Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le métro et la gare => Discussion démarrée par: Solace Belletyn le mardi 15 mars 2016, 11:15:21
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Les alentours bourdonnaient par l'activité de la populace. Les allers et venues créaient un flot hypnotisant aux yeux de la jeune femme qui, depuis une bonne heure déjà, l'observait attentivement depuis son perchoir métallique. Personne (ou presque) ne levait la tête, elle était dés lors une présence invisible au dessus de la foule des mortels. Lors qu'un malheureux levait la tête (pour x ou y raison) elle le gratifiait de quelques grimaçes, tirages de langue, ou expressions grotesques qui le faisait bien souvent trébucher et chuter. De temps en temps, un corbeau venait se poser à côté d'elle, épiant avec la jeune fille la masse qui défilaient devant leurs yeux.
Je m'ennuie.
La pensée était insidieuse, et il n'en fallait pas plus à Solace pour rompre sa concentration. Elle bailla, tapotant distraitement sur la surface métallique, effrayant au passage les quelques oiseaux qui s'y étaient perchés. La vache, je m'ennuie, mais je m'ennuie. songea-t-elle de nouveau. La nuit commençait peu à peu à tomber et depuis son perchoir elle pouvait distingué les couleurs rosâtres du ciel qui fait peu à peu place à la vie nocturne. Il était temps de bouger. Son corps gracile se déplaçait avec légèreté le long de la barre, elle agrippa un coin de mur, posant son pied sur le rebord d'une fenêtre condamnée avant de se hisser en hauteur, attrapant du bout des doigts le rebord qui lui permit d'accéder au toit du petit bâtiment - un débarrassa qui jouxtait la gare. Elle fit quelques pas, balayant du regard la rue qui apparaissait en bas et... elle l'aperçu. Ses sourcils se froncèrent, et ses doigts vinrent effleurer son menton alors qu'elle songeait, perplexe, aux événements à venir. C'était cette femme qui lui avait été donné de croiser à plusieurs reprises. Il est de ces personnes dont le visage et la présence nous marque plus que de raison, des individus anonymes parmi la foule qui, par leur apparence singulière, un acte, ou juste les traits de leur visage faisant écho à un passé corrompu, marque notre mémoire. Mais ce n'était pas de ça qu'il s'agissait. Pour une raison qui échappait à la jeune femme, la méfiance s'était instaurée et chaque nouvelle occasion où elle apercevait cette individu (ou bien juste une femme qui lui ressemblait) était l'occasion de se poser des questions sur elle. Était-t-elle humaine ? Peut-être était-t-elle un espion de son ancien bourreau ? Ou bien un membre de la ligue de la protection des canards (chiants ceux là) ?
Bon, il y avait pas trente-six façons d'en apprendre plus. Solace décida qu'il était de bon ton de la filer. Atterrissant avec légèreté sur un toit en contrebas, elle se laissa glisser jusqu'à une petite ruelle, se dissimulant derrière un mur de telle façon à ce que sa vue reste dégagé. Restant à bonne distance, elle scrutait, concentrée, cette petite silhouette qui s'éloignait, prenant soin de garder une bonne distance entre elles. Mais QUI était-t-elle bon diou ? La paranoïa de Solace allait de bon train, emmêlant dans son esprit réel et imaginaire. Parce qu'il y avait bien quelque chose qui faisait écho à sa propre nature, quelque chose d'enivrant et de troublant qui l'amenait à pister cette inconnue.
Elle doit sans doute être de mèche avec la ligue des canards. conclut-t-elle.
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C'est la première fois que je suis de retour sur Terre, la première fois que refoule le sol de la Terre de ma mère, mais je ne reconnais pas l'endroit, je ne suis plus Grèce. Je sens que mon Arcadie natal me manque un peu. Mais ce pays semble prometteur, Japon, un pays qui allie tradition et modernité. Mais je ne suis pas là pour ça. Une aura, une belle aura divine, tantôt froide et tantôt explosive, une aura que j'ai détecté lors de mon arrivé sur Terre. Cela m'intrigue au plus au point. Il reste encore des Dieux sur Terre? La réponse est oui, mais où? La ville de Seikusu me tend les bras et j'ai pu remarquer que cette ville était à l'image de ce que je me suis faite du Japon, le centre-ville compte de nombreux batiments, immenses et remplis de vitre et plus on s'éloigne du centre , plus la ville prit des allures de villages anciens avec des temples et de petites fermettes entourées de champs. Mais c'est pas le sujet, l'aura semble se consentrer sur cette place, Place de la Gare, les humains n'ont jamais eu de l'imagination pour trouver des noms de lieu. Sur cette place, une statue d'un homme, politique il me semble, mais aucunes statues de Dieux anciens ou nouveaux, quel affront, quel déshonneur pour nous autres être divin. Il est 18h37 à l'horloge de la place, et j'ai l'impression que toute la ville se donnait rendez vous sur cette maudite place. Avec toute cette masse de gens et puant, il m'est impossible de cibler l'aura mais elle était toute proche, je tente de sortir de cette merde de place, oui je deviens vulgaire, mais on dirait des insectes.
- Il me dégoute...
Il est clair que ces porcs sont inférieurs et ne mérite rien d'autre que mon mépris, un homme me bouscule et ne s'excuse pas, la colère monte, comment se batard ose me toucher sans s'excuser, je le suis et dès qu'il est seul, je l'étripe comme un porc. Il sort de la place, tant mieux, sur mon visage se dessine un rictus malsain. Les idées se bousculent dans ma tête, tant d'images violentes qui se bousculent dans ma tête.
Soudain, sans prévenir, j'ai le sentiment d'être épiée, on me regarde. Je tourne la tête de gauche à droite, mais personne semble me regarder et ma cible rentre dans une petite rue plus calme, tant mieux. Petit porcelet qu'il est, mais le dernier sentiment me lache pas, que du contraire, il devient de plus en plus oppressant.
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Un pigeon s'envola à tire d'aile, faisant sursauter Solace et la tirant hors de sa concentration. Sale bête, songea-t-elle avant de continuer son chemin. Toutefois, elle stoppa soudainement, glissant derrière un groupe de jeunes qui pianotaient sur leur portable. Elle l'avait vu cette femme, tourner la tête. Elle sait que je la suis, pensa-t-elle les yeux écarquillés, prise par un effroi qui se dissout presque immédiatement.
« - T'as vu ?
- Mais c'est qui celle là ? »
Clignant les yeux, elle dévisagea les adolescents qui avaient stoppés leur incessants bavardages pour reporter leur attention sur la clandestine accroupie qui zieuter de temps à autre la rue devant elle. Elle se releva, laissa échapper une quinte de toux :
« Faites pas attention, police, circulez ! »intima-t-elle en sortant de sa porte une carte, avant de la ranger si rapidement qu'ils n'eut pas le temps de percevoir le nom ou le matricule. Enfin, normal après tout... il ne s'agissait que d'une carte de bus - temporairement empruntée à sa colocataire - qu'elle s'empêcha de glisser dans la poche de son short. « En plus, je crois pas que ça soit vraiment légal ça. » s'exclama-t-elle en tirant de la poche d'une des gamines un sachet de cachets colorés. « Hop ! Confisqué ! » acheva-t-elle avant de déguerpir, faisant la sourde oreille aux protestations muettes du groupe de rebelles à deux sous qu'elle venait de quitter. Elle s'empressa de rattraper son retard, regardant affolée à droite et à gauche afin de retrouver la femme qu'elle suivait. Mince, mince, mince. Était-ce fini ? Était-elle partie ailleurs ? Non. Solace soupira alors qu'au loin elle percevait la silhouette désormais familière qui continuait à marcher. Puis, elle s'engouffra dans une petite rue et la jeune femme s'empressa de rattraper son retard. Que fait-t-elle ? Qu'est-ce qu'elle manigance ? Elle glissa au coin, continua de la suivre d'un pas rapide avant de se planquer derrière un pan de mur. A quelques mètres devant elle se trouvait un homme... qui semblait justement être suivi par sa propre cible. Elle regarda derrière elle... est-ce qu'elle même était suivit si tout le monde commençait à suivre les autres ? Non apparemment.
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Cette sensation d'être suivie m'oppresse de plus en plus, calme toi ma belle, même si ma colère est toujours présente, je ne peux nier le fait que l'aura divine présente en ces lieux, le sentiment que l'on m'espionne et ma colère contre le porcelet font que mon esprit commence un peu à divaguer. Mais trève de sotises, je suis une Déesse, je suis un être supérieur. Quand à l'homme, son destin est scellé depuis 5 minutes, cette rue plus calme me donne la possibilité de me venger de l'affront subis il y a peu. Quelques secondes passent et l'homme me remarque enfin. Tant mieux. Il se retourne vers moi.
- Qu'est ce que vous me voulez?
Sur le visage de l'homme, on sent de la nervosité mais il reste figer sur place. Quand à moi, je ne dis rien, avançant toujours d'un pas décidé vers ma victime qui doute de rien. Il me reste 5 mètres avant de l'atteindre, je commence à defaire les boutons du hauts de mon bustier laissant apparaitre un décolté plongeant. L'homme se rassure un peu.
- Aaah, tu veux que je te saute, petite salope.
Lorsque j'arrive à sa hauteur, l'homme ne lache pas ma poitrine des yeux et moi, je vois une belle ruelle sombre à un mètre de là. Alors qu'il commence à palper mes seins à travers le tissus, j'attrape sa gorge avec ma main droite, le soulevant de cinquante centimètres du sol. Il veut crier mais sa glote est compressée par ma main, je le fixe et son sentiment de supériorité d'il y a quelques secondes avait totalement disparu. Je le porte jusqu'à la ruelle qui se termine en cul de sac, dans le fond, il y a plusieurs containers de déchets, cela fera une bonne cachette pour le corps. Arrivé près de ces derniers, je balance l'homme contre, il se relève avec douleur.
- Mais ça va pas, connasse!!!
Aaah, les mortels et leurs insultes, quels pitiés, franchement cela me déçoit fortement. Je commence à sourire et me rapproche de lui, il se plaque contre le mur, dos au mur, comme si il espérait le traverser.
- Maintenant mortel, tu vas mourir pour avoir provoqué la colère divine de Sanguilia.
L'homme répète mon nom avec surprise, merde c'est vrai, sur Terre, on me connait pas sur ce nom là. J'ai horreur de foiré un moment pareille. Les ongles de ma main droite poussent et deviennent des griffes de trente centimètres, cette même main que je lève tel un glaive et je frappe avec sur le ventre de l'homme. Suite à cela, sur le ventre de l'homme, cinq plaies se forment et s'agrandissent à un point telle que ses tripes tombèrent à terre. Le porc tombe à genoux et commence à hurler de douleur, ne voulant pas attirer l'attention sur moi, je lui ouvre la gorge avec mon index. L'homme suffoque et ses yeux se révulsent de plus en plus. Quel doux spectacle à mes yeux et à mes oreilles, je me permets même le luxe de m'approcher de son visage congestioné de douleur pour profiter du spectacle. L'homme meurt à mes pieds sans bruits, sans pleures et sans personnes à qui se raccrocher. Lorsque ma soif de vengeance est rassasiée, je peux encore sentir la présence tout près de moi, cette aura divine qui est la quête et ma présence ici. Je me tourne vers la sortie de la ruelle et je commence à rigoler de plus belle.
- Allez, montre toi divinité, vient à moi.
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Elle tremblait légèrement. Bien sur ce n'était ni par crainte, ni par peur. Mais, une telle vision lui prenait les entrailles. Elle pouvait dégommer des légions - bon certes c'était tripant - mais rien n'appuyait autant sur l'instant de la jeune déesse que la vision de la violence commise par les autres. Hypnotisée, Solace avait observé la scène avait attention, se décalant même au point d'être remarqué par la femme.
« Mais... je ne vois pas de quoi vous parlez. » répondit-t-elle en toussant, regardant à droite à gauche, derrière elle, avant de fixer de nouveau cette femme. C'était vraiment pas convainquant. Déjà il y avait le ton, puis toute personne a peu près sensée aurait déjà pris ses jambes à son cou. Elle avait vu toute la scène. Le type avait braillé quelques obscénités à la femme, puis Solace les avaient suivis alors qu'elle le portait avec une aisance surnaturelle, le prenant par la gorge. Sanguilia. Ce nom, aux tréfonds de ses souvenirs, lui semblait familier. Peut-être juste une impression, se dit Solace, secouant la tête alors qu'elle continuait à fixer le spectacle. Puis, elle frappa. Il ne lui fallut pas longtemps pour expirer et, de par une antique nature qui tentait de remonter à la surface, les yeux de Solace avaient légèrement brillés.
