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Avant de rencontrer Eris Langnar, dame de la noblesse du Sultanat des Sables Blancs, Mira était du genre distante, sensible, et très embarrassée quand elle parlait de sexe, en grande partie à cause de l'image négative qu'elle avait d'elle même. Mais depuis qu'elle avait perdu sa virginité avec la vipère des sables, puis qu'elle avait longuement baisé avec des concubines, son comportement au quotidien avait bien changé : elle appréciait enfin son apparence à sa juste valeur, elle ne laissait plus les autres se moquer d'elle sans réagir et, par-dessus tout, elle était devenue complètement accroc au sexe. Pas un jour ne passait sans que, la matin ou le soir, parfois les deux, elle se fasse plaisir en se masturbant énergiquement, enfonçant ses doigts ou des jouets divers dans ses trous, essayant désespérément de retrouver le plaisir qu'elle avait ressenti en compagnie de la succube du désert. Ne pouvant pas se permettre d'aller voir le premier garçon ou la première fille venue pour se soulager, sous peine de se voir attribuer une réputation de fille facile, elle resta donc profondément frustrée pendant plusieurs semaines.
Un matin, la jeune fille se réveilla dans sa chambre de pensionnaire avec une chaleur horrible parcourant tout son corps, comme si elle était en train de cuire dans un four. Son premier réflexe fut évidemment de se caresser joyeusement pour évacuer la chaleur mais, même après deux orgasmes de suite, elle se sentait toujours aussi brûlante, et ne put rien faire de plus car elle devait se dépêcher d'aller en cours. Elle avait maths la première heure, une des matières où elle était la meilleure, elle préférait éviter de s'attirer des ennuis en étant en retard.
Malheureusement, même une fois en cours, Mira n'était qu'à moitié à ce qu'elle faisait. Sa senseï, Myumi Ichtora, était une femme à la beauté tellement renversante que la mercenaire avait déjà pu remarquer que garçons et filles de la classe ne se privaient pas de la mater. Sa peau lisse et blanche, ses grands yeux bleus, ses longs cheveux rouges, sa poitrine énorme, ses fesses rebondies, ses longues jambes fuselées... la jeune fille mouillait sur place rien que de la regarder. Elle dut utiliser toute sa retenue et son self-contrôle pour ne pas se toucher sur sa chaise et ne pas gémir. L'heure de cours lui sembla durer une éternité et, quand la sonnerie retentit enfin, elle emballa ses affaires et tenta de filer à toute vitesse. Hélas pour elle, elle se fit arrêter au seuil de la porte par sa senseï, qui demanda à la voir à la fin des cours pour discuter de son étrange comportement d'aujourd'hui.
Oh non.
Mira se sentait vraiment mal à l'aise à l'idée de se faire disputer par un professeur, mais son problème de chaleur interne l'embêtait encore plus. Le reste de la journée fut un calvaire, et le rendez-vous avec Myumi devait être le point final de cette traversée du désert. Mira inspira un grand coup, tapa à la porte, et entra quand on le lui demanda.
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« Qu’est-ce qu’une droite ? Quelqu’un a-t-il une idée ? Toshi ?
- Euh... Une ligne rectiligne, Madame.
- Donc, tu définis une droite comme étant... Une droite. C’est très bien, Toshi, mais nous ne sommes pas ici pour énoncer des vérités de La Palisse, n’est-ce pas ? »
Toshi rougit légèrement. Lui, elle le masturbait fréquemment, et, lors de leur dernière séance, elle avait même pris son sexe en bouche. Difficile de le remarquer ici, car, quand il s’agissait de donner des cours, Myumi montrait qu’elle était très professionnelle, et, surtout, qu’elle connaissait suffisamment les mathématiques pour pouvoir assurer La femme marchait le long des rangs de la classe, dans ce tailleur très court, dévoilant ses interminables jambes fuselées. Il faisait légèrement chaud aujourd’hui, ce qui ne contribuait qu’à exciter davantage les hommes et les femmes, ce que Myu’, grâce à ses gènes succubes, sentait clairement.
« Une ligne droite se définit par la présence de deux points distincts reliés entre eux, tout simplement. »
Myu’ se déplaça à nouveau, revenant vers le tableau, et attrapa une craie puis, fit deux points sur le tableau, l’un qu’elle nomma « A », l’autre « B », puis traça une ligne entre les deux.
« Cette droite est constituée de deux points, et va dans une direction précise... »
Elle continua ensuite ses explications. Aujourd’hui, c’était un cours de géométrie dans l’espace, et elle y allait étapes par étapes, tout en marchant fréquemment... Et, tout en se déplaçant, elle constata que, parmi tous ces élèves en transe, il y en avait une qui se détachait du lot. Mira Crone... Son seul nom était atypique, et, tandis que Myu’ se déplaçait, elle la sentait clairement mouiller sur place.
Quand l’horloge sonna, les élèves sortirent rapidement, et beaucoup allèrent aux toilettes, vraisemblablement pour se soulager. Silencieuse, Myu’ les laissa filer, mais, alors que c’était au tour de Mira, elle l’arrêta sur place, et lui demanda de venir la voir ce soir dans son bureau. Troublée, Mira acquiesça, et Myu’ la laissa filer, restant pensive sur son bureau.
*Elle ne fait pas partie de mes élèves... Mais, il y a encore quelques semaines, elle était bien moins excitée. Qu’est-ce qui a bien pu lui arriver ?*
Myumi avait deux catégories d’élèves : les simples étudiants, et ses amants. Cette deuxième catégorie était néanmoins celle qui l’intéressait le plus, car, si elle était venue au lycée, ce n’était pas tant pour enseigner les mathématiques, qui constituaient sa couverture officielle, que pour enseigner le sexe, et initier ces derniers. Finalement, Myumi se redressa, et se rapprocha du bureau de Mira, puis se pencha lentement, et renifla doucement sur la chaise, avant de caresser doucement ses doigts dessus. La senseï mordilla ensuite ses lèvres en sentant, très clairement, de la [|i]mouille[/i] sur ses ongles.
*J’en étais sûre...*
La fin de journée finit ensuite par arriver. À la pause, Myu’ mangea dans son bureau, où elle prit en levrette une élève, la faisant couiner pendant plus d’une demi-heure. Après cela, elle n’avait plus qu’à se préparer pour faire face à l’arrivée de Mira.
Quand cette dernière toqua à la porte, Myu’ l’invita à entrer. Son bureau était plutôt grand, comprenant, outre un bureau, une première partie avec un grand tapis et un canapé en cuir noir sur la gauche. Elle était assise face à une superbe baie vitrée, et sourit devant Mira.
« Je t’en prie, Mira, rentre, et installe-toi... »
Myumi restait volontairement évasive sur les raisons de la présence de Mira ici. Elle ne savait pas ce qui était arrivé à la jeune fille, si ce n’est que, pendant quelques jours, elle avait été absente. Des absences qui étaient fréquentes à Mishima. Il suffisait de regarder les absences d’Alice « Konrad » et de Mélinda Warren pour le réaliser.
« Alors, dis-moi, tu me semblais particulièrement distraite ce matin... »
Tout en parlant, Myumi s’était assise sur son fauteuil, croisant les jambes, ce qui avait pour effet de relever son tailleur, une position qu’elle adorait prendre en cours, car elle permettait de voir sa culotte.
« Est-ce qu’il y a une raison particulière à ça ? » s’enquit-elle de nouveau.
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Le bureau d'Ichtora-senseï était assez grand pour le bureau d'un professeur. Il comprenait un bureau avec chaise, un grand tapis, un canapé en cuir noir et une baie vitrée. Une fois entrée, Mira alla directement s'asseoir sur la chaise placée en face de celle de sa senseï. Elle était à la fois gênée et angoissée d'être ici, craignant de se faire disputer. La dernière chose dont elle avait besoin aujourd'hui, c'était de se faire punir pour un problème disciplinaire. Myumi alla s'asseoir dans son fauteuil et commença à interroger son élève sur les raisons de son manque d'attention durant la matinée. Mais à peine s'était-elle assise que la mercenaire posa les yeux sur les zones les plus intimes de son magnifique corps : sa poitrine mise en avant par sa posture, et les contours de sa culotte que l'on pouvait entrevoir sous sa jupe. Il aurait fallu une douche froide pour la calmer, mais elle n'eut pas ce luxe et dut se concentrer sur ses réponses.
« Ah... euh, eh bien... je... »
Elle ne savait pas quoi dire. Il fallait un mensonge crédible et non vérifiable, mais tout ce qu'elle avait en tête était des images de sa senseï imaginée nue, prenant des poses sensuelles. Paniquée, elle fit en vitesse le tri dans sa tête et sortit la première excuse qui lui vint à l'esprit.
« Je fais pas mal de sport en ce moment... pour prendre soin de ma ligne... et ça me fatigue beaucoup. J'ai mal dormi cette nuit et, à cause de la chaleur d'aujourd'hui, j'ai eu du mal à rester concentrée. Je suis sincèrement désolée, Ichtora-senseï. Ça n'arrivera plus. »
Ce mensonge était suffisamment crédible pour lui éviter d'avoir trop de problèmes. Au pire, elle aurait droit à une retenue pour rattraper le cours, au mieux elle s'en sortirait avec un simple avertissement. Du moins, c'était ce qu'elle croyait. Mais sa senseï ne semblait pas vouloir en rester là, et continua à la questionner.
« Non, je vous assure, c'était juste de la fatigue. Mais comme je vous l'ai dit, ça ne se reproduira plus. A partir de maintenant, je vais diminuer mon temps d'activité sportive et je vais faire plus attention. »
Il fallait que son mensonge tienne. Si la vérité était découverte, elle risquait de bien plus gros ennuis qu'une simple retenue.
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Myumi l’observa silencieusement, notant ses gestes, ses réactions. Hélas pour elle, Mira était tombée sur une femme qui savait décrypter les signes sexuels, et, chez Mira, tout était dans le rouge. Myumi ne put donc que sourire quand la jeune femme chercha la première excuse venue, et lui annonça que sa déconcentration venait du fait qu’elle faisait beaucoup de sport en ce moment, ce qui l’épuisait. Les sourcils de Myumi, devant cette réponse, se haussèrent imperceptiblement, et elle ne dit rien, restant coite, laissant ainsi le temps à Mira de chercher tous les moyens possibles de développer son mensonge, amusant doucement la prof’.
« Hum... Du sport, donc. C’est bon pour la santé, n’est-ce pas ? »
Myu’ bascula lentement en arrière, s’enfonçant dans son fauteuil, qui se souleva un peu derrière elle, ce qui eut pour effet de légèrement rehausser ses seins, qui rebondirent légèrement contre sa tenue, un geste qui, bien évidemment, n’échappa nullement au regard scrutateur de la jeune femme. Elle souriait, amusée, une lueur quelque peu malicieuse brillant dans le firmament de ses yeux. Sa question n’appelait pas forcément de réponses, et sa main se posa sur un tiroir, abaissant ce dernier, et elle sortit un petit classeur, le déposant devant elle.
La jeune femme allait prendre un risque, mais ce risque était très limité. En effet, étant partiellement succube, elle disposait d’une sorte de radar affuté en matière sexuelle, et elle ne s’était encore jamais trompée jusqu’à présent.
« Je vais te laisser partir, alors... Mais, avant ça, je veux te montrer au moins cette photo, et que tu me dises ce que tu en penses. »
Myumi la tenait entre ses mains, mais Mira ne pouvait en voir que le dos. Elle la tenait entre deux doigts, légèrement soulevée, en souriant lentement, malicieusement, révélant une partie de ses dents... Puis elle jeta l’image sur le bureau, et elle se retourna. C’était une photographie, une photographie visiblement prise depuis une caméra redressée.
Une photographie particulièrement perverse (http://img99.xooimage.com/files/f/1/8/01-4340501.jpg), où Myumi était nue, en train de se faire pénétrer par un homme, son corps magnifique semblant briller devant l’image, le visage figé en une délicieuse expression de plaisir.
« C’est Tatsuo, l’un de tes camarades de classe, si je ne m’abuse. »
La professeur souriait plus joyeusement, et laissa bien passer quelques secondes, comme pour laisser le temps à Mira de bien visualiser l’image, et elle enchaîna ensuite :
« Alors... Tu es sûre que tu n’étais juste que fatiguée tout à l’heure ? N’y avait-il pas autre chose qui t’intéressait ? Vraiment rien, hum ? »
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Mira faisait de son mieux pour rester sérieuse, mais le moindre de mouvement de Myumi sur son fauteuil faisait remuer ses seins voluptueux, augmentant son excitation déjà énorme. Hélas, elle ne pouvait rien faire d'autre que continuer à mentir et espérer que ça allait marcher. Soudain, sa senseï sortit d'un des tiroirs de son bureau un classeur, duquel elle sortit une photo.
« Je vais te laisser partir, alors... Mais, avant ça, je veux te montrer au moins cette photo, et que tu me dises ce que tu en penses. »
Dans un premier temps, la jeune fille pensa qu'il n'y avait pas de quoi s'inquiéter. Mais quand elle vit le sourire malicieux qui se forma sur les lèvres de la femme, elle comprit que quelque chose n'allait pas. Elle jeta l'image sur le bureau et là, la lycéenne sentit son cœur battre si fort qu'il aurait pu transpercer sa cage thoracique. C'était une photo de Myumi, complètement nue, en train de se faire prendre par un jeune homme, son visage pris dans une expression de plaisir fort. Elle identifia le garçon comme étant Tatsuo, un des camarades de classe de Mira, puis demanda à la jeune fille ce qui lui arrivait vraiment.
Dans la tête de la mercenaire, c'était le bazar total. Bien sûr, comme tout le monde dans ce lycée, elle avait entendu parler des nombreux scandales sexuels ayant frappé et frappant encore l'établissement, ainsi que des rumeurs disant que plusieurs professeurs, dont Myumi, couchaient avec leurs élèves. Mais là, elle se confrontait à cette réalité de plein fouet sans aucun moyen d'y échapper. Elle devait réagir, mais ne savait pas comment, ses idées étaient trop floues.
Calme toi Mira, calme toi...
Elle se répéta cette phrase plusieurs fois dans sa tête jusqu'à retrouver un semblant de sérénité, puis fit face à sa senseï, sans essayer de se défiler de quelque façon que ce soit. Puisqu'elle était devant le fait accompli, autant en profiter.
« Non, en fait... j'ai menti. Depuis ce matin, je suis prise d'une chaleur terrible qui me donne envie de me caresser à tout bout de champ. Je me suis déjà masturbée deux fois ce matin et une fois à la pause de midi mais ça n'a rien changé. Si je n'étais pas concentré pendant votre cours, c'était parce que je passais mon temps à reluquer votre corps, à imaginer comme il serait bon de faire l'amour avec vous... Je sais que c'est mal pour une élève de vouloir coucher avec son professeur, mais c'est comme ça : j'ai envie de vous, Ichtora-senseï. »
Pendant un instant, Mira se demanda elle-même si elle avait bien dit tout ce qu'elle venait de dire, si ce n'était pas juste un délire causé par son envie irrépressible de faire l'amour, mais il semblait bien qu'elle l'ait dit. Et maintenant, son unique espoir était que Myumi réponde à ses désirs et ne la renvoie pas. Mais au vu de la photo, il était raisonnable de penser que ce n'était pas dans ses intentions de la dénoncer.
