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Rêve de Kumiho (http://hpics.li/644a407) !
Mes belles filles adorées que vous jolie dans vos tenues. Regardez-moi toutes ses femmes venue me rendre visites. Mes cher renarde, prenez bien soin de toutes ses invités, on as de toutes classes, des reines, des artistes des ambles marchandes et même des pauvre sans abris ou des esclaves. Je veux qu’elle est toutes le même accueille, c’est quand même mon rêve qu’elles visitent, qu’on ne disent pas que la déesse des rêves ne sait pas recevoir.
Bien chacune fait la queue pour venir tenter de tiré la petite bille dorée. Tourné moi la petite manivelle, personne ne serra perdante de toute façon. Je vous ai toute supprimé votre nuit de cauchemar pour vous offrir se rêve. Regardé moi le panneau des cadeaux, une petite bille en bois, une assurance de rêve apaisant pour une semaine, une bille rouge une semaine de rêve des plus agréable, une bille argent un rêve prémonitoire qui pourra anticipé un événement important de votre vie, puis la bille d’or ma fille en cadeau comme esclave à votre réveil.
Ça fait des heures que des femmes de tous les horizons tentent leur chance. J’ai même offert des rêves des plus érotiques à une souveraine tourmenté et même changé le destin d’une fille des bidonvilles. Mais personne n’as encore ut la chance de gagné ma fille adoré. Oh la sonnerie de félicitation, quelqu’un viens de réussir à décrocher l’or. Voyons qui est ?
Parfait réveil toi mon enfant, réveil toi et écoute on t’appel. N’entent tu pas ? Tes serviteur te font par d’une visite. Mes renardes t’attendent avec un beau cadeau rien que pour toi. Aller maintenant ouvre les yeux !
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Les évènements de ce RP ont lieu avant le départ d’Herebos.
Le Palais royal de Papua (http://orig13.deviantart.net/a01a/f/2010/170/a/d/palace_by_nuro_art.jpg) était une magnifique demeure, classée au patrimoine historique de Papua, et à celui d’Ashnard. Il se dressait sur un montagne, relié à la capitale de Papua par un solide pont surplombant un fleuve. Depuis les terrasses et les hautes tours de Papua, on pouvait voir les ruines d’une ancienne cité submergée dans l’eau, témoignage du riche passé de Papua. Le Palais était le siège du pouvoir, et abritait la demeure royale des Thoris.
Rhian avait passé une agréable nuit. Comme toujours, elle passait ses jours à s’instruire, et à s’entraîner. C’était un jour assez excitant pour elle, car Herebos allait l’entraîner aujourd’hui. Et ça, plus que tout le reste, ça l’enthousiasmait toujours. Il fallait bien avouer que son père, Tomeyrus, n’aimait pas l’idée qu’elle s’entraîne à l’épée, estimant que ce n’était pas son rôle. Herebos avait, fort heureusement, un avis contraire, et lui avait fait forger une précieuse dague, auprès d’un forgeron nain assez talentueux, Gulrus. Elle était toujours impatiente de s’entraîner avec lui, de se battre, et d’améliorer ses talents.
*J’espère mieux m’en sortir que la dernière fois...*
La Princesse prit tranquillement son bain, et, une fois prête, enfila elle-même sa tenue. Comme toujours, Rhian s’habillait de façon légère et sensuelle (http://image.noelshack.com/fichiers/2014/42/1413656919-image-3.jpg). Elle portait une courte cape violette et une série de bracelets et de bijoux dorés très précieux. Bien sûr, elle pouvait s’aider de servantes pour se vêtir, mais Rhian préférait généralement le faire elle-même.
Finalement prête, elle sortit de ses quartiers, et descendit à peine une volée de marches qu’un page s’approcha d’elle.
« Majesté... Une troupe de kitsunes est dans le Grand Hall, et sollicite votre présence.
- Ah bon ? Qui les envoie ? Encore un prétendant ? Je n’ai pas été prévenue...
- Rien à voir, Majesté, mais ils ont expressément demandé à s’entretenir avec vous. »
Rhian ne put s’empêcher d’être surprise.
« Euh... Moi spécifiquement ? Ni Père, ni Mère ? »
Le page acquiesça.
« Bon... Eh bien, d’accord... »
Elle ne voyait pas trop pourquoi elle aurait refusé, de toute manière, et se rendit vers le Grand Hall, une grande pièce à l’entrée du Palais, semi-recouverte...
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Bien observons tout ça, j’ai beau être Kimiho la déesse des rêves ça ne m’empêche pas de pouvoir voir la réalité ou plutôt d’en rêver. Dans une grande salle voici ma cher Yuki (https://image.noelshack.com/fichiers/2017/44/7/1509878906-sample-469054f7cd5e92c9020f04e2657689c3.jpg) et son escorte de Kitsune. Oh et voici ma fille fer au poignets tenue par une chaine et les yeux bandé avec une gag ball à la bouche. Qu’elle est belle ainsi. Quel bel endroits ce hall en partie ouvert c’est une toute autre architecture que mes temples il faut le reconnaitre. Alors que se passe-t-il ? Ah voici enfin l’heureuse gagnante. Bien Yuki approche là donc.
-Bonjour à vous Princesse. Je viens à votre rencontre de la part de la déesse des rêves Kimiho. Cette nuit vous avez participé à son jeu onirique et je viens en son nom vous apporté votre récompense.
Voilà une présentation rapide, mais es qu’elle se souvient au moins de se rêve ? Qu’importe après tout ça récompense est là. C’est ça adorable renarde tire sur la chaine pour la rapproché et lui laissé observer.
-Voici Kanede, une esclave, votre esclave que vous avez gagné et qui vous es offerte par la déesse.
Oui vois ma fille, n’es pas un beau cadeau que je t’offre ? Bien sûr tu ne me vois pas et tu ne m’entends pas, mais ses fidèles sont là pour te l’offrir.
-Elle vous est donc offerte et prêts à obéir ou subir tout se vous voudrez. Et recevez les félicitations de la déesse pour avoir remporté le premier prix. Elle espère que vous lui offrirez des rêve passionnant.
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Ignorant tout de cette mystérieuse délégation, Rhian arriva en compagnie de ses meilleurs gardes : ses trois lions. Baja, Naja et Taja l’accompagnèrent donc, sans chaîne, sans collier, dans son dos, poussant de légers grondements. Une kitsune s’adressa rapidement à elle, Yuki, et lui expliqua venir de la part de la Déesse des Rêves, Kimiho... Rhian n’avait jamais entendu parler de cette Déesse, et tourna la tête vers l’esclave située derrière Yuki, une jeune femme (http://img110.xooimage.com/files/6/5/0/anime-pictures.ne...t-viewer-47dd737.jpg) qui portait un gag-ball sur les lèvres, et était assise à même le sol, en position de soumise.
*Hein ?!*
Autant le dire franchement, Rhian était perplexe. Elle regarda Yuki en clignant des yeux à plusieurs reprises, puis à nouveau l’esclave.
« Je... Euh... Pardonnez-moi, Yuki, je manque à tous mes égards en ne vous souhaitant même pas la bienvenue dans le Palais, mais... »
Rhian se tut, remettant de l’ordre dans ses pensées. Elle était très confuse en ce moment, essayant de comprendre ce qui se passait, qui était cette femme, et ce qu’on lui voulait. Rhian ne se souvenait guère du rêve qu’elle venait de faire cette nuit. De quoi avait-elle bien pu rêver ? Sûrement de son frère, ou de ses entraînements...
« Écoutez, je ne comprends rien à cette histoire. Je... Qui est cette esclave ? Et qui êtes-vous, vous ? Je n’ai jamais entendu parler d’une Déesse des rêves, et... Pourquoi m’offrir un esclave ? Je vous avoue ma grande perplexité... »
Pour ne pas dire « incompréhension ». Avant d’accepter ce cadeau, Rhian avait tout simplement besoin d’en savoir plus !
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Alors ma petite Yuki comment tu vas réagir à ça ? Aucun souvenir de son rêve, il va falloir que je modifie ça à l’avenir, c’est vrai que ce n’est pas pratique. Bon au moins, elle garde son calme et ne se laisse pas impressionné par ses bêtes. En même temps mes servantes ne craignent pas grand-chose dans ce monde. Que vas-tu lui répondre ?
-Je comprends, vous ne vous souvenez pas de votre rêve, ce n’est pas rare après tout. Laissez-moi tout vous réexpliqué. Première chose qui est la déesse Kumiho. C’est une déesse des rêves, elle n’appartient pas vraiment à panthéon particulier. Elle existe tant que des mortel son capable de rêvé. Elle se contente d’observé les rêve des mortels et parfois les influence. Nos rêves sont pour elle un divertissement.
Dit comme ça elle va me prendre pour une voyeuse. J’espère que ça ne va pas la dissuadé de dormir de se savoir épié dans ses rêves. Enfin ce n’est pas comme si j’était la seule déesse a observé les mortels.
-Moi je suis Yuki, je suis une messagère de la déesse, je transmets la volonté de ma déesse parmi les mortels. Pour en revenir à votre situation, parfois Kumiho organise un rêve particulier. Un rêve qui invite toutes les personnes dormant à ce moment là dans le monde entier sans discrimination à le rejoindre. Durant se rêve au quel vous avez participé cette nuit, vous avez participé à son jeu. Une loterie pour être précise.
Et oui une loterie, à cette échelle c’était pas simple à organisé, j’ai dû trier les dormeurs en plusieurs catégorie avec différent type de lot à gagner. C’est ma façon à moi de remercier les mortels de me distraire et de me maintenir.
-C’est dans se rêve et dans votre catégorie que vous avez gagné le premier prix qui est cette humaine. Cette jeune fille est votre récompense quand vous lui retirerez sont bandeau elle vous sera entièrement dévouer. Elle serra votre esclave et vous pourrez la modeler comme bon semble, servante, amante, animal de compagnie ou tout ce que vous voudrez.
