Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Refectoire => Discussion démarrée par: Don le mardi 21 juillet 2009, 01:48:39
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Seikusu. Pour Don, même les terres d'Ashnard et les mailles des citées de Tekhos étaient moins risquées, car il savait ce que peu de gens savaient: la vérité, et qui était a la tête de cet établissement. Aphrodite en personne, avec pour aide de camp sa grande prétresse déguisée en infirmière. Il tachait de trainer le moins possible dans l'école, non pas qu'il ait peur de croiser l'avatar d'Aphrodite ou la grande prétresse, après tout peu importe le point auquel il était violent, ça ne les dérangeaient pas. En revanche il était presque sur qu'elles allaient s'amuser avec lui, et quand il ne dominait pas il n'aimait pas ce genre de jeu, encore moins quand ça signifiait lui introduire un tas d'objets dans l'arrière train.
Mais en même temps Seikusu était comme un gros poulaier rempli de bonnes choses, et ici toutes les poules qu'il convoitaient étaient en or, du materiel de première qualitée pour son échoppe. Car évidement, Aphrodite ne faisait pas signer les meilleurs élèves a Seikusu, mais simplement les plus beaux. Alors, en bon renard, il s'était infiltré dans la bergerie et guettait une proie.
Pour le moment il était derrière les fournaux, déguisé en homme de cantine alors que le refectoire était bondé.
"Eh Pedro, remet nous de la purée et des petits pois."
Don fit son plus beau sourire et répondit
"Si Señor, presto."
Qu'est ce que les alléas de l'infiltrations le faisaient marrer
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"Excusez moi, je voudrais seulement des légumes s'il vous plait."
La voix d'Hana était tout à coup timide, elle releva les yeux vers le cuisinier, il était .. très beau disont. Mais il n'avait pas l'air très humain, du moins pas totalement. Elle sentit que le temps de pause qu'elle avait marqué était réciproque, elle décida donc d'en profiter pour regarder les yeux de cet homme, qu'elle n'avait jamais vu ici depuis son arrivée. Un sourire se déssina sur ses lèvres, elle le lui offrit puis dit :
"S'il vous plait.."
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Don avait repéré sa proie, il devait se débarasser des cuisiniers qui se trouvaient là et qui allaient le géner, avec un sourire amical, il servit la jeune femme. TOute la journée les trois abrutis qui lui servaient de collègues avaient enchainé les surnoms racistes a son égard, qu'a celà ne tienne
"Dites les çamis"
"Qu'est ce que tu veux Pepito?"
"Comment vous troufez que je travaille aujourd'houi?La directriche elle a dit que si j'était bon elle embaucherais plus de Mexicanos comme moi."
Les autres cuisiniers commencèrent a papoter entre eux et a trouver qu'il était inconcevable que la directrice fasse venir des immigrés clandestins pour prendre leur place. Ils déciderent de faire grêve et de monter voir Shizuru, ça allait leur prendre plusieurs heures. Don se leva et alla jusqu'a la table d'Hana avant de lui lancer
"Ma pardonez moi madamoiselle, pourriez vous me donnez oune coup de main?J'ai fais tomber un plat sous un des frigos et mes mains sont trop grosses pour le ramener."
Fit il alors qu'il lui faisait signe de le suivre dans les cuisines
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Hana était avec ses amies, en train de parler de ce beau cuisinier d'apparence méxicaine :
"Mais tu n'as pas remarqué comment il est .. Attirant ?
- Euh, pas spécialement.
- Son sourire, ses yeux, sa peau ..."
Mais c'est alors que son sang chauffa, elle se retourna et le vit là planté en train de lui raconter des salades à propos d'un frigo et d'un plat, tout en lui lançant de drôles de regards. Hana se leva, fit un clin d'oeil à ses amies. Ajusta sa jupe, première fois qu'elle venait au lycée avec une mini-jupe. Elle marcha, faisant claquer ses escarpins sur le carelage, et entra dans les cuisines.
"Un plat vous dîtes .. Ne trouvez-vous pas désobligeant de votre part de raconter des salades aux étudiantes pour les attirer à l'écart Monsieur ?"