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Cette photographie était l’argument-massue, le coup de masse dont Myumi avait besoin, un moyen très efficace de dire à l’élève perturbé qu’il n’avait pas à avoir honte de ce qu’il ressentait envers sa senseï, car ils étaient du même bord, liés ensemble par le même péché. Face à cette image, Mira paniqua sur place, un spectacle qui n’échappa nullement à Myumi, dont un léger sourire amusé vint se dessiner sur les lèvres. Elle n’avait plus qu’à attendre un peu que l’hameçon appâte la proie... Et Mira lui avoua alors la vérité, à savoir qu’elle pensait à elle, et qu’elle l’avait reluqué en cours, ce qui expliquait son manque de concentration. Elle avait déjà tenté de réfréner sa soif, en se masturbant trois fois. Myumi ne put que sourire, légèrement flattée par elle, et s’humecta ensuite les lèvres, se raclant la gorge avant de poursuivre :
« Je te remercie pour ton honnêteté, Mira. C’est à mon tour de l’être... »
Myumi lui sourit lentement, et croisa ses jambes, avant de lui parler, et de lui expliquer son rôle au sein de ce lycée :
« Les mathématiques n’ont jamais été la raison pour laquelle j’ai choisi d’enseigner. En réalité, je suis avant tout là pour enseigner aux élèves ce qui leur manque vraiment, ce qu’on n’enseigne jamais, que ce soit nous, les professeurs, ou les parents... C’est le sexe. Or, vois-tu, je trouve terriblement égoïste et injuste de laisser de si beaux adolescents se livrer à eux-mêmes, dans notre société hyper-sexualisée, au sexe. Le rôle de l’éducation est de former les enfants à devenir adultes, et ceci nécessite, forcément, de vous former sexuellement. »
La senseï se releva alors, et fit le tour du bureau, allant poser chacune de ses mains sur les épaules de Mira. Elle avançait lentement, sensuellement, faisant claquer ses talons sur le sol. Ses mains massèrent les épaules de la femme, remontant jusqu’à son cou, ses deux pouces se posant sur sa nuque, appuyant dessus, caressant tendrement sa peau.
« C’est ce que je fais dans ce lycée, Mira. Je forme mes élèves, et, la première leçon que tu dois recevoir, c’est de comprendre que le sexe est, par définition, un plaisir multiple, et non solitaire. Autrement dit, si tu veux que je m’occupe d’eux, tu dois cesser de te masturber. Si tu veux qu’on te caresse, c’est à quelqu’un d’autre de le faire. »
Sa bouche s’avança, et déposa un baiser sur la tête de Mira.
« Alors, parle-moi un peu de toi... De tes désirs, de tes goûts. Qu’est-ce que tu imaginais me faire en cours, Mira ? À quoi est-ce que ton esprit pensait que tu te masturbais ? Est-ce que tu es toujours vierge, par ailleurs ? »
Myumi se déplaça encore, et s’assit sur le rebord du bureau, à côté de Mira, sa main caressant l’une de ses joues. Un léger sourire vint encore se nicher sur ses lèvres.
« Ces informations me sont essentielles pour savoir quel traitement je dois appliquer sur toi, ma chérie » précisa la professeur.
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Mira avait été complètement honnête avec Myumi, et cette dernière en fit de même avec elle. Elle lui avoua que la vraie raison de sa présence dans ce lycée n'était pas l'enseignement des maths, mais l'enseignement du sexe. Elle voulait former sexuellement tous les adolescents qui passaient entre ses mains, selon elle pour en faire des adultes équilibrés, mais la mercenaire pensait que c'était surtout parce que ça lui plaisait de jouer avec tous ces jeunes gens. Après ça, la femme passa dans son dos et se mit à lui masser les épaules et la nuque, lui procurant un sentiment de relaxation très agréable, et lui donna sa première leçon : le sexe est un plaisir multiple, et elle ne pourrait être satisfaite que si quelqu'un d'autre la caressait. Ensuite, elle l'interrogea sur ses goûts, ses désirs et ses fantasmes, avant d'aller se placer devant elle et de caresser ses joues.
« Quand je me suis caressé ce midi... dans les toilettes... je n'arrêtais de penser à votre superbe poitrine. Elle est ronde et ferme à la fois, et je me suis imaginée serrée dans vos bras, à embrasser et lécher ces deux magnifiques collines, peut-être même les téter, pendant que vous baladeriez vos mains sur mon corps. J'ai aussi pensé à vos belles jambes et à votre fessier moelleux. Eux aussi, je veux les embrasser et les lécher. Mais surtout, ce que je voudrais, c'est... »
Mira marqua un temps de pause dans son discours. La suite était bien plus intime et gênante que de simples baisers et léchouilles et, même si elle n'avait plus honte de ses désirs, c'était quand même difficile à laisser sortir.
« Pour moi, vous êtes une figure d'autorité, une femme à laquelle je dois obéir. Je me suis imaginé me soumettre à vous... et ça m'excitait horriblement. »
Mira avait toujours fait l'amour en étant libre de faire ce qu'elle voulait. La dernière fois qu'elle avait expérimenté la domination, c'était avec Lucia, et c'était elle la maîtresse. Maintenant, elle avait envie d'être la petite fille qui obéissait sagement aux ordres qu'on lui donnait, et qu'on récompensait avec du plaisir à n'en plus finir.
« Vous accepteriez... de devenir ma maîtresse... et de m'enseigner... ce que vous savez... sur le sexe ? »
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Il fallait que Mira se confie, et que les deux instaurent une relation de confiance. Myumi savait que la société n’était pas prête pour accepter ce genre de relations, et que, même si elles étaient courantes à Mishima, il fallait éviter de le crier sous tous les toits. Le lycée faisait régulièrement face à des scandales pour des relations sexuelles entre élèves et enseignants, de la part de parents furieux. L’établissement en avait souffert, et il y avait déjà eu, au cours de l’existence du lycée, plusieurs procès et procédures administratives visant à le faire fermer. Par l’intermédiaire de sa mère, Erelda, qui siégeait au conseil d’administration, Myumi connaissait ces problématiques, tout comme elle savait aussi que le lycée avait été fondé
pour ça. Et elle, elle était sincère dans sa démarche. Ce qu’elle avait dit à Mira n’était que la vérité brute et pure. Myumi pouvait coucher avec quantité d’amants expérimentés, car Erelda tirait sa fortune d’une activité pornographique soutenue, qu’elle exportait essentiellement à l’international, le Japon étant assez restrictif sur les films pornographiques avec de véritables acteurs. Elle disposait d’une grande villa où elle organisait régulièrement des orgies filmées, avant de les vendre, et avait ainsi pu se construire une belle fortune. Myumi participait parfois à ces films, et avait donc fait l’amour avec des experts. Et, si c’était très agréable, son fantasme, c’était clairement les adolescents. Petits, mignons, fragiles, avec leur timidité, leur nervosité, leur sensibilité, ils étaient des amants infiniment plus gratifiants que les acteurs musclés et solides, et ce même s’ils n’arrivaient pas à tenir la cadence face à Myu’. Elle adorait les former, les éduquer, faire d’eux des pervers patentés, et Mira avait un sacré potentiel…
Elle lui avoua donc rêver de ses seins, avant de se vendre pour de bon, en déclarant vouloir être son élève. Myumi se déplaçait lentement, l’écoutant sans rien dire, afin de ne pas l’interrompre. Quand elle termina en lui demandant si elle acceptait d’être sa maîtresse, Myu’ s’était mise à côté d’elle, et hocha la tête, sa main venant caresser l’une de ses épaules, glissant doucement dessus.
«
Bien sûr, mon cœur. Je vais ouvrir un dossier, et tu devras signer le formulaire d’entrée dans ma classe… Puis nous commencerons le premier cours dès ce soir. »
Myumi se déplaça vers une étagère, et l’ouvrit. Il comprenait tous les dossiers sur sa classe spéciale. Elle en attrapa un qui était vierge, et se rapprocha à nouveau du bureau, et le posa devant Mira. C’était un dossier nu, avec des feuilles transparentes à l’intérieur, et, sur la deuxième de couverture, un formulaire de suivi.
«
On va remplir les premières cases ensemble… »
Myumi lui demanda ainsi son orientation sexuelle, tout en lui précisant que, peu importe ce qu’elle était, après être passée par elle, elle serait bisexuelle. Elle demanda ensuite à Mira si elle était toujours vierge, puis enchaîna ensuite sur ses fantasmes. Fellation, sodomie, fétichisme, ondinisme, zoophilie, gang bang… Tout semblait passer sur cette page, et, là encore, Myumi lui expliqua que sa formation ne serait complète que quand elle aurait l’ensemble des cases de cochées.
«
Ce dossier comprendra essentiellement des notes personnelles, des photographies… Il ne te sera restitué que quand tu seras d’être mon élève, et je te fournirai avec une clef USB comprenant tes prouesses sexuelles. Toutefois, tu dois savoir que je garde toujours une copie du dossier, pour mes archives personnelles, et que, même le jour où je cesserai d’être ta Maîtresse, tu es susceptible d’être appelée de nouveau. En réalité, tu ne cesseras d’être mon esclave que le jour où, une fois ta formation accomplie, tu exprimeras le désir de rompre notre pacte. Tu vois, mes touts premiers élèves ont quitté le lycée depuis de nombreuses années, maintenant, mais je reste encore leur Maîtresse. Il y en a notamment une qui s’est mariée, et a eu un enfant. Son mari est devenu un autre de mes élèves. »
Un mariage précoce, puisque la fille n’avait qu’une vingtaine d’années, mais, au-delà même de l’accord de ses parents, elle avait demandé à Myu’ si elle pouvait se marier avec cet homme. Si elle avait mené pendant un temps une double vie, Myumi avait également convaincu l’homme de devenir son élève. Pour l’heure, cette fille était la première élève de Myumi à s’être mariée, mais elle était confiante pour les autres.
Elle ouvrit ensuite un placard, et sortit rapidement un formulaire, puis le tendit à Mira.
«
Je te laisse remplir la case de ton identité, puis lire soigneusement ce contrat, et signer en bas. Une fois ceci fait, tu seras officiellement mon esclave. »
Le document s’intitulait sobrement : «
Contrat de soumission et de formation sexuelle », version femme, et se voulait très sérieux. Il y avait, bien sûr, un peu de mise en scène là-dedans, et c’était une stratégie pour rassurer, et exciter en même temps, les élèves. Myumi leur montrait qu’elle était sérieuse, et, même si on pouvait trouver peu glamour le fait de signer un document, il fallait admettre que c’était suffisamment atypique pour exciter quelques personnes. Ainsi, le contrat comprenait divers clauses générales derrière, comme une clause prévoyant que, si le soumis était vierge, il
devait offrir sa virginité à sa Maîtresse.
La case du bas comprenait un emplacement pour la signature, mais aussi une phrase à lire, avec une instruction à faire :
Par la présente, je m’engage à être un esclave, et à accepter tous les fantasmes de ma Maîtresse, et, pour l’en prouver, une fois cette phrase lue, je dois relever la tête, regarder, ma Maîtresse, et lui dire que je suis une petite salope qui n’attend que de se faire baiser bien fort par elle.
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Mira eut l'immense joie d'entendre Myumi lui dire qu'elle acceptait de devenir son professeur. Mais pour que ce soit effectif, elle devait d'abord remplir un dossier. Ce dernier contenait des feuilles transparentes et un formulaire de suivi. La jeune fille remplit les premières cases avec l'aide de sa senseï, puis lui donna des détails sur chacun de ses fantasmes.
« Ce dossier comprendra essentiellement des notes personnelles, des photographies… Il ne te sera restitué que quand tu seras d’être mon élève, et je te fournirai avec une clef USB comprenant tes prouesses sexuelles. Toutefois, tu dois savoir que je garde toujours une copie du dossier, pour mes archives personnelles, et que, même le jour où je cesserai d’être ta Maîtresse, tu es susceptible d’être appelée de nouveau. En réalité, tu ne cesseras d’être mon esclave que le jour où, une fois ta formation accomplie, tu exprimeras le désir de rompre notre pacte. Tu vois, mes touts premiers élèves ont quitté le lycée depuis de nombreuses années, maintenant, mais je reste encore leur Maîtresse. Il y en a notamment une qui s’est mariée, et a eu un enfant. Son mari est devenu un autre de mes élèves. »
Mira était impressionnée par ce qu'elle entendait. A quel point cette femme était elle perverse ? Elle ferait sans aucun doute un très bon professeur. La dernière étape consistait à remplir un contrat de soumission. La jeune fille donna toutes les informations demandées, n'ayant plus rien à cacher après avoir parlé de ses fantasmes, puis lut la dernière phrase juste à côté de l'emplacement réservé à sa signature. Elle signa, tendit le contrat à sa nouvelle maîtresse, puis leva les yeux vers elle.
« Maîtresse Ichtora... je suis une petite salope en chaleur... qui n'attend que de se faire baiser bien fort par vous. »
Maintenant que c'était fait, Mira voulait encore mettre une ou deux choses au point.
« Maîtresse... même s'il est trop tard pour dire ça, vu que j'ai signé le contrat en parfaite connaissance de cause... j'espère que vous n'abuserez pas de votre rang pour m'imposer des choses que je ne souhaite pas faire et que vous aurez de la patience à mon égard. Je sais que je peux parfois être une mauvaise élève. »
Même les génies ont leurs faiblesses, et Mira avait des lacunes dans l'expression du plaisir. Mais maintenant qu'elle avait un professeur, ça allait pouvoir s'arranger.
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Myumi attendait patiemment que la jeune fille signe, toute contente d’avoir une nouvelle élève. Mine de rien, sa classe était considérablement en train de grandir. Pour Myu’, c’était un véritable ravissement, d’autant plus qu’elle envisageait ses relations avec ses élèves sur le long terme. Elle ne se voyait pas comme une esclavagiste, mais il était plaisant de se dire qu’elle avait aidé des élèves en difficulté à aller mieux, à réussir leurs études, et à prendre suffisamment confiance en eux pour sortir avec d’autres personnes, et fonder des familles. Myumi ne se voyait vraiment pas comme une mauvaise personne, mais véritablement comme une guide, une mentor, dont le rôle était de former ses élèves au sexe, à devenir adulte. Pour elle, la perversion, la vraie perversion, ne consistait pas à satisfaire ses fantasmes et ses désirs, mais, en réalité, à faire l’inverse, à se frustrer, et à laisser progressivement ses fantasmes dévier et s’assombrir, transformant des personnes saines en psychopathes potentiels. Elle attendit donc que Mira coche tout, avant de l’entendre prononcer la formule sacrée, ce qui la fit sourire, et même taper dans ses mains, comme pour la féliciter.
« C’est bien, Mira, c’est très bien ! »
Elle le pensait sincèrement, et était ravie de la voir si déterminée… Mais, alors que Myu’ comptait passer à la suite, Mira demanda soudain confirmation à ce que Myu’ ne cherche pas à outrepasser son consentement. Cette dernière lui sourit doucement.
« La patience est la première vertu de tout enseignant, Mira. Je t’éduquerai progressivement, ma chérie, ne t’en fais pas… »
Se glissant dans son dos, elle posa ses mains sur ses épaules, et les massa tendrement, appuyant dessus, glissant sur sa peau, la massant tendrement.