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Fort heureusement, les Papuans n’étaient pas un peuple de sceptiques. Rhian croyait très aisément dans les Dieux, les esprits supérieurs. Papua était un royaume baigné de magie et de légendes ancestrales, de contes folkloriques sur les djinnset les esprits des sables. Pour autant, elle devait bien admettre que tout ça ne manquait pas de la surprendre. Ainsi donc, elle avait été « visitée » pendant la nuit par une Déesse des songes ? Tout cela pouvait certes être un fieffé mensonge, mais Rhian n’y croyait pas trop. Non, elle était convaincue que cette femme, cette Yuki, cette messagère, était honnête. Évidemment, Rhian était un peu surprise, surtout en apprenant que la finalité de tout ça, le cadeau de cette Déesse, était une esclave.
Une jeune fille qui avait les yeux bandés et la tête baissée, en position de soumission. Rhian, silencieuse pendant les explications de Yuki, s’approcha lentement. Elle était perdue dans ses pensées, cherchant à les réunir en un ensemble cohérent, et observa pendant quelques instants Yuki, puis l’esclave.
« Je vois... Eh bien, il serait mal aisé de refuser un cadeau divin, n’est-ce pas ? »
Question purement rhétorique, Rhian n’attendait pas une réponse. Elle se pencha vers la jeune femme, et sa main caressa doucement sa joue. Avoir un esclave ne risquait pas de déranger très particulièrement Rhian, elle qui possédait, après tout, un harem !
« Mais... Puis-je en savoir plus sur elle ? Son parcours ? Comment s’appelle-t-elle ? » demanda-t-elle, afin de se renseigner.
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Bien les choses avancent, notre gagnante ne semble pas doutée de la vérité qui lui est dicté par ma belle Yuki. Regardez la faire danser ses queues dans son dos. Maintenant que les choses sont plus claires parlons un peu de ma petite Kanede, vas s’y Yuki explique lui ce qu’elle doit savoir. Mais attention, notre gagnante et si proche de ma fille, il ne faudrait pas trop qu’elle en sache comment vas-tu faire ?
Hum un petit signe à tes kitsunes ? Oh chacune vient poser une main sur une oreille de Kanede et toi ? Tu te glisses dans le dos de notre gagnante ? Hum on pourrait croire que c’est toi le cadeau vue comme tu te colle à elle pour lui murmurer tes réponses.
-Son petit nom est Kanede, elle est la fille d’un des plus grand conquérant d’un autre monde et la déesse elle-même. Mais ça notre petite esclave n’a pas besoin de le savoir. Comprit ?
Effectivement, ses origines réelles lui sont inconnue et ses bien volontaire, comme ses fameux rêves qui sont réalité ses autres vie. Un être si riche de vie et d’expérience, ma seule et unique fille de sang. Même si les kitsunes son en quelque sorte mes filles aussi, mais c’est différent. Oui décale toi d’elle, je ne suis pas sûr que ses gardes apprécient que tu te colles de façon si sensuelle à leur maitresse.
-Elle est très fidèle et du moment que ses yeux se seront posés sur vous, elle vous verra comme sa maitresse de toujours. Elle est prête à accepter tous les sorts que vous pouvez lui réserver. Elle a des compétences de servante classique, cuisines, ménage, habillage et couture. Mais surtout c’est une éponge à apprentissage, ainsi vous pouvez la dresser et la modelée comme vous le voudrez. Un animal de compagnie ? Une garde du corps ? Une amante ? Ou encore ce qui pourrais vous passez par la tête. Oh et surtout ne prête pas attention à ses origines, se que vous en ferrez bien ou mal ne vous serra pas reprocher. Vous pouvez même la tuée sur le champ si vous n’en voulez pas, ma déesse ne vous le reprochera pas.
Effectivement, mais ça serait bien dommage après tout. Même si je peux lui offrir une nouvelle vie par la suite. Tout mal qu’elle vivra dans une vie serra compenser de bien dans une autre. Et oui ma fille est être bien a part dans cet univers.
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Cette histoire était… Invraisemblable. Digne d’un conte de fées farfelu. Rhian ne savait pas jusqu’à quel point elle pouvait donner crédit aux explications de la femme. Elle lui expliqua que Kanede était une femme originaire d’un autre monde, fille d’un conquérant et d’une Déesse. Une sorte d’Hercule au féminin, donc… Mais entièrement soumise. L’ensemble était très étonnant, et Rhian, qui n’avait en soi aucune raison de croire qu’on lui mentait, en vint quand même à se demander ce qui se passait vraiment. Ne cherchait-on pas à lui jouer des tours ? Tout ça semblait un peu trop gros pour être honnête… Mais, encore une fois, cette femme n’avait aucune raison de mentir.
« D’un simple regard, elle me servira, donc… »
Rhian récapitulait à voix haute ce que l’émissaire, au demeurant très tactile, venait de lui dire. Que pouvait-elle faire de cette Kanede ? Rhian n’était pas en soi une guerrière, mais Papua tolérait l’esclavage. La famille royale disposait après tout d’un harem, et d’esclaves personnels. La Papuanne se rapprocha lentement de Kanede, et mit le genou à terre. Sa main se posa sur les cheveux de la femme, et elle les caressait doucement.
Plongée dans ses pensées, Rhian finit par attraper le bandeau, et le retira brusquement. L’objet tomba au sol, et la main de Rhian se posa ensuite sur le menton de la femme.
« Regarde-moi, Kanede… »
Elle l’aida avec sa main, appuyant doucement dessus. Les yeux violâtres de Kanede se fixèrent alors sur les siens, et Rhian lui sourit légèrement.
« Je m’appelle Rhian, Kanede. À partir de maintenant, et jusqu’à ce que tu meures, ou que je ne décide de te congédier, tu es mon esclave. »
Le choix était fait !
« Feras-tu tout ce que ta Maîtresse te demande sans hésitation ? » demanda-t-elle quand même, juste pour s’assurer de la réponse que l’esclave allait fournir.
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Rêve de Kanede Imisu (http://img110.xooimage.com/views/6/5/0/anime-pictures.ne...t-viewer-47dd737.jpg/).
Il fait chaud autour de moi…Je n’y vois rien, c’est vrai que j’ai une mauvaise vue, mais là quelque chose me bloque la vue totalement je suis plongée dans la noir. Pourtant je pressoir sur la peau la chaleur environnante. Il n’y a pas que ma vue qui est entravé, ma bouche est retenue pour une sphère qui me fait saliver, et mes membres se tenue par des fers. Mais ce n’es rien je sais se qu’il se passe je l’entends. Les renardes sont là, c’est elle qui me livre, elles m’apportent à ma nouvelle Maitresse.
Je vais pouvoir de nouveau servir à quelqu’un. Je ne suis pas la fille de mes rêves, pas cette élève dans une école qui fait du dessin et écris des histoires. Non je suis une esclave qui vas enfin retrouver une utilité. C’est vrai que je suis prix offert après un jeu, mais offert par qui ? Je ne me souviens plus, qui es mon propriétaire actuel ? J’ai l’étrange sensation d’avoir oublier mon passé et pourtant…pourtant mes rêves son si clair…Je m’en souviens très bien…
Oh c’est ça main que j’ai senti sur la joue ? Je la sens si proche de moi…Tien ? Pourquoi je n’entends plus la voix de la renarde ? Moi aussi j’aurais bien voulu savoir qui je suis. Peut être que je n’ai pas à le savoir ? Je sens la patience me faire défaut, j’ai hâte de découvre cette femme à qui je suis offerte, je ne sais pas ce qu’elle va me réserver, mais qu’importe ce qu’elle ferra de moi, je veux resservir quelqu’un je veux être utile à quelque chose.
Ah mes yeux ! Je n’ai plus vue la lumière depuis si longtemps, j’ai la vue brouillé…Enfin, son visage se dessine devant moi…Elle est belle…Magnifique…Je…je lui appartiens ? C’est elle ma Maitresse ? Je veux lui appartenir, Je le sens, j’ai le sentiment que c’est elle ! Si je vais la servir jusqu’à ma mort ? Bien sûr ! Mais je peu pas lui reprendre, j’ai cet objet en bouche…Oh je sais il faut que je hoche la tête…oui voilà, je le veux, je le veux, je veux être utile !
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Rhian sourit en voyant le regard mauve de la jeune femme. Elle en avait oublié le gag-ball restreignant les sons de la jeune femme, et l’observa silencieusement. La Princesse avait encore bien du mal à croire à tout ce qui se passait. Mais elle savait aussi qu’il était très mal vu de refuser le cadeau d’une Déesse. Elle se renseignerait, toutefois, afin de s’assurer que ceci ne soit pas un piège, un mensonge, ou on ne sait trop quoi... Les Ashnardiens devaient sûrement avoir entendu parler de la Déesse Kumiho, Déesse des songes. En tout cas, Rhian vit la jeune esclave hocher la tête, acquiesçant visiblement vigoureusement à l’idée de la servir. Rhian sourit alors, et caressa avec sa douce et chaude main la joue de la jeune fille.
« Bon... »
La Papuanne glissa ses mains sur les sangles du gag ball, et le retira lentement, puis déposa l’objet au sol. Elle posa ensuite sa main sur le menton de la femme, serrant ses doigts contre cette partie de son corps, puis se courba vers elle, et l’embrassa tendrement sur les lèvres. Le baiser dura quelques secondes, puis Rhian se releva encore, dominant la femme de sa hauteur.
« Tu as bien compris, Kanede ? Tu es mon esclave... »
Visiblement, cette idée ne semblait guère déranger Kanede. Rhian hocha la tête, et s’écarta alors, tournant le dos à Kanede. De cette manière, la jeune esclave put voir sa magnifique chute de reins, son fessier agréablement rebondi, ce corps parfait et svelte. Oui, Rhian était somptueuse, et mettait généralement ses formes en valeur. Le long de ses fesses, elle portait un léger châle transparent, par exemple, qui magnifiait son corps.
Rhian s’assit sur son trône, au milieu d’une cour qui se remplissait. Gardes, aristocrates, serviteurs... Rhian s’éclaircit alors la voix, et parla d’une voix forte :
« Kanede, marche à quatre pattes jusqu’à ta Maîtresse, et lèche-moi le pied. Montre-toi obéissante, et tu seras ma petite chienne personnelle ! »
Et Rhian devait bien admettre que l’idée procurait en elle de légers frissons d’excitation...