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"Mah jé souis désolé mais jé né comprend pas bien céqué vous dites, j'apprend encore votre langue"
Fit il d'un air contrit. Contrairement a ce que l'auteur du post laissait paraître, Don immitait plutôt bien, et jouait bien la comédie, il toisa de ses 2 mètres de haut la petite lycéene d'un air vaguement innocent, il pris sa phrase pour une plaisanterie lancée par la lycéenne pour le mettre mal a l'aise, elle allait bientôt découvrir que ça ne serait pas le cas, il la fit passer derrières portes a battant de la cuisine, car il n'y avait même pas une vraie porte, seulement deux morceaux de bois batants et lui montra un gros frigo en fer typique des refectoires scolaires
"Voilà c'est céloui là, rattrapez le s'il vous plait c'est mon premier jour j'ai peur qu'il m'arrive gros problème."
Fit il en s'excitant un peu plus que la normale d'une manière ridicule, avec ça et ses origines bresilio/mexicaine, il n'y avait qu'un pas pour qu'il imagine qu'il était gay comme un pinçon. Mais quand elle allait plonger les mains sous le frigo et ne pas trouver de plat...Son posterieur serait exposé, et Don l'empoignerais d'une main. Si elle tentait de crier, il lui écraserait la tête contre le frigo
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Se penchant pour passer la main sous le frigo, et sachant qu'aucun plat ne s'y trouverai, elle dit avant même que sa main ne disparaisse sous la masse métallique :
"Oh mais il n'y a rien sous ce frigo !"
Un petit rire lui échappa, ayant elle même apprit l'espagnol étant petite, elle savait très bien imiter cet accent latino-américain. Cet homme était vraiment grand et elle craignait qu'il ne la saisisse de force si elle ne s'enfuyait pas rapidement. Elle se retourna, un sourire mesquin aux lèvres, puis déclara :
"Si vous permettez monsieur"
Puis commença à marcher pour sortir de la cuisine, tout en lui lançant un sourire amusé. Sachant qu'il allait la rattraper avant même qu'elle n'ai fait plus de trois pas.
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Ce fut effectivement le cas, Don la rattrapa par le col et la colla au large frigo avant de lancer avec un sourire goguenard
"Ah oui vraiment ?Moi je suis sur qu'il est là. Vous savez que c'est mal de mentir?"
Lança t'il alors qu'il enlevait son accent espagnol, faisant donc de lui le menteur
"Je vais vous apprendre une leçon, vous avez tord de croire que rien ne peut arriver parce que vous êtes dans un refectoire."
Et sur le coup il saisit de deux doigts son haut et le déchira en deux , laissant voir son soutien gorge et son ventre.
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Le paroi métalique vint se heurter contre sa colonne vertébrale. Elle retint un gémissement de douleur puis déclara avec le ton le plus calme qu'elle réussit à simuler :
"Pourquoi vous énerver mon cher ? Si vous voulez me violer, moi je préférerais que vous me fassiez l'amour. Par contre si je me trompe sur vos intention, je suis coincée ici avec vous maintenant que mon haut est un haillon"
Elle lui sourit de force, pour paraître crédible, et sauver les meubles. Elle posa sa main sur son bras musclé et bronzé, sentant la température de sa peau. Elle lui sourit, enfin soulagée de voir qu'il n'était pas tout à fait humain et sentant ainsi que son corps s'était réchauffé.
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"Ca tombe mal, c'est le contraire que je désire."
Lança Don avec un sourire goguenard. C'était interessant, elle se croyait donc en position de négocier? Il allait lui rappeller la dure réalité. Il lui lança avec douceur
"Ne t'en fais pas, je me contente juste de te débarasser de choses qui bientôt ne seront plus d'aucun interêt pour toi."
La proie ne semblait pas intimidée, autant lui rappeler qui était le patron, il saisit sa minijupe et l'arracha alors que sa main saisissait sa gorge.
"Parce que a partir de maintenant, tu es ma chose. Est ce que c'est clair ? Tu peux oublier ta vie précédente, et si tu crie je te romp le cou, ici et maintenant."
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"Hum, plutôt mourir que d'appartenir à qui que se soit."
