans sa gorge. Sinon elle va gerber. Déjà là, ça doit être limite. Surtout, je sens qu'elle cherche de l'air.

Respire par le nez. Fais gaffe avec tes dents.

C'est le souci avec mon calibre. On finit toujours par toucher de l'émail. Fin, je commence à être habitué. Au final, elle a même pas en bouche la moitié de mon engin. J'ose pas pousser plus. Mais j'suis quand même un peu frustré. Du coup, je la fais étouffer dix secondes de plus. Je l'empêche de reculer. Je ressors quand elle est bien rouge. Je lui laisse le temps de reprendre son souffle.

Mouais. Pas mal. Par contre, j'espère que t'es bien mouillée. Parce que sinon j'vais te déchirer.

Je prends mon sexe dans une main, et je lui tapote le visage avec. Pour qu'elle voit comme il est lourd. Je répands sur ses joues un mélange de sa propre salive et de liquide séminal. Je souris de la voir humiliée et haletante. Je souris pour la suite, aussi.

– Comme tu veux pas que je te broute, tu vas te préparer toute seule. Montre moi comment tu te touches, allez. Fais pas ta timide. Les gentilles filles ont le droit à du lub.

Je pousse sur son épaule avec mon pied, pour l'éloigner de mon entrejambe, et la forcer à se pencher dans l'autre sens. Je lui jette un regard amusé, avide.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le mardi 24 octobre 2017, 00:40:31
Je voyais son membre qui ne cessais de grossir, prenant une taille, qui me semblait surréaliste, je ne savais décidément pas quoi faire, mes mains semblant si petite face à cette monstruosité. L’odeur qui s’échappait emplissait mes narines, me faisant légèrement tourner la tête, sentant mon corps se réchauffer, rougissant à l’idée que cela soit ce membre qui me faisait autant d’effet. Une part de moins me criait de stopper cela rapidement avant qu’il ne soit trop tard, une autre part me disait de continuer, de supporter cela en silence, pour ne pas tout gâcher.  Les informations me parvinrent aux oreilles, l’histoire du nucléaires ne m’intéressais pas, ce n’était pas ça qui allait me permettre de me nourrir.  Masa se mit à me questionner avant de me dire qu’il se fichait de mon avis, je ne savais pas trop si je devais rester stoïque devant ce rabaissement ou réagir, préférant, une nouvelle fois, le silence. Me taire et obéir étaient la meilleure façon pour moi de ne pas me faire découvrir.  Je vins à montrer un regard interrogateur alors qu’il se mettait à dire que cela allait être sérieux, constatant que son sexe n’avait pas désenflé, bien au contraire, comment pouvait-on être dotée de cette manière ? Je ne l’enviais pas, mon corps me suffisait tel qu’il était. Certes, je manquais de force, mais ce corps était le miens et était le reflet de ma vie, je regrettais presque de ne pas avoir de cicatrice, pour avoir une marque plus visible des stigmates de mon passé. 

Avant que je ne comprenne sa phrase, ma tête fut contrôlée, sentant son sexe s’enfoncer dans ma bouche. La surprise me fit contracter ma gorge, ne rendant que la pénétration beaucoup plus difficile pour moi, sentant le gland s’enfoncer assez loin, à la limite du haut-le-cœur léger venant me prendre, alors que j’eus une légère toux, n’étant pas habitué à ce genre de pratique, j’ouvrais le plus possible ma bouche, pour chercher un peu d’air, ne pouvant retenir l’envie de déglutir, pour faire passer ce membre, ne faisant qu’aggraver ma situation. Je vins à obéir par instinct à Masa, essayant de respirer par le nez. Une fois que le membre ressortais, je ne pouvais m’empêcher de tousseur n peu et de me masser la gorge. Je repris mon souffle assez rapidement, mais mon gosier n’arrivait pas à se débarrasser du goût de son sexe, malgré mes déglutitions.