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Je la vois enfin, si proche, si belle je me sens ridicule à côté d’elle. Sa main si douce sur ma joue…je me sent déjà complétement envouté. Elle me libère la bouche…ah je sens ma salive coulé partout…oh ses lèvres ! Elles sont encore plus douces que ses mains ! Oh oui c’est bien elle ma Maitresse, elle me le confirme.
-Oui Maitresse, je suis votre Esclave !
Je m’en sens réjouit, es que ça se voit ? Son dos est si beau…ses jambes, son fessier, tout chez ma Maitresse reflété la beauté. Les renardes autour avec leur peau si blanche font bien pale figure à côté d’elle. Tien les renardes ? Elles sont où ? Oh je les vois s’effacé ! Elle on surement finit leur livraison. Je me retrouve donc seule avec ma Maitresse ? Quoi que non, je vois du monde tout autour qui bouge…Peu importe ma Maitresse parle si belle sur son trône !
La rejoindre à quatre pattes et venir lui lécher les pieds ? Dans cette pièce à première vue royal et devant tout ce monde ? Si c’est ce qu’elle veut alors soit ! Que je sois vue comme son esclave par tous, qu’ils me reconnaissent comme ça chienne comme elle le dit, du moment que ça lui fait plaisir. Alors me voilà à quatre pattes, sans honte, je veux juste qu’elle me reconnaisse comme sa chienne comme elle a dit.
Alors son délicat pied entre mes mains, passé ma langue dessus, le léché comme il se doit, s’occupé de ses orteils les léché les sucée…Es que je fais ça bien ? Es que ça lui plait ?
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C’était donc acté ! En rêvant, Rhian avait récupéré une esclave ! Comme quoi, à Terra, tout était possible ! C’était là la volonté des Dieux, tout simplement... Et qui était-elle, elle, pauvre mortelle, pour prétendre s’y opposer ? Elle laissa donc Kanede se rapprocher, tout en s’installant sur le trône. Il n’y avait pas qu’elles ici, mais aussi les gardes, quelques pages, des courtisans... En plein public, le geste était donc particulièrement humiliant, mais Kanede ne s’en familiarisa pas outre mesure, et se rapprocha rapidement.
Kanede se retrouva donc devant Rhian, et lécha ses pieds, glissant sur ses orteils, les fourrant dans sa bouche, tout en regardant régulièrement sa propriétaire, espérant bien que Rhian l’accepterait comme son esclave. La Papuanne observa Kanede, puis les kitsunes. Elle avait bien compris qu’elles n’attendaient rien en échange. Kanede était très servile, mais, à bien y réfléchir, si Rhian avait entendu parler de sa soumission, elle ne savait pas grand-chose d’autre. Toutefois, et avant de l’interrompre, elle la laissa encore jouer avec son pied, le léchant bien proprement, déposant une série de baisers dessus. Le fétichisme... N ?’était-ce pas l’une des manières les plus simples au monde d’illustrer la domination d’un individu sur un autre ?
Rhian se tut donc pendant quelques instants, puis finit par se racler la gorge :
« C’est bon, ma chienne, arrête. »
Et ladite chienne obtempéra sagement. Jambes croisées, Rhian réfléchit un peu, main en appui sur sa tête, et enchaîna :
« Alors, dis-moi... Es-tu vierge ? Et... Est-ce que tu as des capacités particulières ? Une affinité avec la magie, par exemple ? Des dons exceptionnels ? »
Cela, après tout, elle n’en savait rien...
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Je passe ma langue bien partout, pour vue que je fasse bien. Léché les pieds de ma Maitresse, voilà quelque chose que devrais faire souvent ? Si c’est ce qu’elle veut, il va falloir que je m’applique ! Oh je dois m’arrêter ? Bien, cette main sur ma tête, un signal de sa part ?
Des capacités ? Des dons ? Voilà des questions, que lui répondre ? Faut que je réfléchisse. Qu’es que je sais faire qui pourrais l’intéressé à savoir ?
-Je sais cuisiner, faire le ménage, prendre soin des gens…euh plus particulier je sais préparer toute sorte de produit curatif. Potion, boisson, baume et autre.
Quelque chose d’extensionnel il y a mes rêves, mais ça je doute que ça lui serve à quelque chose de le savoir. Quoi d’autre ? Ah oui les renardes.
-Je ne sais pas trop si on peut aller ça un don, mais il y parfois des renardes comme celle qui mon conduite ici.
Mince elle se sont déjà volatilisé…enfin elle a bien dû les voir vue que se sont elle qui m’ont livré à elle.
-Elle apparaisse de nulle part et me guide sur des choses que je dois faire ou voir, puis elle disparaisse aussi vite. J’ignore qui elles sont…
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Il n’y avait plus qu’elles... Enfin, à l’exception du reste de la Cour. Rhian avait donc acquis une nouvelle esclave, et devait bien admettre qu’elle était... Intriguée. Outre le caractère très ubuesque de cette rencontre, elle ne savait plus où donner de la tête. Quelles autres surprises Kanede ou sa Déesse lui cachait-elle ? En tout cas, l’esclave ne semblait avoir aucune capacité surnaturelle, mais avait été bien formée pour l’esclavage. Elle savait cuisiner, repasser, et avait visiblement des compétences en matière d’alchimie. Rhian l’écoutait silencieusement, songeuse. Qu’allait-elle faire de cette jeune femme ? Les idées ne lui manquaient pas vraiment, mais elle devait encore faire de l’ordre dans ses pensées. Ce n’était pas tous les jours, en effet, qu’une scène comme ça vous arrivait !
« Je vois... Tu es donc une parfaite servante, Kanede. Je crois qu’on pourra te trouver pas mal de fonctions ici. »
Que ce soit dans les cuisines ou dans les appartements. Elle pouvait par exemple s’occuper du ménage dans les quartiers de Rhian. Kanede n’était pas l’esclave de la Couronne, mais bien celle de Rhian, une esclave personnelle, qui serait à son service. On aurait toujours pu croire à un piège, à une espionne envoyée pour lui faire du mal, mais Rhian n’y croyait pas vraiment. Tout ça semblait... Bien trop incroyable pour être le fait d’un piège quelconque.
Rhian resta songeuse à nouveau, et ordonna à Kanede de se relever, et de se mettre sur ses genoux. La jeune esclave obtempéra, et se retrouva donc assise contre sa Maîtresse. Une main sur ses cheveux, Rhian caressa les lèvres de la femme avec l’autre. Ses doigts étaient finement manucurés, et elle embrassa doucement la jeune femme sur les lèvres, pendant quelques secondes, avant de reprendre :
« Et pour ce qui est de tes performances sexuelles ? Tu as des préférences ? Ou tes fantasmes sont les miens ? Et est-ce qu’on t’a déjà fait l’amour, ma belle ? »
Des questions qui étaient également très importantes... Bien plus que ce qu’on pourrait croire de prime abord en tout cas !
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Je suis contente de la savoir, je devais pouvoir être utile à ma Maitresse. C’est tout se que je demande après tout. Oh me mettre à genoux, bien sûr. Me voilà donc à ses pieds c’est agréable de sentir ainsi ses mains dans mes cheveux, sur mes joues et même ses lèvres sur les miennes. Oh oui si agréable…Mon expérience sexuel l’intéresse, hum après tout se n’est pas rare pour des esclaves d’être confronté à ça. Certain servent même qu’à ça.
-Je suis formé au sexe sous beaucoup de ses formes. J’ai quelque expérience mais uniquement avec des femmes.
C’est vrai quant y repensant j’ai que des expériences avec des femmes, il faut dire que j’ai ut que des maitresses. C’est surement pour ça.
-Mes fantasme sont les votre Maitresse. Je suis là pour vous faire plaisir et vous plaire. Alors je ferrais et subirait se qu’il vous plaira.
Un beau sourire pour montrer ma motivation. Je ne sais pas se qu’elle me réserve niveau sexe, mais si elle m’en parle c’est qu’elle à des idées en tête. J’ai hâte de savoir quoi.
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Que faire d’autre avec une esclave comme ça que lui faire l’amour ? Rhian comptait bien lui donner d’autres tâches, mais, pour l’heure, il était temps que Kanede découvre l’hospitalité papuanne. Elle lui sourit donc, et caressa ses cheveux devant les propos très serviles de la femme. Pas de fantasme, si ce n’est les siens... Rhian hocha la tête, et claqua des doigts, demandant à ce qu’on lui apporte un collier avec une laisse. Pendant ce temps, elle demanda à Kanede de grimper sur ses genoux. La jeune servante obtempéra, et Rhian s’empressa de l’embrasser tendrement. Elle caressa ses cheveux, ses cuisses, pressant ses lèvres contre les siennes, l’embrassant longuement, rompant le baiser, pour le reprendre ensuite, frottant son corps contre le sien.
« Voilà, ma belle... Tu as des lèvres très agréables, tu sais. »
Elle lui sourit tendrement, et une servante approcha, tenant un plateau en argent avec un élégant collier doré, accompagné d’une laisse. Rhian hocha la tête, et reposa doucement Kanede au sol, puis récupéra le collier. Lentement, elle se pencha ensuite, et l’attacha doucement à son cou. C’était un léger collier en cuir, qui ne gênait pas trop, et était même plutôt élégant. Elle attacha ensuite la laisse derrière, et se redressa en souriant légèrement.
« Prête, ma chérie ? »
Rhian tira ensuite sur la laisse, et se mit à marcher, calmement, se dirigeant vers sa chambre.
« Je vais bien m’occuper de toi, Kanede, tu verras... Il y a beaucoup de choses à faire pour toi ici, à Papua, tu ne regretteras pas de m’avoir comme Maîtresse... Mais bon, ça, je crois que tu ne le regrettes déjà pas, n’est-ce pas ? »
Question purement rhétorique, en réalité, tandis que le duo s’avançait dans des couloirs agréables et aérés, luxueux et élégants, témoignant de la richesse des lieux...
