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La nuit était déjà bien avancée sur la ville et hormis quelques véhicules qui circulaient ou quelques animaux errants, il n'y avait pratiquement pas un bruit dans les rues, éclairés par la lumière orange des multiples lampadaires. Les hauteurs de la ville, le quartier des riches pavillons, était en revanche plongé dans le noir. Il devait être quelque chose comme 3h ou 4h du matin. Les seules lumières encore visibles dans cette partie de la ville, provenaient d'un manoir en périphérie de la forêt, découpant des carrés de lumière sur la façade sombre de la battisse. Les habitantes de ce manoir, qui appartenait au clan Warren, ne dormaient pas encore pour la plupart. Une bonne partie des esclaves étaient encore largement actives, à deux ou plus dans les chambres, rarement seules.
Il y'avait pourtant une des chambres qui, même si la lumière était allumée, était pourtant vide. La porte était fermée à clé de l’intérieur pourtant. L'autre détail qui avait son importance, c'était que l'ordinateur de cette chambre était également allumé. Et pour paraître moins suspect, une vidéo porno, avec la voix de la propriétaire de cette chambre, tournait sur l'écran, pour donner une ambiance sonore et donner l'impression que celle-ci était très occupée dans un plaisir en solitaire. La chambre était vide depuis six heures environs, lorsqu'une lumière aveuglante surgit de l'écran de l'ordinateur et qu'une silhouette humaine se matérialisa dans la pièce. Lorsque celle-ci s'estompa, Sayako se tenait debout dans la pièce, l'ordinateur dans son dos. Sa tenue digitale ayant laissée place à sa combinaison intégrale en latex. Une voix féminine surgit alors de derrière elle.
- T'es sûre que je peux vraiment pas venir Sayako ?
La lycéenne se tourna vers l'écran pour y voir sa partenaire Digimon.
- Non Zora, la propriétaire de ce manoir sentira immédiatement ta présence, je pourrais pas te cacher comme le font les autres. Tu vas devoir te trouver un coin douillet jusqu'à demain, une fois de plus.
La créature de l'autre coté râla pour la forme, mais lui souhaita tout de même une bonne nuit, avant de s'éloigner. Pour sa part, Sayako savait que la sienne était encore loin d'être terminée. Du fait que sa Maîtresse était très occupée et très demandée, il avait fallut établir un planning, pour que toutes les esclaves puissent passer une partie de leur nuit avec elle au court de la semaine. Toutefois, la jeune fille était pas mal excitée dans sa tenue et se tortillait sur place, le latex crisant a chacun de ses mouvements. Finalement, elle n'y tint plus et se déplaça jusqu'à la chambre de Mélinda, où elle pouvait entendre de longs gémissements de l'autre coté de la porte. Sayako frappa à celle-ci avant d'entrer, voyant la vampire faire longuement l'amour avec d'autre filles.
Rougissant de désirs et d’embarras, elle finit par avouer, à sa Maîtresse qui la regardait se trémousser dans sa combinaison:
- Maîtresse... j'en peux plus d'attendre mon tour... Laissez moi vous rejoindre...
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Mélinda ne surveillait jamais étroitement ce que ses esclaves faisaient, surtout avec les technologies informatiques et numériques. L’ordinateur, les téléphones portables, Internet... Elle avait beau être très belle, Mélinda avait plusieurs siècles d’existence, et venait de l’Empire d’Ashnard, un État à la technologie médiévale. Pour le dire simplement, cette technologie la dépassait totalement. Elle ne comprenait pas le fonctionnement de ces choses, et, en conséquence, laissait les esclaves se débrouiller seules. Ce faisant, Mélinda ignorait ce que Sayako faisait de la plupart de ses nuits... Ou presque. Car elle savait que Sayako avait tendance à s’isoler.
Le parcours de la jeune femme était, au demeurant, très particulier. Mélinda l’avait récupéré dans la rue, et, depuis lors, Sayako la servait fidèlement, parce qu’elle n’avait rien d’autre à faire... Ça, du moins, c’était ce que Mélinda pensait. Elle ignorait le monde virtuel de la jeune esclave.
Cette nuit, Mélinda était occupée. Si, souvent, elle dormait, il arrivait aussi qu’elle passe des nuits blanches, où elle passait des heures à faire l’amour, du coucher du soleil à l’aube. Depuis qu’elle avait reçu une formation de la part de Lily Ramsès, la prêtresse de Lust, Mélinda s’avérait être une femme particulièrement douée, qui avait augmenté les « sex nights », comme elle les appelait. Il s’agissait tout simplement de soirées où elle couchait avec une série d’esclaves, transformant sa chambre en un épais baisodrome, où le sexe fusait à profusion, sans relâche.
Quand Sayako approcha, Mélinda était ainsi occupée, enfonçant sa verge dans le corps d’une femme, une esclave très sensuelle, Laura (http://img110.xooimage.com/files/e/2/5/laura-51d84a3.jpeg). Elle portait sa tenue rouge en latex avec son masque. Grande amatrice de chats, Laura était, au lycée, l’une des élèves favorites de Félicia Hardy. Au manoir, elle adorait jouer avec les nekos, et user de son fouet. Elle faisait clairement partie des dominatrices de Mélinda, mais, face à leur Maîtresse, toutes les esclaves se soumettaient. Mélinda la prenait donc en levrette.
« Hmmmm... Haaaaa...
- Gnnnnhhhh... Maî-Maîtresse, haaaaaa... !! »
Dans le dos de Mélinda, deux autres esclaves caressaient son dos, palpant ses fesses, embrassant ses épaules. Il s’agissait de deux autres lycéennes, Clara & Shii (http://img69.xooimage.com/files/c/0/0/student-3--322abee.jpg), qui étaient en tenue de lycéennes, leurs uniformes scolaires leur allant très bien. Elles avaient l’immense honneur d’être les « assistantes » de Mélinda, et, si elles aimaient peu prises, elles pouvaient néanmoins passer l’intégralité de la nuit avec Mélinda.
Laura, elle, était une femme très gourmande, de sorte que Mélinda s’étalait avec elle. Elle grognait, soupirait, sentant les orgasmes se multiplier, et finit par contracter ses muscles, couinant en sentant Clara pincer l’un de ses seins, Shii s’attaquant à l’autre. Sa tête partit en arrière, et elle se mit à jouir, répandant sa crème dans le corps de la magnifique blonde.
Le temps que Mélinda se calme, des bruits de pas se firent entendre. Tournant la tête, elle répondait aux baisers et aux caresses de Clara et de sa belle Shii, leur caressant les fesses, assise sur le corps de Laura. Elle vit Sayako entrer, et sourit. Elle l’avait entendu avant qu’elle vienne, sa combinaison en latex crissant. Très excitée, Sayako s’approcha, et lui demanda de passer à elle.
« Oh... Oui, je le sens... Tu as encore passé ta soirée seule devant des films pornos... «
En voyant cette magnifique combinaison, le sexe de Mélinda se dressa, et Laura s’écarta proprement, laissant une place chaude. Mélinda l’attrapa au poignet, et la jeta sur le lit, puis se mit à califourchon sur elle, lui souriant malicieusement, avant de l’embrasser goulûment, fourrant sa langue dans sa bouche, l’une de ses mains se posant sur l’un de ses seins, pinçant son téton à travers la combinaison.
« Petite traînée... Tu es toute chaude ! »
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Malgré la présence de trois esclaves déjà sur le lit, cela n'empêcha pas Mélinda de venir à elle pour la jeter sur son lit. Sayako se retrouva ainsi allongée entre trois de ses camarades de lycée. Même si elles n'étaient pas dans sa classes, cela ne les empêchais pas de parfois copuler ensembles. Ainsi, il lui était déjà arrivé, à plusieurs reprises, de longuement sucer la queue de Clara entre deux cours ou de doigter Shii derrière un casier.
- Petite traînée... Tu es toute chaude !
Oui, elle était effectivement très chaude. Sa combinaison en latex n'était pas une combinaison classique. D'une part, il y avait à l’intérieur de petits picots mous au niveau de son clitoris et de ses tétons, afin de l'exciter au moindre mouvement. Mais surtout, elle moulait parfaitement son corps, faisant ressortir le moindre relief comme si elle était nue. Ainsi, sa fleure intime était parfaitement bien dessinée, les grandes lèvres écartée et le clito en érection. On ne pouvait certes pas pas la pénétrer quand elle était dans sa combinaison, mais elle adorait sentir un membre se frotter contre sa chatte au travers du latex. Et si on forçait un peu, il était tout de même possible de la pénétrer, la matière formant comme une sorte de préservatif autour du membre. Il en allait bien évidement de même entre ses fesses.