Elle le regarda, d'un air foudroyant, et força sa température à augmenter, comme si elle s'était retrouvé à faire l'amour avec un Lycan. La chaleur de sa peau augmenta, encore, encore, aussi bien qu'elle sentit le métal du frigo chauffer. C'est alors qu'elle se sentit assez ardente, elle ouvrit la bouche s'apprêtant à hurler de toutes ses forces.
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Don la regarda faire en continuant a la maintenir contre le frigo. Rien ne se produisit. Pourquoi ?Don possédait un pouvoir, un pouvoir des plus pratiques dans son cas: il possédait le pouvoir de magicide. Mettons ça en pratique. Un ESPER pouvant lancer des boules de feu envoie une boule de feu sur Don, Don brule. En revanche, Don touche le lanceur de sort, et il est incapable de lancer une boule de feu pour autant de minutes que de secondes passées au contact de Don...Et dans le cas présent eh bien Hana pouvait chauffer autant qu'elle le souhaitait.
Au moment ou elle allait crier il lui flanqua une baffe, pure et simple avant de lui lancer calmement
"Qui t'as dit que tu avais le choix?"
Fit il en passant sa main sous son soutien gorge et en commençant a malaxer sa poitrine
"Je n'aime pas avoir a faire de mal a ma marchandise, ne me force pas a recommencer. Tu ne sais pas quel genre de torture je peux te reserver."
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Hana arrêta de chauffer quand le gifle vint lui refroidir la joue, elle baissa les yeux et un larme se mit à couler sur sa joue. Elle sentit son estomac se nouer, la main qui touchait sa poitrine était tellement en désaccord avec le caractère de cet homme. Hana comprenait qu'elle risquait sa virginité et sa liberté, mais elle ne pouvait rien lui dire, elle laissa quelques larmes couler puis reprit inconsciemment l'augmentation de sa température, jusqu'à dépasser son seuil maximal habituel. Le métal s'enfonçait à présent derrière son dos. Elle essayait de se calmer, d'arrêter de chauffer, mais rien n'y faisait, elle chauffait, encore, comme si la colère la rendait fiévreuse. Elle ne prononça aucun mot et se dit que peut-être, il s'éloignerait sous l'effet de la chaleur.
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Deux nouvelles gifles vinrent refroidir Hana alors qu'il la décrochait du frigo pour la poser contre un autre, Don lui lança avec patience
"Si il faut que je batte le fer tant qu'il est chaud ou est ce que tu va arrêter ton cinéma?"
Don retira son soutien gorge en l'arrachant également tandis qu'il soulevait Hana contre la porte et commençait a lécher sa poitrine avant de mordiller le bout de ses seins, il tira lentement sur sa culotte, commençant a enlever le dernier vetement qui la protegeait
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Hana avait peur, elle était vierge, ingénue, et sentait que sa première fois allait être pas spécialement douce. Elle décida de se calmer, que si elle stressait, ce serait plus douloureux, plus traumatisant. Elle essaya de se dire qu'elle était consentante, qu'elle avait envie de lui. Elle le laissa enlever sa petite culotte, quitte à être nue. Elle ravala ses larmes, souffla profondément, puis releva la tête pour lui laisser apercevoir son consentement, peut-être que cela le découragerait. Et si ça ne marchait pas, elle avait le maigre espoir qu'il ne gâche pas sa première fois, voire sa vie sexuelle. La température de son corps redescendit dans les 45°C, à son plus grand soulagement. Elle restait tout de même silencieuse, soucieuse de ne pas faire la moindre erreur fatale.
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Don sourit, il voyait la résignation sur son visage. Bien, elle comprenait vite et n'allait pas créer de grabuge, écartant ses jambes, il approcha son visage de celles ci et se mit a les lécher doucement, puis il leva un regard sadique vers Hana avant de plonger sa bouche dans son entrejambe et commencer a lécher celui ci. Il allait la faire grimper aux rideaux, et comme elle était vierge, il allait prendre son temps, la saisissant par les fesses, il se mit a les malaxer alors qu'il s'occupait d'elle puis il la plaqua contre le frigo, ses seins se colèrent a la surface brulante et qui commençait a se couvrir un peu de suie, noircissant son corps blanc alors qu'il sortait son membre et le collait contre son sexe
"Un dernier mot avant de m'appartenir, esclave ?"