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Ma réponse ne semble pas trop la surprendre. Après tout c’était un peu ce qu’était censé répondre une esclave. Même si certain on surement leur propre envie. Je ne sais pas mais moi je suis comme ça, je ne pense qu’au plaisir de ma Maitresse, même si je la rencontre juste. Oh un collier pour moi ? Je suis curieuse de voir à quoi il va ressembler. Il y a donc des servantes plus ordinaires pour ce genre de service. Monté sur ses genoux, avec plaisir, je n’espère ne pas être trop lourde. Bon je suis petite et légère ça devrait aller…ah ses lèvres son si agréable. Oh elle apprécie les miennes, sa fait plaisir.
-Ah vous aussi Maitresse !
Oh voila le fameux collier. Je descends, c’est vrai que c’est plus pratique pour me le mettre. Elle y va doucement, se me donne des frissons d’excitation. Sa confirme que je lui appartiens. J’aime bien sa couleur en plus. Une laisse en plus, je ne sais pas trop pourquoi, mais j’aime bien les laisses, me faire entrainer comme le souhaite ma maitresse, se petit coté animal de compagnie, oui j’aime bien ça. Il ne me reste plus qu’a la suivre ainsi tirer comme un petit chien ou chienne pour moi.
-Je vous suis Maitresse.
Ses mots ! J’adore entendre ça, bien s’occupé de moi. Je ne sais pas se qu’elle entend par là. Que se soit en bien ou en mal tant que je ne suis pas délaissé ça me convient. Oh non je ne risque pas le regretté.
-Oh non je regrette rien, je préfère servir quelqu’un que resté simple attaché à attendre que quelqu’un est besoin de moi.
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La chambre de la Princesse de Papua était à la hauteur de son statut : belle, grande, agréable, luxueuse… Il y avait un grand lit à baldaquin avec une moustiquaire, et une terrasse, séparée de la chambre par des rideaux blancs qui ondulaient lentement sous l’effet du vent. L’ensemble était très agréable, avec un canapé circulaire dans un angle, comprenant un nombre élevé de coussins. De la tapisserie recouvrait les murs, et un énorme tableau représentait les parents de Rhian, prenant la pose. Tomeyrus était debout, le regard sévère, sa main posée sur l’épaule de Khaora, assise sur le trône, qui souriait doucement en tenant entre ses mains un petit bébé encore enveloppé dans un fin drap blanc. On voyait l’un des pieds du bébé, et la main de la Reine s’approchait doucement de son visage. Elle tenait un hochet, et les rubis à ses doigts étincelaient. Le titre du tableau était très évocateur : « La Naissance De Rhian ». Il était donc normal que le tableau orne sa chambre. Un grand et beau tableau à l’huile, qui remplissait une bonne partie du mur.
En outre, de l’encens donnait à la pièce une agréable odeur. Tenant toujours Kanede par la laisse, Rhian se rapprocha du lit, et une petite silhouette ne tarda pas à en émerger, avant de bondir au sol. Rhian sourit, et caressa le corps de la bête. On aurait pu croire à un chat, car il s’agissait bien d’un félin, mais…
« Kanede, je te présente mon petit animal de compagnie. »
Elle lui expliqua qu’elle s’appelait Tisha (http://img110.xooimage.com/files/1/9/b/b-b--panth-re-amo...pinay-61-546cf31.jpg), et n’était rien de plus qu’un bébé panthère. Un bien curieux animal de compagnie ! Ceci dit, Kanede ne devait pas encore savoir que Rhian avait comme autres animaux de compagnie trois redoutables tigres, Naja, Baja, et Taja. Ils n’obéissaient étrangement qu’à elle, et étaient souvent parfaits pour chasser les prétendants un peu trop collants. Tisha était en tout cas très câline, et Rhian la prit entre ses bras tout en s’asseyant sur l’un de ses fauteuils. Pendant plusieurs secondes, elle joua avec la petite bête, avant de finir par la relâcher. Tisha grogna légèrement, et observa silencieusement Kanede, la reniflant un peu, puis bondit ensuite sur un coussin rose assez rembourré pour poursuivre sa sieste.
Rhian sourit encore, rêveusement, puis observa ensuite Kanede. La jeune esclave devait très certainement attendre la suite, et Rhian se pinça doucement les lèvres.
« Voici ma chambre, Kanede, comme tu as sans doute pu le deviner. Tu devras veiller à l’entretenir régulièrement. Faire le lit tous les matins, les coussins, nettoyer les poils de Tisha, la brosser, passer la serpillière, le balai… Et t’occuper de moi. »
Rhian avait déjà toute une équipe pour ça, et l’assistance de Kanede ne serait pas trop. Toutefois, entretenir les quartiers de la Princesse n’était rien par rapport à sa dernière phrase, qu’elle avait lâché hâtivement, presque comme si ça n’avait aucune importance : s’occuper d’elle. Mais que voulait dire Rhian par là ? Elle se releva, et sourit mystérieusement à Kanede, avant de se rapprocher d’une porte latérale.
« La porte au fond, de l’autre côté, mène à la salle de bains. Ici… Tu verras par toi-même. »
La porte s’ouvrit sur une pièce très sombre. Rhian y fit entrer Kanede. Il n’y avait aucune fenêtre ici, et un courant d’air frais les traversa. Rhian s’assura que Kanede soit entrée avant de fermer la porte. Elle récupéra une lampe à huile côté de la porte, et appuya dessus, déclenchant une flammèche qui enflamma une sorte de tige. Le feu se répandit à travers la tige, et éclaira un chandelier au-dessus d’elles.
Kanede put ainsi voir un chevalet, une croix de Saint-André, des sangles, un présentoir avec des fouets, un placard fermé...
« Bienvenue dans mon donjon, Kanede ! C’est là que tu passeras une bonne partie de ton temps, entre mes mains… » rajouta Rhian, avec une pointe de sensualité et de malice.
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C’est étrange, mais j’aime bien suivre ma Maitresse comme ça tenue en laisse. Se sentiment de lui appartenir d’être diriger selon ses désirs…Voilà donc notre destination sa chambre. Qu’elle est grande ! C’est luxueux, ça à l’air confortable aussi. C’est sa famille sur le tableau ? Et le petit dans le drap c’est ma Maitresse enfant ? Oh, il m’a fait peur. C’est quoi un chat ? Euh non je ne crois pas, on dirait plutôt un petit d’une autre espèce de félin…il est adorable. Pour l’instant il à l’air d’un mignon petit animal de compagnie, mais plus tard, il ne risque pas être dangereux ?
-Il est mignon.
Pour l’instant j’ai envie de la prendre dans mes bras, mais je vais me retenir. De toute façon il préfère la Maitresse. J’espère que plus tard il saura rester le même…enfin ce n’est pas à moi de le juger. En tout cas je devrais surement m’occupé de lui en plus de la pièce et de ma Maitresse. M’occuper d’elle ? Sa peut être tellement de chose, l’habiller, la coiffer, la laver ou des choses plus intime… Quoi que se soit je ferrais de mon mieux pour la satisfaire.
Oh il reste donc de la visite, une salle d’eau, bien sûr c’est une personne de haut rang, elle n’a qu’une grande chambre mais aussi une salle d’eau personnel. La aussi je devrais surement l’entretenir…Ah il y aussi autre chose ? C’est quoi cette pièce ? Il fait bien sombre et un peu frais se qui n’est pas désagréable. Ah un peu de lumière, alors voyons…Whoua ! C’est quoi tout ça ? Une salle de torture ? Un donjon ? Alors c’est ce qui m’attend aussi ? Une partie de mon temps ? Quand je ne la servirais pas je resterais attacher ici ? Olala je m’imagine déjà installer là-dessus. Il va falloir que je m’y habitue rapidement.
-Bien…bien sur je serrais ravie de m’abandonné ainsi entre vos mains.
Il va falloir que je sois forte et que j’assure. Même si j’appréhende un peu, je suis quand même curieuse de voir comment ça va se passer…
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Rhian esquissa un léger sourire devant la réaction de Kanede. La jeune femme allait-elle paniquer devant ce tableau très sensuel ? Le donjon de Rhian était un endroit très particulier, typique de l’atmosphère papuanne. Ici, la morale religieuse de l’Ordre Immaculé n’avait jamais pris court, elle n’avait jamais réussi à s’installer. Papua restait encore gouvernée par sa religion polythéiste, qui tolérait et encourageait la liberté sexuelle. Rhian se tenait donc avec Kanede, et la jeune femme observa nerveusement tous les instruments, craignant sans doute le pire. Rhian sourit alors malicieusement à cette dernière, et caressa de la main son visage.
« Ne t’inquiète pas, nous allons y aller progressivement, Kanede. Je ne suis pas une Maîtresse inutilement cruelle, tu sais. »
Elle lui sourit tendrement, et se déplaça ensuite, quittant le donjon pour rejoindre la pièce principale de ses appartements. Là, Rhian commença à retirer quelques-uns des très légers vêtements qu’elle portait, en l’espèce quelques ornements dorés. Elle retira surtout ceux à hauteur de ses seins, tout en tournant le dos à Kanede. Les bijoux dorés cliquetèrent en tombant sur le sol, puis la Papuanne se retourna ensuite vers Kanede, assise sur le lit.
Jambes sensuellement croisées, elle pencha doucement la tête sur le côté, et tendit sa main vers Kanede, avant de remuer le doigt, lui faisant signe d’approcher.
« Viens voir ta Maîtresse, ma belle... » glissa-t-elle.
Difficile de dire non, n’est-ce pas ? Kanede s’approcha donc, et Rhian écarta les jambes, tout en caressant d’une main la joue de la belle, puis alla l’embrasser tendrement, frottant son corps au sien.
« Hmmm... »
Une délicieuse mise en bouche, même !
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Se donjon personnel c’est donc se qu’elle me réserve…j’avoue que ça me fait un peu peur, mais en même temps c’est peut-être pas si mal. J’ai entendu parler de gens qui aimer se genre de chose après tout…Peut être que je vais aimer ça être attacher là et qui sais, il n’y a peut-être pas que la douleur qui m’attend.