« Nous commencerons par ta zone de confort, puis nous en sortirons progressivement… Je te ferais goûter aux joies du sexe libre, car c’est de ça qu’il s’agit… Le sexe est une liberté, une émancipation, Mira… »
Ses mains caressaient maintenant ses joues, et elle fléchit les genoux, se rapprochant d’elle, conservant une main sur sa tête, la déplaçant pour la poser sur ses cheveux, qu’elle pressa tendrement.
« Scellons notre union, ma chérie… »
Myumi approcha sa bouche, et l’embrassa alors, sensuellement, et tendrement. Ses lèvres se pressèrent contre les siennes pendant quelques instants, puis elle le rompit, et termina ce baiser en laissant sa langue lécher les lèvres de la femme.
« Tu as des lèvres particulièrement douces, Mira… Tu feras une merveilleuse élève… »
Tout en parlant, Myu’ se redressa un peu, restant face à elle, et s’écarta, pour s’asseoir sur le rebord du bureau, et croisa l’une de ses jambes.
« Commençons, veux-tu ? Viens embrasser mon pied… »
Elle retira même sa chaussure, qui tomba sur la moquette, révélant ainsi son beau pied, qui semblait n’attendre plus que les lèvres de la jeune femme.
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En bon professeur, Myumi promit d'être patiente avec sa nouvelle élève, en lui expliquant qu'elles sortiraient progressivement de sa zone de confort pour lui faire découvrir toutes les facettes du sexe. Mira était aux anges et, quand sa senseï approcha pour lui demander de sceller leur union, elle ferma les yeux et se laissa faire. Elle partagea un délicieux baiser avec la femme, tendre et sensuel, puis elle regarda la femme s'éloigner pour retourner s'asseoir à son bureau, lui demandant de venir embrasser son pied.
« Tout de suite maîtresse. »
Mira se mit à quatre pattes et marcha jusqu'au pied de sa maîtresse, savourant la douceur de la moquette sous ses genoux. Elle prit le pied entre ses mains et donna un premier baiser sur le dessus. De son point de vue, c'était un acte fort de soumission, même si ce n'était qu'un petit bisou. Elle avait déjà fait bien pire avec Eris, mais puisque Myumi voulait commencer par là, alors elle se pliait à ses désirs, comme une bonne élève doit le faire avec son professeur.
Après plusieurs minutes de baisers et de caresses sur le haut et sur la plante du pied, elle décida de monter d'un cran et commença à passer sa petite langue entre les orteils de sa senseï, en suçotant parfois un pendant quelques secondes. Mira éprouvait du plaisir à se montrer imaginative dans la soumission, et espérait que sa maîtresse apprécierait son geste. Si elle ne disait rien pour l'arrêter, alors c'était que ça allait.
Le jeu continua encore pendant environ cinq minutes, puis Mira se releva pour regarder Myumi droit dans les yeux.
« Alors maîtresse, est ce que ça vous a plu ? »
A quoi allait-elle avoir droit pour la suite ?
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Enseigner, c’était s’adapter à ses élèves, et c’était bien ce que Myumi comptait faire avec Mira, comme elle l’avait fait avec tous ses autres élèves. Il était important d’y aller calmement, par étapes. Si Myumi plaçait la barre trop haut, son élève prenait peur, et se renfermait comme une coquille. Oh, il ne fallait pas croire que la senseï redoutait un scandale, que l’élève en parle à ses parents, et que ces derniers ne demandent à ce qu’elle soit renvoyée. Une situation de ce type était toujours problématique, mais l’établissement était habitué à devoir les gérer, et à les résoudre. Non, Myu’ voyait surtout cela comme un échec personnel, qui l’amenait à vouloir se perfectionner. En réalité, et comme elle l’avait expliqué à Mira, elle ne voyait pas ne quoi ce qu’elle faisait était répréhensible. Le rôle de l’école était de former les élèves à devenir des adultes, et, pour ça, il était nécessaire d’évoquer le sexe, et de le pratiquer.
Myumi avait donc proposé à Mira de commencer par une simple série de baiser sur son pied. Ce n’était pas méchant, et c’était suffisamment pervers pour marquer, symboliquement, le début de leur relation. Elle vit une lueur de plaisir se dessiner dans les yeux de la jeune Mira, qui se mit à genoux, et se dépêcha de se rapprocher, venant lécher et embrasser ce pied. Un frémissement en traversa le corps de Myu’, qui avait toujours aimé qu’on joue ainsi avec son pied. Elle remuait ses orteils en sentant la langue de Mira filer dessus, percevant rapidement l’assurance de cette dernière, qui l’embrassait et la léchait, non seulement avec envie, mais aussi avec cette absence de gêne et de timidité, ce qui caractérisait généralement les adolescents encore vierges, et peu sûrs de leur approche, peu confiants en eux-mêmes.
C’est ainsi que Mira mit fin d’elle-même à ce jeu, en demandant autre chose, comme si elle se lassait, comme si elle en avait assez, et voulait donc passer à un jeu supplémentaire. Se pinçant doucement les lèvres, Myu’ la regarda, et acquiesça rapidement :
« Oui, Mira, tu es une élève très prometteuse... »
Myumi lui sourit, et se posa ensuite sur le sol, puis lui fit signe de s’asseoir sur le bureau. Dès que Mira s’exécuta, Myumi se retourna vers elle, et glissa une main le long de sa jambe, filant sur sa cuisse, pour aller sous sa minijupe d’écolière, agrippant sa culotte, pendant que son autre main se posait sur son épaule. Elle la remonta un peu, la posant sur la nuque de Mira, et approcha son visage du sien, pour l’embrasser.
« Passons à la suite, ma chérie... »
Elle lui fit un baiser très sensuel, dans lequel elle n’hésita pas, au bout de plusieurs secondes, à glisser sa langue dans la bouche de Mira, serrant ses mains sur son corps...
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Myumi affirma qu'elle avait là une jeune fille très prometteuse, ce qui fit sourire Mira, contente de voir qu'elle avait pris un bon départ avec sa nouvelle formatrice, puis lui fit signe de venir s'asseoir sur le bureau. Elle s'exécuta, et sentit avec délice une des mains de la femme glisser le long de sa cuisse, passer sous sa jupe et agripper sa culotte déjà bien mouillée, tandis que son autre main se posa sur son épaule, puis rapidement sur sa nuque. Elle gémissait doucement, heureuse de recevoir des caresses aussi douces et délicieuses, puis regarda son amante approcher son visage jusqu'à prendre ses lèvres avec les siennes. Un baiser des plus fameux, où les langues se rencontrèrent rapidement, la jeune fille pouvait aussi sentir les mains de sa senseï se serrer sur son corps. C'était un moment merveilleux.
« Mmhh... hhmm... »
Quand elle se sépara de Myumi, Mira respirait fort, avait les joues rouges et mouillait encore plus, ce que sa senseï devait sentir. Totalement à sa merci, elle se contenta de la regarder pendant qu'elle lui retirait sa culotte jusqu'à la laisser au niveau de ses chevilles. Mais avant que les choses n'aillent plus loin, la mercenaire se souvint qu'elle n'avait pas répondu à une question de son professeur, une question très importante.
« Ichtora-senseï... j'ai oublié de vous dire... je ne suis plus vierge. Vous me l'aviez demandé... mais je ne vous avais pas... répondu... »
Et maintenant qu'elle était lancée, il y avait d'autres choses dont elle avait envie de parler.
« Et aussi... un autre fantasme... que j'aimerais réaliser... ce serait... d'avoir... vos sous-vêtements... »
Depuis qu'elle avait repris confiance en son apparence, Mira cherchait à se rendre plus belle extérieurement, et cela incluait de se trouver de la nouvelle lingerie. Et plus elle cherchait, plus elle découvrait que, en plus du potentiel érotique qu'offre des sous-vêtements correctement choisis, ils peuvent aussi être une source de fantasme. Ainsi, la mercenaire s'était déjà masturbée en frottant sa culotte contre son intimité, ou en reniflant les sous-vêtements qu'elle avait porté durant la journée. Ce fantasme était devenu l'un de ses préférés, et pour une fois elle allait peut-être pouvoir le combler avec la lingerie de quelqu'un d'autre. D'ailleurs, que pouvait bien porter une aussi jolie femme que Myumi ?
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Myumi préparait doucement la belle Mira à passer à la casserole, pour le dire simplement. Son baiser ne manqua pas d’exciter sa belle élève, et Myu’ restait près d’elle, savourant ce moment. Mira lui avoua alors ne pas être vierge, ce que Myumi nota, en comprenant qu’elle allait pouvoir utiliser un circuit plus rapide. La jeune femme avait en effet différents schémas et programmes de formations dans sa tête, qu’elle adaptait en fonction de la personnalité de l’élève qu’elle formait. Avec Mira, elle comptait se faire plaisir, d’autant plus qu’elle aimait bien le goût tendre et délicat de ses lèvres. Néanmoins, avant de continuer à l’embrasser et à la déshabiller, Myumi s’arrêta, et se pinça doucement les lèvres, esquissant un léger sourire.
« Mes sous-vêtements, hum… »
La demande n’était pas si surprenante que ça, car elle rencontrait souvent des élèves partageant ce fantasme. Au Japon, c’était de fait assez courant. Il suffisait de voir le nombre de dessins animés et de mangas où on voyait les culottes des filles pour le comprendre. Mira semblait assez gênée par cette proposition, ce qui amena Myu’ à lui faire un sourire chaleureux, et à déposer un baiser sur son front, comme pour tenter de la rassurer, le tout en caressant tendrement ses joues.
« Si tu veux… Tu sais, j’ai aussi beaucoup de garçons qui aiment porter mes culottes. »
Elle s’éloigna ensuite un peu, puis écarta les jambes, et glissa ses mains sous sa minijupe, tirant rapidement sur sa culotte, et la retira sous les yeux de Mira, avant de la lui tendre. C’était un beau shorty rouge à dentelle (http://img110.xooimage.com/files/b/f/9/shorty-dentelle-r...9-grande-5070feb.jpg), finement transparent.
« Vois ça comme ton cadeau de bienvenue… Mais, si je te le donne, il faut que tu le mettes. »
Myumi avait toujours cette voix très sensuelle, cette intonation chaude et vibrante. Elle aimait ce qu’elle était en train de faire, ce qu’elle vivait avec cette jeune Mira, qui était loin d’être aussi timide que ce que la senseï avait pu croire. Et, tout en lui remettant le sous-vêtement, elle s’assit à côté d’elle, sur le rebord du bureau, en lui parlant encore… Car Myu’ aimait bien le fait de parler, et trouvait, en réalité, que les mots étaient un excellent moteur sexuel.
« Tu sais, j’adore quand mes élèves se masturbent dans mes vêtements. Avec les garçons, j’aime les voir se masturber devant moi avec ma culotte, puis me laisser l’enfiler ensuite pendant la durée de mon cours… Est-ce que ça, ça te plairait, Mira, hum ? De te caresser intimement devant moi, une demi-heure avant le début d’un cours, sous mon nez, et me redonner ensuite ma culotte pour le cours que je ferais ? »
Ce dont Mira ne devait surtout pas douter avec Myumi, c’était bien son imagination fertile…
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Avouer son fantasme sur les sous-vêtements avait un peu embarrassé Mira, mais Myumi avait su la rassurer comme il fallait, lui avouant que même certains des garçons avec qui elle couchait aimait porter ses culottes. La jeune fille la regarda ensuite écarter les jambes et lui donner sa culotte, un beau shorty rouge en dentelle semi-transparente. Elle ne se fit pas prier pour l’enfiler à la place de sa culotte, qui pendait à sa cheville, toujours enivrée par la sensualité de la voix de sa senseï. Une fois le shorty entre ses jambes, elle sentit une chaleur torride s’allumer dans son bas-ventre, ainsi que l’irrépressible envie de se caresser dans ce nouveau sous-vêtement. Et puis, comme si sa formatrice lisait dans ses pensées, elle lui confia qu’elle aimait voir ses élèves se masturber dans ses vêtements, et lui demanda si elle aimerait se faire du bien devant elle pour ensuite lui rendre sa culotte, pour le cours qu’elle ferait après ?
« Oh oui senseï… j’adorerais ça… »
En plus du plaisir de se toucher dans la culotte d’un autre, elle aurait en plus la satisfaction de voir ses fluides se mélanger à ceux de Myumi pendant qu’elle ferait cours comme si de rien n’était. Mira se réjouissait à nouveau d’être tombé sur une formatrice aussi merveilleuse.
« Vous êtes une femme incroyable… je suis heureuse de vous avoir comme professeur… »
Portée par l’élan du désir, la lycéenne alla embrasser sa prof, un baiser passionné et torride, auquel elle mit fin uniquement pour pouvoir coller sa tête entre sa volumineuse poitrine. Elle frottait ses joues contre ces deux énormes globes tout en gémissant.
« Vos seins… sont si gros… aahh… »
En même temps, elle fit glisser ses mains dans son dos pour aller palper ses fesses, aussi fermes et moelleuses que sa poitrine.
« Et vos fesses… sont si douces… et fermes en même temps… haann… »
Mira ne tenait plus en place, elle avait envie de tripoter, embrasser et lécher chaque parcelle de peau de Myumi. Peut-être outrepassait-elle ses droits d’élève sur son professeur, mais elle était trop excitée pour craindre une punition. En fait, ça lui aurait même fait plaisir.
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Myumi était en train de s’amuser avec cette jeune femme, qui était effectivement très perverse. Ayant une mère succube, Myu’ avait des affinités naturelles avec le sexe, et était capable de percevoir très facilement l’excitation sexuelle de ses amants et amantes. Et, ici, tous les signaux étaient au vert. Les tremblements qui agitaient le corps de Mira, son incapacité à rester calme, sa respiration haletante, la rougeur sur ses joues... C’était autant de signaux magnifiques que somptueux, et que Myu’ adorait toujours voir. Elle les analysait donc, un sourire rivé sur les lèvres, et une lueur malicieuse nichée dans ses yeux. Mira avoua donc qu’elle adorerait se masturber dans cette culotte, et se pressa vers Myu’, qui écarquilla les yeux de surprise, mais aussi de plaisir. Douce et généreuse, elle ne la repoussa nullement, sentant Mira se presser contre son corps. La main de Myu’ remonta rapidement pour agripper la nuque de la femme, et elle retourna l’embrasser, tout en la soulevant, son autre main se glissant contre les cuisses de Mira.
Elle l’aida ainsi à se redresser, pliant légèrement ses jambes, et enfonça sa langue dans sa bouche, fermant les yeux. Mira n’avait fait que frotter ses lèvres avant de caresser un peu tout le corps de la senseï. Maintenant, Myu’ lui offrait un vrai baiser, long, intense, sensuel, plein d’énergie et de cette passion naissante et puissante que les baisers pouvaient faire naître. Un baiser où elle fermait évidemment les yeux, pour mieux apprécier la sensation, serrant le corps de Mira contre le sien, ce petit corps de lycéenne qui avait envie de faire quantité de choses avec celui de Myumi. Ce corps doux et chaud qui se pressait tendrement contre elle, et ce pendant de nombreuses secondes...