Lorsque sa Maîtresse s'allongea contre elle pour venir l'embrasser goulûment tout en torturant un de ses tétons dressé, Sayako ondula sensuellement des hanches, pour ressentir la virilité de la vampire contre son sexe humide, qu'elle seule pouvait sentir trempé. La jeune fille pouvait sentir sa température monter dans sa combinaison, crisant contre le corps de sa Maîtresse. Une poignée de minutes passa ainsi, seulement troublée par les gémissements de plaisir. Lorsque Mélinda mit fin au baisé, Sayako vit Laura se placer au dessus de son visage, et la brunette attrapa ses cuisses pour venir lécher son intimité et récolter la semence encore chaude de Mélinda, sa langue caressant les parois intimes, s'attardant longuement sur le bouton d'amour de la blonde.
- Haaaa.... Je suis tellement excitée Maîtresse... S'il vous plait, baisez moi...
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La combinaison que portait Sayako était un cadeau de Mélinda, qu’elle avait acheté à Tekhos spécialement pour elle, en prenant ses mesures. C’était une combinaison très sexuelle, conçue pour stimuler la fille qui le portait, et qui permettait bien des choses. Mélinda s’étalait dessus, ressentant, outre les crissements, les frissons de la peau de Sayako. La combinaison moulait tellement bien son corps qu’elle formait littéralement une seconde peau. Mélinda pouvait même enfoncer sa queue dans son intimité, car, en faisant ça, la combinaison s’enfonçait également, dessinant un trou. Bien sûr, elle était toujours là, empêchant ainsi un coït complet, mais permettait de faire un excellent préambule.
Sa Sayako était une ancienne vagabonde, qui était devenue terriblement perverse ici. Elle était à la hauteur des esclaves comme Sya ou Ai Aihara, même si Sayako avait de grands fantasmes pour les caméras, le voyeurisme, ou l’exhibitionnisme. Sa grande passion était le sexe public, surtout avec Shii, qui, en la matière, était une proie facile. Mélinda avait beau avoir quantité d’esclaves, elle se faisait un devoir de bien les connaître, c’est-à-dire de savoir leurs fantasmes, leurs envies... Et, avec Sayako, elle n’était jamais déçue.
Enivrée par ce latex qu’elle reniflait et pinçait de ses mains, Mélinda se frottait contre elle. Son érection revenait en force, et elle enfonçait sa queue contre les plis de sa combinaison, à l’emplacement de l’intimité de la jeune femme, se glissant tout contre elle, un sourire vicieux sur les lèvres. Ses yeux brillaient d’une lueur de désir intense.
« Oh, Sayako, tu es toute chaude, ma chérie... »
Clara et Shii restaient silencieuses et inactives, observant la scène. Clara, qui commençait à bien connaître Sayako, avait sorti son téléphone portable, et filmait la scène, tout en se caressant avec son autre main. L’écran tremblotait ainsi un peu. Quant à Laura, elle finit par approcher, et se posta au-dessus du visage de Sayako, invitant ainsi la jeune femme vêtue de noir à lécher son sexe. Mélinda, quant à elle, se pencha vers les plantureux seins de son amante, et les pinça à travers la combinaison, avant d’en approcher ses lèvres, venant les suçoter et les pincer. Elle tira dessus, sa bouche s’emplissant du latex, délectable et exquise sensation. Elle pouvait mordiller assez fort, de plus, vu que la combinaison protégeait la peau de la femme.
Sayako, quant à elle, serra ses mains sur les cuisses de Laura, qui se mit à gémir en sentant la langue de la femme filer en elle. Du sperme coula contre ses lèvres, et Laura se mit à gémir, avant de remuer son corps, d’avant en arrière, accompagnant ainsi les mouvements buccaux de la jeune femme.
« Haaaaa... Hmmmmm... »
Le cuir remuait, le latex crissait, accompagnant leurs soupirs de plaisir. Même Shii avait du mal à rester calme, et rougissait comme une pivoine. Sayako léchait le clitoris de Laura, amenant de la mouille en compagnie du foutre de la Maîtresse, dont la queue l’élançait maintenant douloureusement.
« Oui, Sayako... Tout de suite, ma chérie... Je sens combien ton corps est assoiffé, ma beauté. Tu devrais... Tu devrais coucher plus souvent avec les autres, tu sais, plutôt que de t’enfermer des heures dans ta chambre... »
Mélinda avança sa main, et releva la fermeture Éclair à hauteur de son sexe, puis guida son sexe... Et son chibre s’enfonça en elle.
« Haaaa... !! »
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Ce fut peut être lorsque Clara alluma son portable pour la filmer, ou bien les vas et viens plus rapide qu'elle sentit contre son sexe, le gland de sa Maîtresse tapant sur son bouton d'amour, qui avait une telle érection qu'il devait bien mesurer un bon centimètre, mais Sayako se sentait effectivement de plus en plus chaude et excitée, gémissant chaque fois que son clito ou ses tétons étaient sollicités par la vampire. Au dessus d'elle Laura n'était pas en reste, remuant sur son visage, son jus intime coulant entre ses lèvres en même temps que la semence de sa Maîtresse.
- Oui, Sayako... Tout de suite, ma chérie... Je sens combien ton corps est assoiffé, ma beauté. Tu devrais... Tu devrais coucher plus souvent avec les autres, tu sais, plutôt que de t’enfermer des heures dans ta chambre...
Si elle savait... Lorsqu'elle prétendait s'isoler, elle se rendait en réalité dans le Digimonde... Pour parer aux interrogations de Mélinda, elle prétendait qu'elle préférait s'excitée seule dans son coin, se frustrer, avant de finir par céder et rejoindre les autres. Ainsi, elle était plus chaude et affamée en matière de sexe. Ce n'était toutefois pas si loin de la vérité. Certes, elle ne regardait pas de porno, elle sauvait le monde digital, avec le reste de son groupe. Toutefois, elle ne voulait pas leur donner l'image d'une grosse salope assoiffée de sexe et restait donc sérieuse. Mais en contre partie, cela la frustrait énormément et, évidement, quand elle rentrait de mission elle n'avait qu'une envie, se faire sauter par de très gros membres.
Finalement, après un temps qui lui parut interminable, Sayako sentit le sexe de sa Maîtresse s'enfoncer profondément dans son intimité en feu jusqu'à la garde.
- Hmmmmamaaaaaaaaahhh ♥♥
Son regard se révulsa légèrement, sa salive coulant depuis une de ses commissures et, tout en gémissant sensuellement de plaisir, envoya sa petite langue gourmande aussi loin que possible dans la vulve de Laura, resserrant son emprise sur le cul de Laura. Celle-ci se mit d'ailleurs à presser son opulente poitrine, la faisant gémir plus fort encore, alors que la vampire remua plus vite en elle, maintenant que sa chatte était bien lubrifiée par sa mouille. Ayant la vue obstruée par du latex rouge, Sayako ne voyait pas se qui se passait, mais au bruit qu'elle entendit et à la jupe d'uniforme qui venait obstruer un peu plus sa vision, il semblait bien que Shii ou Clara était venue derrière Laura pour l'embrasser et palper ses seins, à elle aussi.
- Haaaaa ♥ Haaaaa ♥ Haaaaa ♥ Haaaaaa ♥
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Avec Mélinda, le sexe dégénérait vite en orgie, et c’était là typiquement le cas. Pour autant, la vampire ne perdait pas ses capacités de réflexion, et, tout en fourrant sa queue dans l’intimité chaude et ruisselante de Sayako, et à sentir tout ce corps de latex se crisper contre elle, avec le sang de la femme qui bouillonnait dans ses veines, elle savait que Sayako lui dissimulait quelque chose. Il n’y avait pas que du voyeurisme. Mélinda n’avait aucune preuve pour le dire ; il s’agissait plutôt de sa légendaire intuition, celle qui ne lui avait jamais fait défaut, et qui, en ce moment, venait lui souffler dans le creux de l’oreille que la jeune femme, chaude comme la braise, ne disait pas toute la vérité.
Pour l’heure, toutefois, la question ne se posait qu’en filigrane. Là, Mélinda savourait, et c’était, en réalité, bien suffisant. Son corps glissait contre le sien, et elle vit les mains de Laura presser les seins de Sayako, avant de s’écarter, pour laisser le passage à Mélinda, qui continua à harceler les seins de la belle Sayako, tout en continuant à baiser sa poupée. Le corps de Sayako se collait au sien, grâce au latex, provoquant une série de claquements spongieux quand le latex et la chair de Mélinda se frottaient ensemble. Un concert sonore et olfactif délectable, assurément.