Bon on ne va pas voire plus loin pour l’instant ? Elle retourne à la chambre, voudrais mieux que je la suive. Qu’es qu’elle fait ? Oh elle se déshabille ? Qu’elle est belle, se corps qu’elle a…je ne suis qu’une petite fille comparée à elle qui fait si femme, si mature…Oh oui il faut que j’approche bien sûr, je ne vais pas la faire attendre. Elle se forte contre moi, je me sens comme envouté par sa beauté, je me sens toute chose. Oh la la je dois être toute rouge.
Sa douce main contre ma joue, sa langue qui viens de ma bouche, je lui appartiens complétement, je…je crois que même sans mon statut je serais bien incapable de lui résister. Même si c’est de la torture sexuelle qu’elle me réserve, j’ai envie de découvrir tout ce qu’elle me réserve.
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Rhian ne la ferait pas souffrir par cruauté. Elle était certes sa Maîtresse, mais ça ne signifiait nullement qu’elle devrait être mauvaise avec elle. Elle ignorait encore vraiment de quoi Kanede était capable. C’était un étrange cadeau divin, et, si Rhian était convaincue que cette femme n’était pas un piège, elle sentait aussi sa jeunesse, sa fragilité. Et Rhian avait toujours eu le cœur sur la main. Généreuse et douce, elle prendrait son temps avec elle. Même si Kanede ne cessait de lui dire que Rhain pouvait faire avec elle tout ce qu’elle voulait, Rhian savait que les êtres humains n’étaient pas des automates, et avaient toujours des préférences. Il restait à les trouver, et, pour ça, rien n’était meilleur que l’expérience. Et, pour s’en convaincre, il suffisait de repenser au regard de Kanede quand Rhian lui avait dit de grimper sur le lit, qu’elle avait adopté une posture sensuelle. Ce que Rhian avait vu dans ses yeux, c’était un mélange de désir et d’innocence, car ce regard, elle le connaissait. Elle l’avait déjà vu chez d’autres, et elle s’en régalait à chaque fois.
Kanede l’avait donc rejointe, et Rhian, allongée sur elle, l’embrassa assez longuement. Un baiser qui s’entrecoupa de légers soupirs, avant qu’elle ne retourne à l’assaut, fourrant sa langue dans la bouche de la femme, caressant ses cheveux, sa joue, son épaule, frottant son corps au sien.
« Hmmm... »
La Papuanne savourait son corps, et, pendant ce temps, ses mains se déplaçaient. Sa langue jouait contre celle de Kanede, et elle titilla ses seins, pinçant délicatement son téton, appuyant sur son corps, sentant ce dernier répondre. Rhian rompit finalement le baiser, et se redressa lentement.
« Allez, ma chérie, montre-moi ton corps... »
En explorant son corps avec ses mains, elle avait compris comment la déshabiller, et c’est ce que Rhian fit. Ses mains tirèrent sur les boutons, déboutonnèrent, soulevèrent, et elle déshabilla ainsi Kanede. Lentement, délicatement, Rhian la mit toute nue, et observa son corps, en souriant encore.
« Tu es très belle, Kanede... Mais tes petits seins gagneraient à être plus gros. »
Rhian en caressa d’ailleurs un, et tira sur le téton, puis approcha encore ses lèvres, venant embrasser son cou, mordillant la peau située dans le creux, puis descendit encore, embrassant tendrement ses seins.
« Tu aimes quand je t’embrasse ici, Kanede ? »
Tout en l’embrassant, Rhian descendit sa main, la glissant entre les cuisses de la femme, et la caressa à cet emplacement. Elle ne cherchait pas forcément à la pénétrer encore, et caressait donc le pourtour de ses lèvres intimes, afin de faire doucement monter la chaleur dans le corps de Kanede...
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Me voilà allonger sur son lit et avec elle au-dessus de moi. Elle est si proche…si belle…si envoutante. Elle m’embrasse…et si bien en plus, heureusement que je sais y faire sinon j’aurais honte de la décevoir. Son corps qui se frotte contre le mien, son corps de femme contre mon corps de gamine… Pourtant elle passe ses mains sur moi, mes joues, mes cheveux, je lui plais ?
Oh elle retire le peu de vêtements que je porte, j’espère qu’elle en va pas être déçut. Sur ses terre désertique et chaude, les gens on la peau bronzé. Es que ma peau blanche va pas trop la décevoir ? Et mes petites formes ? Heureusement je ne ressens aucune honte à me montrer nue devant n’importe qui. C’est une des premières choses qui est appris aux esclaves après tout.
Elle me trouve belle ? C’est vrai ? Que ça me fait plaisir.
-Merci Maitresse, mais je suis loin d’égalé votre beauté. Et je ne dis pas pour flatter, mais sincèrement
Oui que je la trouve belle et envoutante…Elle joue avec mes petits siens…oui moi aussi j’aimerais qu’il soit plus gros…Sa renforce mon impression d’être une petite fille face à elle. Mais si je lui conviens ainsi alors tant mieux. Je me sens excité par ses caresses, pas son corps et ses mouvement si féminin, si sexy. Elle me tire les tétons, viens passé sa langue dessus…ah…ses si agréable si excitant aussi…oui mon corps ses chauffes, mes tétons réagissent, impossible de le nié, elle me fait un effet fou…
-Oh oui, j’aime beaucoup. Vous sentir contre moi, joué ainsi de mon corps, j’adore ça Maitresse.
Et ses mains qui s’approche de mon sexe, tout ça ne peu être qu’un début. Olala quand je pense à tout se qui se passé derrière…non il ne faut pas que je pense trop et que se savoure se moment, tout en restant prête à réagir. Pour l’instant elle savoure mon corps, et moi j’adore me laisser faire, mais peut être qu’elle vas me demandé d’agir aussi et il faut que je sois prête pour ça, même si mon corps lui est déjà prés.
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Rhian était supérieure à cette femme. Elle était sa Maîtresse. Elle était une Princesse. Et, même sans tenir compte du statut social, Rhian, avec sa peau basanée, ses formes magnifiques, son corps parfait, était aussi plus belle que Kanede. C’était incontestable, et Rhian ne cherchait pas à nier les évidences. Elle sourit donc quand Kanede, confuse, heureuse, et visiblement assez nerveuse, glissa qu’elle adorait que sa Maîtresse joue avec elle comme elle le faisait en ce moment. La Papuanne lui sourit encore, et se pencha vers elle, l’embrassant dans le creux du cou, léchant doucement sa peau, mordillant également légèrement sa chair.
« Hmmm... Tu as des petits seins, et un corps jeune, Kanede... Tu es un peu comme une belle poupée blanche... Ma poupée ! »
Pour Kanede, c’était sans doute un immense honneur que de savoir quelle serait sa position, son rôle... Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle était bien tombée. Rhian la fit lentement se tourner, et Kanede se retrouva ensuite couchée sur le ventre. Restant toujours contre elle, Rhian continuait à explorer son corps, y allant tendrement, patiemment, sans jamais chercher à vouloir la forcer. Elle savourait le corps de Kanede, tout simplement. Ses lèvres embrassèrent son dos, glissant sur ses omoplates, et elle continua ainsi à descendre, par le biais de multiples baisers, le long de son dos, jusqu’à rejoindre une partie plus bosselée.
Là, Rhian sourit, et déposa un premier baiser sur ses fesses.
« Tu as un joli cul, tu sais... Je n’ai pas l’habitude d’avoir des femmes à la peau aussi pâle dans mon lit, mais... J’aime ce changement, c’est nouveau. »
Rhian avait après tout davantage l’habitude des partenaires à la peau plus bronzée, comme elle. Elle déposa plusieurs baisers sur son postérieur, et le malaxa également avec ses mains. Même si elle avait compris que Kanede n’avait aucune intention de s’opposer à elle, et que ses goûts seraient ceux de Rhian, la Papuanne avait toujours aimé se renseigner sur les goûts personnels de ses esclaves. Et ce n’était clairement pas avec Kanede qu’elle allait déroger à cette tradition.
Par conséquent, Rhian enchaîna :
« Tu préfères que je t’embrasse où ? Sur le ventre... Ou sur le dos ? Sur les fesses, ou sur ton sexe ? »
-
Ah sa bouche dans mon cou, la langue de ma maitresse qui me léche la peau…J’en frissonne mais c’est un frisson agréable. Une poupée ? C’est plutôt jolie une poupée, je suis donc ça poupée ? Si c’est se qu’elle souhaite c’est avec plaisir.
Oh, elle veut que je me tourne, elle en donc finit avec mes petit sien pour l’instant. Me voilà alors sur le ventre et elle qui reprend à découvre mon corps. Je la vois moins, mais je la sens-là. Ah sa bouche sur la peau de mon dos, se contact si doux…oui je suis bien comme ça…je n’ai pas peur de me livrer à elle ainsi, même en sachant se qu’il y a dans la pièce sombre.
-Moi un joli fessier ? C’est vrai ?
Bien sûr, je ne veux pas mettre en doute ses paroles, mais je suis surprise. En même temps ça me fait très plaisir de le savoir. J’avais peur d’avoir peu de qualité face aux femmes de ce pays qui semble toute si belle et féminine comparé à moi. Maintenant ses mes fesses qui reçoivent leur par de baiser, jusqu’où je vais en avoir droit ? Oh voilà qu’elle m’en pose la question, es qu’elle aurait lut en moi ? Tous les choix son tentant, mais qu’es qui serrais le mieux ? Bien sûr vue mon état, j’ai bien envie de mon intimité, mais es que ça ne ferait pas trop perverse ?
-Ah…je…sur le sexe…vous n’avez pas encore regardé.
je suis certaine, je dois être rouge comme une tomate, je n’ai même pas osé la regardé en le disant. Mais je suppose que c’est se qu’elle attend de moi que je sois honnête avec elle non ?