Le truc, c'était qu'elle aurait du être effrayée. Un soupçon du moins, de par les paroles de cette femme et cette clairvoyance à son égard. Et au fond Solace avait un peu peur si on creusait bien. Mais la fascination étouffait sans grand mal cette appréhension. Divinité. Elle s'arracha à ses pensées. Le nom paraissait si étrange, puis... se faire appelé ainsi par cette femme... cela semblait important, elle en aurait presque bombé le torse de fierté pour une raison qui lui était totalement inconnue. Pourquoi ? Peut-être était-ce à cause de cette danse mortelle dans laquelle elle avait entraîné l'homme qui gisait dorénavant à ses pieds. « Qui êtes-vous ? » souffla-t-elle. Elle laissa tomber les excuses soigneusement préparées afin d'expliquer une quelconque découverte de sa présence et de sa filature. Arrivant avec peine à se détacher de sa fascination, elle se rendit compte qu'elle avait avancer de quelques pas dans sa direction. L'appel du sang et du sacrifice. Elle se retint de grommeler.
« Il a vraiment dû vous énerver. » s'exclama-t-elle avec un sourire carnassier. « Sérieux y en a vraiment qui savent pas se tenir. » On aurait pu croire à une tentative de faire comprendre que ce qui avait été vu ici ne sortirait pas de la ruelle mais... non, il ne s'agissait pas de ça. Solace s'en moquait et le type avait dû le voir arriver de ce qu'elle avait pu grappiller de leur conversation. Ses neurones s'activaient alors qu'elle cherchait de comprendre cette situation. Qui était-t-elle ? Surement pas associée avec les canards. Est-ce que c'était cette "aura" qui l'avait amené à la suivre ? Ses pouvoirs étaient encore si mystérieux pour elle qu'il lui était compliquée de pleinement les comprendre. L'inconnue avait évoqué le terme "divinité", il était donc fort possible... qu'elle ait affaire à une autre déesse ? Et sans aucun doute pas celle de l'amour courtois ou des petits cœurs roses vu l'état du type. Puis, dans ses paroles il n'y avait pas de menace. Au pire, Solace savait se défendre, bien que la perspective d'un combat avec elle ne lui parlait pas, mais alors pas du tout. Elle approcha encore de quelques pas, assez pour se trouver à deux mètres à peine de cette femme. « Je ne voulais pas vous... euh... vous espionner. » s'excusa-t-elle en bafouillant.
C'était hors de question de lui balancer quelques vagues excuses. Pas toute la vérité non plus, du moins pas pour le moment alors elle se contenta de rester vague. Oh ! Elle avait parlé de mortel aussi... la tentation était bien trop forte, elle prit une grande inspiration avant de poser la question qui la torturait depuis sa découverte : « Vous en êtes une aussi ? » Ses yeux brillaient presque, la perspective de rencontrer un être de son espèce... c'était grisant. « Comment savez-vous pour... moi ? » ajouta-t-elle en clignant les yeux.
C'était un mystère qu'il fallait élucider.
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Enfin je la trouve, enfin elle est devant moi et de plus, elle a assisté sur le massacre de l'autre con. Mais elle avait l'air surprise, tremblante voir chancelante.
Mais... je ne vois pas de quoi vous parlez.
Même son excuse n'est pas sincère, elle même ni croit pas en cette excuse idiote. Elle fixe dans ma direction, tantôt sur mon visage, tantôt sur le cadavre de l'homme, elle avait l'air de comprendre quelque chose, quelque chose de profond, enfuit en elle depuis trop longtemps. Elle me demande qui je suis mais au fond d'elle, elle sait déjà qui je suis, du moins ma nature. Même hésitante, elle est belle à regarder, elle est une jolie jeune femme. Pour briser la glace, elle me lâche:
Il a vraiment dû vous énerver. Sérieux y en a vraiment qui savent pas se tenir.
Je la regarde avec malice et je rigole devant son nez:
Ahahah, tu es tellement mignonne quand tu as peur, quand à ce porc, il a eu ce qu'il mérite.
Puis, la jeune fille s'avance vers moi, de quelques pas mais elle avance quand même. Maintenant, elle se trouve à deux mètres de moi, son aura divine m'entoure maintenant, elle ne sait probablement pas la cacher aux autres divinités telle que moi. C'est pas grave, je ne suis pas là pour en découdre avec elle. Elle ne le sait surement pas qu'elle est l'une des dernières divinités encore présente sur Terre, la plus part son partie sur Terra pour y vivre une deuxième jeunesse.
Je ne voulais pas vous... euh... vous espionner.
Je m'approche d'elle pour être à moins d'un mètre d'elle, je pose ma main gauche sur sa joue droite, posant une caresse douce.
Pourtant c'est ce que tu as fait non? Mais je t'en tiens pas rigueur, pour te dire la vérité, je suis à ta recherche.
La jeune femme commence à se décrisper un peu et ses yeux se mettent à luire d'espoir ou d'excitation, je ne sais pas répondre à cette question pour le moment, mais qui sait? Peut être qu'elle m'expliquera son histoire.
Vous en êtes une aussi ? Comment savez-vous pour... moi ?
Je lui souris, un sourire doux et bienveillant.
Je suis Sanguilia, Déesse des enfers et du Chaos. Mais je suis sur que tu me connais sous le nom de Perséphone. Et toi qui es tu? Sais tu que tu dégages une puissance énorme et c'est comme ça que je t'ai repéré depuis Terra.
Mais soudain, un autre homme se présente au début de la ruelle. Il porte un uniforme, merde un policier.
Ehh que faites vous là? Et qui est l'homme à terre?
Le gardien de la paix veut attraper sa radio pour donner l'alerte, je tends la main vers lui et l'attire par la force de la pensé jusqu'à que son cou soit dans la paume de ma main. De ma main libre, je lui prends la radio et la donne à la jeune Déesse. Au même moment, le policier prend son arme et tire trois fois en moi mais pas de sang et je n'ai pas bougé d'un pouce.
Alors qu'est ce qu'on fait de lui?
Mon visage a changé, il est passé de gentil et bienveillante à une tête sadique.
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Les quelques excuses qu'elle avait bafouillé n'avait pas eut l'effet escompté... et pour cause, c'était une déesse ! Comme elle ! Elle avait silencieusement espérée et cette femme avait confirmé ses espoirs. Peur ? Sans aucun doute. La stature de cette femme et son assurance la remettait à sa place de petite novice du monde divin. Elle buvait littéralement ses paroles. Pourrait-t-elle en apprendre un peu plus sur ce groupe étrange qu'étaient les dieux ? La déesse s'avança vers elle, effleurant sa joue. Malgré cette terrible énergie qui se dégageait d'elle, il y a une bienveillance insistante qui se dégage de sa personne. Solace n'est en aucun cas une déesse de la nature, de la douceur, sans se ranger du côté du mal (broutille pour les réelles divinités qu'est cette partition abstraite des actions de chacun), s'impose pourtant vers l'obscur à travers la folie et la rage. Pourtant c'est ce que tu as fait non? Mais je t'en tiens pas rigueur, pour te dire la vérité, je suis à ta recherche. Elle sursauta légèrement. A sa recherche ?
« Je suis... je suis... » elle passa une main tremblante d'appréhension dans ses cheveux. « Euh.. je n'ai jamais eu de titre officiel disons. Je suis la fille de Lyssa et Dionysos et disons... la déesse de la frénésie, la passion... Mon père c'était à travers le vin et les substances hallucinogènes, et moi à travers les psychotropes, les drogues. Tout ça quoi. Je ressens... l'énergie primaire qui se dégage de la violence et des instincts rassasiés des mortels. » Ses pouvoirs étaient complexes et faisaient écho aux pulsions et aux plus bas instincts. Une puissance énorme ? Elle n'aurait jamais imaginé qu'il était possible qu'elle soit aussi bien pourvue. En fait sa nature divine l'avait toujours semblé si... étrangère à elle-même. Et après des années de servitude en tant que déesse d'un, elle n'avait au fond toujours pas réussi à se faire à l'idée. « Sanguilia... » commença-t-elle, mais avant qu'elle ne puisse continuer un homme, un policier, surgit avant d'être rapidement maîtriser par la déesse.
« J'ai jamais aimé les forces de l'ordre. » répondit-t-elle avec une moue boudeuse. Que ça ait été sur Terra ou sur Terre, elle avait toujours su s'attirer des ennuis. Donc à part lui mettre des bâtons dans les roues ou l’agacé inutilement elle n'avait ni empathie ni pitié pour la plupart de ces types, préférant trouver des camarades dans la mafia, le crime organisé ou les mercenaires. Mais ce n'était pas au visage apeuré du policier qu'elle faisait attention c'était au visage de Sanguilia qui avait changé du tout au tout.
« Je n'ai pas vraiment apprécié ses manières à votre égard. » s'exclama-t-elle, un sourire carnassier se dessinant sur son visage. Elle triturait les boutons et l'antenne de la radio qu'elle tenait dans sa main, scrutant attentivement les traits de cet homme. Elle s'adonnait rarement (excepté lors de fêtes, cérémonies, batailles et bagarres) à la torture mais l'aura de la déesse - pas étonnant qu'elle soit associé au Chaos et aux Enfers - avait un étrange effet sur elle. Bon... ce n'était pas non plus si elle s'imposait des limites ou une quelconque sagesse habituellement, mais auprès de ses amis elle tâchait de se restreindre. Elle était déjà déroutante habituellement pas besoin d'en rajouter une couche ! « Je pense que nous savons toutes deux l'inévitable destin de cet homme suite à notre rencontre » déclara-t-elle pensive. « Peut-être un cobaye ? Vous ne m'avez demandé quels étaient mes pouvoirs... » continua Solace « De plus, je serais curieuse de ce que vous pouvez faire. » demanda-t-elle, les yeux brillants, à celle qu'elle considérait déjà presque comme une ainé, une mentor. Un exemple à suivre.
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Le visage de la jeune Déesse se déforme avec un sourire carnassier, elle m'excite un peu en même temps, voir des personnes qui tombent dans la folie m'a toujours excitée un peu.
« Je n'ai pas vraiment apprécié ses manières à votre égard. »
Elle a raison, comment sait il permis de me crier dessus et de tirer sur moi, même si les balles n'ont aucuns effets sur moi, cela me fait chier divinement. Je compresse un peu plus la gorge de policier et ce dernier se tord de douleur mais n'étouffe pas, mon but est qu'il perd connaissance par stangulation sanguine. Quelques secondes ont suffi et au bout de mon bras, le corps inanimé de l'homme en bleu. Je prends son arme et le donne à la Déesse.
- Il n'est pas mort, pour le moment, je vais nous téléporter dans un endroit plus calme afin que tu me montres tes pouvoirs.
Je laisse pendre mon bras avec l'homme qui traine au sol maintenant, pour m'approcher de la jeune femme, son aura change de plus en plus, l'excitation prend place dans son corps peut être? Bref, elle dégage quelque chose d'énorme et je veux savoir quoi, soit elle me le dit en temps voulu ou alors je devrais user de quelques subterfuges divins qui lui laisseront un agréable souvenir de moi. Lorsque que j'arrive à sa hauteur, je lui touche l'épaule et un mur de flamme nous entours pour nous ouvrir un passage vers un entrepot de la ville. Entrepot totalement vide avec un table en fer, quatre chaises en fer, sur la table le kit parfait de la torture physique. Je lance le corps sur l'une des chaise et par ma volonté, le corps se trouve en position assise sur la chaise. J'use d'un sort qui me permet de former deux anneaux de feu bloquant le haut du corps et les jambes du poDlicier. Je me place devant la divinité et pose mes mains sur ses épaules.
- Dès qu'il se réveille, fait le hurler, brise le et amuse toi.
Je tourne le dos à elle.
- Mais dis moi d'abord ton nom jeune Déesse, tu connais les miens.
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Elle acquiesça aux paroles de la déesse, se crispant légèrement lorsqu'elle se sentit téléporter ailleurs grâce aux pouvoirs de cette femme. C'était grisant d'une certaine façon, mais peu habituée à ce genre de transportation, elle restait un peu sur la défensive. C'était la peur de l'inconnu d'une certaine façon. Elles se retrouvèrent dans un entrepôt vide, et, silencieusement, Solace observa les gestes assurés de Sanguilia, et ainsi la manifestation de ses pouvoirs. Le type payait vraiment pas de mine... et ce n'était pas fini, il allait passer un sale quart d'heure. Avec appréhension, la jeune femme hocha la tête lorsque que la déesse annonça les "consignes". Alors que, une lueur dansante au creux des yeux, elle s'avançait vers leur proie, elle entendit derrière elle Sanguilia lui demander son nom... ce qui l'a prit un instant au dépourvu, elle laissa écouler quelques secondes, clignant des yeux en l'observant, avant de lâcher la réponse :
« Solace... Solace Belletyn » répondit-t-elle « Enfin, mon prénom de naissance est Maena, mais ne l'ayant appris que bien plus tard j'ai décidé de conserver celui-ci » Elle en était fière après tout. C'était Svafa, la femme qui l'avait recueilli qui lui avait donné. C'était son bien le plus précieux, celui qui avait défini son identité, celui qui l'avait fait existé. Elle le chérissait, autant que son nom de famille d'ailleurs, aussi hérité de sa protectrice. Quant à Maena, c'était aussi un trésor, un différent type de bien... il était associé de si prés avec sa nature divine que, comme cette dernière, Solace avait du mal à s'y faire. Alors, il restait dans sa coin de son esprit mais sans plus. Elle se retourna de nouveau vers leur "invité", faisant quelques pas avant de s'arrêter devant lui, mains posées sur les hanches. Son esprit travaillait pour savoir par quoi commencer. Ses capacités dormaient la plupart du temps, elle n'y faisait appel que rarement. Une façon de se glisser parmi les mortels sans poser de questions, et par peur aussi... par peur de perdre le contrôle comme cela lui était arrivée quelques années auparavant. Mais la présence de la déesse, d'une aînée qui avait elle un contrôle surement parfait de sa nature, la rassurait, même si l'angoisse de se tromper lui tenaillait le ventre.
