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Il est quinze heures, la sonnerie du lycée de Seikuzu résonne dans tout l'établissement et les élèves comme les professeurs entrent et sortent des salles de cours au gré des matières qu'ils travaillent.
Dans le bâtiment réservé aux matières scientifiques, isolé du reste du complexe étudiant pour d'évidentes consignes de sécurité, de nombreuses jeunes étudiantes travaillent sur leur exposés de physique et de chimie pour les examens qui approchent.
Au dehors, aucune ne remarque l'étrange balais de fourgonnettes noires et de voitures qui commence à encercler le bâtiment. Aucune ne voit les étranges hommes en noir cagoulé s'introduire subrepticement par chaque porte ou coursive pour en contrôler totalement l'accès. Aucune n'entend les détonations sourdes des armes équipées de silencieux qui tranchent avec cruauté, le fil de la vie des agents de sécurité et des témoins potentiels.
Car aujourd'hui est un jour funeste pour la jeunesse de Seikuzu et faste pour la pourriture qui s'en nourrit. Un jour que Max, l'impératrice du crime de la ville, à choisit pour faire son marché et enlever de nouvelles proies pour son commerce sexuel. Tel un ogre, ou la sorcière des conte de fée qui se nourrit des enfants perdus en foret, elle alimente le feu de ses forges à esclaves avec le bois le plus frai et le plus beau de la ville.
En quelques minutes seulement, l'ombre de la mafieuse s'est étendue depuis les quartier chauds de la ville jusqu'à ce lieu de paix et de connaissance pour en piller le sang et la jeunesse. Dans les diverses salles de cours, la même horrible scène se répète, un homme cagoulé pénètre calmement dans la salle et abat froidement le professeur en plein cours sous les yeux de ses étudiantes. Seules les plus jeunes et les plus belles des enseignantes sont épargnées pour au final, devenir elle-même des marchandises sur l'étale du boucher.
Pour calmer les hurlements de terreur ou les mouvements de colère des plus courageux et courageuses, les assassins de Rachele n'hésitent pas à tuer un ou une étudiante un peu trop bruyant ou agressif, jusqu'à ce que les autres soient pétrifiées de terreur et obéissent sans réfléchir à leurs ordres.
Il commencent alors à vider une à une les salles de classe pour réunir tout le monde dans les dortoirs du dernier étage, sous les toits du Lycée. L'horrible casting commence alors...
Les hommes de mains ordonnent aux étudiants de se ranger en rang pour qu'il puisse bien les observer. Certains passent alors entre les adolescent et les jeunes adultes pour sélectionner les plus belles et les mieux faites. Ils leurs font alors quitter le rang et la pièce en leur faisant croire qu'elles vont être libérées... vain espoir... il ne s'agit que d'un stratagème pour ne pas effrayer les autres élèves.
Une fois hors de vue des autres, les esclavagistes entrent en action:
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La puanteur du chloroforme envahi leurs leur nez et remonte vers leur cerveau jusqu'à ce qu'elle cessent de luter. Une fois inerte, ils les cachent dans des valises de voyage et les chargent dans les fourgons.
Efficaces et bien entraînés, les hommes travaillent vite et bien. En quelques minute, une première livraison est envoyée vers le Rachele's où va commencer leur nouvelle vie. Aucune d'entre eux alors, n'imagine ce qui les attend...
Interloqués, stupéfait par les pouvoirs magiques des deux jeunes femmes, les hommes de main et leur chef ne réagissent même pas quand les sorcière se mettent en action et se font cueillir par leurs sorts.
Dans l'assistance, c'est la surprise totale et la stupéfaction, rapidement suivie des vivas et des acclamations de la foule d'étudiants et d'étudiantes qui remercient leurs deux héroïnes.
Trop sonné pour penser à utiliser sa capsule, le chef des mercenaires, un certain Alerandro se retrouve à la merci des sorcières et de leurs amis. L'orgueil blessé et honteux d'avoir été vaincue par de jeunes ados. il crache par terre et dit à Eva d'un ton dédaigneux et pointant sa baguette:
- Alors ça sert à ça cet étrange joujou qu'on a confisquées à tes deux copines ? Heureusement qu'elles ont pas eu le temps de s'en servir, avant qu'on les drogue...