« Hmmm... »
La senseï rompit lentement le baiser, un mince filet de salive reliant leurs lèvres, qu’elle enleva d’un coup de langue, et sourit ensuite devant Mira. Un sourire agréable et joyeux, ses lèvres semblant pétiller de plaisir. Elle resta silencieuse pendant une poignée de secondes, son souffle rebondissant sur les lèvres entrouvertes de Mira... Puis elle la relâcha, et se redressa, contournant son bureau, pour retourner s’asseoir.
« Commençons par le commencement, ma belle esclave. Viens t’asseoir sur mes cuisses, dos face à moi... »
Elle laissa Mira se rapprocher, et l’attrapa par les hanches, l’aidant ainsi à se positionner, et glissa ensuite ses mains contre ses cuisses, venant lécher et mordiller son cou. Ses doigts caressèrent le shorty, et se glissèrent rapidement dessous, sentant vite des traces d’humidité, trahissant l’excitation féroce que Mira devait ressentir en ce moment.
« Hmmm, tu es trempée, ma chérie... Mais j’aime ça, tu as une peau vraiment très douce. Je vais t’offrir ton premier orgasme, ma belle... Puis tu suceras mes doigts. »
Myumi l’embrassa sur la tête, puis continua ensuite davantage à la masturber, enfonçant ses doigts dans son intimité, remuant profondément en elle.
*Allez, vas-y ma beauté, offre-moi un orgasme...*
C’était la prochaine étape de leur soirée.
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Mira ne fut pas punie pour son audace, Myumi posa une main sur sa nuque et guida ses lèvres jusqu'aux siennes pour lui offrir un baiser. Pas un simple baiser timide comme ceux que s'échangeaient deux ados inexpérimentés, ce baiser là venait d'une adulte expérimentée qui pouvait déclencher des passions avec ses lèvres. Il fut long, sensuel et délicieux, faisant longuement gémir la jeune fille en chaleur, qui sentait qu'elle mouillait de plus en plus. Quand sa senseï rompit le contact, elle sentait son cœur tambouriner dans sa poitrine. Elle avait eu l'impression de revivre l'un de ces baisers qu'elle partageait avec Eris, et cela lui rappelait tant de bons souvenirs qu'elle mouillait encore plus. Elle regarda sa formatrice se déplacer pour retourner s'asseoir à son bureau, puis s'assit sur ses cuisses quand elle l'ordonna. Une fois bien en place, elle eut le plaisir de voir les mains de la femme glisser sous sa jupe, puis sous le shorty qu'elle lui avait donné, pour finalement aller la masturber.
« Haann... oh merci senseï... aaahhh... j'en avais... tellement envie... mmmhhh... »
Mira n'avait plus senti de doigts autres que les siens sur sa fente depuis des mois, et ça lui avait manqué. Entre ça et les attaques de Myumi sur son cou, elle avait tout pour être heureuse. Son corps était empli par le plaisir, de même que son esprit, mettant son super cerveau un peu au repos, un sentiment qu'elle appréciait. Son intelligence était peut-être un don exceptionnel, mais même les dons deviennent des malédictions quand ils sont omniprésents dans la vie de tous les jours. Le sexe lui permettait de concentrer son attention sur son ou sa partenaire, et ainsi de ne pas réfléchir à autre chose. En même temps, difficile de penser à autre chose quand on se faisait doigter aussi énergiquement et profondément.
« Oh oouuii... encore... encore... ça vient... aaahhh... CA VIENT ! AAAAHHHH ! »
Mira eut un orgasme de tous les diables, arrosant les doigts et le shorty de Myumi sans modération. C'était la preuve, s'il en fallait une, qu'elle était aux anges de pouvoir enfin recoucher avec quelqu'un. Quand sa senseï lui tendit ses doigts humides, elle les prit en bouche et les suça avec un plaisir non dissimulé, comme s'ils s’agissaient de queues de futa comme elle en avait déjà sucés. Une fois cette petite tâche terminée, elle coupa sa maîtresse avant qu'elle n'ait eu le temps de lui faire autre chose, ressentant le besoin soudain de parler.
« Vous savez... parfois j'aimerais être quelqu'un d'autre... plutôt que d'être une fille intelligente... j'aimerais être une idiote sans cervelle... avec un corps de rêve... et n'avoir qu'à obéir... plus besoin de réfléchir... »
Une façon discrète de parler d'un autre de ses fantasmes : se transformer, le temps d'un rapport sexuel, en bimbo blonde aux formes voluptueuses et la tête remplie de petits nuages (http://hypnohub.net//data/sample/68aa273a4d68c34118d045d3f28ca640.jpg). Elle chérissait son intelligence et son libre arbitre, et n'y aurait jamais renoncé de façon définitive, mais elle aurait voulu, pendant juste une heure ou deux, ne plus avoir à subir son cerveau formien et ses complexes physiques.
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Avec Mira, Myumi avait plein d’idées, comme avec tous ses autres élèves. Cependant, avec cette jeune femme, elle avait le sentiment qu’elle allait rapidement pouvoir passer aux choses sérieuses. Cette soirée n’était qu’une première rencontre, une ébauche, un moyen de les lier efficacement pour le moment, ainsi que pour l’avenir. Quand on tombait entre les mains de Myumi, on en sortait en effet difficilement, tout simplement parce que la place était magnifique. Qui n’avait pas envie, en effet, d’être l’esclave sexuel d’une telle femme ? Aussi belle que perverse, enjouée et sympathique, Myumi était un exemple magnifique de ce qu’on pouvait produire à Mishima. Pour elle, on décrocherait volontiers la Lune, et, pour le moment, ses doigts continuaient à s’activer sur l’intimité ruisselante de mouille de la jeune femme. Elle adorait entendre les gémissements et les petits soupirs de Mira, qui se tortillait sur elle, toute impatiente, toute frétillante d’excitation.
Les doigts de Myu’, eux, se recouvraient encore davantage de son délicieux nectar, la forçant à la doigter encore plus vite, et encore plus rapidement, son autre main posée sur le dos de la femme, servant à s’appuyer dessus. Elle s’activait donc, accélérant le rythme, atteignant le bouton d’amour de la femme, pressant encore et encore... Jusqu’à ce que, dans un ultime cri, Mira n’atteigne, contre les cuisses de Myumi, le plaisir suprême, se déversant contre ses doigts dans un profond soupir.
« Aaaahh... Ça fait du bien, n’est-ce pas ? »
C’était une question rhétorique, qui n’appelait à aucune réponse en particulier, et, assez rapidement, Myumi alla lécher ses doigts, recouverts de la mouille de la jeune femme, les suçant goulûment. Avec ses doigts, elle caressa ensuite son visage, rabattant quelques mèches de cheveux derrière ses oreilles, glissant également sur sa joue, se rapprochant brièvement de ses lèvres. Tout en reprenant ses esprits, Mira lui avoua qu’elle avait parfois envie de troquer son esprit dans celle d’une magnifique blonde à forte poitrine, idiote et soumise.
Myumi ne put que lui sourire, et l’embrassa ensuite sur les lèvres, tout doucement.
« J’ai beaucoup de pouvoirs, Mira, mais pas celui de te changer de corps... Et être intelligente n’empêche nullement d’être soumise, tu sais... Et puis, un corps de rêve... Tu n’es pas laide, ma chérie, bien au contraire... »
Elle lui sourit une nouvelle fois, se montrant chaleureuse, son visage proche du sien. Le souffle de ses lèvres filait contre les siennes, et son nez alla ensuite se frotter sur le sien. Elle l’embrassa une nouvelle fois sur le bout du nez, se montrant toujours aussi affectueuse, toujours aussi tendre et chaleureuse.
« En revanche, j’ai un pouvoir particulier... Mon corps secrète du lait très facilement. Est-ce que tu en veux, ma petite chérie ? »
Car elle ne verrait aucun problème à lui en offrir...
-
Mira n'espérait pas vraiment que Myumi puisse réaliser son fantasme, mais elle lui dit qu'elle n'avait pas besoin de se transformer pour devenir une belle soumise.
« Je sais bien que je suis jolie… mais j'aimerais que mes courbes soient plus généreuses… et croyez moi, avoir le cerveau qui carbure... ça n'aide pas quand on doit obéir. »
La senseï était très gentille, mais même elle ne pouvait pas disperser les pensées négatives de la jeune fille. En revanche, la proposition suivant fut très appréciée.
« Du lait ? Vraiment ? »
Mira n'était pas choquée par cette découverte, habituée depuis longtemps aux événements étranges, mais quel genre de créature pouvait bien être Myumi pour pouvoir envoyer du lait de sa poitrine à volonté ? Cependant, la question était secondaire face à la perspective qui s'offrait.
« Je serais ravie de vous téter... maîtresse. »
Elle disait que son élève pouvait être une bonne soumise malgré son esprit hyperactif, autant voir si elle avait raison.
La mercenaire regarda avec délice sa senseï déboutonner son chemisier, lentement, avec sensualité, puis dégrafer son soutien-gorge pour se retrouver seins nus. Ces deux magnifiques masses de chair qui trônaient devant elle, ronds et pulpeux comme de bons fruits, une gourmandise à laquelle il lui semblait impossible de résister. Elle approcha doucement, posa ses mains sur chaque globe, les massa un peu pour en apprécier la douceur et la fermeté, puis avança son visage vers un de ses tétons durcis par l'excitation.
« Alors... bon appétit. »
Elle prit le petit bout de chair tendu entre ses lèvres et se mit à aspirer. Le lait était délicieux.
-
Si Mira voulait prendre des formes, Myumi trouverait sûrement quelque chose chez sa mère. Erelda était une puissante succube, après tout, et dotée de pouvoirs magiques liées à la magie rose. Pour l’heure, il était néanmoins inutile d’en parler, car elle ne voulait pas lui créer un faux espoir. Elle ne pouvait guère, pour l’heure, que s’informer, et, le cas échéant, revenir ensuite. Myu’ entreprit donc de déboutonner sa veste, tout comme sa chemise, puis retira son soutien-gorge en tirant dessus. Elle portait encore ses vêtements, mais les écarta, grâce à l’aide de Mira, dévoilant ainsi ses lourds seins. On pouvait le dire : Myu’ avait une poitrine opulente. Deux magnifiques seins se dressaient devant Mira, qui les observa avec un appétit évident sur les yeux. Un tel regard ne put que faire sourire Myumi. Mira n’était pas la seule à regarder ses seins comme s’ils étaient le Saint-graal personnifié, mais... Eh bien, c’était toujours agréable de se sentir à ce point désirée.
Elle laissa à la jeune femme tout le temps requis, et Mira approcha d’abord ses mains, palpant délicatement les délicieux seins de sa Maîtresse, en éprouvant la rondeur, la fermeté, la douceur, provoquant quelques frissons dans le corps de Myu’. Quand on avait de tels seins, on pouvait s’attendre à ce qu’ils soient assez sensibles, et Mira approcha ensuite ses lèvres, se redressant.
« Oui... Viens, viens, ma chérie... »
Et elle vint. Ses tendres lèvres se posèrent sur un téton, et elle le suça, léchant ce dernier... Puis la main de Myu’ se crispa davantage sur ses cheveux, et elle soupira de plaisir, avant de laisser le plaisir se diffuser. Son lait naturel jaillit, et fila dans la bouche avide de Mira, venant remplir son estomac, exactement comme elle le souhaitait. Myumi pouvait en générer une belle quantité, une quantité surnaturelle. C’était tout simplement l’un de ses pouvoirs magiques, un héritage naturel de sa mère, qu’elle utilisait avec plaisir, car son lait, outre être délicieux, avait aussi des propriétés aphrodisiaques.
Myumi la laissait donc boire avec appétit, tout en gémissant de plaisir, ses joues se mettant à rosir sous l’effet du plaisir.
« Ohhh... Ouiii, haaaa... »
C’était... Tout simplement délicieux !
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Mira se gavait avec une délectation non dissimulée du lait de Myumi. Il était délicieux, avec un petit goût sucré et une saveur qui restait en bouche même après l'avoir avalé. Ses joues rosissaient progressivement à mesure qu'elle avalait gorgée sur gorgée, excitée comme une puce, comme si le liquide la rendait plus chaude à chaque seconde. Les gémissements de plaisir de sa senseï contribuaient également à son plaisir. Il lui fallut plusieurs minutes avant de vider le premier globe, et elle était déjà bien secouée.
« Haann… Senseï… je… je me sens… »
Pas le temps d'en dire plus, la jeune fille se retrouva la bouche collée contre le second sein, et se retrouva à téter à nouveau. Entre les mains de cette femme, elle était comme privée de volonté, elle se laissait faire sans protester. Elle suçait le téton tout dur dans sa bouche, se régalant de ce merveilleux lait qui la rendait comme folle, s'enfonçant volontiers dans cet océan de désir qui se présentait devant elle.
Quand Mira eut fini de boire tout le lait qu'il restait dans la poitrine de Myumi, elle s'écarta un peu d'elle. Son corps était une vraie fournaise, son shorty rouge était inondé de mouille, ses tétons pointaient durement dans les bonnets de son soutien-gorge, et elle avait du mal à garder ses mains en place pour ne pas se tripoter.
« Aahh… maîtresse… je… j'ai tellement… tellement chaud… ooohhh… »
Elle ne savait pas d'où venait cette soudaine violente envie de sexe, mais elle était tellement en chaleur qu'elle aurait pu arracher ses vêtements.
« Pitié… soulagez moi… aahh… »
Déjà, la jeune fille approchait inconsciemment ses mains de sa petite poitrine dans l'intention de se caresser.
-
Mira s’avéra particulièrement gourmande, tétant avidement son sein, avalant beaucoup de lait. Si elle était excitée, c’était aussi le cas pour Myumi, qui savait juste retenir plus facilement son excitation. Pour autant, ses joues se mirent à rosir, elle se mordilla les lèvres, les serrant nerveusement, pendant que la jeune Mira continuait à boire, remuant ses lèvres le long de son sein, le vidant peu à peu. Un soupir s’échappa même des lèvres de Myumi, qui redressa sa tête vers l’arrière, étirant ses jambes en sentant de jouissives vagues de plaisir la traverser.
« Hnnn... »
La jeune lycéenne termina de s’occuper de son sein, mais s’avéra maintenant être particulièrement en manque, tremblant sur place. Myu’ ne put que sourire. Son lait était très aphrodisiaque, stimulant la libido. Chez un garçon, elle s’amusait à le masturber pendant qu’il tétait, mais, avec une fille, c’était différent. Mira tremblait sur place, ayant chaud, frissonnant, tout son corps stimulé. Le sexe produisait cet effet miraculeux et magnifique chez les gens. Il les stimulait, les excitait, les rendant beaucoup plus nerveux, et, par voie de conséquence, beaucoup plus agréable à admirer. Le spectacle des joues rouges de Mira, de ses yeux qui roulaient dans ses orbites, de cette doucereuse excitation, palpable... Hum, quelle fête !
C’était grandiose à voir, mais Myumi savait que Mira ne pourrait guère tenir, cherchant déjà à se tripoter... Myu’ fut toutefois plus rapide, posant ses mains sur sa chemise, et tira dessus, déboutonnant cette dernière rapidement, manquant arracher les boutons, faisant sursauter Mira, puis elle retira ensuite la chemise de la femme en la faisant glisser le long de ses bras, et pencha son corps vers l’avant, envoyant le dos de Mira sur la table. Myumi repoussa son fauteuil en se relevant, et se dressa au-dessus de la femme. Elle ne s’allongea pas sur elle, mais serra son sein à travers le bonnet de son soutien-gorge, et, sans attendre, approcha son autre main de ses cuisses, caressant et griffant son ventre, à hauteur de son estomac, avant de descendre davantage.