Je vins à fermer l’œil gauche quand son membre collant vint à tapoter mon visage, laissant une trainée, un peu comme celle des escargots, je ne devais pas réagir, bien que je me sente comme salit. Masa semblait clairement aller d’un bord à l’autre, pouvant être doux comme quelqu’un qui semblait se plaire à rabaisser autrui. Je ne savais pas comment il allait réagir. Un frisson de peur parcourut mon corps quand il me demandait de me toucher, je ne savais pas trop comment m’y prendre, ayant très peu d’attrait au plaisir de la chair, il faut dire qu’avec mon passé je n’avais pas eu beaucoup de temps ou de partenaire pour ça. Ma peur ne venait pas de mon manque de culture, mais que je ne pouvais plus jouer la fille plus longtemps.  Je sentais ma gorge se faire comprimer comme si un collier de cuir se resserrait toujours plus, jusqu’à me couper le souffle. Je ne pouvais pas fuir, sauter de la fenêtre serait très certainement mortel, je me retrouvais entravé par mon mutisme, quel idiot j’avais fait.  Je n’avais plus le choix à présent. 

Je vins à poser mes mains et ma tête sur le sol, articulant difficilement, des larmes se mettant à couler sans que je puisse y faire quelques chose, je me retrouvais dans cette situation où ma vie dépendait de son choix. 

- Je ne suis pas une fille. Hormis cela et mon prénom je ne vous ai pas mentit sur le reste. Ne m’emmenez pas au commissariat, par pitié.

Mon corps tremblait, m’attendant à c qu’il me frappe certainement à mort pour me jeter de son appartement. Il possédait tous les moyens de me faire du mal, n’étant qu’un vulgaire insecte dans la toile d’une araignée, attendant de savoir si le prédateur aurait de la miséricorde ou non. 
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le samedi 28 octobre 2017, 00:22:20
Je la vois qui panique encore. Au début je comprends pas. Je me dis, elle sait pas se toucher. Y'a pas mal de filles dont ça vient même pas à l'idée. C'est comme ça faut pas se poser de questions. Bref, je je pense : pas grave, je vais lui montrer. Ça sera même plus intéressant. Puis elle se recroqueville, et elle commence à chialer. Alors là je suis un peu paumé j'avoue. Elle m'avait l'air plus stable que ça. Fin, je me dis que c'est une meuf. Que ça peut piquer une crise n'importe quand. Les meufs, elles trouvent toujours une excuse. Pour rien… juste pour faire chier… ou juste pour éviter de se faire prendre par un flic qu'elles connaissent pas.

Pis elle se met à bredouiller un truc. Je lève un sourcil, sceptique.

Quoi ?

Une gorgée de ma bière passe mal. Je me mets à tousser. Je la repose. Dans la foulée je me lève. Je marque bien la différence de taille entre ma victime étalée et moi, dressé. Mais j'ai un peu de mal à croire ce que j'entends, alors je la choppe par le cou d'une main. Je la force à se mettre debout. Puis je tire son sous-vêtement vers le bas. Ah ouais.

Sérieux ?

Je regarde pendant cinq bonne secondes son pubis rasé de près. On dirait vraiment une entrejambe de meuf. Sauf qu'il a une bite. Au moins là je peux être sûr qu'il ment pas. C'est la première fois. J'ai envie de me marrer. Je me retiens. Ça casserait la tension direct. J'ai envie de lui faire peur. Je pousse un grognement de colère. Je le balance sur le canapé, face à moi. Sa culotte est passée sous ses genoux, elle l'handicape un peu.

Le temps qu'il reprenne ses esprits, je me détourne. Je choppe une petite boite en métal qui traîne dans le tiroir d'un meuble. Dedans, pas grand-chose. Des affaires de bricolage, couture, linge… Des trucs que je fais quand j'suis obligé. Enfin, dedans, y'a ce qui m'intéresse. Je le laisse pas trop réfléchir. Un instant plus tard je suis déjà sur lui. Tout mon corps le surplombe, menaçant.

Une de mes mains le maintient collé contre le fond du canapé. Avec l'autre main, j'attrape ses couilles. Je les presse un peu. Pour bien les sentir. Juste assez pour que ça le perturbe. Là, j'étends les doigts, et je pose un élastique à leur base. C'est un gros élastique bleu. Il serre bien. Tout de suite, sa bourse s'étire un peu. Ça doit faire assez mal, ouais. La circulation est coupée. C'est surtout comme ça qu'on castre les animaux à la ferme.

Tu t'es foutu de ma gueule ? je m'énerve. Tu crois que je suis pédé c'est ça ? J'ai une gueule a être pédé ? Tu crois que j'accepte de m'être fait tailler une pipe par une fiotte ? Qu'est-ce que tu crois qu'il me reste à faire ?