De toute évidence, il parle de Julia et Megane. Les pauvres sorcières n'ont pas eu le temps de se défendre ou de se battre, de prouver de quoi elles étaient capable avant de subir le même sort que les autres.
- C'est trop tard pour elles... Elles sont déjà entre les mains de Max, ça me surprendrait beaucoup qu'elles soient encore capables de faire vos truc bizarre quand elle en aura fini avec elles...
--- Plus tôt au repère de Rachele ---
- Le premier convoi vient d'arriver Boss.
Dit le chauffeur à la femme en robe crème, portant de superbes bottes montantes et des gants de cuir noir. Les portes arrière du fourgon s'ouvrent et deux autres hommes de main en sortent et tirent vers eux quatre valises. Ils les ouvrent pour montrer le fruit de leur "pèche" à la mafieuse.
- Que quatre filles ?
Répond Dona Florenza en plissant les yeux. Très vite, l'esclavagiste retire sa cagoule et la presse entre ses mains en signe de respect et de peur.
- C'est que... Boss... yen a deux qui sont bisare, quand on les a droguées, elles ont résisté très longtemps et elles ont tenté de se servir de ça pour se défendre.
Ajoute t'il en lui tendant les baguettes des deux jeunes sorcières. Rachele les prend dans les mains et les observe en haussant un sourcil, dubitative. Puis elle regarde Julia et Mégane qui commencent à émerger douloureusement de leur sommeil narcotique. Les deux jeunes femmes sont belles et bien faites, combative en plus au vue des objets dérisoire avec lesquelles elles comptaient se défendre.
Une nouvelle idée germe dans sa tête et elle empoigne les deux baguettes pour les ranger entre ses seins. Elle lance alors aux deux jeunes femmes un regard pervers et malicieux.
-J'ai une petite idée de ce que je vais faire avec leurs jouets. Préparez les toutes pour le conditionnement, mais je vais m'occuper de ces deux la personnellement...
Les hommes de main acquiescent et entraînent les jeunes femmes vers le laboratoire de l'Asylum...
Quelques minutes plus tars, à mesure que Megane reprend connaissance, elle sent une étrange sensation envahir son bassin, un subtile mélange de douleur et d'excitation. Quand elle essai de bouger les bras ou les jambes, elle réalise qu'elles sont incarcérées dans une sorte de machine qui l'immobilise totalement.
Quand elle parvient enfin à faire le point et que sa vision se stabilise, elle découvre qu'elle est dans une pièce insonorisée aux murs blancs et métalliques.
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En face d'elle, harnachée de la même façon, Julia dors encore. Mais avant de pouvoir lui parler, à nouveau elle sent cette étrange douleur lui traverser le bassin et irradier dans sa vessie, une étrange vague de plaisir et d'excitation suit et l'émoustille. Elle baisse le regard vers sa jupe d'écolière relevée et découvre avec horreur qu'une femme, élégamment vêtue, est en fait en train de lui pénétrer l'urètre du bout de sa propre baguette lubrifiée avec un gel épais et blanchâtre, pour la lui enfoncer jusqu'à la vessie et faire de petits aller-retours.
-Bonjour esclave, tu as bien dormi ?
--- Pendant ce temps là au Lycée ---
Eva tient le chef des esclavagistes entre ses mains, mais le temps lui est compté, car partout les alarmes du lycée ont commencé à retentir et depuis les fenêtres du dortoirs, elle remarque de vrais voiture de police commencent à arriver.
Surpris de voir le travail déjà fait, ils commencent par arrêter les hommes de mains assommés et entrent dans le bâtiment, dans quelques minutes, ils arriveront au dernier étage et ils embarqueront le chef des hommes de main sans qu'il n'ai encore rien dit sur la raison et l'origine de l'attaque...