-
Même si Kanede s’écrasait totalement devant elle, et lui avait avoué qu’elle obéirait à tous ses ordres, et que les fantasmes de Rhian seraient les siens, la Princesse ne comptait pas laisser la jeune femme s’en tirer si facilement. Ce n’était pas dans sa mentalité, et elle n’entendait pas laisser ainsi Kanede s’en sortir ! La jeune esclave allait devoir choisir, car Rhian n’était pas une tortionnaire, même si elle appréciait fortement l’idée d’avoir des esclaves. Cette fille était un véritable cadeau divin, et, rien que pour ça, Rhian comptait en prendre soin. Après tout, il ne fallait pas courroucer les Dieux, et la Papuanne ne comptait pas prendre ce risque. Elle laissa donc Kanede choisir... Et celle-ci, en rougissant timidement, demanda à ce que la Princesse s’occupe de son sexe.
Rhian sourit malicieusement, et la retourna donc à nouveau, la couchant sur le dos, puis posa ses mains à hauteur de ses cuisses, écartant ses jambes.
« Là, là, montre-moi ça, Kanede... »
Sa voix était douce, avenante. Elle ne voulait pas brusquer sa jeune partenaire, et, tout en écartant ses cuisses, vit son sexe. Une intimité qui avait déjà été épilée, ce qui la fit légèrement sourire. La Papuanne se pencha ensuite. Elle s’était en effet redressée pour écarter les jambes de la femme, et se courba donc, approchant son visage de son sexe, et le renifla doucement, avant de déposer plusieurs baisers dessus. Elle y allait tendrement, calmement, sans précipitation, afin de ne pas paniquer sa jeune partenaire.
« Comme ça, Kanede... ? Tu aimes ? »
Un nouveau baiser, et sa langue commença à se balader sur la peau de la femme, glissant naturellement le long de ses lèvres intimes...
-
Elle ne fait pas de commentaire sur mon choix, je suppose qu’elle l’a apprécié. Me voilà de nouveau retourné. Je la vois de nouveau face à moi…Elle m’écarte les jambes et s’approche. Oh la la je rougie surement encore, c’est si gênant et à la fois si excitant. C’est moi qui l’ai voulu de toute façon. Elle commence par venir en sentir l’odeur, j’espère qu’elle n’est pas désagréable…encore qu’elle n’a pas l’air d’avoir de réaction négative. Malgré la gêne, je n’arrive pas à décrocher le regard d’elle. Ah…elle viens de poser ses lèvres dessus, se contact est si doux…si agréable. Elle me demande se que j’en pense ? Impossible de le cacher !
-J’adore ça Maitresse !
Oh oui, la sensation de sa bouche sur mon sexe…mais ah ! Elle vient lécher maintenant, c’est encore mieux ! Oh la la voilà que je gémie comme une petite fille. Le plaisir qu’elle me donne juste avec sa langue et encore c’est peut être qu’un début.
-Hum…oui j’adore ça…
-
Ce qu’il y avait de bien avec les jeunes femmes comme Kanede, celles à la peau pâle, c’est qu’on les voyait très facilement rougir. Et Rhian se délectait de voir le plaisir s’afficher en temps réel sur le corps de sa nouvelle servante, se manifestant à travers des rougissements sur ses joues. Elle s’attaquait directement à son sexe. Rhian n’avait aucun intérêt de se montrer cruelle envers la femme, de vouloir la faire souffrir, ou de l’humilier. Elle se montrait donc comme elle était : avenante et sympathique, prenant son temps avec elle. Rien ne pressait, et elle comptait bien convertir doucement Kanede au sexe. Que faire d’elle ? En réalité, Rhian n’avait pas un besoin impératif d’une nouvelle esclave, en ayant déjà suffisamment assez pour s’occuper d’elle. Elle était tout de même la Princesse de Papua ! Pour autant, elle ne comptait pas rejeter Kanede.
*En faire une poupée sexuelle, c’est bien aussi, et je ne pouvais tout de même pas décliner un cadeau divin, aussi improbable soit-il...*
Rhian s’attaquait donc au sexe de Kanede. Sa langue glissait dessus à plusieurs reprises, s’enfonçant à l’intérieur, et elle soupirait doucement, poursuivant son cunnilingus, se régalant de la mouille de la jeune femme, de ce fluide intime qui filait d’entre ses lèvres. Sa langue glissait en elle, s’attaquant à ses parois intimes, les léchant tendrement, venant ensuite se concentrer sur son clitoris. Elle pinçait son bouton de plaisir avec sa langue, le titillait régulièrement, tout en ayant elle-même très chaud. Rhian continuait donc, encore et encore, léchant son sexe, remuant doucement sur place, tout en caressant avec ses doigts l’aine de Kanede.
Ses doigts finirent d’ailleurs par se déplacer, et, retirant sa langue, elle en profita pour y glisser son doigt, le remuant en elle, allant chercher le clitoris, souriant ensuite en entendant Kanede hurler à son contact. Ses onctueux gémissements, ses soupirs, ne faisaient que la motiver. Rhian, elle, en profitait surtout pour confirmer son talent dans l’exploration du corps féminin, poursuivant sans relâche ses assauts sur son corps. Pour Kanede, impossible de lutter, et Rhian ne manqua pas de l’encourager :
« Allez, ma belle, vas-y, oui... Jouis donc, mon amour... Relâche-toi, ma belle, allez, là... Offre un bel orgasme à ta Maîtresse, d’accord ? »
Est-ce que ce serait son premier orgasme ? Rhian se posa brusquement cette question, et choisit alors de retourner la lécher, plus intensivement encore, se concentrant sur son bouton de plaisir, jusqu’à ce que Kanede ne jouisse en elle...
-
Oh la la qu’es qu’elle est douée ! Elle me donne tant de plaisir, je sans sa langue passée sur mes lévre, exploré mon entre, joué de mon bouton de plaisir. Elle varie les plaisirs, ne reste pas à la même chose. Hum oui ma Maitresse sais y faire…mais sur quoi je me base pour le savoir ? Je me souviens pas d’autre expérience pourtant…mais je sais que je ne me trompe pas. Après tout je ne simule pas ses petits cris de plaisir…J’en est presque honte d’extériorisé comme ça, en même temps ça semble lui plaire et la motivé encore d’avantage.
Hum se doigt en plus…se plaisir qu’elle me donne, si je dois lui rendre par la suite, j’ai intérêt à me donner à fond. Heureusement, même si j’ai oublié pas mal de chose de mon passé, il me reste mes talents, enfin mes connaissances pratique. Surement que j’ai déjà servie d’esclave sexuel, ou que j’ai était formé pour. Peut-être par les renardes qui m’ont livré à ma Maitresse ? Qu’importe…ah je n’arrive pas trop réfléchir, avec toute ses sensations délicieuses qu’elle me donne. Hum oui jouir, ça ne vas surement pas tarder. Je le sens, le plaisir monte, même gémissement et cris de petite fille s’intensifie…Oh oui je le sens…de plus en plus fort. Mon corps en tremble de plaisir et se cris…je m’en suis même accroché frénétiquement au drap.
-ah…merci Maitresse. C’était trop bon.
Oh oui j’ai adoré ça, si elle aime me faire ce genre de chose, je vais adoré être son esclave. Enfin, il ne s’agit pas de moi, mais d’elle après tout. En attendant j’en suis essoufflé, heureusement que je récupéré vite Après tout, elle ne va peut-être pas vouloir en rester là.
-
Rhian léchait avidement le sexe de sa jeune esclave. Celle-ci pouvait ainsi réaliser que Rhian n’était pas une Maîtresse cruelle, ou déraisonnablement autoritaire. La jeune Princesse comprenait et acceptait le concept de servitude, mais elle n’aurait jamais été jusqu’à imposer sa loi aux autres. Au contraire, elle y allait doucement, avec tendresse, récompensant l’obéissance et la fidélité par la caresse et les douceurs. Si Kanede avait voulu une Maîtresse ayant plus de poigne, une femme qui s’amuserait à faire d’elle une masochiste accroc à la douleur, elle s’était trompée. Rhian n’était pas contre les plaisirs extrêmes, mais, de manière générale, elle se contentait juste de faire l’amour. Et elle était douée dans sa matière ! Ses coups de langue se mélangeaient à ses doigts intrusifs, et la jeune Kanede était bien incapable d’y résister. Sa délicieuse esclave, dans une série de soupirs, et même de hurlements, se mit alors à jouir frénétiquement, ses doigts se crispant sur la couverture. Elle se relâcha contre le visage de Rhian, qui était aux premières loges pour y assister.
Un sourire victorieux sur les lèvres, Rhian se redressa doucement. Elle s’allongea à nouveau contre le corps de Kanede, mais son visage était désormais collé contre celui de Kanede. De cette manière, Rhian put l’embrasser longuement, plaquant sa bouche contre la sienne, sa langue allant se faufiler en elle. Ses lèvres étaient recouvertes de la mouille de Kanede, donnant à ce baiser une saveur encore plus exquise.
« Hmmm... !! »
La belle Papuanne l’embrassa encore, faisant volontiers durer le plaisir, sentant le corps de Kanede se blottir contre le sien, les mains de la jeune femme caressant ses hanches, glissant sur sa peau. Elle l’embrassa encore, pendant de nombreuses secondes, rompant le baiser pour mieux le reprendre ensuite. C’était un domaine dans lequel Rhian avait une certaine expertise, comme Kanede pouvait le voir. Rhian rompit ainsi son baiser au bout d’une bonne minute, souriant ensuite doucement à la jeune femme allongée devant elle.
« Là, Kanede, c’est très bien... C’était bon, hein ? Et ce n’est que le début... »
Que faire, maintenant ? En réalité, les idées ne manquaient pas à Rhian, qui se redressa donc, et s’installa à côté de Kanede, s’allongeant de nouveau sur le lit. Elle était couchée sur le flanc, observant sa belle proie, la caressant encore, ses doigts glissant sur son corps, allant jusqu’à tripoter ses lèvres.