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"Comment vous dire, Monsieur, c'est un honneur pour moi, de vous laissez croire que vous me dépucellez."
Elle lui sourit, essayant vraiment tout les stratagèmes pour se sortir de ce pétrin. Elle écarta les jambes, essayant d'adopter un air confiant, et le laissa faire.
hj- j'ai rien à dire ce coup là - hj
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Le ton était trop formel pour être honnête. Don soupra et lança d'une voix doucereuse a l'oreille d'Hana
"Si tu savais combien de fois j'ai entendu ça."
Rien que pour lui donner un petit apperçu de combien de personne étaient passées avant elle. Puis, sans prevenir il s'enfonça en elle, il ne put pas entrer entièrement, mais il força comme une brute pour passer le plus possible, il allait bien voir si elle était vierge ou non quand elle saignerais. Saisissant celle ci par les hanches, il commença a bouger en elle, la plaquant contre le frigo.
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Elle se retenait de hurler de douleur, elle devait être crédible, elle pria pour ne pas perdre de sang, logiquement ses 8 ans d'équitation à Paris devraient l'aider. Elle se laissa pénétrer, essayant de s'habituer au rythme et tentant de donner quelques coups de bassin synchronisés. Elle se laissa chauffer, espérant faire évaporer les éventuelles gouttes de sang qui, pour le moment, n'avaient pas coulé. Elle se mit à prier, comme lorsqu'elle était petite, elle pensa fort à ses deux anciens amis, qu'elle n'aurait jamais dû quitter. Elle retint les larmes qui voulaient couler de ses yeux. Le sang ne coulait pas, il ne coulait pas, elle se concentra pour laissa échapper des gémissements de plaisir, sonnant légèrement faux, mais assez crédibles tout de même, elle paraissait ne pas être vierge, mais depuis peu seulement.
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Mais Don n'aimait pas se tromper, et ce résultat ne fit qu'accroitre sa colère, il donna des coups de bassins plus puissants, plus forts, plus sourds, puis il retourna Hana contre lui, la forçant a le regarder la pénétrer, il lui lança
"Regarde bien, c'est ta première fois après tout, ça se doit d'être romantique."
Il éclata de rire et l'attira vers lui pour l'embrasser a pleine bouche, accellerant ses violents coups de bassins
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Elle se répétait sans cesse dans son esprit *Ce n'est pas ma première fois, ce n'est pas ma première fois...* Elle le regarda faire, elle le laissa l'embrasser à pleine bouche, tout cela la dégoutait, mais peu importe, le sang n'avait pas coulé, ou peut- être s'était évaporé, peu importe, peu importe. Elle le laissa faire, rendant ses faux cris de plaisir un peu plus vrais, du moins plus réalistes. Elle planta ses griffes dans son dos et traça deux lignes rougeâtres symétriques, priant pour qu'il se calme un peu et que son mensonge fonctionne.
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Enchainant les coups de bassin de plus en plus fort, Don continua ce régime pendant une vingtaine de minute, le refectoire se vida progressivement et bientôt ils étaient seuls dans les cuisines, alors que Don s'ppliquait a lui faire payer son manque d'abstinence jusqu'alors il finit par se sentir venir il se pencha vers la jeune femme et lui lança
"Je ne suis peut être pas le premier a te prendre jeune fille."
Fit il alors qu'il la redressait en position verticale sur lui, son sexe était a présent entièrement en elle
"Mais je serais le premier a te faire un enfant!"
Cria t'il alors que d'un seul coup il se déversait en elle dans un cri de délivrance, se levant, il se débarassa d'Hana qu'il laissa au sol et se dirigea vers la fritière, oui, c'était bouillant a présent, il en sortit ce qui trempait: un gros fer a marquer le betail, gravé de ses initiales, il saisit Hana par les cheveux et la tira en arrière
"Et ça c'est pour que tu n'oublie jamais a qui tu appartiens."
Et il abbatit le fer sur sa fesse droite, la marquant comme une bete