Je ressors le couteau qu'il commence à bien connaître. Je l'approche de son entrejambe. J'appuie le tranchant de la lame juste sous l'élastique.

J'vais te couper les couilles. Ouais. Et tu vas me remercier. Parce qu'après ça, tu pourras me sucer tant que tu veux. Remercie moi de te castrer. Sinon je massacre aussi ta petite queue.

Mon ton est devenu plus froid. Moins colérique. Mais pas de sourire à l'horizon. Je le regarde dans les yeux. Mes doigts se referment sur son cou, presque délicatement. Je me délecte à l'avance de sa détresse.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le samedi 28 octobre 2017, 21:24:32
Je ne pouvais rien faire si ce n’est attendre, avant de sentir une main me saisir fermement à la gorge, sentant les doigts se contracter, venant à légèrement me faire suffoquer, pendant qu’il vérifiait que j’étais bien un mec, je voulus desserrer l’étreinte, sans pouvoir y parvenir, détournant le regard quand il voulait savoir si j’étais sérieux. Il avait tous les moyens de m’utiliser comme sac de frappe, mais je ne sentais pas de coup venir. Etait-il surprit par la vérité ou réfléchissait-il à comment me faire mal ? Je ne pouvais pas le savoir, vu que je ne savais pas lire dans les esprits, cela m’aurait été bien pratique, je pense. Je pousse un petit cri en me faisant jeter contre le canapé, me massant le cou, pour faire passer la sensation désagréable, je voulus bouger, mais mon sous—vêtement m’empêchait de courir, autre chose m’empêchais de bouger, mes jambes venant à trembler, laissant voir ma peur.  Le policier me semblait tellement plus grand maintenant, il semblait bien plus à un géant  qu’à un humain.

Je me fais rapidement maîtriser sentant mes testicules se faire saisir, venant m’immobiliser, non sans avoir une sensation désagréable, qui ne vint pas à se calmer une fois  un élastiques ou un truc similaire mit, la sensation n’était pas aussi douloureuse qu’un coup, c’était plus léger, mais sur la longueur. Il se mit à me parler avec colère, ne pouvant répondre que par des «pardons » d’une petite voix, avant de sentir la lame froide du couteau près de mes bourses, venant à devenir pâle comme un linge. La peur me dictait de me débattre, mais la raison était encore assez forte pour me dire de en pas bouger.  Tout mon corps tremblait à l’idée de la suite. Je pensais que si cela arriverait, je viendrais à mourir.  Apeuré à cette idée, je me mis à crier.

- Je ferais ce que vous voudrez, mais ne me faite pas de mal. Je n’ai pas mentis sur autre choses, j’ai dis la vérité, pardonnez-moi pour mon mutisme, pitié. 

Je ne pouvais retenir des larmes, mon cœurs battait si vite que j’avais l’impression qu’il allait exploser, mon souffle peinait à suivre. Je voulais vivre et ne pas mourir de cette façon. Ton mon corps était bandé comme un arc, je luttais pour ne pas bouger.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le dimanche 29 octobre 2017, 16:37:55
Sa peur me fascine. Lorsqu'il se met à crier, je sens l'excitation remonter dans tout mon corps. Mon sexe se redresse brusquement, et ça doit se voir. Pourtant, je plaque brusquement ma main sur sa bouche. Le voisinage est tout sauf regardant, mais vu comme il couine fort, y'a moyen que même les gens dans la rue l'entende.

Ta gueule !

Je lui ascèse une grande gifle. C'est la première fois que je le frappe vraiment. Il doit la sentir passer. J'y ai pas été à moitié. Ma main claque sur sa peau, sonore. Je pose un genou entre ses jambes. Je m'allonge encore un peu plus sur son corps contracté, tremblant. Mon regard est furieux,  jaune. J'appuie sur ses joues rouges, forçant sa bouche à former un O ridicule.

T'arrête tout de suite de gueuler, je lui ordonne. J'en ai rien à foutre de tes excuses.

Je marque un temps d'arrêt. Reprendre mon souffle. Lui il a l'air d'avoir du mal avec le sien. Une seconde. Fini. Mes doigts retournent vers son entrejambe, le couteau éloigné. Ils s'arrêtent sur sa verge. Je caresse un peu la face extérieure de son sexe. Je remarque qu'elle est pas complètement molle. Il doit être un peu maso. On va bien s'entendre.