« Oh oui, il va vite falloir te soulager, tu as l’air de réagir très bien au lait de ta Maîtresse, petite catin... »
Sa voix était sensuelle, doucereuse, et ses doigts se faufilèrent rapidement sous la jupe, caressant sa culotte, à l’emplacement de son intimité.
« Lààààà... Tu aimes, hein, à cet endroit-là ? »
Elle sourit encore, et, tout en pinçant le sein à hauteur du téton, tirant dessus, enfonça ses doigts sous la culotte, pour les glisser en elle, faisant se tortiller le corps de la femme, répandant en elle ce que son être réclamait...
...Du plaisir !
-
Alors que Mira commençait à balader ses mains sur son corps en chaleur, Myumi l'interrompit d'un seul coup en posant ses mains sur sa chemise d'uniforme, enlevant un à un les boutons si vite qu'elle manqua de les arracher. La jeune fille se retrouva ensuite penchée vers l'arrière, finissant avec le dos contre la table, avec juste son soutien-gorge encore en place. Sa senseï était dressée au-dessus d'elle, serrant l'un de ses seins sous le bonnet et caressant son ventre, progressant doucement vers son point le plus sensible.
« Haann... aaahhh... »
La mercenaire était comme une grosse boule d'excitation, et il n'y avait que sa puissante et autoritaire maîtresse pour la satisfaire. Ses mains étaient fortes et agiles en même temps, son ton sensuel rajoutait une petite touche de finesse, c'était vraiment le rêve.
« Oh... oui... maîtresse... j'aime... aaahhh... cet endroit... hhmm... »
Mira se tortillait sur place, parcourue par de multiples et incontrôlables spasmes de plaisir, excitée comme elle l'avait rarement été auparavant. Il y avait forcément quelque chose chez Myumi qui sortait de l'ordinaire pour qu'elle soit aussi douée. En tout cas, l'adolescente mouillait abondamment et ses tétons pointaient si forts qu'ils auraient pu transpercer le tissu de son sous-vêtement. Sa frustration se mélangeait au plaisir, et le tout la rendait folle d'envie.
« Oui, oui, oui... encore, encore... »
Elle ne bougeait pas, tout son corps était crispé par les vagues ininterrompues qui la balayaient. Elle n'arrivait presque plus à penser. Et au bout de plusieurs minutes, l'orgasme arriva comme la magnifique conclusion de ce moment.
« AAAAAHHHHH !!! »
Mira explosa sur place, balançant assez de mouille pour recouvrir les doigts de Myumi et pour salir son bureau. Soudain, tout son corps se détendit, et un sentiment de paix la gagna complètement. C'était comme si, d'un seul coup, elle avait été libérée d'un énorme poids. Incapable de bouger ou de parler, elle se contentait de fixer sa maîtresse avec un sourire béat.
-
Myumi prenait grand-soin de Mira, comme elle avait l’habitude de le faire avec ses élèves. Et Mira, pour une récente élève, était pleine de promesses. La professeur s’amusait avec elle, enfonçant ses doigts dans sa chatte. Elle les reculait, et les renfonçait, les tortillant dans sa chatte, tout en utilisant son autre main pour pincer son téton. Elle savourait ainsi son délicieux corps, encore et encore, avec ce plaisir intense et profond qu’elle retrouvait à chaque fois, à chaque fois qu’elle faisait l’amour avec une femme. Elle aimait ça, tout simplement. Le sexe, la joie des corps, voir le plaisir se dessiner sur le visage et sur la peau de son amant(e). Elle aimait l’esthétique des corps, la beauté du sexe, ce plaisir infini et jouissif. Oh, que c’était bon ! Quel spectacle, quelle beauté !
« Hmmm... Laisse-toi aller, allez... »
La professeur souriait lentement, et continua ses coups de doigts, y allant de plus en plus fort, cherchant son clitoris, qu’elle trouva. Ses doigts appuyaient sur le bouton de plaisir, le pressait, et le plaisir éclatait. Il se diffusait dans tout son corps, en se concentrant autour de son sexe. Elle était comme un volcan sur le point d’entrer en éruption, et Myumi la pressait pour voir son Vésuve exploser sur place. C’est à ce quoi elle eut droit, et ses doigts se remplirent de mouille, tandis qu’elle souriait malicieusement, les yeux exprimant tout son plaisir.
Elle voyait un sourire ravi se dessiner sur les lèvres de Mira, et Myu’ s’humecta les lèvres, puis l’embrassa sur le front.
« C’est très bien, Mira... Un premier orgasme, et... Délicieux ! »
Myumi suçait ses propres doigts, avalant cette mouille, puis se déplaça ensuite un peu. Elle savourait le liquide de la jeune femme, et se déplaça encore un peu, tournant autour du bureau, réfléchissant à la suite. Qu’allait-elle bien pouvoir faire ? Elle se tapotait les lèvres. C’était une situation curieuse, car assez atypique. Mira n’était pas comme les autres élèves qu’elle avait l’occasion de côtoyer, et elle réfléchissait donc sur la suite.
*Après tout, il serait dommage d’arrêter ici, je l’ai à peine excité...*
Autrement dit, la senseï avait encore des idées, et retourna s’asseoir sur son fauteuil, en écartant les jambes.
« Maintenant, à ton tour... Viens me lécher, ma chérie... »
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Tout le corps de Mira était engourdi par le choc de son dernier orgasme. Il était rare pour elle de jouir aussi fort, et Myumi était sûrement pour quelque chose. La jeune fille la suivit du regard, sans arrêter de sourire, tandis qu'elle tournait autour du bureau et léchait ses doigts couverts de mouille. Finalement, elle retourna s'asseoir sur son fauteuil, et demanda à son élève de venir la lécher.
« Tout… de suite… maîtresse. »
Mira rassembla ses forces et se releva avant d'aller se mettre à genoux devant sa maîtresse, passant sa tête sous sa jupe pour atteindre sa vulve avec sa langue.
« Hhhmmm… »
La senseï était déjà mouillée avant l'intervention de son élève, et cela ne fit que s'accentuer avec l'action du muscle buccal de la demoiselle. Cette dernière léchait chaque recoin, chaque contour de ces magnifiques lèvres, en récoltait la cyprine qui coulait en abondance, titillait son clitoris enflé de désir, et produisait des bruits humides pour mieux montrer son côté cochonne.
« Sluurrpp… oh maîtresse… c'est tellement délicieux… »
En même temps qu'elle léchait, Mira sentit une puissante chaleur s'emparer de son bas-ventre. Aussi, pendant qu'une de ses mains restait en appui sur son bassin pour garder les jambes de Myumi bien écartées, elle passa son autre main sous sa jupe pour aller se caresser, remuant ses doigts dans son intimité ruisselante, son shorty recevant toute la mouille qui s'en écoulait.
Pendant cinq longues minutes, on entendit dans la pièce que les gémissements des deux femmes et les bruits humides que l'élève faisait en léchant la chatte de sa senseï et en pénétrant la sienne avec ses doigts. Elle fut la première à jouir, arrosant ses doigts et son sous-vêtement de son liquide intime, mais elle continua inlassablement à passer sa langue sur l'intimité de son amante, jusqu'à l'entendre jouir et récolter la mouille de cette jouissance dans sa bouche. Elle sortit ensuite sa tête de sous la jupe de sa maîtresse et la regarda droit dans les yeux.
« Maîtresse… je suis tellement mouillée… je crois que votre culotte est fichue. »
Mira lécha sensuellement ses doigts humides devant elle. A quoi allait-elle avoir droit maintenant ?
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Myumi ne tarda pas à gémir, et à se dandiner sur son fauteuil, la faisant doucement craquer. Ses mains se crispèrent sur l’accoudoir, et elle remua très légèrement son bassin, de gauche à droite, en gémissant de nouveau. Mira était, non seulement douée, mais également très en appétit. Elle léchait avidement son sexe, à travers sa culotte. Et, effectivement, celle de Myu’ était déjà trempée. La femme avait beau faire preuve d’un impressionnant contrôle sur elle-même, résultante de sa grande expérience sexuelle, elle n’en était pas moins très sensible au sexe. Myumi avait juste une épaisse capacité d’endurance, et son regard oscillait entre la tête de son élève et le plafond. Elle se tortillait sur le fauteuil, crispant parfois ses jambes, tout en émettant de nouveaux soupirs.
« Hmmmmm... Haaaaann... Ma petite Mira, hmmmmmm... »
La senseï continuait à gémir et à se tortiller sur place, pendant que Mira, non contente de la lécher goulûment, glissant également ses doigts en elle, se masturbant. Un geste qui n’échappa pas à sa professeur, ce qui ne la déplut pas. Elle y alla même de sa petite touche personnelle, posant sa main sur la nuque de Mira. Son corps commençait à être en feu, et elle frissonnait sur place, peinant à se calmer. Au contraire, Mira continuait à la lécher, encore et encore, cherchant à la pousser jusqu’à l’orgasme, avec un appétit qui faisait plaisir à voir, et avec une envie qui était... Délectable.
Dire que, initialement, Myumi avait juste envisagé un simple rapprochement. Généralement, elle y allait par étapes avec ses élèves, les initiant tranquillement à la luxure, jouant avec leur frustration, retardant le moment où ils coucheraient pour de bon avec elle, surtout s’ils étaient vierges. Mais Mira, elle, était atypique. Elle n’était pas vierge, et Myu’ était bien décidée, ce soir, à passer à un cran supplémentaire. Elle sentit Mira avoir un nouvel orgasme, et sourit lentement, s’efforçant de la regarder, les joues rouges, de la sueur coulant de sa peau.
« Mi-Mira, hnnn... »
Elle ne pouvait que soupirer, de nouveau, tout en la sentant s’enfoncer en elle, sa langue malmenant sa culotte, heurtant son clitoris. Dans ces conditions, Myumi ne put éternellement retenir le plaisir, et ses muscles se crispèrent. Ses doigts s’enfoncèrent contre les cheveux de Mira, et, dans un long soupir, elle se mit à jouir.
« Hhhhmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm... !! »
Le plaisir explosa contre sa culotte, mais aussi sur le visage de Mira, qui se retrouva toute heureuse d’elle-même. Myumi, elle, se redressa lentement, en reprenant son souffle.
« Bon... On va passer à la suite, ma chérie. Mais la suite ne se passe pas dans mon bureau. Demain, tu as cours, non ? Dans quelle salle ? »
Et, tandis qu’elle venait de poser ces questions, Myumi s’était dirigée vers un placard, et l’ouvrit, en sortant un bandeau noir. Mira lui répondit, et Myumi retourna sur elle, et lui mit le bandeau autour des yeux, tout en lui expliquant ce qu’elle allait faire dans les prochaines secondes.
« Je vais me changer, mais tu ne mérites pas encore de voir ta Maîtresse nue, petite catin... »
Qui sait jusqu’où cette première rencontre pourrait aller ? Honnêtement, Myumi aurait pu s’arrêter maintenant, mais elle avait envie de pousser encore un peu Mira, de jouer davantage avec elle. La jeune femme fut donc privée de vision pendant quelques instants, le temps que Myumi se déshabille, et ne se change. Mira put entendre des crissements sonores, puis des talons qui claquèrent sur le sol, avant que le bandeau ne lui soit ôté. Sa Maîtresse avait décidé de sortir le grand jeu, enfilant une tenue incroyablement érotique (http://img110.xooimage.com/files/c/c/8/181-5090548.jpg).
« Nous allons aller dans ta salle de classe. Je veux que, demain, quand tu t’assoies sur ta chaise, tu repenses à ce que nous avons fait dedans une bonne partie de la nuit... Mais il faut aussi t’habiller un peu. »
Myumi lui sourit encore, un sourire très malicieux, et lui indiqua de se lever, de se déshabiller, et d’enfiler une tenue qu’elle lui présenta. Une tenue très érotique (http://img110.xooimage.com/files/1/4/a/tomoe_suit-49f4dab.jpg), à n’en pas douter.
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Mira avait bien joué son rôle, et Myumi semblait satisfaite de la façon dont elle l'avait faite jouir. Elle lui indiqua que la suite de cette petite séance privée allait avoir lieu ailleurs, puis lui demanda dans quelle salle elle avait cours demain matin.
« Euh... demain matin... ma première heure de cours est en salle 2-D. »
Sur ces mots, la jeune fille se retrouva avec un bandeau sur les yeux, sous prétexte qu'elle n'avait pas encore mérité de voir sa maîtresse nue. C'était méchant, mais on ne discute pas les ordres. Privée d'un de ses cinq sens, elle se contenta de ce qu'elle percevait avec les autres pour se faire une idée de la scène autour d'elle. Elle entendit des bruits de talons, des crissements, et pensa que sa senseï était en train de changer de tenue, ce qui avait de quoi l'émoustiller. Finalement, quand le bandeau tomba, elle la découvrit dans un super ensemble en latex noir, qui couvrait à peine les parties les plus intimes de son corps, de longs collants noirs et une paire d'escarpins. Les mots manquaient à la mercenaire pour dire à quel point cette femme lui faisait envie maintenant qu'elle était habillée comme ça.
« Nous allons aller dans ta salle de classe. Je veux que, demain, quand tu t’assoies sur ta chaise, tu repenses à ce que nous avons fait dedans une bonne partie de la nuit... Mais il faut aussi t’habiller un peu. »
Mira se leva et prit la tenue que lui tendait Myumi. Si elle avait eu les idées claires, elle aurait hésité avant d'enfiler quelque chose d'aussi indécent, mais rien que la pensée de contredire une demande de sa maîtresse lui semblait saugrenue. Elle se débarrassa des derniers vêtements encore sur son dos, y compris le shorty rouge de sa senseï qu'elle prit un malin plaisir à tripoter avant de le mettre avec le reste de ses vêtements, puis enfila sa nouvelle tenue. Elle se composait d'un collier avec plusieurs sangles, un corset qui allait du bas de ses seins à son nombril, de longs gants, une culotte, des collants et des bottes, le tout en latex noir. Elle enfila tout, puis prit la pose devant son amante.
« Alors maîtresse, comment me trouvez-vous ? »
Cependant, pour que la tenue soit complète, il manquait une petite chose : un plug anal en forme de queue de chien. Mais comme elle ne pouvait pas l'enfiler toute seule, la jeune fille donna l'objet à sa senseï et se tourna pour lui faire dos, se penchant en avant pour bien montrer ses fesses.
« Vous voulez bien m'aider ? »
Mira attendit un peu, puis sentit le jouet s'enfoncer entre ses fesses, la faisant pousser des couinements entre la douleur et le plaisir, n'étant pas vraiment habituée à l'anal, jusqu'à ce qu'il soit bien en place.
« Haann... aahh... ouah... c'était... éprouvant... »
A présent qu'elle était habillée, la jeune fille allait se faire conduire en classe par sa senseï pour une ''leçon particulière'', mais cette dernière semblait avoir une idée derrière la tête.