« Qu'avons nous là ? » susurra-t-elle en observant l'homme. Celui-ci bougea un peu, avant de cligner des yeux puis de les ouvrir. Sans un mot, il commença à se tortiller tentant de se libérer de ses liens surnaturels. C'était peine perdu. « Que faites-vous ? Relâchez-moi !!» cria-t-il à l'adresse des deux jeunes femmes. Solace retint une grimace. Ce comportement commençait à l'agaçer, au fond des yeux du policier elle dénotait du dédain... et de la peur bien entendu. Elle décida de débuter simplement (pas besoin de commencer avec du claquant dés le départ après tout, Solace était persuadée que ce n'était pas de la poudre aux yeux que voulait voir la déesse mais bien juger de ses capacités réelles). Elle tendit sa main vers le visage de l'homme qui esquissa un mouvement de recul, qui ne servit strictement à rien étant donné sa position. « Arrête sal... !!» Les doigts fuselés de Solace vinrent glisser le long de sa mâchoire et tout son corps se détendit d'un coup. « Qure far vu... » continua-t-il alors que ses yeux s'agrandissaient.
Methyskien et Ethousiasmos étaient ses préférés parmi ses pouvoirs. Combinés ils ne demandaient pas énormément d'énergie, comme cela pouvait être le cas des autres. De plus, ils se complétaient. Par contact, le policier s'enfonçait dans un état d'euphorie léger, tout mot qui passait sa bouche avait du sens pour lui, mais il lui était désormais impossible de se faire comprendre des autres. Quand au pouvoir complémentaire... c'était un petit bijou d’ingénierie divine. Elle dégageait dans les airs une phéromone subtile qui faisait glisser la cible dans une torpeur doublé d'hallucinations qui allaient en s'accentuant. Pour l'instant les effets n'étaient pas notables mais ils le seraient sous peu. En tant que déesse de la frénésie, elle jouait sur les sens, pouvait par son simple souhait brisé les volontés molles des mortels, offrir à leur regard ce qu'ils chérissaient le plus et les enfoncer dans le vice. Certes, elle manquait juste un peu de pratique mais la volonté et les capacités étaient bel et bien là.
« Je vous avoue que... c'est moins spectaculaire que certains pouvoirs » déclara-t-elle à l'adresse de la déesse « Mais les effets sont peu à peu visibles. L'esprit de ce "pauvre" homme va être peu à peu tordu par sa propre volonté... ou plûtot son absence de volonté. Réalité et imaginaire n'auront plus de frontières pour lui. » continua-t-elle avec un sourire béat.
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Alors elle s'appelle Solace hein, quel drole de nom pour une Déesse, mais bon, je n'ai pas à faire la fine bouche sur ce sujet. En même temps, j'en suis à mon troisième nom. Alors que Solace se pointe devant l'homme en bleu doucement, ce dernier sort de sa somnolence et il tente de garder un semblant d'autorité. Cela me fait un peu glousser, je profite de ce petit moment avant le début des joyeusestés pour m'assoir et profiter du spéctacle. Je prends une chaise et pose mon popotin dessus, prenant une pose de secrétaire peu farouche (jambes peu croisés, bras gauche sous la poitrine avec la main gauche qui soutient mon coude droit afin que ma main droite soit contre ma joue droite). Solace commence par tendre la main sur le visage du policier qui tente de reculer par tout les moyens, mais les anneaux de feu le maintiennent coller à la chaise de fer. Alors que la main de la jeune Déesse touche la machoire de l'homme, il se produit une chose intéressante, en effet, impossible de le comprendre, il parlait tout simplement plus notre langage. Mais ce n'est pas tout, une autre action se produit et la Déesse Solace lache une petite quantié de phéromone vers le policier qui se met à se raidir sur sa chaise et il entre dans une posture qui me rapelle de la torpeur, on ne le comprend plus et l'agent part dans des délires.
- Par les enfers, quel étrange pouvoir que nous avans là. Mais comprends tu son nouveau langage?
L'homme semble totalement délirer et commence même à s'agiter dessus, alors que j'étais appuyer contre le dossier de mon siège, je me surprends à bondir de ma chaise pour m'approcher de l'homme. Il ne me voit pas où du moins il ne peut pas me voir, il est, en même temps, ailleur et ici. Même si ces pouvoir ne sont pas démonstratifs de puissance, ils ont gagné mon intérêt. La Déesse de la frénésie hein, jusqu'où peut elle amener sa victime dans sa folie, à quel point peut il perdre pied. La chaise de l'agent grince de plus en plus, l'homme s'agite de plus en plus, je peux sentir que son esprit tente en vain de maintenir une cohésion dans ses pensés. Solace minimise l'effet de son pouvoir, trop de modéstie ou alors est elle déjà au max, si c'est le cas, elle me décevrait grandement et j'aime pas que l'on me déçoive.
- Règle numéro une des Dieux, ne te rabaisse jamais devant un autre Dieu, il pourrait prende cela pour un aveu de faiblesse.
Loin de moi de lui faire la morale, mais je garde un restant de maternité avec Asalia, ma nymphe, elle qui voulait venir sur Terre avec moi rencontrer cette nouvelle Déesse, mais avec elle, on tournerait en rond dans des orgies lesbiennes et j'ai pas de temps à perdre. Le policier commence une trance que je n'ai jamais vu auparavant. Solace est une Déesse nouvelle dans le millieu des divinités et ses pouvoirs sont aussi tout nouveaux pour moi.
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« Bien sur ! Ce n'est pas dans mes attributions mais... à force de fréquenter des personnes sous drogues, alcool et autres. » répondit-t-elle en hochant la tête « J'ai fini par m'y habituer. Là il demande ce qu'on lui a fait ? » Le pauvre type parlait plus vraiment désormais. Sa tête dodelinait doucement alors qu'il dévisageait les deux femmes... et le cadre autour d'elle. Solace pouvait clairement le voir : un paysage champêtre où cavalaient des satyres pourchassés par des nymphes qui lui envoyaient quelques coups d’œils lubriques. Le gars était bienheureux... pour le moment. Du coin de l’œil, elle vit que la déesse s'était assise sur une des chaises et observait désormais le petit spectacle qui s'offrait à elle. Solace déglutit avant de se retourner totalement vers leur victime. Il n'était pas question de perdre la face ! D'ailleurs, à ce sujet...
« Je... d'accord » murmura-t-elle lorsque Sanguilia lui affirma qu'une divinité ne devait pas se rabaisser. C'était plus fort qu'elle, se retrouver face à tant que puissance et d'expérience lui tournait la tête. Elle était intimidée, et ses états d'âme lui avaient échappé. La jeune femme se promit donc de ne plus laisser échapper quoique ce soit qui pouvait témoigner de ses doutes. Après tout, la déesse de la frénésie et du bon temps n'avait qu'une vingtaine d'années avancée, une peccadille quand on considérait l'âge de certaines divinités, l'âge de Sanguilia par exemple étant donné l'assurance dont elle faisait preuve. Solace ramena une autre chaise pour la placer devant l'homme et s'y posa, à l'envers, afin de poser ses bras sur le dossier. Le type avait les yeux vitreux et un mince filet de bave dégoulinait le long de son menton. Pathétique. Enfin au moins il avait l'air de sacrément s'amuser. De temps à autre, il tressautait légèrement, laissant échapper une plainte dans laquelle ne se trouvait plus ni peur, ni angoisse, juste une fascination étouffante et l'envie pressante d'aller rejoindre les créatures que lui seul (et Solace) pouvait entrevoir, le seul fruit de son imagination.
« Mais, je peut vous faire confiance ? » Elle s'était arrachée à sa contemplation pour se retourner, pleine d'espoir, vers la déesse. Le conseil dont elle l'avait gratifié, et l'attention qu'elle lui portait, lui donnait l'impression qu'elle pouvait pleinement se fier à elle. « Ce n'est pas faiblesse, je suis puissante, mais mon pouvoir est nettement plus impressionnant sur les foules » grimaça-t-elle. C'était la simple et pure vérité. Myreck, l'homme dont elle avait habité les geôles pendant un temps qui lui avait semblé interminable, avait usé d'elle et de ses capacités. C'était à ce moment là qu'elle s'était rendue compte de ce qu'elle pouvait accomplir. Dans la cité et le palais de celui-ci, la déesse avait vu des foules entières se plier devant elle. Les plus prudes, les plus chastes et les plus innocents s'étaient adonnés aux pires vices, cédant à la tentation sous la pression de sa seule volonté. Elle n'était qu'une étincelle qui embrasait un feu de paille, se propageant de personne en personne. Meurtre, sexe, orgies, cannibalisme même, violence gratuite, l'âme était libérée de toute pression, de toutes barrières. D'une certaine façon, Solace les libéraient. Bien entendu, de pareils moments se soldaient rarement calmement, il y avait au moins quelques pertes dans le tas. Elle en avait vu s'amputer leur propre main sans raison ou lancer un camarade dans un puits et n'en ressentir que délivrance et liberté.
« Après on pourra peut-être trouver quelques volontaires supplémentaires ? » Elle en trépignait presque. Il n'était pas rare qu'elle organise ses propres raves ou bien qu'elle fasse un petit détour par une boîte de nuit, une salle de concert, des événements qui rassemblaient les foules comme des concerts, des mariages, des remises de diplômes. Des réunions de bureaux aussi. Bien entendu, Solace s'était un peu calmé. Les orgies c'était son petit plaisir, mais Ciri aimait moyennement ses petits passe-temps. Alors elle restait sage. Oh bien sur il y avait ses auto-proclamés fidèles qui n'hésitaient pas à lui demander l'honneur de pareil événement. Eh bien ! Il semblait que ses derniers temps tout semblait pousser Solace vers l'exploration de sa nature divine, et Sanguilia était bien là pour confirmer ça. « Mais d'abord, il faut s'occuper de notre invité. » continua-t-elle en se penchant vers l'homme. Elle claqua des doigts et le premier pouvoir arrêta d'agir. Désormais, il pouvait exprimer sa pensée - il fallait savoir si ça avait de l'effet après tout ! Les phéromones quant à eux continuèrent d'agir, il avait donc tout le loisir de reluquer les créatures imaginés qui dansaient à quelques pas de lui. Solace pouvait le voir dans ses yeux, il voulait les rejoindre. C'était un des effets secondaires du pouvoir qui se montrait drôlement cocasse. C'était toujours amusant et grotesque de voir quelqu'un se déhancher avec des partenaires de danse invisibles. Solace réfléchit rapidement. Les liens de feu qui l'empêchent de pouvoir lui permet de s'offrir le luxe de l'omophagie, un talent dont elle use habituellement avec précaution pour ne pas se trouver face à de mauvaises surprises : se faire sauter dessus par un cannibale furieux qui n'en veut pas qu'a votre viande.
La capacité fit rapidement effet : les pupilles se rétractèrent, ses babines se retroussèrent et il se remuait sur son siège (autant qu'il était possible de le faire lorsqu'on était attaché par des anneaux de feu). Il émit un grognement bestial alors que ses yeux roulaient dans leurs orbites. « Faim... » grogna-t-il en se secouant sur son siège. Un instant de lucidité perça sur son visage alors qu'il était étouffé par une frénésie naissante. Il claqua les dents plusieurs fois, tout en continuant à tenter de se libérer. « Vous voyez... l'avantage est de libérer les pulsions chez l'individu » expliqua-t-elle en levant un index dans les airs, avec un air bien trop sérieux pour la situation « On retrouve dés lors l'inévitable lien entre l'homme et l'animal. Il m'est possible de l'appliquer sur plusieurs individus à la fois. J'ai déjà vu des trucs détonnant dans ces cas là. » continua-t-elle avec un grand sourire. L'homme poussa un cri alors qu'il tremblait de rage, d'envie et de faim. Une faim irrépressible. Il ouvrit grand la bouche avant de la renfermer à grand bruit, mordant violemment un bout de sa joue. Un peu de sang perla au coin de sa bouche alors que les effets commençaient à se dissiper. Peu à peu l'esprit sain de l'homme glissait vers des tréfonds bien plus obscurs.
Bien entendu, il ne s'agit que d'un avant-goût de ses capacités. Solace avait nettement plus en réserve.
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Solace est jeune mais il y a bien une chose qu'on ne peut lui reprocher c'est sa volonté. Alors son pouvoir sert à manipuler les foules, je suis devenue très attentive à ses mots, mais je fais une moue boudeuse car je ne peux pas voir ce que les deux autres voient. Je suis admirative de la jeune Déesse, son pouvoir entre de bonnes mains, les miennes, peut amener énormement de puissance et un avantage sur les olympiens. Elle me demande si je peux lui faire confiance.