« Hmmmm... Haaaaa... »
Les onctueux gémissements de la vampire remplissaient la pièce, et elle continuait à la pénétrer. Sa queue labourait la chair de Sayako, qui léchait avidement l’intimité de Laura. Autant dire que Clara et Shii finirent par s’approcher. Shii, qui avait souvent les cheveux bouclés, avait ici perdu ses nattes, de sorte que de longs cheveux tombaient au milieu de son dos. Elle était relativement méconnaissable, avec ses joues rouges, la sueur coulant le long de son visage. Elle et Clara allèrent à droite et à gauche de Laura, venant se frotter contre son corps, et, Laura posa ses mains sur leurs fesses, les massant.
« Mmhhmmm... Mes petites chéries... !
- Laura... Tu es toute chaude, ma chérie... » sourit Clara.
Laura et Clara étaient deux grandes amies au lycée, partageant en effet le même goût pour la domination. Shii était certes la victime de Clara, mais, en réalité, elle était souvent la victime des deux, qui n’hésitaient pas à l’embrasser publiquement, à la coincer dans les vestiaires, et à lui faire l’amour sans aucune pudeur. Laura et Clara s’embrassèrent longuement, pendant que Shii embrassait et mordillait sa peau, léchant cette dernière, frottant son nez sur sa joue. La belle femme blonde tourna la tête, et embrassa alors Shii, pendant que Clara, avec sa main, descendait le long de son ventre, atteignant son bassin, où elle rejoignit la langue de Sayako, s’enfonçant dans le puits de plaisir de la femme, alternant avec la langue de Sayako.
Pendant ce temps, Mélinda continuait à s’enfoncer dans le corps de la femme, grattant ses hanches, et suçait l’un de ses seins, avec appétit.
« En... Hmmmm... Tu es si chaude, Sayako, haaaaaa... C’est tellement bon de te pénétrer, ma petite pute... »
Oh que oui !
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Sayako était en nage dans sa combinaison, chaude comme la braise. La grosse trique de sa Maîtresse continuait de pilonner son intimité d'avant en arrière, allongée contre elle et s'attaquant voracement à ses seins au travers du latex, la faisant couiner et gémir de plaisir, sa belle voix montant doucement dans les aigus mais tout en restant sensuelle. La lycéenne de son côté, continuait de flatter le cul de Laura, sa langue remuant langoureusement dans sa fleur inutile. Au bout d'une poignée de minutes, Shii et Clara les rejoignirent et Sayako sentit les doigts de cette dernière remuer aux côtés de sa langue, les léchant un peu de temps à autres.
Finalement, la belle brune finit par laisser les fesses de la blonde en paix lorsqu'elle sentit des mains glisser vers les siennes, pour finalement les poser sur celles de Shii et Clara. Elle palpa leur cul un petit moment, avant de les déplacer sensuellement vers leur petit puis et pénétrer leur anus respectif de deux doigts, remuant rapidement en elle, après avoir utiliser leur mouille pour les lubrifier. Durant une dizaine minutes qui suivirent, la chambre ne fut emplie que de gémissements et de soupirs langoureux. Puis, les couinements de Sayako s'intensifièrent, avant qu'elle ne se cambre et n'ait un formidable orgasme, expulsant de nombreux jets de sa chaude cyprine sur le ventre de la vampire.
- Haaaaaaaaann !!! Haaaaaaaa... Hmmmmmm !!! Haaaaaaaaa... Haaaaaaaw...
Elle resta inerte tout le long de sa jouissance et quelques secondes après encore, avant de retourner lécher l'intimité de Laura et pistonner le cul des deux autres lycéennes, bien décidée à s'abreuver de leurs orgasmes à elles.
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Mélinda continuait à pénétrer Sayako avec joie et intensité. Elle était au milieu de l’attention de toutes ces femmes, qui pouvaient laisser parler, entre ses murs, toute leur lubricité. C’était à croire que Mélinda aurait pu écrire sur le fronton de son manoir la célèbre formule de « La Divine Comédie », en l’adaptant à ces lieux : « Abandonne toute pudeur, toi qui entres ici ». Pour Sayako, c’était clairement le cas... Et c’était même trop le cas. Mélinda savait que Sayako s’enfermait parfois pendant des heures dans sa chambre, sans que quiconque ne puisse y entrer. Elle se frustrait volontairement, mais sortait ensuite dans un état déplorable, nécessitant alors de lui faire sauvagement l’amour. C’était bien, au début, mais Mélinda savait que la frustration engendrait aussi de la colère et de la violence. La manière dont Sayako était entrée ici, en véritable trombe, grillant son tour, en était, en soi, la plus belle preuve. Et, mine de rien, c’était aussi une façon, quoique indirecte, de contester l’autorité de sa Maîtresse.
Il allait donc falloir que la vampire mette fin à cette dérive. Mais, pour l’heure, elle soulageait la soif de Sayako. Dire qu’elle ne l’aimait pas, ce serait un pur mensonge. Pénétrer ainsi Sayako était un véritable bonheur, et c’était avec une joie sans bornes que la vampire la pénétrait. Elle s’enfonçait lourdement en elle, faisant encore et encore claquer ce latex. Même après le premier orgasme de Sayako, que Mélinda perçut, bien naturellement, elle continua à la pénétrer.
« Hmmm... Haaaaaa... »
La vampire mordait volontiers le sein de la femme, avant de se redresser, et de lécher et d’embrasser la combinaison, comme une preuve suprême de son fétichisme. Les mains de Sayako se déplacèrent rapidement, venant enfoncer ses doigts dans les fesses de Clara et de Shii, qui se mirent à gémir, se pressant contre le corps de Laura, leurs sexes également proches du visage de Sayako.
« Hmmmm... Haaaaaa... »
Sayako devait sentir la mouille s’accumuler sur son visage, tandis que les minijupes de Clara et de Shii caressaient son visage, se glissant dessus, la faisant disparaître sous un amoncellement de chair et de flux intimes. Mélinda continuait à la baiser, de plus en plus rudement, redressant le haut de son corps, continuant à abaisser et à soulever frénétiquement son corps.
« Hnnnnn... Hmmmmm... !! »
Mélinda la prenait fougueusement, avec une énergie terrible, la mouille de Sayako glissant tout autour de sa queue. Son sperme finit par venir, et afflua massivement dans le corps de Sayako, la vampire se répandant joyeusement en elle.
« Sayaaaaaaakoooo, hmmmmmmmmmm... !! »
Elle gémissait de plaisir, avant de sourire malicieusement.
« Allez... Écartez-vous, les filles, laissez-là respirer... Mets-toi à quatre pattes, Sayako. »
Mélinda s’était occupée de sa chatte, ce qui était bien... Mais il restait encore un autre trou dont il fallait s’occuper.
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Sentir le sperme épais et chaud de sa Maîtresse la remplir était toujours aussi divin. Sayako se cambra de bonheur lorsque la vampire se vida intégralement en elle. La lycéenne sentait ses entrailles se réchauffer ce qui l'excitait d’avantage encore, d'autant plus que les trois autres filles jutèrent également sur son visage, le faisant luire de leur délicieuse mouille. Mélinda lui ordonna de se mettre à quatre pattes et la brune s’exécuta sensuellement, dandinant son cul sous les yeux de sa Maîtresse. Néanmoins, elle entraîna avec elle Clara et se retrouva très vite avec son chibre sous les yeux. Sayako savait ce qui l'attendait et il ne fallut pas longtemps pour qu'elle sente effectivement le membre épais de la vampire entrer par sa porte arrière.
- Haaaaan~ Maîtresse... Je sens votre queue me labourer le cul ♥
Et tout en gémissant son plaisir, commença à s'occuper du vît de sa camarade esclave, léchant sa verge sur la longueur et de coté, faisant exprès de faire monter le désir chez clara, sans la sucer pour le moment, prenant tout son temps. Sa langue s'enroula ainsi sensuellement autour de la hampe de chair, langoureusement, tout en branlant doucement son amante. Elle attendit plusieurs minutes avant que sa Maîtresse ne commence à la sodomiser plus franchement en lui claquant le cul. Ce fut pour elle le signal de départ, avant de prendre le membre de Clara intégralement en bouche... et commencer à lui procurer une vraie fellation, la suçant vigoureusement pompant son dard jusqu'à la garde.