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Les choses prenaient un nouveau tournant, bien plus excitant, bien plus sensuel. Myumi avait enfilé sa tenue spéciale, et en enfila une à Mira, qui semblait tout, sauf gênée. La jeune professeur sourit même en voyant que Mira souhaitait aussi le plug anal, et elle s’empressa de la satisfaire, glissant ce dernier contre sa culotte. Cette dernière disposait d’une fermeture Éclair à hauteur des fesses, ce qui permit très facilement à Myu’, en l’ouvrant, de glisser le gode. Mira gémit lentement, puis Myumi referma autant que possible la culotte, coinçant ainsi l’appareil, puis perfectionna le déguisement en mettant un collier, avec un grelot, et en le rattachant à une laisse. Ceci fait, elle attrapa finalement un petit boîtier relié au plug, et activa la fonction vibrante de ce dernier. L’appareil se mit alors à tressauter dans les fesses de la belle Mira, et Myumi, en esquissant un sourire supplémentaire, tira sur la laisse.
« Ne t’inquiète pas, ton corps s’habituera vite, et tu raffoleras ensuite des sodomies, ma petite catin. Fais-moi confiance là-dessus. »
Avec le grelot, à chaque pas que Mira se déplaçait, on entendait ce dernier carillonner, renforçant ainsi l’impression d’avoir une chienne, car Myumi lui ordonna de se déplacer à quatre pattes. Elles sortirent ainsi, et, sans aucune gêne, Myumi s’avança dans les couloirs de l’administration, puis rejoignit ensuite les couloirs longeant les salles de cours, ces couloirs que Mira devait emprunter chaque jour. Elles avançaient lentement, surtout dans les escaliers, ce qui ne dérangeait pas Myumi. Elle était devant, offrant ainsi à Mira la vue de son fessier, de ses longues jambes fuselées, soit de ce corps parfait que la professeur exhibait sans gêne.
Et, même si le lycée avait fermé, il y avait encore quelques activités périscolaires, ce qui faisait que, parfois, le duo approchait de salles de cours avec de la lumière à l’intérieur. Ceci fit sourire Myumi, qui tourna sa tête vers elle.
« Tu vois ? Il y a des gens... J’aurais presque envie de venir déranger le club d’échecs... Mais j’ai trop envie de m’amuser avec toi pour le moment. »
Simple provocation ? Pas du tout, en réalité. L’exhibitionnisme était l’une des choses que Myumi adorait, que ce soit pour elle-même, ou encore pour ses élèves. Stimuler leur imagination, et les initier progressivement à cette chose extrême que peut être le fait de faire l’amour en public, voilà une chose que la senseï adorait. Néanmoins, chaque chose en son temps, et, pour l’heure, elle continuait à marcher vers la salle de cours 2-D, et l’ouvrit.
Elles entrèrent ainsi dans la pièce, Mira continuant à gémir et à soupirer.
« Dis-moi où tu veux t’installer... C’est ici que je te baiserai. »
Myumi avait tourné le dos à Mira pendant tout le trajet, et elle se retourna alors, en lui souriant, exhibant alors sa surprise. Entre ses cuisses, une verge venait d’apparaître, bien érigée, et redressée vers le plafond, annonciatrice de bien des délices à venir ce soir... Le tout s’accompagnant d’un sourire malicieux.
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Mira, déguisée en chienne, fut amenée jusqu'à la salle de cours en marchant à quatre pattes, tenue en laisse par Myumi. Le grelot autour de son cou tintait à chacun de ses mouvements, comme si elle était vraiment un animal se faisant promener. Le couple traversa les couloirs du lycée sans gêne, et même si le bâtiment était quasiment vide à cette heure, il restait quand même quelques clubs. La jeune fille marchait derrière sa senseï, admirant la vue de son postérieur et de ses longues jambes fuselées, une vue qui la faisait mouiller, laissant une traînée de cyprine derrière elle. Quand elles passèrent devant la salle où se réunissait le club d'échecs, la maîtresse eut presque envie de faire entrer sa soumise pour l'offrir aux membres du club, mais elle avait trop envie de se la garder pour elle.
Une fois dans la salle de cours 2-D, Mira leva la tête quand Myumi se retourna et elle découvrit, avec joie et une surprise non dissimulée, qu'une belle verge bien érigée était apparue entre ses cuisses. Elle saliva en observant ce membre veineux et dressé vers le ciel, la promesse de plusieurs heures de délices. Elle alla vers la chaise qu'elle occupait d'habitude dans la salle, puis s'assit en écartant les jambes le plus possible, répandant sa mouille sur le siège. Sa première tâche fut de sucer la belle queue de la femme, afin que cette dernière puisse l'évaluer.
« Tout de suite maîtresse. »
En restant assise, Mira se mit à lécher la belle trique qui s'agitait devant ses yeux. Ses souvenirs de sa dernière nuit avec Eris lui revinrent en mémoire, elle essaya de recopier ses gestes pour faire la meilleure fellation possible. Après avoir recouvert de bave le membre veineux, elle le prit en bouche et l'enfonça le plus loin possible dans sa bouche, sans le prendre en gorge profonde pour autant, n'ayant pas encore la technique pour ça.
« Hhmm... hhmm... »
La jeune fille s'appliquait de son mieux pour donner du plaisir à sa senseï, et sentait que sa queue s'agitait dans sa bouche, ce qu'elle interpréta comme un signe de satisfaction.
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Myumi n’en avait pas encore fini avec Mira, et, quitte à faire durer les choses, autant les faire durer bien ! Elle constata l’absence de surprise de Mira devant sa verge, ce qui confirma, à ses yeux, que la jeune femme avait déjà eu affaire à la magie rose, et avait déjà vu des femmes hermaphrodites. Myumi, par son sang semi-démoniaque, était capable de réaliser naturellement des prouesses de ce genre. Mira en eut donc l’eau à la bouche, et se déplaça rapidement, rejoignant sa chaise. Myumi, elle, sourit encore.
*C’est fou, toute cette obéissance qu’on peut obtenir avec le sexe...*
C’était une chose que Myu’ avait pu observer. Elle avait généralement bien plus de respect de la part des élèves de sa classe sexuelle, que des autres. Oh, il arrivait parfois qu’elle tombe sur des rebelles, mais, derrière ses airs doux et tendres, Myu’ n’était pas du genre à se laisser faire. Impossible de rivaliser avec elle, mais, dans le cas de Mira, il n’y avait aucune révolte, juste un désir terrible, presque insatiable, que la senseï pouvait lire sur ses yeux. Se pinçant doucement les lèvres, elle se rapprocha d’elle, faisant crisser sa combinaison, ses talons claquant sur le sol.
La jeune professeur se rapprocha donc de Mira, et s’assit sur le bureau, face à elle, en écartant ses jambes, révélant ainsi son sexe. Elle avait une belle trique, avec une érection grandissante, car son phallus était déjà en train de lutter contre la gravité. Pour autant, sa queue n’était pas encore tendue au maximum, et elle savait que Mira allait pouvoir faire mieux. Myumi lui souriait, très impressionnée par sa résistance. Elle avait toujours le gode niché dans ses fesses, et Myu’ se mordilla les lèvres en voyant son visage s’approcher de sa queue. Elle se masturba alors, remontant doucement sa main sous son nez, caressant tendrement sa verge. Myumi savait combien ce genre de scène pouvait être très excitant. C’était quelque chose de très simple, mais aussi de très intime, trop intime pour que cela puisse laisser la spectatrice inerte.
Myu’ lui souriait donc, le regard malicieux. Elle continuait à se masturber, encore, jusqu’à s’arrêter, ses doigts toujours enserrés sur sa belle queue.
« Allez... Allez, viens me sucer, ma chérie, ma queue a très envie de ta bouche... »
Elle retira ensuite ses doigts, et Mira se rapprocha, sans trop attendre, et elle se dépêcha de sucer sa queue, l’engloutissant entre ses lèvres. Le corps de Myumi se crispa immédiatement, et sa tête partit vers l’arrière, un soupir s’échappant profondément de ses lèvres. Tout son corps se crispa, et elle se mordilla les lèvres, gémissant profondément, ses mains se crispant contre le rebord du bureau, avant de venir se poser sur ses cheveux, tirant doucement dessus.
« Hmmm, tu... Haaaa... Tu es... Une vraie affamée, Mira, hmmm... O-Oui, ma puce, oui, ma chérie... Con... Continue, hmmm... »
Ah, Myumi adorait ça !
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Mira était heureuse d'entendre Myumi la complimenter, ça voulait dire qu'elle réussissait sa fellation. Elle continua, encore et encore, sans jamais se relâcher, jusqu'à finalement sentir une série de spasmes dans la queue de sa senseï, signe qu'elle était sur le point de jouir. Elle poussa alors ce membre turgescent le plus profond possible dans sa petit bouche, et avala tout le sperme juteux qui en sortit au moment de l'orgasme. Une fois terminé, la lycéenne sortit la trique de sa maîtresse de sa bouche, la nettoya de long en large, puis leva les yeux vers elle.
« Maîtresse… c'était tellement… haaannn… délicieux… »
Mira remuait les fesses, parcourue de frissons incontrôlables à cause du gode qui s'agitait dedans.
« Votre cadeau… me fait mouiller… hhhmmm… comme une salope. »
Elle se mit à genoux sur la chaise et bomba son joli derrière devant les yeux de sa partenaire. Son cul était, à ses yeux, la plus belle partie de son corps, là où ses formes étaient les plus harmonieuses, et elle faisait de son mieux pour le mettre en valeur.
« Aaahhh… maîtresse… j'ai besoin… de votre grosse queue… dans un de mes trous… Kyyaahh… peu importe lequel… mais baisez moi… s'il vous plaît ! »
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Myumi avait droit à une belle fellation de la part de Mira, qui était en train de pomper son dard avec envie et appétit. Énergique et motivée, la jeune femme s’excitait sur son membre, l’engloutissant dans sa bouche, d’avant en arrière, avec un appétit... Magique. Assise sur le rebord du bureau, Myumi la laissait venir, caressant ses cheveux, mais sans chercher à la bloquer, ni à faciliter son orgasme. Au contraire, elle estimait que, plus longtemps Mira aurait sa queue en bouche, et plus heureuse elle serait. Elle sentit ainsi la jeune lycéenne multiplier avec appétit les gorges profondes, pour pousser Myumi dans ses derniers retranchements... Ce en quoi elle eut gain de cause.
« Hmmm... Mi... Mira, haaaa... »
La senseï étouffa un soupir en se mordillant les lèvres. Sa queue se mit à gonfler, et, dans un profond soupir, Myumi relâcha la tension en elle, et se vida dans la bouche de la jeune femme, venant finalement crisper sa main sur sa chevelure, au moment de jouir. Sa queue tressauta contre ses lèvres, et, dans un profond soupir, Myu’ lui aspergea la bouche, balançant de multiples giclées de foutre à chaque fois. Tout son corps se relâcha ensuite, et elle en soupira de plaisir. Oh oui ! Jouir était toujours aussi magnifique, et elle sourit en voyant combien Mira semblait, elle aussi, épanouie.
Après avoir bu son sperme, la jeune femme voulait déjà passer à autre chose, ce qui ne manqua pas de faire sourire Myumi. Elle se redressa alors, prête, elle aussi, à passer à l’action. Même si elle avait déjà joui, et même plutôt bien joui, son corps n’était pas encore totalement rassasié. Au contraire, sa verge était toujours là, bien tendue, mais, avant de retourner dans le corps de son amante, elle avait une idée.
« Retire-toi de ta chaise, pour commencer, et mets-toi contre ton bureau, dos à moi... »
Myumi s’assit ensuite sur la chaise, et écarta les jambes, le dos de Mira devant elle. Ce faisant, la jeune femme rapprocha ensuite la chaise le plus possible de Mira, et posa ses mains sur ses hanches.
« Très bien... Maintenant, ma chérie... Tu vas t’empaler sur moi. Comme ça, demain, tu seras quasiment dans la même position que maintenant. »
Naturellement, avec ses mains, Myumi l’aidait, de manière à ce qu’elle puisse bien se dresser, tout en prenant appui, au moins au début. Ensuite, Myumi attrapa d’elle-même les poignets de Mira, et les tira vers l’arrière, tout en soulevant son bassin, laissant ensuite Mira l’accompagner dans ses mouvements, sa queue venant pilonner sa chatte avec envie et gourmandise.
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Mira allait avoir droit à sa pénétration, mais Myumi lui demanda d'abord de changer de position. Elle obéit sans broncher, et s'assit sur son bureau tandis que la senseï s'assit sur la chaise et écarta bien les jambes. Avec son aide, la jeune fille frémissante et assoiffée put empaler sa chatte trempée contre la lance de chair de sa maîtresse.
« Hhhmmm... oh oui ! »
Très vite, Mira accompagna Myumi dans ses mouvements de bassin, sublimant le plaisir de la pénétration. Avec ses poignets tirés vers l'arrière, elle était dans la position parfaite pour se faire prendre. Le plaisir du sexe fit baver ses lèvres du bas autant que celles du haut, sa langue pendait hors de sa bouche et ses yeux se baladaient dans le vide. Elle criait à s'en époumoner, et suivait les mouvements du corps de sa maîtresse sans réfléchir, ne cherchant que plus de plaisir et d'extase.
« Aahh... oui... putain oui... encore... encore... »
Elle n'était entre les mains de Myumi que depuis environ une heure, mais Mira s'était déjà transformée en animal. Si elle avait eu les idées claires, elle se serait interrogée sur la façon dont cette femme a pu prendre le dessus sur elle aussi vite, de quels pouvoirs elle disposait, si elle avait des intentions cachées... Au lieu de ça, elle se laissait faire sans poser de questions. Tant pis si ça devait en faire un zombie abruti de plaisir et affamé de sexe, qu'elle doive se traîner tous les jours à quatre pattes derrière sa maîtresse, la supplier pour la moindre marque d'attention, et lécher le sol sous ses pieds pour avoir le droit de se faire baiser comme la pire des putains... Pour l'heure, elle n'avait aucun regret.
Excitée comme elle l'était, Mira jouit deux fois avant que Myumi ne remplisse sa chatte de sperme, ce qui la fit encore jouir. Sa chaise et le bassin de sa senseï furent couverts de mouille, les éclaboussures allèrent même jusqu'à son bureau. Le corps affaibli par tous ses efforts, la jeune ne bougea que lorsque sa maîtresse la fit bouger.
« Haann... maîtresse... punissez moi... je suis une vilaine fille... une grosse cochonne... baisez moi... comme une salope... »
Sans vraiment savoir ce qu'elle disait, la jeune fille savait que c'était ce qu'elle voulait.
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De prime abord, on aurait pu croire que la nature semie-démoniaque de Myumi était la cause des excitations que ses amants ressentaient envers eux. Après tout, quoi de plus normal, venant d’une démone de Luxure, de stimuler la libido de ses partenaires ? Seulement, Myumi n’avait que peu de pouvoirs magiques innés, et estimait que, si elle bénéficiait certes de phéromones, ce qui suscitait avant tout le désir, c’était son corps, et, au-delà de ça son comportement extrêmement sensuel, pour ne pas dire libertin. Pour l’heure, elle maintenait Mira par les bras, et usait de ses abdominaux et de ses muscles pour la faire sauter sur elle. Le corps de Mira se dandinait ainsi de haut en bas, la jeune femme hurlant et piaillant, tandis que le plaisir se diffusait dans tout son être. Elle haletait, encore et encore, incapable de se retenir, sa salive coulant le long de ses lèvres, et Myumi la sentit rapidement jouir, ce qui ne manqua pas de la faire sourire. Des frissons de plaisir traversaient son propre corps, tandis que sa queue continuait à enfler, remontant dans l’organisme de la jeune femme.