- Bien sûr que oui ma belle.
Solace prend une chaise et se place face au policier qui a le regard vitreux. Il a un sursaut et répète le mot faim, son visage se tire pour ressembler à un chien ou un animal carnacier. L'homme remue sur sa chaise, il veut croquer un bout de Solace, mais elle a rien n'a craindre, mes anneaux sont indestructibles sauf si je suis mise hors jeu. Je me lève de ma chaise et prends ma chaise pour m'assoir à coté de Solace, je suis impressionée. Instinctivement, je passe ma main dans ses cheveux pour la féliciter.
- Tu es une Déesse surprenante Solace, je te promets de grandes choses.
Je regarde l'homme devenu sauvage, devenu primaire. Solace me demande de lui fournir plus de cobayes, pourquoi pas, c'est une excellente idée mais.
- Je suis d'accord pour ça, où veux tu aller?
Alors que j'attends la réponse de Solace, je le lève de ma chaise l'envoyant loin dans le fond de l'entrepot et fixe le policier qui me retarde en grognant, j'ai envie de sang et de douleurs alors, je fais signe à ma conparce de reculer. Ensuite, je place mes mains de chaque coté du visage du fou et j'enflamme mes mains pendanr quelques secondes. Puis, j'enfonce mes mains dans la gueule béante de l'homme et tente de l'ouvrir de haut en bas. On entend sa machoir se briser et ses cris qui se déforment sous la pression de l'ouverture. Un grod craquement résonne dans les environs et la tête du flic s'ouvre en deux. Le corps remue encore un peu avant de s'arreter net. J'ai les mains en sang et les yeux rouges de malice. Je commence à me lécher les mains, j'adore le sang humain, il est doux et chaud. Lorsque ma toilette est terminée, je regarde Solace.
- Quoi? Tu voulais pas en faire un animal de compagnie si?
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Le nœud au creux de son ventre causé par l'appréhension de décevoir se dénoua. Elle la croyait cette femme avec sa présence écrasante, son assurance nette. L'attention qu'elle lui portait était un honneur pour Solace qui releva légèrement la tête. Bien sur, elle était une déesse. Mais ce n'était pas toujours facile de s'en rendre compte, de se convaincre de sa propre nature divine. Mais aux côtés de Sanguilia, c'était toute autre chose. De grandes choses. Elle remua un peu, se retint de trépigner sur place. La jeune femme avait réussit un tant soit peu à convaincre par ses capacités, mais il restait sans aucun doute un long chemin à parcourir.
Où aller ? Lorsque la femme posa cette question Solace se mit à réfléchir. Il y avait bien entendu certaines pistes, mais elle préférait faire sa petite démonstration dans un lieu optimal. C'était si grisant de songer à la perspective de pouvoir causer chaos, rage, frénésie au sein de n'importe quel lieu, mais un terrain fertile était nettement plus préférable. Bien entendu, elle s'était déjà tapé l’incruste dans des lieux divers et variés, observant avec euphorie le petit spectacle qui se déroulait sous ses yeux, ces gens qui se déchaînaient de par son seul désir. Avant qu'elle ne répondit à Sanguilia, cette dernière s'était approché de l'homme, et l'avait littéralement ouvert. Solace observa sans un mot la déesse, avec fascination et un soupçon d'excitation. Elle se retint de taper des mains pour exprimer l'euphorie qui la submergeait. Après tout la violence était dans ses attributs et une telle mort ne pouvait la laisser de marbre. Plus c'était sanglant et original, plus ça lui plaisait. C'était une forme d'originalité et d'art ce genre de meurtre, alors comment ne pas se laisser porter ? La toilette de la femme la fascinait.
D'un ton un peu plus clame, elle continua sur sa lancée. Après tout, il fallait bien répondre, et puis elle n'allait pas rester indéfiniment dans cet entrepôt. « Il est encore assez tôt et la vie nocturne vient à peine de s'éveiller. » La soirée venait tout juste de commencer, depuis le début de sa filature la nuit avait commencé à tomber. « Je propose... un petit bar "tranquille", y a du peuple qui s'y réunit chaque jour, c'est plutôt tranquille même quand la température monte » Bien entendu, elle avait son propre barème concernant l'état d'une fête, ou de toute réunion qui concernait plus d'une douzaine de personnes. L'avantage de ce lieu était qu'il n'y avait pas mal de monde, et son ambiance particulière était absolument parfaite, prompte à servir de catalyseur. De plus, on n'était pas facilement embêter par les forces de l'ordre, ce qui avait tendance à arriver lorsqu'elle s'accaparait l'attention de personnes dans des lieux autres. Bon, c'était pas si grave, on pouvait s'en débarrasser mais c'était une perte de temps et brisait inutilement l'ambiance qu'elle instaurait.
Elle s'arracha à ses pensées lorsque Sanguilia désigna la victime. « Vous parlez de ça ? » déclara-t-elle « Non merci ! Je parie que l'on peut trouver nettement mieux ailleurs... » termina la jeune déesse avec un sourire. Après tout les rues de cette ville grouillait de personnalités et de caractères sans aucun doute plus intéressants que le flic mort qui gisait désormais dans un piteux état. « On y va ? »
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Solace me propose un petit bar, pas trop de monde car encore trop tot. Il est vrai qu'il doit être à peine 19h30, les gens sont seulement à table en famille avant de sortir. Je m'approche de Solace qui est au bord de l'euphorie, son aura change petit à petit, tant mieux, je pourrais voir bientot sa véritable folie. Mais, comment savoir de quel bar elle parle. Si la jeune Déesse est humaine, il me suffit de lire dans ses pensés mais ici c'est une divinité, je dois avoir un contact avec elle. Donc je m'approche d'elle, je passe ma main dans ses cheveux et lorsque cette main termine sa course sur son front, je peux clairement voir l'endroit, l'adresse et les fréquentations. Cette opération est quelque peu intrusive mais pour la téléportation, il me faut au moins un minimum d'information pour ouvrir un portail entre deux endroits.
- Allons-y ma belle.
A ces mots, j'attrape par les hanches Solace et un mur de flamme nous a fait traverser 12 kilomètres en une seconde. Nous sommes arrivées dans une ruelle, décidément, mais plus discret pour un mur de flamme. Cette mini artère est juste à coté de notre objectif, le bar. Le bar Itachi est assez lumineu pour un bar mais les fenêtres sont couvertes de gros rideaux bleus qui ne laisse pas transparaitre l'intérieur. On se dirige vers l'intérieur, je pousse la porte et quelques regards se tournent vers nous, principalement des hommes, certains sentent l'excès de testostérones. Des chiens en rûtes. Je sonde quelques esprits pour connaitre les intentions, pour la plus part, je serais bien leur bac à sperme et pour les autres une simple pute. Je prends place dans le fond avec Solace, un léger brouahah accompagne les bruits des verres d'alccol.
- Tu bois quoi? Moi un verre de vin... non la bouteille, je veux m'amuser un peu.
Je fais un signe de main au serveur qui se pointe avec un air coincé. Arrivé à nous, on peut voir une belle bosse dans son pantalon.
- C'est une blague, déjà tendu alors que nous avons rien fait...
Je me tourne vers Solace.
- Je trouve cela insultant ma belle.
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Elle se sentit soudainement attrapée par les hanches puis... elles étaient ailleurs. Les deux femmes avaient atterri dans une ruelle à proximité du bar visé. Solace laissa échapper un sifflement d'admiration. La déesse regorgeait de pouvoir. Elle avait réussi à lui arracher l'information concernant leur destination et à les transporter toutes les deux jusqu'à leur destination. Et c'était sans prendre en compte la fore surhumaine dont elle pouvait user. Solace avait le souffle coupé par la puissance qui expirait de cette divinité. Pourrait-t-elle, un jour, maîtriser ses propres pouvoirs avec autant d'aisance ? Elle savourait cette perspective alors que le petit duo s'engouffrait dans le bar.
A l'instar de sa camarade, elle sentait l'énergie qui se dégageait du lieu ainsi que les regards affamés qui s'attardaient sur leurs formes. Il serait aisé de les faire plier, remarqua-t-elle. Les hommes étaient déjà en partie conquis, il suffirait de s'offrir à eux et certains abandonneraient toute sagesse pour céder à de viles pulsions. La jeune déesse suit sa camarade du soir vers le fond, continuant à sonder le lieu.
« Je vais aussi prendre du vin... comment résister ? » Solace abusait largement des drogues, mais elle aimait déguster les alcools, les faire rouler sur sa langue. C'était son patrimoine après tout, elle n'était pas fille du Dieu du Vin sans conserver une trace de ce que son père avait laisser dans ses gênes. Le serveur s’avance vers eux. C'est un jeune, peut-être un tout petit plus âgé qu'elle. Il affichait un air sérieux, voir pincé alors qu'on pouvait nettement voir qu'il avait autre chose en tête.
« Que veut-tu... certains ne savent pas se tenir. » remarqua-t-elle devant le serveur à peine gêné, sans doute un effet des auras combinés des deux déesses ou juste le caractère d'un homme qui se pensait dominant sur son monde. « On peut s'amuser un peu avec lui ? » chuchota Solace sur un air de confidence alors qu'il s'éloignait pour prendre leur commande. « Il suffit de lui faire une proposition pour l'amener un peu à l'écart et... »
Elle laissa le reste de son plan en suspens, attendant l'aval de son aînée. Il était hors de question de s'attirer les foudres du patron du bar, divinités ou non, afin de passer un moment optimal. mais cet impudent pourrait bien être l'étincelle qui leur permettrait de déchaîner cet "honnête" établissement avec son "honnête" clientèle. « On l'invite à l'arrière et... on s'amuse un peu avec lui. » s'exclama-t-elle avec un sourire carnassier, à la charmante perspective de pouvoir tourmenter avec un peu plus d'efforts ce type déjà déchaîné par leur simple présence.
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Solace me surprend de plus en plus, elle a des idées qui me font frissoner de plaisir. Je l'écoute jusqu'au bout car il est vrai qu'on ne doit pas attirer l'attention trop vite sur nous. Se mettre à l'écart, dans les toilettes? Beaucoup trop risqué. Je réfléchie pendant un petit moment faisant la bouille de la fille pensente, euréka!!! Je fais un clin d'oeil complice à la jeune Déesse.
- Dit donc jeune homme, mon amie ici a pour fantasme de se taper une belle queue de serveur. Son copain vient de la larguer parce qu'elle est trop gourmande au lit et que lui n'est pas très sexe au lit. Elle vous trouve pas mal et elle aimerait savoir si vous avez pas un endroit où elle pourra...
Je fais exprès de pas finir ma phrase, ainsi le jeune homme peut se faire tous les films qu'il veut. Je m'appuis contre le dossier de ma chaise, écartant légèrement les bras pour ouvrir mon décolté. Le serveur ne sait plus oû se mettre, son pantalon va exploser et son sexe sera devant nous avant même que l'on s'écarte. Il déglutie, racle sa gorge et reprend à peu près une posture convenable devant deux Déesses.
- Donc la jeune fille coquine veut de la liqueur d'homme? Elle va gouter à de la bonne viande.
L'homme bombe le torse, on aurait dit un coq ou un paon tellement la fierté le remplie. Je profite de ce monologue pour me pencher vers Solace, je le fais de manière coquine dans le but de ne pas eveiller les soupsons.
- Tu as quinze minutes avec ce type et je te rejoinds, fait ce que tu veux ma belle et après on passe au chose sérieuse. Fais attention à toi.
Je me redresse et regarde à gauche à droite pour être sur que personne regarde, quand c'est confirmé, je passe ma main sur la bosse du pantalon, le branlant doucement à travers son pantalon. Le serveur pousse un léger soupir.
- Madame veut aussi jouer avec moi?
Je fais signe que non avec ma tête.
- Je vais vous attendre ici sagement.
Le garçon pensant l'affaire conclue nous montre une porte derrière un rideau, cette partie du bar est assez reculé et donc très discrète, tant mieux, on pourra faire ce qu'on veut de lui sans que personne nous fasse chier.
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La mascarade était parfaite. Le type s'en doutait à peine, bien trop occupé à saliver et à reluquer les formes des deux femmes. Le petit scénario mis en place amusait fortement Solace qui ponctuait la discussion de Sanguilia avec le serveur de petits soupirs et de clins d’œil salace. C'était surjoué, et n'importe quel personne avec un gramme de sens aurait été prise par le doute. Mais pas ce gars. Oh non. Il était bien trop accaparé parce qu'il y avait dans son pantalon. Le serveur devait avoir l'impression d'être en train rêvé, un truc pareil c'était dans les films, pas dans la réalité !
« Vous êtes mon sau-veur ! » s'exclama-t-elle en tapant joyeusement dans ses mains. Alors qu'il paradait fièrement accaparé par les instants à venir, la déesse se pencha vers elle pour lui murmurer quelques mots. Il ne s'en rendit même pas compte. « Quinze minutes, tu es bien trop généreuse. » chuchota-t-elle. « Je vais m'amuser un peu avec ce pauvre type, mais je t'en laisserais un peu ne t'en fais pas. » Solace avait prévu de le faire tourner en bourrique, et possiblement de le corrompre assez pour la suite de la soirée. Le tuer c'était bien trop facile, vu l'oiseau elle n'avait même pas besoin de s'en mêler pour l'amener à une mort certaine.