- Hmmmpf ! Humph ! Hummpf ! *Sluuuuuurp* ♥
Dans sa chambre, loin de tout cela, son Digivice se mit à sonner et à vibrer, annonçant visiblement une alerte imprévue. Sayako était malheureusement trop loin pour l'entendre, ne l'ayant pas sur elle en ce moment. Ce ne fut toutefois pas le cas d'une autre fille, qui entra, curieuse, et découvrit avec surprise l'appareil sur le bureau. Elle ignorait toutefois si elle devait garder l'information pour elle ou retrouver la propriétaire...
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Sayako était une femme qui avait rapidement réussi à se faire à l’ambiance du harem. Une terrible perverse, mais Mélinda savait qu’elle lui cachait quelque chose, ce qui la perturbait. Qu’est-ce que Sayako pouvait lui cacher de si grave, quand on savait ce qui se déroulait au harem ? La question était d’importance, mais, pour l’heure, Mélinda allait juste se contenter de satisfaire sa soif, ainsi que celle de Sayako. Elle enfonça son mandrin en elle, crispant ses mains sur ses fesses. Ses doigts s’enfoncèrent dans ses fesses, serrant ce latex le long de sa peau, et multiplia les coups de reins, d’avant en arrière.
« Hmmm... Haaaa... Hnnnn... !! »
Les crissements de latex revenaient pour accompagner ses coups de reins, formant un fond sonore délectable. Mélinda la prenait joyeusement, accélérant et amplifiant le rythme. Clara, de son côté, avait une belle érection, car voir cette scène était jouissive. Elle n’en pouvait plus d’attendre, et était donc intervenue, incitant Sayako à venir la lécher, puis à la sucer, ce que la jeune femme en tenue de latex fit sans opposer la moindre difficulté.
« Haaaa... Pu-Putain, Sayako, tu... T’es toujours aussi affamée, ma parole ! »
La main de Clara se crispa sur les cheveux de la femme, qui gobait son phallus avec avidité, l’aspirant entre ses lèvres, le pompant généreusement. Clara aussi avait noté le caractère « affamé » de Sayako quand elle ressortait de sa chambre, et, tout comme sa Maîtresse, avait du mal à en comprendre les raisons. Sayako était, de base, une perverse proche de la nymphomanie, alors, quand on se privait pendant des heures... Enfin, elle ne comprenait pas ce raisonnement, mais ça ne l’empêchait pas de profiter.
Affamée, Sayako l’était, mais ça ne l’empêchait pas d’être douée. Et sentir sa bouche avaler ainsi son membre, c’était un plaisir exquis, une vague qui remontait dans tout son corps... Tout comme Mélinda, qui savourait le fait de baiser sa poupée de latex, sans rien faire pour chercher à l’épargner.
« Hmmm... Haaaa... Hnnn... !! » gémissait-elle.
Mélinda savait que Sayako voulait se faire prendre fort, et c’était bien là tout ce que la vampire avait en tête.
Pendant ce temps, près de la chambre de Mélinda, Mion Takashaki (http://img110.xooimage.com/files/5/2/9/4f38b12e17ab4f542...b8265ac5-520f841.jpg) faisait claquer les talons de ses bottes blanches dans le couloir, dandinant légèrement des fesses. Elle était une esclave de Mélinda, élève au lycée Mishima, inscrite au club de musique, où elle s’exerçait à la guitare électrique. Une candidate parfaite pour Mélinda, grâce à son joli minois, et à ses formes généreuses. Le soir, elle avait pris l’habitude de conserver son sailor fuku, sans sa culotte, afin qu’on puisse la prendre avec, car elle savait que les esclaves du harem aimaient bien cette tenue.
*Enfin, ça n’empêche pas que je doive me trouver une partenaire pour ce soir, et que...*
En approchant de la chambre de Sayako, Mion entendit soudain un drôle d’appareil résonner à l’intérieur.
*Hein ?*
Intriguée, elle toqua à cette dernière, pour constater que personne ne lui répondait. Sayako était un vrai mystère au harem, car tout le monde savait qu’elle s’enfermait pendant de longues heures à l’intérieur. Curieuse, Mion ouvrit donc la porte, et se rapprocha du bureau, où elle vit un curieux gadget (http://img4.hostingpics.net/pics/984338DigiviceD3.png).
*C’est quoi, ce truc ? Un téléphone portable tekhan ?*
Qu’est-ce que Sayako fichait avec ce machin ?
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L'appareil sonnait et vibrait de plus en plus fort, continuant de signaler une alerte. Pourtant, si la lycéenne y regardait de plus près, elle y verrait des indication nullement en Japonais ou même une quelconque autre langue connue sur Terre comme sur Terra. Et lorsqu'elle le prit en main, une intense lumière blanche en sortit, qui se répercuta ensuite sur l'écran de l'ordinateur juste à coté. Une curieuse ombre en sortit alors et, lorsque la lumière perdit en intensité, une curieuse créature rouge avec des attributs de poisson se tenait devant l'humaine, mais pas vraiment face à elle.
- Enfin Sayako, il était temps ! ça fait bien dix minutes que j'essaye de te joindre ! il faut absolu... Hein ?
Elle venait de remarquer la lycéenne à coté d'elle. Ce n'était nullement sa partenaire.
- Un instant, t'es qui toi ? Pourquoi t'as le digivice de Sayako dans les mains ? Et elle est où d'ailleurs ? Bref, il faut absolument qu'elle vienne ici, il y'a une urgence dans le digimonde et il faut absolument qu'elle rejoigne les autres, y'a pas d'temps à perdre !
Loin de se douter de ce qu'il se passait dans sa chambre, Sayako elle, prenait un pied monstre sur le lit de sa Maîtresse, prise entre deux puissantes queues. D'un coté, il y avait la vampire qui pourfendait son fessier de sa longue et puissante lance de chair et, de l'autre, Clara avait finit par agripper sa tête pour lui baiser la gorge, s'en servant comme d'un masturbateur. La brunette se contentait seulement de couiner et gémir de plaisir, agitant tout de même sa petite langue sur le gland de sa camarade et roulant du cul pour sa maîtresse, impatiente de se faire remplir par le sperme des deux futa qui labouraient son délicieux corps de salope, comme elles le disaient elles même si bien. Il ne fallut d'ailleurs pas bien longtemps avant qu'elle ne jouisse de nouveau, imprégnant les draps de sa chaude mouille, révulsant son regard.
- Hmmmm !! Hmmmmmmmmm !! HmmMMmmMMmMMmmMM ♥♥♥
Le sexe était si bon, si intense, après avoir passée tant de temps à sauver un autre monde, qu'elle ne voulait pour rien au monde que cela s'arrête avant qu'elle ne soit totalement épuisée.
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MÉLINDA WARREN
Ah, ces crissements, ces
délicieux crissements ! Mélinda adorait le latex pour bien des raisons. Non seulement c’était une matière très belle à regarder, mais elle collait aussi très bien au corps, et
crissait avec bonheur. C’était un délice pour tous les sens, car Mélinda adorait aussi renifler l’odeur d’une combinaison de latex, ce mélange de fraîcheur et de moiteur. Sur ce point, la vampire était une pure Tekhane, et son fantasme était très connu au harem. En enfilant sa combinaison intégrale, Sayako s’était assurée que Mélinda viendrait lui faire l’amour avec toute la passion dont elle était capable. Et c’était bien là ce qui se passait. Haletant et gémissant, Mélinda crispait ses mains sur les fesses de Sayako, la giflant à plusieurs reprises. Elle ne s’en rendait même pas forcément compte, agissant juste avec instinct, répondant à la douleur que cette sodomie lui infligeait.
Dents serrés, muscles tendus, la vampire continuait à la sodomiser furieusement, son corps filant d’avant en arrière, la sueur coulant le long de ses cheveux, glissant sur sa peau. Clara, de son côté, faisait preuve de la même passion. Elle avait posé ses deux mains sur la tête de Sayako, et bourrait sa gueule, démontrant, s’il était encore nécessaire de le prouver, que le sexe lesbien pouvait se montrer sauvage et passionnant.
«
Hmmm... Haaaa... Su-Suce-moi bien, sa... Salope ! »
Au milieu de ce trio, Shii finit par se rapprocher. Les joues rouges et les cheveux légèrement défaits, elle se glissa sur le côté de Sayako, et se redressa, posant ses mains sur son dos. Elle sentait, contre ses doigts, le latex, les grattements, et la chaleur de la jeune femme, puis se dépêcha de déplacer ses mains, et pinça les seins de Sayako.