« Oui... Hmmm... Vas-y, Mira, haaa... En... Encore, hmmm... ! Allez, petite catin... ! »
Myumi la motivait, tout en respirant profondément, et finit par relâcher ses poignets, venant empoigner les seins de Mira, continuant à danser sur elle. Sa chaise se soulevait d’avant en arrière, sous l’amplitude des mouvements frénétiques et puissants que Myu’ lui infligeait. La senseï gémissait profondément, pinçant les tétons de la femme, et poussa ainsi Mira vers un second orgasme. Cette dernière était en train de plonger dans un autre univers, l’esprit fracassé par cette vague de plaisir qui la transperçait, à l’image de ce bâton de chair se plantant en elle, et qui remontait dans son corps, continuant vigoureusement à la baiser.
Encore et encore, Myumi se secouait en elle, serrant maintenant les lèvres, retenant son souffle, tout en approchant, petit à petit, de l’orgasme. Elle sentait son vit se gonfler, sa respiration s’alourdir, tandis que le plaisir atteignait le palier suprême. Elle soupira alors, pinça les deux tétons de Mira en même temps, et bascula légèrement sa tête en arrière. Le plaisir crut encore, et sa queue explosa, balançant des filaments de foutre dans la chatte de Mira, qui eut un troisième orgasme, directement consécutif au sien.
« Haaaaaaaaaaaaaaaannnn... !! »
Un puissant soupir témoigna de son orgasme, et Myumi s’affaissa ensuite sur la chaise. Elle avait terminé cet orgasme en se redressant, manquant à nouveau renverser l’objet, s’appuyant d’une main contre le bureau, balançant son foutre dans l’intimité de Mira. Maintenant rassasiée, elle reprenait son souffle, mais avec une virilité toujours roide, et une Mira visiblement très impatiente, ce qui ne manqua pas de faire doucement sourire la belle.
Mira en voulait encore, et c’était une bonne chose, car Myu’ aussi. Elle se releva à nouveau, et écarta pour de bon la chaise, qui tomba en arrière, ; puis Mira se retrouva contre le bureau.
« Oui, ma chérie, je n’en ai pas encore fini avec toi... Hmmm... Ma petite pute... ! »
Myu’ se tenait dans son dos, et la poussa un peu, l’amenant à s’étaler sur son bureau, avec ses jambes qui touchaient terre, puis posa ses mains sur ses fesses, et commença à reprendre ses coups de reins, la pénétrant. Le latex crissait bien plus facilement, car, dans cette position, Myumi pouvait réaliser des coups de reins bien plus forts. Soupirant de plaisir, elle n’hésitait pas à fesser le corps de Mira, abattant sa main sur son cul, puis continuait à la prendre, jusqu’à légèrement soulever le bureau, tant elle la prenait fort.
Après avoir joui, sa queue avait légèrement dégrossi, et retrouva bientôt toute sa superbe, les joues rouges de Myu’ témoignant par ailleurs de l’effort qu’elle faisait. Muscles bandés, elle baisait fougueusement sa nouvelle esclave, cette délicieuse catin, la faisant rebondir sur le bureau, glissant d’avant en arrière, tandis que la mouille de Mira s’écoulait à chaque coup de la grosse queue plantée en elle.
« Allez, salope, hmmm... J-Jouis, haaaa... ! JOUIS, SALE PUTE... !! »
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Myumi se leva de sa chaise, la faisant tomber en arrière, et plaqua Mira contre le bureau, qui se laissa faire en gémissant. Sa senseï, mais elle aimait tellement ça que ça la faisait mouiller encore plus. Le haut du corps étalée contre le bois, les jambes touchant le sol, la jeune fille sentit les mains de la femme se poser sur son derrière, puis la pénétrer à nouveau, lui arrachant un énième cri de plaisir.
« Aahh ! »
Les coups de reins de Myumi étaient bien plus forts. En combinant cela aux fessées qui s'abattaient de manière répétée sur son cul, Mira était aux anges. Elle mouillait abondamment, gémissait et couinait comme une bête en chaleur qui avait enfin trouvé quelqu'un pour la calmer. Les deux femmes se secouèrent à tel point que les pieds avants du bureau se décollèrent du sol, accompagnant la lycéenne dans ses torsions de dos pour suivre son amante.
L'orgasme de Myumi en déclencha immédiatement un chez Mira, qui hurla un bon coup tout en arrosant les alentours de sa mouille. Pas le temps de souffler, sa maîtresse ne sortit même pas sa queue de son corps, elle attendit juste un peu pour retrouver sa fermeté et se remit à la baiser. Le corps de la mercenaire arrivait à ses limites, elle le sentait, pourtant elle n'avait pas envie d'arrêter. Elle prenait tellement de plaisir à se faire baiser par cette femme, pourquoi devrait-elle y mettre un terme aussi vite ? Hélas pour elle, quand elle sentit un nouvel orgasme approcher, elle ne put rien faire pour le réfréner et explosa à nouveau.
« Haaannn ! »
Une grande flaque de cyprine s'était formée aux pieds de Mira, alimentée par ses multiples orgasmes. Ses jambes étaient elles aussi maculées de son jus de plaisir, de même que sa culotte en latex. Cette fois, elle pouvait vraiment être qualifiée de cochonne par n'importe qui.
« Hhmm... maîtresse... c'était si bon... aahh... »
Malheureusement, son corps se fatiguait vite, et elle ne savait pas combien de temps elle allait encore pouvoir tenir.
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Myumi lui avait montré de quoi elle était capable, lui témoignant toute sa férocité, et toute sa passion. Elle l’avait longuement baisé contre le bureau, jusqu’à ce qu’elle atteigne finalement son orgasme. Dans un gros et profond soupir, la senseï se vida dans le corps de la femme, et se retira ensuite, laissant Mira s’affaler sur le sol, contre son bureau, son trou laissant s’échapper un joyeux filament de mouille et de sperme. Myu’, elle, se mit à sourire tendrement en la regardant, sa queue légèrement abaissée, dégrossie, avec des monceaux de jus intime parcourant sa taille. Elle respirait lentement, et s’assit sur la chaise de Mira, pendant que la jeune élève reprenait des forces.
Aussi ravie qu’épuisée, Mira lui avoua qu’elle avait adoré ça, mais Myumi pouvait maintenant sentir sa fatigue, ce qui l’amena à sourire. Elle avait les joues rouges, rougies par l’effort, par la fatigue, mais aussi par le désir. Il ne fallait pas oublier que Myumi avait, dans le corps, des gènes de succube, ce qui faisait qu’elle ne s’épuisait pas facilement.
« Tu es... Tu es une jeune élève pleine de surprise, Mira... Avec toi, je crois que je vais pouvoir passer à une formation accélérée. Tu es fatiguée, mais... Je t’apprendrais à t’endurcir, à tenir sur la longueur. Et puis... »
Un léger sourire vint perler sur les lèvres de Myumi, qui se pencha vers la femme, faisant crisser sa combinaison, et caressa doucement le visage de Mira, un fin sourire allant ensuite se nicher sur ses lèvres.
« Tu as de la chance, car ma classe se réunira d’ici quelques jours pour une belle orgie. Ce sont des moments particulièrement chaleureux, et tu auras naturellement le droit de participer à notre petite réunion. »
C’était là une magnifique offre que Myumi était en train de lui faire, surtout quand on prenait en compte le fait que Mira était encore une jeune novice, qui avait rejoint la classe il y a à peine quelques heures.
« Tu es une petite chanceuse, ma chérie... »
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Quand Mira sentit que Myumi avait fini de se vider en elle, elle s'écroula en partie, fatiguée et ayant du mal à garder les yeux ouverts. Son corps était envahi par un irrépressible torrent de désir qui noyait son esprit, mais elle avait du mal à encaisser autant d'orgasmes d'affilée. Heureusement pour elle, sa senseï lui expliqua qu'elle allait la former pour la rendre plus endurante, la faire tenir sur la longueur.
« Aahh... tant mieux... »
Puis elle fit crisser sa combinaison en s'approchant, posa une main sur son visage pour l'obliger à la regarder dans les yeux, et lui annonça que sa classe allait se réunir dans quelques jours pour une orgie. Évidemment, en tant que nouveau membre, elle était aussi invitée.
« Vraiment ? Oh merci maîtresse ! »
Rien de mieux pour lui rendre la pêche que de lui parler d'une baise de groupe. Son cerveau se mit à carburer en s'imaginant la scène : une grande pièce, des matelas et des coussins partout, ou peut-être un donjon SM, pleins de beaux garçons et de filles mignonnes. Des baisers, des coups de langue, des morsures... Les cris, les gémissements, l'odeur de la sueur et des fluides corporels... Le plaisir de se faire tringler en douceur ou comme un animal, jouer les soumis ou les dominants, sucer des grosses queues joufflues ou lécher des minous tout mouillés... Est ce que le panel des élèves de cette classe était étendu, ou bien avaient-ils tous le même profil ? Et quel rôle jouerait la maîtresse dans tout ça ? Simple observatrice, aguicheuse qui fait claquer des culs en passant dans la pièce, ou participante qui épuiserait tout le monde ? Tant de possibilités que Mira en mouillait rien que d'y penser. Mais au bout d'un moment, Myumi la ramena à la réalité.
« Oh, désolée maîtresse. Je m'imaginais ce qu'allait être cette orgie... et j'en suis déjà trempée. »
Elle glissa deux de ses doigts contre sa fente et les releva ensuite pour montrer son jus d'amour dégoulinant.
« Mon cerveau a tendance à vite s'emballer quand je pense au sexe... et ça me rend toute chose. »
Mira tremblait de partout, animée par une nouvelle envie irrépressible.
« Aahh... maîtresse... »
Elle ouvrit grand la bouche.
« Vous voulez bien... fourrer votre culotte... dans ma bouche ? »
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Visiblement, la promesse d’une orgie avait réveillé l’ardeur de Mira. Tandis que Myumi reprenait ses esprits, et se masturbait délicatement, Mira, elle, avait les yeux dans le vague. Myu’ n’était pas télépathe, mais elle comprit rapidement, à son regard vague, que la promesse d’une orgie n’était pas sans l’intéresser. Elle s’imaginait sûrement à quoi ça ressemblerait... Mais ce n’était pas Myumi qui allait vendre la mèche ! Un peu de suspens ne faisait jamais de mal... Elle s’était assise sur le rebord du bureau, exhibant, devant les yeux de Mira, l’avant de sa tenue spéciale (http://img110.xooimage.com/files/9/0/6/myumi_front-5125002.jpg), faite de lanières et d’ouvertures sur sa peau. On pouvait ainsi voir que sa culotte n’était en fait qu’une partie de la combinaison, qu’elle pouvait ouvrir pour avoir accès à son sexe.
Mira revint alors à la réalité, et Myumi avait pu noter que son excitation la reprenait, puisque de la mouille commençait à dégouliner de sa fente... Ce qui était assurément une très bonne chose. Myu’ sourit même, heureuse de voir combien cette jeune femme avait un potentiel élevé. Oui... Quand Myu’ l’aurait formé, elle serait une vraie nymphomane, inépuisable. Pour Myumi, c’était ça, son rôle à Mishima : former les élèves et les jeunes éphèbes aux joies insondables et infinies du sexe. Sur ce point, Mira pouvait devenir magnifique, presque autant perverse qu’Elianne, sa meilleure élève, et amante parfaite. Excitée, Mira lui demanda alors une culotte à mettre dans sa bouche, et Myu’ sourit.
« Je t’ai déjà donné ma culotte, dans mon bureau, lui rappela-t-elle.
C’était le shorty rouge (http://img110.xooimage.com/files/b/f/9/shorty-dentelle-r...9-grande-5070feb.jpg), qui gisait au sol. Myumi s’avança, et le récupéra, puis s’amusa à le renifler, et même à le lécher, avant de sourire. Elle le rapprocha ensuite du visage de Mira, le tenant par sa main, et l’invita aussi à le renifler.
« Tu le sens ? Ce shorty est imprégné de ta mouille, cette odeur... Haaa... Elle est vraiment magnifique, je ne m’en lasse pas ! »
Elle sourit encore, malicieuse, puis, sans le mettre dans la bouche de la femme, posa le shorty sur son sexe. Comme elle s’était masturbée pendant le moment où Mira s’était embarquée dans ses rêves, sa queue était redevenue bien raide, et elle usa de ce shorty comme d’une sorte de couvre-chef, le posant sur sa queue, et tira dessus, utilisant les lanières en latex de sa tenue pour coincer les deux bouts de la culotte.
Autrement dit, Myumi accrocha le shorty à son membre.
« Allez, ma petite puce, ouvre bien, je vais fourrer ta petite bouche d’amour ! »
La professeur agrippa la tête de Mira, et retourna dans sa bouche, lui offrant une fellation... Au goût très spécial, puisque, maintenant que sa queue était recouverte de son shorty, les sensations devaient être bien plus différentes.
« Hmmm... Hmmm... »
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Mira espérait pouvoir se régaler de la culotte souillée de Myumi mais, à la place, elle dut regarder la femme la récupérer, la renifler, et même la lécher, avant d'inviter sa soumise à faire de même. Elle ferma les yeux et approcha son visage, comme un chat venant renifler une main se tendant vers lui.
« Snif snif... hhhmmm... »
Le délicieux parfum de mouille qui s'échappait de ce vêtement était aussi érotique que les mots sortant de la bouche de sa senseï. Mais la suite fut encore meilleure.
La jeune fille observa avec attention sa maîtresse enfiler le shorty autour de sa queue en érection comme on enfilerait un préservatif, puis elle ouvrit grand la bouche pour recevoir cette belle friandise. Une fellation au goût spécial, et avec des sensations bien différentes, mais qui n'en restaient pas moins agréables.
« Hhhmmm... hhhnnn... »
La bouche remplie par la queue de Myumi, et par la culotte qu'elle avait demandé, Mira était ravie, et s'appliquait à sa fellation pour donner un maximum de plaisir à la femme. Elle la laissa guider sa tête d'avant en arrière avec ses mains, usant avec habileté de sa langue et creusant ses joues pour aspirer goulûment ce membre qui lui donnait tant de plaisir. Sa bouche produisait des bruits humides et assez excitants, et elle sentait le mandrin de son professeur gonfler sous l'effet de sa langue. Ah, quel joie c'était que de pouvoir déguster cette grosse queue veineuse, qui l'avait faite hurler comme une salope et qui allait encore la baiser jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus.
Finalement, Myumi se laissa aller dans la bouche de Mira, bien que la plupart de son sperme termina sa course dans sa culotte, et la jeune fille s'évertua à avaler la moindre goutte qui en débordait. Quand sa senseï sortit son sexe, la soumise leva immédiatement les yeux vers sa queue toujours bandante, et ce sous-vêtement rempli de fluides sexuels masculins et féminins.