« Je me suis attaquée à la devanture, alors... Il est temps que je passe à la suite, non ? »
Un nouveau sourire pervers éclaira ses lèvres. Elle la caressa encore, puis donna ses instructions :
« Allez, mets-toi à quatre pattes... Présente-moi ton joli cul, Kanede ! »
-
Ah…ça fait du bien, j’ai joui grâce à ma Maitresse…hum la voilà qui s’allonge contre moi. Oui on n’a vraiment pas le même corps toute les deux…Oh c’est lèvre contre les miennes, je me sens comme envouté quand elle me fait ça. Ah se baiser…elle est doué, elle me laisse le temps de respirer avant de repartir de plus belle. Hum, elle fait durée ça, je ne sais pas combien de temps s’écoule, mais qu’es que c’est bon…oh voilà qu’elle s’arrête. Elle me félicite, mais c’est elle qui fait tout…oui comme je le pensait tout ça n’est qu’un début.
-Merci Maitresse, hum oui c’est bon c’est vous qui êtes doué…
Ah…ses caresses sur mon corps, oui rien n’es encore finit et moi-même j’en suis ravie. Je me demande si ça se voit sur mon visage…Elle semble réfléchir, qu’es qui m’attend après ça ? Ah j’ai trop hâte de la savoir ! Oh elle semble s’être décidé.
-Oh oui bien sûr !
A quatre patte et lui tendre les fesses, ce n’est pas bien dur. Voilà je me redresse, elle est placée comment ? Oui voilà comme ça, les fesses par là.
-Comme ça Maitresse ? ça vous conviens ?
C’est si érotique comme position, mais ça surement devenir plus ça…hum qu’es qu’elle me réserve ?
-
Rhian esquissa un léger sourire quand Kanede se mit calmement en position. À quatre pattes devant elle, la belle esclave à la peau pâle se retourna vers Rhian, présentant son postérieur à cette dernière. Après tout, on avait offert à Rhian une esclave sur un plateau. Elle comptait donc tout naturellement en profiter ! Devant elle, Kanede attendait impatiemment et Rhian se rapprocha donc. La Princesse se pencha sur elle, posa ses deux mains sur les fesses de Kanede, une sur chacune, et les malaxa tendrement. Elle les pinça, et écarta ensuite ces deux bosses l’une de l’autre, glissant ses pouces contre sa croupe, le long de cette fine et délicate ouverte, ses doigts se crispant sur la chair dodue de l’esclave.
« Là, ma chérie, ma petite poupée, laisse-toi faire... »
En même temps, Kanede n’avait pas vraiment d’autres options. Elle avait eu la chance de tomber sur une Maîtresse douce, attentive, et très perverse ! Rhian rapprocha encore son visage, et sa langue partit lécher la croupe de Kanede. Elle glissa dessus pendant quelques instants, se contentant juste, initialement, de sentir le corps de Kanede, de s’y glisser au plus près, et de lui faire plaisir. Rhian la léchait donc, jusqu’à sentir son petit trou s’élargir doucement, les parois anales se dilatant... Ce qui lui permit d’y glisser sa langue. La Papuanne soupira doucement, et continua calmement son office, encore et encore.
Autant dire que la jeune femme comptait prendre tout son temps, puisqu’elle savait que Kanede était vierge. Elle la lécha donc, jusqu’à bien dilater les parois anales de la femme, s’amusant à titiller son fondement avec son doigt, et termina même en glissant un doigt en elle, sentant la jeune femme frémir. Estimant alors Kanede prête, Rhian se redressa.
« Reste ainsi, Kanede. Je vais aller m’équiper un peu... »
La Princesse de Papua dissimulait bien des choses, et récupéra notamment dans une partie de sa penderie un strap-on. Elle attrapa la culotte noire surmontée d’un gode tendu vers l’avant, et doté également d’un gode interne, orienté vers son vagin, et d’un plug anal. Un superbe sex toy qu’elle avait reçue de la part de l’une des courtisanes du harem. Libre à Kanede de tourner la tête pour voir ce qui se passait. Elle verrait alors Rhian passer une jambe après l’autre, puis remonter la culotte jusqu’à son bassin. Rhian commença par mettre le plug anal, frémissant doucement, puis glissa ensuite en elle le gode. Ses joues en rougirent légèrement.
Par ailleurs, fait notable et amusant, la culotte comprenait deux gemmes rose, incrustées dessus, à droite et à gauche du vibromasseur.
« Là... Voilà, Kanede, hmmm... J’arrive, ma belle ! »
Rhian se déplaça lentement vers elle, et posa ses mains de nouveau sur ses fesses, les caressant... Puis les gemmes incrustées dans la culotte se mirent alors doucement à luire, faisant vibrer les trois vibromasseurs. Rhian soupira encore, et se pinça les lèvres. Elle resta inerte pendant quelques secondes, le temps d’accuser une vague de désir qui afflua en elle... Puis posa sa main sur le vibromasseur, et l’approcha du fessier de Kanede.
« Je vais te sodomiser, Kanede... Tu risques d’avoir mal, ma chérie, alors... Pense bien à hurler pour évacuer ta douleur, car je compte bien... Hmmm... Te sodomiser très quotidiennement ! »
Son membre tapa ensuite contre le fondement de Kanede, et Rhian, en grognant, força le passage, écartant les parois de Kanede, puis se glissa lentement en elle, tremblant et soupirant fortement dans cette séance...
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Hum voilà ses douces mains sur mes fesses. J’en frissonne rien qu’a les sentir. Ce qu’elle me fait…hum je n’ai pas l’habitude, mais c’est bon. Se faire masser les fesses comme ça, je n’aurais pas cru que c’était si agréable. Même ses petites pincées sont pas désagréables.
-Oui Maitresse, je…je me laisse faire.
Je n’ai de toute façon aucune raison de pas le faire…Ah c’est quoi ça ? Elle y met sa langue ? Elle me lèche entre…les fesses ! C’est très osé ! C’est…agréable, un peu dérangeant, mais agréable. Heureusement que je suis bien propre quand même. Je crois que je n’ai jamais était aussi ronge de ma vie. Bon c’est vrais je ne me vois pas pour vraiment le savoir. Oh elle s’arrête, ah ! Elle m’a mis un doigt dedans, c’est rentré tout seul ! Je sans ma respiration s’emballé, c’est nouveau pour moi tout ça.
Bon je bouge pas. Qu’es qu’elle va attraper ? Vue ce qu’elle vient de faire j’ai quelque idée. Peut-être me fessé ? Avec une sorte tape ? Ou…c’est ça elle sort une culotte avec des godes. Je suppose qu’elle ne compte pas viser mon sexe avec ça. Olala se qu’elle à l’intérieur ! ça ne doit pas être facile à garder ça comme ça quand même. Je n’ose pas imaginer si je devais porté ça toute la journée. Enfin pour l’instant c’est la Maitresse qui le porte et qui s’approche de moi après avoir rentré tout en elle. Surement qu’elle a l’habitude de l’utilisé. Très quotidiennement ? Alors il va valoir que je m’habitue à me faire prendre par le cul.
-D’accord Maitresse, je serais ravie de me faire sodomisé souvent pour votre plaisir. Mais ah, il va falloir que je m’habitue.
En plus avec la magie le gode vibre, je le sens contre mon trou. Ah ça rentre petit à petit, ça fait mal, sa vibre…c’est…ah…pas si mal…enfin je ne sais pas trop ! En tout cas elle à raison, je cris sans retenue dans un mélange de douleur et de plaisir !
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Maintenant que Rhian avait une esclave, il fallait la dresser, la former, l’éduquer, en faire une esclave talentueuse et expérimentée. C’était ce que à quoi Rhian comptait s’appliquer en ce moment. Elle sourit donc doucement quand Kanede, juste avant de se faire pénétrer, expliqua qu’elle allait devoir s’habituer à la sodomie. Rhian ne pouvait qu’être d’accord, et lui répondit d’ailleurs du tac-o-tac :
« Tout à fait, Kanede... Mais ne t’inquiète pas, je t’y habituerai ! »
Elle aussi était passée par là, et elle aussi avait dû s’habituer à ça. Son sexe artificiel s’enfonça donc dans le fondement de Kanede, se glissant doucement un passage. Même si la Princesse de Papua avait veillé à bien lécher ce trou pour le dilater au maximum, la porte arrière de Kanede restait quand même très étroite. Rhian se pinçait doucement les lèvres, et continua ses coups de reins. Elle sentit son gode s’enfoncer de plus en plus, et les hurlements de Kanede, qui n’étaient pas feints, ne manquaient pas de la motiver en ce sens. Rhian frémit doucement, et posa ses mains sur les fesses de Kanede, crispant ses doigts dessus.
Elle s’y appuyait, tout en continuant à s’enfoncer en elle, sentant avec délectation les parois anales de Kanede s’écarter progressivement, au fur et à mesure que Rhian la pénétrait. Se pinçant fortement les lèvres, la jeune femme était en sueur, soupirant longuement, et continuait à la prendre. Plus le temps passait, et plus le fondement de Kanede se dilatait, permettant à Rhian de s’enfoncer plus longuement en elle.
« Oh, Kanede, hmmm... Kanede !! »
Rhian continuait à la prendre, accélérant de plus en plus fort, haletant et gémissant au fur et à mesure que le fondement de sa partenaire se dilatait, et que son vibromasseur s’enfonçait plus profondément en elle.
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Je mentirais si je disais que ça ne me fait pas un peu peur. Je sais bien sûr qu’on peut prendre du plaisir par ici. Mais je sais aussi que ça peut faire très mal. Enfin si c’est ma Maitresse qui m’habitue à ça, je veux bien me faire remplir le cul aussi souvent qu’elle le voudra. Ce n’est pas dans mes rêves que je verrais ça.
Ah elle commence à rentrer, ça fait mal en effet…mes cris ne semble pas la décourager, je suppose qu’elle a l’habitude. Ou même vue ça petite pièce qu’elle en as l’habitude. Bien sûr c’est à moi de m’y faire et mon corps semble déjà commencé. Je la sens aller de plus en plus loin, j’ai toujours mal mais moins, ça commence même à être agréable. Ses mouvements deviennent de plus en plus rapide et profond, mes cris se calme pour devenir des gémissements. Ah je l’entends elle aussi ! Elle y prend du plaisir c’est certain.