«
Tu es vraiment en chaleur, Sayako... »
Shii sourit, et approcha ses lèvres de la combinaison, venant mordiller la chair de la femme à travers cette texture. Sous un tel traitement, Sayako approcha rapidement de son premier orgasme, mais ça n’allait nullement dissuader les femmes de cesser à la baiser. Au contraire, Mélinda s’enfonça encore plus durement et plus énergiquement en elle.
MION TAKASHAKI
*
Mais qu’est-ce qui se passe? On dirait qu’il va exploser !*
Le téléphone vibrait et bipait dans tous les sens, glissant petit à petit sous l’effet de ses propres vibrations. Mion, nerveuse, regarda autour d’elle.
«
Sayako ? SAYAKO ?! »
Pas de réponse, évidemment ! Elle observa à nouveau le téléphone, voyant sur l’écran digital des inscriptions indéchiffrables. On lui avait souvent dit que la langue commune de Terra ressemblait beaucoup au japonais, mais là... Elle observa encore le téléphone, avant de se dire que Sayako devait se trouver chez Mélinda. Et, alors qu’elle hésitait sur la démarche à faire, l’appareil s’approcha du rebord. Évitant de le faire tomber, Mion se dépêcha, et attrapa l’objet en plein vol.
Surprenant Mion, l’appareil se mit à briller intensivement, et elle poussa un petit cri de surprise, le relâchant, et heurta le lit, tombant dessus. Elle vit alors une silhouette rouge émerger de la lueur blanche de l’appareil, qui avait atterri sur la moquette. Médusée, Mion vit une créature rougeâtre, ressemblant à une sorte de poisson bipède, apparaître.
«
HÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎ !! »
Paniquée, Mion écarquilla les yeux, tout en contemplant la mystérieuse créature, qui se mit à parler, pensant être tombée sur Sayako. La femme se mit à lui parler rapidement, et Mion, hébétée, se contenta de cligner les yeux à plusieurs reprises :
«
Hein ? Quiquequoi ? »
Elle était trop surprise pour pouvoir comprendre ce que la femme venait de lui dire !
-
La créature digitale regarda la pauvre humaine éberluée et étalée au sol. Elle agita plusieurs fois la main devant ses yeux équarquillés, claqua dans ses doigts, bref, fit tout ce qu'elle pouvait pour capter son attention.
- Allô ! Y'à quelqu'un là dedans ? Hé !
Elle dû toutefois la secouer un peu avant de parvenir à l'obtenir.
- Ah quand même ! Je cherche Sayako, ma partenaire. Est-ce que tu sais où elle se trouve ? C'est très important, j'ai besoin d'elle rapidement. Ne cherche pas à savoir ce que je suis, on a pas le temps. Les explications, ce sera pour plus tard...
Du coté de la petite partouze, C'était clairement l'extase. Entre Mélinda qui lui ramonait le fion en lui claquant le cul, Clara qui lui besognait la gorge énergiquement et Shii qui torturait délicieusement ses seins, Sayako ne savait plus où donner de la tête, piégée dans un tourbillon de luxure à l'en rendre folle. Son corps était tellement stimulée qu'à peine sortie d'un orgasme, elle jouissait de nouveau, enchaînant ces derniers à une vitesse folle. Une véritable femme fontaine emprisonnée dans du latex. Elle se cambrait, s'arquait, gesticulait entre les autres filles, couinait de bonheur en lâchant de grands jets de cyprine. Il était difficile pour elle de s'arrêter, aucune pause ne lui était accordée. N'importe quelle fille avec sa sensibilité aurait été brisée et la jeune fille le serrait sans doute depuis longtemps, si elle avait pris la peine de prendre des aphrodisiaques avant ou si elle avait été droguée. Dans un sens, heureusement qu'elle était nympho et habituée à de tels traitements.
Au bout d'un temps qui lui semblait interminable - depuis combien de temps était-elle aux prises de sa Maîtresse et ses camarades esclaves ? 20 minutes ? Une heure ? Plus ? - Sayako eu enfin droit à une grosse rasade de foutre chaud et épais, la semence filant autant entre ses fesses malmenées que dans son œsophage en feu, remplissant rapidement son ventre de ce délicieux sperme onctueux. Durant tout l'orgasme, son corps resta rigide, figé dans sa position de soumise tout en trempant les draps, jusqu'à ce qu'enfin, elle se détende entre Mélinda et Clara, son feu intérieur enfin calmé. Lorsque les deux sexes se retirèrent d'entre ses fesses et de ses lèvres, le trop plein s'écoula paresseusement sur une de ses cuisses ainsi que son menton.
- Haaaaaaaaaaaa.... Haaaaaaaaaaaaaa....
Ce fut à cet instant que des coups se firent de nouveau entendre contre la porte.
-
Le latex était vraiment une matière noble pour Mélinda, et très excitante. Elle allait à merveille sur le corps de Sayako. Tout un chacun savait combien Mélinda aimait le contact du latex. Alors, sur un aussi joli corps que Sayako, c’était un vrai plaisir que de la baiser. Mélinda, Clara et Shii la prirent encore pendant un long moment, puis Mélinda la prit ensuite toute seule, la couchant sur le dos, et la pénétra ensuite en s’allongeant sur elle. Ses mains serrèrent les mains de Sayako, sa peau nue se frottant au latex, provoquant d’innombrables crissements et autres craquements.
« Hmmmm… Haaaaa… !! »
Mélinda gémissait et soupirait, tout en multipliant les coups de reins. Les minutes défilaient, rythmées par les coups de reins de la vampire, ses baisers appuyés sur ses lèvres, et les gémissements de Sayako.
« Oui, ma chérie, haaaa… Hmmmm… !! »
Et le plaisir afflua, le torrent indélébile se déversa entre ses cuisses, et vint remplir une nouvelle fois le ventre de Sayako. Mélinda se reposa ensuite lentement contre elle, en sueur, et posa sa tête contre les seins de Sayako. Elle adorait dormir comme ça, surtout sur du latex, et, en ce moment, tout en reprenant des forces, en plein milieu de la nuit, Mélinda était dans cet état qui, chez elle, venait à précéder le sommeil. Clara et Shii, qui le savaient bien, s’étaient d’ailleurs rapprochées, et la câlinaient tendrement, comme pour la guider dans son sommeil.
« Hmmm… Un jour, Sayako, il faudra… Que tu apprennes à réguler un peu mieux tes pulsions sexuelles… »
Tout aurait pu se terminer là… Si ce n’est que des coups résonnèrent brusquement à la porte.
« Que… ? »
Mélinda se retourna, surprise, et la porte s’ouvrit brusquement, livrant passage à une jeune fille paniquée.
« Maî-Maîtresse… ! Il… Euh… YauntrucquiestsortidelachambredeSayakoetqui… »
Clignant des yeux, Mélinda secoua la tête et se releva.
« Je n’ai rien compris, Mion ! »
Cette dernière respira lentement, et reprit plus calment, en expliquant que quelque chose était sorti de la chambre de Sayako, et demandait à la voir… De sa montre, ou d’un truc comme ça.
« Hein ? Mais de quoi est-ce qu’elle parle ? »
Intriguée, Mélinda regarda Sayako, en attente des réponses qu’elle pouvait lui fournir…
-
- Hmmm… Un jour, Sayako, il faudra… Que tu apprennes à réguler un peu mieux tes pulsions sexuelles…
Sayako était bien d'accord mais, contrairement à ses copines du harem, la jeune fille était dans l'impossibilité de se décharger de sa frustration en journée. Elle ne pouvais pas se taper des queues à longueur de journées, et se retrouvais donc extrêmement frustrée la nuit venue. Avec une libido comme la sienne, il n'était donc pas rare que ses journées de combats se terminent dans des seines de d'ébauche intenses. Mais à présent, son feu intérieur était enfin calmé et elle était prête à s'endormir près de sa Maîtresse et de ses copines. Au sein du harem, c'était un honneur de servir d'oreiller pour la vampire, lorsque l'on avais une généreuse poitrine. Sayako était ainsi en train de s'endormir en caressant délicatement la belle chevelure de sa Maîtresse, lorsque Mion déboula dans la chambre, en panique.
- Maî-Maîtresse… ! Il… Euh… YauntrucquiestsortidelachambredeSayakoetqui…
- Je n’ai rien compris, Mion !
Elle expliqua donc plus lentement et Sayako se fit un facepalm. Qu'est ce qui avait bien pu passer par la tête de Zora ? Et bien entendu, la vampire ne compris rien, un peu comme elle s'y était attendue en fait. Mélinda lui demanda ce que tout cela signifiait mais avant qu'elle puisse dire quoi que ce soit, son Digimon passa sa tête dans l'ouverture de la chambre, derrière Mion. Bien entendu, elle était nue, mais le sexe était une grande inconnue pour elle.