Petite bite, je commente… T'as kiffé me sucer je parie ?

Sans prévenir, je le décalotte brutalement, découvrant son gland. Je caresse la chair presque nue du bout des doigts. Je compresse dans ma paume. Du pouce, je joue avec son frein. Je le masturbe juste assez pour qu'il bande un peu plus… puis je fais glisser un deuxième élastique de mon poignet jusqu'à la base de sa hampe. Celui-là aussi, il serre bien. Avec le sang bloqué, ça lui fait presque une jolie érection. Couilles tendues, sexe tendu. Son entrejambe était devenue plutôt bizarre.

Dommage que tu m'obliges à te la couper. Fini de faire debout. T'inquiète, avec le garrot, ça devrait pas trop pisser le sang…

Retour de l'horreur. Mais cette fois, je fourre mes longs doigts dans sa bouche. Histoire de prévenir tout cri. J'attrape littéralement sa langue, je lui la fais tirer. S'il recommence quand même, il doit s'attendre à se prendre une autre baffe. Le couteau redescend. La lame ne menace pas ses couilles. Elle est pointe directement vers sa bite. Elle s'apprête à la couper en deux dans le sens de la longueur. Comme on découperait un fruit.

Dernière chance de m'obéir. Remercie-moi de te couper les burnes.

Je desserre la pression sur sa langue. Je le laisse articuler. Mais je me tiens prêt à le maîtriser. Aussi, la pointe de mon couteau se pose sur son urètre. Le métal pénètre dans le petit trou sur un millimètre, sans entailler la muqueuse... pour l'instant.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le samedi 04 novembre 2017, 13:29:19
Mon cri se fait étouffer par sa main épaisse et puissante. Je continue de couiner, cherchant à faire comprendre que je ferais tout pour préserver mon corps, cela n’avait pas d’effet sur cet homme qui se mit à me gifler avec une force qui allait avec sa carrure, stoppant mes cris et sentant ma mâchoire me faire mal, alors qu’il me le saisissait, je sentais ses doigts appuyer sur l’extérieur de mes lèvre, mes joues ayant un peu mal avec cette manipulation. Ensuite vint la réponse du flic, il s’en fichait éperdument de mon avis, de mes excuses, ce qui vint à me refroidir, c’était comme si on avait vidé un seau de glaçon, j’étais totalement à sa merci.  J’eus un sursaut en sentant ses doigts se balader entre mes jambes et saisir mon membre, venant à jouer avec, mon corps frémit. Il me posait la question sur le fait d’avoir aimé le sucer. Je ne savais quoi répondre, mais il fallait fournir une réponse, ne rien dire était une mauvaise idée, mais que répondre. Nier viendrait certainement à l’énerver davantage, aller dans son sens alors ?  Je vins à hocher légèrement de la tête, après tout ce n’avais pas été trop désagréable, sauf quand il a forcé le passage.

Je vins à pousser un gémissement en sentant mon gland exposé, les caresses étaient désagréables, dans le sens où je n’avais pas mon mot à dire dessus et que cela était forcé. Je ne compris la tournure de son lorsque le second élastique fut mis, venant à comprimer la base de mon membre, je constatais qu’il ne pouvait pas débander et qu’une sensation pas agréable se mettait en place, cette sensation devenant de plus en plus désagréable. Je devins blême en l’entendant dire qu’il devait me couper la hampe, le détail sur le sang n’aidait pas mon esprit à se calmer, bien au contraire. J’allais pousser un autre cri quand les doigts du dénommé Masa se mit à aller dans ma bouche, venant à m’empêcher de faire cela,  sans parler de la sensation de la lame. L’annonce de la dernière chance  me fit fermer les yeux, pour éviter de trop pleurer.

La posture de la lame me fit abandonner tout envie de jouer au plus fort. J’allais perdre quelques chose de toute manière, peut-être que je pourrais survivre à cela. Les mots eurent tellement de mal à sortir que j’avais presque l’impression de les vomir, la peur de ce qui allait suivre n’aidant pas. 

- Merci de me couper les burnes.