L’arrière du bar était intimiste. Dans la pénombre clignotait la lumière faible, projetée par une ampoule. « Alors comme ça ton copain t'en donnait pas assez. T'en fait pas, je saurais te combler ma belle. » Elle se retint de ricaner avec méchanceté et de hurler un « nope » retentissant. Pour les mortels, il avait surement un niveau correct. Mais Solace n'était pas mortelle, et elle percevait bien dans ses gestes et ses paroles qu'il n'avait rien d'un amant de compétition. C'était juste une manière de jouer un peu pour le faire tourner en bourrique. « Tu m'embrasses, mon beau chevalier » minauda-t-elle. Solace avait toujours appréciée le théâtre et la comédie. « Je veut ça d'abord... et après on pourra s'embrasser » lui chuchota-t-il à l'oreille en caressant ses fesses avec avidité. Il ne fallut pas longtemps avant qu'il n'ouvrit sa braguette, et abaissa sans ménagement le short de la jeune femme avant de glisser son membre tendu entre ses fesses, effectuant de secs va et viens.
Il ne fallut pas longtemps au type pour lâcher sa sauce. Fini, il haletait un peu pitoyablement, alors qu'elle soupirait, roulant les yeux. Une chance qu'il ne pouvait pas voir son visage dans cette position. Elle en aurait baillé. « Maintenant... » La déesse s'approcha de lui, alors qu'il la dévisageait autant, prés à remettre le couvert. Elle se mordit la langue, sentant un goût métallique lui emplir la bouche. Elle plaqua ses lèvres sur les siennes, faisant passer la substance amer dans la gorge du serveur, lui maintenant les côtés de sa tête pour lui faire avaler. « T'es fo... » commença-t-il à crier. Le sang de Solace ne tarda pas à faire effet, le clouant sur place alors qu'il la regardait d'un air hébété. Elle ne s'était pas trompé en misant sur ce cheval. Pitoyable certes, mais facile, bien trop facile à façonner...
Le liquide carmin avait eut un effet réglé comme du papier à musique sur son organisme : il était désormais obéissant. Habituellement, il avait un effet fort capricieux sur ses victimes, dépendant de l'humeur de la déesse... et là, elle voulait plier à son désir tout mortel, fermement décidée à montrer à Sanguilia de quoi elle était capable. Ce type n'était que le point de départ, qui permettrait de facilement faire prendre un autre tournant à cette charmante soirée. « Assis ! » s'exclama-t-elle, et il obtempéra. Elle redressa son short avant de se laisser tomber sur une caisse de bière, croisant les jambes en attendant que Sanguilia ne vienne les rejoindre.
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Solace et l'idiot sont partis et moi voilà seule à table. Je chope une serveuse avec un jolie visage pour lui demander deux bouteilles de rouge, elle s'execute rapidement, je paie et profite du breuvage dans mon verre. Alors que je me concentre sur mon verre. Un gros lourd s'assoie à la place de Solace. Il prétexte le fait que ma copine est partie, il prétend même que j'y gagne plus avec lui qu'avec Solace, non mais je rêve... Je réponds que non et qu'il ferait bien de partir, l'homme prend la mouche et ne voulant pas attirer trop l'attention sur moi, j'attrape son poignet que je serre plus que de raison.
- Bon écoute connard, à quel moment j'ai eu la faiblesse de te laisser croire que je voulais de piètre compagnie? A quel moment je me suis dit ou je t'ai dit que tu pouvais venir à ma table? Et à quel moment tu pensais avoir la moindre chance de me toucher espèce de petite merde?
Le visage de l'homme se déforme sous la douleur et je sens le poignet légèrement se plier sous ma main, je comprends que je l'ai foulé et qu'une visite au urgence pour lui s'impose. Il quitte la table en me lachant quelques insultes copieuses. La serveuse se repointe devant moi et me demande si tout va bien, je réponds par l'affirmative et le donne un joli sourire de petite princesse. Usant d'un peu de magie, je lui intime l'ordre de rester ici pour surveiller les bouteilles, je quitte la table et me rends de suite vers l'arrière du bar.
Lorsque j'ouvre la porte, je sens le parfum exqui du sexe, elle en avait profité la coquine mais je suis stoppée net quand je vois l'homme assis et Solace un peu déçu.
- Ne me dis pas qu'il a déjà déchargé en toi?
L'homme semble bizarre et sans réaction, il est assis là tout penaud, regardant devant lui dans le vide. Je me surpris à passer ma main devant ses yeux pour voir si il est toujours de notre monde mais rien. Je me tourne vers Solace quk sent la mouille et la frustration, j'ai de la peine pour elle.
- Attends ma belle, je vais t'aider un peu. Tu vas connaitre un peu mon coté succube.
Je souris de manière coquine et l'attrape dans les hanches, tirant vers moi, je l'embrasse passionnement, ma langue joue avec sa langue et nos salives qui se mélangent. C'est tendre et la petite Solace se défend très bien mais ce n'est pas fini. Je déscends doucement sur son cou et avec mes deux mains je fais tomber son short à terre. Je me mets à genoux et pose la cuisse gauche de Solace sur mon épaule droite ainsi, j'ai une vue et un accès total sur la vulve de la jeune Déesse. J'embrasse ses lèvres vaginales et enfonce doucement ma langue à l'intérieur, jouant de mes attributs de succube pour alonger ma langue afin de bien la prendre. Sa cyprine vient directement m'inonder la bouche, je la sens se déhancher au dessus de moi, peu être pour me faciliter le passage. Je ressors ma langue pour aller sucer son clitoris gonflé de désir. Je la sens gémir tendrement.
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L'arrivée de Sanguilia eut l'effet d'une délivrance. Elle était là, soupirant, regardant le serveur qui lui avait offert l'un des moments les plus décevants de sa vie. La jeune déesse lui adressa un grand sourire, puis une petite grimace lorsqu'elle lui posa la question.
« C'était vraiment pas un bon coup... juste après le début des hostilités, le type s'est lâché direct » grommela-t-elle sans prendre la peine de réajuster son short, qui glissait à moitié sur ses hanches. Mmm. Elle s'était enflammée pour peu, bien peu. La soudaineté de l'homme n'était pas ce qui l'avait pris de cour. C'était son impuissance à tirer d'elle un semblant de plaisir qu'elle qu'il soit.
« M'aider ? » demanda-t-elle avec amusement. Bien heureusement, on ne la laissera pas affamer ce soir. La puissante déesse l'attrapa, l'amenant tout prés d'elle avant d'échapper un long baiser mouillé. Elle lâcha un léger cri de stupeur en la voyant tomber sur ses genoux pour accéder à l'intimité ayant été bien délaissée par son amant pitoyable, qui regardait la scène hagard, encore abruti par la drogue qui courait dans ses veines. Elle sentit sa cuisse soulevée pour venir s'appuyer sur l'épaule de la belle déesse prédatrice qui ne tarda pas à se mettre en quête de la perle rosé, enflée par la perspective de l'exaltation qui cavalait dans son corps.
Quelque chose d'inhabituel se produisit : la langue qui s'emparait de son intimité semblait... non était en train de croître en taille. Apparemment Sanguilia avait encore pas mal d'atouts dans sa manche. Solace glissa ses doigts dans la chevelure sombre, manquant de vaciller sur l'effet de surprise du plaisir procuré alors qu'un peu de liquide coulait dans la bouche de la femme.
« San... » murmura-t-elle en basculant doucement sa tête en arrière, laissant échapper un doux gémissement. Du coup de l’œil, elle perçut le serveur toujours rivé sur la caisse de bouteilles, le pantalon sur ses chevilles. Du fin fond de sa torpeur, il assistait au spectacle qui était sans doute la seule chose qui lui parvenait dans la brume de ses pensées. Elle ne tarda pas à remarquer le membre érigé qui manqua de la faire rigoler. Bientôt, elle l'ignora superbement bien trop occupée à soupirer sous les coups de langue experts de la déesse.
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Je me concentre de plus en plus sur elle, je veux la voir jouir de ma langue et ainsi la calmer avant de voir tout son potentiel. Elle remue de plus en plus et sa cyprine coule à flot. De ma position, il est facile pour moi de voir son corps onduler sous mes assault. Solace gémit et cela m'excite aussi, ma main se promene sur ma culotte que je décale afin de me caresser un peu. Je gonfle encore ma langue pour lui donner une forme phalique et ainsi combler la jeune Déesse. Le serveur reste toujours dans son état de zombie, toujours sans réaction de sa part.
- Viens ma belle, lache toi, donne toi à moi... jouis sur moi.
J'accélère le rythme, je ne veux pas tarder dans ce débara indigne de deux Déesses, en tant voulu, je lui ferais sa fête correctement, la laissant essoufflée sur un lit doux et soyeux. Solace soupire de plus en plus et lache la première syllabe de mon nom, je ne perds pas la main. Mes doigts font rouler mon clitoris de gauche à droite et je mouille le sol avec mon liquide vaginal. Mais, je voulais encore plus et la forme de mes yeux changent pour passer du blanc au jaune. Mon coté succube prend le pas sur mon coté classique. Mes doigts lachent mon vagin afin de me permettre d'user du pouvoir que Sha m'avait donnée. Une belle queue sorti de mes grandes lèvres et je retire ma langue de son antre. Je me relève pour prendre Solace debout, je le tiens par ses fesses et la pénètre sans difficuté.
- Mais dit donc, je te savais pas si accueillante ma belle, je comprends que ce connard est laché sa purée si rapidement.
Je donne des coups saccadés afin de la faire crier de plus en plus. Son vagin est très étroit et il étrangle mon sexe et je peine à tenir le coups.
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Ses doigts glissaient sur le sol alors que sa tête basculait en arrière sous les coups de langue experts de Sanguilia. Elle cria lorsqu'elle sentit la langue gonflée afin de combler l'intimité, pressant sur les parois. Du coin de l’œil, Solace voit que la déesse a elle aussi commencé à se faire plaisir, une initiative fort compréhensible. Sa cuisse glissait sur l'épaule de la déesse, alors que sous le choc du plaisir ses muscles se raidirent et que Solace exécutait l'ordre de la déesse, se lâchant soudainement à travers une salve de liqude qui coula sur Sanguilia.
A regret, la femme se détacha d'elle, mais elle n'était pas prête de la laisser là en manque, contrairement à son ancien amant qui regardait les yeux dans le vide les deux femmes en train de s'étreindre. Solace poussa un petit cri de stupeur en voyant le membre apparaître entre les cuisses de la déesse. Eh bien, apparemment celle-ci réservait bien des surprises ! Elle sent la déesse venir l'attraper pour se glisser en elle avec aisance. Le serveur avait délaissé le plaisir de la jeune femme pour se lâcher bien vulgairement, sans se soucier de sa partenaire. Mais, comme promis Sanguilia mettait toutes ses ressources à disposition pour "aider" la jeune femme, et privilégia l'intimité glissante pour accueillir le tout nouveau membre. Les mains de Solace attrapaient avec fermeté la peau brûlante de la déesse alors qu'elle haletait sans pouvoir s'arrêter.
« Me...merci ! Accueillante mais que pour... toi. Le type ne s'en est même pas occupé. » parvint-t-elle à murmurer, rougissante, murmure qui se transforma rapidement en cri sous les coups de bassin de la déesse. Le travail précédent de la déesse avait grandement facilité la pénétration et les coups de butoir frénétiques que la déesse donnait. Solace se cambra avant de mieux accueillir la déesse entre ses cuisses, la pressant contre elle. Elle ferma les yeux, la bouche entrouverte alors que malgré elle, de légers gémissements s'échappaient de sa bouche. Eh bien c'était autre chose que ce que l'abruti lui avait fait subir ! Elle ponctua les pénétrations, en resserrant dans la mesure du possible ses cuisses pressant un peu plus le sexe dans la chaleur et la moiteur de son intimité. La jouissance ne tarda pas à venir, lâchant sur la queue un déluge de cyprine toujours fermement planté entre ses cuisses. L'air quitta soudainement ses poumons alors qu'elle continuait à apprécier, étourdie, les vas et viens de son amante.
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Solace se laisse aller complètement sur moi, elle est en trance et je la comprends totalement. Le serveur a dû être totalement décevant et pour une Déesse, c'était totalement frustrant. Mes coups de reins accélèrent de plus en plus, moi aussi je couine, l'intimité de Solace est celle d'une jeune femme donc encore étroit. Son vagin étrangle ma verge et la peau douce de Solace me rend folle. Cette Déesse doit encore me montrer tout son potentiel et même niveau sexuel, car pour le moment je donnais beaucoup plus que je recevais. Mais pour le moment ce n'est pas grave, la nuit ne fait que commencer. Solace se crispe et je sens une vague d'energie dans tout le long du corps de la jeune Déesse. Elle jouie et je fais de même dans un râle divin, tout mon foutre sort dans de longue saccade dans l'antre intime de ma maitresse.