- En fait, techniquement, je suis sortie de l'ordinateur, pas du Digivice. Les ordinateurs servent de portail entre ce monde et le miens.
Il y eu un blanc, bien entendu. Un long silence, durant lequel la créature se dirigea vers sa partenaire, encore allongée sur le lit et entourée des autres filles, à savoir Melinda, Clara, Shii et Laura.
- Aller, debout Sayako, c'est pas le moment de faire des câlins avec tes copines, il y a une urgence et les autres n'attendent plus que nous !
- Je... Je suis désolée Maîtresse... J'aurais dû vous en parler plus tôt... Je... Je ne m'enferme pas toute la journée pour regarder du porno... En fait... C'est tellement dingue que vous aller me prendre pour une folle...
Sayako inspira un grand coup, avant de lâcher la bombe, un peu rouge d'embarras tout de même.
- Je... Je suis une Digisauveuse... Je me rend sur un autre monde nommé Digimonde et cette Zoramon et ma partenaire Digimon... Voilà...
Digimon était une licence populaire au Japon. Plus au Japon qu'ailleurs en fait. Anime, jeux vidéos ou de cartes, peluches, c'était un vieux concurrent de Pokemon. Ce que les gens ignoraient en revanche, c'est que ce Digimonde, qui était une dimension physique du réseau internet mondial, existait réellement et était étroitement lié à la Terre. Ce qui arrivait sur l'un avait des conséquences sur l'autre. La licence Digimon n'était en réalité qu'une couverture, pour cacher la vérité. Ce que Sayako leur avait révélée, c'était l'équivalent d'un secret d'état, dont le SHIELD était bien entendu au courant.
-
Dire que Mélinda comptait passer une nuit reposante, la tête posée sur des seins en latex… Rien de mieux pour dormir, selon elle, au milieu de filles épuisées qui la berceraient en la câlinant et en l’embrassant. Et, au lieu de ça, Mion venait de débarquer, en amenant avec elle une sorte de Terranide-poisson rouge (https://img4.hostingpics.net/pics/744702Zora.png). Mélinda cligna des yeux à plusieurs reprises en la voyant débarquer. Elle s’était alors redressée, à califourchon sur le corps de Sayako, dans une position qui, en d’autres circonstances, aurait assurément suscité beaucoup d’imagination. Après tout, il ne fallait pas oublier que Mélinda était nue, les joues encore légèrement rougies, les cheveux tombant en cascade le long de son corps. Elle vit la jeune Terranide-poissons ‘avancer, en parlant du « Digivice ». Surprise, Mélinda regarda de nouveau Sayako, lèvres entrouvertes.
Consciente de la situation, Sayako expliqua être une « Digisauveuse », voyageant sur un autre monde, le « Digimonde », où elle avait une partenaire digitale, Zoramon, qui se tenait devant elles. Mélinda la regarda en clignant des yeux à plusieurs reprises. Sayako ne mentait pas. Mélinda l’aurait senti, sinon, mais elle était affreusement gênée.
« Oh… Je vois… Et quand est-ce que tu comptais me le dire ? »
Au moins, ça expliquait mieux pourquoi Sayako était une telle affamée, et pourquoi elle s’enfermait des heures. Elle partait jouer l’héroïne sur un autre monde, dont Mélinda n’avait jamais entendu parler, et dont elle était loin de se douter de l’existence. Mais, ce qui l’ennuyait surtout, c’est que tout ça se passe chez elle, sous son nez, sans que personne ne daigne l’en informer.
« C’est précisément le genre de choses que je tiens à savoir ! s’énerva Mélinda en pointant du doigt Zoramon. Et, pour information, Zoramon, je ne suis pas son amie, mais sa Maîtresse. Sayako vit sous mon toit parce qu’elle a juré d’être loyale, et de ne jamais me mentir… Or, je n’ai jamais entendu parler de ce Digimachin, j’ignore de quoi il s’agit, ce qui se passe, alors… Je suis énervée ! »
Elle regarda Sayako en soupirant, et se redressa finalement, sortant du lit, puis attrapa un pichet traînant dans un coin, et se versa un peu de sang dans une bouteille, buvant quelques rasades pour se calmer. Plusieurs soupirs s’échappèrent de ses lèvres au contact du liquide carmin, puis elle se retourna ensuite vers Sayako.
« Bien, je t’écoute… Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? »
-
Bien entendu que sa Maîtresse était en colère, Sayako s'y était attendue, mais l'ennuis, c'était que la jeune fille s'était sentie perdue, incapable de savoir comment le lui annoncer. Et il n'y avait pas que ça, on parlait du Digimonde, soit une réalité alternative de la Terre, mais sur le réseau internet. Il y'avait de quoi filer des migraines à des organismes gouvernementales comme le SHIELD, alors pour sa maîtresse qui ne captait rien à l'informatique... Et puis outre cela, Sayako faisait aussi partie d'un groupe, avec trois autres personnes, qui partageaient le même secret et dont Mélinda ignorait l'existence...
La vampire se leva et alla boire un peu pour se calmer, tandis que Sayako elle, sentait des larmes poindre au coin des yeux en se redressant. Mais pleurer n'était pas envisageable pour autant, la jeune fille savait qu'elle était en faute.
- Bien, je t’écoute… Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?
- Et bien... Peu après mes 12 ans, donc 2 ans avant que vous me trouviez dans des cartons, un appareil est sortit d'un des ordinateurs de mon orphelinat pour atterrir entre mes mains... Et m'aspirer dans un autre monde. Là bas, je me suis retrouvée avec trois autres enfants, qui avaient plus ou moins mon âge. Ce monde était remplis de monstres, dont une partie, puissants, désiraient envahir la Terre... Nous avions été tout quatre choisis pour les combattre et on nous as attribués des partenaires... Zoramon est la mienne.
Quiconque ayant vu les dessins animés pouvaient faire le parallèle entre ces histoire et la sienne, tant ils étaient parallèles. Néanmoins, cette histoire c'était déroulée 4 ans auparavant seulement, et la licence Digimon elle, était vieille de 15 ans. Autrement dis, d'autres avant Sayako avaient dû s'y rendre alors qu'elle était à peine née.
- Nous sommes restés bloqués 2 ans sur cet autre monde, avant de pouvoir rentrer chez nous, une fois notre mission terminée. Mais si les autres avaient une famille, moi... Je n'avait personne... Et je me suis retrouvée à la rue. Le SHIELD nous a fait jurer de ne jamais rien divulguer de cette histoire à quiconque et pensant que ce serait de l'histoire ancienne, je n'ai pas jugée utile de vous en parler... Surtout connaissant vos rapport avec l'informatique... Mais j'ai de nouveau été appelée il y a plusieurs mois... Et entre vous et le SHIELD, je ne savais plus sur quel pied danser...
Cette fois-ci, les larmes se mirent à couler toute seule et Sayako peina à s'essuyer les yeux, avec ses mains couvertes de latex. Zora elle, regardait la scène sans trop comprendre pourquoi sa partenaire pleurait, de nombreuses notions humaines lui échappant complètement.
- Désolée Maîtresse... Je... *snif* Je voulais juste éviter de... D-De vous apporter des p-problèmes... *snif*
-
Digimon ne disait absolument rien à Mélinda. Tout comme Pokemon et quantité d’autres dessins animés très populaires au sein de son manoir, elle était totalement imperméable aux charmes de Pikachu, de Bulbozore, et de Miaulex, ou quelque chose comme ça. Elle écouta donc Sayako lui expliquer que, pendant deux ans, elle avait été absorbée dans un autre monde, monde d’où était visiblement issu la créature rouge chitineuse qui avait débarqué ici. Sur ce monde, en compagnie d’autres adolescents, elle avait combattu des monstres voulant envahir la Terre, avant de revenir sur place. Sayako évoqua ensuite le cas du S.H.I.E.L.D., rappelant à Mélinda quelques désagréables souvenirs. Elle savait que le S.H.I.E.L.D. était un organisme humain qui voulait réguler les activités entre La Terre et Terra, et qu’elle était une cible idéale pour eux. Une esclavagiste venant de Terra pour corrompre de jeunes femmes... Mais il y avait d’autres forces que le S.H.I.E.L.D. ici, surtout à Seikusu, et le lycée Mishima offrait à Mélinda une bonne couverture. Elle se méfiait néanmoins de cette organisation, et fut donc encore plus surprise d’apprendre que, non seulement Sayako les connaissait, mais que eux aussi connaissaient ses activités.