« Oh maîtresse... votre culotte... elle est tellement sale... presque aussi sale que moi. »
Elle prit le shorty et se mit à le frotter contre sa peau, répandant la semence et la mouille qui le maculait sur son corps, affichant une expression érotique sur le visage. Son but était de montrer à sa maîtresse à quel point elle pouvait être cochonne, et voir l'effet que ça produirait sur elle.
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Il fallait se fier à l’inspiration de Myumi, qui, en matière de sexe, savait toujours comment rebondir. Elle venait de le prouver, en utilisant ce shorty comme un genre de préservatif improvisé, et bourrait avec la belle bouche de Mira. Ses deux mains se crispèrent sur ses cheveux, et elle fila d’avant en arrière. Les cordes de son costume en latex permettaient de retenir plutôt bien la culotte, offrant à Myumi l’opportunité de lui baiser puissamment la bouche. Inutile de prendre des gants, maintenant, la combinaison crissait sous la multiplicité et l’intensité des coups de reins que la senseï était en train d’infliger à la jeune femme. Elle la prenait donc vigoureusement, plantant son phallus en elle, la culotte s’enfouissant dans sa bouche, pour repartir ensuite.
« Hmmmm... Haaaaaaaaaaaa... !! »
Myumi finit par atteindre un nouvel orgasme, et, encore une fois, se vida dans le corps de la belle Mira, répandant sa semence chaude sur sa culotte, qui se retira, sous l’impulsion, des lanières en latex, et finit ainsi dans la bouche de sa jeune amante.
« Hmmmm... C’était bon, hein ? »
Elle sourit encore, et vit Mira attraper sa culotte, venant la lécher, avalant le sperme qui était encore coincé dessus, puisque Myu’ avait essentiellement joui dedans. Elle se frotta ensuite dessus, ce qui ne manqua pas d’amener sur les lèvres de sa Maîtresse un délicieux sourire, durcissant un peu sa verge.
« Tu aimes te tartiner de foutre, hein ? Tu es vraiment incroyable, Mira... Je n’avais encore jamais rencontré une élève qui évolue aussi vite... »
Myumi souriait toujours autant, et s’humecta les lèvres, tout en tendant sa main, s’en servant pour caresser les cheveux de Mira.
« Si je m’écoutais, je viendrais te prendre en levrette, maintenant... Mais es-tu sûre de pouvoir tenir le rythme ? »
Après tout, elles avaient eu l’occasion de faire l’amour un certain nombre de fois, déjà, mais... Eh bien, c’était comme si rien ne semblait devoir épuiser définitivement Mira. Mais ça, en soi, ça ne dérangeait pas vraiment Myumi. Pour être honnête, c’était même tout le contraire !
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Le comportement de Mira eut bien un effet sur Myumi, qui se réjouit de voir à quel point son élève évoluait vite.
« Vous savez, j’ai toujours été une horrible perverse au fond de moi. Je mets un peu de temps à démarrer mais, une fois que je suis lancée, on ne m’arrête plus. »
Ses visites chez Eris Langnar et sa nuit avec Lucia étaient de bons exemples. Après toutes ces années passées dans la frustration et le manque, libérer toutes ses envies sexuelles lui faisaient un bien fou. Sa senseï lui proposa de la prendre en levrette, mais n’était pas sûre qu’elle pourrait tenir la distance. En effet, la jeune fille était déjà bien fatiguée, mais pas au point de lui dire non.
« Je peux tenir... mais ce sera la dernière chose que je pourrai faire de la soirée si je veux réussir à me lever demain matin. »
Et ce serait dommage de rater son premier cours, surtout maintenant que sa maîtresse lui avait ’’chauffé’’ la place. Docilement, elle lui tourna le dos, se mit à quatre pattes et bomba son beau petit derrière, sans doute la partie la mieux formée de son corps, remuant ses hanches de gauche à droite.
« A vous de voir. Moi j’aimerais ça... mais peut-être que vous voulez me faire mijoter plus longtemps. »
La prendre d’un coup, se la garder plus longtemps... Il fallait choisir.
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Le dernier acte de la soirée... Ça ne dérangeait pas particulièrement Myumi. Finir sur une levrette, c’était, en réalité, une manière tout à fait honorable et jouissive de finir leur première formation ensemble. La professeur sourit donc, et se rapprocha de Mira, qui, après lui avoir expliqué qu’elle était une magnifique perverse, s’était mise à quatre pattes, bombant amoureusement ses fesses. Les deux mains de Myu’ se posèrent sur sa croupe, caressant et s’appuyant sur ses fesses. Ses doigts appuyaient sur sa chair, s’enfonçant dessus, et elle esquissa un léger sourire, en se cambrant lentement vers elle, s’amusant à caresser le bassin de Mira avec sa verge, qui glissait lentement sur sa peau.
« Oui... Ce serait... Comme criminel de ne pas finir en beauté, ma chérie... »
Myumi fléchit alors les genoux, et écarta, avec ses pouces, la croupe de la jeune femme, puis lécha sa petite porte arrière. Elle ne s’intéressait désormais plus à sa chatte, mais bien à l’autre trou, son délicat et discret fondement rosâtre. Sa langue partit à l’assaut de cette partie de son corps, qu’elle lécha avec appétit, titillant le trou rosacé pendant quelques instants. Maîtrisant sa langue, Myumi continuait à s’y attaquer, encore et encore, avec calme et avec patience, usant d’une solide maîtrise d’elle-même. Plusieurs minutes passèrent, pendant lesquelles elle ne faisait rien d’autre que lécher son fondement, y fourrant sa langue, cherchant à humidifier et à dilater autant que possible les parois internes de la jeune femme.
Pour terminer cette soirée, Myumi avait donc en tête une sodomie, et elle se délectait des soupirs et des couinements que Mira pouvait pousser, qui étaient comme autant de signes et d’invitations à la baiser férocement. Elle se redressa finalement, et tapa sa verge contre le corps de Mira.
« Je crois que ton corps n’est pas contre l’idée de terminer notre soirée par une magnifique sodomie... »
Myumi, en tout cas, y était largement favorable, comme on pouvait fort volontiers s’en douter. Se pinçant les lèvres, elle crispait ses mains sur les fesses de la jeune femme, et, maintenant que son anus était bien dilaté, elle approcha sa verge, la tenant par la main. L’extrémité de sa verge caressa le trou étroit, et, avec son autre main, elle griffa un peu le cul de la jeune beauté.
« Haaaa... »
Pendant quelques secondes, le temps sembla se suspendra, car Myumi reprenait son souffle, bandait ses muscles... Puis commença ensuite à s’enfoncer en elle. Sa queue heurta la chair étroite de la femme, cet anneau tendu et étroit, dans lequel le phallus de Myumi commença à s’enfoncer doucement
« Hhhmmmm... Oh putain, j’aime... Aaaaah, que c’est bon, Mira... !! »
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A quatre pattes, Mira trembla quand elle sentit les mains de Myumi se poser sur ses fesses. Cette dernière lui promit un final digne de ce nom, et commença par un anulingus qui la fit gémir délicieusement.
« Hhmm... haann... »
Sa senseï faisait preuve d'une incroyable maîtrise, titillant son orifice de telle façon qu'elle en était folle. Mais elle savait aussi que ce jeu n'était que le prélude à un contact bien plus intense : sa maîtresse allait la finir avec une bonne sodomie. La jeune fille appréhendait un peu, le souvenir de sa dernière sodomie lui faisant encore un peu mal aux fesses. Mais au-delà de la douleur, elle savait aussi qu'elle allait prendre un pied monstrueux, alors elle était forcément heureuse, et se rassura au fur et à mesure que son amante continuait de lubrifier son petit trou avec sa langue. Rapidement, ses gémissements devinrent des suppliques.
« Oohh... oui, maîtresse Myumi... sodomisez moi s'il vous plaît... faites moi couiner comme une chienne... vous le faites si bien. »
Mira sentit la verge de Myumi taper contre sa porte arrière et, même si elle était dilatée, le passage resta quand même difficile, et la douleur était bien présente. Elle serra les dents au début, et libéra sa voix lorsque la trique finit sa course au fond de son anus.
« Aaaahhhh ! »
C'était aussi douloureux que délicieux. En même temps, elle s'était faite griffer la fesse par l'autre main de sa maîtresse, qui se réjouit d'être enfin logée au fond de son cul. Sans la faire attendre, elle se mit à bouger, diffusant des ondes de plaisir et de souffrance dans le corps de son élève, qui hurlait tellement elle se sentait bien.
« Haaannn ! Oh ooouuuiii ! Encooorrre ! »
Mira n'était pas la plus grande fan des sodomies, mais ça restait une bonne façon de finir la soirée. Elle laissa sa voix se perdre en cris et insultes en tout genre, balançant des hanches au rythme des assauts de la femme. Perdue entre extase et douleur, elle savait juste qu'elle aimait ça, et elle aurait voulu que ça dure des heures, mais son corps en décida autrement. En quelques minutes à peine, elle atteignit son point de rupture, et son corps jouit allègrement. Sa chatte balança des filaments de mouille et de foutre, tous ses muscles se cambrèrent, puis la fatigue la rattrapa d'un seul coup et elle tomba mollement devant elle, bavant sur le sol, la respiration lourde, un sourire figé sur le visage. Cette fois ci, elle était vraiment allée au bout.
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Après sa magnifique préparation, Myumi put passer aux choses sérieuses, et s’empressa d’enfoncer sa verge dans le corps de la jeune femme. Un long soupir s’échappa des lèvres de la professeur quand elle retrouva la joie immense de la sodomie. Oui, s’enfoncer ainsi dans le corps d’une femme, c’était délicieux. Elle adorait déjà le cul de Mira, à l’image du reste du corps de cette petite beauté. Myumi aimait tout simplement tout chez elle, et elle se régalait des couinements et des hurlements que la jeune élève pouvait pousser. Posant ses mains sur ses hanches, Myumi appuyait dessus, griffant sa peau, et continuait à la prendre, enfonçant son mandrin en elle, la baisant vigoureusement. La sodomie devenait de plus en plus intense, et, comme Myu’ avait pensé à bien préparer le postérieur de la jeune femme, elle pouvait s’y mouvoir avec grande aisance.
« Hmmmm... Haaaaaaannn... !! »
Myumi gémissait, et les minutes défilèrent. Son corps massif s’enfonçait dans celui, plus petit, de Mira, d’avant en arrière, jusqu’à la pousser à l’orgasme. Dans un énième soupir, Myumi se vida en elle joyeusement, répandant son sperme dans son corps, et relâcha la pression. Épuisée et heureuse, Mira s’écroula alors sur le sol, et, à la surprise de Myumi, qui respirait lourdement, avec de la sueur sur son corps, elle la vit... S’endormir.
Surprise, Myumi fléchit les genoux, et aventura sa main sur le corps de la lycéenne, caressant ses cheveux, la poussant très lentement, la couchant sur le dos, de manière à ce qu’elle constate qu’elle était bien en train de dormir. Épuisée, Mira s’était lancée dans ses derniers retranchements, et avait finalement fini par succomber à la fatigue, provoquant un sommeil instantané. Étonnée, Myumi finit par sourire encore, et se pencha encore, faisant délicatement crisser le latex, et déposa un baiser sur le front de la femme.
« Repose-toi bien, ma chérie... »
Myumi n’en avait pas encore fini avec elle... Mais, pour ce soir, c’était terminé.
Plusieurs jours après...
Myumi animait un cours de mathématiques portant sur les vecteurs. Le cours avait lieu dans la même salle où, il y a de cela quelques jours, Mira et elle avaient fait l’amour. Il ne restait, bien sûr, physiquement aucune trace de leurs ébats, mais Mira était bien là... Et suivait, parallèlement au cours sur les vecteurs, un autre exercice, donné par sa Maîtresse. Myumi avait donné à la classe un exercice de mathématiques à résoudre, et elle finit par demander à Mira d’aller au tableau pour résoudre l’exercice.
Ce qui était plus difficile, c’est qu’elle avait, sous son uniforme, une culotte noire en latex comprenant deux godes orientés vers l’intérieur, et, quand elle se redressa, une autre élève de Myumi, Elianne Roy (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=4384), utilisa une télécommande pour déclencher les vibromasseurs.
« Allez, Mira, montre-nous la solution que tu as trouvée... »
Myumi n’avait jamais cessé de la former, sexuellement parlant, comme en ce moment !
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Fatiguée par tout cet exercice, Mira laissa peu à peu ses yeux se fermer, et elle s'endormit tout naturellement. C'était bien fini pour elle ce soir.
Quelques jours après, durant un cours de mathématiques donné par la professeur, dans cette même salle où la jeune fille s'était faite longuement baiser par cette même femme, elle suivait le cours sur les vecteurs tout en effectuant un autre exercice donné par sa maîtresse : sous son uniforme, à la place de son habituelle culotte en tissu, elle portait une culotte noire en latex avec deux godes enfoncés dans ses orifices. Une autre élève de Myumi, Elianne Roy, tenait la télécommande.
« Allez, Mira, montre-nous la solution que tu as trouvée... »
Difficile de se concentrer avec la chatte et le cul remplis par deux énormes phallus en plastique qui vibrent. Mira se mit à rougir sous l'effet du plaisir, son corps parcouru de multiples spasmes. L'exercice de maths était facile, mais le faire alors qu'elle s'efforçait de retenir ses gémissements l'était beaucoup moins.
« Hhmm… alors… en partant… hhhmmm… de ce qu'on sait… ah… »
Ce couinement lui avait échappé malgré elle, et elle fit tous les efforts du monde pour se reprendre en main.
« On utilise… la projection du vecteur… hhmm… »
Les traits de craie déviaient parfois sous les impulsions d'extase de la jeune fille, qui faisait de son mieux pour rester concentrée.
Elles doivent bien rigoler.
En effet, ce spectacle devait être très plaisant pour Myumi et Elianne, les deux seules personnes de cette salle à comprendre pourquoi Mira agissait bizarrement. Elle se dépêcha de conclure et retourna à sa place. Les vibrations des godes s'arrêtèrent alors.
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Résoudre un problème mathématique sur les vecteurs n’était pas, en soi, facile, mais, quand on avait deux godes qui remuaient en soi... Myumi se régalait de ce spectacle, et retenait un sourire, ne pouvant néanmoins s’empêcher de se mordiller les lèvres en voyant Mira se dandiner sur place. La jeune fille peinait à se concentrer, et ça, Myumi pouvait le comprendre. Les vibromasseurs remuaient en elle. Tous les élèves de Myumi avaient eu droit à ce genre de traitements, tôt ou tard. Mira y était donc passée, et, fort heureusement, elle s’en sortit plutôt bien, même si elle chancela un peu en revenant à sa place.
«
C’est très bien, Mira... »
Le cours put ensuite se poursuivre, pendant que Mira reprenait ses forces. Myumi, elle, continua à travailler, et personne ne sembla rien remarquer. Les élèves continuaient à travailler, et l’heure défila donc.
Quand Myumi libéra les élèves, ces derniers filèrent, et, quand Mira s’approcha d’elle, elle posa brièvement une main sur son épaule, la retenant sur place, et déposa un baiser sur son front.
«
Bienvenue dans ma classe, Mira... Tu es maintenant l’une de mes élèves ! »
Pour Mira, une nouvelle vie s’offrait à elle...
...Et ce n’était encore qu’un début.
FIN