Une fois fini, je repose Solace sur la sol mais je suis toujours lover contre elle, l'embrassa tendrement, passant mes mains dans ses cheveux bleus. J'adore me blottir dans les bras de ma moitié.
- J' espère que tu es calmée... Sache que c'est un avant gout de ce que je pourrais te faire...
Je la relache apres avoir plongé ma langue dans sa bouche, je soupire pour me reconcentrer un peu, mon sexe disparait pour mon vagin. J'ai encore les idées qui divaguent et mon coté succube a encore le dessus. D'ailleur mes yeux sont encore de couleur jaune, et mon coeur bat encore à la chamade. J'adore le sexe c'est une bouffé d'oxygène à chaque fois, je ne peux pas m'en passer. Solace s'avance vers le serveur et moi à ses cotés.
- Tu vas faire quoi de cette petite bite?
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Le souffle coupé, tout ses muscles se tendirent alors que la jouissance de son amante accompagna rapidement la sienne. Elle sentit couler sur ses cuisses le foutre ayant jaillit généreusement dans son intimité. Elle se laissa glisser sur le sol, accompagner par les gestes passionnés de la déesse. Haletante, la jeune femme reprit peu à peu sa respiration, encore étourdie par la vivacité des coups de Sanguilia, persuadée qu'il ne s'agit que d'un aperçu des pouvoirs et de l'énergie phénoménale de celle-ci... l’intéressée vint rapidement confirmer ces soupçons. La curiosité et une faim insatiable l'envahit de nouveau, mais il faudra être patiente.
« Un avant-goût ? J'ai absolument hâte que tu te déchaînes avec plus de force... » susurra-t-elle, le regard affamé alors qu'elle se pressait un peu plus contre le corps chaud de la déesse. Solace savoura la chaleur et l'humidité de sa bouche, peu envieuse de quitter le contact de Sanguilia.
Elle adressa une mine dégoûtée à sa camarade. « Il ne m'a pas satisfait mais... le tuer aurait été gâcher bien trop d'efforts pour rien. » Ses doigts glissèrent dans ses longs cheveux bleus alors qu'elle ne quittait pas le serveur hébété du regard. Malléable, très malléable. Solace n'était pas prête à lâcher le morceau et était bien décidée à montrer ses capacités à la déesse. Les joues rouges, intimidée par cette divinité avec bien plus d'expérience qu'elle, la jeune femme se redressa, se dirigeant vers son nouveau jouet. Elle se baissa, posant ses mains sur ses cuisses alors qu'elle continuait à scruter son visage rougit. « Ce pitoyable personnage va nous offrir les clés d'une délicieuses soirée. » dit-t-elle à l'adresse de Sanguilia. Celui-ci émit quelques grognements. « Ce "gentleman" est la flamme qui va me permettre de mettre le feu à cette poudrière. Vois-tu... mes pouvoirs sont... subtiles. Je me "nourris" de l'énergie qui se dégage des foules furieuses, passionnées et... parfois il ne suffit que d'un individu pour déchaîner une masse. » termina-t-elle avec un clin d’œil.
« Tu te rends bien compte de l'honneur que nous te faisons ? » Salivant, il planta ses yeux dans les siens. « Ou...oui, déesses. » gargouilla-t-il, tout semblant de volonté annihilée par les effets des pouvoirs de Solace. « Bien... » Et elle lui expliqua le plan. C'était simple la "drogue" qui cavalait dans les veines du serveur l’amènerait à causer un sympathique petit chaos dans le bar, attisant la colère et les envies des autres clients, quand le petit groupe aura assez grossi ils transposeraient la petite fête ailleurs... Un des entrepôts situés à proximité ou une des maisons d'un des individus bienheureux qui seraient bientôt frappé par les capacités de la jeune femme.
Ses doigts de la jeune femme s'agitaient dans les airs, alors que, concentrée, elle envoyait quelques vagues supplémentaires à l'homme. Celui-ci se redressa, se rhabillant avec hâte alors qu'il se dirigeait vers la sortie. Solace le suivit de prés alors qu'il se rendait dans la petite salle. Un de ses camarades vint à lui, le grondant de son absence, et reçu un poing en plein dans le visage, l'étalant inanimé sur le sol. Le patron cria à son adresse, alors que le gars hypnotisé se dirigeait vers une des femmes assises à une des tables, l'embrassant à pleine bouche, se faisant repousser brutalement. Peu à peu, l'étrange capacité de Solace frappait les individus présents qui se détendaient, se crispaient, frappés d'euphorie, d'envie de violence... d'envie de sexe, c'était le bordel... et personne n'était épargné.
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Solace m'explique que son pouvoir se nourrissait de l'énergie des foules et que maintenant le spectacle va commencer. Elle plante son regard dans celui du serveur et celui-ci se lève, se rhabille rapidement et sort de la petite pièce. Solace lui emboite le pas et moi je la suis de près, j'ai vraiment hâte de voir de quoi elle parle. Un autre serveur, plus jeune et plus petit nous barre la route ouspillant sur le serveur et du pourquoi de son absence. Pour toutes réponses, l'esclave de Solace lui décroche la machoir avec son poid, le jeune homme s'écroule à nos pieds et le serveur soumis avance suivi de près par Solace. Moi au passage, je marche sur l'homme à terre en passant bien sur son entre-jambe, il hurle de plus belle mais qu'importe.
Nous nous trouvons maintenant dans la salle principale du bar et les clients commencent à se questionner sur l'origine des bruits. Le patron hurle sur le serveur mais ce dernier toujours hypnotisé se lance sur une jeune femme assise à une table et l'embrasse de force. Elle crie et le repousse, un client intervient pour s'interposer et d'autres rejoignent la mélée. En quelques secondes, un chaos total dans le bar, combat, aggression et viol se passent devant nous. Je me retourne vers la table où j'ai laissé la serveuse seule et un homme dans un état second l'agresse pour lui arracher les vêtements. Je fonce dessus et plante tout mon avant bras dans son dos.
- Elle, elle n'est pas sur le menu...
Je le repousse plus loin et me place dos à elle. Tout en usant de mon pouvoir de persuation.
-... vous ne bougez pas de là.
Solace me regarde.
- C'est une vierge, elle est à moi!!!
Je lui réponds avec un sourire carnaciers. Les vierges peuvent servir à pleins de choses utiles pour les Dieux. Enfantées des héros ou leurs némésis, déclanchées des miracles ou des cataclismes et divers autres choses. Je ne veux pas qu'un gros porcs la touchent. Un autre s'approche de moi mais il change d'avis et se jete sur une femme en tailleur jupe et la viole devant moi. L'atmosphère change, le pouvoir de Solace qui était indétectable pour moi au début amplie la pièce maintenant et même moi je ressends les effets néfastes. Je secouenla tête pour reprendre mes esprits.
- Aidez moi... S'il vous plait...
La femme qui se faisait violer à mes pieds me supplier de la secourir, dans un élan altruiste, je tue l'homme et relève la femme qui tente de se rhabiller le plus vite possible. Mais je l'en empêche et la repousse vers Solace et dans la foule en trance. Ce pouvoir fait encore des dégats car certains font preuve de cannibalisme et l'odeur du sang commence à se mélanger à l'air ambiant. Dans ce méli-mélo de corps, on distingue deux types de personnes, les victimes et les aggresseurs, ce que dégage Solace rend les gens fous et les renvoient à leurs plus bas instincs. La serveuse derrière moi me demande de la protéger que personnes en trances ne s'approchent d'elle, comment je la comprends, mais si elle savait ce que je lui réserve était pire...
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Peu à peu, l'énergie qui se dégageait de cette foule lui parvenait, l'emplissant, l'étourdissant par sa puissance. La jeune déesse reprit rapidement le contrôle sur sa propre personne alors qu'avec un immense sourire elle regardait les individus se jeter les uns sur les autres. Ses capacités avaient été efficace au delà de ses espérances, surement un petit coup de main inconsciemment donné au départ par la déesse qui l'accompagnait grâce à leur petite "séance". Elle regarda avec satisfaction Sanguilia écraser sans ménagement l'entrejambe du type, arrachant un petit cri de joie à Solace. Désormais, presque toute la foule présente se jettait les uns sur les autres. Il y avait ceux qui frappaient les autres sans ménagement, d'autres s'adonnaient à d'autres activités. Un homme avait saisi une femme qui s'accrochait à lui, arrachant ses vêtements alors qu'il la prenait avec force. Il laissa échapper un long cri bestial alors que ses mains pressaient la chair de la femme. Bientôt, de nombreux fluides divers décoraient les fauteuils et le sol.
« Ne t'en fais pas on la gardera pour plus tard... » cria-t-elle pour couvrir le raffut. Solace se saisit du poignet de la jeune femme, l'effleurant du bout des doigts. Elle se concentra, la fille s'enfonça dans un état de légère torpeur, prête à les suivre, sans se livrer à la frénésie qui prenait la foule. Elle donna un autre coup de pied au type qui tenta de s'en saisir. « Je vais te protéger... » promit-t-elle avec un clin d’œil. Malheureusement, c'était parce que sa camarade divine avait d'autres idées en tête et que Solace souhaitait la remercier qu'elle la garderait pour l'instant, intacte, à leurs côtés. La fille acquiesça, toujours enfoncée dans une semi-inconscience.
L'homme que la déesse a tué est assaillit de toute part par des individus affamés qui plantent leurs dents dans la chair. Solace cligna des yeux devant ce spectacle. Apparemment, certains de ses pouvoirs se sont activés par mégarde... pas question qu'elle perde le contrôle ! Bientôt, une petite partie de la foule est à terre, certains continuaient à chevaucher leurs camarades alors que quelques ne bougeaient tout simplement pas. « Quelque chose en tête... » chuchota-t-elle avec excitation alors que Sanguilia posait son regard sur la serveuse. Le doux nectar qui se transpirait de cette frénésie ardente, la faisant trembler.
Elle poussait de légers cris alors qu'elle resserrait peu à peu le contrôle souhaité. C'était dur et... c'était jouissif. Ses mains pressaient sa propre peau, glissant sur sa poitrine et sur ses cuisses alors qu'elle se rapprochait de la déesse, fascinée. « Ne t'en fais pas... » s'exclama-t-elle. D'un coup, elle tendit ses mains et autour du petit trio, la serveuse, et les deux déesses, un "cercle" invisible se matérialisa.
Désormais, elles pouvaient profiter du spectacle sans dommages, immunisées par rapport à la rage. Bien sur, cette "protection" ne durerait pas longtemps, mais Solace tenait à un peu de calme pour prévoir la suite des événements. Hypnotisée, elle regardait la scène, s'approchant de Sanguilia. « Je... j'ai encore besoin d'un peu d'énergie mais après je te propose d'aller dans un endroit plus... tranquille. Est-ce que tu pourrais transporter tout ce petit monde ailleurs ? Je peut les contrôler sinon, le bar est bien mais je connais une vaste bâtisse inhabitée, une superbe demeure où l'on pourra faire tout le remue ménage que l'on veut. » Et Solace ne comptait pas s'en arrêter là. Tant pis pour la discrétion, il était important qu'elle montra ses capacités à cette déesse, qu'elle prouva sa valeur. C'était capital.
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Solace s'approche de moi et me demande si je peux transporter deux personnes avec moi. Est elle en train de douter de moi? Je pense pas, le visage de Solace a encore changé, elle est passée d'enfant pourri gaté à une femme prédatrice sans scrupule. Dans cette état, elle m'excite beaucoup et je laisse mon esprit entrevoir de futur moments intenses et charnels. La serveuse est dans un état second, la jeune Déesse doit être pour quelque chose mais d'un autre coté c'est mieux, elle se posera moins de questions sur nous et sur son sort. Solace lève un petit champs de force entre la cohut et nous, il faut peu de temps pour qu'une furie humaine se jete sur notre protection. Par la fénètre, on distingue les feux bleues de la police. Il me faut une image du lieu que Solace, j'attrape cette dernière par les hanches et je l'embrasse comme une affamée. Les images arrivent dans ma tête directement et avant même que la police défonce la porte d'entrée, on a disparu des lieux avec la serveuse vierge.
- Aussitôt dit, aussitôt fait ma belle.
La batisse est pas trop mal pour un batiment à l'abandons, ça sent encore le frait donc il y a de la visite régulièrement. La serveuse sort de sa torpeur et commence à chercher où elle est. Elle nous fixe avec insistence.
- Comment suis je arrivée ici? Je me souviens de vouloir vous servir et puis... plus rien...
Alors qu'elle tente de reculer un peu, je la pousse au sol, elle lache un petit cri de surprise et cherche du regard celui de Solace afin de trouver du secour.
- Mais enfin, votre amie est folle, pourquoi me fait elle tomber?
Elle cherche dans son tablier son téléphone portable et commence à composer le numéro des secours ce qui a le don de m'agacer. Je m'avance vers elle et donne un énorme coup de pied dans sa main qui tient le téléphone, ce qui l'envoie plus loin et en deux morceaux. De la main gauche, je prends son col de chemise et de la main droite, je lui donne deux coup de poing. Un sur la joue gauche et l'autre sur la tempe. La serveuse perd connaissance et je la relache pour que le haut de son corps touche le sol.
- Petite pute...