*Il est étonnant qu’elle n’ait pas été enfermée...*
Confuse, Sayako se mit à pleurer, expliquant qu’elle avait été partagée entre, d’un côté, sa loyauté envers sa Maîtresse, et, de l’autre, la peur du S.H.I.E.L.D. Mélinda pouvait comprendre ça, et fit encore les cent pas, réfléchissant à la suite. Elle commençait à mieux comprendre, mais elle avait encore besoin de plus amples informations.
« Ne pleure pas, Sayako, glissa-t-elle rapidement. J’ai encore besoin que tu te concentres, et que tu me dises la suite. »
Mélinda n’allait pas se contenter de ça, et rejoignit Sayako, s’asseyant à côté d’elle, et attrapa ses mains entre les siennes. Elle planta ensuite son regard dans le sien, et enchaîna :
« Ce monde... À quoi ressemble-t-il ? C’est qui, ton amie poisson ? Tu y retournes encore, je suppose ? Et... Tu as repoussé l’invasion de monstres, c’est ça ? »
-
- Ne pleure pas, Sayako. J’ai encore besoin que tu te concentres, et que tu me dises la suite. Ce monde... À quoi ressemble-t-il ? C’est qui, ton amie poisson ? Tu y retournes encore, je suppose ? Et... Tu as repoussé l’invasion de monstres, c’est ça ?
La scène était vraiment surréaliste pour la jeune fille. Elle était au milieu de la chambre de sa Maîtresse - qui était nue en passant - dans sa latex suit, avec deux autres camarades esclaves et accompagnée de sa partenaire Digimon, en train de parler de ce qu'elle faisait dans cet autre monde. On pouvait dire que la soirée avait pris une tournure inattendue. Même si la vampire comprenait un peu sa situation et la consolait un peu, elle avait, comme Sayako s'y était attendue, du mal à comprendre le concept même de cet autre monde. néanmoins, le temps que la jeune fille ne se calme un peu, ce fut sa Zoramon qui prit le relais.
- Mon monde ressemble à une version virtuelle de la Terre, mais avec beaucoup plus de nature. Il n'y a que quelques cités éparpillées ainsi que des bugs, comme des frigos ou des téléviseurs au milieu de nul part, débranchés mais en état de marche, des usines d'assemblages et de désassemblages, qui ne servent donc a rien, ou encore des pyramides inversées.
- Les lignes de codes informatiques font fonctionner le Digimonde et les programmes sont une sources d'énergie. Chaque action humaine a une conséquence sur cet autre monde. Les Digimon peuvent êtres classés en données, virus et anti-virus. C'est aussi pour ça que les ordinateurs sont un moyen d'accès fiables.
- Quant à moi, je suis sa partenaire. Les humains ne peuvent pas se battre dans mon monde, mais ils peuvent nous influencer, pour nous faire gagner en puissance. Sans Sayako, je serait incapable de combattre.
En d'autres termes, la créature avait besoin de la présence de Sayako pour évoluer et devenir plus puissante, le temps d'un combat. sans elle, il lui faudrait des années pour atteindre le même niveau et la menace aura eu le temps de passer à l'action depuis belle lurette.
- Depuis quelque mois, j'ai repris mes activités avec mon groupe oui... On a découvert qu'un nouvel ennemis tentait de prendre le contrôle du monde digital... Il cherche à constituer une armée et ouvrir des failles instables, afin d'envahir la Terre. Dans le même temps, il crée des interférences informatiques, qui ont des conséquences directes sur les activités sur Terre. Du genre, couper le pilote automatique d'un avion, faire dérailler les feux de signalisation, ce genre de chose... La solution la plus simple serait de couper tout les serveurs, mais la Terre est trop dépendante de l'informatique pour s'en passer... Et le SHIELD le sait...
- Les humains qui ont été choisi et possèdent un digivice sont les seuls à pouvoir empêcher cela d'arriver. le SHIELD le sait, tout comme notre ennemi. C'est ce qui m’amène ici ce soir. Les autres ont été piégés et ont été enlevé suite à un fausse alerte. Il ne reste plus que nous deux pour les sauver et faut le faire aussi vite que possible, avant qu'une autre attaque ne soit lancée !
Sayako comprenait mieux maintenant pourquoi sa partenaire était venue malgré ses consignes. Si les autres avaient été capturés par leur ennemis, il était plus libre de ses mouvements pour former son armée. Et la jeune fille se doutait que, si elle n'était pas tombée dans ce piège, c'était justement parce qu'elle faisait l'amour avec sa Maîtresse et ses copines pendant la fausse alerte.
-
Sayako continuait à diffuser ses informations, sans tenir compte du caractère surréaliste de la situation. Elles venaient de faire énergiquement l’amour, et, au lieu de se reposer paisiblement, Mélinda se retrouvait embarquée dans une histoire confuse et complexe de monde informatique digital, de monstres, et avec le SHIELD par-dessus le marché. Sayako lui expliqua que le Digimonde était un monde virtuel, avec l’existence de quelques bugs, correspondant à des objets, et qu’une nouvelle menace avait émergé là-bas, et que c’était pour ça que sa copine, le crustacé rouge, était venu ici. Mélinda écoutait tout ça, sans trop savoir ce qu’elle était supposée dire. Elle n’aimait guère ce genre d’histoires, ces embrouilles qui venaient perturber le petit fonctionnement paisible de sa maison. Mélinda se tut donc pendant quelques secondes après la discussion animée entre Sayako et le crustacé rouge.
« Euh... J’en déduis que tu dois retourner dans... Dans le Digimonde, c’est ça ? »
Par les vampires, quelle histoire invraisemblable ! Elle avait elle-même parlé de « Digimonde », sans être encore trop sûre de quoi il s’agissait.
« Une minute... »
Mélinda venait subitement de réaliser quelque chose. Elle reprit rapidement, fronçant les sourcils en regardant Sayako :
« Tes absences répétées... C’est parce que tu étais dans ce monde virtuel, c’est ça ? Et moi qui pensais que tu regardais du porno en cachette dans ta chambre... »
Au moins, ce grand mystère était résolu !
-
- Une minute... Tes absences répétées... C’est parce que tu étais dans ce monde virtuel, c’est ça ? Et moi qui pensais que tu regardais du porno en cachette dans ta chambre...
- C'est ça... Je devais trouver un subterfuge pour faire mes missions sans trop attirer l'attention... et en toute honnêtetés, je pensais pas que ça marcherait...
Sayako avait été la première surprise que son plan fait à la va vite ait duré autant de temps. Mélinda était une vampire, elle avait donc la faculté de ressentir les groupes sanguins. Autrement dit, qu'elle n'ait jamais remarquée que la jeune fille n'était plus dans sa chambre à ces moment là, que sa Maîtresse soit aussi facilement tombée dans le panneau et durant des mois était, paradoxalement, très gênant pour elle.
- Néanmoins... comme je ne peux pas soulager mes pulsions dans cet autre monde... je reviens toujours très frustrée...
En résumée, Sayako ne se frustrait pas en regardant des vidéo porno toute la journée pour finir folle de sexe le soir. Elle était naturellement assoiffée de sexe du fait qu'elle ne pouvait pas baiser en mission. Sa Maîtresse pouvait s'interroger sur le sujet en observant simplement Zoramon. Malgré qu'elle soit une créature aquatique, on voyait clairement que c'était une femelle, complètement nue qui plus es. Toutefois...
- Les Digimon ignorent complètement ce qu'est le sexe... Ils ne se reproduisent pas. Lorsqu'ils meurent, ils retournent automatiquement à l'état d’œuf et refont indéfiniment leur cycle de vie. Ils ont beau avoir des parties génétiques, ils n'ont pas de zones érogènes.
Pour une femme qui dirigeait un bordel depuis des décennies, une telle chose devait sembler invraisemblables, mais c'était pourtant le cas. N'ayant pas besoin de se reproduire - ils n'étaient que des données informatiques après tout - leur corps n'était pas conçus pour ressentir du plaisir sexuel. Bien sûr, il était probablement possible de modifier le programme de base des Digimon pour corriger cela, mais Sayako n'était pas assez calée en informatique, pour changer une seule ligne de code de toutes les créatures de ce monde. Et puisqu'on en parlait, sa partenaire digitale tirait sur le bras de la jeune fille pour la faire se lever en se dirigeant vers la porte.