Je n’avais plus la force de lutter, je me devais à présent de filer droit pour éviter toute autre pertes. Il allait de toute manière profiter et je ne serais plus en l’état de lutter. Qui disait couper, disait perte de sang, donc affaiblissement, vulnérabilité. Mais entre la vulnérabilité et avoir une laisse autour du cou et une mort sans doute douloureuse, le choix était fait. J’avais une petite pensée en me disant que si mes parents me trouvaient et espérait qu’à ce moment le flic soit le premier à y passer.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Masaki le mercredi 04 avril 2018, 23:56:21
Je pousse encore légèrement le couteau. Qu'il sente bien le coupant de la lame. Un demi-millimètre de plus, et il gagnerait une jolie cicatrice sur le bout du sexe. Bah.

Sérieux, gamin, je répète, avec un sourire.

J'éloigne le métal de son entrejambe. Je me relève, mon entrejambe toujours tendue au niveau de sa tête. J'suis content de mon effet. J'crois bien qu'il me craint vraiment, maintenant. Ça fait plaisir à voir. Franchement, je pensais pas prendre autant de plaisir à jouer avec cet avorton efféminé. Je me découvre une vocation, p'têtre.

La crainte, c'est la première étape du respect, gamin. Franchement, j'suis déjà surpris que tu te sois pas pissé dessus.

Je range le couteau. Il a toujours les couilles et la verge serrées par les élastiques. Ça a l'air douloureux. J'ai bien envie que ça reste comme ça un moment.

La deuxième étape, c'est la discipline. Tu me mens, tu me désobéis, t'es puni en proportion. Compris ? J'étais sympa jusqu'ici parce que je pensais que t'étais une minette. Mais j'vais pas me gêner, maintenant. Allez. On se lève p'tit trav'.

Je lui attrape le bras et le tire vers moi.

Tu vois la presse, là ? J'veux que tu t'y mettes, ventre contre le siège. Fesses bien en l'air. Exécution.

Je le pousse vers l'appareil de muscu (https://www.sportmultimedia.com/741-thickbox/appareil-de-musculation-axos-fitmaster.jpg). Pour le motiver, je lui donne un petit coup sur le derche. Juste du plat de la main, pour que ça claque. Rien de trop méchant. Ça, c'est pour plus tard. J'attends qu'il s'installe comme je lui ai dit.

Maintenant, tu restes comme ça. Juste qu'en plus, tu vas te branler. Ouais, tranquille, fais comme si j'étais pas là. Fais pas semblant. Je saurais. Me fais pas regretter d'avoir épargné tes couilles.

Je piaffe d'impatience en pensant à la suite.
Titre: Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
Posté par: Ayato Nobuchi le mardi 17 avril 2018, 14:14:48
Je ne bougeais pas d’un pouce en sentant la lame, cela restait difficile vu que j’avais la terrible envie de fuir cet endroit, mais cela n’était pas possible dans mon cas. JE pus sentir l’arme quitter sa position, oyat le membre dressé de ce type, il semblait éprouvé beaucoup de plaisir à cette situation, ce qui ne me rassurait clairement pas sur la suite. Il allait continuer à jouer avec moi, sentant mon ventre comme se comprimer sur lui-même, sans parler de mon membre qui devenait de plus en plus douloureux, mais je me disais qu’il allait m’en remettre une autre si j’ouvrais la bouche à nouveau.

Quand il énumérait le fait de ne pas mentir ou désobéir, je vins à hocher positivement de la tête, que pouvais-je faire d’autres ? Il était totalement maître de la situation et du lieu. Je vins à me lever, même si mes jambes tremblaient beaucoup, je faisais de mon mieux pour essayer de cacher mon état de peur. J’eus un léger cri de souris, quand il me saisit et me tirais vers lui.

C’est alors qu’il m’indiquait la machine et ce que je devais faire, ayant un sursaut en sentant la petit claque sur mes fesses, venant à ne pas réfléchir plus et me mettre comme il me disait d’être, entre rester en vie et avoir honte, le choix était vite fait.  J’entendis l’homme me dire de me masturber. LA posture n’était pas naturelle pour moi, mais je fis de mon mieux, venant à découvrir que mon membre était devenu plus sensible,  était-ce à cause des élastiques ?  Cela avait cependant du bon, car mon entre-jambe était moins douloureux. Mes doigts restaient cependant tremblant, essayant de faire des gestes assez rapide, mais pas trop, car une fois que je viendrais à me lâcher la douleur reviendrait sans doute. 

Le fait de ne pas voir cet homme m’inquiétait grandement, je ne savais pas s’il se contentait de regarder ou s’il était en train de préparer la suite.