Je me redresse, remets mes habits correctements et me retourne vers la jeune Déesse. Je m'approche d'elle et lui demande.
- Et maintenant, que comptes tu me montrer? Je suis impatiente de voir le reste de tes pouvoirs.
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Le vacarme avait attiré les forces de l'ordre et il ne fallait pas traîner une seconde de plus. La jeune femme lâcha un petit cri de surprise lorsque la déesse l'attrapa par les hanches et vint l'embrasser. Elle prolongea le baiser alors qu'une énergie soudaine la traversa. La magie de Sanguilia les avait transporté ailleurs, à l'endroit exact qui avait habité les pensées de Solace. Celle-ci se mordilla la lèvre avant de remercier la femme d'un rapide baiser sur les lèvres.
La serveuse se recula, rapidement pousser au sol par la déesse, ce qui arracha un petit sourire à Solace, récipient de la demande d'elle de celle-ci. Elle grimaça lorsque que celle-ci qualifia sa camarade de folle, s'écartant d'elle alors que celle-ci chercha activement son téléphone. Rapidement, Sanguilia vint s'en occuper. Du bout du pied, la jeune femme bougea le corps inanimé pour témoigner de son inconscience.
« Eh, quand elle se réveillerait on pourrait lui faire une sacrée surprise. » s'amusa Solace en jetant un petit regard satisfait à la déesse. « Mmmm... » réfléchit-t-elle en entendant la proposition de Sanguilia. Elle avait promis une fête à la déesse et elle comptait bien tenir sa promesse. Si c'était la rage qui avait submergé les gens du bar, elle se devait d'offrir une orgie plus correcte à sa nouvelle mentor, le genre qui ne finissait pas dès le début en bain de sang.
Après quelques secondes de réflexion, Solace claqua des doigts, se rappelant d'un léger détail concernant la bâtisse : celle-ci accueillait quelques fêtes clandestines, organisé par le jeune gardien des lieux, un lointain cousin de la famille. Et si elle ne se trompait pas, l'une d'elle avait lieu le jour même. Il n'y avait donc qu'à attendre une heure ou deux avant d'avoir quelques jouets supplémentaires pour montrer à la déesse l'étendu de ses pouvoirs. « En attendant, je te proposerais bien de continuer ce que l'on a commencé dans l'arrière salle du bar. Mes pouvoirs me rendent assez endurante en plus de ça. » susurra-t-elle en s'approchant de Sanguilia, pressant ses lèvres contre les siennes. « Tu pourrais t'occuper de celle-là en plus. » ajouta-t-elle avec un sourire carnassier. « Le premier étage est assez tranquille, on pourrait être plus confortables en haut que dans le bar. » acheva la jeune femme.
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Solace est une jeune Déesse mais elle sait déjà comment me faire plaisir. Cette battisse va devenir l'antre de la luxure entre deux Déesses. La jeune femme m'embrasse en prenant bien soin d'enfoncer sa langue dans ma bouche, l'expérience dans l'arrière salle du bar était très satisfaisante et je voulais voir si elle tenait une ruade divine. Elle me décrit l'endroit et surtout de la pièce en haut qui serait plus confortable pour nos projets à court terme. Regardant la serveuse assommée depuis peu, je veux impérativement prendre sa pureté. Lorsque Solace me relâche, j'ai pas pu m’empêcher de ronronner comme une bête, je suis excitée comme une dingue. Il faut dire que dans l'arrière salle j'avais plus donné que reçu. Mais la jeune divinité devrait pouvoir gérer mes envies. Je me dirige vers le corps inerte et le soulève de ma main droite en le prenant par le col du chemisier, je la place sur mes épaules.
- Montre moi ton antre de la luxure Solace.
Je me place aux cotés de ma consœur et l'embrasse prenant soin de bien jouer avec sa langue. Un feu intense s'est allumé dans le creux de mes reins et je dois impérativement l'éteindre par tout les moyens. Sans le vouloir, mes yeux changent par l'excitation, mes yeux de succube. Je suis Solace vers des escaliers qui montent sur un salle étrange, il y a une odeur bizarre, alcool, sang, sexe et d'autres que je n'ai pas envie de définir. Au milieu de la pièce, plusieurs coussins qui font office de lit, enfin je suppose...
- C'est ici que tu amènes tes proies?
Je jettes le corps de la serveuse juste à coté de l'aggloméra de coussins et je fais de même pour mes vêtements. Je fais voyager mon regard une dernière fois sur le corps de Solace, je veux qu'elle se déchaine sur mon corps. Un petit mur de flamme me transforme en succube de la luxure.
- Alors qu'est ce que tu attends pour venir me faire crier ton nom entre deux soupirs?
HJ: Une image vaut mieux que de grandes description ;D (http://imagizer.imageshack.us/v2/320x240q90/924/KMEdel.jpg) (https://imageshack.com/i/poKMEdelj)
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Cela n'était pas la première fois que Solace squattait cette bâtisse. Elle n'avait jamais croisé les propriétaires et doutaient que ceux-ci reviendraient y habiter avant un bon bout de temps. Pourtant, c'était tout nouveau pour elle d'investir ces lieux aux côtés d'une autre déesse. Solace peinait à y croire : elle avait rencontré une divinité comme elle. Les événements de cette soirée avait défilé si vite que la jeune femme n'avait pas encore eut le temps de se remettre de ses émotions... et c'était parfait comme ça. Une énergie nouvelle coulait dans ses veines et elle était persuadé que la seule présence de Sanguila causait cet effet chez elle. La déesse avait hâte de continuer ce qui avait été débuté quelques moments auparavant. Ce n'était pas de simples ébats qui uniraient les deux déesses mais bien un moment de découverte et de pure passion. Elle ne pouvait même pas imaginer ce qui se dégagerait d'elles en s'adonnant à un pareille moment.
Solace prolongea le baiser, sentant une chaleur étouffante l'envahir à l'instar de sa nouvelle amante. Elle eut un petit sursaut de surprise en voyant ses yeux changer de teintes, souriant avant de monter en haut. La demeure était richement décorée, dans des tons rouges foncés qui convenait parfaitement à Solace. Elle se dirigea dans une pièce bien connu de la jeune femme.
« E... exactement. » répondit-t-elle surprise. « C'est ici que je m'adonne à mes petits plaisirs. » Solace ne tuait que rarement ses proies assez étonnamment : elle causait les frénésies qui amenaient au meurtre mais seulement lorsqu'elle était dans son état "frénétique" était-t-elle amené à tuer. Bien entendu, cela ne faisait pas d'elle un exemple d'innocence : dans son boulot, autrefois mercenaire et désormais mafieuse, elle tuait à tour de bras mais c'était Solace "l'humaine" et pas la déesse dans ces cas-ci.
Solace entreprit de se déshabiller à son tour. Elle jeta son blouson dans un coin et enleva son débardeur ainsi que son short. Ses sous-vêtements vinrent bientôt rejoindre la pile et elle détacha ses cheveux afin de les laisser cascader dans son dos. Solace eut un petit saut de surprise en voyant Sanguila se transformer : la vision était tout simplement divine et laissa la jeune déesse bouche bée. Celle-ci se reprit en se dirigeant vers Sanguilia qu'elle admira avec une envie qui l'envahissait peu à peu.
« Je t'admirais juste tu... tu es si belle. » souffla-t-elle tremblante de désir. Solace posa ses mains sur les hanches de la déesse pour l'amener à elle. Ses lèvres vinrent effleurer les siennes, presque timidement, avant que sa langue ne vinrent les entrouvrir. Elle intensifia son baiser, laissant glisser ses mains sur les fesses de Sanguilia.
Elle l'amena à s'allonger sur le dos se plaçant au dessus d'elle, venant explorer chaque centimètre de son corps avec avidité, pressant sa poitrine. Elle se déplaça, sa cuisse effleurant l'intimité de la déesse, frottant doucement contre celle-ci à chaque fois que Solace remuait. Délaissant la bouche, elle commença à descendre, léchant doucement la peau de son sein gauche alors que ses doigts venaient se glisser entre les cuisses sans pour autant s'y enfoncer.
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Solace prend les devants commençant ses baisers, tendrement et de manière suave. Chaque baisers allument un volcan dans le creu de mes reins. Je suis pas habituée à la douceur mais avec elle, c'est... comment dire différent. Est ce qu'elle utilise encore ses pouvoirs sur moi? Je suis sous son emprise, ses mains se balladent sur mes seins et rapidement l'une d'entre elle se risque jusqu'à mon antre cuisse. De caresses en doux baisers, Solace est très douée avec une femme, sa bouche joue avec ma poitrine. Plus bas, ses caresses sont devenues pénétration et je couine, soupirant de douceur. Mon intimité est déjà humide et la jeune Déesse ne se fait pas prier pour me faire crier de plus belle. Mon souffle s'accélère marquant mon plaisir. Je m'aggripe avec mes jambes autours de sa taille et de mes bras je lui griffe le dos. J'aime la douleur lors de mes ébats sexuelles, la douleur me fait toujours jouir. Mais avec Solace, elle est arrivée à me faire aimer le sexe avec douceur mais lorsque je prendrais le dessus avec mon sexe d'homme, je lui laisserais aucunes douceurs. L'une de mes mains plonge dans ses cheveux bleus, je tire légèrement une de ses mèches afin de la guider vers mon vagin. Mes ailes remuent légèrement et un frisson me parcourt tout le corps.
La jeune serveuse remue un peu, je dois pas être discrète sous les assaults de Solace. Ma chatte accueille maintenant trois doigts et mon corps est pris de spasmes de plus en plus durs à contrôler.
- Solace ma belle, tu es très douée avec tes doigts. Montre moi si tu es aussi douée avec ta bouche...
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La jeune déesse était ravie de voir que ses gestes visaient juste, mais elle ne comptait pas se reposer sur ses lauriers. Sanguilia lui avait montrer un aperçu de ses talents dans l'arrière salle du bar et la jeune femme souhaitait montrer ses capacités. Elle évoluait avec assurance, effleurant les cuisses de la déesse alors que ses doigts glissaient dans l'intimité humide de Sanguilia.
Solace laissa échapper un petit cri de surprise lorsqu'elle sentit les griffures sur son dos. La déesse appréciait aussi la douleur, un élément essentiel qui accompagnait sans cesse le sexe dans l'existence de la jeune femme. Après tout elle était la déesse de la frénésie ! Elle se plaisait à piquer ses amants ou amantes au vif, à les provoquer, à les faire se déchaîner.
Quand Solace entendit l'invitation de la déesse, elle ne se fit pas prier. Sans ajouter un mot, elle descendit lentement, ressortant ses doigts du sexe de Sanguilia. Elle enfonça son visage entre ses cuisses, glissant ses mains sur les fesses de la femme pour l'amener à elle. Après avoir déposer un léger baiser sur ses lèvres intimes, Solace sortit sa langue, la passant le long de son intimité avant de l'écarter doucement pour s'y introduire.
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Solace, le sourire en coin, ne se fait pas prier pour descendre sur mon intimité déjà bien ruissellante. Sortant ses doigts, elle les remplacent rapidement pour sa bouche. De ma position, je ne vois plus que ses beaux cheveux bleus qui bougent au rythme de ses caresses buccales. La Déesse de la frénésie est très douée et moi, mes gémissements commencent à raisonner dans la pièce.
- Si tu me satisfais, je pourrais encore faire usage de mon pouvoir d'hermaphrodite.
Je me mords la lèvre inférieure pour éviter de hurler car Solace n'a pas de pitié pour mon vagin et ce qui devait arriver arriva. Mon souffle s'accélère et mes reins remuent au rythme de mon plaisir, avec ma main gauche, je plaque le visage de mon amante contre mon sexe, appuyant fort.
- Haaaan, haaaann, raaaah...
Je jouie très fort et bruyamment, remuant ma tête de gauche à droite. Et lorsque mon orgasme se termine, mon corps se relâche dans un soupir doux. Cela fait un moment que je n'avais plus goûté aux plaisirs charnelles.
Avant même que Solace remonte, je claque des doigts et mes grandes lèvres s'écartent pour faire sortir un sexe masculin au nez de la Déesse.
- Chose promise, chose due. Je vais te passer dessus comme jamais auparavant.
La dernière phrase s'accompagne d'un grand sourire sadique car j'allais lui passer une nuit démoniaque. Je veux lui rendre au centuple l'orgasme qu'elle vient de me donner cette coquine. Et puis, elle a une bouche pour satisfaire les vagins mais je veux savoir comment elle suce une bonne queue.
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Malgré son hésitation des premiers moments, Solace se débrouillait avec adresse, et la déesse n'était pas indifférente. Une promesse. La jeune femme comptait bien montrer ce dont elle était capable et ne pas lâcher sa divine amante. Une nuit fantastique s'annonçait et il n'était pas question d'expédier vite fait la chose.
Les gémissements de Sanguilia, suivis de cette main qui se pressait contre sa tête pour l'amener plus contre le sexe, étaient les récompenses jouissives de ses efforts. Une chaleur envahissait son propre bas ventre, réceptive grâce à ses propres pouvoirs au plaisir que Sanguila ressentait. Lorsque celle-ci jouit, Solace en était toute étourdie, haletant alors qu'elle restait prés de l'intimité brûlante de la femme. Elle n'eut même pas le temps de remonter que les lèvres s'entrouvrirent pour laisser passer le membre qui l'avait satisfaite un peu plus tôt.