-Hum, continuez Maitresse, j’aime vous entendre prend du plaisir avec moi !
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Le rôle de Rhian était bel et bien d’encourage ses esclaves, de les former et de les éduquer. C’est ce qu’elle s’évertuait à faire avec la douce Kanede. Prise en levrette, elle ne tarda pas à accueillir les coups de reins de la Papuanne dans son fessier par une série de hurlements et de profonds soupirs. Oui, c’était douloureux, intense... Rhian imposait à la femme un rythme soutenu et éprouvant, mais la Papuanne l’assumait pleinement, car c’était dans leur intérêt mutuel. En tant qu’esclave, le rôle de Kanede risquait surtout d’être une amante, de dormir au harem, et il fallait donc veiller à la former sexuellement. Au-delà de ça, il était toujours très excitant pour Rhian de s’unir ainsi avec une vierge, de lui faire découvrir les joies du sexe. Ses mains se crispaient sur ses hanches tandis qu’elle la pénétrait, enfonçant sa verge artificielle en elle.
« Oh... Ka-Kanede, hmmm... !! »
L’intéressée gémissait fortement, tout en se faisant progressivement à ce membre, à cette sensation douloureuse qui remuait férocement en elle.
« Là, ma belle, tu es si étroite, hmmm... »
C’était le cas de le dire ! Difficile de s’enfoncer en elle, et Rhian gémit encore, se pinçant les lèvres. En sueur, elle accélérait, amplifiant ses mouvements, prenant peu à peu ses aises, ses repères. Au fur et à mesure que le temps passait, le fondement de Kanede se dilatait, permettant à Rhian de la pénétrer plus facilement, de s’enfoncer plus profondément et plus rapidement en elle, durcissant ses coups de reins.
Si Kanede aimait entendre du plaisir, elle allait être ravie, car Rhian soupirait et gémissait fortement, tout en continuant à remuer en elle, allant jusqu’à donner quelques fessées sur la croupe de Kanede, au fur et à mesure que la douleur croissait en elle.
« Lààààà, ouiii, haaaaa... Kanede, haaaaa... !! »
Son objectif était maintenant de faire découvrir à Kanede les joies de l’orgasme anal !
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Je le sens remué dans mon cul…si fort, de plus en plus vite. C’est curieux se mélange de douleur et de plaisir. C’est très différent de la voix habituel…mais si ça lui plait tant mieux. C’est ma maitresse maintenant, je dois tenir pour son plaisir. Ah ses vibration… ses vas et viens…je ne sais pas si je vais tenir longtemps dans cette position. J’arrive plus à parler, je ne fais que gémir…de toute façon c’est surement pas ce qu’elle attend de moi après tout…Elle a l’air d’aimer tellement ça, c’est que je dois être agréable à prendre ?
-Ahhh !
Cette sensation…à j’ai craqué…je…j’ai perdu l’équilibre me voilà à moitié coucher sur le lit. J’en frissonne encore…mais si elle veut continuer je dois tenir le coup. Oui si je dois me faire prendre par derrière encore et souvent il faut que je supporte se choc nouveau pour moi.
-Pardon…j’ai perdu l’équilibre. C’était nouveau pour moi…mais continué si vous voulez.
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Rhian continuait à la prendre, à la sodomiser sans relâche. Elle était maintenant arrivée à un stade où elle allait très vite, où elle accélérait sans cesse, continuant à la prendre longuement. La jeune esclave hurlait de plaisir, se dandinant sur place, bien incapable de retenir son plaisir. Kanede approchait du point de rupture, Rhian le sentait, et elle n’hésita pas à la motiver davantage, en la giflant, fessant son adorable petit cul… Jusqu’à ce que l’orgasme ne traverse le corps de son esclave. Celle-ci s’effondra sur le lit, épuisée, le corps traversé par une vague de plaisir. Couchée sur le lit, Kanede soupirait longuement, tandis que Rhian, en souriant, l’observait doucement. Les soupirs de Kanede étaient entrecoupés par l’agréable ronronnement des vibromasseurs. Rhian mouillait également, et sa cyprine sortait de la culotte, dégoulinant du fait des godes qui remuaient tendrement et énergiquement dans son corps.
Épuisée, Kanede était en état de choc, et invita Rhian à continuer si elle le voulait. Celle-ci sourit doucement, et avança sa main entre les cuisses de Kanede, sentant quelque chose de très liquide. Elle caressa encore cette zone, imprégnant ses doigts de sa cyprine, et les observa ensuite, avant de sourire à nouveau.
« Toi, ma belle… Tu as joui ! » claironna Rhian, avec un sourire joyeux sur les lèvres.
Elle s’assit ensuite à côté d’elle, et écarta les jambes.
« Viens lécher mon gode, ma chérie… Viens le nettoyer, imprègne-toi de la sensation d’un phallus dans ta bouche, car… Hmmm… Tu devras t’y habituer ! »
La destinée de Kanede étant de finir dans son harem, elle avait en effet intérêt à s’y habituer !
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Reprendre son souffle…heureusement Maitresse me laisse un peu de répit et à stoppé de me défoncé le cul. Ah…mais ses douces caresses sur mon sexe…hum c’est si bon, j’en frisonne encore. Oui j’ai jouie, je ne peux pas le nié.
-Oui Maitresse…c’était une première, mais c’était bon.
Oui enfin j’ai quand même mal au début, mais bon je suis une esclave j’ai pas à me plaindre non plus, surtout pas à ma Maitresse. Oh la voilà qui viens s’assoir à côté de moi, elle est si belle ma Maitresse. J’entends les godes vibrer tellement elle est proche de moi. Ce n’est surement pas finit. La preuve, voilà la suite, elle me demande de lécher cette objet qui était il y encore quelque seconde dans mon cul.
-D’accord Maitresse.
Bon c’est partie alors, passé ma langue dessus, c’est moins fatiguant. Je peux m’allonger totalement c’est plus confortable. C’est un peu plus reposant après ce que je viens de subir. Alors passé ma langue partout, faut que je sois érotique, voilà le prendre en bouche. C’est qu’un jouet, mais c’est quand même important que je fasse ça bien. J’essaie de la regardé en même temps, j’espère qu’elle apprécie la vue, même si je ne suis peut-être pas trop expérimenté.
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Comment éduquer Kanede ? Que faire d’elle ensuite ? La question méritait d’être posée, car la réponse n’allait pas forcément de soi. Rhian ignorait tout d’elle, mais elle en ferait assurément une servante et une courtisane. Plus le temps passait, et plus cette hypothèse la séduisait. Après tout, avec son teint pâle, elle jurait avec la plupart des Papuannes, qui avaient un teint de peau plus bronzé. Et Rhian aimait bien la différence, tout comme elle aimait l’idée d’avoir une courtisane personnelle. Quant à Kanede, elel aurait clairement pu tomber sur une situation plus horrible que ça. Elle vivrait dans le harem royal, un véritable endroit de luxe, et qui, contrairement à ce qu’on disait, n’était pas une prison. Les courtisanes du harem pouvaient sortir, même si elles étaient tout le temps surveillées, pour leur propre protection... Mais sans doute aussi pour s’assurer qu’elles n’étaient pas des espionnes. Le harem abritant des femmes de bonne famille, il aurait été dangereux de les maintenir enfermées. Après tout, à l’origine, le harem royal était surtout un instrument de cohésion sociale et d’union nationale. Quand Papua s’était dotée de son premier Shah, le harem avait été conçu pour retenir à l’intérieur une fille appartenant à chacune des grandes familles. Dans l’esprit, il s’agissait alors d’en faire davantage des otages que des amantes.
Avec le temps, cette stratégie avait évolué, mais le harem royal restait toujours imprégné de cette logique. Le sexe y était omniprésent, mais les courtisanes qui venaient étaient des femmes cultivées et intelligentes, qui pouvaient ainsi renseigner la famille royale sur la situation dans les provinces. Mais, avec Kanede, il fallait bien admettre que ce serait surtout sur le côté sexuel... Ou peut-être pour en savoir plus sur sa Déesse, même si Rhian avait tendance à croire la jeune femme quand elle lui avouait n’avoir aucune information à lui donner à ce sujet.
« Là, viens par là, ma belle... »
Et Kanede obtempéra donc, venant sucer le gode. Rhian se pinça les lèvres, sentant les godes vibrer en elle. Elle mouillait doucement sur place, et, jambes écartées, caressa avec sa main les cheveux de son esclave. Elle venait de la sodomiser, et il estimait qu’il était temps de redescendre le ton. À terme, Rhian comptait bien la former pleinement dans ce domaine, afin qu’elle devienne une très bonne courtisane...
« Hmmm, c’est bien, Kanede, c’est un bon rythme... Est-ce que tu apprécies, hmmm... ? »
Visiblement, oui... Mais c’était toujours mieux en le disant !
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Doucement comme ça, voilà allonger et la tête sur les jambes de ma Maitresse. Ma langue parcoure se bout de plastique, c’est plus excitant que je l’aurais cru. Surement le regarde de Ma Maitresse qui me fait tant d’effet. Un peu plus sur le bout, j’espère que ça lui plait…Elle aussi on dirait.
-Hum oui Maitresse, j’espère que ça vous plait aussi.
Oui es que je faisais ça bien pour elle ? Il vaut mieux que je continue pour l’instant. Voilà sucé le bout et même plus. Voilà tout entier dans ma bouche et maintenant ? A oui des vas et viens…de plus en plus vite. Pas évidant de la regardé en même temps, en tout cas je sens l’excitation revenir. J’aurais même bien envie qu’elle me touche encore…mais ce que j’ai envie là…c’est gouté ce qui se trouve sous se jouet.
Entre le fait d’aimer la laisse et maintenant ça, je ne me savais pas si perverse…Enfin si c’est ce que veut faire de moi ma Maitresse tant mieux après tout. Oui j’ai envie de lui faire plaisir, mais là c’est ses truc qui vibre en elle qui s’en occupe…pas moi.