- Aller, on a assez perdue de temps comme ça, les autres ont besoin de nous et on est les seules à pouvoir les sauver, alors on se bouge!
Zoramon connaissait le principe de la relation Maître/esclave, mais dans son monde, c'était surtout un tyran qui asservissait ses paires via des moyens technologiques de lobotomisation. Le concept de soumission volontaire lui passait complètement au dessus de la tête et elle voyait juste Mélinda comme une "amie" de sa partenaire humaine très collante et trop curieuse, qui l'entravait dans son devoir. Quant à Sayoko, elle hésitait, entre son devoir envers son groupe et sa Maîtresse justement, attendant presque l'autorisation de celle-ci malgré l'urgence de la situation, maintenant qu'elle était au courant. Et au fond, elle espérait que la vampire l'autorise à y aller. Dans le cas contraire, elle serait obligée de rester et ça risquait de créer d’avantage de problèmes.
-
Mélinda aurait effectivement pu s’assurer que Sayako était bien dans sa chambre quand elle s’y enfermait pendant des heures, mais la vérité est qu’elle n’avait jamais eu de raisons de supposer que la jeune fille habillée en latex allait faire l’héroïne dans une dimension digitale parallèle. Elle n’avait donc jamais fait le pied de grue devant la porte, en estimant que Sayako avait eu ses raisons de rester cloîtrée dans sa chambre. Maintenant que les explications tombaient, elle s’efforçait de rester stoïque. Sayako devait donc encore être dans le Digimonde il y a encore quelques heures.
*C’est pour ça qu’elle est venue me voir à toute allure tout à l’heure...*
Elle commençait à assembler les différentes pièces du puzzle. Sayako lui signala également que les Digimon n’étaient pas intéressés par le sexe, chose d’autant plus surprenante que la créature qui l’accompagnait disposait d’organes sexuels... Mais Mélinda, qui ne connaissait encore rien du Digimonde il y a quelques minutes, n’allait pas contester cette assertion. Estimant d’ailleurs avoir assez attendu, le crustacé ordonna à Sayako de retourner dans leur monde pour faire... Ce qu’elles étaient supposées faire. Chasser des monstres, visiblement, ou sauver le monde, quelque chose du genre. Confuse, Sayako regarda son amie, puis sa Maîtresse, avant de regarder de nouveau son amie crustacé.
Le choix... Mélinda comprit que Sayako attendait son autorisation, et cligna des yeux à plusieurs reprises, avant de faire preuve d’humour :
« Tu n’as jamais eu besoin de mon autorisation jusqu’à présent, Sayako. File faire ton truc, mais... Je tiens à voir comment tu te rends dans ce... Enfin, dans le Digimonde. »
Mine de rien, Mélinda était très curieuse ! Elle voulait donc évidemment voir ça, comment Sayako faisait... Sans pour autant avoir spécialement envie de se rendre dans cet endroit.
Après tout, leur Digimonde avait l’air assez dangereux, elle n’avait donc aucune envie de s’y rendre...
-
- Tu n’as jamais eu besoin de mon autorisation jusqu’à présent, Sayako. File faire ton truc, mais... Je tiens à voir comment tu te rends dans ce... Enfin, dans le Digimonde.
- Oh... Euh... Ça va vous surprendre je...
*Booooom !* Hiiiiiiii !!!!
Cette voix, elle était reconnaissable entre mille, il s'agissait de celle de Ayumi, même si il est vrais qu'elle ne parlait pas beaucoup. Mais ce cris de panique après ce bruit sourd ne présageait rien de bon. D'autant plus qu'un crac sinistre signala que le porte d'une chambre venait d'être délogée de son emplacement, avec une partie du mur.
- Et merde...
Sayako fonça hors de la chambre de sa Maîtresse, suivie de prêt par sa partenaire, et vit alors une créature (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2396162), bloquée derrière un mur de glace, créé par la nageuse, qui gardait les deux bras tendus devant elle.
- Shutumon ?! Qu'est ce que... ?
- Intéressant... J'ignorait que les humains pouvaient disposer de tels pouvoirs... Voilà qui intéressera grandement ma Maîtresse... Malheureusement, je vais devoir te neutraliser, avant que tu anéantisse notre plan...
- Ayumi, dégage, c'est dangereux ! Zoramon, essaye de l'attirer dehors !
Avant que Ayumi puisse faire quoi que ce soit, la Digimon ennemie brisa la glace d'une pichenette, mais la partenaire de Sayako était déjà sur elle, usant d'une attaque aquatique pour lui faire traverser la fenêtre et l'envoyer dans la piscine en contre bas et l'y rejoindre. Pendant ce temps, la jeune fille elle, se précipita dans ce qu'il restait de sa chambre pour essayer d'y retrouver son digivice, qu'elle fini par voir sous des décombres au bout de quelques minutes seulement.
Dehors, on entendait clairement des détonations et des bruits sourds. Mais ce qui inquiétait Sayako, ce n'était pas tant les bruits du duel que les dégâts matériels, mais surtout que les Digimon de type virus émettait une trace digital très particulière connue du SHIELD, et donc que des agents de l'organisation finissent par débarquer. Certes, ils ne feraient que sécuriser les lieux pour protéger les autres riverains, mais Mélinda ne les aimaient visiblement pas.
Bref, une fois son digivice de nouveau en main, Sayako ressortit de sa chambre pour dévaler les escaliers et se retrouver dehors, côté piscine. Les deux Digimon combattaient plus loin dans le jardin, devenu un vrai champ de cratères. Au moins, le manoir n'était pas trop endommagé.
- C'est tout ce que tu sait faire ? Pauvre petit poisson...
- Ferme là sale Piaf !
Du coin de l'œil, Sayako vit Bran, le frère de sa Maîtresse, hésiter à intervenir, restant surtout près des esclaves pour l'heure, au cas où. Arrivant près de sa partenaire, la jeune fille brandit son digivice, dont l'écran commença à émettre une vive lumière, un faisceau intense qui percuta la créature aquatique.
- Zoramon, digivolution !
Sous l'effet de la puissance de l'appareil, Zoramon commença à changer de forme et d'apparence, pour finalement devenir Minemon (https://cdn.discordapp.com/attachments/273803864040407040/481818395071873024/2-Minemon_Intermediaire.png), le stade supérieur. Et à peine transformée qu'elle envoya dans la face de son ennemie une puissante tornade d'eau de mer, qui l'expédia dans la lisière des bois. L'intensité de la bataille monta d'un cran, mais fut plus équilibré.
-
Cette soirée avait pourtant si bien commencé. Mélinda faisait l’amour avec ses esclaves, quand Sayako les avait rejoints, magnifique dans sa combinaison moulante en latex. Comme à son habitude, Mélinda l’avait baisé énergiquement et la vampire n’en demandait guère plus. Elle n’aimait pas qu’on vienne l’embêter chez elle, dans on antre, là où elle offrait à ses esclaves sécurité et luxure. Elle ne pouvait pas se permettre de voir le manoir se transformer en champ de bataille.
Or, ce fut exactement ce qui arriva quand des espèces de Terranides magiques déboulèrent sans prévenir ! Une porte s’envola, et, rapidement, la situation dégénéra, avec des Terranides qui attaquèrent en contrebas. Bien sûr, il ne s’agissait pas de Terranides, mais de Digimon, mais Mélinda n’était clairement pas en état de pouvoir songer à tout ça calmement.
« Bordel, mon manoir ! Foutez le camp, bandes de squatteurs ! »
Nue, la vampire ne prit pas la peine de se changer en rejoignant un balcon surplombant la terrasse avec la piscine. Le Terranide-oiseau se battait avec Sayako et le Terranide-écrevisse, et Mélinda vit que son frère était sur place, près de la piscine, regroupant les filles. Comment les choses avaient pu dégénérer à ce point ? Depuis le balcon, Mélinda sauta en contrebas, se réceptionnant sur le sol. Sans être une guerrière, elle disposait tout de même d’une endurance surnaturelle, ce qui lui avait permis de se rétablir sans difficulté.
Elle se redressa donc, inspectant les environs, et se pinça nerveusement les lèvres.
« Protège-les, Bran ! »
L’eau de la piscine bouillonnait furieusement devant elle. Mélinda avait perdu Ayumi de vue, mais elle se doutait bien que la jeune femme ne devait pas être loin. Pendant dans ce temps, dans le parc, Mélinda vit une tornade aquatique jaillir, au milieu d’explosions et de hurlements. Sans trop pouvoir se l’expliquer, son sympathique parc s’était transformé en un sanguinolent champ de bataille...