Solace se redressa un peu, percevant le sourire de la déesse qui la fit trembler d'excitation. « Ne te retiens pas. Je veut que tu te déchaînes, je suis toute à toi. » souffla-t-elle les yeux brillants. Elle était à la déesse, et cette nuit... elle tenait à ce qu'elle soit mémorable. La jeune femme n'avait pas besoin que celle-ci prononça un ordre pour se lancer. Sanguila lui avait donner un aperçu dans le bar, mais la jeune déesse ne doutait pas que celle-ci pouvait tenir de longs ébats, voir même l'épuiser qui savait ! C'était un défi et Solace était prête à le relever. Elle descendit de nouveau, prenant délicatement en main le membre lourd qui venait de sortir de l'antre de la déesse.
La jeune femme le caressa avec doucement, venant déposer un léger baiser sur le gland, avant de sortir sa langue pour titiller l'extrémité. En moins de deux, elle le prit en bouche, l'enfonçant avec appétit vers sa gorge. Elle passa ses mains sous les fesses de la déesse, les malaxant avec tendresse, tranchant avec la soudaineté avide avec laquelle elle gobait le sexe. Solace faisait de longs vas et viens, s'agitant pour se positionner correctement entre les cuisses de la déesse.
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Avant même que je puisse redescendre de mon orgasme, Solace a déjà ma verge dans le fond de sa gorge. Elle en veut vraiment cette petite, tant mieux, lorsque je suis lancée, un orgasme me suffit pas, il m'en faut toujours plus. Je laisse ma jeune maitresse se faire la gorge sur mon sexe recouvert de plus en plus de salive dû à la profondeur du gobage, les bruit d'étouffement se mélangent au bruit de succion. Je me plie légèrement en deux pour passer mes mains dans ses cheveux bleus et brillant de transpiration. Il faut dire qu'il faisait assez chaud pour un endroit qui parait à l'abandon.
J'empoigne ses cheveux très fort pour la redresser, faisant sortir mon sexe de sa gorge, je l'oblige à se mettre debout, mon visage est maquillé de folie sexuelle. Lorsque Solace est debout, je plonge ma langue dans sa bouche l'embrassant comme si ma vie en dépend. Mes mains lâchent ses mèches de sa crinière azure pour les placer à la base de ses fesses rebondies et la soulève afin que ses jambes me ceinturent la taille. Je me retourne et retombe fortement sur les coussins qui nous sert de matelas, mon sexe trouve l'entrée de son antre humide sans difficulté et je commence un pilonnage sans merci. Mes hanches claquent contre les siennes et je m'aide de mes ailes pour donner encore plus de profondeur à la pénétration.
Je plonge ma bouche dans son coup que je mords avec mes canines afin de la faire légèrement saigner, l'odeur de son sang est particulier voir enivrant. Je l'entends gémir bruyamment, est ce la première fois qu'elle faisait l'amour avec une Déesse ou un Dieu? Dans tous les cas, son entre-jambe m'accueille facilement. Après une durée que je ne peux pas définir, j’envoie les premières salves de foutre dans l'antre de Solace, espérant qu'elle contrôle bien son corps pour éviter une grossesse non-voulue. Nous autres les Déesses, nous pouvons choisir si oui ou non on veut d'un enfant, si la réponse est non, on pouvait la remplir de la tête aux pieds de spermes, aucuns morveux ne pointeraient le bout de son nez.
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De fines gouttes de sueur perlaient sur son front. La déesse était portée par le fil d'énergie électrisant invisible qui la reliait à son amante. Alors qu'elle aspirait avec avidité, elle se sentit soudainement soulevé par Sanguila. La déesse tira soudainement ses cheveux, laissant échapper un petit cri de douleur et de plaisir mêlés. Elle n'eut même pas le temps de broncher que les la bouche de la déesse vint la faire terre, lui arrachant un baiser passionné. La langue de Solace vint se joindre à la sienne dans une valse endiablée tandis qu'elle se sentit soulever avec aisance. A peine retombait-t-elle sur le lit de coussins que Sanguila la pénétra soudainement, s'empressant de trouver un rythme brutal.
Solace se sentit transit de désir, paralysée par les vagues de plaisir qui la submergeait. Bien vite, elle sentit une légère piqûre le côté de son cou. Son sang, nectar divin capable d'exercer son influence sur la plupart des créatures existantes. Sur les autres dieux, Solace n'a aucune idée de l'effet qu'il peut avoir. Après tout, cette rencontre avec la déesse a tout du mystère le plus totale - c'est la première fois qu'elle côtoie d'aussi prés une déesse. Mais toute question qui pourrait désormais se dessiner dans son esprit s'exprime à travers leur corps, dans une fascinante découverte de l'autre. La rencontre a quelque chose de primaire, de sauvage. Le temps semble revêtir une toute autre forme - entre éternité et un instant bref, éphémère.
Sa jouissance - soudaine, puissante, résonnant farouchement dans la petite pièce - était bientôt suivie de celle de la déesse. Elle se sentit satisfaite par Sanguilia, mais toujours en atteinte d'être comblée. Après tout, c'était une déesse qui lui offrait de pareilles attentions et elle se sentait étourdie devant cette endurance, cette possibilité d'éterniser ce moment et de découvrir de pareils plaisirs. Cette partie entamée avec cette femme était dépourvue des tracas des saillis mortelles - aussi "désagréments" (une grossesse non désirée) ne pouvaient venir perturber leurs étreintes sensuelles tant qu'elles le désiraient. « Tu es ma première déesse. » chuchota-t-elle, les yeux brillants, à l'adresse de Sanguilia, s'empressant de lui arracher un baiser fougueux. Elle ne voulait pas que cette nuit s'achève, sentant sa propre puissance divine croître aux côtés de cette déesse.
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Nos cries se mélangent dans la pièce et peut être même dans la battisse, cet endroit accueille dans son sein le combat charnel de deux divinités avides de sexe. Solace me rend la tache tellement facile grâce à son corps si ouvert. Elle aussi, elle explose dans un orgasme tellement bon, tellement puissant et rempli de quelque chose de spécial. Mais pour en connaitre la raison, il faut attendre que ma bouche soit plongée dans son coups pour entendre un petit soupire de sa part.
- « Tu es ma première déesse. »
Alors, je suis sa première déesse, je me sens flattée par un tel aveu de sa part, je relève la tête afin de la fixer touchée par ses mots mais, peut être pour ne pas perdre le coté puissant de cette phrase, elle m'embrasse fougueusement. Je couine, je soupirs, je rugis et me voilà encore en train de la remplir de mon nectar d'amour mais ma verge est toujours droite en elle et je ne suis pas prête de ralentir, surtout que son sang me fait un bien fou. Son raisiné a un gout particulier pour moi, il a un effet tellement puissant et tellement... stupéfiant... pour la déesse de l'hallucinogène, de la drogue, de la dope, des trips et de la frénésie ce n'est que normal. Même sur une autre divinité, son sang fait effet. Attention, je ne ressens pas les choses de la même manière et je ne suis pas comme un zombie, mais son sang mélangé au miens, me rend plus forte dans ma folie sexuelle et mes coups de buttoirs se font encore plus fort. Je profite qu'elle relâche son baiser pour plonger mon regard dans le siens et je détecte un peu d’innocence dans son regard, là, je suis vraiment sure que je suis sa première déesse.
- Ne t'en fais pas, je ferais en sorte que ta première déesse soit inoubliable petite déesse... Maintenant, tourne toi que je visite tes fesses!!!
La forçant doucement à prendre la position du quatre pattes, je me place derrière elle et vu que ma verge était noyée dans la cyprine de Solace, l'entrée de son rectum se fait avec facilité. Parlons en de son derrière, tellement étroit que ma verge est étranglée ce qui me fait gémir comme une petite pucelle. J'impose rapidement un rythme soutenu pour qu'elle prenne son pied dignement. Lorsque nos corps se sont adaptés mutuellement, j'attrape la crinière de ma maitresse de la main gauche et je tire dessus pour la faire plier en deux et de la main droite, je fais rougir sa fesse droite par des claquements plus ou moins douloureux. Mon sexe ne peut contenir tout ce plaisir et j'inonde de sperme le trou sombre de miss Belletyn.
- Par les enfers, j'adore ton corps, je pourrais te faire l'amour des heures et des heures...
Et dire qu'il y a peu, un pauvre humain avait souillé par sa semence et sa nullité extrême cette magnifique créature qu'est Solace. Un court instant, je me suis sentie l'âme d'une justicière réparant cette affront.
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Tandis que son sang possédait un effet addictif et destructeur pour les malheureux mortels étant amené à être en contact avec, voir à le consommer, il ne semble présenter que ses plus belles propriétés aux autres divinités. Alors qu'il passe les lèvres de Sanguila, Solace se sent presque en osmose avec elle. Le liquide écarlate lui donne de sa force, ac croirait même son endurance si une pareille chose serait possible. Ce n'était pas qu'un nectar stupéfiant qui courait dans ses veines, Solace l'a bien remarqué. Il semblait que ce liquide sanguin présentait ses propres propriétés de personnes en personnes, décuplant parfois la force de certains par exemple. Peut-être qu'en cette nuit passionnée, elles puissent trouver leur compte (et quelques surprises) par ce biais ?
La jeune déesse sent les effets du sang dans l'organisme de Sanguila, frémissant en sentant les pénétrations passionnées de son amante. Solace ne se sentirait presque plus déesse, enivrée par la présence de cette femme. Elle se laissa guider par Sanguila tandis que sa divine amante la place à quatre pattes. Soudainement, la verge de la déesse s'enfonce entre ses fesses, lui arrachant un petit cri de plaisir au passage. Bientôt vint la douleur alors qu'elle se sentit soudainement tirer en arrière, soufflant et haletant tandis que Sanguila joignit ce geste à plusieurs gifles soudaines sur sa croupe. Ce mélange de sensations étourdissantes ne tardent pas à l'emmener aux portes de la jouissance tandis que Sanguila vint elle-même à lâcher son foutre.
Encore à quatre pattes, le corps tout entier de Solace semblait réclamer un autre round. Lorsque Sanguila prit la parole, elle en aurait presque rougit. Voilà qu'une créature pareille la complimente sur son corps. Enchaînée par le plaisir, Solace, qui habituellement ne prête attention aux flatteries, se sent bouillonner de désir à l'égard de la femme. « C'est un programme qui me plaît, ma déesse. » haleta-t-elle. Malgré la force que Sanguila mettait dans ses ébats, Solace se sentait toujours aussi affamée et prête à être comblée. Il en faudrait certainement beaucoup pour épuiser les deux créatures divines. Elle se plierait à tout les caprices de sa nouvelle amante pour que cette nuit soit glorieuse, ancrée dans sa mémoire entre jouissance et douleur. Solace se releva doucement, pressant son corps contre le sien. Elle bascula doucement sa tête pour que son cou soit exposée au regard de Sanguila. Du bout des doigts, avec une avidité sexuelle de nouveau grandissante, elle caressa le sexe masculin de la déesse. « Pour ma première déesse, je pense qu'il est normal que j'offre ce que j'ai de plus intéressant. » susurra-t-elle en continuant de la masturber. De la petite entaille faîte par Sanguila, il perlait encore quelques gouttes de sang. C'était par impulsion qu'elle faisait une pareille proposition - désireuse de pouvoir partager, expérimenter et profiter pleinement de cette rencontre divine.
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Elle a beau être jeune, Solace est une personne qui est sexuellement puissante et tellement désirable pour moi. Je ne peux pas contenir mes envies et je besogne sans aucune pitié. De toute façon, je ne pense pas qu'elle veule que je ralentisse mes assauts dans ses fondements. Mais, alors que j'y allais franchement, Solace se redresse et colle tout son dos sur mon corps, elle dégage même mon chibre de son anus rougi par tant de coup et me voilà avec son cou offert à mes crocs. Mon sexe n'a pas eu le temps de refroidir qu'une étreinte se fait sentir dessus.
Solace me propose le plus intéressant pour sa première, sans savoir ma réaction si je continue à en boire mais les pulsions sexuelles me font faire ce qui est prévisible. Après un rugissement, je mords se cou, cette peau si douce, mes canines entaillent encore la peau de la Déesse de la frénésie et au moment où le liquide rubis touche ma langue, j'ai un flash, je suis au milieu du vide et une déferlante de magie souffle partout me projetant loin en arrière. Rapidement, mes yeux deviennent jaunes et mon côté succube reprend le dessus. Je retire mes dents et gargarise le sang dans ma bouche.
- Tu es pas prête de dormir petite fille mais avant...
Oui avant quoi? C'est très simple, grâce au sang de Solace, je suis devenue tellement réceptive à ce qui m'entoure que je sens que la petite serveuse se réveille. Écoutant la folie du sang de Solace.
- Tu vas lui prendre sa virginité pour toi et après tues la mais très très lentement.
Tout en échangeant un baiser sanguin avec la jeune Déesse.